I'm In Control • ADAM (a)

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I'm In Control • ★★★

La colère me montait aux joues. Adam s’était aventuré sur un terrain dangereux et glissant durant cette pool party. Il avait réveillé ce mauvais fond qui sommeillait en moi. J’avais menti pour mieux masquer mes émotions. La vérité se cachait derrière tout sa. L’étudiant m’avait troublé et je n’avais pas jugé utile de le lui rappeler. Je n’avais pas besoin de lui et de toute cette histoire compliqué qui l’entourait. Du moins, s’était ce que je m’étais entêter à penser jusqu’à ce qu’il l’embrasse à pleine bouche cette inconnue sortie de nulle part. Son regard ne m’avait pas trompé et très naturellement j’avais su déceler quelques choses avec cette fille. Prétendre que ce baisé ne m’avait rien fait serait un mensonge supplémentaire. Je m’étais retrouvée en plein cauchemars, guider par cette simple envie de meurtre. J’étais jalouse... bordel j’étais jalouse. J’étais morte de honte et à la fois terriblement en colère contre lui. Tout naturellement, j’avais décidé de quitter la pool party après avoir reçu en plein visage sa réponse. Il m’avait lancé ce ballon en plein visage. Connard ! Une marque rouge devait sans doute se dessiner sur mon front. J’avais donc décidé de rejoindre la maison des Quincy. Un silence de plomb régnait dans l’espace. J’avais besoin d’être seule, toute seule pour calmer mes nerfs mis à rude épreuve. Je m’étais installée sur le canapé, grimaçant légèrement en touchant l’endroit ou le ballon avait attéri. Doucement la voix d’un inconnu me sortie de mes rêveries. « Tu veux de la glace ?» il avait tout vu comme la plupart des étudiants qui s’étaient attardé à la piscine. Difficile de louper ce spectacle que leur avait offert Adam après mon petit pétage de câble au pistolet à eau. Je lui fis sèchement : « Non c’est bon... je saurai trouvé de la glace. C’est gentil.» je n’avais besoin de l’aide de personne. Identique à mon frère jumeau, j’étais devenue en l’espace de quelque minute son véritable reflet. Suspendu au simple désir de me venger. Un bruit de rire s’approcha de l’entré de l’habitation. Mon regard se releva et j'aperçue le dos d’Adam. Encore lui. Mes sourcils se froncèrent avant que je ne parte rapidement dans un recoin de la maison. Il entra en parlant à son ami avant de passer prêt de moi sans s’en rendre compte. Subtilement et sans vraiment contrôler quoi ce soit, mes mains prirent le bras de l’étudiant pour l’entraîner avec moi dans la pièce qui se trouvait juste à côté. Une chambre. Je refermais la porte à clés derrière moi avant de le plaquer contre le mur à côté de la porte. Mes mains se posaient sur son torse pour le retenir et pour ne pas qu’il bouge. Mon regard était noir et je lui fis « Sa t’amuse hein ? » dis-je sur la défensive. J’étais complètement en train de perdre les pédales. « Tu l’as embrassé pour m’énerver ! Tu l’as fait volontairement pour m'emmerder ! » dis-je en décidant de retirer mes mains de sur son torse. Aucun contact Billie !  

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Après les embrouilles de la pool party entre Charlie et Billie, Adam avait grandement besoin de se changer les idées. C'est pour cela qu'il s'était dirigé vers la maison, accompagné d'un ami, pour aller chercher des canettes de bières. Il rit aux éclats aux blagues de son pote, rentrant dans la maison. Quand soudainement, il sent une présence l'attirer vers lui, dans une chambre. On referme derrière lui, et il relève son regard, découvrant Billie. Tiens quelle surprise. Cette dernière la plaque contre le mur, de façon assez violent. Elle lui jette toute sa colère à la figure. Adam l'écoute à moitié, bien trop occupé à regarder la marque rouge sur le front féminin. Il est satisfait de sa victoire. « Sa t’amuse hein ? » Il rit une nouvelle fois « Totalement. Râle pas trop blondie, ça te fait des rides sur ton joli visage. » Provocateur à souhait le croate. Il vient glisser ses doigts sur les traits du visage féminin. Créé ce contact, qu'elle déteste tant, qu'elle repousse tant, mais qu'une partie d'elle aime au fond. Il titille sa faiblesse pour la faire encore plus craquer, pour la rendre encore plus folle (de lui). Il avait bien vu sa réaction extrémiste lorsqu'il avait embrassé Charlie. Il voulait qu'elle ressente la même douleur qu'il avait ressenti quelques minutes plus tôt. Cette amertume, cette colère, ainsi que cette jalousie naissante. Nier le moment intime qu'ils avaient partagé, avait profondément contrarié le jeune femme. Il savait qu'embrasser une autre fille qu'elle, lui procurerait cette même sensation désagréable. Il ne pensait pas que son plan allait si bien marcher. « Tu l’as embrassé pour m’énerver ! Tu l’as fait volontairement pour m'emmerder ! » « Et alors ? » répond-t-il en haussant ses épaules, l'air complètement indifférent aux répliques féminines. Il assumait complètement ses faits et gestes. Pas comme une autre. Il fait un pas pour s'approche de Billie. Ne quitte pas son regard, il peut voir sa colère noire dans ses yeux. « J'assume mes actes, pas comme certaine... » Sous entendue au mensonge qu'elle avait dit à Reagan.

 

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Cette frustration me minait. J’étais incapable de réfléchir convenablement et l’étudiant y était pour beaucoup. Une nuit, une sensation à peine oublier et voilà qu’il faisait de moi sa marionnette. Je n’avais jamais aimé dépendre de quelqu’un et sa n’allait pas changer. Ma relation avec mon frère était bien assez suffisante. Mon regard était froid voir même glaciale. Celui d’Adam était plus lègé, il semblait relativement calme. Trop calme d’ailleurs. « Totalement. Râle pas trop blondie, ça te fait des rides sur ton joli visage.» mes bras se croisèrent contre moi. Fermé à toute discution censé et raisonné. Son sourire provocateur m’insupportait au plus au point et m’excitait. Arrête de sourire Adam ! Il releva son visage et détailla la marque qu’il m’avait fait. Une sacré marque d’ailleurs. Avec douceur, il approcha sa main de mon visage. Ma tête s’éloigna au premier abords mais ma curiosité me poussa à le laisser faire. « Je te jure que si tu appuies ! Je te ferais regretter ce que tu as fais ! » dis-je en le prévenant. Ses doigts glissaient sur mon visage. Ce contact était insupportable. Je ne voulais pas de ces doigts sur mon visage. Il me déstabilisait et il le savait son sourire le traduisait. Instinctivement, ma main chassa la sienne. « Arrête !» dis-je sur la défensive. Je n’arrivais plus à me contenir et mes paroles sortaient sans que je ne puisse les contrôler. « Et alors ?» Ma mâchoire se crispa et je lui répondis : « Alors ? t’aurait pas du ! » non t’aurait pas du comme je n’aurai pas du venir à cette pool party. Rien ne serait arrivé et je ne serais pas là t’exploser au visage. Son indignation m’énervait. Il ne répondait pas comme je le voulais et ma frustration ne faisait que de s'accroître. Il s’approcha d’un pas réduisant l’écart qu’il y avait entre nous. « J’assume mes actes, pas comme certaine...» mes sourcils se froncèrent et tout naturellement je lui fis : « Il n’y a rien à assumer Adam.» juste cette magnifique partie de jambe en l’air. Juste sa Billie. C’était tellement déjà. Instinctivement alors que ma raison me poussait à reculer. Je me mis à avancer et lui fis méchamment : « T’aurait voulu que je face quoi ? que j’étale cette partie d’éclate qu’on a eu ? tu rêves Adam ! Sa c’est produit une fois et sa se reproduira pas.» dis-je distinctement comme pour le titiller une nouvelle fois. J’avais envie de me venger autant que j’avais envie de l’embrasser. Aussi lentement que possible, je me reculais le laissant avec cette maigre appréciation.  

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Adam prenait un malin plaisir à la faire chier. Il ne l'avait pas seulement toucher mentalement, mais aussi physiquement. Preuve de la marque rouge qui prenait naissance sur son front. « Je te jure que si tu appuies ! Je te ferais regretter ce que tu as fais ! » Fais la sourde oreille, continue son petit jeu d'enfant. Caresse délicatement la peau féminine du bout des doigts, cet énorme sourire moqueur sur les lèvres qui ne le quitte pas. Alors ça te fait quoi Billie de me voir embrasser d'autres filles que toi ? Pense-t-il intérieurement.  « Arrête !» Le repousse, met de la distance entre les deux corps qui ne veulent qu'une chose : se retrouver de nouveau. Mais hors de question pour le croate. Elle l'avait blessé, elle avait menti, elle allait payer. Adam savait parfaitement comment s'y prendre pour la rendre encore plus folle. Elle était chaude comme la braise, cela n'allait pas être très difficile. A présent, parlons peu, parlons bien. Parlons du joli petit mensonge qu'elle avait servi à Reagan. « Alors ? t’aurait pas du ! » Il rit à pleine gorge. Elle était tellement adorable lorsqu'elle était jalouse « Comme tu n'aurais pas dû mentir. » Simple revanche, ils étaient quitte à présent. Partie parfaitement égale. Ou presque. La jeune femme aurait dû réfléchir avant de parler pour eux deux. C'était ça le problème, le voilà. « T’aurait voulu que je face quoi ? que j’étale cette partie d’éclate qu’on a eu ? tu rêves Adam ! Sa c’est produit une fois et sa se reproduira pas.» Elle ne comprenait rien. Définitivement rien. Il lève les yeux au ciel, exaspéré.  « Non bien sûr que non. » Lui aussi ne voulait pas que ses exploits sexuels soient crier sur tous les toits. Il tenait un minimum à sa réputation, de plus, il ne voulait pas blesser certaines personnes de son entourage. Comme Charlie ou bien Maxine. Et encore, moins que Victoria, le sache, ou elle allait lui faire la misère.  « Je n'aurai pas voulu que tu décides à notre place. Pour qui tu te prends de parler pour nous deux ? » Il était là le problème. Adam devient soudainement plus sérieux, laisse sa colère de côté un instant pour exposer le problème, avant de reprendre son être moqueur.  « Et arrête tes bêtises, je n'y crois pas une seconde. » marque une pause, caresse le coin des lèvres féminines de son pouce « Tu baves déjà, ça se voit que tu ne peux pas me résister. » Provoque-t-il une nouvelle fois.

  

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J’instaurai de nouveau cette distance qui était plus que nécessaire entre lui et moi. Ces mains avaient effleuré mon visage, il s’était attardé doucement et sensuellement sur mes joues. Cette douceur me déstabilisait et pour tout vous avouez j’aurais préféré qu’il me crie dessus. Ma gorge s’était nouée pour me donner un peu plus de courage et surtout pour m’obliger à ne pas flancher. Adam avait joué, il m’avait répondu de la plus terrible des manières et avait fait resurgir ce qui avait de plus mauvais en moi. Ma jalousie et ma mauvaise fois. Mon regard le détaillait. J'analysais les traits de son visage et sa posture. Il était relativement calme. Tellement calme que j’avais envie de le secouer. « Comme tu n’aurais pas dû mentir.» mentir pour camoufler mes envies. Voilà ce que j’avais fait. J’avais noyer ce désir profond par des illusions. Je ne lui répondis pas avant de finalement lui lâcher une nouvelle fois quelques beau mensonge. Ces yeux se levèrent au plafond et il finit par dire : « Non bien sûr que non.» mon regard étaient toujours aussi dur. J’attendais la suite. Explique moi Adam ! Va y je t’écoute ! Exposer mes exploits sexuelles ne me ressemblaient pas. Personne n’avait besoin de savoir avec qui je couchais et surtout pas mes proches. J’aimais entretenir ce mystère. « Je n’aurai pas voulu que tu décides à notre place. Pour qui tu te prends de parler pour nous deux ?» mes sourcils se froncèrent instantanément. Parler pour nous deux ? Depuis quand m’étais-je permise de parler pour lui ? Mes souvenirs ce brouillaient et la colère n’arrangeait rien du tout. Son visage s’était durcit et voilà qu’il reprenait cet air moqueur. Je restais silencieuse, prenant le temps d’écouter chacune de ces paroles. « Et arrête tes bêtises, je n’y crois pas une seconde.» Il s’était de nouveau rapprocher de moi pour poser sa main sur ma joue. Son pouce stagna sur le recoins de mes lèvres. Les battements de mon cœur s’étaient accélérer. « Tu baves déjà, ça se voit que tu ne peux pas me résister.» la confiance de l’étudiant me montait à la tête. Il me provoquait et il allait être servit. Mes yeux se plissèrent et mon regard s’était détendu malgré moi. Je m’approchais de lui dangereusement. Tu veux jouer à sa Adam ! Jouons à nouveau ! Mon corps se colla au sien tandis que mon visage s’approcha du sien. Subtilement mes lèvres effleuraient les siennes tandis que mon souffle se mêlait au sien. « Premièrement ! je n’ai pas décidé pour toi Adam... j’ai juste décidé d’ignorer la partie de baise qu’on a eu dans ce placard. Deuxièmement, ne pense pas une seule seconde que je ne serais pas capable de te résister et je ne bave pas Adam ! » alors que mes lèvres étaient qu’à quelque centimètre/millimètre de la sienne. Je posais mes mains délicate sur son torse avant de le pousser violemment contre le mur afin de reprendre cette distance. « Regarde toi Adam ! Toi non plus tu ne résistes pas.» Mon regard le détaillait une nouvelle fois et je lui fis : « Pourquoi tu l’as embrassé devant moi !» dis-je méchamment.

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Il aimait la provoquer, toujours et encore plus. Il voulait connaître les limites de la jeune femme. Il voulait voir à quel point, elle pouvait lui tenir tête, lui résister. Même s’ils savaient tous les deux, l’attirance qui se tramait entre eux. Ce petit jeu, de-qui-sera-le-plus-fort, avait le don d’exciter le jeune homme. C’était mal de jouer avec la faiblesse féminine, pourtant il s’y donnait un malin plaisir. Son sourire mesquin restait fixé à ses lèvres. Il vient effleurer ses lèvres du bout des doigts, qu’il aimait la provoquer, cela devenait une vilaine addiction. Avec une grande surprise, Billie s’approchait à son tour. Alors White, on rentrait dans le game ? Elle vient coller son corps au sien. Mieux encore, ses lèvres chatouillent les masculines. Son poing se serre, il contient cette envie de sauter sur ses lèvres. Il faut qu’il se montre plus fort qu’elle. Alors son regard se concentre sur les pupilles bleutées et non ses lèvres pulpeuses. Tu ne m’auras pas White. « Premièrement ! je n’ai pas décidé pour toi Adam... j’ai juste décidé d’ignorer la partie de baise qu’on a eu dans ce placard. Deuxièmement, ne pense pas une seule seconde que je ne serais pas capable de te résister et je ne bave pas Adam ! » Et voilà qu’elle le pousse brusquement contre le mur. Un nouveau rire franchir ses lèvres. Il la laisse attaquer, la laisse espérer un instant qu’elle a le dessus sur lui. Mais non, c’était Adam le dominant, et il allait le montrer. « Regarde toi Adam ! Toi non plus tu ne résistes pas.» L’intrépide s’excite encore toute seule, ce qui a le don d’agrandir son sourire sur ses lèvres. En bon garçon -ou pas-, Adam laisse la demoiselle finir son discours « Pourquoi tu l’as embrassé devant moi !» Cette fois-ci, le croate décide de répondre en contre attaquant. Par surprise, il se saisit des hanches féminines, et vient la plaquer à son tour contre le mur. Il colle son bassin à celui de la blonde. Avec sa force, il s’assure qu’elle ne s’échappera pas, tant qu’il n’aurait pas décidé de la libérer. Il plante son regard azur dans les pupilles féminines. « Ignorer cette partie de baise ? On n’avait pas l’impression l’autre soir quand tu criais mon nom, et me supplier du regard de recommencer. » Une de ses mains remonte vers ses seins, tandis que l’autre reste fermement sur les hanches féminines. Jamais, il ne lui avouera de vive voix, que lui non plus, il n’arrivait pas à lui résister. C’est pour cela qu’il préférait garder le dessus, en torturant le corps de Billie. « Pourquoi je l’ai embrassé ? » tu ne l’as toujours pas compris ? « Parce que c’est adorable de te voir jalouse. » Taquine-t-il. Adam, un manipulateur ? Oh oui.

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Cette relation était aussi passionnelle que destructrice. Mon regard s’attarda sur son sourire moqueur. En réalité, il détaillait avec insistance les bordures de ces lèvres. Mes émotions se bousculaient à une vitesse folle, j’avais envie de l’embrasser et de le gifler. Son arrogance m’insupportait et m’excitait. Ma gorge se noua lorsqu’il se saisit de mes hanches pour me plaquer contre le mur. Il s’approcha de moi n’hésitant pas à presser son corps contre le mien. Il voulait me voir faible et ce n’était clairement pas dans mes projets. Ma respiration se coupa discrètement. Bien sûr qu’il me faisait de l’effet. Mon corps l’appréciait et je n’y pouvais rien du tout. « Ignorer cette partie de baise ? On n’avait pas l’impression l’autre soir quand tu criais mon nom, et me supplier du regard de recommencer.» mes yeux se plissèrent. Ces paroles martelaient mon esprit et m’obligeait à repenser à ce moment. Cette soirée dans ce placard avait été hors du temps. Elle avait sonner le début de cette relation aussi bizarre soit-elle. Continue Adam et ma jolie main n’allait pas tarder à s'écraser sur ton jolie visage d’ange. La main masculine d’Adam remonta lourdement sur mon corps. Prenant soin de toucher mon corps pour s’arrêter sur mon sein. Il me torturait et prenait du plaisir en plus de sa. Son corps se colla un peu plus contre le mien tandis que j’essayais de contrôler un minimum ma respiration. « Pourquoi je l’ai embrassé ?» c’était effectivement la réponse. Mon regard soutenait le sien. Et sa réponse m’intéressait. Pourquoi l’avait-il fait ? devant moi et avec ce même air provocateur qu’il avait là tout de suite sur le visage. « Parce que c’est adorable de te voir jalouse.» mes yeux se froncèrent. Je n’étais pas jalouse du moins s’était l’idée idiote que je voulais me mettre dans la tête. Son corps contre le mien devenait pratiquement ingérable. Mes mains lutaient pour ne pas rejoindre son corps. Mon regard se porta sur le côté tandis que son visage s’approchait. Son souffle effleura la peau de mon cou. Et mon silence n’allait pas tarder à être couper. « Adam... pousse toi !» mes mots étaient simples et pourtant la pression qu’il exerçait sur moi était encore plus forte. Il voulait me voir perdre. « Arrête de te bercer dans ces douces illusions. J’ai crier ton nom une fois ! Sa ne veut pas dire qu’il y en aura des prochaines !» dis-je sèchement. Mes mains se placèrent sur ces épaules pour le pousser mais il ne semblait pas vouloir partir. « Casse toi ! et n'imagine pas une seule seconde que j'étais jalouse dans la piscine ! » Son visage s’éloigna du mien comme pour mieux me regarder. Il garda cette même pression avant que ma main ne vienne se plaquer fortement contre sa joue. Je venais de le gifler. Aussi surprenant que cela puisse paraître j’étais tout aussi surprise que lui. Il se recula m'offrant la possibilité de m'échapper « je t’ai dis de te pousser Adam !» dis-je méchamment avant de m’avancer vers la porte de la chambre.

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Le croate ne lâchera pas la rebelle tant qu'ELLE n'aura pas avouer sa jalousie. Cependant, Billie est têtue comme une mule. Au lieu d'approuver cette évidence qui crève les yeux, elle se débat et veut se défaire des griffes d'Adam. Pas encore ma jolie. Prend ton mal en patience, pense-t-il intérieurement. Il faisait exactement l'inverse ce de qu'elle lui demandait. « Adam... pousse toi !» Il se rapproche, se colle un peu plus. Son souffle chaud effleure le visage de la jolie blonde. Quel dommage qu'elle soit si crisp2E par la colère. Cela la rendait moins jolie. Cependant, il garde cette réflexion au fond de lui, sinon elle allait encore plus s'énerver. Pourtant, ces mots lui brûlaient les lèvres. Il adorait pousser à bout Billie, cela était devenu son jeu favori. « Casse toi ! et n'imagine pas une seule seconde que j'étais jalouse dans la piscine ! » Elle pose ses mains sur ses épaules pour le repousser, mais le croate ne BOUGE toujours pas. Il a toujours ce grand sourire fixé sur les lèvres. Ce sourire qui voulait en dire long sur ses intentions. Il voulait faire perdre Billie, il voulait la voir faiblir devant ses yeux. Il voulait sentir la victoire envahi tout son corps. « je t’ai dis de te pousser Adam !» Cette fois-ci, elle attaque et sa main vient s'abattre sur sa joue. Étrangement, Adam n'est pas surpris. Pour être honnête, il l'attendait cette gifle. Il l'avait poussé à bout, cela était juste un simple retour des choses. Il est même plutôt satisfait qu'elle le tape, car elle l'aide dans la suite de ses attaques. Puis une femme en colère, c'était incroyablement sexy à voir. Mon dieu, que tu es attirante Billie. Adam doit contenir ses pensées pas très catholiques qui s'agitent dans son esprit. Alors qu'il rêve d'une chose, les mettre en oeuvre. Soudainement, la blonde tente de s'enfuir. Aussitôt, Adam attrape fermement la main féminine pour la tirer vers lui. Il croise son regard, et lui lance à la figure. « T'as cru que t'allais partir comme ça ? » Partir comme une voleuse qui n'assumait pas les conséquences de ses actes. Pas seulement la coucherie avec Adam, mais aussi la gifle qu'elle venait de lui coller en pleine figure. A son tour, sans prévenir, il la pousse sur le lit qui se trouvait dans la chambre. Il ne lui laisse le temps de répondre, qu'il monte sur elle, emprisonnant ses mains dans ses poignées. A présent, Billie ne pouvait plus bouger du tout. Son visage s'approche de celui de Billie. Son regard se fait dure, alors que ses lèvres meurt d'envie d'embrasser celles de la jeune femme. Non, il ne faiblira pas. « T'as fini ta crise de jalousie ? » Provoque-t-il. Toujours plus fort. Toujours plus loin (maintenant j'ai le slogan de Fort Boyard dans ma tête MDR). Ses mains se serrent autour des poignées de Billie. Il voulait qu'elle ressente la colère mais aussi la tension sexuelle qu'il ressentait à son égard. Il ne croyait pas un mot de ce qu'elle lui disait. Bien évidement, qu'il y aura une autre fois entre eux. Une autre fois, quand les deux imbéciles auront décidé de faire la paix. « Excuse-toi. » Lâche-t-il un peu trop méchamment d'une voix sèche. Elle avait cru quoi, qu'elle allait le gifler comme ça ? Non cela n'allait pas de passer comme ça. C'est Adam qui décidait des règles du jeu. Ce jeu qui commençait sérieusement à dépasser les limites du raisonnable. Mais c'était plus fort que lui, la tension qui régnait entre eux, était bien trop intense. Elle rendait fou Adam, qui même en colère contre Billie, trouvait toujours un moyen de se rapprocher du corps féminin. Même quand il la détestait de tout son être, il avait envie de lui faire l'amour.




 

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Mon regard soutenait une dernière fois le sien avant de me diriger vers la porte de la chambre. Rien n’allait plus et il était sans doute plus judicieux pour moi de quitter cette pièce.Adam avait reçu la leçon qu’il m’héritait. Une main s'agrippa fermement à la mienne attirant toute mon attention. Qu’est-ce qu’il foutait encore ? Sa force était telle qu’il m’attira contre lui. Mes mains se posèrent machinalement sur le haut de son torse comme pour retenir cette pulsion soudaine. Oui je l’avais frapper. Oui il m’énervait mais bordel que j’avais envie de l’embrasser. Ces émotions se bousculaient dans ma tête. Son regard était dûr et ces sourcils froncés le trahissaient. Il n’avait pas aimé et j’étais ravie de pouvoir le constater. « T’as cru que t’allais partir comme ça ? » Ma réponse était déjà toute prête et n’attendait qu’à sortir. Mon visage s’approcha et ma mâchoire se crispa. Sans que je n’ai le temps de prononcer ces paroles, il me poussa violemment en arrière pour me faire tomber sur le lit. Il s’allongea sur moi et m'immobilisa les mains en haut de mon visage. L’enfoiré. J’étais complètement prisonnière de son emprise. Impossible de bouger, il épousait à merveille mon corps. Son regard était menaçant et troublant. Pourtant, je ne le lâchais pas du regard restant immobile et attendant patiemment qu’il faiblisse. « T’as fini ta crise de jalousie ?» il me provoquait et bordel que sa m’énervait. Je n’étais pas jalouse, je n’avais pas à l’être en tout cas. Ses mains resserraient leur emprise. Je ne pouvais plus bouger et je n’essayais même pas. De nouveau j’approchais mon visage du sien et lui fis à quelque centimètre de sa bouche. « Ferme là !» j’étais aussi méchante que vulgaire. Il n’y avait plus aucun filtre et la psychiatre était aujourd’hui à des kilomètres. Son corps était chaud et terriblement lourd. Il écrasait ses muscles contre mon corps. Me provoquant sans retenu. Mon regard se détacha du sien. Hors de question de faiblir. Hors de question de lui donner ce qu’il souhaitait. « Excuse-toi» mon regard se reporta aussitôt sur lui et mes sourcils se froncèrent. « M’excuser ? tu te fiches de moi, j’espère ?» dis-je méchamment. Hors de question de prononcer les moindres excuses. Cette gifle, il l’avait m’hérité et elle n’était qu’un juste retour des choses. Mon corps se tortillait espérant déstabiliser l’étudiant mais rien n’y faisait. Parfaitement calé, il ne me laissait aucun espoir de fuite. Mon regard restait suspendu au sien. Il ne vacillait pas et une lueur me traversa l’esprit. Il me provoquait et n’avait pas arrêter de le faire. Tout naturellement, j’approchais mon visage du sien pour finalement me nicher dans son cou. Mes lèvres ne touchaient pas sa peau mais mon souffle effleurait sa peau. Doucement, je remontais son oreille et je lui fis : « Va te faire foutre Adam.» dis-je en lui mordant le lobe de son oreille. Il me cala une nouvelle fois contre le lit, m’obligeant à appuyer ma tête contre le lit. Mon regard s’attarda sur l’oreille endolori. « Quoi ? Tu as embrassé cette fille devant moi, tu me provoques depuis tout à l’heure et tu crois sincèrement que je vais m’excuse Adam ?» Mon visage se rapprocha une nouvelle fois du sien et je lui fis : « Tu ne les entendras pas !»  

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Une fois de plus, Billie était prisonnière des envies masculines. Adam avait beau être énervé contre la jolie blonde, une autre partie de lui, la désirait secrètement. Désormais, il était sur le corps de la jeune femme, tenant fermement ses poignées au dessus de sa tête. L'intrépide décide à son tour de rentrer dans le jeu. Son visage s'approche, ses lèvres chatouilles les masculines. Elle vient lui souffler en plein visage « Ferme là !» Il sent l'envie grandir en lui. Ses mains se resserrent autour de celles de Billie, comme pour s'empêcher de céder et embrasser la jeune femme. Il voulait la pousser à bout, connaître ses limites encore inavouées. Il voulait lui tenir tête, il voulait ressortir victorieux de cette bataille. Adam lui ordonna de s'excuser, d'une voix assez autoritaire, presque effrayante. Bien évidement, elle refusa de dire de telles choses. « M’excuser ? tu te fiches de moi, j’espère ? » Son sourire s'agrandit sur ses lèvres. « Je suis tout à fait sérieux. » Répond-t-il sur un ton neutre. Il pouvait sentir le corps de Billie se débattre, mais il ne lâchait toujours pas son emprise sur elle. Il voulait encore la torturer pendant de longues minutes. Il aimait se sentir supérieur à elle, avoir la situation en main. C'était lui le dominant après tout. La rebelle décide de contre attaquer. Elle vient se nicher dans le cou d'Adam et il sent sa respiration effleurer son cou. Déjà que le croate avait sacrément chaud en la présence de Billie, là, il était chaud bouillant. « Va te faire foutre Adam.» « Mais c'est qu'elle s'énerve la psy, il est passé où ton calme légendaire ? » Se moque-t-il une nouvelle fois. Cependant, il ne dit pas un mot de plus, lorsqu'il sent Billie mordiller le lobe de l'oreille d'Adam. Un violent frisson prend possession de son corps tout entier. C'était inattendu. Mais, c'était surtout très agréable. Cependant, il ne voulait pas se laisser battre par une simple attaque, qu'il décide de remettre Billie à sa place, l'enfonçant un peu plus dans le matelas. « Quoi ? Tu as embrassé cette fille devant moi, tu me provoques depuis tout à l’heure et tu crois sincèrement que je vais m’excuse Adam ?» Elle s'approche de lui, leurs nez se touchent. Sa force se fait toujours plus insistante. Ils se menaient une vraie lutte acharnée, l'un contre l'autre. Qui sera le plus fort ? On le le sait pas. « Tu ne les entendras pas !» Il pousse un soupir et secoue négativement de la tête. « Billie, je te laisse une dernière chance. » pour t'excuser. Il s'approche de son oreille et lui murmure « Ou je vais être contraint de faire des choses qui vont te déplaire. » conclut-il venant embrasser sensuellement la peau de son cou.