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Denylia •• Le coup de la panne

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Le coup de la panne
— with Denylia

Il n'a tellement pas changé, je le reconnais tellement ... Bien entendu, quelques trucs sont différents, comme sa tenue de mécano, mais elle lui va à ravir. Quelle fille ne rêverai pas d'avoir un mec comme ça face à elle pour la sauver de la panne franchement ? Pour ma part, j'ai vraiment un air coincé dans cette accoutrement. Je décide de laisser mes cheveux retomber sur mes épaules, déjà ça, c'est bien mieux. Lui adressant un sourire, j'ajoute que franchement ce genre de chignon c'est de la torture. Il m'a tiraillé le crane pendant toute la journée et pouvoir enfin le défaire et laisser mes cheveux retomber librement, ça fait juste un bien fou. Sa remarque me fait sourire et j'ajoute en haussant les épaules « Il parait oui. » souffrir pour être belle, c'est un vrai dictons qui dicte la ligne de conduite de notre société actuelle après tout. A l'entente de ses paroles suivantes, grand sourire, il me trouve sexy ahah ! « Merci beaucoup » je ne peux m'empêcher de sourire, genre la fille trop contente d'un petit compliment. Je me fatigue parfois ... Mais remarque, sexy, je pourrais lui retourner ce compliment. Il lui irait carrément bien. Il est sexy dans sa tenue de dépanneur, comme je le disais, quelle fille n'a jamais fantasmer sur un garagiste, c'est un peu un mythe, le grand classique, comme le plombier, le policier, le pompier ou le prof. C'est le genre de truc qui plait à la gente féminine. Profitant de son temps de réparation pour me glisser dans une tenue plus Emilia et moins ... coincée du cul BCBG, là, j'apprécie ma tenue beaucoup plus décontracte et fraiche pour l'été, qui laisse apparente ma peau bronzée. Je finis par suivre les indications de Denys quand il me demande de démarrer mais rien n'y fait, les trois fois, la voiture crache, toussotte et ne démarre pas. Je ressors, je crois que c'est cassé ... Bon ... Denys pense à une surchauffe et grimace en disant que je devrais sûrement changer de moteur, je demande alors en haussant les épaules « Ca serait pas plus simple de la changer carrément ? » Quoi ? Je connais pas moi le prix d'un moteur ... J'en ai absolument aucune idée et pour le coup, je sais très bien que je ne débourserai rien, ça sera soit papy soit papa qui sortira le porte monnaie ... Ils sont tellement obsédés par le fait que j'ai une bonne voiture que je le vois de là où je suis ... Il m'annonce qu'il doit changer l'audi dans la dépanneuse et je le laisse faire, faisant quelques pas en arrière, me contentant de le regarder travailler tout en écrivant à mon père que le moteur de ma beauté de Audi est probablement mort, histoire de le tenir informé. Je suis sûre que arrivé au garage, il aura déjà eu le patron au téléphone pour se présenter et donner ses instructions. Mon père c'est un maniaque du contrôle parfois, ça fait peur je vous le jure ... Denys finit de tracter la voiture et je reprends « Tu m'impressionnes à faire tout ça ! » oui, ça je ne l'aurais pas deviner pendant notre rencontre brève mais intense. Il m'avait montrer un très bon talent, mais pas celui de mécano si vous voyez ce que je veux dire ? Il monte de son côté de la dépanneuse et me tend la main pour m'aider à grimper à mon tour. En short c'est carrément plus pratique. Je me gratifie seule de ma bonne idée de changer de tenue. Attrapant sa main, je me hisse sur le siège passager près de lui « C'est un superbe carrosse ! » oui j'ai pas à me plaindre, il y a des voitures en bien moins bon état, c'est une chose de certaine. Lui adressant un sourire je demande « Tu fais ça depuis longtemps ? » garagiste je veux dire bien sûr. En y réfléchissant bien, ce métier lui va vraiment bien, je le vois bien là dedans.


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  Passé le moment étrange et surprenant de nos retrouvailles, le temps que je m'habitue à son accoutrement, et l'on retrouva très vite notre complicité. Lorsqu'elle défit son chignon, je la reconnus un peu plus déjà avec cette allure plus décontrac', moins coincée. Elle souligna l'air de daronne que lui donnait sa précédente coiffure, l'occasion pour moi de lui souffler que je la trouvais sexy... Ce n'était pas une révélation, si Emi' et moi avions fini dans le même lit quelques années auparavant, lors de notre voyage, c'était bien parce que la jeune femme m'attirait. Et même si son look d'aujourd'hui différait, la demoiselle restait vraiment charmante... D'ailleurs, je tâchais de résister à la tentation d'observer son changement de tenue, tâchant de me concentrer sur la mission que l'on m'avait confié. J'étais là pour réparer sa voiture, ou du moins essayer. Mais malgré mes manip, le démarrage restait impossible, à trois reprises. J'annonçais alors, comme un doc qui annonce une pathologie grave à son patient, que le moteur était probablement mort et à changer. La réponse de la demoiselle m'amusa : "Hum, si tu as 20 000 balles à mettre dans une nouvelle voiture, oui ça sera plus simple." rigolai-je alors, sans savoir que l'aspect financier et l'achat d'une nouvelle audi n'était surement pas un soucis pour la demoiselle. "Changer le moteur, pièce et main d'oeuvre, ça ira chercher dans les 1000 ou 2000 dollars, on verra ça au garage je te ferais un devis." lui expliquai-je histoire qu'elle se prépare à une grosse facture quand même. Ca + le remorquage, la jeune femme allait s'en sortir pour cher. D'ailleurs, je tractai le véhicule sur la remorque de ma dépanneuse.. La demoiselle me confia être impressionnée. "Je fais ça que pour ça tu sais, impressionner les jolies filles !" me marrai-je, pas sérieux pour un sous. La vérité, c'était que je faisais ça pour gagner ma vie en parallèle de mes études. C'était mes frères qui allaient financer mon année, alors je ne voulais pas abuser de leur argent. Donc si je ne voulais pas vivre comme un moine, si je voulais pouvoir sortir un peu et profiter un minima, je devais avoir ce job à côté. Faisant monter la demoiselle dans mon carrosse, elle me questionna sur ma carrière de -mécano-. "J'ai été embauché par piston. Mon frère a bossé là bas, dans ce garage, lorsqu'il était à Harvard. Du coup, quand je suis revenu y'a peu de temps, il a appelé son patron, il avait besoin d'un employé, il m'a fait faire un essai et me voilà.." racontai-je. "Je continuerai à travailler après les cours en septembre à la rentrée." Je démarrai le carrosse, direction le garage, continuant de discuter, profitant du trajet pour en apprendre davantage sur elle. "J'imagine que tu es également étudiante ici ? C'est vraiment un sacré hasard de se retrouver dans la même fac."
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Le coup de la panne
— with Denylia

Des retrouvailles qui tombent très bien finalement, je me sens bien mieux de savoir que Denys est face à moi plutôt qu'un parfait inconnu. On sait jamais sur qui on peut tomber malheureusement dans ce monde de fou. Bien vite notre complicité revient, comme ci elle ne nous avait jamais quitté. Comme ci on venait de se voir hier soir et qu'on se retrouvait tout à fait normalement aujourd'hui. Après quelques banalités, je le laisse à son travail et vais changer de tenus histoire d'avoir quelques choses de plus simple, de plus confortable de plus Emilia et moins princesse. Revenant vers lui, tel un expert, un vrai pro, il essaye de redémarrer ma jolie voiture, mais sans succès. Il m'annonce alors avec l'air grave que je devrais peut être faire changer les moteurs mais après tout c'est pas si grave que ça si ? Je me rends pas vraiment compte. C'est pour ça que je lui demande bêtement si je dois pas plus changer de voiture. C'est vrai, je vais pas m'emmerder avec une bagnole de luxe qui tombe en panne. Enfaite à mes yeux ce n'est qu'un problème mécanique, il y a plus grave dans la vie, j'ai vécu bien plus grave. Si je dois changer de voiture, je changerai de voiture. Mon père insistera probablement pour la payer ou papy carlos, même si je pourrais m'en acheter une moi même, je les laisserai faire parce que je sais que c'est leur manière à eux de me dire qu'ils m'aiment, vous voyez ? C'est un peu bizarre mais par exemple, mon grand père, depuis que je suis revenue ne m'a jamais dis qu'il m'aimait mais il le fait autrement, en me demandant si j'ai bien vérifier ma voiture, mes niveaux et ces conneries, c'est sa manière à lui de s'assurer que je suis en sécurité. Denys est amusé de ma question qui peut paraitre stupide ou insensé. Grand sourire, j'ajoute alors « D'accord, on verra ça au garage, je suis persuadée que mon père a déjà appelé de toute façon... » oui, en précisant bien qui il est, qui je suis, et demandant pleins de détaille, intimant à ce que quelqu'un l'appel après pour avoir toutes les modalités ... C'est mon père quoi ... Un papa poule depuis qu'on s'est retrouvé, c'est chiant, inhabituel pour moi mais je m'y fais doucement. Confiant à mon ami que je suis impressionnée par ce qu'il fait, sa réponse me fait rire, arquant un sourcil j'ajoute « Arrête, sans rire, je suis sûre que ça dois plaire aux demoiselles ! » en tout cas, moi ça me plait, très sexy, virile. J'adore quand Adam me parle de voiture ou qu'il utilise des mots du jargon d'architecte que je comprends pas vraiment, ça lui donne un air sexy et intello. Alors Denys, avec son physique et en tant que mécano, ça plaira à plus d'une jeune femme, franchement, regardez le. Montant dans l'immense engin, je m'espante en voyant la vue qu'on a dans un truc pareil, la vache on est vachement, si je dois changer de bagnole, je vais m'acheter un truc comme ça ! Le questionnant sur sa carrière de garagiste, je l'écoute avec attention « Oh c'est super et ça te plait comme métier ? Enfin, je veux dire, tu te vois continuer là dedans ? » toujours souriante, j'ajoute « Je trouve ça bien d'avoir un boulot d'étudiant. Moi, je suis barmaid à côté des cours, là, je vais être en pause tout le summer camp, mais j'adore être derrière le bar. » oui et ce métier, je le fais juste pour le plaisir, car honnêtement je n'ai absolument pas besoin d'argent. Même sans accepter l'argent de ma famille, j'ai mis assez de côté ces dernières année. Le carrosse démarre et Denys nous conduit vers le garage en continuant la conversation « Oui exacte, je suis étudiante aussi, à Harvard. J'étudie le droit et les relations internationales et toi ? » quand il parle du hasard, je reprends souriante « Mais oui, un joyeux hasard, comme quoi, le monde est petit, je suis vraiment ravie de te voir ! Ca me fait trop plaisir ! » et ça c'est sincère. Bon même si en ce moment j'espère grandement que les employés du garage vont pas être trop bizarre en sachant mon statut, faites que personne fasse de révérence ou ce genre de truc embarrassant ... Et faites que mon père ait pas été trop chiant ...


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  Ca me paraissait assez grave comme panne, du haut de ma faible expérience de mécano je n'en étais pas complètement sûr alors je préférais ne pas trop m'avancer question tarif, même si le portefeuille de mon amie allait surement prendre cher. Je ne pouvais pas me douter, moi, que ce n'était pas vraiment un soucis pour elle l'argent. Je la connaissais comme Emilia, la baroudeuse, ma partenaire de road trip, pas comme la princesse qu'elle était en réalité. Même si sa tenue m'avait fait tiquer. Elle l'avait justifiée en m'expliquant un repas avec son paternel alors... Son père d'ailleurs semble avoir une certaine importance dans sa vie. "Il est du genre protecteur on dirait... Ca va il t'étouffe pas trop ? Il avait rien dit quand tu étais partie faire ton tour du monde ?" Parce qu'en effet, elle me confia que ce dernier avait surement déjà appelé le garage et mon boss, donc si une simple panne de voiture l'inquiétait, il avait du devenir fou quand la jeune femme avait vadrouiller partout autour du globe... "Tu lui diras que je me suis bien occupé de toi hein ? Je suis encore en période d'essai." Autant dire que ce dépannage allait compter pour mon patron pour savoir si il me gardait ou pas pour la rentrée. "J'aimerais bien juste continuer le temps de mes études... C'est sympa, ça me dérange pas de mettre les mains dans le cambouis." Pour ce qui en était de mes projets sur le plus long terme, c'était bien difficile pour moi de me projeter. Je reprenais mes études de psycho et de sport, et j'étais bien incapable de dire si c'était dans ces domaines que je ferais carrière au final. C'était le plan, le but, mais la vie était faite de surprises et je ne pouvais être sûr que mon objectif ne changerait pas entre temps. Electron libre jusqu'au bout. Emilia, elle, était barmaid. Large sourire sur mes lèvres en entendant cette info. "Ca veut dire que je peux venir te voir pour une soirée cocktail ça ?" Ok, on avait dit que je revenais sur le campus pour travailler et étudier sérieusement et assurer mon diplôme non ? Mon envie de faire la fête me poursuivait tout le temps... Finalement c'est d'ailleurs sur les études qu'on en vint à parler. "Waw, ça fait très sérieux tout ça." commentai-je en apprenant dans quel secteur elle étudiait. "Psycho et sport pour ma part. Troisième année en septembre." On arrivait au garage, et à peine la dépanneuse garée sur le parking que mon boss arrivait, me paraissant furax. "NON MAIS DENYS, qu'est-ce que tu fiches ? T'as fait monté la cliente là dedans ?" s'énerva-t-il alors que je descendais de mon véhicule en le regardant me passer un savon sans comprendre alors qu'ensuite il s'adressa à Emilia avec un air désolé. "Non, mais vraiment, désolé mademoiselle, il est nouveau vous comprenez, il ne savait pas. Il aurait du vous appeler un taci... S'il n'a pas été correct avec vous je le renvoie sur le champ." Quoi ? Un taxi ? Mais on faisait jamais ça d'habitude... Je ne rétorquai rien, abasourdi par les reproches de mon patron. J'échangeai un regard d'incompréhension avec mon amie, flippant d'un coup de me faire virer sans en comprendre la raison, ne tiltant toujours pas sur l'importance sociale qu'avait ma cliente du jour.
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Le coup de la panne
— with Denylia

La panne a l'air grave et dans ma tête, je me dis d'avance que si c'est trop grave, je me rachèterai une voiture car personnellement, si j'ai accepté de prendre une marque de luxe j'ai pas envie de passer trois ans au garage pour elle. Ma jolie voiture a beau être magnifique spacieuse, je me vois pas la garder si elle tombe en panne sans cesse. Mais finalement cette panne faisait bien les choses, je venais de retrouver Denys, je me souviens encore de ce Denys aventurier, qui voulait tout faire, de ce Denys remplit d'entrain et d'envie. Je me souviens de ces moments de rire ensemble ! Il était libre, j'étais libre. Je pense qu'il l'est encore libre comme l'air, moi ma situation à un peu changer, comme mon statut sociale et mon compte qui avant souvent dans le rouge, s'était renfloué d'un coup et en prise j'ai eu un père protecteur, inquiet pour le moindre truc. Je ne suis pas habitué à ça, vraiment ... Ca fait bizarre, surtout au début de voir qu'il m'appelle presque tous les jours qu'il me pose toujours un tas de question en mode t'étais où ? avec qui ? tu faisais quoi ? Tes rendez vous médicaux sont quand ? Tu veux que j'essaye de venir ? c'est sûr qu'à côté de ma mère ... Lui, c'est un vrai père bienveillant alors au final, même si c'est barbant parfois, surtout dans des moments comme ça où je sais pertinament qu'il aura probablement mis un coup de pression sur le patron du garage en mode j'espère qu'elle va bien, je vous colle un procès si elle a la moindre égratignure ! je veux les détailles, tous et dites lui de m'appeler quand elle est arrivée et ça, ça va m'énerver ... Je souris à Denys et à ses paroles « Protecteur ? Ouais énormément ... J'ai jamais été habitué à ça alors ça fait vraiment bizarre au début, les appels tous ça ... Mais au final, on s'y habitue, je sais que c'est sa façon à lui de me montrer qu'il m'aime ... Il est maladroit, mais il est pas méchant ... » enfin ... Sauf avec ceux qui me font du mal ... Mais avec moi, il a toujours été calme, sauf quand il m'a retrouvé, dans cet hôpital, j'avais fais une overdose, là il était tout sauf calme... « Je ne le voyais pas quand je suis partie, il était pas au courant ... Enfaite, quand j'étais petite, ma mère a fait mon sac une nuit et on est partie elle et moi. Elle était en pleine crise, elle supportait plus rien et elle m'a emmené avec elle. Mon père je ne le revoie que depuis .. 2 ans je pense je l'ai retrouvé en Espagne, peut de temps après qu'on se soit quitté. » et le retrouvé, je crois que c'est ça qui m'a permis de me reconstruire d'aller mieux, d'aller vraiment bien. Quand il est revenu dans ma vie, je me suis sentie aimé et complète à nouveau. Parce que lui, il se souciait de moi, contrairement à ma mère que je ne vois plus maintenant, comme ci le destin avait décidé que je ne pourrais voir qu'un seul de mes parents à la fois ... Je souris à Denys suite à ses paroles avant de dire « Bien sûr, surtout que c'est la vérité, tu as été super, vraiment. » oui, beaucoup mieux que certains rustre. « Je comprends, ça a l'air de te plaire. » et le principal c'est qu'un boulot nous plaise non ? Moi j'adore mon boulot au Drink et je compte le continuer un moment, même si ça fait pas vraiment princesse. Je suis un électron libre, je suis sans règle, sans réelle loi, j'aime ce métier, je le fais, personne ne me fera le quitter. « Mais oui avec plaisir, je te montrerai comme je suis douée pour les cocktails ! » oui, sans vouloir craner, je suis douée pour moi c'est d'instinct. Et finalement quand je regarde des boulots que j'ai enchainé, c'est lui qui me plait le plus. J'ai été serveuse dans des restaurants, j'ai même bossé dans une chaine de restaurant rapide ou dans une grande surface quand je vivais encore à Orlando, et le bar c'est bien plus mon domaine. Le côté fête je pense. Lui donnant mes études, il me donne les siennes et je reprends alors « Ca doit être intéressant la psycho. J'aurais bien aimé suivre quelques cours pour voir ! » oui je suis du genre à vouloir tout faire, tout voir. Arrivé enfin au garage, Denys sort du camion, moi aussi et voila que son patron arrive en furie ... Ca c'est l'effet Papa de Bourbon ... L'incendiant sur place, je lui adresse un regard compatissant alors qu'il vient ensuite me voir pour me demander si il m'avait bien traité. « Ne vous en faites pas Monsieur, tout à été parfait, il a été parfait. Et ce tour en camion était très amusant, j'en avais jamais fait. » souriante, je me tourne vers Denys et reprends « Merci de m'avoir fait monter et pour ton efficacité. » Oui autant le remercier et le faire bien devant son patron pour qu'il se calme, c'est pas mal non ? Sourire à son patron je reprends « Je suppose que vous avez eu mon père et qu'il vous a dit de me dire de le rappeler. » je connais mon père depuis le temps, faut pas croire ... « Je vais aller dehors téléphoner, vous m'excusez 5 minutes? » sortant dehors, je sors mon téléphone, le collant à mon oreille pour parler à mon tiran de paternel, histoire de le calmer un peu. Espérant que le patron de Denys va se calmer un peu.


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 En voyant qu’Emi ne paniquait pas, ne redoutait pas le prix et les dépenses pour son véhicule, je me disais juste qu’elle n’était pas matérialiste, qu’elle ferait sans voiture ou s’en rachèterait une pas chère… J’étais loin de me douter du titre de mon amie encore… J’allais bientôt le découvrir surement. Son père m’avait l’air protecteur, aux vues de ce qu’elle m’avait confié à son sujet. Elle me le confirma, ajoutant l’étrangeté et la nouveauté de tout cela pour elle. Elle me confia alors son histoire familiale compliquée, le départ de sa maman lorsqu’elle était toute petite et les retrouvailles récentes avec son paternel, peu de temps après notre rencontre en fait. « Ca doit être étrange en effet. J’imagine qu’il te couve aussi parce qu’il veut rattraper le temps perdu… » Enfin, j’allais avoir doublement peur en fait : parce que son père allait me tomber dessus si y’avait un quack avec la voiture de sa fille ET mon boss pouvait ne pas prolonger ma période d’essai. Mais mon amie me rassura : elle m’avait trouvé super, c’était ce qu’elle dirait au patron. « Tu travailles dans quel bar ? Que je vienne te voir… » J’étais sûr qu’elle était très douée avec les shakers. Et puis, peut être que j’aurais des conso’ gratuites ? Ca fait quelques semaines que je suis de retour ici et déjà je commençais à penser aux soirées… On parlait de nos études également, la psycho, un domaine qui aurait intéressé Emilia également. « Je pourrais te donner des petits cours particuliers quand je m’y serais sérieusement remis… » Parce que là, à part des cours de mécaniques et des autres petits jobs que j’avais effectué, je ne saurais pas lui apprendre grand chose d’autre. Je lui souris et m’engageai sur le parking, garant ma dépanneuse. A peine le temps de descendre du camion que mon boss était là, furieux, s’égosillant. Ouf, Emi’, comme promis, vanta mes mérites. Je lui servis un regard reconnaissant alors que mon employeur descendait d’un ton, retrouvant un peu son calme. « Ha… Donc, euh… Bien… Très bien… » C’était peut être le moment de demander une augmentation ? Je ne comprenais pas pourquoi il fallait dérouler le tapis rouge à Emilia, c’était limite si mon patron n’allait pas lui proposer du champagne pour patienter… La demoiselle préféra s’éloigner un instant pour appeler son père, après que le gérant lui ait en effet expliqué que c’était ce que son père avait expressément demandé. Je me tournais donc vers lui pour lui décrire la panne et mon diagnostique. Il m’aida à faire descendre la voiture de la dépanneuse et on la poussa jusqu’à l’atelier. On se mit donc à la tâche en attendant que mon amie revienne vers nous…
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Le coup de la panne
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J'ai vécu dans le besoin. Ma mère avait un petit salaire, on avait un appartement avec une seule chambre, je dormais sur le canapé la nuit, je mangeais des pâtes tous les soirs, ou rien, ça dépendait ... La salaire de ma mère ne couvrait pas nos dépenses alors on faisait comme on pouvait vous voyez ? On avait rien mais pourtant, ça m'allait, je me souvenais pas vraiment du palais de bourbon, des vêtements hautes coutures, de ces mets exquis que le chef me préparait. J'ai connu la misère. Et le malheur a cause de ma mère, mais maintenant les choses ont bien changé, j'ai quitté Orlando et ses mauvais souvenirs d'une mère folle et d'un beau père alcoolique aux tendances violentes, je suis partie avant ma maladie même. J'ai mis de l'argent de côté en cachette, assez pour vivre et quand j'ai eu les économies et mon bac et mon acceptation à une fac publique près de Boston, j'ai pris le bus et je suis partie. Je ne suis jamais retournée chez moi et c'est la meilleure chose que j'ai fais. Maintenant je vis hors du besoin. Je peux m'acheter des belles voitures. Ca me ne me change pas pour autant. Je suis toujours la même. Mais l'argent n'est juste plus un facteur à prendre en compte. Mon petit boulot au bar, c'est même pas pour payer un loyer ou quoi, c'est juste pour moi. Pour mon bien être personnel, moi j'ai besoin de travailler. Par contre, mon père a prit une grande place dans ma vie et après avoir eu du mal, je l'accepte enfin. Parce que c'est mon père et que je l'aime. Que je veux qu'il soit dans ma vie. L'analyse de Denys est exactement celle que j'ai, mon père ne peut pas rattraper le temps qui nous a été volé, il ne peut que vivre dans le présent. Il sait ce qu'elle a fait, on en a parlé un peu et je sais qu'il s'en veut de ne pas avoir été là. D'avoir arrêté d'espérer. Je sais que ça le bouffe et que tout ça, son côté protecteur c'est sa manière à lui de me montrer que je ne suis plus seule. « Oh oui, il adorait ... Malheureusement le temps perdu l'est à jamais. On ne peut que vivre dans le présent. Alors il fait juste avec et on profite des moments ensemble. » c'est ce qu'il faut. Car le temps s'envole tellement vite, en un claquement de doigts, on peut se retrouver entre 4 planches de bois, mort. Le temps file et je le passe à faire ce que j'aime, je travaille, je suis heureuse. En parlant de travail, Denys me demande où je travaille, alors je lui annonce « Je travaille au Drink, dans le sud de Boston, tu vois où c'est ? Il faudra absolument que tu viennes goûter mes cocktails ! » et me voir faire le show derrière le bar. Comme lui avait eu de l'aisance à remorquer ma voiture, moi j'ai de l'aisance derrière un bar. Avec les shaker et toutes ces conneries. J'adore aussi mes études. Moi je rêve de travailler sur des lois pour la famille, d'aider le droit à évoluer sur la garde des pères. Pour que plus jamais un enfant ne vive ce que j'ai vécu. Mais je suis une vraie curieuse, je veux apprendre de tout. Dans ce monde tout est passionnant. De l'art aux maths. D'ailleurs, la matière principale de Denys m'intéresserai tout autant, j'aurais peut être choisi cette matière si je n'avais des plans de carrière dans le droit. « Oh avec plaisir j'adorerai ! » sa proposition de cours m'enchante, surtout que ça veut dire qu'on se reverra. Puis, le moment Awkward commence quand il se gare et que son patron arrive en lui hurlant dessus. Je lui affirme que Denys a fait un très bon travaille, souriante, aimable avant de m’absenter pour téléphoner à mon père deux minutes. Ils en profitent pour installer ma voiture dans l'atelier et je les rejoins tout sourire « Mon père vous rappellera plus tard pour les modalités de paiement pour le remorquage et autre. » un sourire avant de les regarder faire un instant et de demander « Est ce que je pourrais avoir un verre d'eau s'il vous plait ? » Oui avec tout ça, je suis déshydraté et en besoin de boire quelque chose. Tout mon sourire accompagnant mes paroles, je balaye du regard l'atelier en silence, fasciné par ce qu'ils font enfaite, je trouve ça remarquable.


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 J'étais loin de me douter du portefeuille d'Emilia. Oh, sa tenue, sa réponse au sujet de son père quand j'avais qualifié ce dernier de prince, tout cela aurait pu me servir d'indice pour comprendre, mais la demoiselle était tellement accessible, tellement souriante, aussi adorable que dans mes souvenirs, une jeune femme tout en simplicité et en modestie, que je n'avais pas idée des changements qui s'étaient opérés dans sa vie depuis notre précédente rencontre. J'en appris un peu plus sur son paternel très protecteur, revenu que récemment dans sa vie et qui surement tentait vainement de rattraper le temps perdu ainsi. Je souris en entendant la demoiselle m'avouer passer du temps avec lui. Ca me fit penser à ma propre famille, explosée et déchirée, à la rancœur de mes frères à l'égard de mes parents et moi au milieu de tout ce cirque qui tentait tant bien que mal de faire tampon. "Les histoires de famille, c'est jamais simple..." soufflai-je simplement avant de parler de nos tafs respectifs. Mon interlocutrice était barmaid au Drink. "Je note l'adresse alors... Faudra que tu me chouchoutes si je viens." Je voulais être son client préféré. Denys, rappelle toi que ton come back ici n'a pas pour but d'écumer les bars de la ville. Parce que j'étais revenu avec des résolutions très studieuses, voulant rendre mes aînés fiers de moi. Mais j'étais vraiment en proie aux doutes quant à mes capacités à les tenir, ces bonnes résolutions. Psycho et sport. Je reprenais le cursus abandonné trois ans auparavant, prêt à me remettre le nez dans les bouquins. Je me proposais de jouer les profs particuliers puisque ma majeure l'intéressait et elle accepta. "En échange, tu seras mon avocate si j'avais j'ai des ennuis un jour..." plaisantai-je avant de demander, parce qu'en fait droit = avocat dans ma tête mais ce n'était pas forcément son projet de carrière : "Enfin, c'est peut être pas à ce métier que tu te prédestines ?"
Quand on arriva au garage, gros malaise avec le savon de mon patron. Heureusement Emi' le rassura, parce qu'une reproche de la demoiselle et j'avais l'impression que mon boss n'aurait pas hésité à me mettre à la porte. C'était vraiment très étrange son attitude. On était en train de trifouiller sous le capot quand la jeune femme revint vers nous après un coup de fil à son père. Je tournais la tête vers elle, quittant un instant le moteur défectueux des yeux et je n'eus pas le temps de répondre que déjà mon patron c'était approché d'elle. "Vous voulez peut être aller patienter dans mon bureau pour être plus confortablement installée mademoiselle ? Et bien sûr, un verre on vous amène ça, on a des jus de fruit frais aussi, enfin si vous voulez autre chose Denys va aller vous chercher ça, pas vrai Denys ?" J'étais de plus en plus interloqué par le comportement aux petits soins de mon employeur, il léchait vraiment les bottes de mon amie là. Il avait eu le coup de foudre ou quoi ? "Sinon, je peux aussi te raccompagner chez toi si tu veux, parce que le changement de moteur risque de durer un moment, ça te fera faire un autre tour de dépanneuse." Et là je vis aussitôt le regard réprobateur de mon boss se poser sur moi et il me sermonna : "C'est pas une façon de traiter une princesse Denys !" Et je restais muet quelques secondes, scotché avant de répéter un peu bêtement : "Une princesse ?"
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