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Denylia •• Le coup de la panne

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Le coup de la panne
— with Denylia

Ce matin, mon réveille sonne et je me lève sous les coups de 7 heure au matin, je suis motivée, je suis persuadée que ça va être une bonne journée et ça a tout pour en être une : hier mon paternel m'a appelé il est dans une ville avoisinante de Boston pour la journée avec mes petites soeurs et ma belle mère, il m'a donc invité à les rejoindre. Je me prépare en deux deux, je suis pressée j'ai pas le temps. Enfilant une tenue convenable histoire de ne pas me faire emmerder par belle maman, je choisi une robe en tube bleue, assez longue me fait un chignon, escarpins aux pieds et c'est partie pour une journée familiale. La journée se déroule bien sans accro, même ma belle mère n'est pas chiante et c'est pour dire parce que niveau chiantitude elle a du level. Sur le moment de repartir, j'embrasse tout le monde, surtout mes deux amours de petites soeurs, elles ont grandit l'une comme l'autre, ça les changent tellement, avant je les voyais grandir maintenant je suis loin malheureusement et je vois bien moins de chose ... Remontant en voiture je prends la route dans le sens inverse. En plein entrains de chanter Enrique Iglesias, DUELE EL CORAZON, en pleins refrain, je suis à fond mais un bruit me fait m'arrêter de chanter, c'est quoi ça encore ? Bon, le bruit s'est arrêté, je reprends à chanter mon solo « Bailamos hasta la diez ! Hasta que duelan los pi... » mes yeux s'écarquillent je tire une tête choquée. OH. MY. GOD ! Mon moteur est entrain de fumer ! Au feuuuuuu ! Je me gare en urgence , feux de détresses et tout le barda, c'est pas vrai ! On est à 10 minutes de la CH quoi ! 10 minutes ! Ca fait chier ! Ouvrant le capot, la fumée qui sort de là me fait tousser. Je comprends de suite que je vais pas pouvoir repartir. Un soupire s'échappe de mes lèvres, super, je n'ai plus qu'à appeler une dépanneuse. Retournant dans ma voiture, je peste : ça sert à quoi de se payer une bagnole de luxe si elle tombe en panne putain ? J'attrape mon sac à main pour tenter de joindre un garage du coin, en espérant que quelqu'un va pouvoir venir me sauver.. Ou bien qu'une bonne âme va s'arrêter pour m'aider, parce que là, c'est la loose totale.


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 Emrys, en bon ange gardien, m'avait obtenu ce job de mécano au garage où lui même avait travaillé à l'époque de ses études. Le boss, qui était le même qu'au temps de mon aîné, n'arrêtait d'ailleurs pas de me comparer à Em', soulignant notre ressemblance et certains de nos traits de caractère similaire. J'étais en train de finir la vidange d'un client, les mains pleines d'huile et le T shirt noirci par endroit par mon labeur, lorsque le téléphone sonna. Mon patron se chargea de répondre et après quelques minutes de communication, il sortir de son bureau en m'annonçant que j'allais pouvoir faire mon premier dépannage. Il m'envoya alors les clés de la dépanneuse, m'expliquant que si je pouvais faire redémarrer l'automobile en panne sur place je le faisais mais que si les dégâts étaient trop importants, j'allais devoir ramener la voiture malade avec la dépanneuse. Il me montra rapidement le fonctionnement de la partie remorquage, me donna l'adresse où je devais me rendre et en route. En quelques minutes je fus sur place, ralentissant en m'approchant de cette belle voiture. Une silhouette féminine se tenait près de cette dernière, et dans un premier temps, de loin, je ne reconnus pas mon amie de voyage, celle qui avait même été plus qu'une amie le temps d'une nuit... Je ralentis, me garai, et ce n'est qu'en descendant de la dépanneuse que je la reconnus. "Emilia ?" Robe, chignon, talons hauts, sac à main... OMG, ce look la changeait complètement. Exit le short, sac à dos et chaussures de randonnée qu'elle avait lorsque l'on s'était rencontré en plein voyage. "Emilia c'est toi ?" répétai-je incrédule, la reconnaissant à peine dans cet accoutrement, m'approchant pour la détailler de haut en bas. J'étais scotché. Moi qui débarquais en tenue de boulot, sentant l'huile et les gaz d'échappement, je ne devais surement pas lui faire le même effet.

HJ : d'ailleurs on a pas dit c'était dans quel pays qu'ils se sont rencontrés, je te laisse décider ^^
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Au lieu de chanter comme une imbécile, j'aurais mieux fait de faire attention, bordel. Ca sert à quoi d'avoir une bagnole de luxe si c'est pour qu'elle tombe en panne ? Me voila avec un moteur fumant, en tenue chic parce que ma belle mère est une chieuse niveau vestimentaire : pas de court, pas de décolleté, pas de couleur trop trop vive. Là pour le coup, la couleur bleue lui a pas plu mais sinon, elle a pas dit grand chose. Et là, je me retrouve avec un capot fumant, réussissant à joindre un garage, je retourne attendre dans ma voiture mais là, je crains que le moteur soit foutu, vu la fumée qu'il y a eu ... Mon dieu ... On se serait cru en plein milieu d'un incendie. La fumée grisatre sort encore et c'est un homme à la voix rauque que j'ai eu téléphone après lui avoir expliqué ma problématique, il me dit qu'il envoie une dépanneuse maintenant -bon j'avoue, là, j'ai un peu appuyer sur le de Bourbon et le voiture de luxe histoire qu'il pense argent et vienne me sauver vite, je suis pas folle. Raccrochant, je prends le temps d'appeler mon père, baragouinant avec lui en espagnole, lui expliquant que je suis en panne, et tout le tatouin qui va avec. Je finis par sortir de la voiture parce qu'il fait trop chaud dedans sans la clim. Adossé à ma superbe Audi, noir, perchée sur mes talons hauts, je vois finalement une dépanneuse arrivé et un sourire s'encre à mes lèvres, enfiiiiiiin ! Ils ont pas été long. Je coupe avec mon père et un homme sort du monstre de dépannage et de loin, je peux dire une chose : il est canon, du moins, de loin. Après j'ai pas encore vu sa tête ... Peut être qu'il est comme la théorie des crevettes, un beau corps et il faut arracher la tête ... Il s'approche, mais en contre jour, je plisse des yeux pour tenter de voir un visage. C'est l'homme qui brise en premier le silence. Emilia ? Comment il connait mon prénom ? WTF ! C'est un malade venu pour me kidnaper ! Viiiiite, je devrais remonter en voiture et partir ! *Elle est en panne ta voiture Emilia, reste calme ...* et en même temps, cette voix me fait tilte, je la connais ... Le gars redit mon prénom, me demandant si c'est bien moi et je suis transportée dans mes souvenirs, une nuit d'hiver, à Ishgl en Autriche, après une journée de ski, une soirée de fête dans la station de débauche, en compagnie de ce gars, Denys. Après le froid de la journée, disons qu'on s'est réchauffé mutuellement pendant une nuit des plus agréables. Nous avons partagé quelques temps notre route. Après l'Autriche, l'Italie et on s'était quitté à Rome en se promettant de garder contact. « Denys ... » je murmure son prénom, comme ci je me parlais à moi même avant de prendre conscience qu'il est devant moi, dans son Tshirt sali par le travail ... Denys ... Il est bien là et il doit me trouver tellement ... snobinarde dans cette tenue. Un sourire apparait sur mes lèvres et je le regarde enfin dans les yeux « Denys ! Je suis trop contente de te revoir ! » et c'est avec mon naturel habituel que j'ouvre grand les bras pour aller l'enlacé, réellement ravie de le voir. Ouais ouais, je suis comme ça moi, je fais des calins.


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Mes débuts de mécano. C’était l’une de mes premières interventions, je me sentais un peu comme les ambulanciers des urgences… Bon ce n’était pas une vie que j’allais sauver, mais une jolie audi… Mon boss m’avait prévenu : gros client à la clé, si je n’arrivais pas à réparer sur place, je devais ramener le carrosse au garage et m’occuper de la conductrice. Après avoir garé ma dépanneuse sur le bas côté de la route, je saisis ma boîte à outils, et la gardant en main, m’approchais de la voiture fumante. Je ralentis le pas après quelques mètrezs, m’arrêtant finalement devant l’élégante propriétaire du véhicule en panne, scotché en reconnaissant ce visage familier… C’était Emilia ! Mon regard la scruta de haut en bas, s’attardant sur les détails de sa tenue chic, talent haut, bijoux, cheveux joliment relevés dans un chignon… Elle était complètement différente que dans mes souvenirs, quoi que déjà en Autriche, avec son look bien plus sportive, je l’avais trouvée craquante, la preuve on avait même eu une brève aventure… Mais là, elle était tellement chic…  La tenue la changeait complètement. Et moi qui arrivais en tenue de boulot, je n’étais pas à mon meilleur avantage contrairement à elle. Je prononçais son prénom, le répétant une nouvelle fois en m’approchant finalement d’elle, yeux écarquillés de surprise, n’arrivant pas à décrocher mon regard d’elle. Elle prononça à son tour mon prénom, deux fois avant de me confier qu’elle était contente de me revoir, écartant les bras en s’approchant. « Attent… » Trop tard, la demoiselle m’avait enlacé. Je ne bougeais pas, trop effrayé qu’en l’enlaçant à mon tour je ne salisse davantage sa tenue. « J’suis tout crassou dans ma tenue de mécano, je vais salir ta tenue arrête… » rigolai-je avant de lui demander : « Tu vas à un gala ou un truc comme ça ? Ca me fait bizarre de te voir comme ça… » Ca changeait tellement de nos petits périples européens en mode baroudeurs, aventuriers… « Et ta voiture… Waw… » sifflai-je après m’être décroché d’elle, faisant un instant le tour de l’audi. « Elle est à toi ? » Je prenais peu à peu conscience que mon amie de vacances et moi, nous n’étions pas tout à fait du même milieu. Mais vu l’accueil qu’elle venait de me réserver, cela n’avait pas l’air de lui poser problème.

HJ : c'est parfait Denylia •• Le coup de la panne 1839924927  et la théorie de la crevette, tu m'as tué avec ça Denylia •• Le coup de la panne 1881463262
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Je viens de tomber en panne a genre 10 minutes de la Cabot House. Si ça c'est pas un manque de chance. Mais heureusement j'arrive à joindre un garagiste, soulignant mon nom de famille royale, moi qui ne m'en sers guère, à la guerre comme à la guerre Walter, je l'ai balancé ainsi que la marque de ma voiture. Si ça peut faire en sorte que l'appel de l'argent le pousse à m'envoyer quelqu'un rapidement, je me gêne pas. Et visiblement, ça a fonctionné car quelques minutes plus tard, une dépanneuse arrive, elle se gare un peu plus loin devant moi et c'est au bout de quelques secondes que le gars semble me reconnaitre. J'ai un moment d'arrêt, je réfléchis car la voix me parle. Quand il prononce mon prénom une seconde fois, ça me fait tilte. Denys. Mon Denys compagnon de voyage pour quelques jours. Je me revoie avec lui en tenue de sport, sac à dos sur le dos, sans vraiment avoir du maquillage sur moi, habillée à la va vite à rigoler et faire des activités ensembles. A ce moment là, j'étais juste Emilia, lui juste Denys et c'était cool. Notre route s'était séparé en Italie, mais le voir me rend très heureuse. C'est mon naturel qui prend le dessus, bras grand ouvert, je vais lui faire un calin amicale, avec un grand sourire, je suis enjoué, je suis comme ça. Je pense que c'est une partie de moi, on finit par s'y faire. Je suis très enjouée, très expressive, les gens finissent par s'y faire non ? Denys semble avoir un temps de recule mais trop tard, je l'enlace en disant que je suis heureuse de le voir, sa phrase d'après me fait sourire « T'inquiète pas, c'est pas grave ! » c'est qu'une tenue, je vais pas mourir si elle est sale. Ses paroles suivantes me font rire et j'ajoute « Non, j'allais voir mon père. Mais je te rassure j'ai du mal à me reconnaitre comme ça aussi ! » une fois détachée de lui, j'en profite même pour défaire mon chignon et laisser mes cheveux tomber en cascades sur mes épaules, c'est déjà un peu plus moi. Il fait le tour de ma voiture et je l'observe avec le sourire, il n'a pas changé depuis nos voyages ensembles. Il me demande si l'audi est à moi et j'hausse les épaules « Oui, c'est mon père qui me l'a offert à mon anniversaire. Il ne supportait plus mon ancienne voiture. Perso, ma citroëne me suffisait. » et oui, mon père aime me faire des cadeaux hors de prix quand pour moi, franchement c'est pas essentiel. Je crois que c'est pour ça que je n'aurais pas pu être eliot, j'adore beaucoup de bleu, mais moi, la vie simple et libre, sans protocole, sans toutes ces fioritures.


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 Je savais qu'en faisant mon come back à Harvard, j'allais retrouver des têtes connues... Des ex du campus, retrouver les copains, mais retrouver Emilia, ma partenaire de vadrouille entre l'Autriche et l'Italie ? Je ne m'y attendais absolument pas, surtout que je mis un peu de temps avant de la reconnaitre dans sa tenue BCBG. Je la détaillais, prononçant son prénom avec étonnement, un peu incrédule... Et elle finit par laisser échapper le mien également. Bon, ça confirmait que c'était ma Emi, et pas un sosie ou une jumelle échappée d'un magasin de mode... Parce que quand même, qu'est-ce qu'elle était élégante. C'est pour ça que je protestais presque quand elle fondit dans mes bras. "J'suis plein de camboui Emilia..." me marrai-je en craignant de la salir. Et puis surtout, j'avais pas l'argent pour lui payer le pressing ensuite quoi. Ce n'était pas grave selon la demoiselle, alors, me laissant aller, mes bras s'enroulèrent autour d'elle pour ce câlin de retrouvailles. Ca me faisait vraiment plaisir de la retrouver, le courant était tellement bien passé entre nous lors de notre petit trip européen. Tellement qu'on avait eu une brève aventure... Bref, après cette étreinte, je m'écartai pour la regarder encore, pensant qu'elle allait à une réception guindée ou quelque chose du genre. Elle me raconta alors qu'elle venait d’aller voir son père. "Ton père c'est un prince ou quoi ?" rigolai-je ne me doutant pas du tout que j'étais tombé pas loin de la vérité, disant cela comme une expression. "Moi, mon père, je vais le voir en jean et T shirt..." Je sortais le grand jeu que pour les rendez vous galants. "Ha, ça c'est ma Emi à moi.." rigolai-je en la voyant libérer ses cheveux en cascade, la reconnaissant déjà beaucoup plus ainsi. Je m'approchai de la voiture, sifflant. Beau petit bolide. J'étais aussi mécano parce que j'aimais les jolis véhicules. Elle me confia que son ancienne lui aurait suffit, mais que son père le lui avait offert en remplacement de sa citroëne. "Il a du goût... Mais il était pas obligé de te  te prendre l'option fumigène..." commentai-je avec humour en voyant les volutes de fumée qui s'échappaient du capot dont je m'approchais. "C'est pas bon signe..." Je saisis ma boîte à outil, la posai près de moi avant de soulever le capot, libérant de nouveaux nuages... "Allez au boulot..."
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Je viens de tomber en panne mais je suis aussi tombée des nus en voyant ... Denys. Mon Denys. Le Denys de l'Autriche à l'Italie, ce gars avec qui le courant est si bien passé qu'une aventure a été possible. Ce Denys avec qui je riais tout le temps où nous étions ensemble. Il vient de sortir de la belle dépanneuse venue me sauver et je me rends compte que ça le change pas tant que ça, qu'il a pas changé et qu'il est toujours le même. Heureuse de le voir, mon côté espagnole je crois, chaleureuse et enjouée prend le dessus et j'ouvre grand les bras avant d'aller lui faire un câlin. Il en est tout gêné le pauvre, il a peur de tâcher ma robe avec le camboui. Il me le dit en rigolant mais le connaissant c'est possible qu'il le pense vraiment. Je souris en le serrant contre moi « C'est pas grave, elle va au pressing de toute façon ! » et au pire, j'en achèterai une autre, c'est pas la mort, c'est que du matériel et dieu sait comme personnellement je n'y suis pas attachée. Pour moi, le matériel, c'est du bonus. Le plus important c'est de vivre. Il finit par refermer son étreinte autour de moi et je souris, oui, je suis ravie de le retrouver, qui l'aurait cru franchement ? Le monde est tellement vaste et si petit à la fois. Après l'étreinte, un pas de recul et il fait une remarque sur ma tenue qui me fait sourire et il tape tellement juste dans ses paroles. Je souris amusée « Ouuuh, tu brûles » oui mon père n'est pas prince, il est roi. Mais lui qui dit une expression a visé juste parfaitement bien, c'est amusant. Je souris à ses paroles suivantes « Tu en as de la chance, je serais juste trop bien en short et tshirt » grand sourire encore et je libère enfin mes cheveux, les laissant tomber en cascade sur mes épaules lui adressant un sourire « C'est mieux hein ? Ca fait moins ... coincée ! » oui parce que j'ai une tenue de coincée dans cette robe et avec ce chignon. Il s'approche de ma voiture, en fait le tour et je le regarde en souriant. Elle est bien, quand elle marche mais au moins, mon ancienne fumait pas du capot ... Denys a le don de dédramatiser le truc et je souris « Ouais, il adore, c'est son dada je crois. Il aurait adoré faire de la course automobile je crois.. » sourire encore présent j'ajoute « C'est vrai, il a fait une erreur de calcule ... C'est grave tu penses ? » vu la fumée noire qui sort, je pense ... Il me confirme que ce n'est pas bon signe quand même ... Attrapant sa caisse a outil... Waow, le fantasme du garagiste, j'aurais pu le réaliser avec lui ... « Je te laisse faire alors, je vais enfiler un truc plus confortable, je crève de chaud dans cette robe ... » oui pendant qu'il est occupé avec le capot, autant me changer vite fait bien fait, comme ça j'aurais pas de remarque chez les roses en arrivant habillée en ministre. Et comme toute bonne fille, j'ai prévu le coup, un short m'attends dans le coffre avec un tshirt, je garderai juste les talons. Je l'ouvre et attrape le short pour l'enfiler habillement, cachant avec habileté au plus possible mon corps avec la robe, laissant Denys fait son boulot. Au pire, changée, j'aurais m'installer par terre, histoire de bronzer en attendant, il n'est jamais trop tard pour parfait son bronzage très cher !


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 Emilia. Ma Emilia. Des flashs de mon passage en Europe, de ma rencontre avec la demoiselle, de notre nuit ensemble aussi, un mélange de tout ça me revint en tête, même si j’étais drôlement troublé de constater la tenue et l’allure de princesse de la jeune femme. Elle me prit dans ses bras, et je protestai, craignant de la salir, mais elle objecta : ce n’était pas grave, la robe était destinée au pressing dans tous les cas. Je finis par capituler, la serrant dans mes bras, heureux de la retrouver. Surpris, mais heureux, sincèrement. Il y a de ces rencontres qui, bien que brèves et éphémères, vous marquent. Ma rencontre avec Emilia était de celle là. Je n’avais pas eu besoin de passer énormément de temps avec elle pour craquer. Je relâchais mon étreinte, soufflant l’importance que devait avoir son père vu combien la jeune femme s’était endimanchée pour aller le voir. Son –ouh tu brûles- me laissa perplexe, ne comprenant d’abord pas que j’étais tombé tout prêt de la vérité en parlant de père princier. Je fronçais les sourcils, mais retrouvai le sourire pour parler de la tenue que je choisirais si on m’obligeait à une visite à papa Zacharias.  « C’était joli aussi ce chignon… » soufflai-je quand elle me demanda mon avis après avoir libérer sa chevelure. « C’est juste que c’est plus… toi. » Enfin, la Emilia de mes souvenirs. Je me concentrais ensuite. Oui oui, Den t’es là pour bosser. J’avais mille choses à dire à mon amie, et j’étais sûr qu’elle avait également plein d’aventures à me raconter, mais pour pouvoir discuter tranquillement, je devais effectuer la mission réparation avant tout. Son père était passionné de voiture, ça expliquait son bon goût en la matière. Malheureusement, le moteur fumait grandement. « Je vais regarder ça de plus près. » répondis-je quand elle me demanda d’évaluer la gravité de la panne.  Boîte à outil posée près de moi, je soulevai le capot… Grosses volutes de fumée noire. Aïe aïe aïe… Emilia annonça qu’elle allait se changer, pour être plus à l’aise. Je me penchai alors à la tâche, résistant à l’envie de laisser trainer mon regard là bas… Elle avait dit qu’elle se changeait, pas qu’elle m’invitait à la regarder le faire. Et puis j’avais du pain sur la planche. Je saisis de quoi colmater le réservoir, ayant repérer une fuit au niveau de l’huile. Je retournai alors vers la dépanneuse pour chercher le bidon d’huile de réserve qui s’y trouvait, risquant un regard en coin vers l’arrière de la voiture. Emilia avait fini de se changer… Dommage. J’attrapai ce qu’il me fallait, puis retournai au niveau du capot  finir ma tentative de réparation. « Hey Emi’, essaie de redémarrer pour voir. » Test en direct, capot ouvert…
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Je viens de retrouver mon Denys et pendant un bref instant alors que mon cerveau enregistre l'information, je revois des flashs de notre rencontre et du temps qu'on a passé ensemble. *Emilia chasse toi ces images de ta tête surtout ... les dernière* Un sourire sur les lèvres, les bras ouverts, je vais vers lui pour un câlin, ma nature enjouée reprenant le dessus, Denys proteste au début, il est pleins de camboui, mais c'est con à dire mais je ne suis pas à une robe près. Surtout que celle là, je l'aime pas vraiment ... Il finit par me rendre mon câlin et puis on se regarde, il a pas changé, vraiment. Grand sourire, mes perles brunes le dévisage et je lui souris. Il fait une remarque sur mon père et j'en rigole, si il savait comme il a tapé juste. Il ne semble pas vraiment comprendre ma boutade et se contente de me sourire. Je lâche les cheveux en cascade, c'est quand même mieux et plus agréable comme ça. Ca me ressemble plus. C'est ce qu'il pense en tout cas « Merci, Ce chignon est surtout affreusement douloureux, il me serre la tête de fou ... Et me donne un air ... Beaucoup plus de daronne non ? » moi je trouve qu'il me vieillit oui ! « C'est sûr que ça me ressemble plus » Den finit par se concentré car après tout, il est là pour m'aider avec mon bijou, ma jolie voiture, choisie par mon papa, grand sourire, je lui annonce que mon père est un passionné. Demandant quand même si c'est grave, à son avis, la fumée noir qui s'échappe du moteur semble indiquer que oui ... Je m'éclipse pour le laisser travailler, allant du côté du coffre pour me changer. J'attrape un short, je l'enfile, je passe un débardeur qui me ressemble bien plus, de suite, je suis plus à l'aise comme ça. Je me sens bien moins princesse et bien plus Emilia. La robe bleue vole dans mon coffre et je le claque juste quand Denys me demande d'aller tenter de démarrer. Grand sourire « Ok, j'y vais » je gambade jusqu'à la place conducteur, mets la clef, la tourne mais visiblement, on va passer du temps ensemble aujourd'hui, car le moteur ne part toujours pas. Je tente 3 fois avant de ressortir « Ca marche pas ... C'est sûrement un truc qui a pété dans le moteur ... » enfin, pour dire vrai, j'y connais rien, je ne sais que supposer... C'est peut être bien moins grave, peut être qu'il trouvera maintenant, sinon, ça lui fera du travail à son garage pour réparer mon Audi chérie..


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  C’est la surprise, doublement : retrouver Emilia en bord de route près de son audi en panne… ET la retrouver ainsi : endimanchée, guindée, dans une robe que je craignais de salir, même si elle me rassurait là dessus. Elle dénoua ses cheveux, me demandant mon avis sur la question… Alors, bon, question coiffure, j’étais pas vraiment un expert. Je serais bien plus apte à commenter son choix automobile à vrai dire. Alors, j’opinai, soufflant malgré tout que le chignon lui allait bien aussi. « Faut souffrir pour être belle. » rigolai-je quand elle confia que ce dernier était douloureux… « Sexy daronne alors. » répliquai-je avec un clin d’œil quand elle s’auto-qualifia ainsi. Mais j’aimais beaucoup la demoiselle avec ses cheveux lâchés, peut être parce que cela me rappelait la Emi’ que j’avais connu et côtoyée lors de notre voyage en Europe. D’ailleurs, c’est dans une tenue qui correspondait plus à cette Emi’ là qu’elle se glissa, lâchant la robe BCBG. Je pris sur moi pour ne pas mater la séance de changement de tenue, puis finalement après avoir repéré et colmaté une fuite d’huile, je demandais à la demoiselle de démarrer. Trois fois elle essaya.. En vain. Le moteur toussa mais ne démarra pas. « Ok… Oui y’a du avoir une surchauffe… » Je grimaçai. « La facture risque d’être salée si il faut changer le moteur. » annonçai-je alors à la demoiselle, ignorant que pour elle, l’aspect financier n’était surement pas un problème. « Je ne peux pas réparer ça sur le bord de la route par contre… On va charger ton audi sur la dépanneuse. » Je filai d’ailleurs vers cette dernière, la reculai jusqu’à la voiture de mon amie que j’attelai pour pouvoir la tracter jusqu’au garage. Il restait une place à mes côtés et je tendis la main à la jeune femme pour l’aider à se hisser sur le siège passager. « Vas-y monte dans mon carrosse. » Heureusement qu’elle n’avait plus sa robe en fait, c’était bien plus pratique de grimper lorsqu’on portait un short.
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