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The music is the language of the feelings
Douce mélodie qui résonne dans nos têtes, nous donnant l'allégresse et l'insouciance.
Peter se demandait si ce petit était stupide ou s'il le faisait exprès. Il se demandait vraiment s'il était stupide. Qu'est-ce qu'il avait bien pu poussé cet homme à renier sa passion ? C'était sa passion, cela se voyait, cela se ressentait. Ce petit, il avait fait tremblé scène, caressé les touches pour qu'elles dévoilent leur sensibilité, il avait fait frémir le piano et surtout, il l'avait fait frissonner. Peter n'avait jamais frissonné pour de la musique. Il avait frissonné de plaisir, de désir, d'impatience ou de froid mais jamais lorsqu'il avait entendu une musique aussi bouleversante qui l'accompagnait à chaque pas de sa vie. Il avait même cru pouvoir sentir la chaleur maternelle à travers sa musique. Peter ne la ressentit qu'une seule fois et pas avec de la musique mais avec des femmes, toutes différentes les unes que les autres. Il se demandait une fois qu'il ressentait la chaleur d'une femme, si c'était ça la chaleur d'une mère à l'égard de son fils. Il se demandait si c'était la chaleur maternelle. Lui , le petit Peter n'avait jamais pu ressentir ce qu'était la chaleur d'une mère qui vint serrer ou consoler son fils, n'avait jamais pu voir un sourire chaleureux et éblouissant de sa mère lorsqu'elle s'adressait à lui , ou l'invoquait dans une conversation. Il n'avait même jamais eu son soutient et celle-ci semblait être prêt à tout pour ne plus s'occuper de lui, lui donner à manger et autre. Non, sa mère l'avait insulté, humilié, rabaissé, parlé avec du dédain ou se moquait de lui et de son corps trop fluet. Donc, avoir une mère et un père aimant, quelque chose d'aussi stupide, d'aussi essentiel, quelque chose de simple , totalement simple. Quelque chose que tout le monde semblait avoir sauf lui. Pauvre, riche, c'était simple d'avoir des parents attentifs et aimants mais pas lui. Lui, il n'avait pas eu le droit à cela. Selon sa mère, il méritait tout simplement la mort, ou d'être abandonné dans une cage aux lions. Bref, au clair, il méritait la mort en souffrant atrocement, comme elle disait " tu mérites la mort en souffrant comme nous, on souffre de t'avoir pour fils, c'est à cause de toi, qu'il boit ainsi".
Bref, chez lui, ce n'était pas joyeux. Dans le foyer où il avait grandi, c'était la violence, l'alcool et le vice qui régnaient en maître. Son enfance était joué par une mélodie sombre, la première partie de la mélodie . La première partie était angoissante, effrayante, effrénée comme son coeur qui battait tout le temps à la chamade à cause de la peur qui régnait dans son tout petit corps. C'était difficile de le croire avec son caractère à tendance narcissique mais au fond, Peter ne fut pas un enfant choyé , chéri et aimé par ses parents, tout le contraire. Peter les redoutait, les craignait plus qu'autre chose. Le seul point commun qu'il avait avec son père, c'était les coups qui pleuvaient sur son corps lorsqu'il faisait un truc de trop, une erreur, un truc qui ne plaisait pas à son père, ou quand il essayait en vain de se rapprocher de sa mère. bref pour tout ce que Peter faisait et qui agaçait son père. En soit, tout ce qu'il faisait, même de respirer, cela énervait son père et aussi, l'alcool. C'était son père qui l'avait rendu alcoolique, au début, c'était un sourire complice, un sourire plus qu'attendu de la part d'un enfant qui le voulait depuis toujours et avoir l'attention de celui-ci. Puis, ce fut un autre, un autre et la voix de son père qui résonnait dans sa tête, qui l'hypnotisait totalement et le poussait à boire encore et encore. Peter arquait un sourcil face à l'attitude plus que méfiant du petit. Que la jeunesse semblait plus prompt à désobéir que dans sa jeunesse. Lui, il était considéré déjà comme un rebelle à son époque et pourtant, il ne faisait pas vraiment de choses si fous que ça, bon si , beaucoup mais Peter respectait certains adultes de son temps, surtout si un voulait l'aider à s'en sortir. Hélas, aucun ne l'avait fait.
- Pour devenir riche, célèbre et reconnu dans le monde entier, peut-être même entouré de filles si tu le veux, répondit-il en le regardant.
Pour les autres questions, il eut un sourire en coin amusé tout en secouant négativement la tête. Il se demandait vraiment ce qu'il faisait là. Ah oui, cet élève le fascinait, il avait malgré lui, touché une corde sensible. Sa vie minable malgré les fêtes et les délires de fou.
- Non, si tu ne veux pas me parler, ne me parles pas, je te force à rien, mais saches que si tu veux un conseil en tant qu'artiste ou autre, je suis là, déclara-t-il. Pour l'alcool, si te plaît, ne me fait pas croire que t'as jamais bu du whisky à ton âge et quel mauvais image a-t-il ? Moi, je vois seulement deux hommes qui discutent avec un verre à la main. Tu n'es pas mon élève et je ne suis pas ton professeur, voilà tout, s'enquit-il.
Il leva son verre comme pour trinquer avant de ne pas attendre le tchin cristallin et de le boire cul sec son verre. Peter adorait tellement ça, c'était vital pour lui de boire autant.
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Bref, chez lui, ce n'était pas joyeux. Dans le foyer où il avait grandi, c'était la violence, l'alcool et le vice qui régnaient en maître. Son enfance était joué par une mélodie sombre, la première partie de la mélodie . La première partie était angoissante, effrayante, effrénée comme son coeur qui battait tout le temps à la chamade à cause de la peur qui régnait dans son tout petit corps. C'était difficile de le croire avec son caractère à tendance narcissique mais au fond, Peter ne fut pas un enfant choyé , chéri et aimé par ses parents, tout le contraire. Peter les redoutait, les craignait plus qu'autre chose. Le seul point commun qu'il avait avec son père, c'était les coups qui pleuvaient sur son corps lorsqu'il faisait un truc de trop, une erreur, un truc qui ne plaisait pas à son père, ou quand il essayait en vain de se rapprocher de sa mère. bref pour tout ce que Peter faisait et qui agaçait son père. En soit, tout ce qu'il faisait, même de respirer, cela énervait son père et aussi, l'alcool. C'était son père qui l'avait rendu alcoolique, au début, c'était un sourire complice, un sourire plus qu'attendu de la part d'un enfant qui le voulait depuis toujours et avoir l'attention de celui-ci. Puis, ce fut un autre, un autre et la voix de son père qui résonnait dans sa tête, qui l'hypnotisait totalement et le poussait à boire encore et encore. Peter arquait un sourcil face à l'attitude plus que méfiant du petit. Que la jeunesse semblait plus prompt à désobéir que dans sa jeunesse. Lui, il était considéré déjà comme un rebelle à son époque et pourtant, il ne faisait pas vraiment de choses si fous que ça, bon si , beaucoup mais Peter respectait certains adultes de son temps, surtout si un voulait l'aider à s'en sortir. Hélas, aucun ne l'avait fait.
- Pour devenir riche, célèbre et reconnu dans le monde entier, peut-être même entouré de filles si tu le veux, répondit-il en le regardant.
Pour les autres questions, il eut un sourire en coin amusé tout en secouant négativement la tête. Il se demandait vraiment ce qu'il faisait là. Ah oui, cet élève le fascinait, il avait malgré lui, touché une corde sensible. Sa vie minable malgré les fêtes et les délires de fou.
- Non, si tu ne veux pas me parler, ne me parles pas, je te force à rien, mais saches que si tu veux un conseil en tant qu'artiste ou autre, je suis là, déclara-t-il. Pour l'alcool, si te plaît, ne me fait pas croire que t'as jamais bu du whisky à ton âge et quel mauvais image a-t-il ? Moi, je vois seulement deux hommes qui discutent avec un verre à la main. Tu n'es pas mon élève et je ne suis pas ton professeur, voilà tout, s'enquit-il.
Il leva son verre comme pour trinquer avant de ne pas attendre le tchin cristallin et de le boire cul sec son verre. Peter adorait tellement ça, c'était vital pour lui de boire autant.
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