Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLove is like war: easy to begin but very hard to stop • SLOAN ♥ - Page 2
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Love is like war: easy to begin but very hard to stop • SLOAN ♥

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Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Mon regard se perdait dans le sien. A l’heure actuel, il était impossible pour moi de contempler autre chose que cet homme. Il avait attiré toute mon attention et mon corps se délectait de sentir ces doigts sur mes cuisses. Mes lèvres se retrouvaient encore et toujours contre celles de l’éliot. Elles avaient besoin de ce retrouver, de reprendre leur place. Il m’avait manqué et je comptais bien profiter de cette instant. Tandis que je souriais bêtement à la petite blague que je venais de lui faire. « même pas en rêve.» je me mis à rire alors que j’étais toujours assise sur lui. « Sloan tait toi et arrête de bouger.» Je me pinçais les lèvres me retenant une nouvelle fois de rire. Mes mains se posèrent sur le haut de son torse. Mon regard lui en profita pour se poser sur son corps. Il était parfait et l’eau ne faisait que le sublimer d’avantage. Mes doigts suivaient le chemins de ces abdos, caressant avec délicatesse son torse qu’il se donnait tant de mal à sculpter. Bordel qu’il était beau. Revenant à la réalité, je me redressais légèrement pour pouvoir attraper mon téléphone avant d’être rapidement retenue par l’Eliot. Ses doigts s’écartèrent sur mes cuisses et il m’obligea à tenir ma position. « Au risque de me répéter tu ne vas nulle part.» un fin sourire ravageur se dessina sur mes lèvres. Mon regard se faisait un peu plus insistant et tout naturellement je lui fis : « au diable la photo alors.» dis-je en me pinçant de nouveau les lèvres. L’étudiant se redressa et colla une nouvelle fois son corps contre moi. Ma poitrine se collait contre sa peau chaude tandis que ces lèvres se portèrent à mon cou. Mes yeux se fermèrent à se simple contact et mes doigts se perdaient dans ces cheveux. Mon souffle se stoppa comme pour pouvoir profiter un peu plus de ce moment de tendresse. Ces simples attentions provoquaient en moi des désirs bien supérieur. Cette sensation de dépendre de l’autre était bien présente dans ce bain. J’aimais à savoir qu’il allait bien et que je pouvais être le réconfort qu’il avait toujours chercher. Son cadeau m’avait donné des ails et avait balayé mes craintes pour la soirée. Je voulais être avec lui. Rien que lui. Tandis que je profitais pleinement de ces caresses, il susurra contre la peau de mon cou. « Attends.» Il me fit reculer pour reprendre ma place. Mes sourcils se froncèrent légèrement, qu’avait-il encore préparer ? Les surprises se multipliaient et j’avais d’ailleurs du mal à croire qu’elle m’était toute adressé. Vivre sans attention m’avait appris à ne rien attendre mon entourage. J’avais appris à me satisfaire seule. Il se pencha sur le côté pour attraper le sceau à champagne. Un sourire s’afficha sur mes lèvres. Il avait pensé à tout. Ma main s’approcha de ma bouche et masqua le sourire béat que j’avais sur les lèvres. J’étais heureuse et je ne contrôlais plus rien. J’apprenais à vivre le moment présent sans me soucier une seule seconde du futur ou du passé. Il ouvrit la bouteille de champagne et versa le liquide dans deux magnifiques coupes. Il déposa la bouteille puis me tendis un verre. « Joyeux anniversaire Charline. Inutile d’épiloguer des jours, je te souhaite juste d’être heureuse...» mon visage se pencha sur le côté. Il était adorable. Il approcha son verre du mien pour le claquer subtilement contre le mien. Mon regard le détaillait. J’avais le besoin d’immortalisé tout sa. Il approcha sa coupe à ses lèvres et continua : « ... avec moi, tant qu’à faire.» je me mis à rire et je lui fis : « tant qu’à faire oui.» message subliminale qui voulait une nouvelle fois dire que je ne comptais pas le laisser partir. Je ne voulais pas de sa et je ne l’avais jamais voulu. J’apportais moi aussi mon verre à mes lèvres et je ne pu retenir une mine surprise. Bordel que c’était bon. Ce champagne pétillait en bouche, une vrai merveille qui avait sans doute du lui coûter très cher. Je posais ensuite ma coupe de champagne sur le rebord de la fenêtre avant de prendre celle de l’étudiant pour faire pareil. Doucement, je m’approchais une nouvelle fois de lui pour m’arrêter au milieu de la baignoire. Ma main se fraya un chemin jusqu’à sa nuque l’incitant à se rapprocher. Mes deux mains encadraient son visage et je lui fis. « tu me vends du rêve bushnell... est-ce que tu t’en rends compte ?» mon coeur s'emballait et mes doigts caressaient délicatement ses joues. Un sourire delicat et sincère s’afficha sur mes lèvres avant que je ne lui dise. « Retourne toi.» Son sourcil se leva et son regard m'interrogea. « et ne discute pas.» dis-je en rigolant. Sceptique, il se retourna. Il était dos à moi. Délicatement, je posais mes lèvres dans son dos. Des bisous sensuelle qui montraient parfaitement l’envie que je pouvais avoir pour lui. Je me reculais pour pouvoir m’adosser à la baignoire. Il se recula aussi et doucement, je lui fis « détend toi et allonge toi.» mes mains se placèrent sur ces épaules et l’incitaient à se pencher en arrière. Il allongea son dos sur moi et se laissa aller dans ce moment de tendresse. Une de mes mains se plaçaient sur son torse tandis que ma tête se collait à la sienne. C’était doux et tendre, pour une fois. Mes doigts effleuraient délicatement sa peau et je lui fis. « Tout à l’heure, tu as dis que je n’avais pas confiance en toi sloan. J’ai confiance en toi» mes lèvres se posèrent sur le côté de crane tandis que mes yeux se fermaient. « C’est de moi que j’ai pas confiance.» aussi bizarre soit-il. Délicatement, je continuais à le caresser. Mes bras se serraient un peu plus autour de lui. Hors de question lui aussi de le laisser partir. Mes jambes encadraient délicatement le corps de l’éliot. Ces mains se posèrent sur chacune de mes jambes et ces doigts effleuraient ma peau. Un nouvel aveux baigner dans ce moment de tendresse venait d’être lâcher. Je n’avais pas confiance en moi et malgré ce que je voulais bien laisser paraître, Sloan était le premier à qui j’en parlais. Son regard n’était pas posé sur moi et cette position était finalement parfaite. Mes lèvres descendirent sur sa joue et je lui fis : « Tu es important pour moi Sloan et tu n’imagines pas à quelle point ce moment me fait du bien.» rien que lui et moi. Personne d’autre, aucun fauteur de trouble. Juste Charline et Sloan. Délicatement ma main tourna le visage de Sloan vers moi. Je me pinçais les lèvres et je lui fis : « merci d’avoir pour la première fois rendu ce jour si particulier.» le premier, il avait bien entendu. Délicatement et avec une tendresse folle, mes lèvres s’approchèrent de celle de Sloan. Elles se caressaient et s’entrelaçaient. Un soupire s'étouffa dans ce baisé. Tandis que ma main l’incitait à continuer et à poursuivre ce baiser. Doucement, il se retourna tout en m’embrassant. Ces mains virils se placèrent dans mon cou et ma langue titilla la sienne. Il se trouvait de nouveau face à moi. Mon souffle s’accéléra et entre deux baisés langoureux. Je lui fis : « J’aimerai faire quelque chose de complètement dingue sloan.» Je me pinçais les lèvres avant de tenir son regard. Un certain malice pouvait se lire dans mes yeux. « Je veux que tu sois ma première et ma dernière fois.» bizarre comme phrase. Mes sourcils se plissèrent légèrement. Il semblait surpris et je ne mis pas longtemps à lui susurrer ces quelques mots sur les lèvres. « Je veux fumer avec toi...»
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love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
Toutes les conditions étaient réunis pour passer une bonne soirée. Une ambiance romantique, un bain remplis de mousse, une lumière tamisée, une bonne bouteille de champagne ainsi qu'une magnifique créature complètement nue devant ses yeux. Sloan ne pouvait qu'apprécier cette soirée. Il l'avait tout prévu pour que Charline passe un bon anniversaire mais le rendu dépassait largement ses espérances. Elle avait accepté son cadeau et le portait en ce moment même. Il ne pouvait s'empêcher de le regarder régulièrement. C'était la consécration ultime pour le beau brun qui se délectait de la voir avec. En acceptant ce collier, c'était le signe qu'elle était d'accord avec tout ce qu'il lui proposait. Ils avaient, en quelque sorte, officialisé leur relation. Attention, officialiser n'était peut-être pas le terme approprié mais l'idée était bien là. Après tout, ils étaient très proches lorsqu'ils étaient à deux mais en dehors, c'était une toute autre histoire. Ils ne se croisaient pas vraiment et rare étaient les personnes au courant de leur relation. Comme le dit le proverbe, vivons heureux, vivons cachés. Pourtant, Sloan avait envie que ça aille plus loin, il aurait voulu crier au monde entier son attirance pour cette fille mais il ne le pouvait pas. Du moins, pas encore. Charline était extrêmement réticente à tout rapprochement et il ignorait ce qu'elle pensait de l'idée de se mettre en couple. Voilà, pour l'instant, le bleu se contentait de lui avouer ses sentiments et de passer du temps avec elle. Après les deux semaines de solitude qu'il venait de passer, l'avoir auprès de lui, lui faisait un bien fou. Il ne voulait pas qu'elle parte et refusait catégoriquement qu'elle ne quitte cette foutue baignoire. La Granger était là et allait rester. Hors de question de la voir s'éloigner de lui encore une fois. D'autant plus que le Summer Camp n'allait pas tarder à débuter, un bon moyen pour faire taire tous les soupçons et d'enfin profiter de sa présence. Quoiqu'il en soit, ils étaient à deux et c'était tout ce qui comptait. L'Eliot apporta sa coupe de champagne à la bouche et bu la moitié de son contenu d'une traite. Il était vraiment bon, un large sourire satisfait apparu sur son visage. Autant le luxe n'était pas vraiment son domaine de prédilection, autant il savait en apprécier les bons côtés. Pourquoi s'en priver franchement ? Il avait de la chance de pouvoir en profiter autant qu'il le voulait. Son compte en banque était alimenté par son beau-père qui comptait bien faire de son petit protégé, le futur gérant de son entreprise. Le jeune homme avait la chance d'avoir quelqu'un qui croyait en lui, évidemment, il lui en était reconnaissant. Depuis la disparition de sa mère, George se faisait beaucoup plus présent, il avait même augmenté son compte en banque afin que Sloan puisse "se vider l'esprit" et profiter de vacances bien méritées. Charline bu également une gorgée de champagne mais ne tarda pas à poser sa coupe sur le rebord de la fenêtre. Elle s'approcha du beau brun et lui prit sa coupe de champagne. Il fronça les sourcils en la voyant faire, il n'avait pas terminé et aurait bien vidé le contenu de son verre directement dans son gosier. Bref, passons. Il aura certainement tout le loisir de la terminer après. Elle s'arrêta à sa hauteur et l'incita à se rapprocher d'elle en posa délicatement sa main mouillée dans son cou. Charline lui avoua être conquise par sa petite mise en scène. « C'est le but princesse. » répondit-il faiblement. Les yeux directement rivés sur ses lèvres, il était aussi conquis qu'elle. La brunette lui demanda alors de se retourner. Il arqua un sourcil en levant les yeux vers les siens. Il ne semblait pas comprendre pourquoi elle lui demandait ça. En fait, ce n'était pas une demande mais plus un ordre. Sloan n'avait pas le droit de râler ou de demander pourquoi une telle demande. Sans chercher à comprendre, il s'exécuta et se retourna non pas sans quelques difficultés. La baignoire était grande mais on était loin du jacuzzi sept places. Finalement, il vint se reculer sur elle et se poser contre son corps si frêle. Le jeune homme se laissait faire et ne montrait aucun signe d'agressivité ou de bipolarité, il était bien et profitait d'une petite pause dans les bras de sa belle. Instinctivement, il mit ses bas autour de ses cuisses et posa ses mains sur ses mollets. Cette fille avait un corps de rêve et le rendait fou. Plus aucun bruit ne se faisait entendre dans la salle de bain, ils se contentaient d'apprécier le moment présent. La main de Charline vint se poser sur son torse, il esquissa un petit sourire en la voyant faire. Ce qui suivit étonna l'Eliot qui ne s'attendait pas à un tel aveu. Elle se confia directement en lui avouant ne pas avoir confiance en elle. Il resta silencieux, c'était surement plus facile pour elle de se livrer à visage couvert. Il respectait sa parole et la laissa parler. Une fois qu'elle eut terminé, il se risqua à dire quelques mots. « Profite Charline, c'est ta soirée. Ne pense plus à rien, laisse toi guider. » murmura-t-il avant de venir capturer ses lèvres et l'embrasser passionnément. Sloan leva son avant bras pour le poser dans son cou. Ces baisers lui avaient énormément manqués et il prenait un malin plaisir à y retrouver goût. Ils échangèrent un baiser intense et fort. Le beau brun ne put s'empêcher de se laisser envahir par l'envie de son corps. Après tout, elle était complètement nue, juste derrière lui. Il faudrait être fou pour ne pas succomber devant une telle beauté. Il ne mit pas longtemps avant de se retourner pour venir coller son corps contre le sien. Ils enchaînèrent les baisers, tous plus torrides les uns que les autres. Charline voulait faire quelque chose de dingue. L'Eliot se recula légèrement et plongea son regard dans le sien. « Hm ? » Alors là, je vous laisse imaginer toutes les images qui vint lui traverser son esprit pervers. Sloan ne pu s'empêcher de sourire, un peu bêtement d'ailleurs. Il ne le disait pas mais il était prêt à satisfaire les moindres de ses désirs, aussi cochons soient-ils. « Ta dernière fois ? Comment ça ? » la questionna-t-il. Il avait besoin de redescendre sur terre là. Charline laissa planer le suspense avant de finalement lui demander de fumer avec lui. Sa première réaction fut de froncer les sourcils avant de se détendre légèrement. Fumer avec elle ne faisait pas vraiment des choses qu'il avait imaginé quelques secondes auparavant mais pourquoi pas. « T'es sure de toi ? » murmura-t-il avant de déposer un doux baiser sur ses lèvres. L'Eliot avait du mal à se détacher d'elle mais l'idée n'était pas vraiment pour lui déplaire. « Tes désirs sont des ordres. » dit-il entre deux baisers. Finalement, Sloan se décolla d'elle et se leva. Debout dans cette baignoire, il ne pouvait cacher l'excitation qui l'avait envahi. Il baissa la tête et explosa de rire. « Bah ouais, moi je m'attendais à quelque chose de plus ... cochon. » lança-t-il avec légèreté. Sans plus attendre, il laissa Charline seule dans la salle de bain et alla jusqu'à sa chambre pour chercher l'objet de toute convoitise. C'était étonnant qu'elle veuille fumer, elle semblait relativement réticente à cette pratique. Pourquoi pas, après tout, il valait mieux qu'elle ne fumer avec lui plutôt qu'avec un illustre inconnu. Depuis peu, il avait augmenté sa consommation de drogue mais n'en parlait à personne. Sloan ne revendait pas non plus, c'était juste pour sa conso personnelle. La disparition de sa mère l'affectait énormément et il trouvait refuge dans la weed. Pratique peu conseillée dans sa situation mais qu'importe. Il s'était retrouvé livré à lui même et voilà le résultat. Il ne mit pas longtemps avant de sortir de sa cachette secrète un joint délicatement roulé. Ce n'était pas son premier joint de la journée, il avait fumé avant qu'elle ne débarque. C'était certainement pas une bonne idée pour lui mais qu'importe, il n'allait certainement pas se faire prier pour la voir fumer. Il déposa le joint en équilibre sur son oreille, attrapa un briquet et retourna dans la salle de bain, le coeur léger. Un large sourire vint orner ses lèvres, Charline n'avait pas bouger, c'était une bonne chose. Sans tarder, il s'approcha de la baignoire. « Hop, j'ai plus besoin de ça. » dit-il avant de baisser son caleçon et de grimper dans la baignoire. L'envie était redescendue. Sloan n'a jamais été pudique et n'avait aucun problème à se balader à poil, c'était plutôt une pratique qui lui plaisait. Il s'installa confortablement, face à Charline. « Tu peux encore changer d'avis, tu sais. » dit-il en prenant le joint du bout de ses doigts et de le déposer sur ses lèvres. Il apporta le briquet et sans même attendre la réponse de sa belle, il déclara le joint. L'envie de fumer semblait bien trop forte pour la renier. Le beau brun sombrait petit à petit dans la drogue mais se gardait bien de le dire. Pour l'instant, ça passait inaperçu et c'était tant mieux pour tout le monde. Il inspira profondément avant de posa son bras sur le rebord de la baignoire, de lever sa tête en arrière et de recracher délicatement la fumer en l'air. Les yeux fermés, il appréciait cette bouffée si convoitée. Aucun risque que l'alarme incendie ne se déclencha, il l'avait déjà trafiquée. Doucement, Sloan redressa sa tête et tendit le joint à Charline. « Fais-toi plaisir. » dit-il d'un calme déconcertant. Un petit rictus apparu sur le coin de ses lèvres. Il appréciait cette prise de risque et quelque chose lui disait qu'il n'allait pas regretter de la faire fumer.
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Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Mon souffle se mélangeait au sien. Je pouvais sentir le doux champs des battements de son cœur. C’était une musique douce et excitante. Il était devant moi complètement désarmer et j’avais pour la première fois l’impression de véritablement lui appartenir. J’en avais envie en tout cas. Son visage était tourné vers le mien. Ces lèvres capturaient les miennes, ma langue s’entremela à la sienne et mes cuises se refermaient doucement autour de son corps. Seule ces mains arrivaient à me faire perdre le contrôle de moi même. Je n’arrivais plus à penser. Mes doigts se perdaient dans la nuque de l’éliot. Mes yeux se fermaient profitant de l’intensité de ce moment. Il était à moi et rien qu’à moi dans cette baignoire. Il se retourna délicatement prenant soin de garder se contact au combien excitant. Mes lèvres bougeaient à l’unisson avec les siennes. J’étais complètement possédé par ce plaisir enivrant. Il se colla à moi. Ma poitrine venait effleurer la peau de son torse et mon bassin de colla au seul vêtement qu’il lui restait encore. Mon front se colla contre le sien et ma respiration s’accéléra. Mon excitation montait en flèche avant de subitement lui faire part de mes idées noirs. J’avais envie de faire quelques chose d’absurde avec l’homme dont j’étais en train de tomber amoureuse. « Ta dernière fois ? comment ça ?» mes paroles étaient quelque peu étrange. Je me mis à sourire en voyant le regarder curieux de Sloan avant de lui balancer mon idée. J’avais envie de fumer avec lui, de gouter à ce doux plaisir que pouvait provoquer la drogue. Ma curiosité me piquait à vif et j’avais envie de la satisfaire avec le seule homme en qui j’avais totalement confiance. Il semblait surpris et sincèrement je l’étais aussi. Ces paroles étaient sorties sans le moindre filtre. J’avais envie de faire cette chose stupide avec lui. Je me mis à grimacer avant qu’il ne rajoute : « T’es sure de toi ?» sure ? je ne l’étais pas mais je finis par hocher la tête en apportant une de mes mains à ma bouche. Je n’avais jamais essayé la weed et pour tout vous dires, j’avais toujours refusé d’y toucher. Il déposa ces lèvres contre les miennes et ajouta une nouvelle fois « Tes désirs sont des ordres.» je me mis à rire. Ne croyant toujours pas à l’idée que je venais d’avoir. Fumer avec Sloan, dans un bain complètement nu, le jour de mon anniversaire. Je me mis à sourire bêtement. Sloan m’avait offert le plus beau des cadeaux et je lui en étais reconnaissante. Il avait balayer ces mauvais souvenir d’un revers de la main et pour la première fois j’appréciais cette journée. Il se redressa pour sortir de la baignoire, délicatement mes doigts se posèrent sur ses chevilles. L’eau dégoulinait de façon sensuelle sur son corps parfaitement sculpté. Je me pinçais les lèvres avant de regarder la bosse bien formé de son caleçon. Je me mis à sourire « Bah ouai, moi je m’attendais à quelque chose de plus... cochon.» je me mis à rire. L’ambiance était légère et chaude. Bordel que sa faisait du bien de s’abandonner à de tel émotion. Je ne réfléchissais plus et je ne luttais pas contre moi même. Je profitais pleinement d’un moment à deux. Il s’empressa d’aller chercher l’objet tant convoiter. Il ne tarda pas. Mes mains jouaient encore avec la mousse apparenta qui se trouvaient devant moi. Mon regard s’attarda sur ces choses simple. Les bougies étaient parfaitement placé, ce mec m’aimait. J’avais toujours du mal à le comprendre. Comment pouvait-il aimer une personne comme moi ? aussi compliqué et réticente à l’idée d’offrir ses sentiments et son cœur ? Mon sourire s'évanouie avant de finalement réapparaître en le voyant revenir vers moi. J’aimais à le savoir proche de moi et j’aimais être proche de lui. Ce mec était en train d’entacher un peu plus mon esprit. « Hop, j’ai plus besoin de ça.» il retira son caleçon et un sourire satisfait s’afficha sur mon visage. « Il était temps» dis-je en rigolant avant de le voir reprendre sa place d’origine. Il était en face de moi. Son regard était mystérieux et perçant.  « Tu peux encore changer d’avis, tu sais.» ma tête se pencha sur le côté et je lui fis : « J’en ai envie Sloan.» cette envie était sortie de nulle part mais j’avais envie de ressentir cette sensation au moins une fois dans ma vie. Amatrice de sensation forte et de nouvelle découverte, il me tardait d’apporter le joint à mes lèvres. Il le plaça entre les siennes. Il était concentré et minutieux dans ces gestes. Le joint tenait en suspension entre ces lèvres et il l’alluma laissant échapper un nuage de fumé blanche. Je l’observais minutieusement. Bordel qu’il était sexy. Je me pinçais les lèvres avant qu’il me tende le joint. « Fais toi plaisir.» je me mis à sourire avant de l’attraper entre mes doigts. J’apportais doucement le joint à mes lèvres avant d’en aspirer une grande bouffer. La fumé se rependait dans mes poumons et mes yeux se mirent à me piquer. Bordel que c’était fort. Je me mis à tousser. Trop habituer à fumer normalement, j’en oubliais presque que j’avais ici à faire à un joint et non à une simple cigarette. Mes yeux se fermèrent appréciant l’effet presque immédiat. Mes muscles se détendaient avant de rouvrir mes yeux vers l’étudiant. Je me redressais et finis par me rapprocher de l’étudiant avant de venir m’asseoir sur ses jambes. J’encadrais délicatement la taille sa taille et il était presque impossible de ne pas le sentir. Son intimité se raidissait contre mon intimité. Bordel que c’était bon. Mon corps se colla contre lui, ma poitrine s'écrasa contre son torse. « Laisse toi faire » le joint se reporta à mes lèvres. J’inspirais délicatement faisant attention de ne pas trop abuser. La fumé toujours contenu dans ma bouche, j’approchais mon visage du sien. Mon front se colla contre le sien et ces lèvres s’entrouvaient. C’était exactement ce que je voulais. J’effleurais ces lèvres avant de relâcher délicatement la fumé blanchâtre dans sa bouche. Cette fumette était exactement ce à quoi je m’attendais. Elle était excitante et érotique. Mes lèvres se plaquèrent contre les siennes. « J’espère que sa te plait bushnell.» dis-je entre ces lèvres. Moi sa me plaisait. Impossible de retenir mon envie. Je lui tendis le joint pour apporter mes mains sur son torse. Mes doigts suivaient la forme de ses muscles. Ma respiration était anormalement calme alors que j’étais en train de bouillir au fond de moi. « Je te l’ai jamais dit mais j’adore ton torse» mes doigts remontèrent sur ces épaules pour venir caresser ces bras puis sa main encore libre. Je pris sa main avant de la placer dans mon cou. « J’adore tes mains...» bordel que je les aimais. Reconnaissable parmi 1000. Mon corps se mit à frissonner. Il prit une nouvelle bouffer de ce poison et je remontais sa main le guidant dans ces caresses. « Je sais que tu aimes sa aussi.» un sourire provocateur s’afficha sur mes lèvres en voyant l’oeil affûte de sloan. Il ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais. J’approchais sa main de ma bouche. Faisant référence à cette douce nuit dans la fameuse cave. « j’aime tes doigts...» Mes mains laissèrent celle de Sloan. Elle approcha de mes lèvres et caressa son contour. Mon regard ravageur se posa sur lui et je lui fis : « Fait moi fumer.» il fronça les sourcils et approcha le joint de mes lèvres. Avec minutie, j’inspirais creusant mes joues. Mon regard ne le lâchait pas d'une semelle. Bordel que c’était excitant. En réalité, je n’en pouvais déjà plus. Je le cherchais et le provoquais. Mon visage se pencha en arrière pour relâcher la fumé que je venais d’accumuler dans ma bouche. Son regard détaillait chaque geste que je faisais. Je le sentais. Mon regard se reporta sur lui avant d’approcher mon visage du sien « bordel sloan... j’ai envie de toi.»  ma respiration s’accélérait. Elle était douce et chaude. Mes mains s’attachaient au rebord de la baignoire. La jointure de mes doigts devenaient blanche tellement je serrais le rebords de la baignoire. J’avais envie de lui et la drogue accéléraient tout ce processus. Mes yeux me piquait et je mis à rigoler. « Mes yeux me piquent... c’est normal ?» Je me sentais plus légère, tout étais beaucoup plus calme dans ma tête depuis que j’avais apporté cette merde à mes lèvres. Mon regard le détaillait fumer. « Tu m’as entendu sloan ? je veux que tu me prennes dans cette baignoire.» mes mots étaient cru, beaucoup trop cru et je me mis à froncer les sourcils. Ma main se porta à ma bouche. Je n’avais plus aucun filtre et s’en étais plus que surprenant. La maniaque du contrôle déposait peu à peu les armes.
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Ce petit moment privilégié dans sa salle de bain prenait, doucement, des allures de fantasme. Charline était complètement nue dans la baignoire, l'eau chaude recouvrait délicatement sa peau, cachant le plus excitant mais laissant apparaître des courbes féminines. Installé juste en face d'elle, Sloan ne la quittait pas des yeux. Obnubilé par l'idée de la faire fumer, il avait encore du mal à s'y faire. C'était vraiment étonnant, surtout venant de sa part. La Granger était, en quelque sorte, une maniaque du contrôle. Elle voulait tout diriger. Que ça soit sa vie mais également celle des autres. La brunette avait un don pour imposer ses choix et ne laisser aucune chance aux autres. Après tout, même s'il ne connaissait pas l'histoire dans sa totalité, le jeune homme savait que Charline avait fuit sa famille et ne leur avait pas vraiment donnés de nouvelles. Elle s'était barrée presque sans raisons ou explications, pour dormir dehors. Sur le même principe, elle avait imposé à Sloan un rythme qui ne le convenait pas. Sous prétexte que son père était revenu dans sa vie, elle s'était éloignée de lui, sans même le consulter avant.  Elle avait mit une barrière entre eux, au moment où avait le plus besoin d'elle. Vivant très mal la disparition de sa mère, il avait besoin d'être soutenue et n'avait pas trouvé en sa belle tout le soutien espéré. Cette fois-ci, tout était différent. Charline était prise au piège dans sa salle de bain et il ne comptait pas la laisser partir aussi facilement. Il commençait à peine à renouer le contact, il était hors de question qu'il ne la laisse filer, encore une fois. Le beau brun comptait profiter pleinement de sa présence, au risque de tomber de haut par la suite. Personne ne savait ce que l'avenir pouvait leur réserver, leur relation était à la fois bancale et forte. C'était étrange et aucun mot ou expression ne pouvait définir ce qu'ils vivaient ensemble. Ils n'étaient pas un couple mais n'étaient pas amis non plus. Sloan s'était livré sur ses sentiments, il avait dit je t'aime à une fille pour la première fois de sa vie et c'était tombé sur elle. Charline devait s'estimer heureuse qu'il s'investisse autant dans cette relation. Il était attaché à sa belle et devenait de plus en plus entreprenant envers elle. La Granger devrait faire attention à ne pas trop lui laisser prendre du terrain. En fait, c'était quitte ou double. Soit, il arrivait à atteindre son coeur ou soit, il en faisait trop et c'était la distance assurer. L'Eliot ne savait pas exactement sur quel pied danser et c'était aussi intriguant que frustrant. Il savait pertinemment qu'elle n'aimait pas s'investir dans ses relations, il savait aussi qu'elle ne s'autorisait pas le bonheur et pourtant, ce soir elle était présente. Sloan ne pouvait s'empêcher de penser qu'il avait des chances de la conquérir pour de bon. Il restait persuadé que ses réticences face à la définition de l'amour ou même du mot couple, restait qu'une barrière pour se protéger. Cette même barrière qu'il avait franchi la semaine dernière. Le décès de sa mère lui avait fait prendre conscience à quel point la vie pouvait être courte et qu'il fallait en profiter. Il misait beaucoup sur sa relation avec Charline et voulait faire d'elle sa princesse. Celle qui fera battre son coeur, la fille qu'il aime et qu'il protégera contre vents et marrés. Il voudrait voir en elle, sa copine, sa moitié, la future mère de ses enfants ou tout simplement la femme de sa vie. Mais pour y arriver, il avait encore du chemin à parcourir. Dans cette aventure, Sloan ramait énormément, d'ailleurs, c'était bien la première fois qu'il y mettait autant du sien. En temps normal, il se contentait de quelques compliments, quelques dîners aux chandelles et quelques petites attentions délicates. Alors que là, tout était tellement différents. Il semblait se surpasser à chaque rendez-vous. Toujours dan l'intimité, personne ne savait exactement ce qui se passait être eux. Les deux étudiants semblaient mettre un point d'honneur à rester cacher. Ne pas s'exposer à la vue de tous semblait être un bon compromis. Peut-être ne voulaient-ils pas être jugés. C'était surement ça. En temps qu'Eliot, Sloan avait une certaine réputation à tenir et fricoter avec une voleuse n'était pas une chose correcte pour sa condition. Charline n'était pas riche et ne s'habillait pas avec la dernière collection Burberry. Mais d'un sens, c'est ce qu'il l'avait fait craquer chez elle. Un style décalé pour une fille hors du commun. Pas de vulgarité, pas d'artifice, la brunette était simple et atypique. Elle savait se contenter des belles choses mais également de tout ce que la vie pouvait lui offrir. Elle avait cette petite étincelle dans le regard qui le faisait fondre. C'était d'ailleurs, avec cette même étincelle qu'elle le regardait actuellement. Curieuse de goûter à la drogue pour la première fois de sa vie, elle lui faisait penser à une petite fille qui préparait un plan diabolique ou à une femme fatale avide de nouvelles sensations. Sloan était flatté qu'elle veuille fumer avec lui, cela voulait dire qu'elle lui faisait confiance. Après tout, elle ignorait les effets que la weed pouvait avoir sur elle. La Granger acceptait, en quelque sorte, de se montrer vulnérable face à un Bushnell au taquet. Fumer était une excellente idée, il n'aurait pas pu espérer mieux. Certes, ce n'était pas son premier de la journée mais qu'importe, il ne comptait pas le fumer dans sa totalité. Non quand même, il allait bien partager un peu. Une fois allumé, il tendit le joint à Charline qui s'empressa de l'attraper. Il posa le briquet juste à côté d'eux et reporta son attention sur elle. Sloan était curieux de voir comment elle allait se débrouiller avec de la weed. Il appréciait cette prise de risque et inconsciemment, cela rendait l’atmosphère encore plus érotique qu'elle ne l'était déjà. Sans chercher à comprendre, la brunette apporta le joint à sa bouche et tira délicatement dessus. Il ne la lâchait pas des yeux, examinant la scène d'un oeil expert. C'était bien la première fois qu'une fille nue se droguait dans son bain. Quoiqu'il en oit, les premiers effets de la weed ne se firent pas attendre. Charline clignait des yeux comme pour évacuer une gène quelconque. L'Eliot afficha un large sourire en la voyant, elle voulait faire sa femme, elle était trop mignonne. Un silence de plomb s'était installé entre les deux étudiants et Sloan chassa rapidement cette image de petite fille lorsqu'il la vit s'approcher de lui. Il se redressa et lui lança un regard provocateur, curieux de voir la suite des événements. Charline vint s'asseoir à califourchon sur lui. Un frisson lui parcouru le corps, il avait envie d'elle et ne pouvait plus le cacher. La brunette devait sentir son érection contre elle. Il n'y avait rien de pervers là-dedans. Il voulait juste lui faire comprendre à quel point il avait d'elle et de son corps. Elle le faisait fantasmer. Sloan ne se gênait pas pour la regarder et s'attarder sur sa poitrine qui semblait flotter dans l'eau. L'étudiante vint se coller contre lui et dans un moment d'extrême sensualité, elle lui envoya la fumée dans la bouche. L'Eliot ferma les yeux et inspira la fumée blanche. C'était torride et érotique. Ses mains se posaient instinctivement sur ses cuisses qu'il serra par pure réflexe. Il n'allait pas tenir bien longtemps. Avant qu'il ne puisse rouvrir les yeux, il sentit les lèvres de Charline se plaquer contre les siennes. Il sortit une main de l'eau pour la poser dans sa nuque et prolonger le baiser. Leur souffle se mélangeait, il sentait son rythme cardiaque s'intensifier sous la pression de son corps contre le sien. « J'crois que tu ne t'imagine pas à quel point j'ai envie de toi. » lui murmura-t-il entre deux baisers. Ils étaient à deux dans ce bain, ils étaient bien. Rien d'autre ne comptait à part sa princesse sur lui. Sloan ne pouvait s'empêcher de gesticuler sous elle, il ne tenait pas en place et cette position le rendait complètement dingue. Il était aux portes du paradis et ne semblait pas pouvoir y accéder pour l'instant. Charline se faisait désirer et elle avait raison. Le plaisir à venir n'en sera que plus délectable. La brunette lui tendit le joint pour qu'il puisse fumer à son tour. Du bout des doigts, l'Eliot attrapa le roulé et l'apporta à la bouche. Il se sentait dominateur et l'envie de lui prouver sa virilité se faisait ressentir. Oppressé par des pulsions sexuelles toutes plus intenses les unes que les autres, il n'allait pas tenir longtemps.D'un geste mécanique, il tira sur le joint avant de fermer les yeux, une nouvelle fois. Sloan appréciait ce moment et en savourait chaque instant. Il était le roi. Le roi de la baignoire mais le roi quand même. Il ouvrit les yeux lorsqu'il sentit les doigts de Charline sur son torse. Elle lui avoua apprécier sa musculature, un sourire satisfait apparut alors sur son visage. Il n'en espérait pas autant. Pour la suite des événements, il se laissa guider. La belle brune lui prit sa main et la posa dans son cou. Le temps semblait s'être arrêté et l'étudiant prit une nouvelle bouffée de son joint. Il lui caressa délicatement la peau humide de sa nuque, jusqu'à remonter sur sa joue puis ses lèvres. Sloan était obnubilé par elle et par la sensualité qu'elle pouvait dégager. « Hm. » grogna-t-il. En fait, L'Eliot ne l'écoutait pas vraiment, il se contentait de fixer ses lèvres pulpeuses et désirables. Oh ouais il la désirait, comme jamais il n'avait désiré personne. C'était une fantasme, une obsession. Il haussa un sourcil lorsqu'elle évoqua cette fameuse nuit dans la cave. Effectivement, il avait kiffé ses lèvres sur son érection. D'ailleurs, cette image et ce plaisir qu'il avait pu ressentir, le hantait jours et nuits. Sloan était dans un autre monde, il sentait les pulsations rapides de son coeur, battre dans tout son corps. Le désirs atteignait son paroxysme lorsqu'elle lui demanda de la faire fumer. Sans broncher, il s’exécuta. « Tu m’excite Charline. » murmura-t-il en l'observant fumer. Charline leva la tête pour recracher lentement la fumée. Comme un besoin vital, Sloan posa sa main sur sa nuque et la fit glisser jusqu'à son sein qu'il vint caresser délicatement. Il la détaillait, il ne voulait rien rater du spectacle unique qu'elle lui offrait. L'Eliot avait la bouche entrouverte, il semblait avoir perdu toute lucidité. Enfermé dans son fantasme, il avait l'impression de vivre l'un de ses éternels rêves hot. Charline avoua avoir envie de lui, il ne répondit pas. Il rigola légèrement lorsqu'elle lui demanda si c'était normal qu'elle ait les yeux qui piquaient. « Ouais c'est normal, ça va passer. » répondit-il calmement. La complicité à son maximum, ils se suffisaient à deux. Sloan était bien avec elle et ne voulait rien d'autre que profiter de cet instant. Contre toutes attentes, Charline agrippa le rebord de la baignoire et lui demanda de la prendre, là maintenant, dans cette foutue baignoire. Il cligna lentement des yeux et regarda son joint qui n'était pas terminé. Instinctivement, il s’humidifia les lèvres, c'était une proposition qu'il ne pouvait pas refuser. Néanmoins, il apporta une nouvelle fois le joint à la bouche pour fumer une dernière taffe. Il faisait traîner le moment, après tout, lui aussi avait le droit de faire désirer. Il garda la fumée quelques instants dans ses poumons avant de la recracher délicatement sur elle. La brunette ferma les yeux pour éviter que la fumée ne l'atteigne. C'est bon, il pouvait plus attendre non plus. Sans trop chercher à comprendre, il posa le joint sur le rebord de la fenêtre, juste à côté des coupes et la regarda avec un large sourire. « Redis-le. » lança-t-il en se redressant et en s'approchant dangereusement d'elle. L’entendre prononcer ces mots l'excitait terriblement. Sans plus attendre, il approcha son visage de son cou et vint l'embrasser langoureusement. « Dis-le que tu as envie de moi, ça m'excite. » dit-il d'une voix virile et limite autoritaire. Il pouvait se le permettre, il était en position de force. Ces mots dans sa bouche avait des allures de fantasme. Charline s’exécuta pour son plus grand bonheur. L'Eliot se recula et l’agrippa par les hanches. Son sourire était au summum de la perversion. D'un geste maîtrisé, il la souleva et plaça son érection aux portes de son intimité. Ce soir, elle allait avoir le contrôle de la situation. Sans un mot, il vint l'embrasser et appuya sur ses hanches pour l'inciter à s'abaisser. Fais-toi plaisir Charline.
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