Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLove is like war: easy to begin but very hard to stop • SLOAN ♥
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


Love is like war: easy to begin but very hard to stop • SLOAN ♥

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C H A R L I N E  A N D  S L O A N
Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Les minutes défilaient lentement, mon regard s'attardaient sur le minuteur de mon four tandis que mon ventre criait oh famine. Voilà plusieurs jours que je ne m'étais pas accordée un bon repas. Pathétique charline. L'alcool et les déboires de mon père avaient su retenir toute mon attention. L'appartement était calme. Hendrick était parti quelques jours chez ses parents et mon père vaguait à ses occupations. J'avais pour la première fois depuis quelques semaines l'appartement pour moi toute seule. Mes doigts cherchaient quelques chose, une occupation. Ils vinrent titiller le bout de mon pull. Un pull bien trop grand qui me rappelait une nouvelle fois ce souvenir profond. Ce moment de tendresse à New York avec le seul homme qui arrivait à m'amadouer. Sloan me manquait terriblement, beaucoup trop d'ailleurs. Un long soupire se dégagea d'entre mes lèvres en repensant à la veille. Cette soirée avait été celle de trop, mes souvenir était brouillés par le trop plein d'alcool et pour tout vous dires je ne me souvenais de pas grand chose. A part de cette fille, de cette photo. Mon visage lui était fermé. Beaucoup trop de question se posait et les réponses ne venaient pas. J'étais complètement perdue. Mes doigts n'osaient même pas prendre mon téléphone qui se trouvait juste devant moi. Sloan m'échappait. Je le sentais et j'en étais malade. Sans trop comprendre, je me levais pour aller m’affaler sur le canapé. Un peu de repos n'allait pas faire de mal. J'étais épuisée mentalement et physiquement. J'avais besoin d'une pause et le summer camp allait être l'occasion parfaite de relâcher un peu la pression. Mon corps s'allongea lourdement sur le sofa et mes yeux ne tardèrent pas à se fermer. La nuit n'avait pas suffit. Je m'endormis paisiblement avant d'être rattrapé par une odeur de brûler. Mes yeux s'ouvrirent difficilement et mes sourcils se froncèrent. La sonnerie de mon four se mit à retentir. Je me précipitais vers mon four et l'ouvris. Une épaisse fumé noir s'en dégagea. " FAIT CHIIIIER ! " je n'étais même plus capable de me faire à manger. L'horreur. Je me mis à tousser avant d'agiter mes bras. Sans réfléchir, ma main cherchait à prendre la plaque brûlante qui se trouvait à l'intérieur du four. Charlineeeeeee sérieusement voilà que je venais de me brûler. La douleur était elle que je me mis à hurler. Je me précipitais vers levier pour passer mes doigts sous l'eau. Mon visage se crispa de douleur avant d'entendre la sonnerie de mon téléphone. Je coupais l'eau et entoura ma main d'un torchon humide. Mon regard se plissa en voyant le prénom de sloan apparaître. " Charline... Je crois qu'une discutions s'impose. Il faut qu'on parle. Je t'attends " à ces simples mots, je déglutis. Il l'avait fait... il avait passer le capte et moi j'étais restée bêtement à le regarder sans me battre. Instinctivement, je partie dans ma chambre laissant en désordre ma cuisine. Au diable le gratin de patte trop cuit  Love is like war: easy to begin but very hard to stop • SLOAN ♥ 1881463262. J'enfilais rapidement un jean et un haut sans chercher à savoir si je ressemblais à quelques choses. Je n'avais pas le temps. Il voulait parler et bien nous allons parler. Je mis mon téléphone dans ma poche de jean et pris soin de bander ma main endolorie. Sans plus attendre, je pris rapidement la direction de l'hôtel de sloan. Il ne m'avait fallu que quelque minutes pour y arriver. Durant le trajet, mes pensées tourbillonnaient dans tout les sens. Hier soir... il m'avait oublié. . Une fois arrivée, je sortie très rapidement de ma voiture. Le réceptionniste me fit un petit signe de main et mon sourire lui tarda à arrivé. Quelque chose n'allait pas et sa se voyait sur mon visage. Arriver à l'ascenseur, j'appuyai plusieurs fois sur le bouton. Rien... mon regard jeta un rapide coup d'oeil à la pendule. Les secondes devenaient des minutes et les minutes devenaient des heures. Je n'avais pas le temps d'attendre cette ascenseur et c'est avec conviction que je pris les escaliers. L'effort était ultime pour une épave comme moi. Arrivée au dernière marche, mon souffle était coupée. Mes mollets me faisaient terriblement mal. Je ne m'accordais aucune pose. Arrivée devant la porte de sa chambre. Complètement paniqué à l'idée de voir ou d'entendre quelques choses que je ne souhaitais pas. J'actionnais la poignet. La porte ne s'ouvrait pas pourtant j'accélérais le mouvement. Ma respiration était encore rapide et d'un coup mon visage se retrouva en face de celui de l'Eliot. Mon regard se décomposa littéralement. Il ne pouvait pas me quitter pas maintenant alors que les choses n'avaient même pas commencer. Mes mains se portèrent sur le torse de l'éliot pour le faire reculer et entrer dans sa chambre. Doucement, je le plaquais contre le mur de son couloir. Mon regard vide se plongea dans le sien. J'étais complètement paniquée. Ma respiration était rapidement trop rapide. " Tu m'as oublié, c'est sa hein ? " mes doigts restaient sur son torse. Mon regard lui se baisa pour regarder mes mains avant de froncer des sourcils en sentant cette douce odeur de fleur. " Tu as couché avec ? et ne me dit pas qu'elle est encore là sloan parce que je te jure que je pourrais pas l'accepté ! " rien qu'à ces paroles mes doigts se contractèrent sur son torse. Sloan ne semblait rien comprendre à ce qui se passait sous ses yeux. Mes sourcils se froncèrent à ce silence et je me mis à reculer. " c'est son odeur que je sens... hein.... ? " dis-je tentant de contrôler les larmes qui ne demandaient qu'à couler. Ma respiration était entre couper. " Dit moi... si tu m'as oublier. Dit le moi Sloan ! "  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
Vivre dans le déni n'a jamais fait parti de ses prérogatives. Sloan a toujours essayé de voir les choses avec le plus de lucidité possible, il n'a jamais été du genre à s'en remettre au destin. Même s'il a tendance à agir sans réfléchir, il savait pertinemment que ses faits et gestes avaient des conséquences directes sur sa vie. Le décès de sa mère était un tragique événement et il avait du mal à accepter son absence. Il se sentait délaissé et impuissant face au vide qu'elle avait laissé. A plusieurs reprises, il essaya de sortir pour se changer les idées mais c'était sans compter sur un retour à la réalité bien trop brutal à chaque fois. Depuis peu, l'Eliot s'était remis à fumer mais n'en parlait pas. Personne, pas même son en entourage, n'était au courant et il tenait à garder cette information secrète. Il ne voulait pas remettre en cause son intégration et sa place dans la confrérie. Quitter les bleus serait pour lui, une véritable hécatombe. Le coup de massue final. Son beau-père semblait être la dernière personne à s’intéresser encore à lui, il ne pouvait décemment pas le laisser tomber. Sloan avait besoin qu'on le soutienne et qu'on croit en lui. A cet instant précis de sa vie, il était devenu un homme fragile qui manquait cruellement d'attentions et de confiance en lui. Et la situation avec Charline ne semblait pas vraiment arranger les choses. Voilà plus de deux semaines qu'elle le laissait sans nouvelles. Elle lui avait envoyé un seul petit message, pour se donner bonne conscience peut-être. Le beau brun ne comprenait vraiment pas cet éloignement et restait dans le flou le plus complet. La Granger ne semblait pas décidée à lui donner l'explication dont il avait terriblement besoin. Il se doutait bien que son père pourrait y être pour quelque chose mais cela ne restait qu'une supposition. Si ça se trouve, elle voulait juste s'éloigner de lui pour mettre une terme à leur relation si étrange. Après tout, Sloan lui avait avoué ses sentiments et elle n'y avait pas encore répondu. Voilà presque un mois qu'il lui avait dit ces trois petits mots, je t'aime. Au début, il n'attendait pas forcément une réponse de sa part mais là, il commençait à perdre patience. L'Eliot vivait très mal l'éloignement et voulait être fixé, une bonne fois pour toute. Il aimait cette fille, il en était dingue et ne savait pas vraiment comment réagir face à tout ça. Il ne comprenait pas et ne voulait pas comprendre. Cela ne pouvait pas se terminer ainsi, non, hors de question pour lui de baisser les bras. Aujourd'hui était un jour assez spécial pour Charline, c'était son anniversaire et Sloan n'avait pas prit la peine de l'appeler ou même de passer la voir pour lui souhaiter. Non, il lui réservait une petite surprise et espérait, de tout son coeur, que cela fonctionne. C'était quitte ou double. Soit il marquait des points ou soit, il la perdait à tout jamais. Le jeune homme n'était pas du genre à s'accrocher à du vide, il avait besoin de concret. Et d'autant plus avec la disparition brutale de sa mère. Il avait besoin d'être rassuré et d'être clair dans sa tête. Tant que Charline ne lui aura pas dit exactement ce qu'il y avait entre eux et dans sa vie, il ne pourra pas avancer. Au delà de la remise en question continuelle, Sloan voulait en avoir le coeur net. Est-ce que oui ou non leur histoire avait une chance de continuer, voire même de débuter. Ils n'étaient pas en couple mais il lui avait dit. Je t'aime, ces mots étaient bel et bien sortis de sa bouche. L'Eliot sursauta lorsqu'il entendit taper sa porte. Sans chercher à comprendre, il quitta la salle de bain pour aller ouvrir. Son sourire s'élargit en voyant Scott, l'un des employés de l'hôtel. « Merci Scott, tu me sauves la vie. » dit-il en attrapant le sceau de champagne et les deux trois trucs qu'il lui avait demandé. Le jeune homme tendit alors un beau petit billet à l'employé et lui fit un clin d'oeil. En huit ans, Sloan avait prit ses habitudes ici et connaissait bien les employés. Certains étaient devenus des amis pour lui. « Merci Monsieur, profitez bien de votre soirée. » L'Eliot afficha un sourire amusé avant de lui répondre quelque chose du genre ne t'inquiète pas pour moi. Il referma la porte et retourna dans sa salle de bain, le sourire aux lèvres. Il était un peu stressé et honnêtement, il ignorait tout de la suite des événements. Il avait prévu une petite surprise pour Charline mais ne savait pas si elle allait entrer dans son jeu ou si même elle allait venir. Sloan attrapa furtivement son portable et pianota quelques mots histoire de lui envoyer un message. Ce fut un sms assez froid et explicite. Il l'avait fait exprès pour qu'elle vienne et pour éviter qu'elle ne se doute de quelque chose. Effectivement, ce n'était pas très malin de sa part, c'était du Bushnell tout craché. Alors qu'il peaufiné les derniers détails, il entendit un bruit sourd. Sans chercher à comprendre, il déboula de la salle de bain et prit soin de bien fermer la porte derrière lui. Il s'avança vers la porte de sa chambre et voyant que la poignée allait vite, il ne tarda pas à l’enclencher. Il ouvrit donc la porte et vit Charline. « Charli... » dit-il avant d'être coupé dans son élan. Son sourire disparu presque instantanément. La brunette posa alors ses mains sur son torse et l'obligea à reculer. S'en suivit tout un tas d'accusation. Sloan restait silencieux, il ne s'attendait tellement pas une telle réaction. « Qu'est-ce-qu'il t'arrive ? De quoi tu m'parles ? » demanda-t-il sur un ton plutôt agressif. Elle continuait de lui reprocher tout un tas de choses. Une fois qu'elle eut fini, il fronça les sourcils et enleva sa main de sur son torse. Le beau brun mit environ dix secondes avant de replacer le contexte et de se souvenir de sa soirée de la veille. Il avait posté une photo de Laïna sur Instagram. Sloan avança jusqu'au salon de sa chambre et se retourna vers elle. Il pointa son doigt en direction de Charline. « C'est moi qui t'aurais oublié alors que tu ne me donnes aucune nouvelle depuis un mois ? T'es gonflée ! » dit-il sur un ton plutôt sec. On voyait bien que cela lui tenait vraiment à coeur. Il recula d'un pas. Finalement, il allait l'avoir plus tôt que prévu son explication. Elle voulait en parler ? Très bien, ils allaient donc parler. « T'as pas perdue de temps pour poster une photo avec ton putain de coloc de merde ! T'es pas la mieux placé pour parler ! Tu crois quoi ? Que j'allais rester dans ma chambre d'hôtel à attendre un malheureux message de ta part ? Tu rêve là j'espère ! J'ai juste passé une super soirée avec elle et ça m'a fait du bien ! Elle m'a fait rire, chose qui ne m'est pas arrivé depuis des semaines. Alors excuse moi surtout d'avoir voulu profiter un peu de la vie plutôt que de me morfondre à t'attendre. Je ne suis pas à tes pieds Charline, j'ai pas à subir tous tes caprices ! » dit-il en haussant le ton et en lui affichant un regard accusateur. En fait, il réglait ses comptes, cela lui tenait trop à coeur, il n'aura pas attendu bien longtemps avant de se livrer hein. « Je n'ai... Je ... Ça m'énerve putain ! » bredouilla-t-il. En fait, ce n'était pas vraiment la tournure qu'il espérait. Sloan se tourna légèrement sur la droite, passa ses mains dans ses cheveux avant de reporter son attention sur elle. « Et ça change quoi que j'ai couché avec elle ou pas ? Hein ? Vu que t'en a rien à foutre de ma gueule depuis un mois ? » demanda-t-il agressivement. Certes entre deux, il y avait eu le car wash et la soirée dans la cave mais ce fut trop bref pour espérer y déceler quelque chose. Sloan en oubliait presque ce pourquoi il l'avait fait venir à la base : son anniversaire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C H A R L I N E  A N D  S L O A N
Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Il retira mes mains de sur son torse et se faufila dans la chambre. Mon regard restait fixé sur lui. Qu’allaient-être ces paroles troublantes ? J’avais peur et mes mains se mirent à trembler. Le perdre maintenant était inconcevable, j’avais besoin de lui et j’espérai qu’il est encore besoin de moi. Même si j’en doutais fortement. Ce doux parfum enivrait la pièce entière. S’en était insupportable que de sentir l’odeur d’une autre femme. Ma gorge se serra et mon attention se reporta sur l’étudiant. Il avança dans le salon tandis que je le suivais à distance. Parle-moi Sloan... bordel. Il se retourna et pointa son doigt sur moi. Les traits de son visage s’étaient durcis. « C’est moi qui t’aurais oublié alors que tu ne me donnes aucune nouvelle depuis un mois ? T’es gonflée ! » je l’étais effectivement. J’avais causé tout ce trouble et la seule personne qui était à blâmé. S’était moi. J’étais incohérente, complètement perdu dans ce vide que j’avais moi-même créé. Pourtant ce soir les choses semblaient si claires. Je ne voulais pas le perdre... et pourtant cette odeur revenait titiller mes narines. Le garder éloigné de moi me rassurait mais le voir s’éloigner de moi m’inquiétait au plus haut point. Je ne voulais pas qu’il disparaisse. Je ne voulais pas de ça. Il se recula mettant un peu plus de distance entre nous. Mes bras se croisèrent contre moi. Frustré de ne pas profiter du corps qui me faisait tant fantasmer. Ma respiration s’était calmé, retrouvant un semblant de normalité. Mon coeur lui s’accélérait encore et encore. Ces battements raisonnaient dans ma tête. « Tu n'as pas perdu de temps pour poster une photo avec ton putain de coloc de merde ! T’es pas la mieux placée pour parler ! Tu crois quoi ? Que j’allais rester dans ma chambre d’hôtel à attendre un malheureux message de ta part . Tu rêves là j’espère ! J’ai juste passé une super soirée avec elle et ça m’a fait du bien ! Elle m’a fait rire, chose qui ne m’est pas arrivé depuis des semaines. Alors excuse-moi surtout d’avoir voulu profiter un peu de la vie plutôt que de me morfondre à t’attendre. Je ne suis pas à tes pieds Charline, je n'ai pas à subir tous tes caprices. ! » mes sourcils s’étaient froncés et mon regard durcit. Ma question restait sans réponse et ce parfum continuait encore et encore à aller et venir. Ma mâchoire se crispa à ces paroles. Il avait raison sur un peu prêt tout. J’avais récolté toute cette merde, je l’avais poussé à m’oublier. Et s’était sans doute sa qui était le plus dur à gérer. Une main se porta à mon front tandis que mon regard fuyait le sien. Plus les minutes passaient et plus mes doutes se réduisaient. Son absence de réponse sonnait comme un doux poison qui se faufilait dans mes veines. J’avais mal partout, la douleur était telle que je n'arrivais même plus à le regarder. J’étais complètement folle. Ces mots continuèrent d’affluer « Je n’ai pas... Je... ça m’énerve putain !» mon visage s’était relevé. Dit moi que tu n’as pas couché avec elle. Sloan était aussi énervé que moi. Je le sentais doucement perdre pied. « Et ça change quoique j’ai couché avec elle ou pas ? hein ? Vu que t’en a rien à foutre de ma gueule depuis un mois ? » Ses paroles étaient agressifs et de trop. Elles ne tardèrent pas à alimenter le film que j’étais en train de me faire dans ma tête. Mon regard s’était relevé à ces paroles et je ne pu retenir mon dégoût. « tu as couché avec elle ! Tu as couché avec elle dans cette putain de chambre d’hôtel Sloan ! » J’avais décelé là une réponse qui n’était pas la bonne. Obnubilé par cette peur de le perdre, je m’engouffrais à moi toute seul dans ce mensonge. Machinalement sans pouvoir me contrôler, je m’avançais vers lui réduisant la distance qu’il avait installée. « Qu’est-ce que sa change ? PUTAIN TU OSES ME DEMANDE CE QUE SA CHANGE ! Sa change tout Sloan... » la colère me montait aux joues. J’étais rouge et j’avais atrocement chaud. Ma raison me quittait et ces paroles affluaient à une vitesse folle. Je m’étais rapproché avant de finalement secouer la tête pour me rétracter. Il avait couché avec cette connasse et son odeur emplissait les lieux. Le silence s’installa tandis que je marchais pour tenter d’échapper à cette colère qui ne faisait que monter. « J’ETAIS EN TRAIN DE TOMBER AMOUREUSE SLOAN ! J’ETAIS EN TRAIN DE TOMBER AMOUREUSE DE TOI BORDEL » cette vérité était bien réelle, elle était peut-être lâcher trop tard mais elle l’était. Mon coeur s’était attaché à cet homme et je venais juste d’en prendre conscience. « je t’ai éloigné de moi parce que tu n’as pas besoin de tout ce bordel qu’est ma vie ! Carl aurait fait qu’une bouché de toi, il aurait détruit ce qu’on était en train de construire...» dis-je méchamment en faisant de rapidement mouvement de bras. « Il aurait tout ruiné ! » bien sûr qu’il aurait tout ruiné. Carl était comme ça. Il s’attaquait à la moindre chose qu’il pouvait y avoir de potable dans la vie de ces enfants. Sloan faisait partie des belles choses qui ornaient ma vie. Mes mains continuaient de trembler et cette odeur... je n'en pouvais plus. J'étais dos à lui, je ne voulais pas le regarder « je pensais bien faire en t’écartant de ma vie mais je vois que je me suis trompée ! Et je peux rien y faire pour changer sa ! » mon regard se perdait au loin. Il détaillait le paysage qui s’offrait à moi. J’essayais de me calmer mais je ne demandais qu’à exploser « RETOURNE LA VOIR ! ET LA PROCHAINE FOIS NE M’INVITE PAS APRES ELLE ! SON PARFUM PUE LA ROSE ! » dis-je sur la défensive avant de lâcher ce paysage des yeux. Mon corps se retourna pour rejoindre la porte de la sortie. S’en était trop. Son silence était ma réponse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
Impensable. En écrivant ce foutu message, Sloan avait lancé une bombe. Bien loin de s'imaginer qu'elle allait littéralement lui exploser à la gueule, il n'avait pas vraiment conscience de ses paroles. Il était comme ça, il agissait sans réfléchir. Peut-être que sur le coup, cela apparaissait comme une bonne idée. Les mots qu'il avait employé n'étaient pas du tout appropriés à la situation et il aurait dû se méfier. Envoyer un message avec il faut qu'on parle à une fille n'était pas vraiment très malin, sauf si le but était de mettre fin à une quelconque relation. Pourtant entre eux, il n'y avait rien de bien défini, ils n'étaient pas en couple et l'Eliot savait à quel point cette notion faisait peur à sa belle. Charline fut extrêmement difficile à avoir et rama des années avant d'obtenir un simple rancart avec elle. Alors que tout était plutôt bien partis entre eux, Sloan avait besoin de quelque chose de concret. Il avait terriblement besoin de sa présence et ne supportait pas le vide qu'elle était en train de laisser. C'était vraiment dur à comprendre pour lui, d'autant plus qu'il restait perturbé par l'absence de sa mère, le jeune homme se sentait abandonné de tous. Parler avec elle, sentir son regard sur lui, pouvoir la toucher semblait vital pour le jeune homme qui n'avait pas hésité à lui envoyer un message pour la faire venir. Charline n'avait pas donné de nouvelles ces derniers temps, ce n'était pas vraiment à lui de faire le premier pas mais qu'importe. Il ne pouvait plus supporter cette situation plus longtemps. Sans vraiment lui poser un ultimatum, il allait mettre toutes les chances de son côté pour pouvoir lui parler librement et espérer une réponse à ce dilemme. Sloan tenait énormément à elle, il aimait sa princesse mais non, clairement, il ne pouvait pas s'attacher à du vide. C'était plus fort que lui, il craquait. Et alors qu'elle débarqua comme une furie, il vida son sac. Sans vraiment s'en rendre compte, l'Eliot s'était livré sur ses doutes et ses craintes. Oui il était jaloux de son colocataire, il l'assumait pleinement. Il le détestait et ne supportait vraiment pas l'idée qu'ils puissent se retrouver dans le même lit. Il avait peur de la perdre et son absence n'arrangeait rien aux différents films qu'il pouvait se faire le soir avant de s'endormir. Sloan avait confiance en Charline mais il n'avait pas vraiment confiance en son colocataire. La brunette restait une fille magnifique avec des formes et un sourire à faire damner un saint. Il pouvait largement comprendre qu'on soit attiré par cette fille et son petit côté voleuse sauvage. En tout cas, lui avait succombé à son charme et ne supportait vraiment pas la complicité qu'elle avait avec son colocataire. D'ailleurs, ce dernier avait prit cher à l'enterrement de la mère de Sloan, il s'était mangé quelques droites bien placées. Ils ne s'étaient pas revus depuis et heureusement pour lui. Il n'avait pas traîner avant de parler de nouveau de lui. Cette histoire le rendait fou et il semblait voir le mal partout. Une fois qu'il eu terminé de parler, Charline prit la parole et explosa littéralement. En très peu de temps, elle lui avoua que son père était la cause de son éloignement et qu'elle ne lui pardonnait pas d'avoir couché avec Laïna. La brunette avoua également qu'elle commençait à tomber amoureuse de lui. L'Eliot restait silencieux en l'entendant parler, ses mots résonnaient dans son esprit et il essayait tant bien que mal d'y mettre un peu d'ordre. Et comme une Granger qui explose ne serait pas complète sans une fuite, Charline lui hurla dessus une dernière fois avant de tourner les talons et se diriger vers la porte. Sloan fronça les sourcils en la voyant partir. Il était clairement hors de question qu'elle ne s'en aille. Pas maintenant, pas sur un malentendu. Il était choqué par ce qu'il venait d'entendre et se devait de réagir avant de la perdre définitivement. Surtout que bon, il n'avait pas couché avec Laïna donc c'était vraiment stupide comme accusation. En fait, elle était aussi jalouse que lui. Tout se mélangeait dans sa tête et il devait agir. Il ne mit pas longtemps avant d'avancer vers elle et d'emprunter le petit couloir qui menait à l'entrée. Voyant que Charline avait actionné la poignée, il posa brutalement sa main sur la porte et la claqua de toutes ses forces. « Tu ne vas nulle part. » dit-il séchement. La main toujours appuyé contre la porte, il s'avança vers la brunette et se colla à elle. Charline lui tournait le dos et ne bougea plus. Cette scène avait une arrière goût de déjà vu. L'Eliot ferma les yeux deux secondes avant de les rouvrir. Cette proximité avait encore quelque chose d’enivrante. Il tourna sa tête vers la droite pour s'approcher délicatement de son oreille. « Si tu savais Charline ... Je l'ai baisé toute la nuit et le pire dans tout ça, c'est que j'ai pas arrêté de penser à toi. » murmura-t-il. C'était complètement stupide de sa part et totalement faux mais Sloan voulait, pour une fois, lui faire prendre conscience de sa jalousie. « Elle fait des choses avec sa langue, t'imagine même pas. Tu devrais demander à Laïna un petit cours, ton coloc devrait apprécier. » lança-t-il sur un ton extrêmement provocateur. Dans le fond, ça lui plaisait qu'elle ne supporte pas l'idée de le voir avec une autre fille. Il voulait tester ses limites, qu'elle pète un câble, qu'elle se rende compte à quel point il était important dans sa vie. La pousser dans ses derniers retranchements était son but ultime. Après tout, l'Eliot avait prit conscience de son attachement pour elle lorsqu'il péta un câble. Il comptait bien lui faire avouer ses sentiments, il ne pouvait pas se contenter de ses vaines paroles. Et sans qu'elle ne puisse répliquer quoi que soit, il posa ses mains sur ses épaules et l'obligea à se retourner. Son regard croisa le sien. Il s'humidifia les lèvres avant de se pencher vers l'avant, de coller son épaule sur son bassin et de la faire basculer en avant. Sloan porta alors Charline comme un sac à patate et se retourna pour l'emmener dans le salon. Elle lui hurlait de la poser par terre et de la laisser partir. Le beau brun se contentait de répondre un « Mais tais-toi. » Il avança dans le salon et lâcha Charline dans le canapé. Il se mit devant elle, histoire qu'elle ne prenne pas la fuite. « Faut que je t'attache au canapé où c'est bon ? » demanda-t-il sèchement. Rapidement, il croisa les bras et plissa les yeux. Il ne voulait pas en arriver là mais qu'importe, il allait répondre à sa provocation. Sloan déglutis avant de prendre la parole sur un ton relativement agressif. « Ecoute moi bien Charline parce que je vais le dire qu'une seule fois ... En décidant de m'écarter de ta vie, tu as fait une grosse connerie. Je me suis senti abandonné et perdu. Tu n'as pas été là alors que j'avais besoin de toi. Je suis désolé mais pour ton père je ne pouvais pas savoir, tu m'as tenu à l'écart de tout ça. Si ce soir tu risques de me perdre, c'est entièrement ta faute. L'odeur de rose, comme tu dis, est dans la salle de bain ... Maintenant, t'as deux options Charline ... Soit tu vas vérifier par toi même dans la salle de bain ou soit tu dégages et ne revient pas ! » dit-il sérieusement. Sloan ne lui laissait pas le bénéfice du doute, c'était quitte ou double.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C H A R L I N E  A N D  S L O A N
Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Je n’avais plus rien à faire ici. Mes pieds accéléraient le mouvement. Il fallait que je sorte tout de suite d’ici. Ma respiration se coupa. Une fois passé cette porte, j’allais mettre un point final à cette relation qui animait chaque partie de mon corps et de mon esprit. Frustrée et blessée, je décidais de quitter le terrain dans lequel nous étions en train de jouer. Ma main agrippa fermement la poignet avant d’être rapidement rattrapé par l’Eliot qui ferma violemment la porte en ajoutant. « Tu ne vas nulle part.» Mon regard se tourna furtivement prête à l’incendier une deuxième fois avant de sentir son corps contre le mien. Il se colla à moi m’empêchant de fuir et m’interdisant de prononcer le moindre mot. Ce simple rapprochement éveilla un soupçon d’espoir. Mes mains se plaquaient contre la porte tandis que mon visage restait droit. Je ne voulais pas le regarder. Je ne voulais pas lui montrer le pouvoir qu’il avait sur moi. Je déglutissais à ce simple contact tandis que ma mâchoire se serrait. Ma tête se baissa tandis que son souffle frôlait la peau de mon cou. Il approcha doucement et siffla entre mes oreilles. « Si tu savais Charline... je l’ai baisé toute la nuit et le pire dans tout ça c’est que j’ai pas arrêté de penser à toi.» mon visage se releva et mes sourcils se froncèrent. Il était sérieux ? Mes mains se serraient en un poing sur la porte. On pouvait sentir mon corps se raidir. FERME LA SLOAN. Son souffle frôla une nouvelle fois mon oreille « Elle fait des choses avec sa langue, t’imagine même pas. Tu devrais demander à Laina un petit cours, ton coloc devrait apprécier.» ces paroles me mettaient hors de moi. Je tentais de fuir à son emprise, mes épaules le repoussaient et mon visage tentait de garder ses distances. « VA TE FAIRE FOUTRE SLOAN, DÉGAGE ! Je n’ai pas besoin de conseille de cette fille ! LAISSE MOI PARTIR » dis-je en prononçant distinctement ces derniers mots. Ma main s'agrippa à la sienne et cherchait à enlever l’emprise qu’il avait sur la poignet. J’en avais trop entendu. Méchamment, j’ajoutais. « Tu ne t’es pas plein de ma langue dans la cave ! Tu ne t’en plaignais pas là !» rooooh que non bien au contraire, bushnell. Tu en redemandais. Les mains masculines se posèrent sur mes épaules et ma peau frissonna à ce simple contact. Mon corps restait en alerte tandis que je faisais face à mes émotions. Il m’obligea à me retourner. Mon regard croisa le sien et je me surpris à avoir envie de le gifler. Cette envie chatouillait mes doigts fin. Il avait dépassé les bornes et je voulais lui faire comprendre. Coucher avec elle était une chose, l’exposer en était une autre. Il ne me laissa pas le temps de réagir qu’il me porta sur ses épaules m’obligeant à revenir dans le salon. Machinalement, je lui hurlais dessus. « LACHEEEEE MOI !» Sloan était bien trop fort pour oser quoi ce soit. Il m’avait prit sur ces épaules et j’étais obligée de faire avec. « REPOSE MOI PAR TERRE BUSHNELL ! » La tête en bas, mes cheveux volaient dans l’air frais de la pièce. Mes mains s’attaquaient au dos du jeune homme cherchant un moyen de me faire descendre de là. « Mais tais-toi.» rouuuuuh qu’il pouvait être énervant. Il s’approcha du canapé et me posa lourdement dessus. « MERCI LA DÉLICATESSE ! » dis-je sur la défensive. Il se plaça juste devant moi, m’obligeant à rester sagement assise devant lui. « Faut que je t’attache au canapé ou c’est bon ? » ses paroles étaient sèches mais clairement je ne faisais plus attention au ton qu’il adoptait avec moi. Comme une enfant, mes bras se croisèrent contre moi. Cherchant du réconfort que seul mon propre corps était prêt à accepter. Mon regard le fixait méchamment. Va-y Sloan continue et je ne me retiendrais pas « Je te jure que si c’est pour me raconter ta partie d’éclate avec ta copine, tu vas te prendre un coup bien placer sloan ! » Et bim dans les roubignoles. Il le méritera après tout. De nouveau un silence s’installa dans la pièce. La tension était néanmoins perceptible. Ces mots commencèrent à s’échapper de sa bouche. « Ecoute moi bien Charline parce que je vais le dire qu’une seule fois... En décidant de m’écarter de ta vie, tu as fait une grosse connerie. Je me suis senti abandonné et perdu. Tu n’as pas été là alors que j’avais besoin de toi. Je suis désolé mais pour ton père je ne pouvais pas savoir, tu m’as tenu à l’écart de tout ça. Si ce soir tu risque de me perdre, c’est entièrement ta faute. L’odeur de rose, comme tu dis, est dans la salle de bain... Maintenant, t’as deux option Charline... Soit tu vas vérifier par toi même dans la salle de bain ou soit tu dégages et ne revient pas !» Mes sourcils s’étaient froncés un peu plus. La vérité était sortie... j’avais causé tout sa. Pourtant, mon regard se tourna machinalement vers la salle de bain. Elle était là ? dans la salle de bain. J’espèrais me tromper. Pour son bien à lui mais aussi pour son bien à elle. Sans trop comprendre, je levais du canapé pour me diriger vers la salle de main. Ma main actionna la poignet et mon regard se détendit à la minute même ou je vis toute cette mise en scène. Ce doux parfum semblait d’un coup beaucoup plus tendre et moins agressif. Il chatouillait mes narines légèrement s’en devenait presque agréable. J’entrais doucement dans la salle de bain analysant chaque détaille. La pièce était recouverte de pétales de roses déposés délicatement autour de la baignoire. Des bougies tamisaient la pièce. Tout était magnifique, ma colère s’envola aussi vite qu’elle était apparue et mon cœur se réchauffa. Hésitante je m’approchais de la baignoire et y baigna quelque doigt. L’eau était chaude prête à m’accueillir. Bêtement un sourire stupide ornait mon visage avant de me retourner vers la porte de la salle de bain. Sloan était dans le cadrant de la porte. Il scrutait ma réaction et décida d’entrer à son tour dans la salle de bain. Je m’approchais de lui avant de plonger mon regard dans le sien. Hésitante, je m’approchais de lui avant de m’arrêter à une distance raisonnable de lui. J’étais face à lui et je lui fis : « dit moi que c’est pour moi sloan » ouiiiii, dit moi que ce bain était fait pour moi et non pour cette fille mystérieuse dont je ne connaissais rien du tout à part son prénom. Leina. Mon regard s’était adoucis. La légèreté de cette endroit avait calmé mon énervement. La peur, elle persistait. Il ne répondit pas et sans comprendre. Je me retournais pour m’écarter une nouvelle fois de lui, je m’approchais des lavabo ou plusieurs bougies y avaient été placé. Mon regard se releva pour croiser le reflet de sloan. Il me regardait et détaillait chacun de mes mouvements. Il était en alerte et je pouvais le sentir. « Bordel... sloan tu comprend pas que je suis vraiment en train de tomber amoureuse de toi.» dis-je en soutenant son regard dans le reflet du miroir. Mes mains se remirent à trembler avant de venir se saisir d’une pétale de rose. La distance était relativement grande entre nous. « Je ressens tellement de chose sloan... et je contrôle rien du tout. Tu me fais complètement perdre la tête. J’arrive même pas à te tenir éloigner de moi.» malgré la bonne volonté, je n’arrivais pas à le garder éloigner de moi. Mon regard s’abaissa et je lui fis : « Je ... » ma respiration s’était accéléré en retenant ces deux petits mots qui ne demandaient qu’à sortir. « Je te veux sloan ! » clairement c’était mon désir le plus profond. L’avoir pour moi et rien que pour moi. Doucement, je me retournais pour pouvoir le regarder dans les yeux. Je restais accrocher au lavabo. Nos corps étaient loin, trop loin. « je suis désolé...» dis-je en sentant ma respiration s’accélérer et comme un besoin d’être rassurer je lui fis : « Dit moi que tout sa est pour moi... dit le et je te jure que je resterais ici !»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
Le regard rivé vers Charline, Sloan ne rigolait pas, il ne rigolait plus. Terminé d'attendre des heures un message qui n'arrivera sans doute jamais, il prenait les devant et mettait la brunette devant ses responsabilités. Le deal était simple, soit elle restait et ne le mettait plus à l'écart de sa vie ou soit elle dégageait et abandonnait toute idée de réconciliation. Un dilemme très difficile, il en était conscient mais c'était plus fort que lui. Il ne pouvait pas tenir plus longtemps. Il se sentait seul et avait terriblement besoin d'une présence à ses côtés. L'Eliot ne voulait personne d'autre que Charline mais elle ne semblait pas vraiment partager son avis. Il avait besoin d'avancer et de faire face au décès de sa mère et pourtant, il se sentait plus seul que jamais. Leur relation avait tellement bien démarrée, tout s'effondrait sous ses yeux. Sloan assistait impuissant à sa destruction. Il aurait voulu que les choses se passent autrement, qu'elle lui parle de ses craintes et qu'elle lui explique pour son père. Mais la Granger n'avait absolument rien fait de tout ça. Elle s'était contentée de le ternir à l'écart et pour quoi ? Le protéger apparemment. C'était juste incompréhensible. Il se tenait debout, juste devant elle et attendait patiemment la sentence finale. Le jeune homme lui laissait quand même le bénéfice du doute. C'était un ultimatum assez lourd qui pouvait changer le cours de leur vie. Charline devait réfléchir ou du moins, prendre la bonne décision. Le temps semblait s'arrêter et Sloan se contenta de déglutir en la voyant tourner la tête vers la salle de bain. Lui seul savait ce qu'elle contenait à cet instant précis. Son coeur s'arrêta de battre lorsqu'elle se leva. Le beau brun regardait droit devant lui et inspira profondément en la voyant se diriger vers la salle de bain. Il s'attendait à ce qu'elle lui hurle dessus mais non, elle ne le fit pas. Il tourna son visage vers elle en entendant la porte s'ouvrir. Une vague de soulagement vint alors l'envahir. L'Eliot s'approcha délicatement de Charline, il s'arrêta au niveau de la porte et appuya son épaule contre l'encadrement. Un silence de plomb régnait en maître dans sa chambre d'hôtel. Un tendre sourire vint se poser sur son visage lorsqu'il la vit découvrir les lieux. Elle était vraiment belle et Sloan était soulagé de la voir encore ici. Ouais, sur ce coup-là, il avait faillit la perdre pour de bon. Charline s'avança vers la baignoire et toucha l'eau du bout des doigts. Elle était trop mignonne, il craquait littéralement. C’était pour ça aussi qu'il l'aimait, elle savait apprécier les choses simples. Elle n'était pas comme toutes ces garces superficielles qu'il avait pu connaître. Non, bien au contraire, elle était simple et entière. Elle pouvait passer de la colère au calme en une fraction de seconde, ils étaient pareils finalement. Le brunette se retourna avec l'étudiant qui effaça aussitôt son sourire. Non, il ne voulait pas capituler trop vite. Cette sensation de victoire était pourtant bien présente sur son visage qui s'était radouci. D'une petite voix frêle, Charline lui demanda si toute cette mise en scène était vraiment pour elle. Sloan ne répondit pas, non, il la laissait réfléchir encore un peu. Il se contentait de la regarder avec insistance et essayait de transmettre le moins d'émotions possible. Ne sachant pas trop quoi penser de ce silence, la Granger se recula et alla se placer devant le lavabo. C'était surement plus facile pour elle de parler à travers un reflet. Elle le regarda à travers le miroir et essaya de se livrer un peu. Il resta silencieux lorsqu'elle lui avoua qu'elle était réellement en train de tomber amoureuse de lui. Aucun mot ne sortait de sa bouche lorsqu'elle avoua être attachée à lui et qu'elle le voulait lui et pas un autre. L'Eliot déglutis silencieusement mais ne bougea pas. Il voulait la pousser dans ses derniers retranchements et lui faire dire ce qu'il voulait entendre. C'était pas très malin de sa part mais tant pis. Finalement elle s'excusa. C'était tout ce dont il avait besoin d'entendre. Un désolé sincère. Charline l'avait fait souffrir et restait accroché à cette histoire naissante. Sloan ne voulait pas baisser les bras. Entendre ces mots lui faisait énormément de bien, une libération d'un poids qui le suivait depuis plus d'un mois. C'est bon, il l'avait fait assez ramé comme ça. Le beau brun se décolla de l'encadrement de la porte et s'approcha doucement d'elle. Il soutenait son regard dans le miroir et ne laissait paraître toujours aucune émotion. Une fois à sa hauteur, il ne vint pas se coller derrière elle, oh que non, il avait besoin de sentir son regard sur lui. « Tournes toi. » dit-il faiblement. Après tout, il fallait laisser la colère redescendre en eux et ils étaient dans la même pièce, pas besoin de crier pour se faire comprendre. Charline se tourna lentement vers lui et eût du mal à le regarder. L'Eliot s’humidifia les lèvres avant de fermer les yeux quelques secondes. Il les ouvrit et plongea son regard dans le sien. Inconsciemment, il se sentait déjà plus fort. Il avança d'un pas pour réduire l'écart entre leurs deux corps. « Je ne comprends pas pourquoi  tu m'as mis à l'écart et pourquoi tu doutes encore de moi Charline ... » commença-t-il doucement. Il allait lui répondre et n'allait pas passer par quatre chemins. Il avait besoin de se confier et de dire clairement les choses. Il voulait du concret. « Je n'ai pas couché avec Laïna. Tu n'as pas encore compris qu'aucune fille ne m'attire. Il n'y a que toi que je veux. Et si tu me veux, pourquoi ne me fais-tu pas confiance ? Je t'aime Charline et ce n'est pas en me tenant à l'écart de ta vie que je vais pouvoir t'aider ... Je sais comment tu es, je sais que tu ne t'autorise pas le bonheur ... Je ... Je suis conscient que tu as besoin de temps pour accepter les choses. Je suis prêt à te donner tout le temps dont tu as besoin mais laisse moi entrer dans ta vie. Je ne veux que ton bonheur et je refuse que tu affronte ton père toute seule. Je suis là maintenant, tu ne vas pas te débarrasser aussi facilement de moi. » dit-il avant d'avancer d'un pas et de venir coller son corps contre le sien. Délicatement, il prit les mains de Charline et l'obligea à lâcher le lavabo. Il vint les poser autour de son cou et afficha un petit sourire malicieux. Sloan quant à lui, posa ses mains sur ses hanches. « Laisse moi faire parti de ta vie, laisse moi une chance de te prouver à quel point je t'aime. » lança-t-il. Délicatement, il baissa la tête et vint capturer tendrement ses lèvres. Un frisson lui parcours tout le corps, bordel c'était tellement délectable. Il ferma les yeux sous ce contact et l'embrassa doucement. Leurs lèvres se collaient à peine, leurs langues de frôlaient légèrement. Il se laissait reprendre ses droits avec elle. C'était doux et extrêmement sensuel. Sloan mit fin au baiser et se recula légèrement. Il plongea son regard dans le sien et afficha un sourire conquis. « Ferme les yeux. » murmura-t-il. Charline s’exécuta sans trop broncher. L'Eliot vérifia qu'elle avait bien les yeux fermés et détacha son corps du sien. Il se recula et alla directement chercher son cadeau qui se trouvait dans l'une des armoires de sa chambre. Effectivement, il aurait pu le sortir avant mais bon, il fut un peu prit de cours avec l'arrivée fracassante de sa princesse. Bref, il ne tarda pas à revenir dans la salle de bain où Charline n'avait pas bouger d'un centimètre. Il revint à sa hauteur et s'arrêta quelques secondes. Sloan la regarda et afficha un léger sourire. Elle était tellement belle, il sentait le stress monter en lui. C'était étrange car ce qu'il tenait dans les mains allait au delà du simple cadeau. Il se pinça les lèvres pour se donner du courage et finalement avança encore un peu. « Joyeux anniversaire, princesse. » dit-il faiblement. Il attendit qu'elle ouvre les yeux pour lui tendre un petit paquet. Ce dernier contenait le collier de sa mère. Le collier qu'ils étaient allés récupérer ensemble chez Meleya. Elle lui avait voler et il avait tenu à le récupérer. C'était tout un symbole pour Sloan qui craignait un peu la réaction de Charline.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C H A R L I N E  A N D  S L O A N
Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
Je n’arrivais plus à cacher mes craintes. J’avais peur de le perdre et mon regard pouvait en attester. J’étais fuyante de peur de me retrouver devant une réalité que je ne saurais pas gérer. Le perdre maintenant sonnerait comme un nouvel échec. Sloan était important et que je le veuille ou non il était celui qui détenait toute les ficelles. Je fixais son reflet, son visage se rapprocha de moi. Il avait garder un silence déconcertant. Impossible pour moi de déceler une once d’espoir. Son visage était fermé, du moins s’était l’impression que j’avais. Mes craintes me brouillaient mon champs de vision et seul ces mots allaient pouvoir me rassurer un peu. « Tournes toi. » il s’était rapproché gardant néanmoins cette distance. Ma tête se pencha sur le côté soutenant une dernière fois son reflet avant de me retourner pour lui faire face. Mes yeux ne le fixait pas tout de suite. Mes mains restaient derrière mon dos. La panique m’emportait et heureusement que j’étais adossé au lavabo. Mon regard se releva pour le fixer simplement. Mon coeur s'emballait une nouvelle fois. J’étais épuisée et mes cernes pouvaient en attester. Il avança de nouveau réduisant doucement l’écart qu’il y avait entre nous. Tout était doux et calme, loin de l’atmosphère pesante qu’il y avait pu avoir dans le salon. « Je ne comprend pas pourquoi tu m’as mis à l’écart et pourquoi tu doutes encore de moi Charline...» ma respiration s’accéléra au son de ces mots. Mon regard détaillait son visage et mon corps réclamait une chose. Sloan. Mes pensées se bousculaient dans tout les sens. Il poursuivit « Je n’ai pas couché avec Laina. Tu n’as pas encore compris qu’aucune fille ne m’attire. Il n’y a que toi que je veux. Et si tu me veux, pourquoi ne me fais-tu pas confiance ? Je t’aime Charline et ce n’est pas en me tenant à l’écart de ta vie que je vais pouvoir t’aider... je sais comment tu es, je sais que tu ne t’autorise pas le bonheur... je... je suis conscient que tu as besoin de temps pour accepter les choses. Je suis prêt à te donner tout le temps dont tu as besoin mais laisse moi entrer dans ta vie. Je ne veux que ton bonheur et je refuse que tu affrontes ton père toute seule. Je suis là maintenant, tu ne vas pas te débarrasser aussi facilement de moi.» ces mots raisonnaient dans mon esprit. Il n’avait pas couché avec elle et il m’aimait. Ces mots venaient de calmer toute l’inquiétude que je pouvais avoir. Ma tête se pencha sur le côté avant de faire une grimace. Il s’avança pour venir cette fois ci se coller contre moi. Bordel que sa faisait du bien. Mes yeux se fermaient à ce simple contact gardant encore le silence. Mon visage s’était rapproché instinctivement de celui de sloan. Mon front effleurait le sien et nos souffles se mêlèrent l’un à l’autre. Ses mains se rapprochèrent pour attraper mes mains tremblantes. Il les apporta à son cou et instinctivement mes doigts s’y attachèrent. Mon corps se resserra contre lui. J’étais silencieuse, j’avais besoin de profiter de l’instant. Ses mains se placèrent sur mes hanches et un frisson incontrôlé m’échappa. « Laisse moi faire parti de ta vie, laisse moi une chance de te prouver à quel point je t’aime.» mon regard s’attarda sur ces lèvres. Ma main droite se releva légèrement. Mes doigts caressaient délicatement ces lèvres avant qu’il ne s’approche pour m’embrasser. Un baisé tendre et apaisant. Un soupire de soulagement m’échappa. Toute la tension s'évapora. Mes mains caressaient ses joues avant de descendre sur son cou. Ces lèvres se reculèrent et mon regard croisa une nouvelle fois le sien. J’étais étonnement silencieuse, gardant mes explication pour un peu plus tard. J’allais lui apporter des réponses mais pour le moment je profitais juste de cet instant de retrouvaille. Sloan m’avait rassuré et maintenant j’avais besoin de le retrouver. Son sourire m’incita à faire de même. Bordel que sa faisait du bien de le retrouver. « Ferme les yeux.» mes sourcils se froncèrent légèrement. Pourquoi donc ? sans trop chercher à comprendre, je m’exécutais. Mes yeux se fermèrent doucement tandis que Sloan s’éloignait de moi. Mes mains se rattachèrent au lavabo attendant patiemment le retour de l’étudiant. Il ne mit que quelques seconde avant de revenir. Je pouvais le sentir se rapprocher de moi avant d’entendre ces mots. « Joyeux anniversaire, princesse.» mes yeux se rouvrirent instinctivement pour croiser son regard. S’était mon anniversaire. Je n’y avais même pas pensé, pas une seule seconde. Mon regard s’abaissa sur la boite que tenait Sloan. Je ne pu retenir mon sourire plus longtemps. Il n’avait pas oublié et à cette simple marque d’attention j’étais conquise. Je me pinçais les lèvres et pris délicatement la boite qu’il tendait devant moi. Les cadeaux n’avaient jamais fait partie de mes habitudes. Mes anniversaires se ponctuaient d’un simple bon anniversaire, d’un sourire et d’une bise. Les cadeaux avaient toujours été très rare. C’était comme sa chez les Granger. Une carte cadeau de cinquante euro et voilà. Mes anniversaires n’avaient jamais été très glorieux et aujourd’hui Sloan avait décidé de changer la tendance. Mes doigts desserraient lentement le nœud qui retenait la boite fermé avant de l’ouvrir. Le collier de sa mère. Mon regard se releva immédiatement vers sloan comme pour poser une réalité sur ce qu’il venait de m’offrir. Ce n’était pas un simple cadeau, s’était une véritable preuve de sa part. Je connaissais l’histoire de ce collier. Je l’avais aidé à le récupérer dans l’appartement de son ex petite amie. Notre histoire aussi bizarre soit-elle avait commencer cette nuit là. A l’entré de cette appartement. A la minute ou mes lèvres s’étaient posé sur les siennes. Depuis, cette envie incommensurable de vouloir toujours un peu plus ne m’avait pas quitter. Et aujourd’hui, il me l’offrait. Mon sourire s’étira toujours un peu plus. Je m’approchais de lui pour plaquer mes lèvres contre les siennes. Mes bras s’enroulèrent autour de son cou. J’étais conquise, ravie par cette marque d’attention qui se révélait être la première depuis des années. Aucun homme n’avait réussi à me surprendre autant que Sloan. Il était le première et sans doute le dernier. Ma langue titillait la sienne. Ce n’était pas un simple baisé, je venais assoupir ce besoin vitale qu’il représentait. Mon souffle s’était coupé et alors que mes lèvres effleuraient celle de l’éliot. « t’es incroyable busnell...» incroyable s’était vraiment le mot. La boite était toujours dans mes mains. Mon front se posa contre le sien et je sortie le collier. Simple et délicat. Il était aujourd’hui devenu mon plus beau cadeau. Mon regard se porta à celui de sloan et je lui fis : « Tu peux ?» en lui tendant le collier. Ses doigts s’enroulaient autour de la chaîne, qu’il prit délicatement. Je me retournais doucement. Dos contre lui, il en profita pour se rapprocher de moi. Il passa délicatement le bijou devant moi pour le ramener et l’attacher avec finesse. Ses doigts effleuraient ma peau et mes yeux fixaient une nouvelle fois son reflet avant de se fermer. Ses doigts effleuraient mes bras, ma tête elle se tournait légèrement sur le côté pour sentir son souffle chaud. Instinctivement alors que Sloan passait sa main sous mon tee shirt pour venir caresser mon ventre. Je me retournais pour lui faire face. Mes lèvres touchaient les siennes mais ne s’embrassaient pas. « Je crois qu’il serait vraiment temps d’essayer ce bain.» dis-je en me pinçant la lèvre. Mes mains s’étaient nichée dans son dos avant de descendre doucement sur ces fesses. « que je te montre à quelle point, je suis conquise sloan. Que je te montre que je te fais confiance et que le problème n’a jamais été toi.» j’avançais le poussant à reculer. Mes lèvres embrassaient la commissure de ces lèvres avant de venir embrasser sa joue. « que je te montre que tu viens de faire de moi la fille la plus heureuse avec ce cadeau...» dis-je dans un souffle chaud. Je continuais à reculer avant de le plaquer délicatement contre le mur. Mes doigts se saisissaient de son tee shirt avant de lui enlever. Ma main attrapa la porte de la salle de bain et la referma en même temps. Mon attention se reporta sur l’éliot avant de planter mes lèvres sur son torse. « que je te montre à quelle point j’aime tout chez toi sloan.» tout même ces qualités me faisaient craquer. Mes baisés s'intensifiaient avant de remonter pour éffleurer de nouveau ces lèvres alors que mon souffle se mélangeait au mien et qu'il cherchait à venir m'embrasser. Je lui fis en bougeant mes lèvres sur les siennes « je te veux Sloan »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
La main tendue dans sa direction, Sloan attendait patiemment qu'elle prenne le petit paquet. Le stress l'avait gagné et il ne savait pas trop comment régir face à ça. Conscient que les enjeux de son cadeau dépassaient tout ce qu'il avait pu imaginer, il avait peur. Il savait que Charline était extrêmement réticente à l'idée de s'engager et qu'elle pouvait foutre le camp à tout moment. Rien n'était acquis dans leur relation et plus que jamais, l'Eliot devait faire ses preuves. Depuis qu'elle lui accordait un peu d'attentions, il s'était surpassé et ne manquait pas d'imagination pour la faire rêver et la faire succomber toujours un peu plus. Voilà maintenant environ quatre mois qu'ils se connaissaient et ils avaient traversés déjà beaucoup de chose ensemble. Des crises de nerfs à leur première fois dans un lac chilien en passant par une virée mouvementée à New York. Leur histoire était unique et Sloan s'y était attaché. Il a toujours souffert d'un manque d'attentions et avait trouvé, en la Granger, ce qu'il cherchait depuis longtemps. En sa présence, il avait l'impression d'exister et pas seulement parce qu'il avait de l'argent. Charline s'en foutait royalement de l'argent et restait une fille naturelle et entière. C'était ce qu'il appréciait chez elle. Il n'y avait pas de mi-mesure entre eux, soit ils s'hurlaient à la gueule ou soit, il se jetaient dans les bras l'un de l'autre. Leur relation était tellement fusionnelle qu'ils avaient parfois du mal à se contrôler et à mesurer leurs propos. La présence de Charline témoignait l'intensité de leur couple. Passer d'un coup de gueule à un baiser passionné en une fraction de seconde, il n'y avait qu'eux pour partir ainsi dans les extrêmes. Le regard toujours plongé dans celui de sa belle, Sloan lâcha le paquet lorsqu'elle le prit entre ses doigts. Il respirait silencieusement et sentait son coeur battre dans sa poitrine. Il savait que Charline n'était pas du tout à l'aise avec tout ça mais il avait envie de tenter le coup. Il avait besoin de savoir si cela valait la peine qu'il se batte pour elle. Délicatement, elle retira le noeud du paquet. Le beau brun regardait simultanément ses doigts délicats et son visage. Il essayait de déceler en elle, une quelconque réaction. Il guettait la moindre émotion et se contenterait de peu. Oh non, il n'allait certainement pas faire le difficile. Qu'elle ne parte pas en courant serait déjà un exploit pour lui. Il déglutis en voyant son sourire s'élargir. Il n'eût pas le temps d'y répondre qu'elle s'avança vers lui et l'embrassa langoureusement. L'Eliot se sentait soulagé et répondit au baiser avec intensité. Il n'avait pas besoin d'un merci ou autre, il avait juste besoin d'elle à ses côtés. Ils échangèrent un baiser passionné. Instinctivement, il posa ses mains dans son dos et l'attira toujours un peu plus vers lui. L'envie d'être prés de Charline ne fut jamais aussi grande que ce soir. Lorsqu'elle lui murmura ces quelques mots, il sentit son coeur se soulever. « C'est toi qui est incroyable, princesse. » dit-il faiblement. Il le pensait tellement. Un léger rictus vint embellir son sourire avant qu'il ne prolonge ce baiser. Une nouvelle fois, le temps semblait s'être arrêté et ils échangeaient une marque d'affection sincère et excitante. Lorsque le baiser prit fin, ils gardèrent cette proximité qui leur avait tant manqué. Leurs fronts se collèrent rapidement et elle lui demanda s'il pouvait lui attacher le collier. « Avec plaisir. » répondit-il avant de prendre le bijou entre ses doigts. Il se recula afin de laisser assez d'espace à Charline pour se reculer. La brunette attrapa ses cheveux et les mit délicatement sur côté. Sloan passa le collier devant elle et le posa sur son décolleté avant de le remonter légèrement. Il passa ses mains de chaque côté de son cou pour venir ensuite fermer le mécanisme. Une fois correctement mit, l'Eliot releva la tête et croisa son regard dans le miroir. Un fin sourire s'afficha alors son visage. Elle était magnifique et ce collier lui allait à merveille. C'était une bijou d'une rare finesse, seul un diamant le composait. Il était pure et discret, exactement comme il voyait Charline. Le pendentif était délicatement posé sur sa peau nue, elle le portait à merveille. il n'aurait pas pu rêver mieux. Il se souvenait parfaitement du jour où sa mère lui avait donné ce collier. Il devait avoir environ quinze ans, c'était le père de Sloan qui lui avait offert pour leurs fiançailles. Elle lui avait confié en prenant soin d'ajouter ces quelques mots, offre-le à la fille qui fera battre ton coeur mon garçon, il te portera chance comme il nous a porté chance. Ce soir, il décidait d'écouter un vieux conseil de sa mère et de faire voler un peu de son bonheur. Après tout, ils le méritaient tous les deux. Ils traversaient indépendamment des épreuves difficiles et trouvaient du réconfort dans les bras de l'autre. L'Eliot regarda alors le reflet de Charline avant de poser ses mains sur ses épaules et de les faire glisser sur ses bras. Délicatement, il approcha son visage dans le creux de son cou et vint y poser ses lèvres. Il l'embrassa tendrement, après leur coup de gueule, il ressentait le besoin d'avoir un peu de calme et de douceur. Son souffle chaud se reflétait sur la peau sensible de la brunette. Il ferma les yeux et laissa ses mains redécouvrir son corps. L'une des deux se faufila sur son ventre et passa sous son pull. Comme attiré comme un aimant vers son corps de rêve, il se colla toujours un peu plus à elle. Ses doigts effleuraient son ventre et alors qu'il donnait de l'intensité à ses baisers, Charline se retourna pour venir lui faire face. Sloan n'eût pas d'autres choix que de se redresser. Un petit coup d'oeil au collier, son sourire vint prendre possession de son visage si terne depuis des semaines. Il semblait retrouver une illumination, ses traits étaient beaucoup moins tirés. Il relâchait la pression et être en sa compagnie lui faisait énormément de bien. Alors qu'il allait le complimenter sur sa beauté, la Granger le devança et s'approcha pour lui proposer d'essayer le bain mousseux qui les attendait. « Allez, c'est fait pour. » lança-t-il un peu bêtement. Charline laissa ses mains dans son dos et les fit descendre jusqu'à ses fesses. Un petit sourire malicieux apparu presque instantanément sur le visage de l'Eliot. Il était demandeur d'attentions de sa part et allait être servi. La brunette lui avoua à quel point il comptait pour lui et à quel point elle commençait à faiblir. Sloan ne disait rien, il la laissait parler pour voir jusqu'où elle était prête à aller. Son cadeau semblait lui faire plaisir. Charline s'amusait avec lui, elle laissait leurs lèvres se frôler, elle le fit même reculer pour le plaquer contre le mur. Elle lui enleva délicatement son t-shirt pour ensuite le couvrir de baisers. Il serra sa mâchoire lorsqu'elle prononça ces quelques mots, je te veux. « Je suis tout à toi. » répondit-il. Sloan posa sa main sur sa nuque et vint capturer ses lèvres. A son tour, il avança de quelques pas pour la forcer à reculer. Ses baisers se faisaient plus intenses que tout à l'heure, ils traduisaient toute l'envie et la passion qui l'animait. Le silence régnait en maître dans la salle de bain, seul le bruit de leurs baisers se faisait entendre. D'une main experte, il lui enleva son pull qu'il fit tomber lourdement sur le sol. Charline se retrouva bientôt contre le lavabo. Doucement, il la souleva pour l'asseoir sur le rebord de l'évier et tout en continuant de l'embrasser, il posa ses mains sur son jean pour le déboutonner. Une fois les boutons défaits, l'Eliot caressa sensuellement ses cuisses et se mit à croupi pour lui défaire ses chaussures une par une. Il plongea son regard dans le sien avant de se relever. Le beau brun attrapa le bord de son jean et fit glisser le jean le long de ses jambes. Une fois enlevé, il ne se gêna pas pour enlever lui même son jean. Un sourire malicieux et limite pervers ne le quittait pas. Les deux étudiants étaient tous les deux en sous-vêtements et aucun malaise ne s'émanait de la situation. Ils acceptaient l'autre dans leur totalité, avec leurs qualités et leurs défauts. Sloan trouvait Charline magnifique et de la voir presque nue dans sa salle de bain réveillait de nombreuses pulsions et envies à son égard. Il posa ses mains sur les cuisses qu'il écarta légèrement pour venir se coller à elle. Ses yeux se posèrent sur le corps de sa belle, il arqua un sourcil de satisfaction. « Bouge pas » dit-il avant d'attraper un flacon qui se trouver non loin de la brunette. Il se recula et avança jusque la baignoire où l'eau n'était rempli qu'à moitié. L'Eliot versa un peu de liquide avant de poser la bouteille sur le rebord de la fenêtre, il ouvrit également le robinet pour permettre à l'eau chaude de venir faire mousser le savon. Il alla fermer la lumière pour créer une ambiance romantique avec les bougies. Il en avait mit partout, c'était très chaleureux comme ambiance. « Si mademoiselle veux bien se donner la peine. » lança-t-il en rigolant. Il regarda Charline s'avancer le bain d'une démarche féline. Inconsciemment, il s'humidifia les lèvres et déglutis. Sloan allait avoir du mal à contrôler ses pulsions. Beaucoup de choses venaient d'être dites et il avait maintenant la certitude qu'elle n'allait pas partir en courant. Charline lui donnait une chance d'entrer dans sa vie, une seule chance. A lui de ne pas tout foutre en l'air.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C H A R L I N E  A N D  S L O A N
Love is like war: easy to begin but very hard to stop • la salle de bain ★★★
C’était incroyable l’effet que pouvait faire une poignet de main ou un bisous de l’eliot sur mon corps. Il avait ce dons de pouvoir me réconforter d’un simple geste, d’une simple caresse. Et là je m’extasiais devant l’effort qu’il venait de faire. Sloan ne s’en était pas rendu compte mais il était le premier à m’avoir rappeler ce jour spéciale. Tellement tourmenté, j’en avais oublié ma propre date de naissance. Mes lèvres se scellaient aux siennes. Ce besoin vitale d’être toujours aussi prêt de lui. C’était bien la première fois depuis un mois que je me sentais aussi bien, aussi sereine. « Je suis tout à toi.» mes lèvres se pincèrent et mon regard le fixait. Ces paroles avaient une importance que seul lui et moi pouvions comprendre. Ses mains se nichèrent dans ma nuque et il m’embrassa une nouvelle fois. M’obligeant cette fois à faire marche arrière. Mes mains remontèrent le long de son cou pour aller se mêler à ses cheveux. Donnant toujours un peu plus d’intensité à notre baisé. Je me laissais guider par lui, continuant à reculer avant d’arriver une nouvelle fois contre les lavabos de la salle de bain. Mes bras s’enroulaient autour de son cou et il me leva légèrement pour m’asseoir sur le meuble. Doucement et délicatement, l’eliot s’attaqua à mes vêtements. Retirant avec doucement mes chaussures et mon pantalons. Tout était doux et tendre dans ces gestes, tellement loins des échanges de tout à l’heure. Il écarta mes cuisses et se rapprocha de moi. Mon corps se colla au sien avant de me regarder avec passion. « Bouge pas.» je ne risquais pas. Mon regard s’attardait sur les gestes qu’il faisait. Il versa délicatement le liquide du flacon dans l’eau chaude de la baignoire puis il se dirigea vers la porte pour éteindre la lumière. La pièce était baignée dans une douce atmosphère. Les bougies illuminaient la pièce et mon regard se reporta sur l’éliot. C’était terriblement romantique, je me pinçais délicatement les lèvres en prenant soin de ne rien oublier. C’était juste parfait. Sloan m’envoyait du rêve et j’espérais bien lui faire comprendre au fur et à mesure de cette soirée. Ce calme plat me détendait, euphorique à l’idée de pouvoir partager ce moment de tendresse avec le seul homme qui comptait pour moi. Je m’approchais vers le bain tandis que Sloan restait à l’entré « Si mademoiselle veux bien se donner la peine.» Mon regard se tourna vers lui et un sourire timide s’afficha. Je reportais mon attention sur le bain. J’étais une nouvelle fois dos à lui. Je m'immobilisais. Délicatement, je passais mes mains derrière mon dos pour enlever l’agrafe de mon soutien gorge. Ma tête se pencha légèrement sur le côté pour entrapercevoir l’eliot. Il n’avait pas bouger et mon sourire s’étira un peu plus. Mes mains se portèrent ensuite sur ma poitrine pour retenir mon sous vêtement. Délicatement, je fis glisser ma première bretelle sur mon bras  puis la deuxième. Je prenais mon temps, attisant un peu plus sa curiosité. Mes lèvres s’entrouvraient pour attirer son regard avant de finalement faire tomber mon vêtement. Toujours dos à lui, je m’attaquais au dernier vêtements qu’il me restait. Mes doigts parcouraient mon corps, mes hanches avant de descendre doucement ma culotte donnant à sloan le spectacle dont il rêvait. Totalement nue, je restais dos à lui pendant quelques seconde attisant encore un peu plus l’étudiant. Il décida enfin de quitter le mur à laquelle il s’était rattaché pour me rejoindre. Je ne lui laissais pas le temps de venir se coller contre moi. J’entrais dans le bain et je me mis à rire: « Il fallait réagir avant bushnell...» dis-je en le provoquant un peu tandis que je m'abaissais pour m’installer dans l’eau chaude de la baignoire. Mes doigts s’emparaient de mes cheveux pour les attacher en chignon. Sloan s’appuya sur la baignoire un sourire au lèvre et il pencha son visage vers moi. Je plissais les yeux avant de lever la tête. Ces lèvres étaient à quelque centimètre des miennes; « Ne joue pas avec moi Bushnell, c’est mon anniversaire aujourd’hui.» dit la fille qui ne se souvenait plus de ce jour si particulier. Mes mains mouillées rencontrèrent les mains secs de l’étudiant. Je lui caressais le bras, l’épaule pour ensuite m’attarder dans sa nuque. J’approchais son visage du mien. « Ce bain ne te donne pas envie ?» dis-je toujours en le provoquant. Il abaissa sa tête et colla son front contre moi. Nos souffles se mêlèrent une énième fois. J’approchais mes lèvres des siennes avant de les captures. Profitant de cet instant, mes mains l’obligèrent à se pencher un peu plus vers moi, intensifiant un peu plus le baisé. Il était difficile pour l’étudiant de tenir cette position. « Rejoins moi sloan.» dis-je dans un murmure. Je n’avais même pas terminé qu’il ne se priva pas. Il s’éloigna de moi pour finalement rentrer dans le bain. Il n’avait même pas retirer son caleçon. Je me mis à rire tandis qu’il s’installait en face de moi. L’eau s’était rempli un peu plus, elle était d’ailleurs à la limite de déborder. Je stoppais le robinet avant de m’approcher de Sloan. « elle est bonne hein" dis-je en affichant un petit sourire pervers. Sans perdre de temps, je m’approchais de l’étudiant pour pouvoir m’asseoir sur lui. Mes jambes encadraient sa taille. La baignoire n’était pas grande mais cette position était tout à fait supportable. Mes mains vinrent encadrer son visage et mon regard se perdait dans le sien. « T’aurais au moins pu enlever ton caleçon.» dis-je en me pinçant la lèvre. J’approchais mon visage de celui de Sloan avant de déposer un baisé sur son front, puis sur son nez. « merci pour tout sa... c’est le plus belle anniversaire qu’on est pu me faire.» dis-je sincèrement. Il était le premier à marquer le coup. Le premier. Je l’embrassais sur la joue tandis que mes mains quittèrent ces joues pour se baigner dans la mousse. Sans prévenir, mes mains se portèrent à son visage. Recouvrant sa jolie tête d’éliot de mousse blanche, je me mis à rire en le voyant se débattre. Un vrai bonhomme de neige. « Ne bouge surtout pas...» que je prenne une photo sloan.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

love is that condition in which the happiness of another person is essential to your own.
Tout était prêt, tout semblait parfait. Sloan était plutôt satisfait du résultat. Une ambiance romantique pour un futur moment doux et sensuel. Il avait clairement sorti le grand jeu pour épater sa belle et n'avait pas lésiné sur les moyens. Il y avait dans cette salle de bain, une bonne trentaines de bougies qu'il avait allumés les unes après les autres, un délicate odeur de fleur dominait la pièce et un bain rempli se mousse les attendait. Rien n'était laissé au hasard ce soir. Pourtant, le jeune homme avait failli la perdre pour de bon. Il avait tout prévu mais n'avait pas pensé que les choses pourraient dégénérer autant. Son message stupide et agressif avait mit le feu aux poudres. L'Eliot n'avait fait qu'allumer la mèche en postant sur Instagram une photo de Laïna. Ce qui n'était qu'une simple provocation s'était rapidement transformé en accusation brutale. Charline n'arrivait pas à gérer ses émotions, dans le fond elle n'était pas mieux que lui. Regardez là s'avancer d'un pas de félin vers la baignoire. Difficile à croire qu'elle venait de péter un câble il y a quelques minutes à peine. Elle savait très monter dans les extrêmes et n'avait pas besoin de Sloan pour lui montrer comment faire. Les deux étudiants se ressemblaient sur bien des points et comme le dit le proverbe, ce qui se ressemble s'assemble. C'était ça, le beau brun était inévitablement attiré vers Charline et ne pouvait plus se le cacher. D'ailleurs, il ne s'en cachait plus, il avait accepté ses sentiments pour elle et lui avait avoué. Peut-être un peu trop tôt. Mais le je t'aime était sortit de sa bouche, lui qui pensait ne jamais le prononcer un jour. Il avait dit ces mots sur un malentendu certes mais il les avait bel bien dit. Un lapsus révélateur des sentiments qu'il pouvait ressentir pour elle. L'Eliot ne pouvait détacher son regard de Charline qui s'arrêta juste devant la baignoire. Elle lui tournait le dos, laissant le champs libre à l'étudiant pour poser ses yeux sur elle. Il ne se gênait pas une seule seconde pour la regarder de haut en bas. Son corps était parfaitement dessiné, la courbe de sa taille vers sa hanche était divine et ses jambes ne présentaient absolument aucun défaut. Sloan s'humidifia les lèvres en la voyant aussi aguicheuse, il aimait ça. Un tas d'images lui vint en tête et notamment la cave à vin. Il cacha un large sourire et croisa les bras. Curieux de voir la suite, il ne bougea pas, il se contentait de la regarder, admiratif. Charline passa ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Il déglutis et plissa les yeux. La lumière des bougies se reflétait sur son visage tourné sur le côté, les flammes dansaient dans la salle de bain, rendant le moment encore plus magique qu'il ne l'était déjà. La brunette prit tout son temps pour enlever son soutien-gorge, elle laissa les bretelles effleurer ses épaules. Le vêtement tomba, au ralenti, sur le sol. Sloan risqua de cligner des yeux, il ignorait s'il était en train de rêver ou si cette divine créature était réellement en train de se déshabiller devant ses yeux avide de sensualité. Clairement, il n'en manquait pas une miette et gravait ce moment dans sa mémoire. Dommage qu'il n'ai pas son portable à côté de lui, il aurait pu prendre une magnifique photo. Digne de celle de sa belle sur le pont du lac chilien. Bref, l'Eliot fantasmait sur son corps presque nu et afficha un large sourire lorsqu'il la vit défaire lentement le bas. Il n'en demandait pas tant et était servit. La dentelle glissa le long de ses cuisses puis de ses mollets avant de s'écraser sur le sol. Elle était complètement nue, le sourire pervers du beau brun ne cessait de grandir. Elle l’excitait clairement, elle était désirable et il ne mit pas longtemps avant de la rejoindre, des fantasmes plein la tête. A peine avait-il avancé que Charline le devança et se précipita dans le bain pour lui échapper. Il éclata de rire sous sa remarque. « Tu ne perds rien pour attendre, princesse. » répondit-il un peu vexé mais néanmoins amusé par la situation. Il posa ses mains sur le rebord de la baignoire et s'approcha d'elle. La Granger prétexta son anniversaire comme excuse. « C'est pas une raison pour faire ta capricieuse. » lança-t-il en rigolant légèrement. Elle était trop mignonne. Sloan regarda le collier d'un peu plus près et afficha un large sourire. Il lui allait vraiment bien et il était heureux qu'elle l'ait accepté. « Embrasse moi. » murmura-t-il en reportant son attention sur son visage. Leurs lèvres étaient attirés l'un par l'autre et ils ne mirent pas longtemps avant de s'embrasser une nouvelle fois. L'Eliot mit rapidement fin au baiser pour la rejoindre dans le bain, il sera plus à son aise dans l'eau. La baignoire était assez grande pour deux heureusement. Doucement, il vint s'installer juste en face de lui et prit ses aises. Le jeune homme se recula pour prendre un maximum de place et laissa ses bras dépasser sur les rebords de la baignoire. Charline lui afficha alors un sourire pervers, auquel il répondit instantanément. Elle s'approcha telle une prédatrice et vint s'asseoir sur lui. Position alléchante, dommage qu'il y ait de la mousse et qu'il ne voit rien du tout. Sloan posa ses mains sur ses cuisses. L'eau réveillait certaines pulsions chez lui, il sentait le désir monter et savoir Charline complètement nue sur lui n'arrangeait absolument rien. Ses mains mouillées se posèrent sur le visage encore sec de l'étudiant. Elle lui reprocha de ne pas avoir enlever son caleçon. Il rigola. « Ne soit pas aussi pressée princesse, on a toute la nuit devant nous. » lâcha-t-il sur un ton charmeur. Il l'aurait bien enlevé maintenant mais avec Charline sur lui, c'était un peu compliqué. Il ne voulait pas vraiment couler sous elle. La brunette le remercia ensuite pour son cadeau d'anniversaire, pour tout ce qu'il avait organisé rien que pour elle. « Tu n'as pas à me remercier. » se contenta-t-il de répondre. Et franchement, il le pensait. Elle le méritait amplement et s'il avait pu faire plus, il l'aurait fait. Un manque temps l'avait obligé à organiser un petit moment romantique, en toute intimité. Disons simplement que si les événements de ces dernières semaines n'avaient pas été aussi froids, peut-être qu'il aurait assuré encore plus. En organisant tout ça, Sloan ignorait si elle allait venir donc pas la peine de s'emballer non plus. Quoiqu'il en soit, il ne quittait pas Charline des yeux, il ne voyait que par elle ce soir. Comme obnubilé par sa beauté, il n'arrivait pas à détacher son regard de son doux visage, de ses lèvres et de son corps. Oh oui, son corps. L'Eliot caressait ses cuisses sans vraiment s'en rendre compte, c'était plus fort, il avait envie de la toucher, de rattraper le temps perdu. Et comme ce moment ne serait pas le leur si la Granger ne faisait pas la gamine, elle prit de la mousse qu'elle déposa sur son visage. Le jeune homme lâcha ses cuisses et essaya de passer ses mains sur son visage pour l'enlever. Mais c'était sans compter sur une Charline taquine, qui l'empêchait de bouger. D'ailleurs, elle supposa prendre une photo de lui comme ça. Il éclata de rire. « Même pas en rêve. » dit-il avec plein de légèreté. En fait, il s'en foutait qu'elle le prenne en photo, c'était juste pour la taquiner un peu. Et alors qu'elle essaya de se lever pour aller chercher son portable, Sloan posa ses mains sur ses cuisses et l'obligea à se rasseoir. « Au risque de me répéter, tu ne vas nulle part. » lança-t-il en haussant les sourcils. On pouvait déceler une pointe d'autorité dans sa voix. C'est bon, elle l'avait laissé tout seul des semaines, il avait besoin de cette proximité et ne voulait surtout pas qu'elle s'éloigne de lui; même pour aller chercher son portable. Elle restait là et profitait du moment, point. Sloan se redressa et vint coller son corps contre celui de Charline. Il leva la tête pour la regarder avant de venir l'embrasser langoureusement dans le cou, faisant partir la mousse par la même occasion. L'ambiance était tellement romantique, ils étaient tous les deux et n'avaient besoin de rien d'autre. « Attends. » dit-il avant de poser ses mains virils sur ses hanches et de la faire reculer. Maladroitement, l'Eliot se pencha sur le côté et attrapa le sceau à champagne et les deux coupes qui traînaient sur le rebord de la fenêtre. Il prit la bouteille et vint se recaler dans le fond de la baignoire. D'un geste mécanique, Sloan fit sauter le bouchon en l'air et versa du champagne dans les deux coupes. Il posa la bouteille sur le sol avant de tendre l'un des deux verres à sa belle. « Joyeux anniversaire Charline. Inutile d'épiloguer des jours, je te souhaite juste d'être heureuse... » dit-il en faisant claquer leurs verres d'un petit bruit subtile. Alors qu'il allait apporter la coupe à ses lèvres, il rajouta « ... avec moi, tant qu'à faire. » conclu-t-il en explosant de rire. Bah oui Sloan, tant qu'à faire, c'est ça. Satisfait de la tournure des événements, il apporta sa coupe à la bouche et bu la moitié de son contenu d'une traite. Ouais, il avait soif le pépère.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)