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 | Leovan Eliott Danforth-Hogan fiche; terminée C'est le dix mai 1986 à Philadelphie (Pennsylvanie), que la famille Danforth m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Leovan Eliott Riley. Je suis fiancé (mais libre comme l'air) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine (outch) depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Winthrop House. |
Études médecine. « Soyons francs, j'ai une tête à être étudiant en médecine ? Docteur Danforth-Hogan, avouez, ça sonne mal, et puis ça donne des crampes à la langue tellement c'est long et chiant à dire. Non, franchement, je n'avais rien qui me préméditait à devenir médecin. Pourtant, pourtant, pourtant, il paraît que notre destin est déjà tout tracé ! J'y croyais pas à ces balivernes, mais bon, quand on est mis face à la réalité hein, y'a pas trop le choix. Enfin, même si ce n'est pas réellement le destin qui m'a conduit dans cette branche, mais plutôt mon papa chéri d'amour que j'adore. Médecin de père en fils, tradition oblige, gare à celui qui brisera cette tradition ancestrale, touchant les Danforth depuis l'ère premier, et patati et patata. J'y étais contraint, forcé, contre ma volonté en fait à faire ces études. (Soumis jusqu'au bout vous-je dis). Mais vous voulez savoir ? Non ? Tant pis vous saurez quand même. Au bout de deux années, étonnamment, ces études me plaisent bien, et même contre tout attente, je suis assez doué dans le domaine; première année validée avec quelques félicitations, ce n'est pas rien quand même ? Et cela ravie le géniteur, qui commençait à m'imaginer en prison pour les années restantes de ma vie (inquiétudes fondées à un certain moment de ma vie, mais bon). Je commence même à prendre plaisir à étudier, je vous l'assure, même en étant en retard de quelques années par rapport aux jeunots de deuxième année ! L'université change paraît-il, et je ne peux qu'approuver. En bref, Leovan étudie la médecine, applaudissez public ! » | Caractère « J’saurais pas trop comment me décrire. En fait, j’suis assez spécial comme mec (dans le bon comme mauvais sens du mot « spécial »). Enfin, ça, c’est ce que disent mes amis. Mes soi-disant amis. Bref. Faut savoir une chose sur moi avant tout, sur mon caractère : même si j’fais vieux, que j’ai 26 ans (ouais c'pas rien quand même les gars), j’suis immature, un pauvre gamin qui pense qu’à s’amuser, faire la fête et tout. En fait, j’crois que depuis mon adolescence, j’ai pas mûri niveau mental. Et tant mieux ! Au moins, j’suis pas un trou du cul coincé comme certains d’mon âge ! J’suis quelqu’un de très influençable aussi (comme un gamin) et on réussit facilement à me dominer, à me dompter (j’vous raconte pas mon enfer en prison hein). Mais malgré tout, j’suis pas une mauviette et j’sais me défendre, me battre quand on me manque de respect ou quand on manque de respect à ma famille et mes amis. Quand c’est dans ces cas-là, le Leovan très facile à manipuler devient HULK, ‘tention (mais c’est rare en fait !). J’suis pas spécialement du genre à chercher la merde, non, c’est la merde qui me cherche (par exemple : j’ai jamais cherché à cambrioler une banque moi, c’est le « cambrioler une banque » qui est venu me chercher ou plus connu sous le nom de Sasha Hogan, ma 'sœur'). Apparemment j’suis quelqu’un de romantique (d’après mon ex), doux et attentionné. J’suis jamais tombé amoureux, j’suis pas du genre à m’engager dans une relation de longue durée (ma plus longue relation a tenu un mois - sans compter celle que je tiens en ce moment avec ma pseudo fiancée, bien évidemment). Mais pas du genre non plus à enchaîner les conquêtes. Le juste milieu. J’suis gentil sinon et adorable. Et chiant, énervant et bordélique. J’raconte souvent de la merde, des blagues à deux balles, des conneries qui veulent rien dire. Bref, j’suis moi. Donc en gros, un défaut pour moi, c’est « immature » et une qualité, euh … « drôle » ? » |
Everyone Has Their Own Story
#1. Si un jour, on avait prémédité que Joana Hogan et Will Danforth allaient engendrer un enfant ensemble, plusieurs auraient rit à cette plaisanterie des plus osées. Un homme, une femme, deux jeunes, deux futurs médecins/pédiatres, deux rivaux, deux ennemis, qui ne pouvaient décemment pas se voir en peinture, coucher ensemble ? Laissez-moi rire ! Tout les prédestinait à se mener la bataille jusqu'à leur tombe, rien n'était fait pour que tous deux enterrait l'âge de guerre. Pourtant, pourtant, pourtant; elle était âgée de dix-huit ans, il allait sur ses dix-neuf, et Leovan Eliott Riley Danforth-Hogan naquit des mois suite à une relation tumultueuse, à Philadelphie, et à la plus grande surprise de tous. Il était choyé, détesté, aimé, adulé (oui, oui), avait hérité des cheveux bruns ondulés de son père et des yeux bleus-verts de sa mère, et le caractère de chien des deux réunis. Autant dire que dès son plus jeune âge, le petit Léo savait se faire entendre. « Maman, tu m'achètes ce jouet sinon je dis à mamie que c'est une 'connasse bonne qu'à faire le trottoir'. » Et bien entendu, on cédait à tous ses envies et désirs, lorsqu'on ne voulait pas risquer d'attirer le courroux du petit, qui ne manquait pas de moyens pour obtenir ce qu'il désirait. Enfance joyeuse, heureuse, épanouie, remplie d'amour et de chantages; Leovan grandit dans cette paisible demeure où il était prince, roi. Rien ne lui était refusé, rien. #2. Petit Léo devint grand; âgé dorénavant de dix ans, il s'était légèrement assagit et interprétait le monde à sa façon. Sous ses yeux innocents, ses parents, qui malgré la naissance de leur fils, avaient continué leur guerre de rivalité avec acharnement, et la mini-guerre de rivalité devint une vraie guerre mondiale. Will venait d'apprendre la tromperie dont il avait été victime, ainsi que l'énorme conséquence que celle-ci avait provoqué : la naissance d'un second enfant, qu'il croyait en être le père. Pas de chance mon gars, cette fois-ci il faut laisser son tour, partage un peu ! Partage donc ta femme avec ton frère ! Oui, le choc : Joana avait trompé son mari avec son frère, et en avait engendré un gosse, Saha. Petit Léo fixait attentivement la dispute qui se déroulait devant ses yeux, opposant son papa et sa maman, essayant éperdument de comprendre ne serait-ce qu'un petit peu la situation. Et petit Léo était grand, très grand, et intelligent, très intelligent, il avait deviné avant ses géniteurs où l'histoire allait mener : au divorce, à son plus grand bonheur. Ah oui, faut savoir quelque chose sur petit Léo; son père, c'était son pire ennemi, déjà depuis ses deux ans. Et sa mère ? sa pire ennemie, depuis cet instant. Les voir se briser ? son plus grand bonheur. Pitié qu'il aille dans une famille d'accueil ! #3. Dommage pour lui, Léo ne fut aucunement placé dans une autre famille, et vécut ce qu'il redoutait le plus dans ce divorce : choisir entre ses deux terribles géniteurs incapables d'élever un stupide gosse. " Pique nique douille, c'est toi l'andouille ! " « Je choisis papa ! Maman elle a déjà Sasha, et elle m'aime pas, elle m'a toujours frappé. » Faux, bien évidemment (ou presque), mais comme il fallait justifier son choix, et que la vérité sortait toujours de la bouche des enfants hein. C'est ainsi que la vie père/fils commençait, dans une autre ville, dans un autre Etat, dans le Massachusetts. C'est ainsi que petit Léo devint vraiment grand, qu'il sombra totalement, malgré lui. #4. L'humour. L'humour a toujours été son arme, et le sera toujours. Leovan Danforth-Hogan avait dorénavant dix-sept ans, bientôt dix-huit ans, et était destesté de tous au lycée. Sa vie de lycéen était misérable; il était celui qu'on enfermait sans scrupule dans les casiers, celui dont les filles n'adressaient aucun regard, celui qui passait inaperçu dans les couloirs en compagnie de son meilleur ami, lui, populaire; il était l'homme invisible. Malgré tout, malgré son père, devenu médecin réputé dans le pays, qui ne lésinait pas sur les moyens pour rendre son fils heureux, et ne comptait plus les milliers de dollars qui sortaient chaque jour de son compte en banque. Petit Léo était grand, oui, mais petit Léo n'était pas si grand que ça, on le choyait comme un petit bébé : son papa venait à son secours au moindre besoin, et lui donnait de l'argent, beaucoup d'argent. Leovan, au contraire de tous, au fil des années, devenait de plus en plus facile à mener par le bout du nez, et était à tel point fragile qu'un rien pouvait le faire chavirer. Léo, le petit mélo, comme l'appelait son meilleur ami, Gabin, un pur petit connard français. Petit il avait hérité du caractère bien trempé de ses parents, mais faut croire que ce caractère s'est perdu au fil des années. Pourtant, malgré sa soumission plus que facile, son père était pire, et Leovan contrôlait ce dernier comme une jolie marionnette. Son père était le seul à qui il pouvait se permettre de jouer ce jeu. Il tenait les ficelles, il se contentait des les faire manipuler pour son 'papa chéri adoré'. « Oui fiston, le cabriolet sera livré demain à la villa ! » N'était-il pas tout gentil le monsieur tout gros tout pas beau ? Pourquoi la popularité ne s'achetait pas comme lui achetait l'amour de son fils ? Si c'était aussi facile au lycée, Leovan aurait sans doute toutes les filles qu'il désire à ses pieds, quel pied ce serait ! Mais la popularité n'était pas si facile d'accès, et l'argent n'était pas mot d'ordre, le physique comptait également. Malheureusement, le physique, il ne le possédait pas à cet âge. L'humour, l'humour avait toujours été son arme vous dis-je, mais l'humour, à quoi ça sert ? #4. « T'es qui toi ? » « Ta sœur, espèce de con. Enfin, ta soeur et ta cousine en même temps; plus une mère est salope, plus les relations familiales deviennent weird, paraît-il. [...] Bon allez, ferme ta gueule et suis-moi ! » « Wow wow, attends une minute d'abord, je voudrais savoir ... t'as perdu un pari avec ton coiffeur ou quoi ? » Au fond, il le savait, jamais il n'aurait dû la suivre cette folle à la coiffure très étrange. Sa sœur ? What is the fouuuuck ? Souviens pas d'avoir eu une sœur. Mais, petit Léo était en quête d'aventure, petit Léo voulait vraiment devenir grand, prouver au monde entier qu'ils avaient eu tord de le rejeter comme ça. Sasha était arrivée au parfait moment, et en très peu de temps, elle était devenue sa conscience, son point faible, son diable personnel. Elle était la connerie incarnée, et elle, avait réellement hérité du caractère de leur mère. Il était très naïf, elle avait des idées tordues. Durant des mois, des années, il avait été sa marionnette, son jouet. Durant des années, elle l'avait tiré vers le bas, le rendant 'bad boy', l'initiant aux drogues et autres genres, l'écartant petit à petit de sa minable vie insignifiante. Il avait totalement changé, était méconnaissable, aussi bien physiquement que moralement, et en était drôlement fière. Petit Léo avait bel et bien grandit ! Au revoir petit navet, bonjour oh grand monsieur bad boy ! Drogues, sexe et alcool étaient les mots ordres de sa nouvelle vie. Leovan avait dorénavant vingt-et-un ans, était majeur, et venait tout juste de couper les ponts avec son père. Il vivait sa vie en compagnie de sa diablesse de sœur/cousine, et profitait de chaque instant. La vie devenait un jeu, un jeu drôlement amusant et sans limites. Un jeu vraiment plaisant, je vous le jure. Puis, un jour, le jeu s'arrête. Totalement. « Monsieur Hogan, je vous arrête pour la tentative de cambriolage de cette banque. Vous avez le droit de garder votre silence ... » #5. Un an de prison, ça use quand même. Oui, un an. Heureusement qu'un an. Papa était venu à son secours, comme toujours, et malgré qu'il lui en voulait profondément, papa ne pouvait laisser son fiston laisser pourrir dans ce trou-à-rat, non ! Mais papa avait une seule et unique condition en échange de sa liberté : « Tu vas me faire le plaisir de te reprendre en main Leovan Eliott Riley Danforth ! Et maintenant ! Ecoute-moi bien : un policier va venir t'interroger, encore, et cette fois-ci, tu parleras, tu as compris ?! Tu parleras, et tu accuseras cette petite pétasse ! Elle le mérité ! » Monsieur Danforth Junior soupira. « Sasha. » Danforth Senior leva les yeux au ciel. « Peu importe ! La ferme Leovan et fais bien ce que je te dis si tu tiens à ta liberté ! [...] Et ensuite, tu reprendras ta vie en main, j'engagerai un détective pour blanchir ton casier pour que tu puisses entrer à l'université, à Harvard ... » « Mon papounet chéri aime bien rêver à ce que je vois. » « ... pour étudier la médecine, comme tu aurais dû le faire à tes 18 ans ! Compris ? » Oui, il a compris le petit Léo ? « Est-ce que c'est compris Leovan ?! » Ouh, il hausse le ton le Danforth Senior, tremblez ! Léo le fixa droit dans les yeux avant de hocher la tête de haut en bas, en guise d'accord. Il venait de trahir sa sœur, et se sentait cruellement mal. Mais de temps en temps, il faut savoir être égoïste non ? Rares sont les fois où il l'avait été, égoïste, si on y repense bien. #6. La vie était belle. Oh oui. 26 ans, étudiant, fiancé, mais dragueur jusqu'au bout, Leovan profitait de la vie comme il se doit. Il aimait cette liberté qu'on lui avait accordé, chérissait la seconde chance qu'on lui avait autorisé, et croquait cette vie à pleines dents. Harvard, 2012, bonjour. " Je me présente : Moi, Leovan Danforth-Hogan (avec mon père Danforth, avec ma mère que je revoie en prison lorsque je rends visite à Sasha, toujours pas libérée Hogan), presque la trentenaire, étudiant en second année en médecine dans cette célèbre université, gamin à ses heures perdues, créateur de conneries à volonté, possédant comme sa plus grande qualité l'humour à deux balles, fiancé à la plus grande pimbêche du monde malgré moi, arrivé dans les premiers de sa promotion (pas que du vide dans le crâne), ancien taulard (mais chut faut pas le dire), croyant toujours à l'amour parfait, naïf jusqu'au bout, hyperactif, sensible, charmeur, drôle (ou pas), immature, fou, perfectionniste, galant, loquace, jamais ponctuel, assidu, curieux, astucieux, tolérant, vaniteux, vigoureux, peureux, calculateur, réfléchi, méfiant, irresponsable, la joie de vivre, vulgaire, prétentieux, doux, romantique, insouciant ... vous salue, public ! "
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - appelle moi dieu, ça suffira. (vanne usée je sais, je sais) ↬ ÂGE - sixten, yeah yeah yeah. ↬ PAYS/RÉGIONS - france powaaa ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - partout, mais surtout ailleurs. ↬ TES IMPRESSIONS - je reste sans voix. ↬ CRÉDIT(S) - tumblr+bazzart+livejournal. ↬ AVATAR - jamie (arjchnbdnejedsexy) dornan. ↬ SCÉNARIO OU PI? - pi. ↬ LE MOT DE LA FIN - c'est mon dernier mot jean-pierre. |
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