Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPlease forgive me 'cause I'm a little unsteady ❥ EDELIAS
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Please forgive me 'cause I'm a little unsteady ❥ EDELIAS

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Please forgive me 'cause I'm a little unsteady.
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Tu es devant cette grande bâtisse et tes jambes tremblent comme une feuille. Tu fixes le sigle de la maison des Mathers avec une boule dans la gorge. Tu ne vas pas y arriver, tu le sais mais tu dois rassembler toutes tes forces pour entrer à l’intérieur. Tes doigts ne peuvent pas s’empêcher de jouer les uns avec les autres, un grand signe de stress. Cela fait environ dix minutes que tu es devant les Mathers, les larmes aux yeux, à te parler toute seule, hésitant à rentrer, faisant quelques pas en arrière pour fuir. Ta tête va exploser, tu as l’impression d’être folle. Tu ne veux pas rentrer à l’intérieur, la dernière fois que tu y as mis les pieds, c’était pour cette fête où tout à dégénérer, où tu as tout perdu. Seulement voilà, si tu n’entres pas ici, tu perdras quelqu’un qui t’est devenu cher, Tobias. Tout allait si bien entre vous, tu étais enfin heureuse auprès de quelqu’un, tu ne rêvais que d’une chose, ses bras entourant ton corps, son sourire te perdant dans un autre monde de bonheur mélangé à de l’euphorie. Mais l’autre soir, tout a dérapé un peu trop vite et tu pensais pouvoir passer au-dessus de cela mais tes angoisses sont revenues et elles ont tout fait basculer en ta défaveur. Tu prends une grande respiration tout en fermant les yeux puis tu te décides à avancer sans regarder où tu vas. Tu arrives près des marches, tu les montes rapidement puis arrivée sur le pas de la porte tu regardes derrière toi, ce serait tellement facile de retourner en arrière… Tu te décides à entrer, tu regardes du coin de l’œil chacun Mathers qui te dévisage alors que tu baisses la tête. Tu t’es renseignée, tu sais quel numéro porte la chambre de Tobias. Tu connais les lieux, ils n’ont pas vraiment changé depuis la dernière fois, ce qui te rassure tout en te glaçant le sang. Tu fais des petits pas rapides pour atteindre la chambre, tu te sens déjà mal, tu suffoques, ta respiration se fait courte et ta tête tourne. Tu toques à la porte tout en priant pour qu’il ouvre, tu as déjà les larmes aux yeux. Le temps se fait long mais il finit par ouvrir. Tu souffles longuement et poses ton regard larmoyant sur lui. « S’il te plaît, est-ce que je peux rentrer, s’il te plaît Tobias… » Ta voix se fait suppliante, tellement qu’il doit avoir pitié de toi et te laisse entrer. Tu entres le plus vite possible et tentes de respirer une fois à l’intérieur, ici tu devrais être plus en sécurité…
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— with Edelweiss

Je ne broie pas souvent du noir. Je lutte perpétuellement contre ce sentiment lancinant qui occupe actuellement mon esprit. Je n'ai toujours pas compris la réaction d'Edelweiss, celle en qui j'avais si vite fondé des tonnes d'espoirs. Je n'ai plus aucune notion de temps, je vis selon les vas-et-viens capricieux du soleil. Depuis ces derniers jours, je suis silencieux, je sors à peine pour aller manger en bas. Lorsque le ventre est rempli, je m'allonge sur mon lit et je comate devant la télévision. Si j'éteins cette boite à images et que je me retrouve seul face à moi même, je n'ai qu'une envie : me taper la tête contre les murs. Quand plus rien n'est suffisamment stimulant pour ma conscience, j'allume la chaine HI-FI à en faire trembler les murs de la résidence. C'est d'ailleurs ce que je viens de faire en entamant un joint qu'un de mes amis "Mathers" m'a gentiment offert en voyant ma tronche de macchabée hier soir. Je tire sur le pétard, m'étouffant au passage, surpris par sa puissance. Je regarde par la fenêtre de ma chambre, le campus est bien calme, le soir ne va pas tarder à se pointer. Je fusille le joint en je ne sais combien de temps, ce que je peux dire, c'est que je me suis mis à arracher mon tee shirt et à faire une série de pompes, puis j'ai dansé. Je me rappelle avoir tourné sur moi même et avoir perdu l'équilibre. Ma tête a heurté le sol et puis j'ai rêvé, j'ai fait de drôles de rêves. Certains étaient merveilleux et d'autres angoissants. Comme celui-ci où ma mère vêtue de noir m'hurle d'ouvrir la porte de notre maison en Italie. Sa voix est si rauque... elle s'approche de moi rapidement, je me sens partir en arrière et perdre le contrôle. Un bruit sourd répétitif me réveille brusquement. J'aperçois la moquette au sol de ma chambre ainsi que des objets sous mon lit. Je me relève et titube jusqu'à ma porte qui cogne. Je râle en baragouinant n'importe quoi et ouvre brusquement " QUOI ! " criais-je avant de capter qu'il ne s'agissait pas d'un de mes potes de confrérie mais Edelweiss ? Je ne vois pas bien, c'est un peu flou, surement parce que je n'ai pas assez de force pour ouvrir en grand mes yeux. Je pouffe de rire, croyant à un nouveau stratagème de mon cerveau. Rêve ou réalité ? Je joue avec la poignée de la porte en l'actionnant pleins de fois comme un gosse. " Gneum, euh, oui rentres donc EDEL...WEISS " articulais-je mollement en la faisant entrer dans mon palace zéro étoile. Je me demande ce qui va nous arriver, vais-je tout à coup tomber dans un trou noir ? Voler dans les airs ? " Que fais-tu dans mes rêves Edel ? " demandais-je au portrait craché de l'étudiante paraissant pour le coup paniqué.

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Tu angoisses, tu ne sais plus où te mettre. Tu trépignes d’impatience alors que ton frêle poignet toque de toutes tes forces sur la porte du jeune Mathers. Tu sens ton palpitant battre jusqu’à se rompre dans ta poitrine, tu as subitement chaud et la tête qui tourne. Tu as peur de t’effondrer dans ce couloir qui semble rapetisser à vue d’œil. Tu fermes les yeux, cognes encore contre la porte tout en soufflant, logement. Tu imagines que tu es dans un autre endroit mais tu commences à hyperventiler. Lorsque tu étais plus jeune, lorsque les autres enfants se moquaient de ton poids, de tes lunettes, de ta timidité, tu faisais des crises d’angoisse, tu te rendais littéralement malade jusqu’à vomir. Aujourd’hui tu as à nouveau cette sensation de nausée, cette sensation dérangeante qui te donne envie de mourir plutôt que de l’affronter. Tu entends la voix familière de Tobias crier à travers la porte et tu sursautes comme face à un film d’horreur. Tu le vois ouvrir la porte alors que tu n’as qu’une envie, faire demi-tour en courant, traversant cette maison de l’horreur, cette maison qui te pétrifie. Les larmes te montent aux yeux et tu mets toutes tes forces de côté pour les ravaler, difficilement. Tu fronces les sourcils tout en entrant dans sa chambre après l’avoir supplié de te laisser entrer. Tu passes les mains dans tes cheveux blonds que, pour une fois, tu as laissés détachés. Tu secoues tes mains de panique, tu sens que tes jambes vont céder sous le poids de ton corps mais soudain, une autre sensation que l’angoisse s’insinue au creux de ton ventre, la peur, le doute. Tu fixes Tobias, il a l’air tellement différent. Instinctivement, tu recules de quelques pas, il n’est pas dans son état normal. « Tobias… est-ce que tu… tu vas bien ? » Tu joins tes deux mains, subitement très mal à l’aise puis tu l’observes de tes yeux ronds, presque apeuré. Il parle de rêve et tu fronces les sourcils, il a fumé ou bu et à constater l’odeur dans sa chambre, tu captes très vite qu’il ne s’est pas contenté d’une cigarette. Tu paniques à nouveau et fais quelques pas de gauche à droite. « Ce n’est pas un rêve Tobias, je … je suis là. » Tu essaies de toutes tes forces de rester un maximum mais le fait qu’il ne soit pas dans son état normal te paralyse. Tu as plus qu’envie de fuir. « Je devrais peut être y aller, c’était une mauvaise idée… » Tu te diriges alors vers sa porte, tête baissée, le plus vite possible.
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— with Edelweiss

Edelweiss est la première a pénétrer de nouveau dans mon espace vital. Son agitation m'angoisse, ou bien est-ce dû à la substance illicite que j'ai consommé ? L'effet se dissipe de plus en plus, laissant réapparaître la tension que je désirais apaiser. Je me sens observé, épié. " Ça va Edelweiss, ça va. " je m'effondre sur un fauteuil en cuir, les bras ballants de chaque côté des accoudoirs. Une migraine épouvantable envahie mon cerveau. Je secoue ma tête, comme si je venais d'être assommé. J'entends la jeune femme m'assurer que sa venue est réelle. Cette confession conforte mon idée depuis qu'un mal de tête atroce occupe mes méninges. Cette douleur ne peut pas relever de l'inconscient. Quelques images incompréhensibles traversent mon esprit embrumé, je pouffe de rire en essayant d'attraper ... du vide. Visiblement, mon comportement indomptable fatigue Edelweiss puisqu'elle se déplace vers la sortie et me signale qu'elle devrait partir. Avant de me droguer, j'aurais jamais pu penser la revoir, et maintenant qu'elle est là, -en chair et en os-, je foire tout. Je me relève droit comme un "i" et sprinte vers la demoiselle, sautant une guitare gisant à terre. Je m'interpose entre l'américaine et la porte, essoufflé par ce simple mouvement. " Non restes, ça ira mieux de minute en minute, je te promets " lâchais-je en écarquillant de toutes mes forces mes yeux. " À moins que tu veuilles aussi une dose de ce machin mais ça craint " rajoutais-je en pinçant ma lèvre inférieure. Je glisse sur la cloison et m'écarte de la porte en roulant comme un sushi en cours de préparation. Je me gifle de dos et pars ouvrir la fenêtre pour chasser l'odeur d'herbe. Et puis un courant d'air oxygénera mes neurones encore endormis. " Fais comme chez toi, c'est un peu le bordel, depuis... enfin bref comment tu vas ? " demandais-je, les fesses contre l'encadrement de la fenêtre, la voix tremblante. Je ne pense pas être atteint de la maladie de Parkinson, pourtant j'en ai quelques symptômes.

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Tout se passe si vite au sein de ta petite tête blonde, tu ne sais plus où te mettre. Tu as l’impression que les murs de sa chambre de Mathers se rapprochent petit à petit pour venir t’étreindre un peu trop brusquement. Tu ne cesses de regarder autour de toi, tes yeux n’arrivent pas à fixer quoi que ce soit plus d’une seconde et demie. Tes doigts ne cessent de triturer quelque chose d’imaginaire et tu sens une boule se former au creux de ta gorge. Tu poses ton regard sur Tobias, quelque chose ne va pas chez lui, tu ne reconnais pas l’homme aimant et doux que tu as connu, au lieu de ça, il rit de tout et de rien, il ne semble pas se souvenir de toi. Est-ce qu’il est passé à autre chose ? Est-ce que toute cette histoire n’était qu’éphémère pour lui ? Soudain, tu prends peur, ta petite confiance se démonte et tu as envie de fuir, le plus loin possible. Tu te défiles en filant vers la porte le plus longtemps possible, malheureusement il te barre la route, se positionnant contre sa porte. Tu ignores comment tu dois prendre ce geste, la dernière fois qu’un vert t’a barré la route, tu as tout perdu. Mais tu tentes de te rassurer en te disant qu’il s’agit de Tobias, qu’il est un homme drôle et qui t’apprécie. Tu recules quand même de quelques pas après avoir sursauté et tu baisses la tête, confuse. Tu te contentes d’acquiescer d’un léger geste de la tête, tu lui fais confiance, il ira mieux dans quelques minutes. Tu le regardes s’éloigner de toi pour ouvrir la fenêtre, tu avais donc raison, il vient de fumer. Tu es empli de doute et si le garçon qui t’avait fait rire et pensé à autre chose qu’à tes cauchemars n’était pas réel ? Tu as peur que ce doux visage ne soit qu’un doux écran de fumée, après tout c’est un Mathers. Tu te retournes vers lui, laissant un ange passer entre vous deux. Tu n’arrives pas à affronter son regard. « Je… » Tu n’arrives pas à articuler. Tu tâtes le bureau juste à côté de toi pour t’y tenir, tu as peur que tes jambes flanchent. Tu dois te lancer, cracher le morceau, crever l’abcès. « Je suis désolée Tobias, pour la dernière fois, je crois que je t’ai fait espérer quelque chose que je ne peux pas te donner, je crois que tu m’as confondu avec un autre type de fille… »
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Cela fait si longtemps que je suis dans cette maison, c'est devenu mon chez-moi, lorsque je serais diplômé, je devrais quitter cet endroit et tous ses souvenirs entassés... Si je pouvais oublier cet instant, ça ne serait pas de refus. Lorsque Edelweiss réussit à se lâcher et à m'avouer ce qu'elle avait sur le coeur, je m'accroche au rebord de la fenêtre, histoire de ne pas basculer par dessus bord. Je rêve... A-t-elle vraiment cru que je ne voulais qu'une histoire de sexe ? Les filles d'un soir se sont éloignées de mon quotidien depuis un bon moment maintenant. Je n'ai plus d'énergie à perdre pour ce genre de relations express. Je désire retrouver l'amour, le vrai, le grand. Je soupire longuement et attrape mon front. " Je crois juste que l'on s'est mal compris, je ne voulais pas uniquement ton corps Edelweiss. Si tu as pu penser ça, c'est que je me suis trompé sur notre éventuel avenir. " lui répondis-je, plus sûr et conscient de moi. Cela fait à peine quelques mois que l'on se connaît, pourtant, je m'étais attaché à elle. Ses préjugés sur ma personne m'accable. Je me rends compte que je suis légèrement dénudé, ce qui me pose problème vu la tournure de cette discussion. J'ai besoin d'une armure, même si elle n'est faite que de fibres en tissus. J'approche de la blonde et attrape un tee shirt sur la chaise du bureau. Je l'enfile, ignorant la demoiselle inquiète. " Je croyais juste qu'on détenait quelque chose de particulier, c'est plutôt rare dans ce monde." ajoutais-je en ramassant le désordre à droite et à gauche. Au moins, je suis fixé, je dois reprendre ma vie routinière, sans ce rayon de soleil que j'avais déjà idéalisé. Je me sens vexé, blessé mais aussi coupable. Coupable d'avoir renvoyé une telle image à une fille qui me plaisait vraiment. Je ne dois pas me laisser abattre. Qu'est-ce que je fous ? Je dois me réveiller et regagner ce que je convoitais. Je jette violemment ma pile d'ordure dans un coin de la pièce et reviens vers elle à grandes enjambées. " T'as pas le droit de faire ça, tu as un autre homme dans ta vie c'est ça ? Je tenais vraiment à toi, je l'ai vu dans tes yeux aussi. Tu me plaisais tellement que j'ai craqué comme un imbécile l'autre soir, pardonnes-moi. " confiais-je en attrapant son visage d'une main, approchant assez mon visage pour sentir son souffle s'abattre sur ma peau.
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« Non Tobias, non… ce n’est pas ce que j’ai dit je… » Tu le vois se crisper contre la fenêtre, cette discussion prend une voie qui ne te satisfait pas, une voie complètement contradictoire à celle que tu voulais. Même si c’est un Mathers, l’innocence qu’il a su te transmettre t’a totalement écarté d’une relation entre deux corps, tu n’as jamais eu cette idée à l’esprit, peut être parce que tu es un peu trop niaise. Tu passes d’une jambe à l’autre, tu ne sais pas comment te positionner. Tu le vois se balader tel un tigre en cage, tu te sens mal pour lui. Ses paroles t’ont fait sourire, il recherchait quelque chose de réel avec toi, quelque chose de fort… « Bien sûr que non, il n’y a personne d’autre. Ce que j’ai ressenti avec toi l’autre soir et même depuis le début… C’est quelque chose que je croyais ne plus jamais ressentir… Tu es quelqu’un d’exceptionnel et cela me fait mal de te dire ça mais… je crois que tu perds ton temps avec moi. » Ton front collé au sien, tu te prends à fermer les yeux, ceux-ci laissant déborder deux larmes coulant de chaque côté de tes joues. Ton corps se met à trembler, tu ne sais plus du tout quoi faire. « Je suis brisée Tobias. » Ta voix s’étrangle et tu manques d’éclater une nouvelle fois en sanglots alors que tu sens tes jambes se remettre à trembler. Tu as l’impression que seules ses mains fixées à ton visage te retiennent. Son souffle t’apaise légèrement, tu tentes de te concentrer dessus pour passer outre à ce flot d’émotion trop intense. Comment lui dire, comment lui avouer ? Tu ne sais pas quoi faire, tu es totalement désemparée, une fille complètement paumée en plein dilemme entre son âme et son cœur. Tes doigts se lèvent automatiquement vers l’homme pour qui tu éprouves des sentiments mais tu as peur de le toucher, peur de ressentir à nouveau cette sensation de bien-être, d’euphorie et surtout peur de devoir couper court à cette situation. Tu sens qu’il passe par toutes les émotions, ton état s’apparente au tien. Tu sens qu’il se détache alors de toi, tu comprends qu’il t’en veuille mais tu n’as pas envie de le perdre… Tu sens que tu vas le perdre, définitivement, que votre histoire va mourir telle une flamme étouffée alors qu’elle n’a même pas eu le temps de naître. « Si je n’ai plus confiance en les hommes, si je ne suis plus la fille que j’étais, si je déteste les Mathers, si je hais cet endroit, c’est parce qu’il s’est passé quelque chose, j’ai été… je… » Tu n’y arrives pas, c’est trop dur. Tes lèvres restent en suspens et plus aucun mot ne sort de ta gorge.
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J'ai oublié à quel point je peux me mettre en rogne lorsque je suis passionné. Alors quand Edelweiss me repousse, bien évidemment, je deviens brusque et impitoyable. Lorsque je lui laisse le temps d'en placer une, j'entends toujours la même rengaine, à savoir qu'elle ne pourra jamais me convenir. Je vais tout détruire c'est pas possible. Pourquoi arrêter lorsque tout commençait à ressembler à un rêve ? Quand la tension diminue et que je me sers enfin de mes oreilles de futur psychologue, je décèle enfin une faiblesse. La même que j'ai entrevu dès notre rencontre. Elle est brisée ? Mais... par qui, comment, quoi ? Je fronce les sourcils, ne sachant pas à quoi elle fait référence. Je ne peux plus lui en vouloir, surtout pas quand elle est sur le point de s'effondrer. Cette proximité m'avait déjà tant manqué. Nos fronts l'un contre l'autre, nos corps si proches adoucissent mon courroux. Je ressens un magnétisme inqualifiable. Je devine qu'elle souhaite se confier à moi, son regard en dit long, son souffle saccadé également. Je lui dévoile mon regard compatissant, lui indiquant que je suis prêt à tout recevoir. Edelweiss tente une première confession qui au final ne m'apporte pas plus d'informations. Pourquoi pointe-t-elle les Mathers ? Pourquoi cet endroit l'a brisé ? Il me faut un certain moment pour recoller tous les morceaux et en venir à l'horrible conclusion, elle a été... violé. Je ne peux pas y croire, je ne veux pas y croire. " Je sais ce que tu veux dire Edelweiss, je ne pouvais pas le savoir et... et je me sens si con maintenant. Pardonnes-moi. " lui dis-je en la serrant finalement contre moi, maintenant sa tête dans mon cou. " Si je retrouve ce type je le bute " chuchotais-je avec une haine profonde. Je ne peux pas m'en empêcher, une larme cavale le long de ma joue et s'enfoui dans sa chevelure sauvage. C'est une larme de honte dû à mon comportement antérieur mais aussi une larme de colère gigantesque. Après une accolade puissante, je me détache et scrute le visage de la jeune femme. " Tu n'as pas à te dévaloriser à cause d'un salaud, tu vaux bien mieux que lui et je pense que tu peux être faite enfin compatible avec moi. Je te lâcherai pas pour ça Edelweiss. J'irais à ta vitesse parce que je t'apprécie tel que tu es. " m'expliquais-je nerveusement avant de lui murmurer " Approches " je n'attend pas qu'elle s'avance, je tire sa main vers moi et l'embrasse ardemment quand son corps heurte le mien. Je suis entrain de tomber amoureux. Je ne vois pas d'autres explications à ses palpitations démentielles. Lorsque je romps notre baiser, j'effleure ses lèvres des miennes tendrement et songe à la difficulté à laquelle elle a dû faire face pour être ici. " Tu veux qu'on bouge ? Je ne veux pas que tu restes ici alors que c'est la maison de l'horreur pour toi " proposais-je en enfilant par précaution mes chaussures. Je devrais même quitter les Mathers pour toujours si entre nous cela devient plus que sérieux...
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Ta voix se brise. Tu as l’impression que chacune de tes côtes rentre dans tes organes vitaux ce qui t’empêche littéralement de respirer. Tu as l’impression d’exploser tout en restant sur place, immobilisée par la peur. Tobias est là, devant toujours, toujours aussi attendrissant et doux avec ta personne. Tu ne comprends pas ce que tu as fait pour mériter un homme pareil à tes côtés, tu es tellement dans le doute que tu cherches toutes les excuses du monde, tous tes défauts pour pouvoir le rejeter beaucoup plus facilement, ce que tu ne veux pas, bien évidemment. Son corps contre le tien te réchauffe de l’intérieur, tu reprends quelque peu confiance en toi ce qui est vraiment délicat dans ce genre de situation. Tu renifles alors que les larmes glissent le long de tes joues devenues blanches. Tes lèvres restent entrouvertes, elles tremblent sans qu’aucun son ne soit pourtant articulé. La situation est trop dure et tu sens ton corps s’évaporer en quelques petits morceaux. Tu te mets à trembler alors que le regard de Tobias se fait compréhensif. Il a compris, il sait ce qui s’est passé. Il ne sait pas forcément tout, beaucoup de tes secrets restent à l’abri dans un recoin de ton âme mais il sait déjà le principal, il devrait comprendre pourquoi tu n’es pas une fille pour lui. Lorsqu’il articule quelques mots, tu ne peux t’empêcher d’éclater en sanglots, pourquoi tout ne peut pas être facile ? Tu es incapable de dire quoi que ce soit, tu te sens faible, inutile. Ton corps tremblant contre le sien se laisse faire, il peut te manipuler comme une poupée. Tu es à bout de forces et de souffles, cette épreuve est bien plus difficile que tu ne le pensais. En parler lors du club d’abstinence sur le ton de la plaisanterie n’était qu’un exercice enfantin à côté. Tu relèves alors la tête avec son aide, ton maquillage léger a dû commencer à couler, tu ne dois ressembler à rien mais ce n’est pas à ce que tu penses en ce moment. Tobias te dit de ses choses… jamais tu n’aurais pu imaginer un tel réconfort, de telles paroles qui te font rêver. Tu te laisses embrasser tout en te délectant de ses lèvres puis tu te reposes un instant contre lui, dans ses bras tu te sens en sécurité. « Je ne comprends pas que tu puisses perdre ton temps avec moi, tu mérites tellement mieux… J’ai l’impression de tout gâcher. » Il ne se laisse pas débiner par tes paroles et enfile ses chaussures tout en te proposant d’aller ailleurs. L’espace d’un instant, tu as presque oublié que tu es au royaume des vert. Ton corps tout entier tressaille et tu le laisses à nouveau approcher. « Est-ce que tu peux juste me serrer dans tes bras et ne pas me lâcher avant un petit moment s’il te plaît ? » Tu le regardes avec ton air d’enfant innocente puis tu te laisses attirer vers lui au niveau de son lit. Tu poses alors sa tête contre son torse, te laissant bercer par les battements de son cœur. « Je suis désolée Tobias… » C’est tout ce que tu peux murmurer avec la force que tu as.
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Je suis allé bien trop loin. Probablement parce que je ne croyais pas à une suite. Mais depuis que nous avons crevé l'abcès, ma pression artérielle est descendue. Son courage pour en arriver à cette confession est tout à son honneur. Je conçois à présent pourquoi Edelweiss se dévalorise. " Gâcher quoi ? Une alchimie de dingue ? Je crois pas non, si tu n'étais pas là, je ne me sentirais pas aussi bien dans ma vie en ce moment " déclarais-je ouvertement. L'effet qu'elle a sur moi est redoutable, pour que je me livre sur mes sentiments à ce point là, c'est que je suis sous le charme. " Tu sais quoi ? À chaque fois que tu te critiqueras, tu auras le droit à un bisou, tu vas voir, ça va vite te saouler " ajoutais-je fier de moi, les yeux emplis de malice. Je m'apprête à décamper pour respecter la jolie blonde mais cette dernière me quémande un câlin que je ne peux refuser. J'accueille Edelweiss à mes côtés, assis au bord du lit, sa tête vint s'échouer sur mon torse. Je caresse doucement ses longs cheveux blonds, je ferme mes yeux et m'imprègne de ce moment. Edelweiss s'excuse, ce que je ne peux pas accepter. Je soulève son menton et lui dérobe un baiser. " Qu'est-ce que j'ai dis ? Plus d'excuses pour quelque chose qui n'est pas de ta faute. Si tu veux parler de ce qui t'est arrivé, tu sais que je suis là dorénavant, je te laisse faire comme tu le sens, je ne vais pas te forcer. " signalais-je en l'attrapant de nouveau pour la blottir contre moi. La seule fille qui me plaît et qui comble toutes mes attentes a été violé... J'ai beau me montrer fort et imperturbable, cette annonce me terrifie tout de même. Je sais d'ores et déjà que notre couple en devenir va subir plusieurs combats, en aurais-je le courage ? Je n'ai plus le choix, je ne peux plus faire marche à arrière. Je l'aime déjà, c'est à moi de l'aider à se reconstruire, je compte bien réussir à regonfler sa confiance en elle. " Edel t'as pas peur de fréquenter le mec le plus maladroit du monde ? " lui demandais-je un sourire en coin. Si elle n'est pas parfaite -chose dont je doute fortement-, je ne le suis pas non plus, loin de là. Elle a déjà subi mon mauvais karma assez de fois, elle aurait pu fuir depuis le temps. " Je comptais t'inviter à dîner mais on peut peut être rester ici pour limiter les dégâts ? Du moins pour cette journée ? " concluais-je en m'effondrant sur le dos, les bras au dessus de ma tête.
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