FAMILY TIME ✩ ALEZAEL

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— with Alezael

C'était affreux de vivre cette situation. Parce que j'aimais Az, j'aimais Hendrix et je voulais que ma vie de famille se passe le mieux possible. Sauf que non, je ne pouvais pas. Azraël avait un blocage vis à vis de son fils et me laissait alors m'occuper de tout. Elle ne pouvait pas être avec lui, proche de lui, dans la même pièce que lui, sans être au plus mal. Et je ne comprenais pas. Sauf qu'après discussion avec ma meilleure amie, j'en avais conclu qu'il y avait un truc, un problème. Et que peut-être tout serait résolvable par une séance avec un professionnel qui saurait détecter ce qui ne va pas chez Az depuis la naissance d'Hendrix. « J'ai pas dit ça non plus. Mais il y a du avoir un déclencheur pour que tu bloques de cette façon et.. peut-être que ça peut se débloquer. C'est ton fils, pas un étranger » Travailler sur elle, apprendre à connaître le bébé que nous avions conçu, agir comme une mère. C'était tout ce que je voulais. Qu'on soit un binôme dans cette histoire et non moi tout seul et elle qui vit sa vie à côté. Sauf que non, elle s'énervait, attrapant le téléphone fixe avant de me l'envoyer dessus, afin de m'agresser. « Le prends pas comme ça mon cœur.. je... j'en peux juste plus, ok ? Je peux plus continuer comme ça » Je soupirais, la regardant avant de me redresser pour aller remettre le téléphone à sa place. « Si je dois l'utiliser, c'est pour appeler une babysitter Az, rien d'autre »

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Elle détestait agir de la sorte. Péter les plombs, ne plus rien contrôler mais ouais, ça la bouffait petit à petit et elle savait qu'en continuant comme ça, tout ce qu'elle ferait serait de ruiner son mariage. C'était pas ce qu'elle voulait mais au fond, la brune, elle avait aucun contrôle sur tout ça. Les seuls réflexes qu'elle avait c'était la colère, l'impulsivité et à chaque fois que le sujet fatidique revenait sur le tapis, elle partait en vrillant cassant tout autour d'elle. « J'ai pas dit ça non plus. Mais il y a du avoir un déclencheur pour que tu bloques de cette façon et.. peut-être que ça peut se débloquer. C'est ton fils, pas un étranger » Elle serrait les dents rouge de colère et au final, c'était plus fort qu'elle. Elle lui envoyait le téléphone fixe dessus tentant de se contrôler un maximum pour ne pas apeurer Robyn qui jouait toujours sur le tapis du salon. « Le prends pas comme ça mon cœur.. je... j'en peux juste plus, ok ? Je peux plus continuer comme ça » Bah quitte moi, divorce, fais ta vie. répondait-elle du tac au tac sans le penser une seule seconde. S'il la quittait, elle s'effrondrerait littéralement. Vivre sans Alexander, ce n'était pas possible. Elle n'en était pas capable. « Si je dois l'utiliser, c'est pour appeler une babysitter Az, rien d'autre » qu'il disait alors reposant le téléphone sur son socle. Et ça lui foutait une gifle au fond. Une babysitter ? Quelqu'un qui allait s'occuper à sa place de.. Son bébé ? Oh elle aimait pas du tout ça. Et surtout, elle n'avait pas envie qu'Hendrix ait la sensation que ça serait l'autre sa maman. Sauf qu'elle faisait rien la brune, elle faisait rien du tout et forcément, elle pouvait pas le lui refuser alors à la place, elle allait s'enfermer dans la chambre comme elle le faisait à chaque fois.

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La fatigue n'arrangeait clairement rien et tout ce que je voulais, c'était juste un peu de repos, chose que je n'avais pas puisque je n'avais l'aide de personne pour m'occuper de bébé Hendrix. Et tout ce que je voulais, c'était faire réagir Azraël, qu'elle puisse m'aider dans la tâche qui nous était à tous les deux incombée. Sauf qu'elle ne semblait toujours pas apte à voir la vérité en face. A voir qu'il y avait clairement un problème et qu'il fallait le régler. Après tout, je m'occupais de tout, alors pourquoi pas laisser les choses telles qu'elles sont, n'est-ce pas ? Non, c'est pas comme ça que ça marche et j'étais clairement au bout du rouleau. Bien sûr que ça me foutait un coup de l'entendre parler de divorce, de faire ma vie sans elle. Non, c'était pas ce que je voulais, au contraire. C'était une vie main dans la main que je souhaitais avant toute chose, pas une vie séparé d'elle. Soupirant en la voyant s'éloigner une nouvelle fois de moi, je me tournais vers ma fille, l'attrapant dans mes bras. « Viens, on va aller jouer dans la chambre de papa » Je me dirigeais vers la chambre parentale où se trouvait Az et je lui déposais ma petite fille. « Tu peux t'en occuper pendant que je vais prendre une douche ? » Demandé gentiment, j'osais espérer qu'elle ne se braquerait pas, parce que c'était clairement pas le moment. J'avais juste besoin de ce petit moment rien qu'à moi. Du repos, pas longtemps, mais assez pour être en tête à tête avec moi-même.

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Bien sûr que c'était un comportement enfantin d'agir de la sorte. Voir même plus que ça. Mais elle y arrivait plus, elle était juste au bout de tout et c'était fatiguant. « Tu peux t'en occuper pendant que je vais prendre une douche ? » Alexander ne lui avait laissé la paix que quelques secondes débarquant lui aussi dans la chambre en compagnie de Robyn. Et si elle aurait largement préférée rester seule quelques temps, elle hochait la tête tout de même regardant la petite fille sans rien dire. Son mari, lui, quittait la pièce les laissant en tête à tête. Et si Azraël gardait un oeil sur la fille d'Alexander, ça ne changeait pas le fait qu'elle avait la tête pleine d'indécision et qu'elle ne cessait d'y réfléchir encore et encore. Une baby sitter ? C'était hors de question. Elle ne voulait pas quelqu'un qui la remplace elle même si elle ne faisait strictement rien à l'heure d'aujourd'hui. C'était juste pas possible et.. Elle inspirait profondément pour se calmer passant une main dans ses cheveux. C'était ce moment que choisissait Hendrix pour se mettre à pleurer et la panique naissait dans le regard de la brune. Une hésitation et elle se redressait prenant la main de Robyn pour prendre la direction de la chambre de son enfant. Et il était là, dans son lit, le visage rouge des cris qu'il poussait. Elle l'avait jamais réellement prit dans ses bras, jamais. Et elle le regardait sans trop savoir quoi faire, les bras ballants, Robyn s'asseyant directement sur le sol pour jouer avec une poupée. Elle pouvait pas laisser quelqu'un d'autre s'occuper de lui, prendre la place qu'elle n'avait pas elle même encore prise. Et elle avançait doucement vers le berceau repoussant des mèches de cheveux derrière son oreille avant de tendre les bras. Le bébé était dans ses bras, elle portait son bébé, le sien, pour de vrai. Le plaçant contre son coeur, elle le berçait contre elle murmurant doucement maman est là mon coeur, maman est là. Et la brune, elle était dans son monde à ce moment précis.

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Je devais passer à la douche, chose que je n'avais pas fait depuis ce matin, puisque bien trop occupé à gérer Hendrix et Robyn. Du coup, j'en profitais que ma fille soit calme et qu'Hendrix dorme pour y aller, quand bien même Az vivait assez mal le fait que la discussion tourne de cette façon. Je la laissais seule pour qu'elle puisse bien y réfléchir, bien que j'ai remarqué le fait qu'elle soit totalement déboussolée par la mention d'une babysitter. Et bien qu'elle soit chamboulée, moi je vais à la douche. Je retirais mes vêtements un à un avant de me glisser dans la cabine de douche, l'eau bouillante m'aspergeant, coulant le long de ma peau. Bordel que ça faisait du bien mine de rien. Seulement voilà, d'un coup, j'entendais des cris dans le babyphone, indiquant alors qu'Hendrix s'était réveillé et qu'il voulait le biberon. C'était ça je pense, vu l'heure. Alors ni une ni deux, je sortais de la cabine, enroulant mon corps de la serviette déposée à côté et après m'être légèrement séché le torse, calant la serviette autour de ma taille, j'enfilais un t-shirt avant d'aller rapidement dans la chambre de mon fils. Mais je découvrais alors Robyn qui jouait au sol avec une poupée et... Hendrix dans les bras de sa mère, qui tentait de le calmer. Stoppé net à la vue de cette scène, je n'intervenais alors pas, préférant rester à l'embrasure de la porte pour observer la femme que j'aime porter le petit bout de notre union. C'était le soulagement, clairement. Elle.. elle acceptait finalement son fils et même si ça n'allait pas être facile de suite, je me doutais qu'elle ferait les efforts nécessaires. Enfin, j'osais l'espérer en tout cas.

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Elle savait pas pourquoi elle avait fait ça. Pourquoi soudainement elle était entrée dans la chambre de son fils pour tenter d'arrêter ses pleurs. Elle le repoussait depuis tellement longtemps qu'il n'y avait pas d'explication au fait qu'à cet instant, elle avait choisit de tenter quelque chose. Et ouais, elle le tenait finalement dans ses bras. Elle l'avait entendu pleureur et plutôt qu'attendre qu'Alex y aille comme à son habitude, elle avait fait le premier pas le sortant de son berceau pour tenter de l'apaiser. Et malgré ses efforts, il continuait à pleurer. La brune, elle faisait ce qu'elle pouvait mais il continuait de pleurer. Continuant à le bercer doucement, elle se tournait découvrant Alex à l'embrasure de la porte, l'observant sans un mot. Il veut pas arrêter.. qu'elle murmurait alors à l'intention de son mari. Il veut pas arrêter et je sais pas ce que je dois faire.. Mais elle voulait pas d'une baby sitter Az. Elle voulait pas que quelqu'un tente de la remplacer. C'était elle sa maman. C'était à elle d'en prendre soin, pas une inconnue. Et elle regardait Alexander, plus désemparée que jamais, des larmes commençant à rouler sur ses joues. Regarde, je suis nulle. J'peux même pas le faire arrêter de pleurer qu'elle gémissait à son encontre. Et elle avait juste pas les bons réflexes au final. Elle avait juste aucune idée de quoi faire et à quel moment. Peut être qu'au fond, elle pourrait jamais être une bonne mère. Qu'elle avait pas cette fibre maternelle et qu'elle serait jamais de bien s'en occuper.

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Posé à l'embrasure de la porte, j'attendais que ma femme remarque ma présence. Mais du coup, en attendant, je me délectais de ce que je voyais. Azraël portait enfin son enfant. Elle était dans la même pièce qu'Hendrix, elle l'avait pris dans ses bras pour tenter de le calmer dans ses pleurs incessants. Elle faisait clairement des efforts notables et je ne pouvais qu'en être heureux. Seulement, quand elle voyait finalement que j'étais là, je remarquais qu'elle était submergée, puisque le petit ne changeait pas de ton, toujours criard et empli de pleurs. « Chut.. calme toi, calme toi et ne pleure pas s'il te plait » Je m'étais alors approché d'elle afin d'attraper le petit et le prendre dans mes bras. C'était mieux ainsi de toute façon, histoire qu'Az puisse se calmer et éviter d'empirer l'état d'Hendrix. « Tu connais pas, c'est normal, ça s'apprend mon coeur » Je venais embrasser le haut de son crâne avant de continuer. « Attrape Robyn et suis moi dans la cuisine, vu l'heure, il a sûrement faim » J'esquissais un sourire et je me dirigeais avec mon fils dans la cuisine, le posant dans son cosy afin de préparer calmement le biberon de monsieur le criard. « En fait » confiais-je à ma femme quand elle avait finalement fait le chemin jusqu'à la cuisine « Il suffit de regarder l'heure. Dans les environs de maintenant, c'est le biberon. Dans quelques heures, c'est la couche. Puis de nouveau le biberon, puis encore la couche » disais-je en rigolant « Et puis des fois il veut juste passer du temps avec maman » Comme tout bébé, il a besoin d'attention et d'amour. Et le rejet qu'il a pu avoir par le passé, fallait à présent le combler.

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Y avait bien trop de doute dans la tête d'Azraël et au final, elle était la seule à se persuader qu'elle n'était absolument pas à la hauteur pour tout ça.  « Chut.. calme toi, calme toi et ne pleure pas s'il te plait » Au final, elle était une gamine. Comme Hendrix. Et tellement submergée par tout ça qu'elle accompagnait les pleurs de son enfant incapable de savoir quoi faire pour le calmer. C'était triste au fond, de se sentir aussi impuissant face à l'être qu'elle avait mit au monde. Alexander avait récupéré son petit garçon venant finalement embrasser le haut du crane de la brune. . « Tu connais pas, c'est normal, ça s'apprend mon coeur » Ouais, et elle avait déjà prit un mois de retard. C'était grave non ? Un mois qu'elle ne regardait même pas son propre bébé. « Attrape Robyn et suis moi dans la cuisine, vu l'heure, il a sûrement faim » Elle le regardait sortir de la pièce et la brune elle poussait un soupir passant ses mains sous ses yeux pour essuyer ses larmes. Esquissant un faible sourire, elle soulevait Robyn du sol se décidant finalement à suivre Alex jusqu'à la cuisine.  « En fait, il suffit de regarder l'heure. Dans les environs de maintenant, c'est le biberon. Dans quelques heures, c'est la couche. Puis de nouveau le biberon, puis encore la couche » Elle hochait la tête tentant de réellement s'intéresser à ce que son mari pouvait lui dire. Biberon, couche. Biberon, couche. « Et puis des fois il veut juste passer du temps avec maman » Ouais.. C'était ça le plus compliqué. Alex venait tout juste de finir de préparer la biberon et la brune, elle tendait les bras demandant timidement Je peux ? Elle récupérait Hendrix dans son cosy, prenant par la même occasion avant de se diriger vers le canapé. C'était la première fois qu'elle allait lui donner à manger. Et à peine avait-elle placé le biberon dans la bouche de son petit garçon que celui-ci arrêtait de pleurer se contentant d'aspirer le lait à toute vitesse. Il a tes yeux murmurait-elle alors. Ouais, il avait les yeux d'Alexander.

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Tout ce que je voulais, c'était retrouver ma femme, avoir une vie de famille des plus simples et des moins problématiques. Mais depuis la naissance d'Hendrix, les choses étaient compliquées puisqu'une fois qu'il était chez nous, la jeune femme avait refusé de le voir, de le porter, de s'en occuper. Alors ouais, y'avait un léger problème qui faisait que ça n'allait plus tellement à la maison. Mais là, elle faisait des efforts Azraël, depuis le moment où j'ai mentionné la babysitter, elle faisait des efforts et je la réconfortais du mieux que je pouvais. Du coup, je récupérais Hendrix et je l'invitais à me suivre avec Robyn dans la cuisine où on pourrait donner au petit le biberon qu'il réclame depuis son réveil. Une fois là bas, je m'occupais de mettre tout ce qu'il fallait dans le biberon et le faire chauffer pour qu'il soit à bonne température. D'ailleurs, fallait bien que je dise ce genre de trucs à Az, pour pas qu'elle vienne à brûler son fils sans faire exprès. Lui apprendre les rudiments de la paternité, c'était clairement quelque chose que j'attendais depuis un mois et j'étais heureux que ça arrive enfin maintenant. Je lui expliquais alors les quelques fois où le petit va pleurer : biberon ou couche. Des fois, il veut aussi l'attention des parents mais c'est rare. Puis une fois le biberon prêt, je le récupérais dans le micro-ondes, dans l'idée de lui montrer mais visiblement, elle voulait le faire elle même, choix que j'acceptais totalement. « Évidemment » Je vérifiais avant que ça soit pas trop chaud et quand ce fut bon, je donnais l'objet à ma femme, sourire sur les lèvres. Je la suivais avec ma fille jusqu'au canapé où elle s'installait et à peine avait-elle positionné la tétine aux lèvres du petit gars qu'il se mettait à boire, comme si plus rien ne pouvait l'arrêter. « J'ai cru voir ça ouais... Et il commence à avoir ton sourire aussi, tu verras » Parce que petit à petit, il s'ouvrait au monde et il souriait ouais, parce que c'était un bon p'tit bonhomme. « Tu t'en sors bien, Az. Regarde à quel point il est bien, heureux »

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Elle ne comprenait pas la brune ce qui pouvait clocher chez elle mais y avait définitivement un truc qui n'allait pas. Elle savait pas pourquoi elle avait repoussé Hendrix pendant si longtemps comme s'il était responsable de chacun de ses maux. Elle avait mit toutes les responsabilités sur les épaules bien trop frêle de son bébé et même encore aujourd'hui, elle n'était pas certaine de pouvoir assumer le fait d'être une "maman". Parce que c'était définitivement pas elle autant d'exigence. Elle était incapable de savoir s'en occuper et avait l'impression qu'elle ne pourrait jamais y arriver. Pourtant, elle ne voulait pas quelqu'un puisse la remplacer dans ce job là. Elle avait mit huit heures à le mettre au monde, personne n'avait le droit d'entrer dans la vie d'Hendrix et de s'en occuper à sa place hormis Alexander. Il était donc totalement hors de question qu'une baby sitter se ramène dans l'appartement qu'ils pouvaient partager. Elle ne l'assumerait tout simplement pas, c'était juste pas possible. « J'ai cru voir ça ouais... Et il commence à avoir ton sourire aussi, tu verras » C'était douloureux d'entendre ça parce que ouais, du coup elle se rendait compte qu'elle ne l'avait encore jamais vu sourire. En fait, elle avait pas vu grand chose jusqu'au aujourd'hui trop accaparé par sa propre personne pour se rendre compte que le monde ne tournait pas qu'autour d'elle. « Tu t'en sors bien, Az. Regarde à quel point il est bien, heureux » Elle souriait le regardant pendant quelques instants retirant le biberon maintenant qu'il était repu. Tu peux le récupérer ? qu'elle demandait la voix tremblante. Sans trop savoir pourquoi, la panique commençait à la gagner et ouais, elle voulait vraiment qu'Alex le récupère. Elle plaçait le bébé dans les bras de son mari quittant le canapé soudainement. Faut que je prenne l'air qu'elle murmurait ouvrant la porte fenêtre du salon pour se caler sur le balcon.