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(oska) si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire.

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Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire.
— with Oska.

J'avais attrapé un t-shirt dans les affaires d'Osean et j'avais filé en direction de la douche. Je n'avais pas perdu mon temps en essayant d'en gagner en rêvassant. J'étais méthodique, rapide et au bout de dix minutes, j'étais déjà en train de me sécher les cheveux dans la serviette de bain. Je ne cachais pas que j'étais stressée. Je m'apprêtais à révéler mon passé à Osean et jusqu'ici, le dire ne m'avait pas vraiment porté chance. Mais en même temps, je me disais que le savoir allait l'aider à me cerner un peu mieux, j'veux dire, il allait comprendre pourquoi j'étais détraquée. Je revenais dans la chambre comme une fleur, l'odeur avec et mon petit ami ne se cachait pas de me faire la remarque. C'est avec un sourire amusé que je venais me glisser dans le lit, profitant des gestes tendres de mon chéri. « Le sucre vanille ? » demandais-je étonnée, mais amusée. « Tu aimes quand je sens le sucre vanille ? » J'avoue que je n'avais pas fait attention en achetant mon gel douche, mais si ça lui plaisait, j'allais garder le même à l'avenir. Mais fini les plaisanteries, la discussion sérieuse devait débuter. Je m'installais confortablement  en le regardant, lui rappelant de quelle conversation nous devions parler histoire que nous soyons sur la même longueur d'onde. Il comprendra par la même occasion que je ne pouvais clairement pas en parler durant le bal de fin d'année. Il était impatient en tout cas et du coup, j'allais droit au but en lui parlant de ma mère et des coups qu'elle avait eu l'habitude de me donner. Le jeune homme avait l'air choqué et je ne pouvais que pincer mes lèvres. Nous n'avions pas été élevé de la même façon, nous n'avions pas les mêmes limites non plus. En effet, ce que j'avais vécu était horrible, mais c'était la vie, c'était comme ça. Le dunster se redressait tandis que j’enfonçais l'arrière de ma tête dans l'oreiller, venant lui offrir des caresses rassurantes sur son bras. « Non... Ce n'est pas le genre de truc que tu racontes, tu sais... Puis, c'était ma mère donc, c'était délicat, je n'avais rien d'autre et j'avais toujours imaginé que ça pourrait changer alors je subissais. L'année de mes quinze ans, j'ai répondu à ses coups alors elle m'a mis dehors. Je me suis faite aider pour arriver à Boston où j'ai retrouvé mon père, je lui ai pas donné d'autres choix que de m'aider... » Ouais, parce que mon père avait eu le temps de refaire sa vie et retrouver le vilain petit canard, c'e nétait pas vraiment ce qu'il imaginait. « Mais c'est du passé tout ça.. » Cela expliquait qui j'étais, mais je ne voulais pas qu'il ait de la pitié ou qu'il me voit différemment pour autant.

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Ouais je renifle ma meuf il y a quoi?! Elle sent bon je ne vais pas me priver hein. Et ça l'a fait sourire donc bon « Le sucre vanille ? », je souriais, riais même légèrement pour hocher la tête alors qu'elle continuait « Tu aimes quand je sens le sucre vanille ? », je souriais en haussant les sourcils pour lui faire de grands yeux en hochant vivement de la tête "Ouais grave! Même si ça me donne faim." riant légèrement encore avant de reprendre mon sérieux pour... La suite, le plus important, le vif du sujet. Et elle me balançait l'horrible passé... Elle était battue par sa mère, sa propre mère vous vous rendez compte?! "Ouais c'est vraiment ignoble..." je crois qu'il y a même pas de mot pour ça en fait. Battre son propre enfant, son propre sang. Non j'peux pas quoi. S'enfonçant un peu plus dans son coussin elle reprit « Non... Ce n'est pas le genre de truc que tu racontes, tu sais... ... Je me suis faite aider pour arriver à Boston où j'ai retrouvé mon père, je lui ai pas donné d'autres choix que de m'aider... », j'avais le regard triste mais toujours rivé sur elle. Je m'en pinçais la lèvre de peine pour elle "Je... Ça me... J'sais même pu quoi dire tellement ça me retourne." pire que ça même. Elle enchainait « Mais c'est du passé tout ça.. », grimaçant un peu je secouais la tête négativement pour répondre "Le passé c'est quand même important et le tiens explique bien des choses du coup mais... Et ton père alors? Il a jamais rien su? Jamais rien dit..? Comment tu as fais pour... Laisser tout ça derrière toi comme ça..?" c'était quand même super important, lourd, ça a tellement dû la forger et la changer. Fin j'comprenais tellement mieux le pourquoi du comment de son tempérament.

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« Faut pas me dire des trucs comme ça mon petit, après ça me donne des idées cochonnes ». Voilà, bonne nuit. Non, mais vraiment. Je ne suis jamais rassasiée alors quand il me regarde avec ses yeux de méchant loup et qu'il me dit que je sens bon et qu'il va me manger. Enfin, il n'a pas vraiment dit ça, mais j'entends seulement ce que je veux entendre... Bref. Le calme revenait petit à petit et me voilà au pied du mur. Il fallait que je lui parle de mon passé, il le fallait parce que je ne pouvais pas me défiler à chaque fois. Alors, je lui parlais de ma mère et de la non affection qu'elle portait à mon égard. C'est vrai que ce n'était pas facile à comprendre. Comment pendant dix ans, j'avais pu ne rien dire et ne pas être aidé ? Et bien simplement parce que c'était ma mère et que j'avais toujours eu bon espoir que ça change. Ce n'avait pas été une situation facile, mais désormais, il fallait passer à autre chose et oublier du mieux que je le pouvais. Je ne voulais pas le rendre triste alors que moi-même, je ne l'étais plus. C'était mon passé et j'avais appris avec le temps à me tourner vers l'avenir. « Le passé c'est quand même important et le tiens explique bien des choses du coup mais... Et ton père alors? Il a jamais rien su? Jamais rien dit..? Comment tu as fais pour... Laisser tout ça derrière toi comme ça..? » Je lâchais un léger soupir. « Mon père a eu une relation avec une femme avait de rencontrer ma mère, c'est là que Feldt est née. Il l'a su il y a un peu plus d'un an qu'elle est sa fille. Ensuite, il a rencontré ma mère et ça a été un cauchemar pour lui certainement, alors c'est pour ça qu'il a claqué la porte. Il m'a laissé et je n'ai aucune idée de pourquoi. Je ne saurais jamais ce qu'il a pensé, je ne sais pas.. C'est compliqué entre nous. Quand je suis arrivée à Boston, il avait refait sa vie et j'crois qu'il m'a pris pour le diable en personne, il ne voulait pas que je perturbe son bonheur. Il a adopté les enfants de ma belle-mère. Et.. J'sais pas. C'est compliqué, on ne se parle pas vraiment. Il m'a toléré sous son toit et quand j'ai pu intégrer Harvard, il m'a limite payé pour que je parte. C'est comme ça. Je n'ai pas connu de situation familiale heureuse, je n'ai jamais eu de parents alors, à mes yeux c'est plus facile de tourner la page. Ça se fait avec le temps, mais il est certain que c'est un marquage à vie... ». Je détestais parler de ça. Parler de ma mère alors que je ne savais pas si elle était encore en vie, parler de mon père alors qu'il ne me parle pas... C'est chaud. « Mais j'ai Feldt et sa famille. Puis... Je t'ai toi ! » affirmais-je finalement sur une note plus positive.

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Ma Laska à moi « Faut pas me dire des trucs comme ça mon petit, après ça me donne des idées cochonnes », ÇA c'est ma femme bordel. Ça me rend tout fou quand elle me parle comme ça mais dommage, c'était pas le moment. Non là on devait parler de quelque chose de sérieux qu'on avait mis en stand bye depuis le bal... Son passé et ce que j'avais peur d'avoir compris le concernant. L'horrible vérité quoi... Ma chérie était battue et par sa mère en plus! Moi ok j'avais perdu ma mère, c"était pas tout rose non plus mais merde quoi là rien à voir. Je trouvais ça terrible honnêtement, qu'un parent en arrive là, à faire ça à son propre enfant, surtout une mère. Et son père dans tout ça? Il avait fait quoi? Un soupir et elle me répondait « Mon père a eu une relation avec une femme avait de rencontrer ma mère, c'est là que Feldt est née. ... Il m'a laissé et je n'ai aucune idée de pourquoi. Je ne saurais jamais ce qu'il a pensé, je ne sais pas.. .... Il m'a toléré sous son toit et quand j'ai pu intégrer Harvard, il m'a limite payé pour que je parte... Ça se fait avec le temps, mais il est certain que c'est un marquage à vie... », je l'écoutais silencieux mais le regard emphatique, triste pour elle, désireux de remonter le temps pour changer tout ça même si je ne pouvais pas le faire. Putain quelle histoire de merde! Et elle était là, forte, à avancer encore et toujours. Je buvais ses paroles sans démorde mon regard de son visage, étudiant chaque trait, chaque expression, m'imprègnent d'elle tout simplement. Je fini par me lécher la lèvre avant de baisser un peu les yeux pour commenter "La vache je... Je ne m'attendais tellement pas à tout ça. C'est un truc de dingue et merde que je trouve ça injuste mais voilà." redressant mes yeux sur elle alors qu'elle repris « Mais j'ai Feldt et sa famille. Puis... Je t'ai toi ! » et un léger sourire en coin apparu sur mon visage alors que je passais mes doigts sur le sien, les laissant glisser de sa joue à son menton "J'suis de loin le mec le plus fier du monde là. Ma copine est une putain de guerrière genre une vraie warrior quoi. Et j'me vente d'être son homme pour le coup." souriant sur la fin avant de venir l'embrasser. Oui, je voulais pas qu'elle bad, même si elle m'a dit tout ça et que j'suis heureux qu'elle l'est fait, j'voulais pas faire revenir de mauvaises choses alors autant essayer de reprendre sur un ton plus léger.

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Désormais, Osean connaissait une partie de mon secret. Ce n'était pas la chose la plus facile à dire, j'aurais aimé avoir d'autre sujet de conversation, mais il fallait bien que l'on passe par là à un moment donné. Savoir tout cela allait lui permettre de comprendre beaucoup de choses et pour ma part, ça me rassurait qu'il soit au courant, je n'aurais plus besoin de me justifier sur le pourquoi j'étais faite ainsi. Je discutais calmement et lui, me regardait, légèrement penché au-dessus de moi. « La vache je... Je ne m'attendais tellement pas à tout ça. C'est un truc de dingue et merde que je trouve ça injuste mais voilà. » Je pinçais mes lèvres en le regardant. C'était comme ça malheureusement et j'avais appris avec le temps qu'il fallait que j'aille de l'avant. Désormais, j'avais Feldt et sa famille, puis j'avais mon super petit ami. Et surtout, avec les années, j'avais appris à être seule. Ma tête se penchait doucement contre sa main tandis qu'il m'offrait une caresse sur la joue. « J'suis de loin le mec le plus fier du monde là. Ma copine est une putain de guerrière genre une vraie warrior quoi. Et j'me vante d'être son homme pour le coup. » Il avait tort, mais avec le sourire qu'il avait aux lèvres, je ne pouvais pas le contredire. Je me laissais embrasser, profitant de ce baiser tout en glissant ma main sous son t-shirt. « J'ai envie de toi... T'me fais l'amour ? » lui demandais-je doucement, un sourire aux lèvres en le dévorant des yeux.

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Ma femme cette guerrière... J'trouvais que j'avais pas un passé tout rose, mais il n'avait rien d'extraordinaire non plus ni d'horrible, juste un malheur de la vie m'voyez. Mais elle... Battue par sa propre mère quoi, c'est terrible. Et pourtant quand je la vois, que je la regarde comme ça devant moi, bah je sens une femme forte, pleine de caractère mais sans être explosive ni destructrice. Non elle est stable, mature malgré son côté enfant et surtout elle va droit devant et j'admire ça encore plus qu'avant maintenant que je sais pour son enfance. Elle est tellement forte et moi j'trouve que ça se respect voilà. Moi je vois les choses comme ça. Donc je finissais sur une touche un peu joyeuse avec un poil d'humour et elle se contentait de me sourire avant que je ne vienne l'embrasser et qu'elle passe sa main sous mon t-shirt pour me susurrer « J'ai envie de toi... T'me fais l'amour ? », je relâchais ses lèvres quelques secondes pour détailler son visage qui parlait pour elle et hochais rapidement et brièvement de la tête pour répliquer un "Oh que oui tout d'suite!" avant de me re jeter sur elle et ses lèvres, la couchant sur mon lit pour me placer au dessus en dévorant ses lèvres et son cou. Glissant mes mains le long de son corps avant d'me redresser pour retirer mon t-shirt et le jeter par terre. Je ne dis JAMAIS NON à ça vous êtes fous!

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J'aurais peut-être dû lui préciser que je passais le plus clair de mon temps à fuir. Peut-être que j'avais ce côté femme forte, mais en réalité, je contrôlais très peu de choses. J'avais un caractère de merde, une vraie tornade qui avait un goût très prononcé pour l'autodestruction. J'avais des failles bien présentes et ce n'était qu'une question de temps avant que tout explose. D'ailleurs, le simple fait que je lui raconte mon passé de manière si clair, ça ne m'avait jamais réussi jusqu'ici. J'avais déjà eu cette discussion avec Hardin et Alexander et les deux m'avaient fait du mal. Enfin bon, j'avais pas d'autre choix que de passer par là. Je ne cherchais pas à me dénigrer - pour une fois - il semblait comme fier de ce qu'il entendait et je ne voulais pas le descendre de son nuage. Non, je lui faisais une proposition qui allait clore le débat de manière définitive et je savais qu'il ne refuserait en rien ma proposition. L'amour. Je voulais simplement qu'il me fasse l'amour. Ni une, ni deux, le voilà qui se trouvait au-dessus de moi, à prendre possession de mes lèvres. Quand ce fut le moment de marquer mon cou, je l'étendais au maximum pour lui faire de la place. Je me laissais faire, m’imprégnant de son corps, de ses gestes. Ça avait été une longue journée, mais pour rien au monde je n'aurais voulu écouter ce moment pour me reposer.

FIN DU RP

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