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Band-aids don't fix bullet holes-(pv Sabian)

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Band-aids don't fix bullet holes
J'étais impuissante. Je me sentais faible et presque indigne que Sabian me regarde, pourtant je ne devrais pas ressentir cet étrange sentiment. J'avais honte, honte qu'il m'aille vu avec Andrew, qu'il aille vu cette Cece dans ses fonctions de princesse. Pourtant au fond de moi, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à son opinion. Notre relation était bien particulière, c'était un mec avec qui j'adorais traîner, faire la fête et assumer mon côté rebelle. Jamais, je l'avais embrassé ou on avait fini dans des draps tous les deux, mais il y avait une complicité entre nous qui était forte, c'était indescriptible. J'avais besoin de Sabian dans ma vie, j'ai besoin de lui pour respirer et malgré son tempérament merdique, je ne pouvais pas en vouloir à Sabian de faire le foutu connard qui débarque chez moi pour vouloir casser la gueule d'Andrew, c'était dans sa nature mais le voir ainsi jaloux d'un mec qui s'était rapproché de moi ne faisait que me perturber, est-ce qu'il y avait une signification à tout sa ? Ou il avait juste besoin de passer ses nerfs sur quelqu'un et j'avais été assez stupide pour le laisser entrer, ok il s'était invité tout seul moi j'attendais toujours cette foutu pizza. Je devais l'admettre, j'avais eu peur d'être une victime sous la colère de Sabian, il était un véritable volcan en éruption et parfois, il était incontrôlable. J'étais heureuse que sa soit terminer pour le moment, il fallait toujours prévoir des rounds deux avec lui. Le peu d'espace qui restait entre nous était insoutenable, il y avait une tension aussi physique qu'électrique dans l'air...Je me montrais plus douce, plus calme et posée pour tenter de le ramener. Mon front contre le sien, mes mains ne voulaient pas le gifler ou le griffer même si l'envie était là, non simplement de laisser passer cette colère avec la délicatesse féminine. Je le regardais alors que son regard fuyait le mien, je l'écoutais et mon coeur se serrait, je savais qu'il n'aimait pas mon côté royal, mon titre d'héritière du trône mais je ne pouvais pas l'empêcher, c'était ainsi, c'était dur pour moi d'y renoncer, le droit des femmes là bas était tellement de la merde. Je reprenais doucement: ''Je te comprends Sab, je sais mais je n'y peux rien. C'est une partie de moi que je voudrais voir disparaître mais si tu savais comment j'ai pu de droits là bas...''. Comme si sa allait l'intéresser mais c'était la pure vérité. C'était un ton tranchant et direct que je ne pouvais pas ignorer. Sentir son souffle contre le mien me rendait folle, je voulais qu'il continue d'avancer car je ne pouvais pas reculer mais seulement le sentir contre moi. Je voulais qu'il me dise que tout allait bien aller, je voulais qu'il me fasse sentir quand même désirer, que rien ne changerait entre nous. ''Dis-moi simplement que tout ira bien, que rien ne changera entre toi et moi.''. J'avais besoin d'être rassuré par ce psychopathe qui me faisait tant chavirer et me boulversait jusqu'au plus profond de mon âme. Un peu de vie chez Sabian, son regard croisait le mien et il murmurait une phrase que j'avais la bonne réponse, sa main se posait sur ma nuque, ses lèvres effleuraient les miennes, oh le connard tu fais exiprès ou quoi en ce moment?! Il s'appuyait contre moi, c'était un défi du regard et me sentir défaillir sous lui, mes doigts passaient de sa joue pour effleurer ses lèvres que je regardais avec désir: ''J'en ai pas l'attention, tu as ma parole.''. Mon prochain geste, il était calculé, risquer et surtout j'allais en devoir assumer les conséquences. Je me fis aggressive et j'emprisonnais ses lèvres comme si l'embrasser devenait un besoin vital. Je mordais sa lèvre, me faisant pécheresse.
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Voilà déjà un moment qu'ils se connaissaient et c'était bien la première fois qu'ils étaient aussi proches. La main délicatement posée sur sa joue, son corps collé contre le sien, Sabian se surprit à apprécier cette étreinte. Leur relation était assez fusionnelle mais jamais tactile, le beau brun avait toujours laissé une certaine distance entre elle et lui. C'était uniquement pour la protéger de son caractère impulsif et violent. Il se connaissait par coeur et savait les dégâts qu'il pouvait faire autour de lui. Sabian savait pertinemment qu'il n’apportait pas que du bon à ses proches et en règle générale, son côté destructeur prenait le dessus. Il avait également mit cette distance entre eux car il avait du mal à supporter l'autre personnalité de Cecilia. Cette dernière avait des obligations familiales qu'il ne comprenait et n'admettait pas. Cela créant des tensions depuis le début, il n'arrivait pas à passer outre. Le jeune homme caressait calmement sa joue, sa peau était d'une douceur extrême. Un petit moment de repris pour son esprit torturé. Un tas de sentiments négatifs lui vinrent à l'esprit depuis qu'il avait franchis le seuil de cet immeuble. Mais là, il s'accordait une légère trêve. Une courte pause durant laquelle il se sentit extrêmement vulnérable. C'était étrange, cela ne lui ressemblait tellement pas. Il posa ses yeux sur ses lèvres lorsque la blondinette prit la parole. Voir bouger ses lèvres d'un rose éclatant, l'excitait au plus haut point. Sabian dû relever son regard pour ne pas se jeter sur elle. Sa respiration était difficile, il avait énormément de mal à se calmer. « Non ça ne va pas aller Cecilia, tu le sais aussi bien que moi. » répondit-il, incapable de lâcher son visage des yeux. Le temps semblait s'être arrêté, une douce musique à suspense aurait pu bercer leur étreinte. Ils étaient dans l'expectative et Sabian ignorait complètement la suite des événements. Il savait qu'un mot de travers ou un geste inattendu pouvait le faire péter, de nouveau, un gros câble. Mentalement très instable, il essayait de se calmer comme il le pouvait. Avec toute la délicatesse dont elle pouvait faire preuve, la blondinette posa également sa main sur la joue brûlante du jeune homme. Elle la descendit légèrement pour venir caresser ses lèvres. La bouche entrouverte, il déglutis avant d'inspirer profondément. Son rythme cardiaque se fit plus soutenu, il appréhendait la suite. Cecilia baissa le regard vers ses lèvres, il n'osait pas bouger. Elle vint ensuite lui promettre qu'elle ne comptait pas l'épouser. Sabian ferma les yeux en entendant ces quelques mots titiller son esprit si fragile en cet instant. Il serra sa mâchoire et avant qu'il ne puisse réagir, il sentit sa lèvre inférieure se faire mordre assez brutalement. Il n'ouvrit pas les yeux pour autant et se contenta d'afficher un petit rictus sur le coin droit de ses lèvres. Sans chercher à comprendre, il se recula violemment, arrachant sa lèvre de l'emprise des dents de la blondinette. Il ouvrit les yeux et fronça les sourcils en la regardant. « T'es une menteuse ... » dit-il sur un ton glacial. Sabian plissa les yeux et ajouta sur le même ton, « Mais c'que tu viens de faire là ... » Le beau brun ne termina pas sa phrase et approcha son visage du sien. Un petit moment d'hésitation où il leva son regard vers le sien, avant de venir capturer sauvagement ses lèvres. Dicté par une pulsion dominateur, il se jeta littéralement pour l'embrasser avec fougue. Laissant de côté ce pourquoi il était là ce soir, il posa ses mains sur les hanches de Cecilia et l'attira vers lui. Prit dans l'euphorie du baiser, il la fit s'avancer dans sa direction, la décollant légèrement du mur. Et dans un élan impulsif, il la plaqua contre le mur. « ... ça me plait. » murmura-t-il le souffle coupé. Son rythme cardiaque allait vite, il se perdait dans ces baisers langoureux. L'envie vint rapidement se mêler de leur étreinte informelle. D'un geste viril et légèrement abrupte, il passa sa main brûlante sous le pull de Cecilia et sentit sa peau nue. De son autre main libre, il la descendit le long de sa cuisse. Il l'agrippa et l'obligea à relever la jambe contre lui. Sabian laissait sa colère de côté pour se concentrer sur une autre pulsion, beaucoup plus sauvage. Il ne contrôlait plus vraiment la situation et cela ne semblait pas lui déplaire plus que ça.
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Ca faisait un bail que j'avais la chance ou la malchance de connaître Sabian. La vie nous avait rapprochés dangereusement et il comptait parmi les personnes les plus importantes pour moi, il était un de ses seuls avec qui je pouvais être la vraie moi. Nos moments de complicités comme des rébellions étaient ceux que je préférais car j'avais l'impression d'être dans un autre monde, celui ou je ne serais pas née dans une famille royale. Il avait le droit de m'en vouloir, d'être fâcher contre la situation parce que pour moi-même, c'était incompréhensible d'être victime de fiançailles arrangé avec le prince d'Angleterre. La proximité entre nous me rendait complètement folle, d'un côté je ne comprenais pas mais au fond de moi, je désirais que sa continue, je désirais voir ses limites et surtout est-ce que j'arriverais à le faire craquer, que sa colère à mon endroit laisse place à quelque chose de plus physique? je tentais toujours de retenir sa bombe à retardement, parlant calmement, plus doux et surtout envoûtante: ''Je sais bien Sabian, je suis à court de solution. J'ai l'impression que mon monde s'écroule.''. Son regard soutenant le mien me faisait défaillir tranquillement, je tentais de lire ses pensées mais c'était clos, fermé à l'oeil publique. Je me faisais prudente pour l'instant, ma main quittait sa joue pour venir caresser ses lèvres qui m'obsédait, pourquoi c'était si confus désormais dans ma tête. Je passais à l'attaque, il m'avait poussé à bout. Je le voyais reculer et je ne pu que faire deux pas vers le devant, prête à le confronter. Je pu répondre: ''Bon je passe d'une garce superficielle à une menteuse, je ne vais pas épouser un mec qui ne veut pas de moi. Je n'ai rien à perdre à refuser de ne pas me marier.''. En réalité, je risquais beaucoup. J'étais prête à la réplique mais il revenait à la charge. Mon coeur battait si fort dans ma poitrine, je le regardais faire. Une façon animale de venir répliquer, l'intensité j'adorais. Je me sentais complètement à sa merci, je prolongeais notre échange enflammée. Combien de fois je me demandais à quoi ressemblait les baisers de Sabian et là maintenant, j'étais servie. Je me retrouvais de nouveau plaquer au mur, laissant échapper un petit argh! C'était physique, c'était compliqué et dur, j'adorais l'ambiance. Sentir sa main sous mon pull me donnait des frissons, je voulais qu'il continue d'explorer, qu'il puisse ressentir mon corps se tendre à son contact. Une de mes jambes se retrouvait relever que je passais autour de lui. Mes bras autour de son cou, mes mains se faisaient baladeuses, caressant sa nuque, ses épaules ou est-ce que mes mains se faisaient celle d'une tigresse. J’avais l’intention de me faire désireuse, de le pousser à être le premier à demander pardon pour avoir débarquer comme sa. J’avais bien l’intention de le débarrasser de ces vêtements, une de mes mains s’accrochait encore à lui et l’autre descendait vers sa taille pour détacher ce pantalon. J’étais entrain de lui montrer que mes intentions étaient clairs quand la sonnette annonçait que j’avais un visiteur. Le livreur de pizza, je l’avais oublié. Je laissais glisser ma jambe contre la sienne pour reprendre une position debout et le repoussait contre mon sofa, oh mon dieu que j’étais chaude que je maudissais la pizza d’être arriver  ce point ici : ''Je lève le drapeau blanc pour l'instant.''. Je renais la monnaie qui était sur la table et alla régler la diction. Je revenais quelques instants plus tard, déposait la pizza sur la table du salon et je m'asseoyais sur le bord de mon sofa blanc, posant mon regard sur Sabian: ''Tu en as envie ? Je t'offre un morceau?.''. J'essayais de comprendre ce qu'il venait de se passer.
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Dos contre le mur, Cecilia était prisonnière de l'emprise qu'exerçait Sabian sur elle. Elle ne pouvait pas s'enfuir et était à sa merci. Le corps du beau brun l'empêchait de prendre la fuite, il laissait son côté dominateur prendre le dessus sur la situation. C'était plus fort que lui. Il avait besoin de contrôler le moment pour ne pas perdre pied. Sabian ne savait pas gérer ses émotions et partait facilement dans les extrêmes. La coller était un moyen, pour lui, de se rattacher à la réalité. Se dire qu'il n'était pas tout seul dans cette histoire était important, il ne devait pas se la jouer auto-destructeur. Quoiqu'il en soit, il essayait de ne pas penser à tout ça. Ses lèvres plaquées contre celles de la blondinette, son esprit était vide de tout bon sens. Obnubilé par la façon qu'elle avait eu de lui mordre la lèvre, le jeune homme se laissait guider par ses pulsions, aussi primaires soient-elles. Sabian n'avait jamais vu Cecilia aussi provocatrice et l'image qu'elle lui renvoyait n'était pas pour lui déplaire. L'attirance qu'ils avaient l'un pour l'autre n'avait jamais été aussi présent qu'en ce moment. Un désir charnel et fusionnel planait dans la pièce, ne faisant qu'attiser leur sensualité. Il avait envie d'elle et ne pouvait refouler toutes les images qui lui venaient en tête. Depuis le début, il avait flashé sur elle. Il fallait bien avouer que la blondinette n'était pas dégueulasse à regarder. Elle avait un corps de rêve et un regard aussi allumeur que rassurant. Cecilia savait jouer de son charme et le provoquer, bien souvent, sans s'en rendre compte. Sabian avait prit soin de laisser une distance entre eux et cette barrière semblait voler en éclat sous l'intensité des baisers. Le jeune homme prenait un malin plaisir à l'embrasser langoureusement. Il laisser ses lèvres glisser contre les siennes, sa main découvrir son dos nu. Elle avait la peau douce, évidemment, cela ne le surpris guère. Cecilia était le genre de fille à prendre énormément soin de son corps, elle physiquement parfaite et ferait flancher n'importe quel homme d'un battement de cil. Sa main virile remontait jusqu'au milieu de son dos tandis que l'autre, toujours posée sur sa cuisse, laissait le désir s'intensifier. Quant à la jolie Cabot, elle posa délicatement sa main sur son torse avant de la baisser légèrement pour venir déboutonner son pantalon. Un petit rictus s'afficha sur ses lèvres et il continua le baiser. Un frisson lui parcouru tout le corps en sentant sa main aussi bas sur lui. La suite des événements s'annonçait des plus palpitantes. Le silence régnait en maître dans la pièce, seuls les baisers torrides se faisaient entendre. Ce petit moment excitant aurait pu se finir en partie de jambe en l'air endiablée mais c'était sans compter sur la sonnette qui vint retentir. En entendant ce son strident, Sabian fronça les sourcils et en sentant Cecilia bouger contre lui, il râla. « On s'en fou ... » murmura-t-il, le souffle court. Il reporta son attention sur les lèvres de la blonde qui ne semblait plus du tout réceptive. Frustré de ne plus réussir à capter son attention, Sabian se recula brusquement. « Attends, rassure moi ... Tu ne vas pas aller ouvrir là ? » grogna-t-il sur un ton extrêmement mauvais. Il n'eut pas le temps de répliquer quoique ce soit que Cecilia le poussa sur le sofa. Prit de court, Sabian se laissa tomber en arrière. Choqué par sa réaction, il se contenta de la regarder bêtement. « T'es pas sérieuse ? » dit-il sur le même ton que précédemment. Elle hissait le drapeau blanc, ouais tu parles, lui aurait bien hissé autre chose. Bref. Il regarda la blondinette ramasser l'argent sur la table basse et se diriger vers la porte d'entrée. Putain le livreur de pizza, il l'avait presque oublié celui-là. Le désir redescendait à mesure que la colère remontait. Franchement, il fallait voir sa tête, il boudait presque. Vexé d'avoir été coupé dans son élan, il croisa les bras sur son torse. On aurait dit un gosse de cinq ans privé de dessert. Il se racla la gorge et leva les yeux au ciel en entendant Cecilia parler avec le livreur. Finalement, elle ne mit pas longtemps avant de le rejoindre sur le canapé et de s'asseoir juste à côté de lui. Sabian ne bougea pas d'un poil, il attendait la suite des événements. C'était quoi ? Elle allait lui proposer un bout de pizza ? Eh bien oui, la blondinette lui proposa effectivement une part de pizza, en précisant qu'elle avait l'air bonne. « Hum. » dit-il sur un ton des plus glacial. Sabian tourna lentement sa tête vers Cecilia et posa les yeux sur la pizza. Il déglutis inconsciemment. Voilà des semaines qu'il ne mangeait pas à sa faim et cette pizza lui donnait envie. Son regard se posa ensuite sur la blondinette qui, elle aussi, lui donnait envie. Partagé entre la faim vorace et l'envie brutale de sexe, il ne savait plus où donner de la tête. Le beau brun se redressa et s'avança sur le bord du canapé. Son corps lui hurlait d'attaquer cette pizza mais son esprit lui ordonnait de passer à l'attaque. Elle lui demanda s'il en avait envie. Il arqua un sourcil avant d'inspirer profondément. Sans chercher à comprendre, Sabian se tourna vers elle et se laissa guider par la pulsion la plus dévastatrice, la domination. « Oh putain ouais j'en ai envie. » dit-il avant de s'approcher d'elle et de se jeter littéralement sur ses lèvres. Le jeune homme la fit basculer sur le côté et vint se poser sur elle. Non, aucune émotion ne pouvait battre la domination et l'excitation, pas même la colère.
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Le désir physique, ce doux sentiment qui faisait surface quand deux êtres se désiraient jusqu'au plus profond de leurs âmes. Avec Sabian, c'était une première. J'étais perturbée, mon coeur s'accélérait et ma respiration se faisait plus courte mais qu'est-ce qui se passait avec moi. Lors de nos querelles précédentes malgré que ces dernières n'étaient pas aussi intense qu'aujourd'hui, je réussissais à lui tenir tête, à lui démontrer qu'il pouvait se chercher une soumise ailleurs mais aujourd'hui, mes limites avec Sabian semblait s'effacer pour laisser quelque chose de nouveau se découvrir entre nous: le besoin de l'un et de l'autre sur le plan physique, c'était plus que de l'amitié en éruption, là c'était carrément le volcan. Je l'embrassais sensuellement, savourant chaque instant comme si aujourd'hui c'était le dernier jour qu'on allait être ensemble et tantôt, je me faisais plus provocatrice en lui mordillant la lèvre comme si je tentais de laisser ma trace non seulement sur son corps mais dans son esprit. On pouvait sentir le changement d'ambiance, mon appartement n'était plus aussi froid qu'un hiver canadien mais laissait place tranquillement à la chaleur des pays d'Amérique latine. Sa main qui touchait mon dos nu était un délice, c'était d'une délicatesse comme un artiste admirant la finition de son chef d'oeuvre. Je frisonnais, le moindre petit contact de Sabian me donnait encore plus envie de lui et de voir ce qu'une nuit dans ses bras pouvait donner comme résultat. J'étais perturbée à quel point Sabian me faisait de l'effet, qu'il avait une emprise sur moi que je ne pouvais pas nier. Je voulais me montrer forte et lui démontrer que je pouvais avoir une grosse tête moi aussi, mais je flanchissais à son contact, mon coeur suppliant qu'il m'attrape si je devais faire une chute. Je voulais pousser mon audace le plus loin que je pouvais, ma main s'attardait sur son chandail où je pouvais bien sentir qu'il y avait des abdos durs comme le faire mais nul n'était le but de ma mission. Plus rien n'existait dans la pièce, je me concentrais au rythme des battements de mon coeur qui fonctionnait en fonction de Sabian, sa s'annonçait chaud, je prévoyais une partie de jambe en l'air torride et animal quand mon plan devait attendre pour aller répondre au livreur de pizza qui venait couper notre élan. Je riais légèrement, peut-être qu'il s'en foutait mais j'avais pas envie que le type patiente quelques heures pour faire son job: ''Je m'en débarrasse.'' . Il reculait brusquement, choqué que je me dirigeais vers la porte, je ne le regardais même pas et alla faire ce que je devais faire. C'était dur pour moi, j'aurais voulu que mon corps reste contre le sien pour tout le temps qu'on le désirait. En même temps, je m'octroyais la chance de pouvoir penser à ce qui venait de se produire, j'étais encore étourdie sous le choc de l'adrénaline que pouvait me procurer Sabian dans de tel moment d'intimité avec lui. Je me retrouvais assis à ses côtés, c'était mignon de le voir, il était capable de montrer une autre émotion que la colère, je me trouvais chanceuse de pouvoir voir ses facettes comme il connaissait la mienne. Je ne voulais pas qu'il se remet en colère alors pour essayer de faire subtile, je lui proposais une pointe de pizza, je n'allais certainement pas manger cette pizza à moi  seule, il y en avait trop. Je tentais de lire ses pensées, de penser à quel geste ou parole il pourrait dire, comme si on jouait une partie d’échec, allait-il mettre la reine en échec? C’était difficile de le savoir. Je le regardais sauf que quelques secondes plus tard, je me retrouvais basculé sur le côté, lui contre moi. Une sensation de plaisir me parcourait le corps en entier, heureuse de voir que j’aurais la chance de voir jusqu’où il était prêt à aller. Je répondais à ses baisers avec autant d’ardeur que le sien, il était en position dominante, chose qu’il adorait. Je jouais la victime, sa prisonnière, sa soumise. Est-ce qu’il ressentait vraiment pour moi à ce moment ici? Ou c’était simplement une façon d’exprimer sa colère? Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que Sabian me ferait pas ce coup la, depuis longtemos on s'est imposés des barrières mais aujourd'hui, il a su profiter d'une faille dans la mienne pour que je puisse voir ce qui se cache derrière la sienne.. Mes jambes se repliaient de chaque côté de son corps et je n'avais qu'un seul désir, c'était de voir sa peau nue contre la mienne. Je glissais mes bras pour venir caresser son bas ventre, me faire désirer, signaler ma présence quoi et je l'aidais à enlever son t-shirt. Je détestais me sentir, de ne pas être en contrôele mais je ne contrôlais plus grand chose, mon coeur battait fort et je me sentais excitée simplement à l'idée d'être aussi intime à Sabian, chose que j'aurais pas cru possible. Il était le seul qui comptait pour moi en ce moment.
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Comme à son habitude, Sabian n'avait pas vraiment cherché à comprendre. Il avait laissé ses émotions le submerger et le dominer. Là encore, il pensait avoir le contrôle de la situation mais en réalité, ce n'était pas lui qui tenait les reines. C'était ses pulsions toutes plus dévastatrices les unes que les autres. Ce soir, il s'était laissé envahir par la colère, puis la rage et enfin l'excitation. De toutes ces émotions, la dernière semblait être la plus dure à réprimer. Face à l'envie de Cecilia, clairement il était faible. C'était fou comment les choses avaient pu changer du tout au tout. Sabian avait débarqué dans cet appartement pour casser la gueule au fameux fiancé et voilà qu'il allait se retrouver dans les bras de la blondinette. Et quoi ? Andrew aussi l'avait prise sur ce même canapé ? Au final, il ne savait pas grand chose de la relation de Cecilia avec son fiancé. Encore une fois, il avait tiré des conclusions hâtives sans même prendre le temps de se poser les bonnes questions. C'était juste impossible qu'ils n'aient jamais eu de relation charnelle. Résister à une telle créature était juste impossible, à moins d'avoir des tendances homosexuelles. Heureusement pour tous les deux, Sabian n'était pas de ce bord-là et comptait bien lui faire comprendre. Sans chercher plus loin, le jeune homme se tourna vers elle et se jeta dessus. Comme un sauvage attaquant sa proie, il ne lui laissait clairement aucune chance de faire marche arrière. Après tout, elle avait tout le loisir de le repousser avant, si Cecilia ne l'avait pas fait c'est qu'il y avait bien une raison. Sabian vint donc l'embrasser langoureusement et l'obligea à faiblir sous lui. Il s'avança de telle sorte que le blondinette du s'allonger. Il ne voulait pas se poser de question, il la voulait un point c'est tout. Ses mains se firent entreprenantes sur elle et lorsqu'elle mit ses jambes autour de lui, le beau brun vint poser son corps contre le sien. Le silence régnait en maître dans la pièce, seuls les baisers se faisaient entendre. Sabian laissait son souffle se mélanger à celui de la blondinette, leurs lèvres se collaient, leurs langues se trollaient. Ils laisser leur désir mutuel prendre le contrôle de la situation. Les baisers se faisaient plus intense. L'étudiant posa sa main sur la cuisse droite de Cecilia et effectua une pression pour lui faire comprendre qu'il avait envie d'elle. Il se redressa légèrement et enleva son t-shirt. Tout était parfait, Sabian ne demandait rien de plus. Son rythme cardiaque était en osmose avec celui de Cece. Il ne pouvait cacher son envie, il afficha un sourire satisfait sur ses lèvres avant de se rapprocher d'elle et de reprendre ces baisers. Sa main remonta le long de sa cuisse, de sa hanche et passa sous son t-shirt. Rapidement, il s'aida de son autre main libre pour lui ôter son haut et découvrir, enfin, sa poitrine généreuse. Allez, on ne va pas se mentir, Cecilia avait des formes et il ne s'était pas gêné par le passé pour la mater un peu. Dire qu'elle n'était pas attirante serait pure mensonge. Ce soir, il partait à la découverte de son corps et pour l'instant, c'était à la hauteur de ses espérances. Sabian l'embrassa dans le cou et laissait sa langue glisser sur sa peau délicate. Il ignorait si la blondinette était consciente de ce qu'elle était en train de faire et il s'en fichait royalement. Il la voulait et n'allait pas céder sa place à quelqu'un d'autre. Le beau brun laissa ses mains baladeuses sur elle et ne mit pas longtemps avant de venir lui enlever son espèce de bas. Oh, tout ceci annonçait une nuit torride et délectable. Sabian ne pensait plus à rien et le fiancé semblait tellement loin à présent.
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Je ne savais plus comment réagir au contact de Sabian. Peut-être que j,aurais dû suivre mes instincts et de le virer de mon appart, de le punir pour avoir oser lever la main sur moi alors que je n'avais rien à me reprocher apart le fait d'être une victime de mon propre destin, si cruel. Je lui en voulais à Sabian, il m'énervait tellement quand il sautait aux conclusions comme il faisait à chaque fois lorsqu'on avait des prises de tête mais au fond de moi, il y avait ce sentiment qui voulait voir si j'étais condamnée à mon sort ou justement quelqu'un serait la pour venir me faire sortir de ma tour d'ivoire. Je m'accrochais à Sabian, il était la pour me sauver, du moins je l'espérais. Je savais que lui et les sentiments s'étaient deux choses mais la, tout changeait. La barrière physique qui était entre nous depuis si longtemps semblait tomber pour laisser place à la chaleur de ses baisers , à l'adrénaline de ses pulsions et surtout de battre au rythme d'un seul et même coeur. Ma pizza et Andrew étaient désormais le dernier de mes soucis. Je devenais une proie qui ne pouvait pas se débattre de l'emprise de son prédateur, j'étais à sa merci et mon corps et mon âme recevant le plaisir charnel d'être dans ses bras. Je me disais qu'il y aurait d'autres occasions de reparler de mon problème actuel et il devait se compter chanceux que je ne l'ai pas chassé de chez moi. J'étais une accro, accro des moments de complicité avec lui même si il pouvait être violent comme doux, c'était Sabian et je l'adorais ainsi. J'aimais la sensation qu'il était une bombe à retardement et qu'au moindre petit contact, c'était l'explosion. Je le voyais sous un autre jour désormais, c'était obligé. Combien de fois je m'étais demandé à quoi ressemblait la douceur de ses lèvres, l'aggressivité de ses pulsions? Mes réponses exigées s'enchaînait au fur et à mesure. J'étais sous lui, son corps contre le mien. J'avais le souffle court mais c'était dans le bon sens, il me rendait folle et surtout je ne voulais qu'un pour un moment être la seule qui compte à ses yeux. Je prolongeais ses baisers avec autant d'émotions et de passion que lui, nos langues se livraient un véritable combat de danse à mon plus grand plaisir. Ca devait se faire entendre dans tout mon salon, le désir que j'éprouvais envers Sabian, le silence régnait et on entendait simplement nous à l'action de passer une fin de soirée chaude et une nuit endiablée. Il n'avait pas besoin de parler, je ressentais ce qu'il pouvait éprouver comme sentiment pour moi. Je le dévorais des yeux lorsqu'il enlevait son chandail, mes mains caressant ses abdos découpés à la perfection. .
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