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SLOALINE • “I believe that sex is one of the most beautiful, natural, wholesome things that money can buy.” [HOT]

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Only you can set my heart on fire, on fire. I'll let you set the pace.
Inconsciemment, il avait peur de se détacher d'elle, qu'elle ne s'en aille et qu'elle le laisse seule. Exactement comme elle venait de le faire ces deux dernières semaines. L'absence de Charline n'avait d'égal que celle de sa mère. Sloan se sentait délaissé et avait besoin d'attentions. Il voulait être avec elle et personne d'autre, il avait besoin qu'elle le regarde, qu'elle lui sourisse et qu'elle le rassure. Il en avait besoin. La brunette posa sa main sur sa joue et la caressa tendrement. Il ferma les yeux, un peu de douceur ne pouvait pas lui faire de mal. Finalement, ils échangèrent un dernier baiser tendre et affectueux. « J'ai pas spécialement envie que tes copines se lancent à ta recherche. » dit-il en rigolant légèrement. Sloan ouvrit les yeux et plongea son regard dans le sien. Il afficha un sourire sincère, elle était tellement belle. Ce moment, coupé du temps, lui faisait du bien. Ils reprenaient leurs respirations et se remettaient de leurs émotions. Comme un appel au secours sortit de nul part, le jeune homme en profita pour lui murmurer légèrement. « Reste avec moi Charline, j'ai besoin de toi. » Finalement, il se recula et se pencha vers l'avant et attrapa son caleçon et son jean qu'il remonta lentement. Au passage, il s'approcha des cuisses de Charline et y déposa un bisou baveux. Il se redressa et afficha un sourire fier, ouais il était fier de sa connerie. Calmement, Sloan enfila son caleçon et boutonna son jean. Il empêchait clairement la brunette de se rhabiller. « Laisse moi kiffer encore un peu. » râla-t-il gentiment. Il la regardait avec un petit sourire pervers. Elle était encore nue et il n'en perdait pas une miette, il laissait ses yeux se balader sur son corps. Sloan posa ses mains sur ses cuisses avant de venir l'enlacer tendrement. Après l’effort, le réconfort. Il la taquinait, elle savait très bien qu'il était en admiration devant les formes de son corps. Elle le savait et en jouait allègrement. Le beau brun tourna délicatement son visage et déposa quelques baisers tendres dans le creux de son cou. Il l'enlaça de ses bras, il pouvait sentir sa peau nue sur lui, c'était délectable. Charline avoua alors être épuisée. « On est deux. » commenta-t-il subtilement. Effectivement, il était naze mais c'était une bonne fatigue. Il remonta sa bouche le long de son cou, de sa nuque puis son oreille. Il sursauta légèrement lorsqu'il entendit Charline hurler dans son oreille. Il se recula brusquement avant de détourner son regard et le posé vers la porte de la cave à vin. Il vit un homme rentrer en mode normal. Sloan sentit la brunette se cacher derrière lui, bah tu m'étonnes, elle était encore à poil. Le gars taquina alors les deux étudiants. Effectivement, ils n'étaient pas très discret et mettre le verrou ne les avait pas effleurés l'esprit. Dans ce genre de fête, il était de coutume qu'un couple, voire deux, prennent du bon temps dans l'une des pièces de la baraque. Après tout, il y avait de l'alcool à flot et de la drogue en tout genre. L'Eliot se retourna vers le gars en question, histoire de couvrir au maximum le corps de sa belle. Le vieux avait l'air complètement saoul, encore une chance. Sloan rigola à sa remarque. « Faut bien se faire plaisir de temps en temps. J'en ai trouvé une bonne là, elle je ne la lâche pas. » lança-t-il bêtement. Sloan serra légèrement ses mains sur les cuisses de Charline, histoire de détendre l’atmosphère. Le truc c'est qu'il était loin de savoir à qui il avait à faire. Le mec passa son chemin et parti directement voir les bouteilles. Il demanda à l'Eliot de venir l'aider au passage. La brunette le supplia de ne pas y aller. Sloan et ses idées à la con, bonsoir. Il s'approcha de Charline pour déposer un baiser sur sa joue et se reculer, une bonne fois pour toute d'elle. « Je vais l'occuper, profite en pour te rhabiller. Et tu n'as pas intérêt filer, je t'ai à l'oeil. » dit-il en affichant un petit sourire. Hors de question qu'elle lui échappe ce soir, elle était à lui et il comptait bien en profiter encore un peu. Il s'écarta donc d'elle et attrapa furtivement son t-shirt avant de partir en direction du mec. Calmement, il avança vers le vieux et remit don t-shirt. Une fois à sa hauteur, il lui tendit la main. Sloan baissa la tête avant de finalement venir saisir la main du gars. « Carl. » dit-il à la légère. Amusé par la situation, l'Eliot répondit sur le même ton. « Sloan. » Ils se mirent à chercher ensemble une bonne bouteille. Par chance, Sloan s'y connaissait un peu, merci Gorge. Il sortit donc une bonne bouteille et s'approcha de Carl pour lui montrer. Voilà qu'ils allaient perler vin maintenant. C'était assez dérisoire comme situation. Ils venaient de s'envoyer en l'air comme des bêtes et voilà qu'à présent, le jeune homme se tapait la discute avec un vieux histoire de faire diversion. Enfin vieux, le mot était peut-être exagéré, il devait avoir la cinquantaine. Ils échangèrent quelques critiques pas du tout constructives sur la bouteille de vin. « T'as l'air d'être un bon gars. Un p'tit conseil, la prochain fois, trouvez-vous un coin plus discret qu'une cave à vin. » Sloan afficha un petit sourire avant de prendre à son tour la parole. « Entre nous, un endroit plus confiné ne changera pas grand chose. Faudrait plutôt dire à Charline de faire moins de bruit quand elle gémis. » lança-t-il en rigolant. Le jeune homme ne s'imaginait pas une seule seconde qu'il était en train de parler à son père. Et voilà comment Sloan vint se discréditer à tout jamais aux yeux du père Granger.
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Mes pensées retrouvèrent un semblant de lucidité. L’étreinte était terminée et la folie s’évadaient doucement dans l’air frais de la cave. Mon corps était complètement liquéfié. Ma respiration tentait de reprendre une certaine normalité tandis que Sloan me murmura « Reste avec moi Charline, j’ai besoin de toi. » Mon regard se releva pour fixer le bel étudiant. Ces paroles étaient ce que je rêvais et ne rêvais pas d’entendre. Elles me réconfortaient et m’affolaient en même temps. C’était un sentiment étrange. Alors que je m’apprêtais à lui répondre, il se recula de moi et s’abaissa pour remonter ces vêtements. Au passage, il déposa un doux baisé sur mes cuises. Mon sourire s’étira un peu plus à cette simple marque d’attention. Il avait besoin de moi et j’avais besoin de lui. Ce soir la distance n’allait être qu’éphémère. Je ne pouvais pas me résoudre à reprendre le petit quotidien que je m’étais construise depuis deux semaines. Rejoindre mes copines et laisser Sloan ici ? il en était hors de question. Ma place ce soir n’était pas en haut, elle ne l’avait jamais été. Elle était ici avec lui. Il se rapprocha une nouvelle fois de moi m’empêchant de prendre mes vêtements qui étaient un peu éparpiller autour de nous. Il y en avait partout. Mes yeux se posèrent sur mon soutien gorge qui se trouvait juste à ces pieds. « Laisse moi kiffer encore un peu. » je me mis à rire avant d’approcher doucement mon visage du sien. Mes lèvres étaient à quelques centimètre des siennes et mon regard le fixait intensément. Sa présence calmait bien des troubles. J’avais beau le repousser, il m’accordait en ce moment une pause bien mérité. Ses doigts effleuraient mes cuisses avant de rapprocher son corps du mien. Mes mains se posèrent sur ces bras que je caressais avec douceur. J’étais épuisée. Cette partie de jambe en l’air avait réveillé bien des fantasmes. Mes jambes pendouillaient au dessus de la table tandis que mes bras lutaient encore dans ces dernières caresses. Il était aussi épuisée que moi. Un sourire pervers s'installa sur mes lèvres avant de finalement venir embrasser le haut de son épaule. S’était sans compter sur l’arrivée fracassante de mon père. Je n’avais d’ailleurs pas pu retenir ce douloureux cri alors que mon regard croisait celui de mon paternelle. Que foutait-il ici ? Que venait-il troubler. Mon visage se cachait derrière le torse de Sloan. Mes yeux se fermèrent comme pour oublier les 5 dernières secondes. Il ne pouvait pas être là... pas maintenant. Pas après ce que je venais de vivre. Honteuse et énervé de le voir une nouvelle fois débarqué dans ma vie. Je ne fis pas attention à la réaction de Sloan. L’étudiant semblait amusé et ne se doutais pas une seule seconde de la réalité qui l’attendait. Il était rentré malgré lui, malgré moi, dans ce tourbillon qu’était Carl Granger. « Faut bien se faire plaisir de temps en temps. J’en ai trouvé une bonne là, elle je ne la lâche pas. » Mon regard se releva immédiatement. Ne lui parle pas sloan... ma main s’écrasa contre sa bouche. J’étais complètement déboussolé par l’arrivé de mon père. Entièrement nu, le corps de sloan cachait relativement bien mon corps. Mon père ne pouvait rien voir même si cela ne m’empêchait pas d’être gêné. Les mains de l’éliot se resserraient un peu plus sur mes cuisses comme pour me rassurer. En réalité, j’étais complètement paniquée. Ma main se retira de sur ses lèvres. Il était là. Sloan et Carl étaient là, dans la même pièce. Et s’était bien sa le problème. Ma gorge s’était nouée et mon regard s’attarda sur le vieillard. Tandis que le visage de sloan se rapprocha du mien pour venir déposer un bisou sur ma joue. « Je vais l’occuper, profite en pour te rhabiller. Et tu n’as pas intérêt à filer, je t’ai à l’oeil.» mon regard croisa le sien. " Sloan attends ! " dis-je en chuchotant. Je n’eu pas le temps de le rattrapé qu’il avait déjà repris son tee-shirt pour se rapprocher de Carl. Et merde ! Je restais quelques seconde avant de reprendre rapidement mes vêtements. Tandis que je me rhabillais rapidement. Les deux hommes s’éloignèrent m’empêchant d’entendre leur conversation. Carl s’avançait doucement dans la cave, lisant et analysant les bon vin qui s’offraient à lui. Il était au ange. Ces bouteilles valaient une valeur et il le savait très bien. Sloan le rattrapa et s’approcha de lui. Une poignet de main s’en suivit. Je pris ma culotte et me dépêcha à l’enfiler. Je pris mon soutien gorge et lutta pour le remettre. Sloan était en train de faire la connaissance de mon père et moi j’étais en train de me rhabiller. Je me mis à soupirer longuement voyant que je n’arrivais à rien en me précipitant. Mon regard analysait leurs comportement. Allez charline magne ton cul ! Sloan prit une bouteille d’un bon vin et s’approcha de mon père. Carl afficha un sourire fière et conquis. Sloan venait de lui apporter la perle qu’il recherchait. Le vin d’exception qu’il allait sans doute boire dans le recoin d’une ruelle. Pathétique. L’attention de Carl se reporta aussitôt sur l’étudiant. Son regard analysa les traits du jeune Eliot. Je pouvais déjà entrapercevoir le vice dans son regard. Il allait le bouffer et Sloan pactisait avec le diable. Mon regard était obnubilée par les deux hommes. Je manquais même de tomber en remettant mon pantalon. Les deux s’échangèrent plusieurs paroles. J’étais énervée, frustrée d’être ici à me rhabiller plutôt qu’avec eux pour contrôler toute ces paroles. J’étais énervée, frustrée d’être ici à me rhabiller plutôt qu’avec eux pour contrôler cette rencontre. « ET PUIS MERDE !» j’approchais dangereusement de Sloan et de Carl. Je n’avais pas encore remis mon haut. Tant pis. Arrivée à sa hauteur les paroles de sloan se faisaient un peu plus fluide. « Entre nous, un endroit plus confiné ne changera pas grand chose. Faudrait plutôt dire à Charline de faire moins de bruit quand elle gémis.» mon regard s’attarda sur Sloan. rooooooooooh non tu venais pas de dire sa. J’avalais ma salive avant de reporter mon attention sur Carl. Son sourire joueur et espiègle s’afficha sur son visage. Il s’approcha de moi et me pinça fermement la joue. « SA A L’AIR D’ETRE UNE SACRE POULE TA CHARLINE ! » Carl parlait fort, trop fort. Il sentait l’alcool. Mes sourcils se fronçèrent et je lui fis mechamment : « Lâche moi ! » J’étais hostile. Sloan pouvait le remarqué aisément. Il s’approcha ensuite de Sloan. Il était beaucoup trop proche. « MON GARCON S’EST TOUT LE PLAISIR D’AVOIR UNE FEMME QUI GÉMIE BIEN ! TU BANDES PLUS VITE MON GRAND! » et allez bienvenue dans le monde de Carl Granger. Sans faire vraiment attention, ma main rejoigna celle de l’éliott. Mes doigts s’entrelaçaient avec les siens tandis nos mains se cachaient derrière le dos de Sloan. Pas besoin qu’il voit cette étreinte. Les mains se mon père tapota doucement la joue de Sloan et il lui fait : « TU LUI AS DONNER CE QU’ELLE AVAIT ENVIE MON GRAND ! TU DEVRAIS ESSAYE DE LUI TAPER LE CUL LA PROCHAINE FOIS, SA MERE KIFFAIT SA ! COMBLE LA SINON JE TE BROIE LES COUILLES ! » je me mis à soupirer avant de finalement reculer Carl de Sloan. « part... s'il te plait part ! » dis-je en fusillant mon père des yeux. J’étais entre sloan et lui. Hors de question qu’il touche une nouvelle fois à l’étudiant. Carl plissa les yeux et il finit par dire avec un peu plus de douceur. « C’est un bon charline ! Il a du fric sa se sent et puis il a l’air d’en avoir dans le pantalon ! Si tu le prends pas moi je m’en charge ! » Ma machoire s’était crispée. Arrête Carl ! ferme là ! " Carl arrête ! dégage ! "



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La situation était tellement paradoxale. Sloan était venu à cette soirée pour passer du bon temps avec ses potes. Il s'était retrouvé dans la cave à vin à prendre du bon temps avec Charline pour qu'ensuite, un vieux débarque de nulle part et les surprenne en train de se rhabiller. Enfin, pour l'Eliot. Pour ce qui était de la brunette, elle était encore complètement nue. Mais bon, heureusement pour elle, Sloan s'était placé de façon à ce qu'il cache ses parties intimes. La brunette s'était réfugiée derrière lui et ne semblait pas vouloir déloger de là. Le jeune homme profita que le vieux parte en direction des bouteilles, pour lâcher Charline. Elle allait pouvoir se rhabiller furtivement et ainsi éviter d'être maté par un vieux pervers en manque de sensations fortes. Calmement, Sloan se dirigea vers les bouteilles et rejoignit le gars. C'était étrange d'ailleurs, même si l'Eliot avait un peu bu, il était assez conscient pour se rendre compte qu'il n'avait rien en commun avec le propriétaire des lieux. Que faisait-il là alors ? Il venait juste piquer deux ou trois bouteilles le cochon. Le beau brun était entouré de voleurs ce soir. Il ne pensait pas si bien dire, il ignorait totalement qu'il avait affaire au père Granger. Quand je vous dit qu'il ignorait, cela ne lui traversait même pas l'esprit, pas une seule seconde. Les chances pour qu'il ne tombe sur son futur beau-père étaient juste proche de zéro. C'était impossible, improbable, inimaginable. D'ailleurs, Charline restait toujours discrète en ce qui concernait sa famille. Sloan ignorait tout de la tribu Granger. Il connaissait Andy mais cela s'arrêtait là. Il ignorait le nombre d'enfants, les prénoms et professions des parents. Il ne savait même pas s'ils étaient encore en vie. Quoiqu'il en soit, la brunette ne mit pas longtemps avant de les rejoindre. Elle se plaça à côté de l'Eliot, juste en face du mec. Elle vint saisir délicatement la main du jeune homme, en prenant soin de ne pas se faire remarquer. Un léger sourire vint s'afficher sur les lèvres de Sloan qui appréciait, mine de rien, cette petite attention. Ce n'était plus en sens unique et il se délectait de pouvoir compter un peu à ses yeux. Le vieux s'approcha de Charline et la traita de petite poule. Heureusement pour lui, Sloan était dans un bon jour, il était détendu et ne prit pas mal la petite remarque. Néanmoins, son sourire disparu lorsque l'inconnu posa ses mains sur la joue délicate de sa princesse. De où se permettait-il de poser ses mains sales sur elle. L'Eliot fronça alors les sourcils sans vraiment comprendre. « Une sacré poule ... heu ouais. » répondit-il peu convaincu par la remarque désobligeante du mec bourré. Quoiqu'il en soit, il pouvait compter sur une Charline en forme. Elle lui lança un talc plutôt hostile. Sloan afficha un léger sourire, il savait qu'il ne fallait pas trop la faire chier. C'était sa gonzesse ça. Par contre, le jeune homme n'avait pas du tout prévu la suite des événements. Tout s'enchaîna très vite. Le mec complimenta d'abord la prestation du Bushnell avant de s'en prendre à Charline qui visiblement n'était pas en harmonie avec celui-là. Sans qu'il ne puisse comprendre quoique ce soit, elle se plaça entre eux. Sloan fronça les sourcils, il ne semblait vraiment pas suivre les choses là. Carl ? C'était qui celui-là. Il aurait pu rester dans l’incompréhension la plus totale mais c'était sans compter sur une bipolarité omniprésente. Il se décala pour voir les deux. Il regardait simultanément Charline et ce fameux Carl. « C'est quoi ce bordel ? Vous vous connaissez ? Charline c'est qui ce gars ? » lança-t-il en espérant obtenir une réponse assez rapide. En effet, il était mentalement très instable et pouvait partir à tout moment en une colère noire. « Et toi t'es qui pour parler comme ça ? » demanda-t-il sur un ton assez agressif. « Va décuver ailleurs sac à vin ! » dit-il sur un ton ironique mais néanmoins glacial. Sloan n'avait pas vraiment envie de rire et cela commençait à se lire sur son visage. Charline savait à quel point il était dangereux de le laisser s'énerver. Elle en avait déjà subit les conséquences. Soit, ils lui répondaient tout de suite, soit les bouteilles de vins allaient voler.
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Mon regard détaillait l’allure nonchalante de mon père. Ces vêtements étaient sales, ces chaussures troués et ces cheveux formaient un Hamas de nœud. Ces années d’absence ne l’avait pas changé. Il était resté le même, identique au dernier souvenir que j’avais de lui. Le père monstrueux que j’avais laissé derrière moi à Athène. Son regard venait une nouvelle fois me hanter. C’était un sentiment horrible de détester autant son père. Carl jouait avec le feu et l’atmosphère semblait d’un coup plus pesante. Instinctivement ma main se resserra autour de celle de Sloan qui semblait ne rien comprendre du tout à la situation. Mes yeux étaient fuyant évitant le regard interrogateur de l’étudiant. Il se posait des questions et j’allais devoir lui répondre. Je le sentais. Il ne tarda d’ailleurs pas à se placer sur le côté pour dire « C’est quoi ce bordel ? Vous vous connaissez ? Charline c’est qui ce gars ? » Carl m’héritait-il vraiment cette appellation. M’héritait-il vraiment que je dise à Sloan que c’était mon père. Mes yeux fixaient intensément ceux de sloan tout en gardant un silence de plomb. Je ne voulais pas lui dire et le silence aurait été tellement mieux. Mon regard dévia ensuite sur Carl. Il s’était retourné pour vaguer à ses occupations. Il sortie de sa poche un sac, qu’il ne tarda pas à remplir de bonne bouteille de vin. Il était ingérable et insupportable. Je me mis soupirée, complètement prise au dépourvu. Sloan se rapprocha un peu plus de mon père relâchant ma main. « Et toi t’es qui pour parler comme ça ? » machinalement, je m’étais retournée vers Sloan. Mes mains s’étaient postés sur le haut de son torse. Le poussant à ne pas avancer plus et à ce calmer. Mon regard soutenait celui du jeune étudiant, trop préoccupé par les gestes maladroits de mon père. « Va décuver ailleurs sac à vin !» Une de mes mains se porta à la joue de l’étudiant, essayant de le ramener à la douceur de ces quelques minutes passer. « laisse tomber Sloan, il n’en vaut pas la peine...» dis-je en hochant la tête de haut de en bas. Ces paroles attirèrent l’attention de mon père qui se retourna et fracassa malencontreusement une bouteille de ce vin d’exception. Mon regard se tourna vers Carl et son doigt se pointa sur moi. « IL N’EN VAUT PAS LA PEINE ?! regarde toi charline... pareil que ta mère ! » l’alcool le rendait monstrueux. Ces paroles n’étaient que poison et malgré l’effort surhumain que je faisais. Ces paroles me touchaient en plein cœur. Il n’avait pas tord... j’étais après tout la fille du déchet. Les mains de Sloan se raidissaient. Il était grand temps pour Carl de partir, s’il ne voulait pas ce faire casser la gueule par l’étudiant. Je pouvais le sentir se raidir. « CARL DÉGAGE ! DÉGAGE ! » dis-je en m’avançant vers lui. Je pris son sac plein de bouteille et le poussa lentement vers la sortie. Le vieillard se mit à brayer. « MON GRAND A PLUS TARD ! RAVIE D’AVOIR FAIT TA CONNAISSANCE ET SURTOUT N’OUBLIE PAS ! GARDE TON ARGENT PRÊT DE TOI » va te faire foutre ! j’étais arrivée prêt de la porte. Je lançais son sac dehors, la chute fut douloureuse. Il se précipita dehors et s’accroupit lourdement « CHARLINE BORDEL, TU L’ES A CA..... » La fin de sa phrase fut interrompu par le claquement de la porte. Mes mains se portèrent au verrou et ma tête se posa lourdement sur la porte en bois. Mes yeux se fermèrent comme pour m’éviter de faire face à la réalité. J’étais dos à Sloan et je n’osais même pas me retourner. Tandis qu’il s’approchait de moi doucement, je me retournais et lui fis à tout allure. « Noooon noooon n’approche pas...» comment était-il possible de passer d’une émotion positive à une émotion aussi négative que maintenant. Les paroles de Carl raisonnaient dans ma tête. Il avait touché la corde sensible et apeurée je m’en prenais illégalement à Sloan. Il s’arrêta et me regarda dans les yeux. « TU VOIS CE CONNARD ! C’EST MON PÈRE SLOAN !» mon putain de père dont je n’arrive pas à me défaire. Aussi improbable que cela puisse parraitre, je l’aimais et cette absence d’attention me faisait plus souffrir qu’autre chose. Voilà pourquoi je m’interdisais de ressentir quoi que ce soit, voilà pourquoi ces trois petits mots n’étaient pas encore sortie de ma bouche. Mon regard était vide et mes bras tombèrent le long de mon corps. Doucement, je lui fis : « c’est mon père...»


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Croiser ce genre de mec n'était pas vraiment une surprise, surtout dans les soirées comme celles-ci. Après tout, le propriétaire des lieux laissait sa maison ouverte à n'importe qui. Il n'y avait pas que des étudiants ici, il ne fallait pas se leurrer. Il n'était pas rare de croiser des profiteurs qui essayaient par tous les moyens de taper des jeunes minettes ou alors de piquer les objets de valeur. Sloan n'avait pas ce problème là vu qu'il vivait dans une chambre d'hôtel mais il fut déjà confronté à ce genre de problème chez des potes à lui. C'était vraiment pas évident à gérer. Ce type de soirée faisait augmenter la popularité mais à quel prix ? A moins d'avoir des verrous pour fermer toutes les autres pièces de la maison, il était juste impossible que la soirée ne dégénère pas. Le gars ici présent était complètement saoul et ça crevait les yeux. Il cherchait à se mettre une mine ou juste à voler quelques bouteilles. Car oui clairement, l'Eliot avait eu le temps de regarder un peu le contenu de cette cave à vins et elle comprenait de belles pièces. Il tenait sa culture de son beau-père qui savait apprécier les bonnes choses de la vie. Disons qu'il utilisait son fric à bon escient. L'inconnu en question semblait prendre pas mal d'aise avec les deux étudiants. Charline ne lui avait pas répondu lorsqu'il lui avait demandé si elle le connaissait. C'était assez étrange comme sensation. Ils se connaissaient, c'était évident mais qui était-il pour la Granger ? Sloan n'arrivait pas à définir leur union. Bien trop occupé par ce qu'il venait d'entendre et voir. Comment cela était possible ? Passer de l'excitation à une ambiance électrique en quelques minutes ? Le jeune homme ne comprenait pas. Charline ne tarda avant de le pousser vers la sortie mais le vieux ne semblait pas en avoir terminé avec l'Eliot. Il lui assura qu'ils allaient se revoir et qu'il devait garder son argent. « Qu'est-ce-qu'il raconte ? » demanda alors Sloan à Charline. Sans chercher à comprendre, la brunette mit dehors ce fameux Carl et claqua lourdement la porte. Le jeune homme ne comprenait vraiment pas la situation et aurait bien besoin de quelques explications. Il fit un pas en avant mais s'arrêta net lorsque la brunette lui demanda de ne pas s'approcher. Sans un bruit, il se stoppa. Les yeux rivés sur Charline, elle avait l'air complètement perdue et quelque peu perturbé. « Charline, je peux savoir qu... » demanda-t-il calmement avant d'être coupé dans son élan. Elle lui avoua rapidement que Carl était son père. Charline lui hurla dessus avant d'abandonner toute idée de colère et de laisser ses bras pendre le long de son corps. Elle semblait vidée de toute émotion, Sloan connaissait que trop bien ce sentiment. Il déglutis en la voyant aussi démunie. En temps normal, les rôles étaient inversés et c'est elle qui devait subir ses excès de colère. Le beau brun ne réalisait pas vraiment que Carl était son père, Charline n'en avait jamais vraiment parlé. « Je ne savais pas, j'étais loin de m'imaginer que c'était ton père, Charline. Tu ... Tu ne m'en as jamais parlé mais je commence à comprendre pourquoi. » lança-t-il maladroitement. Question famille, il n'était pas vraiment le mieux placé pour parler. Néanmoins, il ne pouvait pas laisser sa belle dans cet état là. Sloan alla juste la table de toute à l'heure, il prit sa veste qui traînait encore là et s'approcha de Charline. Cette dernière ne voulait certainement pas en parler, il n'allait donc pas la faire chier. Ca devait venir d'elle et pas l'inverse. L'Eliot mit alors sa veste. « Vas-y, je te ramène. Tu as eu ta dose d'émotions pour ce soir. » dit-il calmement. En voyant qu'elle le regardait, il afficha un petit sourire rassurant. Non, il n'allait pas en parler, il allait respecter sa colère et la laisser venir vers lui. Voyant qu'elle ne gérait pas du tout la situation, Sloan s'approcha un peu plus d'elle et la prit calmement dans ses bras. « Eh, viens là... Je suis là Charline... Je suppose que tu n'as pas vraiment envie d'aller chez toi ? Hum ? Ma chambre t'es grande ouverte... » lança-t-il pour essayer de la rassurer. Finalement, l'Eliot était aussi démuni qu'elle. Il ne savait pas trop quoi penser de tout ça. C'était vraiment son père alors ? Il ferma les yeux en la sentant contre lui. Calment, il lui fit un baiser dans les cheveux avant de l'emmener hors d'ici, hors de toute cette tension surgie de nulle part.
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