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SLOALINE • “I believe that sex is one of the most beautiful, natural, wholesome things that money can buy.” [HOT]

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Only you can set my heart on fire, on fire. I'll let you set the pace.
Sloan se trouvait à l'extérieur d'une grande baraque qui promettait un lieu privilégié pour une grosse soirée. On pouvait déjà voir des étudiants entrer dans la maison, d'autre fumer leur clope dehors. Il y avait pas mal de monde et la musique se faisait entendre aux alentours. Le beau brun était venu tout seul mais quelques potes l'attendaient à l'intérieur. Il n'avait pas prit la peine de prévenir Charline qu'il sortait ce soir, après tout, il voulait que ça vienne d'elle. Il ne voulait pas brusquer les choses, déjà qu'il lui avait dit je t'aime. L'Eliot savait à quel point elle était réticente à s'engager, il ne voulait pas la brusquer et imposer sa présence. Les choses devaient se faire naturellement. La dernière fois qu'ils s'étaient vu, cela remontait à la petite séance de car wash sexy où Sloan avait juste kiffé son existence. Les choses avaient énormément évoluées entre eux et ils étaient toujours aussi complices. Il aimait ce rapprochement et le fait qu'elle ne le repousse pas suite à son je t'aime était une bénédiction. Il lui avait qu'une seule fois le jour de l'enterrement de sa mère et n'avait pas renouvelé l'expérience. Il ne voulait pas brusquer Charline et le dira plus tard. En quelque sorte, cela rajouter un peu de charme à leur relation. Quoiqu'il en soit, le beau brun la laissait respirer et était un peu déçu de ne pas avoir trop de nouvelle d'elle. Charline semblait un peu distante envers lui et ne cherchait pas vraiment à lui parler. Voilà une semaine qu'ils ne s'étaient vus au car wash, une semaine qu'il n'avait pas de message d'elle. Enfin si, un ou deux mais cela s'arrêtait là. Quoiqu'il en soit, Sloan ne voulait pas y penser ce soir et comptait bien profiter d'une bonne petite soirée avec ses potes. Il terminait calmement sa clope. Il faisait plutôt bon dehors, la veste semblait être de trop, il n'avait qu'une seule envie : enlever cette putain de veste et aller se chercher un truc à boire. L'étudiant avec soif, très soif. Lorsqu'il eût terminé sa clope, il jeta le mégot par terre, osef de l'environnement. Il inspira bruyamment avant d'avancer vers l'entrée, il n'allait pas passer sa soirée dehors quand même. Au passage, il salua quelques connaissances. Sloan ne tarda pas à rejoindre ses potes déjà bien imbibés. Ils saluèrent tous l'Eliot et ne manquèrent pas le charrier pour son award du plus sexy. Il rigola et alla se chercher à boire. Il passa une bonne partie du début de la soirée à boire et à déconner avec ses potes. Il ne pensait à rien et franchement, c'était agréable pour lui de se changer les idées. Le décès de sa mère semblait lointain, tout comme sa bipolarité et son manque de contrôle sur lui-même. Il prenait une pause bien méritée dans ses vie. Le jeune homme prenait du recul et profitait de sa soirée en toute légèreté. Il ri bruyamment, il avait le sourire et semblait bien porté sur la boisson. Vraiment il faisait plaisir plaisir à voir. Un peu plus tard dans la soirée, il alla se chercher un autre verre, le sien était désespérément vide. Il contourna alors ses potes et s'approcha du bar. Machinalement, il se remplit le verre jusqu'à ras bord. Voyant qu'il allait déborder, il éclata de rire et s'approcha du verre pour aspirer le superflu. Ouais, il était déjà bien entamé pour faire ça. Fier de sa connerie, Sloan se recula et partit en direction de ses potes. En chemin, son regard fut immédiatement attiré par une brunette au loin. Il reconnu automatiquement sa princesse et un large sourire se dessina sur son visage. Ravi de la voir ici, il checka qu'elle ne soit pas en compagnie douteuse. En fait, depuis un petit moment, le beau brun commençait à devenir un peu jaloux. Ouais, déjà l'autre jour avec le colocataire, il l'avait super mal prit. De base Sloan est un peu jaloux mais pas méfiant mais avec tout ce qu'il a vécut avec ses ex, il avait de quoi devenir parano. Bref, le beau brun voulait s'amuser un peu avec Charline. Aller la voir comme ça de but en blanc n'était, en soit, pas vraiment intéressant. Elle était avec des copines, il n'allait pas s'imposer comme le gros lourd qui se tape l'incruste. La brunette ne semblait pas l'avoir vu, tant mieux pour lui. L'Eliot passa par la cuisine et contourna largement Charline. Il s'appuya contre un mur du couloir pour essayer de réfléchir à comment l'aborder. En fait, il avait déjà bien bu et la réflexion fut de courte durée. Elle passa non loin de lui, elle rigolait avec ses copines. Sans trop chercher à comprendre, Sloan leva la tête dans sa direction et croisa furtivement son regard. Prit de court, il attrapa rapidement le bras de sa belle et l'attira vers lui. Charline fit un petit cri de surprise. Lorsqu'elle arriva dans ses bras, de nombreuses images lui vint en tête, le car wash sexy, le strip tease, son corps de rêve. Une pulsion virile lui vint alors lui chatouiller l'esprit. Sans un mot, il avança d'un pas, plaqua Charline contre le mur et l'embrassa fougueusement. Il attrapa ses mains et enlaça ses doigts dans les siens. Sous l'intensité de son baiser, il leva les bras pour les coller au mur, jute au dessus de sa tête. Le jeune homme se montrait insistant et particulièrement dominateur. Sloan serra ses mains dans les siennes. Elle l'avait chauffé ces dernières semaines, ouais au bout d'un moment le garçon il craque.
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Ces soirées s’accumulaient. Mon quotidien était depuis peu troublé par l’arrivée de mon père. J’avais besoin d’évacuer sans prendre le risque d’impliquer qui ce soit dans ma descente. J’avais cette horrible sensation de perdre pied. Je noyais ma frustration dans l’alcool et dans les soirées. D’ailleurs nous étions en retard. J’avais opté pour quelque chose de simple et légé. En réalité, c’était les vêtements, les plus simples que j’avais pu trouver dans la penderie de mon amie. La tâche s’était révélé être catastrophique. Un legging, une veste en cuir et un débardeur rouge. Ces vêtements ne me ressemblaient pas du tout et pourtant j’affichais une mine détendue. Ce soir, j’allais pouvoir profiter tranquillement et oublier l’abominable père que j’avais sur les bras. Mon amie se gara juste en face de la maison. La musique virevoltait dans l’air doux, les rires semblaient nombreux. Gauthier semblait avoir mis le paquet ce soir. C’était l’hôte de maison, un ami qui fêtait comme il se devait la fin des examens. Une délivrance pour un peu prêt tous les étudiants d’Harvard. L’année se terminait et la pression s’estompait peu à peu. Mon regard s’attarda sur la foule de personnes qui se trouvait dehors. Un sourire, quelque bonsoir et me voilà une bière à la main. Un parfait inconnu s’arrêta à ma hauteur « tient ma belle à la fin de l’année.» mon sourire s’étira avant que je ne claque ma bière contre la sienne. J’apportais le goulot à ma bouche et en boire quelques gorges. « à la tienne.» dis-je avant de voir mon ami revenir. Elle passa son bras autour de moi et m’emmena à l’intérieur de la maison. L’intérieur était aussi blindée que l’extérieur. La fête avait déjà bien débuté et la plupart des bouteilles étaient vides. Je ne pu retenir mon rire lorsque mon regard s’attarda sur un mec qui était en train de pisser sur les plantes de la maison. Mon Dieu le bordel. C’était la décadence et connaissant Gauthier l’inconnu avait bien de la chance qu’il ne soit pas dans les parages. Mon amie me poussa à rejoindre d’autre copine à elle. J’affichais un sourire mais mon attention était belle et bien portée sur autre chose. Je cherchais quelques choses à boire. Mon regard s’attarda sur le verre d’une des filles qui se trouvaient à côté de moi. « Tu as soif ?» je me mis à rire et lui répondis oui de la tête. gentiment, elle me tendit son verre et sans vraiment faire attention je le bus entièrement. Bravo la politesse Charline. Elle me regarda bizarrement mais n’osa rien dire. Elles s’avancèrent dans le couloir pour rejoindre le jardin. Clarisse, mon amie de ce début de soirée me fit un signe de la main. Je regardais quelques secondes mon téléphone. Aucun message... pas de Sloan. J’affichais une petite moue avant de le remettre dans la poche de mon pantalon. Je me mis à marché légèrement en recule par rapport aux autres filles. Je relevais mon visage avant de tomber directement sur celui de Sloan. Je n’eu pas le temps de réagir que les mains de l’Eliot empoignaient mon bras pour me tirer à lui. Il me plaqua contre le mur et ces lèvres se posèrent sur les miennes. Un baiser fougueux qui ne me laissa même pas le temps de comprendre ce qu’il était en train de se passer. Fort heureusement, mon corps reconnaissait ses mains, cette bouche. Il en avait rêvé depuis plusieurs jours. Ses mains attrapèrent les miennes et entrelaçaient ses doigts aux miens. Ma respiration s’était coupé, ma langue dansait avec celle de l’étudiant. La température était monté en flèche. Il leva mes bras et les garda plaquer haut dessus de ma tête. Prise au piège, je ne faisais que profiter de ce moment. Mes pensées se bousculaient et mon envie elle montait en flèche. Il m’avait manqué, ces caresses, ses baisés, son odeur. Bordel que c’était enivrant de le retrouver là où je ne supposais pas le voir. Son corps était plaqué contre le mien. Je ne pouvais pas bouger. Son baiser était plus prononcé et insistant. Il avait même le gout de l’alcool. Un cocktail parfait. J’avais chaud... terriblement chaud. Mes joues commençaient à rougir face à temps chaleur. Mes lèvres ne quittaient plus celle de l’Éliot. Dans le feu de l’action, les lèvres de l’étudiant descendirent le long de mon cou pour s’arrêter à la commissure de mon décolleté. Ma tête bascula en arrière, l’incitant à continuer. Impossible pour moi de résister. Sloan m’avait littéralement rendu vulnérable. Je le voulais maintenant et tout de suite. Le manque n’arrangeait rien du tout, au contraire, elle titillait mes sens. Ma respiration était devenue plus prononcée et de léger soupire se dégageait d’entre mes lèvres. Sloan remonta pour me plaquer sa main sur la bouche. Du silence. Ne pas attirer l’attention alors que tu n’as qu’une envie : être seule au monde. Mes yeux se fermèrent au contact de ces lèvres sur ma peau. Il n’y avait pas besoin de parler. Nos envies se traduisaient toutes seules. Ces lèvres remontèrent à mon cou. Je ne bougeais pas victime et amatrice de ce qu’il était en train de me faire. Ces doigts sur ma bouche s’écartèrent légèrement. Délicatement et parce que j’avais envie d’attirer son attention. Mes lèvres s’enroulèrent autour de son doigt que je me mis à sucer tendrement. Plantant mon regard dans le sien. Simple provocation de ma part, il me titillait en m’empêchant de bouger. La provocation était bel et bien là. Le bas de mon ventre commençait déjà à me titiller. « SLOAAAAAAAAAN ?» une voix nous ramena à une réalité que nous avions oublié. La merde ! hors de question de retourner maintenant à cette soirée. J’avais envie de lui maintenant tout de suite. Une de mes mains se dégagea de son emprise et je la plaquais contre sa bouche. Naaaaaaaaaaah trouvons-nous un endroit plus calme Bushnell. Instinctivement ma main se décolla de sa bouche et ouvrit la porte qu’il y avait juste à côté de moi. Je sais pas où nous allions mais en tout cas on y allait. À nous la cave à vin !
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Sloan ne s'attendait pas vraiment à tomber sur Charline à cette soirée. La surprise fut d'autant plus agréable qu'elle était avec ses copines. Pas de mec qui tournait autour, c'était vraiment une bonne chose pour le mental du beau brun. Il y avait beaucoup de monde à cette soirée pourtant, son regard fut rapidement capté par son regard à elle. La brunette avait ce petit quelque chose qu'il ne trouvait chez aucune autre fille. Une attirance physique inévitable mais aussi, un charme fou. Elle était belle au naturelle mais en plus de ça, elle avait un truc en plus. L'Eliot n'arrivait pas à déterminer de quoi il s'agissait mais c'était physique. Il la trouvait magnifique avec un corps de déesse. Elle avait su le charmer et lui envoyait du lourd. Il avait passé des années à la regarder, à la scruter les moindres formes de sa silhouette. Sloan la trouvait féminine à souhait et lorsqu'elle était en petite tenue, il ne faisait pas long feu. Il était comme obnubilé par elle, inévitablement attiré par son corps. Lorsqu'il tomba sur Charline sur soirée, il fut tout de suite mis dans l'ambiance. Elle l'avait chauffé ces dernières semaines et il s'était retenu. Le jeune homme avait de la volonté mais à un moment donné, il restait un homme et ne pouvait pas refouler indéfiniment ses pulsions. Il avait envie d'elle et ne pouvait plus se cacher. C'était certainement pour cette raison qu'il lui avait attrapé le bras et l'avait attiré vers lui. Sloan avait tenu trois secondes et demi avant de se jeter littéralement sur elle. Il l'avait plaqué contre le mur et avait posé ses lèvres fougueusement sur les siennes. Le beau brun ne réfléchissait plus, il n'en était plus capable. Autant, il faisait pas mal de crises colériques de bipolarité. Autant là, c'était beaucoup plus sexuel. C'était bien la première fois qu'il ne pu refouler une telle pulsion. C'était exactement comme une crise de haine. Les émotions qu'il pouvait ressentir étaient très fortes et là clairement, rien que le fait de croiser son regard le fit ressentir une chaleur extrême. Déjà en temps normal, il avait plutôt le sang chaud. Là cela dépassait tout ce qu'il avait pu ressentir auparavant. Il avait envie d'elle. Là, tout de suite, maintenant. Il ne voulait pas réfléchir, il voulait juste la prendre sauvagement contre ce mur. Sloan avait plaqué ses lèvres contre celles de Charline, leurs souffles ne mirent pas longtemps à se mélanger. Leurs langues retrouvaient une complicité beaucoup trop lointaine à son goût. L'Eliot reprenait ses droits avec sa princesse. Il était anormalement à l'aise et se permettait beaucoup de choses. En la plaquant ainsi contre le mur, il ignorait totalement si elle allait répondre à sa provocation. La sentir aussi réceptive à son baiser était une agréable surprise pour lui. Le jeune homme avait rapidement capturé ses mains, emprisonnant totalement Charline. Elle était sous son emprise et cela lui plaisait énormément. C'était un dominateur dans l'âme mais Sloan n'était pas de nature égoïste, il pensait beaucoup au plaisir de sa partenaire. Là ce soir, il en avait rien à foutre, il voulait juste assouvir une pulsion beaucoup trop violente à combattre. Le plaisir montait hyper vite, à vrai dire, il n'avait pas vraiment quitté le beau brun depuis leur dernière partie de jambes en l'air. D'ailleurs c'était quand ? Peu importe, c'était il y a beaucoup trop longtemps à son goût. Sloan se perdait dans ce baiser fougueux, langoureux. Il sentit le dos de Charline se cambrer. Elle lui envoyait clairement du rêve. En la sentant bouger, il se rapprocha toujours un peu plus d'elle. A l'instant même où l'Eliot posa ses lèvres sur elle, il sentit l’érection monter en lui. Elle ne mit pas longtemps avant de se faire totale. Il était fou, transporté par le baiser si intense, si excitant. Il mit fin au baiser et l'embrassa tout le long de son cou. Les yeux fermés, le beau brun laissait ses lèvres et sa langue glisser sur sa peau nue. Il était comme possédé, sa bipolarité rendait la moindre réflexion impossible. De toute façon, il n'avait pas vraiment envie de réfléchir, il voulait juste profiter de Charline, profiter de son corps. Son rythme cardiaque allait fort, Sloan s'emballait totalement. Il n'aurait pas supporter un refus de la part de sa princesse. L’étudiant avait niché sa tête dans son cou et la dévorait de baisers. Il descendait légèrement vers sa poitrine, il était fou. Charline laissa échapper quelques soupirs audibles. L'Eliot se sentait booster par ces soupirs, il voulait la combler de plaisir, il voulait la faire grimper au rideau. Mais surtout, il ne voulait pas se faire repérer. Maladroitement, il retira l'une de ses mains des siennes et vint la plaquer sur la bouche de sa princesse. Ferme ta gueule Charline et laisse moi faire, voilà ce que ça voulait dire. Sensuellement, il remonta dans son cou. Il mouillait sa peau de sa langue, il laisser le désir grimper toujours un peu plus. Sloan était guidé par une pulsion incontrôlable, il se voulait dominant. Et alors qu'il se pensait être le seul à ne pas savoir gérer son irrépressible envie de sexe, il sentit son doigt se mouiller. L'étudiant fronça les sourcils et redressa la tête. Il ouvrit les yeux avec difficulté, il était comme transporté dans le désir brûlant du corps de Charline. Un large sourire s'afficha sur son visage lorsqu'il la vit sucer son doigt. C'était osé mais extrêmement érotique. De quoi alimenter une érection déjà à son maximum. Charline le regarda intensivement et suça son doigt. Sloan inspira profondément et se pinça les lèvres. « Ta langue... » murmura-t-il en regardant son doigt. Oh bordel, elle savait comment s'y prendre avec lui. L'Eliot se colla toujours un peu plus à elle et clairement, il aurait donné n'importe quoi pour lui mettre autre chose dans la bouche. Ouais, ce soir, il était d'humeur perverse. Il sentait sa langue se coller sur son doigt, c'était l'euphorie totale dans sa tête. Malgré tout, il entendit une voix l'appeler. Le beau brun fronça les sourcils et eût du mal à tourner sa tête pour voir qui l'appelait. Qui osait le déranger dans un moment aussi passionnant. Il était perdu et ne savait pas trop quoi faire. Charline enleva son doigt de sa bouche et alors que Sloan reporta son attention sur elle, sa princesse vint à son tour lui mettre la main devant la bouche pour éviter qu'il ne parle. Il ne pu s'empêcher de sourire, son petit numéro avait marché. Elle semblait avoir envie de lui autant que le Bushnell avait envie de la Granger. Il baissa les yeux et vit Charline ouvrir la porte et se faufiler à l'intérieur. A peine avait-elle quitté son emprise, qu'elle lui manquait déjà. Sloan n'en avait pas terminé avec elle et comptait bien aller jusqu'au bout. A son tour, il entra rapidement dans la pièce avant de fermer la porte derrière lui. Il faisait noir complet dans cette cave et l'Eliot chercha à l'aveugle interrupteur sur le côté du mur. Hors de question de faire l'amour dans le noir, il voulait voir Charline prendre du plaisir, il voulait la voir kiffer.  « Putain. » grogna-t-il sans trouver l'interrupteur. La brunette laissa échapper un petit rire sensuel, de quoi lui faire perdre patience. Finalement, Sloan ouvrit la lumière et un large sourire s'afficha sur son visage. Charline avait disparue. C'était une cave à vin immense avec des dizaines de rangées de bouteilles. Elle voulait jouer, ça tombe bien, il était d'humeur coquine. « Si tu crois que tu vas m'échapper aussi facilement, tu me sous-estimes princesse. » lança-t-il dans la cave. Sa voix raisonnait et Charline ne pu s’empêcher de glousser. Amusé par ce petit jeu, Sloan avança dans la cave et parcouru les premiers rayons de bouteilles. Il vit Charline un peu plus loin et tendit le bras pour l'attraper. C'était sans compter sur une demoiselle joueuse et excitée, elle lui échappa littéralement. Sloan rigola et se mit à courir jusqu'au début de la cave où il était il y a quelques secondes à peine. « Viens là. » dit-il en rigolant. Finalement, il la rattrapa bien vite et vint se coller contre elle. Elle était de dos et Sloan enfouit son visage dans son cou. Il l’embrassa langoureusement en passant sensuellement ses mains sur son ventre. Doucement, il passa sa main sous son t-shirt et le remonta jusqu'à son sein. Ok, c'est bon, fini de jouer, il voulait passer aux choses sérieuses. D'un geste un peu brusque, il retira sa main et la fit se retourner pour lui faire face. En croisant son regard, il haussa un sourcil. Sloan ne chercha pas plus longtemps et vint plaquer de nouveau ses lèvres contre les siennes. Prit dans l'euphorie de l'excitation, il la fit reculer de quelques pas. Charline s'arrêta de reculer lorsqu'elle se sentit stopper par une table. L'Eliot posa alors ses mains sur les cuisses de la brunette et la souleva pour la poser sur cette fameuse table. « T'es à moi maintenant. » murmura-t-il égoïstement avant de se coller à elle et de l'embrasser intensément. On ne le tenait plus le Sloan là, on était clairement en train de le perdre.
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