Tu es forte, mais tu n'en a pas conscience... [Pv Micky]

Je dois allez aider Micky qui a un peu de mal avec sa rééducation. Je me dis que je ne peux pas la laisser comme ça. Je prends donc ma voiture pour aller l’amener à l’hôpital. Je me demande bien si elle va accepter de venir avec moi. Mais bon, on arrive enfin sur le lieu de sa rééducation. Elle est de mauvaise humeur, donc, je ne dis rien comme ça, elle va se relaxer un peu. Je me présente tout de même à l’infirmière. « Bonjour madame, je suis un ami de Micky, je viens pour aider aussi enfin si je dois aider en l’encourageant. » Je ne sais pas si je devrais ou pas aider, en tous les cas, elle se prépare. Je patiente, pour voir si elle peut me dire quelque chose ou pas. En tous les cas, je me dis que c’est bien aussi que je patiente gentiment le temps qu’elle me dise quelque chose.

« Tout simplement parce que j’ai envie de t’aider. » Je souris, je ne sais pas si cela va être une bonne chose ou pas, en tous les cas, je vais en profiter pour essayer de la comprendre un peu plus. Je lui dis : « Je…. Je… J’aimerais t’aider, mais si tu veux, je reviens plus tard. » Je ne sais pas si je dois lui dire qu’elle me plait, mais bon, vu sa bonne humeur maussade… Je pense que je vais éviter de le lui dire. Maintenant, je me dis que je ne dois pas non plus lui forcer la main. Je souris, je sais que cela ne va pas forcément l’aider, mais bon, je trouve que pour une fois, je ne peux pas éviter de lui parler. Elle m’a aidé la dernière fois, j’espère qu’elle pourra bien accepter mon aide maintenant. Je patiente un peu, je me dis qu’elle va bien réfléchir et surtout me donner une réponse.

Je ne sais pas si je peux aller aider ou pas, en tous les cas, je suis là pour aider. Je souris, je vois bien qu’elle a du mal à avancer. Je lui dis pour la rassurer : « Je reste, je ne bouge pas. » de plus, je ne vois pas trop ce que je peux dire par la suite. Seulement, je comprends un peu plus la chose. Je me demande bien si je dois ou pas continuer à faire comme si elle ne me plaisait pas. Je préfère rester calme alors que j’ai envie de l’aider encore plus. je lui dis : « Si tu fais ton cours correctement, je t’emmène à ton café préféré, ou je t’emmène à la piscine après pour soulager tes jambes, au choix. » Je ne sais pas si elle va accepter ou pas, en tous les cas, je trouve que cela peut bien se passer. Je réalise que finalement, je peux aussi être gentil et l’encourager. « Tu es forte, tu peux y arriver. » Je sais que je ne peux pas l’aider, mais, je peux essayer de lui parler pour l’encourager.

Je la regarde dans les yeux, je lui dis avec douceur : « Une torture qui est là pour te muscler les jambes. Tu en as besoin si tu veux courir après les jolis garçons. » Je souris, je préfère pour une fois ne pas trop me prendre la tête. Je souris, je tente de lui faire comprendre qu’elle doit aller mieux. Je lui dis en riant : « On ira au café et à la piscine promis. » Je ne vois pas trop si elle va être contente ou pas, en tous les cas, je préfère qu’il soit mieux pour moi que je reste calme pour l’aider encore plus. Je tente de voir les choses sous un bon angle : je dois aider Micky. Elle le mérite. Je lui dis sérieusement : « Petit scarabée, tu as une force intérieur. » Maintenant, je réalise que j’ai fait une blague pour essayer de la faire sourire un peu. De plus, je trouve qu’elle a sans doute assez d’efforts à faire, mais, j’ai tellement envie qu’elle sourit à nouveau.

« Parce que je compte bien te courir après et te faire succomber à mon charme de petit français. » Je ris tout en étant sérieux ce qui va sans doute être une bonne chose. Je sais qu’elle va comprendre le double sens. « D’accord mon petit lapin tout gentil, à moins que tu ne préfères le petit scarabée ? » Je ris, je vais essayer de me mettre à une autre place pour aller l’aider. Je trouve que cela va sans doute lui montrer que je vais toujours être là pour elle. De plus, il est bien amusant aussi pour moi de trouver les choses pour lui remonter le moral. Maintenant, je m’aperçois que je vais avoir une petite chance pour qu’elle aille bien mieux. Je souris, je suis contente de pouvoir lui parler un peu plus. En plus, j’ai comme la sensation que je vais pouvoir lui parler plus souvent et surtout l’aider au niveau moral.