Parfois sans qu'il ne sache pourquoi l'envie d'aller à la Eliot House le prenait et il y allait. Sûrement parce qu'elle allait devenir sa propre maison, qu'il se sentait un peu comme chez lui avec des membres de sa famille. Enfin, il disait cela, mais il n'en savait trop rien. Le bouclé passa sa langue sur ses lèvres étant au volant de sa voiture en direction de sa propre confrérie, il espérait vraiment qu'il n'y aurait pas trop de monde. Bon, il ne connaissait pas tout le monde et il savait qu'il ne pourrait pas aimer tout le monde, mais il n'avait surtout pas envie de se prendre la tête durant cette journée. Ael sortitsortit de sa voiture tout en replaçant ses lunettes sur le nez pour protéger ses yeux bleus, malheureusement s'il ne le faisait pas, il ne doutait pas qu'un mal de tête allait le prendre à cause du soleil. Le bouclé passa sa main dans ses cheveux encore une fois avant de marcher les mains dans les poches en direction de la maison voulant juste aller voir qui était présent.
La Eliot House, cette maison où j'effectuerais mon bizutage en septembre prochain? Est-ce que j'appréhende cela ? Absolument pas, ça sera une partie de rigolade, après tout ça ne sera aucunement le premier bizutage que je ferais, ayant fait mon bizutage chez les Chi Psi à Princeton en septembre dernier. Alors ouais, je suppose que ça ne doit pas être spécialement différent, donc je sais déjà que j'en serais membre une fois que mon bizut aura compris ce que je vaux, reste plus qu'à attendre septembre pour que je puisse y prétendre. Pourtant, même si je ne suis encore qu'un futur membre de cette maison, je me permets déjà de la squatter, de m'incruster dedans comme le faire n'importe quel bizut où membre de cette maison. Sans gêne ? Totalement et je me fiche un peu des remarques que l'on pourrait me faire, j'ai pas besoin de l'avis des autres pour vivre. Ainsi, je me permets déjà de fouiller les placards et le frigo dans la cuisine de la EH. Fouineur ? Ouais, un peu, parce que ça va clairement me permettre de savoir s'ils sont réellement du genre à se la jouer fricard aussi en goût culinaire ou si c'est juste une putain de réputation mensongère que les Eliots s'amusent à cultiver alors que derrière, ce n'est pas le cas. Je me permets donc de fuiner de la sorte pour savoir s'ils répondent bien à mes critères, ignorant le fait que quelqu'un pourrait trouver cela suspect que je fouille de la sorte, en même temps, laisser la porte ouvert de leur maison, c'est pas le meilleur plan, même si je me doute qu'il doit y avoir des bleus présentement dans la maison.
Ce qui était bien avec la EH, c’est que la porte n’était jamais réellement fermée. À croire qu’ils n’avaient pas peur de ce qu’il pouvait arriver ou alors, ils se pensaient tellement riches qu’ils n’avaient pas peur pour racheter quoi que ce soit pour cette maison. Enfin, le jeune homme ne savait pas réellement, mais avec ce qui s’était passé dans sa propre maison, il était heureux de ne pas vivre ici. Ce n’était pas la sensation la plus agréable du monde de savoir qu’une personne avait été capable de fouiller dans vos propres affaires et surtout part une jeune femme. Mais le brun préférait se taire, ils faisaient ce qu’ils voulaient parce que ce n’était pas sa maison, parce qu’il ne vivait pas ici et il n’avait pensé à le faire. Il ouvrit la porte avant de remettre ses mains dans ses poches marchant dans cette grande maison, ce qui était évident, c’était qu’on ne pouvait nier qu’ils étaient la maison avec les membres les plus riches. C’était assez… Hautain, il fallait le dire, mais qu’importe. Ils étaient dans leur maison, c’était à leur image et personne ne pourrait dire l’inverse. Ael passa sa main dans ses cheveux continuant de marcher profitant du silence présent dans la maison, elle était plutôt tranquille ce qui devait être l’inverse chez les Verts. Il fronça les sourcils en entendant du bruit dans la cuisine, il marcha en direction de celle-ci, les mains toujours dans ses poches avant de pencher la tête pour voir un jeune homme en train de fouiller sans aucune gêne. Ael ne l’avait jamais vu dans la maison, ce qui était étrange parce que les inconnus n’entraient pas comme cela et ne se sentait pas aussi facilement à l’aise que lui. « Tu cherches quelque chose peut-être ? » Demanda-t-il d’une voix calme tout en le regardant dans les yeux avant de continuer. « Tu es chez les Bleus ou tu fouilles juste par plaisir ? »
Alors que je m'amuse à fouiller pour voir si les Eliots sont bel et bien des petits richards jusqu'au bout des ongles, la porte s'ouvre derrière moi, mais je ne change pas mon attitude, continuant d'examiner les placards en espérant ne tomber sur aucun produit alimentaire de sous-marque. Je saisi alors les céréales pour regarder la boite et soupire à ce constat. C'est justement à ce moment-là qu'on m'interpelle un peu. Me retournant alors, je fais un grand sourire au gars qui vient d'entrer dans la pièce et que je n'avais pas encore daigné regarder jusque-là. "Non, pas vraiment, j'examine juste." Lui répondis-je vaguement, parce que c'était le cas, je ne cherchais rien en particulier, hormis le fais que je venais de sortir la boite de cornflakes du placard parce que c'était une sous-marque, je n'avais à proprement parlé touché à rien d'autre. Soutenant son regard sans honte, ni même crainte de sa part, après tout, que pourrait-il me faire ? M'en coller une et me jarreter de la maison des bleus ? Ouais et après ? Rien, parce qu'il n'y aurait aucun intérêt à faire ne cela. J'entends alors sa question, j'hausse alors les épaules. "Non et non." Dis-je avec un petit mouvement de la tête comme si je le prenais un peu pour un con, mais en même temps, il était normal qu'il se pose ce genre de question. "J'assure juste mes intérêts. Je vous rejoints en septembre prochain et je voulais juste voir si ce n'était pas qu'une apparence pour vous d'être des petits richards, mais à voir les placards de la cuisine, ça me convient, hormis l'idiot qui mange ces céréales… Il doit avoir des goûts de chiottes." Dis-je en faisant un petit mouvement de la tête pour montrer au jeune homme la boite de céréales que j'ai laissées sur le plan de travail. "Et toi, t'es déjà un Eliot ou t'es encore bizut ?" Le questionnais-je finalement en retour, après tout, si je pouvais déjà soutirer des informations sur le bizutage, même si je ne le craignais pas, je ne dirais pas.
C’était assez étrange généralement les personnes vivant dans cette maison n’avait pas besoin de fouiller pour trouver…il ne savait quoi. Elles connaissaient cette maison comme leur poche alors, pourquoi se mettre à fouiller comme cela ? Le brun se posait réellement cette question parce que tout était étrange durant ce moment, ce moment pendant lequel il regardait le jeune blond avant qu’il ne prenne la parole. « Tu examines ? » Ce mec était plus étrange qu’il ne pouvait le croire dans un premier temps, comment une personne pouvait examiner si elle vivait ici ? Parce que le brun était toujours certain que cette personne était dans la maison, qu’elle faisait partie des bleus, c’était donc pour cette raison qu’elle était présente. Mais en faîte, non, il se faisait une fausse idée, il était tellement loin de la vérité et il resta complètement sur le cul ne s’attendant pas à une telle réponse venant de la part du jeune homme qui occupait la cuisine des Bleus. Il se colla contre l’encadrement ne cachant pas qu’il était en train de le regarder de haut, comme ci, c’était à lui de savoir s’il était bon pour les Bleus ou pas. « Je pense que c’est à nous de nous assurer de l’intérêt de ta demande, tu ne penses pas ? Qui nous dis que tu seras une bonne recrue l’an prochain. » Répondit-il sans jamais perdre son sourire avant de passer sa langue sur ses lèvres tout en haussant les épaules doucement. « Je ne saurais te dire à qui il appartient parce que malheureusement je ne vis pas dans cette maison. Mais je crois que c’est le genre de choses que ma colocataire adore manger alors, tu sais, je ne fais plus réellement attention. » Ses épaules se haussèrent doucement en répondant au jeune homme, le brun savait que lui et Jolene ne venaient pas du même monde et ne manger pas du tout la même chose. « Mon bizutage est bientôt fini donc un Eliot dans très peu de temps. » Dit-il sans soucis de dire une telle chose, il attendait son dernier défi pour faire en sorte qu’il soit totalement un bleu et il savait que ça ne serait pas si difficile que ça.
J'acquiesce quand il répète le terme que j'ai employé pour répondre à sa question. Parce que non, j'allais pas répéter encore après lui ce mot. S'il est pas capable de comprendre ce que ça veut dire, ce n'est pas ma faute et je doute que ça soit à cause de mon accent Suèdois qu'il ne pige pas ce mot étant donné qu'il vient de le répéter comme il faut. Je me tourne ensuite vers lui, lui accordant enfin, un peu d'attention alors qu'il me questionne, comme pourrait le faire un flic. Sérieux, il se sent obligé de me poser autant de questions ? Genre il a que ça a faire ? Enfin, en même temps, je suis quelqu'un d'intéressant alors, il est normal qu'il s'intéresse de cette façon à mon cas. Alors ouais, je vais lui répondre, ça ne me pose pas de problème. J'hausse alors un sourcil quand il me dit que ça serait plutôt à eux de se questionner sur ma valeur. "Parce que tu penses réellement que j'ai pas d'intérêt ? Ça serait l cas, tu ne serais pas là occupé à t'intéresser à ce que je peux faire, parce qu'il me semble que j'ai pas l'air d'être un voleur." Je croise alors les bras, un sourire en coin sur les lèvres alors que je m'appuie contre le plan de travail en le regardant toujours et l'écoutant débiter, ce qui pour moi est, des conneries. Je fronce les sourcils alors qu'il me parle des goûts merdique de sa colocataire. "Quitte à manger des céréales, autant près de la marque, la qualité est meilleure, ça a plus de goût que cette merde." Non, je n'avais jamais mangé cela, parce que c'est du bas de gammes et cela n'est donc pas digne d'intérêt. "Ouais, donc, en fait, t'es pas encore un Eliot non plus. T'as pas vraiment de moral à me faire quoi."
hj: désolé, j'étais persuadé de t'avoir déjà répondu oo
Bon, le petit ne se prenait vraiment pas pour de la merde, c’était un fait que personne ne pouvait contester, mais ils étaient tous un peu comme cela dans la grande maison qu’était celle des Bleus. N’était-ce pas l’argent qui faisait cela ? Sûrement, quand on se trouvait avec tout-en-un claquement de doigts, personne ne pouvait ne pas avoir un ego très haut placé. Il était comme eux, il montrait à tous qu’il avait beaucoup d’argents et qu’il en profitait pleinement, même si parfois, il vivait comme un jeune homme comme un autre, comme sa colocataire par exemple. Il était une personne comme une autre, la seule différence était qu’il avait de l’argent, beaucoup de zéro sur un compte en banque bel et bien fourni par son cher paternel. C’était comme cela qu’il liait les liens ensemble, qu’ils avaient une relation entre un père et sa descendance. « Ce n’est pas à moi de décider. Ce que je vois, c’est juste un homme qui fouille dans les placards, je ne porte pas très grand intérêt à une telle chose. » Sa langue passa sur ses lèvres encore une fois sachant que lui se foutait totalement de savoir s’il allait être parmi eux en septembre ou pas du tout. Ael savait qu’il n’allait pas faire attention aux petits nouveaux, qu’il n’allait pas les prendre par la main pour les aider sauf Micky, mais elle l’aidait aussi alors, dans un sens ce n’était pas si grave que cela. Ael allait juste s’inquiéter pour elle, pour ce qu’elle allait devenir parce qu’elle était son amie, mais les autres ce n’était aucunement son souci, chacun sa merde comme on pouvait dire. « Toi, tu es vraiment dans ton monde. Je suis presque certain que tu ne te mélanges pas aux autres. » Il sourit en coin avant d’avancer dans la pièce pour s’installer sur le plan de travail laissant ses jambes pendre dans le vide et un rire sortit de sa bouche ne pouvant pas faire autrement, parce qu’il était foutrement con ce gamin. « Je suis plus près de l’être que toi mon vieux, donc je pense être parfaitement placé pour te faire la morale. »
Je lui laisse entendre un rire amusé à sa réponse concernant cette histoire d'intérêt. "Ah ouais ? Donc tu ne m'as aucunement questionné sur tout cela, j'ai donc rêvé notre échange de là tout de suite." Ironisais-je alors pour lui faire comprendre que si, il a avait bel et bien eu un intérêt pour ce que je faisais et moi-même. Il faut arrêté de se leurrer ou même de croire que le mot intérêt signifie grande passion ou même tension sexuel, c'est juste avoir pendant un instant donné un intérêt pour quelque chose, être intrigué par quelqu'un, un geste, une parole, cela suscite notre questionnement et donc notre intérêt. CQFD. Bref, je me vois mal continuer à lui expliquer tout ça, s'il est pas assez intelligent pour le savoir de lui-même je vais pas l'aider, j'ai d'autre chose à faire que de m'occuper des attardes au final.
J'arque alors un sourcil à ce qu'il me dit concernant mon attitude, sur comment je pourrais agir avec les autres. "Dans mon monde ? A t'entendre on dirait que j'rêve éveillé, sauf que c'est pas l'cas du tout. Tu connaîtrais mon nom, tu saurais que mon monde peut faire tourner l'tien." Prétentieux ? Non absolument pas... Je sais juste que Kamprad c'est un nom bien connu à cause de la société créée par mon grand-père, j'ai nommé IKEA. "Et arrête de t'faire des films sur mon compte, j'peux parfaitement m'mêlé au p'tit peuple, jusqu'ici, si j'dois vivre ici, j'veux pas voir des trucs comme ça dés mon réveil vois-tu." Parce que c'est une horreur, c'est d'un mauvais goût gustatif... Bref. Je le fixe, le laissant s'approcher comme bon lui semble en restant adosser au plan de travail. "Ouais, s'tu l'dit. C'est pas toi qui vas m'empêcher de devenir un Eliot en Septembre prochain donc j'm'en bats un peu les couilles de ta morale tu vois. Parce que si t'es du genre à défendre la veuve et l'orphelin, autant directement arrêté d'causé maintenant, j'tiens pas déjà à me prendre la tête."
Il rit encore une fois ne pouvant pas s’en empêcher, il était évident qu’il allait rencontrer ce genre de personne dans la EH, mais il ne pensait vraiment pas à ce point, mais qu’importe chacun vivait sa vie à sa façon et il était assez heureux de voir que lui n’était pas dans les extrêmes, qu’il y avait beaucoup plus fou que lui. « Je t’ai juste demandé ce que tu faisais ici parce que je ne t’avais jamais vu avant, ça ne veut pas dire que j’ai de l’intérêt pour toi. C’est une question qu’on peut poser à n’importe qui, mais si tu prends ça pour l’intérêt soit. » Dit-il avant de rire encore une fois, il pensait réellement que le blond était le genre de personne qui avait besoin de l’intérêt se porte sur lui, que tout le monde le regarde pour qu’on sache qui il était, mais il allait vite redescendre parce que les choses ne se passaient jamais comme on le voulait. Ael passa sa langue sur ses lèvres doucement marchant dans la cuisine, finalement sa visite était bien plus drôle qu’il n’aurait pu le croire dans le fond. « Je ne pense pas, non. » Il secoua sa tête avant de reprendre. « Je n’ai besoin de personne pour que mon monde tourne surtout quand on a du sang royal dans ses veines, tu ne penses pas ? » C’était le cas, même si ce n’était pas ses parents, c’était un fait. Il avait du sang royal dans ses veines alors, qu’est-ce que ce mec pouvait avoir de plus que lui ? Rien. Pathétique, c’était la seule à laquelle il était en train de penser en entendant le discours du jeune homme, c’était réellement n’importe quoi. Il secoua doucement la tête avant de glisser sa langue le long de ses lèvres doucement ne répondant rien sachant que le sujet ne prendrait jamais fin, il avait des goûts de luxe, mais malheureusement ce n’était pas pour tout le monde et le pauvre blondinet devra faire avec. « Pourquoi je m’embêterais à faire en sorte que tu ne rentres pas ici ? J’ai autre chose à faire que de me prendre la tête avec ce que tu vas faire plus tard, ce qu’on serait capable de te faire faire. »
J'hausse un sourcil en l'entendant rire, ne réagissant qu'en continuant de le regarder. Franchement, je le trouve con ce type, je sais pas pourquoi, il a une approche qui ne me plait pas réellement... J'espère vraiment que tout les Eliots ne sont pas comme lui, sinon, je ferais bien de ne même pas tenter de faire mon bizutage. Ecoutant donc ses propos, c'est à mon tour de rire parce qu'il ne semble réellement pas comprendre ce que je veux dire. "Ma présence ici, à suscité ton intérêt, c'est pour cela que tu t'es arrêté et que tu m'as questionné, donc tu t'es forcément intéresser à moi pendant un instant même si tu dis le contraire maintenant. Et je ne parle pas que de moi. Mais bon, si tu veux pas comprendre, j'vais pas commencer à te donner des cours, j'pense que t'es assez grand pour savoir ce que c'est que de suscité l'intérêt, que ça soit dans le monde du marketing qu'au quotidien." Parce que non, je me vois mal commencé à lui expliquer tout ça, parce que s'il ne veut pas comprendre que l'on pose des questions que sur un sujet, un point qui nous intéresse, c'est pas ma faute.
Une nouvelle fois, j'arcque un sourcil en entendant sa réponse. Il ne pense pas ? Je ris, non, mais réellement je rigole, surtout en entendant que monsieur à du sang royal. A la bonheur. Sauf que sans entreprise comme celle de ma famille, le monsieur héritier de je ne sais quel pays, n'aurait pas d'économie florissante dans son petit royaume, donc, si mon monde, fait tourner le sien. Lui, il n'est là que pour faire des beaux sourires, faire rêver des donzelles, moi, je suis là pour créer l'offre et la demande, gérer tout ça, et non, je ne suis pas du tout royaliste. Elitiste oui, royaliste non. Mais lui, à l'entendre parler, on dirait que c'est un petit pauvre qu'est né dans une famille avec trop d'argent. Enfin, il me tape déjà un peu sur le système étrangement. Alors non, je ne vais pas commencer à débattre avec lui de l'importance de grande société dans un pays, parce que de toute façon, il ne pigerait rien. Pauvre de lui... Cela montre bien que l'argent n'offre pas tout...
Je l'écoute alors me répondre quand à la possibilité qu'il me fasse chier en septembre prochain, il me fait alors bien comprendre qu'il ne bougera pas. Je souris. " à la bonheur." Parce que ouais, j'aurais la paix, enfin, espérons que monsieur ne soit pas bizuteur et que je ne tombe pas sur lui, sinon, il va réellement me sacquer, mais je suis pas du genre à m'écraser surtout devant des idiots fini.