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Les heures s’enchainaient depuis quelques jours mais Bonaventure ne les comptait pas. Le Summer Camp approchait et s’il voulait pouvoir en profiter, il avait intérêt à prendre toutes les heures possibles et inimaginables surtout qu’il devait toujours convaincre le foutu médecin légiste de le prendre en stage l’année prochaine pour sa spécialisation. Le vieux médecin était du genre à être un vrai tyran d’après ce qu’il avait compris mais cela ne lui faisait pas peur, il avait supporté beaucoup plus chiant dans sa vie. « Je vais en pause » déclara-t-il avant d’aller dans les vestiaires pour aller chercher son paquet de clope ainsi que son téléphone portable. Il avait quelques sms de ses parents notamment de sa mère qui s’inquiétait de savoir s’il supportait bien le ramadan. Bordel, sa mère était une mère poule en puissance. Il lui répondit rapidement et se dirigea vers la porte de service pour pouvoir prendre un peu l’air. Ses yeux lui piquaient mais il s’en foutait. Il n’avait jamais eu besoin de beaucoup d’heures de sommeil. C’était juste un peu plus compliqué en raison de son jeune mais en dehors de cela, tout allait bien. Sa clope terminée, il l’écrasa et retourna dans les vestiaires histoire de pouvoir ranger ses affaires. Une jeune femme s’y trouvait et lui tournait le dos. « Salut ! » commença-t-il avec un grand sourire avenant qu’il perdit tout aussitôt. « Ah… toi… Milles excuses votre altesse, je n’avais pas vu que c’était votre illustre personne » lâcha-t-il avec ironie en dissimulant sa surprise de voir Leila Cartwith de retour parmi le commun des mortels. Dire qu’elle avait été sa meilleure amie et qu’il avait été heureux à un moment donné de la retrouver avant de comprendre que mademoiselle pétait plus haut que son cul -autant dire qu’il lui tenait toujours rancune. Bonaventure se dirigea vers son casier qu’il ouvrit sans plus se préoccuper d’elle.

@Leïla Cartwith

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Assise sur un tabouret, je m'attelais à recoudre l'arcade sourcilière d'une jeune femme qui me racontait comment elle s'était fait cela. Je n'en avais rien à foutre de savoir qu'elle avait glissé près de sa piscine et était tombée. Franchement, qu'elle se soit fait ça en tombant, en se prenant un poteau ou en se battant m'était bien égal. " Si vous ne voulez pas ressembler à Frankenstein, je vous conseille d'arrêter de bouger " Lâchais-je en la dévisageant. Non mais sérieusement, j'ai une aiguille dans les mains, à quelques centimètres de ton oeil, je recouds ton visage alors ferme ta bouche et regarde devant toi. Rapidement, un lourd silence s'impose entre nous deux et je préfère largement ça à ces blabla sans intérêt. Je termine les points, coupe le fil, lui colle un pansement par dessus et la quitte. " L'infirmier va venir rapidement " Lançais-je sans la regarder. Une patiente comme une autre, rien à secouer quoi. Je me dirige vers mon ami infirmier et soupire. " Moi qui pensait que j'allais pouvoir faire des trucs cool en devant la n°2 des urgences... " Déception. Et je n'aime pas être déçue mais alors pas du tout. Je suis fatiguée, vraiment. Cette autre blonde s'est barrée tranquillement à Paris et j'ai récupérer sa place grâce à mon travail acharné. Mais aujourd'hui est un jour 'sans'. Je me dirige vers les vestiaires pour aller prendre mon porte feuille. J'ai besoin d'une barre de céréales au chocolat du distributeur du coin. Quelqu'un entre et je grimace en entendant ce "salut". On vit pas dans le même monde mon grand alors baisse d'un ton s'il te plait. Je me tourne et croise le regard de Bonaventure. Ugh, c'est pas possible ! C'est vraiment ridicule là ! " Piapiapiaaaaaa. Mon illustre personne te dit bien des choses " Soupirais-je en levant les yeux au ciel. " Tu pues le tabac froid c'est une infection " Lâchais-je en claquant la langue contre mon palais. " On est pas sensé ne pas fumer pendant le ramadan ? " Pas d'alcool, pas de clope, pas de sexe ? Et surtout, pas de bouffe ni de boisson avant qu'il fasse vraiment nuit ? Avec un frère afghan - défunt - qui s'est découvert un amour pour tout ça une fois qu'il a eu quinze ans, je m'y connais. " Même les cadavres sur lesquels tu bosses sentent meilleurs que toi " Crachais-je, en souriant largement. Merci bien les retrouvailles !
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Revoir Leïla n’était pas franchement dans ses plans. Bonaventure se souvenait très bien du mépris qu’elle avait usé à son égard lors de leur première retrouvaille. Apparemment, il n’était plus aussi intéressant pour elle que lorsqu’ils étaient gamins. « Oh, elle me dit des choses maintenant ? » lâcha-t-il avec un grand sourire narquois. Cette femme avait bien changé, devenant une petite princesse imbue de sa personne et surtout complétement barrée. « Si on te pose la question, tu auras qu’à faire comme si ça t’intéresse pas… Ah oui, c’est ce que tu fais déjà la plupart du temps… Si je m’abuse pour te parler, il faut soit avoir un compte en banque bien garni soit une bonne position sociale. Madame a ses exigences » rétorqua-t-il en haussant les épaules. Il n’en avait rien à faire de son opinion tout comme il savait qu’elle se fichait bien de la sienne. Leila lui était devenue antipathique et malgré lui, une petite part le regrettait. Elle avait été sa meilleure amie, celle pour qui, il aurait tout donné enfant. Maintenant, ils étaient deux adultes ayant pris des chemins différents songea-t-il. Trop différents pour pouvoir se rejoindre à nouveau. Bonaventure enleva le haut de sa tenue. Il avait besoin de prendre une douche pour se remettre dans le bain sinon il allait très certainement se taper une sieste avant l’heure. « Au moins, ils sont bien plus intéressant que les conneries qui sortent de ta bouche Sissi l’impératrice » soupira-t-il en enlevant son pantalon pour se retrouver en boxer devant elle. Il se fichait bien de la mettre mal à l’aise ou non, c’était le cadet de ses soucis.

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Je le regarde et soupire. " Je t'emmerde Weasley " Lâchais-je avec mon plus beau sourire. Il avait disparu de ma vie du jour au lendemain. Je savais bien que ce n'était pas de sa faute mais je ne supportais pas de le voir ici ou ailleurs. Le voir faisait remonter tout ce que j'avais ressenti et vécu lors de nos douze ans, ces moments tristes, douloureux, ces moments qui auraient du nous garder ensemble jusqu'à la fin des temps et qui avaient fini par nous séparer. Ma famille avait tout fait pour l'éloigner de moi - mon père du moins - et ils avaient réussi. Weasley, poubelle. Il était secondaire, comme dans Harry Potter après tout. Ce n'était que "l'ami de"... " Excuse moi de ne pas me rabaisser au niveau de certains " Lançais-je en haussant les épaules. Bonaventure pouvait dire ce qu'il voulait, les mots qu'il utilisait, les critiques à mon égard me passaient par au dessus. J'avais entendu pire et venant de personnes plus proches. Comme Leevy quoi. Je l'écoute et ris. " En même temps... Ils ne parlent pas. Il semblerait que ton degré de sociabilité soit toujours à ras les pâquerettes... Si les maccabés c'est ton délire, tant mieux " Lançais-je en haussant les épaules, le regardant se déshabiller devant moi. Il me fait quoi là ? " Et t'es nudiste en plus de ça ? " C'est qu'il les accumule le petit. Je le regarde et tire non-chalament sur son boxer, découvrant ses fesses. Ses fesses qui ont l'air tout ce qu'il y a de plus musclés. " T'as oublié quelque chose " Soufflais-je en souriant.
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Les amabilités fusaient entre Leïla et lui et Bonaventure malgré lui, se prenait au jeu. C’était malsain et il s’en voulait car dans le fond, elle restait une personne importante de son passé mais voilà… le terme était dit : passé. Ils avaient changé, ils n’étaient plus des gamins de douze ans mais de jeunes adultes. « Pour cela, il faudrait que tu saches faire preuve d’humilité mais c’est pas ton fort hein Sissi » rétorqua-t-il en haussant les épaules à son tour. Il avait vraiment été peiné lors de leurs premières retrouvailles. Le fait qu’elle ne le calcule pas, qu’elle ne veuille même pas lui adresser la parole parce qu’il n’en valait plus la peine… bordel, elle l’avait pas seulement blessé dans ses bons sentiments, elle avait mis à mal son orgueil, son amour propre. Or, Bonaventure avait déjà bien assez de ses problèmes physiques pour être en prime se laisser traiter comme de la merde et en demander encore. « Vaut mieux fréquenter des macchabés que des nanas qui pètent plus haut que leur cul et qui s’imaginent qu’elles valent bien mieux que les autres parce qu’elles ont du fric » répondit-il tout en se déshabillant. Il avait besoin de prendre une bonne douche et sa présence l’importait peu. « Pourquoi, t’es une vierge effarouchée peut-être ? » contre-attaqua-t-il avant qu’elle se s’approche et ne tire sur son boxer. « Tiens, ça te dérange plus que je sois nudiste ? » lâcha-t-il avant de balancer sa serviette en travers de son épaule et de lui faire face. Sa fierté le poussait à se conduire ainsi mais Bonaventure n’était pas un Quincy pour rien non plus. Cela l’emmerdait de perdre Leïla mais pouvait-il réellement s’entendre avec elle ? Bonne question.
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Sa voix m'irrite, j'ai envie de lui arracher les yeux mais, en même temps, me contenter de le regarder sans toucher, sans lui arracher ses fringues est l'une des choses les plus difficiles qu'il m'est arrivé de faire depuis un bon bout de temps. En temps normal, quand je veux, j'ai. Mais là, c'est une autre histoire. Je le regarde et souris légèrement. Ça ne sert à rien de s'énerver après tout. " Tu sais toujours comment je m'appelle rassure ? Ou faut que je te remette les idées en place ? " Sisi. Non mais il va arrêter oui ?! Les jeux de rôle c'est totalement mon truc mais il ne faut pas abuser non plus. Surtout pas dans un moment comme ça. Je l'écoute et souris. Bouffe ou sois bouffé. Fais peur avant qu'on te fasse peur. Et de savoir que mon argent pouvait faire quelque chose à Bonaventure me faisait sourire largement. " On ne mélange pas les serviettes et les torchons, c'est tout " Qu'on remette les choses en contexte et ce, sur le champ. Je l'avais mis de côté de la sorte parce qu'on m'avait obligé. Il n'était surement pas au courant mais quand papa Cartwith te demande de faire quelque chose, tu fermes ta gueule ou tu le fais. Je n'ai jamais eu peur de mon père mais bon, j'évite de me frotter un peu trop à lui quand même. Une vierge effarouchée ? Moi ? Je me retiens de rire. J'ai plutôt tout de la castratrice qu'autre chose. " Ça ne m'a jamais gêné. C'est juste que je pensais que t'étais un peu plus pudique " Bonaventure n'avait rien du mec qui se balade à moitié à poil devant une femme. Enfin, le Bonaventure que je connaissais était comme ça mais visiblement, il avait bien changé. " Allez, va donc sous la douche, sors de ma vue " Lâchais-je avec un large sourire. Qu'il entre dans les douches et plus vite que ça !
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Embêter Leïla était la dernière chose qu’il me restait. Elle m’avait blessé dans mon orgueil mais aussi dans ce sentiment d’amitié que j’avais toujours cru inaltérable. Cette femme était si différente de celle qu’il avait connu autrefois gamin. Ils avaient changé, c’était normal mais là.. C’était comme s’il n’avait jamais existé à ses yeux et ce constat lui donnait un goût d’amertume dans la bouche. Bonaventure était pourtant pas du genre à montrer ses émotions, à montrer ses faiblesses mais face à elle, il n’y arrivait pas alors il mordait pour ne pas être mordu le premier. « Hum… il me semble que je m’en souviens mais Sissi te va tellement bien au teint princesse Leïla » rétorqua-t-il imperturbable. A quoi ça rimait franchement ? Ils étaient en train de se chamailler comme deux gamins et le pire, c’est qu’il y prenait un certain plaisir à l’asticoter de la sorte. « Ouais, les torchons et les serviettes… Bah écoute, personne te force à me parler » haussa-t-il des épaules.

Le besoin de prendre une douche froide devenait presque vital tant il avait besoin de calmer ses nerfs. Leïla n’imaginait pas combien de fois il avait pu être traité avec autant de distance, autant de mépris. Il était pourtant le fils d’un sénateur, son compte en banque était fourni mais il restait ce foutu gamin adopté, la tâche dans le monde parfait de cette aristocratie nauséabonde. « Je suis pas nu devant toi je te signale ! Et puis, pour être gêné, faudrait déjà que je fasse fît de ta présence » haussa-t-il les épaules en attrapant sa serviette et son gel douche, bien décidé à oublier cette rencontre, à faire comme si elle n’avait jamais existé mais le gamin en lui n’y arrivait pas. Leïla avait été sa meilleure amie, celle avec qui, il avait commis la plus grosse erreur de toute sa vie… Une culpabilité qui encore aujourd’hui, continuait de le ronger. Arrivé devant la douche, Bonaventure se débarrassa de son boxer pour mieux faire couler l’eau chaude sur son corps épuisé par une nouvelle journée de ramadan.

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" Oui, j'ai tout d'une impératrice. Le pouvoir, la classe... " L'argent, les belles robes, les soirées mondaines où les hommes passent leur temps à me courtiser. Oui, rien que ça. Mais je ne vais pas m'étaler face à lui, ce serait une perte de temps et même si j'aime le pousser à bout, je sais que ce n'est que partie remise. Je l'écoute et pose une main sur mon coeur, ouvrant la bouche, faussement vexée. " Tu sais, des fois on a pas le choix " Et j'hausse les épaules. Bien entendu que j'ai le choix avec Bonaventure, avec tout le monde. Je pourrais partir mais le regarder se déshabiller devant mes yeux est plus intéressants. Et le faire chier me faire sourire. Il le mérite, vraiment. Parce qu'il est peut être blessé de mon comportement mais je pensais vraiment - petite - que rien ni personne ne pourrait nous séparer. On se l'était promis. Et si j'avais baissé les bras, et bien lui aussi. Je refusais de porter le blâme de cette histoire toute seule sur mes épaules. Je l'écoute et souris. " C'est qu'il mord en plus de ça " Que c'est intéressant tout d'un coup... Certes, il n'est pas nu mais il a carrément les fesses à l'air depuis que j'ai tiré sur son boxer et il n'a pas pris le soin de le remonter. Il me nargue mais il est bien trop fier pour l'avouer. Soit. Je le regarde filer sous la douche et j'entends rapidement l'eau couler. Un large sourire se dessine sur mon visage alors que je retire ma tenue, mes sous vêtements et file le rejoindre, nue, sans serviette pour me couvrir. Je me faufile doucement dans la cabine de douche et mords ma lèvre inférieure en le voyant de dos, musclé comme peu de gens le sont. Et ces tatouages... Je ne fais aucun bruit et reste là à le regarder, à le décortiquer, pressée qu'il se tourne et me fasse face.
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Cela ne servait à rien de lui parler, elle camperait sur ses positions et lui aussi. Bonaventure aurait aimé pourtant que les choses soient différentes. Pourquoi ? Pour qu’elle puisse l’aider dans son enquête. Cela faisait des années qu’il vivait avec la culpabilité d’avoir entrainé la mort d’un innocent. Ils avaient été et seraient toujours coupable. Toutefois, le Quincy savait que dans l’état actuel des choses, cela ne servait à rien. Leila lui rirait au nez avant de tourner les talons. Un homme mort, un innocent… Avait-il seulement un peu de valeur à ses yeux ? Cet homme était mort à cause de leur inconscience, à cause d’un mensonge car il avait cru voir cet homme dans cette ruelle. Elle avait très certainement dû passer à autre chose comme elle avait nié leur amitié à leurs premières retrouvailles. « Faut croire que oui ! » lâcha-t-il avant de la laisser. Bonaventure savait parfaitement qu’il avait les fesses à l’air mais sa fierté l’empêchait d’en manifester une quelconque gêne.

La douche lui apporta un réconfort certain tandis que les bras appuyés de chaque côté de la cabine, il offrait sa nuque à la chaleur du jet. Cela faisait un bien fou de se détendre mais un léger courant d’air derrière lui le fit se figer. Elle n’avait tout de même pas osé ?! « Leïla, dégage de suite de cette cabine de douche » grommela-t-il sans oser se retourner. Bonaventure tourna simplement la tête pour apercevoir ce qu’il craignait : elle était totalement nue. « Si tu cherches un pauvre pigeon pour te satisfaire, va voir un de tes potes riches comme crésus »

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Je n'ai pas froid aux yeux, je n'ai jamais eu froid aux yeux et je ne me gêne pas pour reluquer le postérieur de Bonaventure encore et encore. Autant profiter de la vue pendant qu'il est encore face à moi. Et je ris légèrement quand il répond. C'est mignon à voir. On dirait un chiot dans une piscine qui tente - tant bien que mal - de se sortir du grand bain sans finir noyer. Il se débat alors qu'il sait très bien que, face à moi, ça ne sert à rien d'ouvrir sa bouche, ça ne débouchera sur rien. J'ai raison, il a tord, point final. Et je le laisse filer, lui laisse croire qu'il a gagné cette petite bagarre de gosse puéril. On est tous les deux des sales gosses mais cette querelle, cette haine palpable m'excite à un point tellement haut que je n'arrive pas à faire autrement que de me glisser sous la douche. Je sais que ça va l'énerver au plus haut point mais bon. J'entre rapidement, collé à la porte de la douche et attends sagement, profitant de la vue, les bras bien écartés, les muscles bandés, saillants. Ouf ! C'est que j'en aurais presque chaud. Je ne réponds pas à sa "demande" et préfère rester là à le regarder. " Le plaisir est dans le changement mon cher " Et je ne baise pas avec mes potes. Mais avec les autres si. " Allez, avoue que la vue te plait " Soufflais-je en riant légèrement alors qu'il a toujours le visage tourné vers moi. " De toute manière, je doute que tu saches me satisfaire " Lançais-je en faisant un pas vers lui, posant mes mains sur ses omoplates, les faisant glisser sur son dos jusque sur ses reins, me collant à lui. Provocatrice ? Bien entendu, comme toujours. Je glisse mes yeux par dessus son épaule et mords sa peau, légèrement, tendrement.
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