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Firenza Salvoni
Fiche d'identité
Nom SalvoniPrénom(s) FirenzaÂge 23 ansDate de naissance 13 Mars 1993Lieu de naissance Florence, Italie.Statut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelleClasse sociale aiséeÉtudes majeures photographieJob soigneuse dans un refuge pour animaux où ses talents de photographes font également des miracles. Elle a eu pour projet de photographier et de créer un site pour les "candidats à l'adoption", ça fonctionne très bien ! Plusieurs d'entre eux ont trouvé un foyer depuis :)Choix de groupe #1 lowell houseChoix de groupe #2 quincy houseLOWELL HOUSE.
Depuis que je suis toute petite, j’excelle dans les domaines artistiques. Ma grand-mère, autrefois danseuse étoilé, m’a toujours poussée dans ce sens. Elle disait que, de tous ses petits-enfants, j’étais la seule à avoir la fibre artistique. D'après elle, j’ai de l’or au bout des doigts parce que je réussi tout ce que j’entreprends. On peut dire que j’ai tout testé : la danse, la musique, le chant et même la peinture ! De nature très réservée, l’art m’a longtemps servi de moyen d’expression. Cette capacité est sans doute la raison pour laquelle je suis particulièrement douée pour retranscrire l’émotion à partir d’une simple photo. Intégrer la Lowell House serait pour moi l’occasion d’évoluer au milieu d’autres artistes et ainsi de perfectionner mon art.
QUINCY HOUSE.
Lors des présentations des différentes maisons, je me suis montrée également intéressée par la Quincy House. J’ai beaucoup aimé la présentation qu’ils en ont faite. Ils m’ont tout de suite mis à l’aise et je me sentie sur la même longueur d’ondes. Ils ont abordé des sujets qui m’ont tout de suite parlés ; voyages humanitaires, gala de charité…
Tout comme eux, j’aime me rendre utile et venir en aide à mon prochain de manière totalement désintéressée.
Depuis que je suis toute petite, j’excelle dans les domaines artistiques. Ma grand-mère, autrefois danseuse étoilé, m’a toujours poussée dans ce sens. Elle disait que, de tous ses petits-enfants, j’étais la seule à avoir la fibre artistique. D'après elle, j’ai de l’or au bout des doigts parce que je réussi tout ce que j’entreprends. On peut dire que j’ai tout testé : la danse, la musique, le chant et même la peinture ! De nature très réservée, l’art m’a longtemps servi de moyen d’expression. Cette capacité est sans doute la raison pour laquelle je suis particulièrement douée pour retranscrire l’émotion à partir d’une simple photo. Intégrer la Lowell House serait pour moi l’occasion d’évoluer au milieu d’autres artistes et ainsi de perfectionner mon art.
QUINCY HOUSE.
Lors des présentations des différentes maisons, je me suis montrée également intéressée par la Quincy House. J’ai beaucoup aimé la présentation qu’ils en ont faite. Ils m’ont tout de suite mis à l’aise et je me sentie sur la même longueur d’ondes. Ils ont abordé des sujets qui m’ont tout de suite parlés ; voyages humanitaires, gala de charité…
Tout comme eux, j’aime me rendre utile et venir en aide à mon prochain de manière totalement désintéressée.
APRÈS LA BOMBE.
En fait, je n’étais pas là lorsque la bombe a explosé et lorsque j’ai foulé l’herbe d’Harvard quelques semaines après mon arrivée à Cambridge, personne ne m’en a rien dit. Compte-tenu de la gravité de l’évènement, c’était devenu un sujet tabou dont on préférait nier l’existence au risque qu’il ne se reproduise. Pour tout dire, je n’en ai eu connaissance qu’après l’épisode de la prise d’otages et des agresseurs qui ont sévis sur le campus. Comme tout le monde, j’ai été choquée de l’apprendre. Qui aurait pu se douter qu’un tel drame frapperait dans un milieu scolaire ? Pourtant, ce n’est pas la première fois que ce genre de choses se produit, mais cela n’empêche que personne n’y est préparé… Mes parents ont été tellement choqués de l’apprendre qu’ils m’ont interdits de remettre les pieds à Harvard. Il m’a fallu plusieurs mois avant de réussir à les convaincre de me laisser y retourner !
En fait, je n’étais pas là lorsque la bombe a explosé et lorsque j’ai foulé l’herbe d’Harvard quelques semaines après mon arrivée à Cambridge, personne ne m’en a rien dit. Compte-tenu de la gravité de l’évènement, c’était devenu un sujet tabou dont on préférait nier l’existence au risque qu’il ne se reproduise. Pour tout dire, je n’en ai eu connaissance qu’après l’épisode de la prise d’otages et des agresseurs qui ont sévis sur le campus. Comme tout le monde, j’ai été choquée de l’apprendre. Qui aurait pu se douter qu’un tel drame frapperait dans un milieu scolaire ? Pourtant, ce n’est pas la première fois que ce genre de choses se produit, mais cela n’empêche que personne n’y est préparé… Mes parents ont été tellement choqués de l’apprendre qu’ils m’ont interdits de remettre les pieds à Harvard. Il m’a fallu plusieurs mois avant de réussir à les convaincre de me laisser y retourner !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Lors de la prise d’otages qui s’est déroulée le 16 janvier 2015, je venais tout juste d’arriver à Harvard. En effet, suite à un évènement malencontreux lors d’un voyage d’affaire avec mes parents, je n’avais eu d’autres choix que de rejoindre l’année scolaire après les fêtes du nouvel an. Fraîchement débarquée depuis deux petites semaines, je connaissais déjà pas mal de monde et j’attendais une réponse pour savoir dans quelle maison j’allais être acceptée ; j’hésitais entre la Lowell & la Quincy avec lesquelles j’avais beaucoup d’affinités. Je m’étais même fait quelques amis, mais le retard sur le programme scolaire m’obligeait à décliner toutes propositions de sorties et à me réfugier à la bibliothèque à la moindre occasion. Mauvais endroit, mauvais moment. J’étais parmi les étudiants pris en otages. Je suis sortie de là quelques heures plus tard en étant profondément choquée. Mes parents sont aussitôt venus me chercher et, pendant plus d’un an, je n’ai plus remis les pieds à Harvard. Bien que les cours à domicile et les stages avec un photographe professionnel m’aient beaucoup aidé à rattraper mon retard, l’univers scolaire me manquait. Finalement, j’ai réussi à convaincre mes parents de me laisser revenir – après tout, je suis majeure – et l’influence de mon père aidant, me revoilà.
Lors de la prise d’otages qui s’est déroulée le 16 janvier 2015, je venais tout juste d’arriver à Harvard. En effet, suite à un évènement malencontreux lors d’un voyage d’affaire avec mes parents, je n’avais eu d’autres choix que de rejoindre l’année scolaire après les fêtes du nouvel an. Fraîchement débarquée depuis deux petites semaines, je connaissais déjà pas mal de monde et j’attendais une réponse pour savoir dans quelle maison j’allais être acceptée ; j’hésitais entre la Lowell & la Quincy avec lesquelles j’avais beaucoup d’affinités. Je m’étais même fait quelques amis, mais le retard sur le programme scolaire m’obligeait à décliner toutes propositions de sorties et à me réfugier à la bibliothèque à la moindre occasion. Mauvais endroit, mauvais moment. J’étais parmi les étudiants pris en otages. Je suis sortie de là quelques heures plus tard en étant profondément choquée. Mes parents sont aussitôt venus me chercher et, pendant plus d’un an, je n’ai plus remis les pieds à Harvard. Bien que les cours à domicile et les stages avec un photographe professionnel m’aient beaucoup aidé à rattraper mon retard, l’univers scolaire me manquait. Finalement, j’ai réussi à convaincre mes parents de me laisser revenir – après tout, je suis majeure – et l’influence de mon père aidant, me revoilà.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Je suis née en Florence, d'où mon prénom Firenza. ♦ Mon père est ambassadeur, ma mère est traductrice ♦ Très pris par leurs fonctions respectives, ils ont confiés mon éducation à ma grand-mère maternelle, de qui je fus très proche jusqu'à son décès il y a 6 ans ♦ C'est à la suite de sa mort que mes parents ont décidé de quitter l'Italie pour accepter une mutation aux États-Unis. ♦ J'ai vécu à New York de 2011 à 2014 avant d'emménager à Cambridge ♦ Je travaille dans un refuge pour animaux, je pense que si je n'avais pas choisie la photographie, je serais partie dans la médecine vétérinaire ! ♦
Je suis née en Florence, d'où mon prénom Firenza. ♦ Mon père est ambassadeur, ma mère est traductrice ♦ Très pris par leurs fonctions respectives, ils ont confiés mon éducation à ma grand-mère maternelle, de qui je fus très proche jusqu'à son décès il y a 6 ans ♦ C'est à la suite de sa mort que mes parents ont décidé de quitter l'Italie pour accepter une mutation aux États-Unis. ♦ J'ai vécu à New York de 2011 à 2014 avant d'emménager à Cambridge ♦ Je travaille dans un refuge pour animaux, je pense que si je n'avais pas choisie la photographie, je serais partie dans la médecine vétérinaire ! ♦
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pepper.mind et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Malicia Lewis/Nate McLaren. ILH est actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Victoria Justice comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par .cranberry. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ R.A.S mon Colonel
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainer
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Once upon a time
Firenza Salvoni est née le 13 mars 1993 dans un hôpital de Florence, en Italie. C’est d’ailleurs par rapport à sa ville natale que ses parents, Milo & Tiziana, l’ont nommé ainsi. Encore étudiants dans un prestigieux lycée italien, le moins que l’on puisse dire c’est que les jeunes tourtereaux ne s’attendaient pas à être parents tout de suite. Issus de familles très conservatrices, ils furent contraints de se marier avant l’âge. Cependant, très ambitieux, ils avaient décidé – d’un commun accord – de poursuivre leurs études dans le but d’assurer un bel avenir à leur fille et ce, même s’ils devaient sacrifier les premières années d’apprentissage. C’est donc ainsi que, dès son plus jeune âge, la petite fille fut placée sous la responsabilité de Loredana, sa grand-mère. C’était une femme généreuse et extrêmement douce qui lui transmit sa passion pour l’art. Sous toutes ses formes. Cette ancienne danseuse de ballet était particulièrement patiente avec les enfants. C’était comme si elle lisait en elle comme dans un livre ouvert. Lorsque Firenza était triste ou agitée, Loredana s’empressait de l’emmener dans un musée, à un atelier créatif, au théâtre pour voir un ballet ou à l’école de musique pour que l’enfant se calme instantanément. Autant dire que ça leur arrivait souvent. Très souvent. En effet, bien qu’étant une fille sage, ses parents lui manquaient affreusement. Stagiaires dans des ambassades, l’un dans l’optique de devenir ambassadeur et l’autre traductrice, il s’écoulait parfois plusieurs mois sans qu’elles ne les voient. Ils avaient beau revenir quelques mois plus tard les valises pleines de cadeaux, Firenza ne se laissait pas acheter aussi facilement. Sa grand-mère lui avait appris à ne pas être matérialiste, de toute façon. Petit à petit, un fossé s’était creusé entre eux et elle se rendit rapidement compte que ses propres parents ne la connaissaient pas. Ce qu’elle prenait à l’époque pour un manque d’intérêt faillit lui coûter la vie… Firenza était à l’époque âgée de 8 ans et ils s’étaient aperçus que leur relation s’était grandement détériorée. C’était donc dans l’idée de renouer de vrais liens familiaux que Milo & Tiziana avaient décidé d’emmener leur fille en Grèce, la ville où ils s’installeraient 6 mois plus tard, si tout se passait bien. Seulement voilà, au cours d’un dîner dans un grand restaurant, ses parents commandèrent pour Firenza un plat contenant de l’arachide, aliment auquel l’enfant était gravement allergique. Elle fit une réaction anaphylactique qui faillit lui être fatale. Profondément choqués, ses parents décidèrent de retourner en Italie et d’abandonner le poste qui leur était destiné en Grèce afin de rester auprès d’elle. Pendant que sa mère occupait un poste de traductrice, son père se fit un nom au sein du ministère italien. Il s’avéra finalement que la relation avec Firenza n’était pas la seule à battre de l’aile car Tiziana et Milo s’était éloignée au cours de ces dernières années. Leur famille désormais unies, ils se sentaient tous un peu revivre. Le jour de Noël, Tiziana leur annonça même qu’elle attendait un second enfant. En d’autres circonstances, Firenza aurait pu se réjouir de la nouvelle, mais elle avait 10 ans et venait à peine de construire un véritable lien avec ses parents. Impossible de ne pas jalouser l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur. Pourtant, à peine quelques semaines après cette annonce, sa mère fut emmenée d’urgence à l’hôpital où on lui diagnostiqua une grossesse extra-utérine sur le tard, ce qui eut pour conséquence de la rendre stérile…
Malgré son jeune âge, Firenza culpabilisa de ne pas avoir souhaité que ses parents aient un second enfant. Sa grand-mère étant très pieuse, elle lui avait expliqué ce qui arrivait lorsqu’on mettait Dieu « en colère », mais ce malheur ne fit que les souder davantage.
Dès lors, Firenza continua à grandir dans l’Amour. Elle décida de devenir un modèle de sagesse et de gentillesse pour expier ce qu’elle pensait – et pense aujourd’hui encore – être la faute de ses idées négatives. En dehors des cours et de ses activités artistiques diverses, elle donnera bénévolement de son temps des associations. Chaque année, une association et une cause différente et ce, jusqu’à ses 17 ans, âge à laquelle Firenza fit ses adieux à Loredana, sa grand-mère.
Le décès de cette femme qui représentait une figure maternelle aussi forte fut très difficile à supporter. Tellement difficile que Firenza ne voulait plus vivre à Florence. D’un commun accord avec ses parents, ils s’expatrièrent aux Etats-Unis, plus précisément à New York où Milo & Tiziana entrèrent à l’ambassade italienne. Son père monta les échelons et obtint, deux ans plus tard, le poste d’ambassadeur. Quant à sa mère, elle travaillait à mi-temps comme traductrice et, l’autre partie du temps, elle donnait des cours de langues dans le lycée de New York où étudiait sa fille, histoire de s’assurer qu’elle tenait le coup moralement.
Au final, Firenza s’épanouissait aux Etats-Unis. Elle avait l’impression que, dans ce pays, il y avait une certaine liberté artistique. De toutes les choses qu’elle a pu tester, la photographie est l’activité qui l’attire le plus. Elle décide donc de s’orienter dans ce cursus. Reçue dans une prestigieuse université de Cambridge, elle laisse ses parents derrière elle pour rejoindre le campus en décembre 2014, mais la prise d’otage dont elle est victime près de deux semaines plus tard l’oblige à abandonner l’université avant même d’avoir eu l’occasion d’être bizutée... Pendant près d’un an, elle voyagera avec ses parents et son appareil photo avec lequel elle capturera des photographies poignantes comme par exemple quelques clichés de survivants après un naufrage au large des côtes grecques. Ses parents lui imposèrent également des stages de self-défense, seule condition assurer son retour sur le campus d’Harvard.
Après plusieurs mois de pénibles négociations, Firenza obtient finalement l’aval de Milo & Tiziana pour son retour à Harvard. La position de son père au sein de l’ambassade et ses clichés pris lors de ses voyages l’ont particulièrement aidé à faire valoir son retour auprès du conseil administratif de l’université. Cependant, compte-tenu de sa longue absence, elle n’intégrera pas la 5ième, mais la 4ième année pour combler ses lacunes.
Malgré son jeune âge, Firenza culpabilisa de ne pas avoir souhaité que ses parents aient un second enfant. Sa grand-mère étant très pieuse, elle lui avait expliqué ce qui arrivait lorsqu’on mettait Dieu « en colère », mais ce malheur ne fit que les souder davantage.
Dès lors, Firenza continua à grandir dans l’Amour. Elle décida de devenir un modèle de sagesse et de gentillesse pour expier ce qu’elle pensait – et pense aujourd’hui encore – être la faute de ses idées négatives. En dehors des cours et de ses activités artistiques diverses, elle donnera bénévolement de son temps des associations. Chaque année, une association et une cause différente et ce, jusqu’à ses 17 ans, âge à laquelle Firenza fit ses adieux à Loredana, sa grand-mère.
Le décès de cette femme qui représentait une figure maternelle aussi forte fut très difficile à supporter. Tellement difficile que Firenza ne voulait plus vivre à Florence. D’un commun accord avec ses parents, ils s’expatrièrent aux Etats-Unis, plus précisément à New York où Milo & Tiziana entrèrent à l’ambassade italienne. Son père monta les échelons et obtint, deux ans plus tard, le poste d’ambassadeur. Quant à sa mère, elle travaillait à mi-temps comme traductrice et, l’autre partie du temps, elle donnait des cours de langues dans le lycée de New York où étudiait sa fille, histoire de s’assurer qu’elle tenait le coup moralement.
Au final, Firenza s’épanouissait aux Etats-Unis. Elle avait l’impression que, dans ce pays, il y avait une certaine liberté artistique. De toutes les choses qu’elle a pu tester, la photographie est l’activité qui l’attire le plus. Elle décide donc de s’orienter dans ce cursus. Reçue dans une prestigieuse université de Cambridge, elle laisse ses parents derrière elle pour rejoindre le campus en décembre 2014, mais la prise d’otage dont elle est victime près de deux semaines plus tard l’oblige à abandonner l’université avant même d’avoir eu l’occasion d’être bizutée... Pendant près d’un an, elle voyagera avec ses parents et son appareil photo avec lequel elle capturera des photographies poignantes comme par exemple quelques clichés de survivants après un naufrage au large des côtes grecques. Ses parents lui imposèrent également des stages de self-défense, seule condition assurer son retour sur le campus d’Harvard.
Après plusieurs mois de pénibles négociations, Firenza obtient finalement l’aval de Milo & Tiziana pour son retour à Harvard. La position de son père au sein de l’ambassade et ses clichés pris lors de ses voyages l’ont particulièrement aidé à faire valoir son retour auprès du conseil administratif de l’université. Cependant, compte-tenu de sa longue absence, elle n’intégrera pas la 5ième, mais la 4ième année pour combler ses lacunes.
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