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SERGIX ≈ YOU BETTER FUCKING KIDDING ME.

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YOU BETTER FUCKING KIDDING ME.
— sergeï & felix :heaart:

« C'est toi, qui réagi comme un con. J'te rend juste la monnaie d'ta pièce. » Qu'avait-il cru ? Que vous seriez tous à l'attendre à l'aéroport, avec des banderoles et des confettis, félicitant le retour de votre Roi parmi les humains de Boston et faisant une petite danse autour de l'avion pour le remercier de ne pas s'être crashé avec Sergeï à l'intérieur ? Que parce qu'il était parti faire un petit séjour sur un autre continent, une fois de retour tous les problèmes qu'il avait pu avoir avec les uns et les autres seraient oubliés et effacés face à la joie de le revoir remplir à nouveau votre vie ? Et qu'appelait-il encore connerie ? Car tu n'étais pas une connerie comme il le disait, et tu pensais que votre amitié ne l'était pas non plus. C'était plutôt lui qui semblait remplit de conneries, lorsqu'il te disait que de toutes manières, tu avais également tes tords, et que tu ne lui avais envoyés aucun message auxquels il aurait pu répondre durant son séjour en Russie. Oh. Vraiment ? T'aimais pas ça. Évidement, tu étais quelqu'un qui n'avait aucun scrupule à mentir, mais qui détestait absolument lorsque cette possibilité se retournait contre lui. Dans cette situation, la frustration venait surtout du fait que tu ne comprenais pas à quoi mentir lui servirait, puisque vous étiez que deux dans la pièce et que forcément, vous connaissiez tous les deux la vérité. Tu posais tes yeux sur lui, et tu haussais tes épaules, je m'en foutiste. « Y a pas d'problèmes. Une fois que t'es en dehors du continent, tu n'connais plus tes potes, ok. J'te savais juste pas si snob. » Tu disais comme si ça ne te faisait rien, comme si ça ne changerait pas ta vie ni ta vision des choses, alors que lui se mettait à attraper son téléphone et à fouiner dedans. La vérité, c'est que malgré tes airs de petit con que rien ne pouvait toucher, tu avais un ego qui pouvait facilement se dégrader, et c'était peut-être pour cette raison, que tu avais besoin d'être constamment adulé. Il finissait par littéralement t'envoyer son portable, et tu le rattrapais de justesse – il n'avait pas peur de casser son précieux cellulaire au moins. Tu t'arrêtais un instant, un sourire malicieux prenant place sur le coin de tes lèvres quant à ses dernières paroles. « Ne soit pas jaloux, tu seras toujours le destinataire de tous mes messages d'amour. » Tu disais dans un clin d'oeil amusé, avant de baisser tes yeux sur son téléphone, et enfin regarder l'écran qui s'allumait pour te laisser observer la page de vos conversation par sms. Effectivement, il n'y apparaissait pas les messages que tu lui avais pourtant bien envoyé il a de cela quelques jours – et tu avais une explication toute simple pour expliquer cela. « Woaw. Très intelligent de supprimer mes messages pour faire semblant d'avoir raison. » Tu répliquais, avant de sortir à ton tour ton appareil cellulaire et après quelque pianotage, lui montrer ce qui apparaissait de ton côté. « Qui de nous deux continue de mentir, hein ? » Tu lançais sans vraiment attendre de réponses, puisque c'était si évident. Tu lui faisais remarquer que tu ne savais pas qu'il était rentré, puisqu'on avait pas pris la peine de t'en parler et de te prévenir d'une telle chose, et lui osait dire que c'était peut-être une bonne chose. Connard va. « C'est ton comportement qui me fait chier. » Tu lui avouais, puisque c'était lui qui dégradait du jour au lendemain votre amitié. C'était lui qui décidait subitement de reprendre ses vieilles habitudes d'homophobes. C'était lui qui avait l'air de s'éloigner pour un rien. Tu levais tes mains en signe d'innocence, alors qu'il se tournait vers la sortie. « Non. C'est toi qui te les créer les problèmes. »

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— felix et sergeï :heaart:

« Après tout mes réactions c'est à prendre ou à laisser. J'suis pas parfait, j'suis peut être un peu con, mais jusqu'à présent ça te dérangeait pas tant que ça ... » Certes j'avais abandonné pendant de nombreux mois à être répugné par son homosexualité, parce qu'en réalité Felix était devenu bien plus qu'un homo, il était mon ami, mon pote et nous passions presque tout notre temps l'un avec l'autre. Cela s'était fait comme cela, sans réellement que je ne réfléchisse à quelque chose, cela avait été naturel, normal quoi. Et aujourd'hui je remettais tout en cause, parce que j'avais laissé mes folies, mes délires prendre le dessus sur mes convictions, sur ses valeurs qui faisaient de moi ce que j'étais, et oui j'étais russe, snob plus ou moins, et j'avais du mal avec les mecs qui fantasmaient sur d'autres mecs. Et que oui ça me mettait mal à l'aise d'être un bout de viande pour un autre mec ! Même si être un simple bout de viande, un autre sur une simple liste que ce soit chez les mecs ou les nanas cela m'énervait plus que tout ! Non j'aimais avoir les rennes dans mes mains, gérer la situation, et c'était peut être aussi pour cela qu'aujourd'hui Felix m'énervait plus que tout : il gérait la situation, me rentrait dedans comme un bulldog. En tout cas malgré tout ce qu'il voulait bien laisser paraître tout cela le faisait bien plus chier qu'il ne l'aurait voulu, sinon en j'men foutiste il aurait lâché l'affaire, mais peut être que le prix de ce lâché prise était plus ou moins important pour lui. Mais quel con, il aurait juste à le dire ! Qu'il dirigeait juste pas que je le snob, avec aucunement l'intention d'ailleurs. D'ailleurs ce fut les révélations qu'il laissa flirter quelques secondes plus tard. Levant les yeux au ciel, croyant à la pire catastrophe naturelle du monde, bien pire que Xynthia, que l'ouragan de Nouvelle Orléans, j'avais alors tant d'importance ? Ca me flattait presque, même si il ne l'avouerait jamais, il avait une fierté comme la mienne, beaucoup trop développé et un égo bien trop protégé. « J'connais toujours mes potes, et que tu le crois ou non malgré tout vous m'avez tous manqué là bas ! J'étais super content de rentrer, mais la douche froide que je viens prendre m'donne envi de m'envoler pour une autre destination. » Oui j'aurais préféré sans aucuns doutes qu'il me raconte ce qu'il s'était passé dans sa petite vie à Harvard pendant que je n'étais pas là pour voir ce qu'il faisait dans sa vie, parce que oui malgré tout je savais presque tout sur sa vie, vu que nous passions la majeure partie de notre temps ensemble. Et que curieux comme j'étais j'avais envi de savoir, mais avec Felix ce n'était même pas une simple curiosité malsaine, cela m'intéressait réellement, mais j'allais omettre de lui poser la question, car j'préférais qu'il me prenne pour un connard fini, ça m'aiderait à m'éloigner de lui au moins. Son sourire aux lèvres pour me dire mots pour mots que ce genre de messages me seraient toujours adressés, j'allais pas pouvoir m'en défaire, j'crois que malgré tout je m'y étais habitué ... Non je craquais là, des idées tordues de Felix j'avais donné et non je ne pouvais m'y être habitué et avoir fini par les accepter, même les apprécier ! Non c'était pas possible ! Sergeï ressaisit toi ! IMPOSSIBLE ! Voilà il me prenait réellement pour un menteur à présent, comme si j'avais que cela à faire supprimer ses messages, après tout je n'avais rien reçu, point barre ! On allait pas épiloguer là dessus, il me tentait son téléphone pour que je vois les fameux messages disparus, un puis deux et même trois, quatre ... « J'ai rien reçu de tout ça Felix ! En tout cas j'vais croire que je t'ai vachement manqué pour que tu m'es envoyé tous ces textos.  »  Qu'il veuille bien me croire tant mieux, sinon osef après tout j'avais ma conscience pour moi, il avait la défaite mauvaise, il ne voulait pas avouer avoir tord, qu'il continue de se voiler la face, qu'il se fasse de la peine en pensant que je l'avais oublié, tant pis, j'allais pas lui baiser les pieds et lui faire la danse du ventre pour qu'il voit que j'étais prêt à tout pour qu'il me croit. « Si j'te fais chier, pourquoi on continue d'épiloguer ? J'te fais chier ? J'réagis comme un con, j'tai snobé une fois parti à l'autre bout du monde, et pourtant t'es toujours là ... Malgré toutes tes réclamations sur mon comportement tu es toujours là ...  » Et je crois même que malgré moi j'aimais bien l'idée qu'il reste devant moi, qu'il ne parte et si il se barrait j'savais même pas comment je le prendrais, du moins mon coeur le prendrait, car mon esprit et cerveau serait content, un moyen de m'éloigner de lui, mettre cette fameuse barrière qu'il fallait créer entre nous, pour mes valeurs, mes convictions. Ces mêmes convictions qu'il avait réussi à me faire flancher par ses délires, son caractère tout autant de merde qu'au top. « J'vois pas de problèmes moi ... J'suis de retour, sois tu bronches et on en reste là, soit y a pas de problèmes.  » Je le regarde, c'était quitte ou double, blanc ou noir, suspense, tract, peur ...

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— sergeï & felix :heaart:

« Ça ne me dérange pas quand je comprend tes réactions. » Tu expliquais. Ne pas être parfait, agir parfois comme un con, tu comprenais, ça arrivait à tout le monde un jour ou l'autre, et à toi le premier. Mais là, il dépassait ce simple stade, et t'étais pas dans l'optique de prendre ses réactions – pas lorsqu'elles étaient si débiles et soudaines de ton point de vue. Tu pensais qu'il avait perdu tout ça, qu'il avait laisser tombé et qu'il avait compris qu'être dérangé par certaines choses dont il ne pourrait jamais rien faire ne servait à rien. Qu'il valait mieux pour lui de se poser, d'apprendre un peu à connaître la personne, et de finir par prendre les choses à la rigolade, même lorsqu'il se faisait draguer par un genre qui lui ne l'intéressait pas. Et aujourd'hui ça semblait de nouveau le préoccuper, et ça faisait mal, de voir à quel point il venait de régresser. « Tu m'as pas dit que tu rentrais, et en plus t'es froid avec moi quand je viens te parler : j'crois que de nous deux, c'est moi qui ai pris la douche froide. » Après tout, la première chose qu'il avait commencé à te dire, c'était qu'apparaître dans tes vidéos connes n'était plus aussi drôle qu'avant. Chouette de se faire entendre dire ça de but en blanc, surtout quand Sergeï apparaissait beaucoup dans tes vidéos, même si quelques fois ce n'était que quelques rapides secondes. Il devrait sûrement arrêter de faire son Calimero, car au final, c'était lui qui agissait bizarrement depuis qu'il était de retour, alors que toi, tu aurais continué de faire ta petite vie sans embrouilles et sans problèmes si seulement il n'avait rien à subitement te reprocher. Ou s'il avait répondu à tes messages en temps et en heure. Tu levais tes yeux au ciel alors qu'il faisait une remarque comme quoi il avait réellement du te manquer pour lui en avoir écrit autant – alors que pour toi, ça n'avait pas l'air si énorme, t'étais quelqu'un qui envoyait un paquet de texto par jours, que ce soit pour raconter des choses importantes et intéressantes, ou juste pour faire des petites remarques qui te passaient par la tête et que tu te sentais de partager avec n'importe qui. « Dans ce cas-là c'est ton portable qui est pourri écoute, donc non, les tords ne sont pas partagés. » Tu relevais, ne préférant pas répondre à sa provocation et te concentrer seulement au début de ses propos. Mais il rouvrait la bouche, et tu n'aimais pas ce qu'il insinuait-là. Il insinuait avoir du pouvoir sur toi, qu'il exerçait sans même bouger le moindre petit doigt. Il insinuait que vous en étiez arrivés à un point dans votre relation où il pourrait parler et se comporter d'une manière qui te déplaisait et que pourtant tu resterais, pour ne pas perdre le seul lien vous reliant. Il insinuait également que votre amitié semblait être plus importante pour toi que pour lui, puisque tu semblais être celui qui malgré les reproches, essayait de la sauver. Et peut-être qu'après réflexion, il ne méritait pas que tu te plies en quatre pour lui. « T'as raison. J'sais pas c'que j'tente de faire face à mec si influençable. T'es pire qu'un stéréotype ambulant. » Tu lançais, avec une déception que tu te forçais à ne pas montrer. Alors c'était ça. Tu n'étais plus assez bien pour lui, plus assez hétérosexuel, après quelques jours passés en Russie. C'était risible. C'était risible de voir à quel point quelqu'un pouvait changer et reprendre ses mauvaises habitudes après si peu de temps sur un autre continent. Et parallèlement, ça faisait bizarre de se dire que pour retourner aussi vite sa veste, on ne devait pas compter autant pour la personne que ce qu'elle comptait pour nous. Mais tant pis. Tu ne comptais pas t'abaisser ni changer pour des convictions qu'il se forçait à avoir alors qu'il serait bien plus heureux sans. Qu'il continue de se créer des problèmes en plus et de cogiter au sujet de la vie sexuelle de milliers de personnes qu'il ne rencontrera jamais et qui n'en auront jamais rien à battre de lui. C'était pas important. « Tu devrais aller baiser d'la meuf, peut-être que ça t'éviteras de te mêler de choses qui finalement te concernent pas. » Tu lui disais, puisque après tout, c'était quelque chose que tu n'avais pas compris depuis que tu l'avais rencontré, avant qu'il oublie ce genre de choses futiles en se liant d'amitié avec toi et en voyant que malgré ton appréciation des jolies choses, tu pouvais être mec fun et cool comme un autre. « Quand tu te seras sorti les doigts du cul et que t'auras fini de servir de moutons, tu sais où m'trouver. » Tu finissais, tes yeux ancrés dans les siens, avant de tourner les talons et de sortir de la pièce.

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— felix et sergeï :heaart:

Préférant souffler et lever un peu les épaules tout en inclinant la tête pour la poser un instant sur sa main, le mal de crâne que Felix était en train de lui mettre pour toutes ses histoires qui n'en valaient peut être pas la peine. Ou peut être que si réalité, cela avait un sens, cela avait un sens car leur amitié qui était bien plus compliquée et bien plus qu'une simple amitié était peut être en train de voler en éclat, le temps de quelques phrases mal placées, quelques mots mal utilisés et deux esprits qui commençaient à s'échauffer. Il ne cherchait pas à comprendre. Soit ! La vie était ainsi, Felix l'homme qui n'avait peur de rien, qui assumait ce qu'il était, ce qu'il souhaitait et désirait, sans limites, sans règles. Et moi, Sergeï, homophobe fréquentant un homo, cela passait encore je m'étais fais à l'idée de fréquenter Felix, car sans savoir réellement l'expliquer j'avais besoin de lui dans mes amis, passer du temps en sa compagnie. Tout cela ne m'écoeurait plus autant qu'avant, j'en avais pris mon parti, préférant rire de ses avances, de ces mauvais jeux de mots. MAIS PASSER POUR UN HOMO ! S'en était trop, je n'avais nullement besoin de l'assumer devant le monde entier, ici comme en Russie, car tout ceci n'était que connerie ... et rien que l'idée de me retrouver avec l'étiquette sur le front me donnait la nausée. Oui il y avait un pas entre t'accepter dans ma vie en tant qu'ami et passer pour celui que je n'étais pas et être le portrait de tous ceux qui me dégoûtent, ou me dégoûtaient, ou .... « J'l'ai dis à personne que je ne rentrais ... et personne ne m'en a fait un drama, c'était sur un coup de tête ça aussi, tout comme partir, j'suis finalement rentré, parce que ma vraie vie est ici, que là bas les gens sont insupportables, intolérants, exigeants et que ...  » Je marquais une petite pause, une brève pause, pesant le pour et le contre de laisser mes paroles voguer comme cela sans aucuns filtres. Fallait il réellement que je dise tous ce que je pensais, tout ce que j'avais vécu là bas, tout ce qui m'avait manqué ici, mes amis, mes amours et mes emmerdes. Que finalement son insouciance, sa joie de vivre et tout ce qui le concernait m'avait manqué et que mon "coeur" me disait de laisser notre amitié reprendre le dessus, alors que mon esprit freinait le tous des deux pieds pour simple raison que mes frères m'avaient reniés et que même s'ils n'étaient pas proches de moi, ils restaient de ma famille et que peut être je ne supporterais pas de perdre des personnes de ma famille. « Et que merde ! J't'ai déjà dis que tu m'avais manqué ... » Oui il ne fallait peut être pas trop en demander non plus, j'étais loin d'être quelqu'un qui avouait ses sentiments, ses sensations, préférant être le mec fort que rien ne pouvait détruite, rien ne pouvait atteindre, comme pour se protéger de tout ce qui pouvait être brisé à force de trop parler. Son visage avait fini par se fermer, nos échanges se limitaient finalement à se lancer des piques amers, comme pour montrer à l'autre que la situation ne nous plaisait plus, que notre amitié était en train de fendiller, parce que nous étions tout simplement dans deux mondes totalement différents, lui dans la liberté la plus totale et moi bien qu'indépendant je restais malgré moins sous l'emprise des idéologies de ma famille, mon pays. Oui j'étais près à passer outre les mauvaises habitudes de Felix, ses défauts mais je n'étais pas encore prêt à être en froid total avec ma famille. Rien que le mot "stéréotype ambulant", je me crispais encore plus, il continuait encore et encore de lancer des mots assassins, qu'il devait choisir à la perfection sachant pertinemment qu'ils viendraient me blesser sortant de sa bouche. Il me connaissait bien plus qu'il ne le faudrait, bien plus que je ne le pensais ... s'en était presque perturbant, presque insupportable même. Ses dernières phrases me firent bondir subitement, je me relevais du canapé, le mal de crâne toujours aussi présent, faisant de nouveau les cent pas, avant finalement de commencer à voir quelques étoiles, quelques points brillants et tomber au sol, dans un bruit sourd.

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— sergeï & felix :heaart:

Est-ce que tu devais garder une lueur d'espoir au fond de toi ? Est-ce que tu devais taper dans tes mains et le féliciter au moins d'avoir la décence de reconnaître que les personnes qui habitaient son pays étaient encore pire que toi, ou que l'image que beaucoup de gens pouvaient avoir des Américains ? Est-ce que tu devais espérer qu'ayant conscience de ce genre de détail qu'il t'énumérais sur leurs traits de caractères il s'en détacherait et reconnaîtrait que leurs manières de pensées n'étaient absolument pas un exemple à suivre, aussi patriotique souhaitait-il être ? Au final, il allait vite déchanter. S'il perdait la face et son bon fond devant quelques commentaires désobligeants de sa famille ou de son quartier sur ta personnalité et tes vidéos et votre amitié, il allait pourtant devenir comme ces personnes qu'il qualifiait d'insupportables, d'intolérants et d'exigeants, entre autre. Et peut-être qu'à ce moment-là il en viendrait à se détester lui-même, ce qui serait assez marrant de ton point de vue. Ou peut-être qu'il en deviendrait fier, de devenir aussi discriminants qu'eux et de mieux se reconnaître dans ce moule dans lequel il semble désespérément vouloir se faire accepter. Tu levais tes yeux au ciel d'exaspération, déviant ton regard sur les murs alors qu'il disait que tu lui avais manqué, et qu'il l'avait déjà dit plus tôt. Mais c'était facile de dire des choses. Toi aussi, parfois – souvent – tu disais des choses, sans les penser. Tu disais à quelqu'un que tu l'aimais bien alors que tu ne pouvais pas le supporter, et tu faisais comprendre à quelqu'un d'autre à quel point il te faisait chier quand l'une des choses que tu aimerais le plus faire c'était de le déshabiller. Les mots n'étaient que des mots, qui pouvaient renseigner ou tromper l'autre sur ce que l'on pouvait réellement penser dans sa caboche, et il pouvait sûrement les manier aussi bien que tu le faisais. Tu prenais la décision que tu allais te concentrer sur toi, et que tu ne serais pas le seul con à faire des efforts vain pour une cause dont il semblait finalement se foutre. Alors tu lui disais la vérité pourtant, dans tes mots, dans tes paroles, et tu espérais qu'une bonne baise avec la première venue lui remette les idées en place s'il était si incertain de sa sexualité pour avoir à l'affirmer à toute la Russie entière. Et tu tournais les talons, refusant de t'abaisser sans cesse pour continuer à lui parler, à être près de lui, à entretenir un dernier lien qui n'avait plus lieu d'être. Une fois hors de la pièce, quelques secondes plus tard, tu entendais un bruit sourd, comme un sachet de pomme de terre tombant sur la moquette, et tu ne voyais pas vraiment ce qui pouvait faire ce bruit – à part un corps. Poussant un soupir exaspéré tu t'accordais le droit d'ouvrir à nouveau la porte pour voir ce que faisait Sergeï, et c'est la que tu posais tes yeux sur sa forme tombée au sol, inconscient. Tes sourcils se fronçaient. « Putain il est sérieux... » Tu murmurais, t'approchant de quelques pas de lui, essayant de bouger son bras avec le bout de ta chaussure pour voir s'il allait se réveiller d'un coup ou pas. Apparemment, non. Alors tu t'accroupissais, les traits toujours fermés, passant ta main sur à quelques millimètres de son ventre pour voir s'il respirait toujours, avant de lever tes yeux au ciel. « Fucking diva. » Tu commentais, avant de commencer à lui donner des petites claques pour qu'il se réveille.

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— felix et sergeï :heaart:

 C'était dans un ultime vertige, un mal de crâne tellement intense à m'en faire perdre les pédales, que comme un gros sacs à patates je me retrouvais m'effondrer en quelques secondes seulement sur le sol de la pièce commune de la Winthrop house. Ayant perdu connaissance, le noir devant mes yeux, le grand trou noir, comme si rien en s'était passé les quelques minutes auparavant et pourtant rapidement j'eu la sensation de sentir une main sur mon visage. Puis de nouveau ce même contact, de plus en plus intense, avant de ressentir réellement une petite claque. Nerveux et sans même contrôler quoi que ce soit, mon bras partait dans l'autre sens avant d'atteindre le visage de quelqu'un. Ouvrant difficilement les yeux, je me retournais vers l'objet de ma collision. Felix ! Ah merde ! Il était encore là finalement ... J'étais pitoyable allongé comme un con part terre et en plus devant lui, j'crois que j'étais au bout de ma vie ... « J'veux pas ta pitié Kamprad !  »  Plutôt que de lui dire pardon il était plus évident de lui rentrer dedans encore et encore, de toute évidence je crois que le savoir revenu pouvait être un bon point, mais en réalité tout aurait été plus simple si il avait encore continué sa route et qu'en ouvrant de nouveau les yeux sa petite tronche d'ange ne se serait pas retrouvé devant moi. M'asseyant pour reprendre totalement possession de mes moyens. « Et puis merde .... j'en peux plus de ces embrouilles à la con. Par contre j'suis vraiment désolé pour la baffe en bonne et due forme ... » Je me relevais par petite forme, rejoignant de nouveau la machine à café pour prendre un peu de force, le mal de crâne toujours bien présent dans cette ambiance pesant qui existait entre Felix et moi depuis que j'avais franchi pour la première fois de la journée cette porte. Même si en réalité je ne pouvais m'attendre à tous ces reproches et que je ne pouvais pas croire que j'avais cette a priori depuis mon retour de Russie, de savoir le jeune homme aussi proche de moi que par le passé. Oui il fallait mettre des limites, mettre des distances, c'était surement la meilleure chose à faire. Et pour ça je devais m'éclipser.   « Ca va ta joue ?  » Oui les bisous magiques promis ça fonctionnaient mais pas certain que c'était la meilleure chose à faire pour se faire pardonner de lui avoir donné une bastogne, il aurait juste un petit bleu sur son visage de beau gosse à la mine d'ange, sorry babe. « Et sinon il s'est passé quoi ces derniers jours pendant que j'étais en Russie ?!  » dis je un brin timide, je voyais déjà le moment où il allait me recaler pour ne pas me répondre, mais peut être que c'était malgré tout pour lui montrer que je m'intéressais à lui, même si tout semblait être beaucoup plus compliqué que par le passé. Et puis de toute évidence je n'étais pas encore au top pour rejoindre la coloc,  et je n'avais plus de chambre à la Winthrop, j'devais juste patienter encore un peu en espérant qu'il me foute pas le râteau du siècle.

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— sergeï & felix :heaart:

Il te faisait peur le con. Il avait quoi à tomber dans les pommes d'une seconde à l'autre quand tu venais de faire ta sortie fracassante tel un parrain de la mafia qui venait de donner l'ultimatum suprême aux membres de sa famille, putain, il pensait pas aux autre cet égoïste. Maintenant t'étais obligé de rentrer à nouveau dans le salon, et de te pencher sur son cas pour voir s'il ne venait pas tout simplement de faire un infarctus, et de t'occuper un minimum de lui pour espérer le réveiller et ne pas aller en prison pour non-assistance à personne en danger. Tu commençais par le secouer légèrement, puis lui donner des petites claques sur les joues afin que l'incessante sensation sur son visage l'oblige à lui redonner conscience – t'espérais ne pas avoir à lui jeter de l'eau dans la gueule ou à appeler le SAMU pour ça. Avant même que tu le vois ouvrir ses yeux, c'est son bras qui partait d'un coup se loger contre ton visage,et tu jurais, ta main contre ta peau. « Jävla ! » Tu jurais en suédois, te massant doucement la joue alors que le blondinet ouvrait enfin ses paupières – et encore une fois, les premiers mots qu'il t'adressait étaient loin d'être le merci que tu méritais. Tes mains se maintenaient sur tes genoux, et tes yeux le fixait, froidement. « T'as qu'à pas tomber comme si tu venais de faire un AVC mec. » Putain, il allait encore tout mettre sur ton dos, c'était vraiment le meilleur des anciens amis quoi. La prochaine fois, quoi qu'il arrive, tu le laisseras se débrouiller tout seul, puisqu'il n'avait définitivement plus besoin de toi. Il s'asseyait, et t'en avais marre avec son attitude, alors tu te sentais plus de faire semblant de sourire ou d'être amusé. « J'suis pas en sucre. » Tu répondais – et encore, il avait de la chance que tu ne répliques pas sur sa petite remarque sur les embrouilles à la con. Tu finissais par reprendre de la hauteur alors qu'il arrivait à se relever tout seul, et tu croisais tes bras contre ta poitrine, l'observant se diriger une nouvelle fois vers la machine à café. Il demandais à nouveau comment allait ta joue et tu levais tes yeux en l'air, espérant que la trace soit assez éphémère. « Ça va, tu tapes pas fort. » T'avais presque envie de dire tu tapes comme une fillette mouahaha. Tu reposais tes yeux sur lui, lorsqu'il prit de nouveau la parole. Il était sérieux ? Il se foutait de toi ou comment ça se passait ? Le mec te snobait, te faisait comprendre que tu étais un parasite dans sa vie d'heureux hétéro à la famille si soudée qu'il prend un vol toutes les deux semaines pour aller les voir, et maintenant il osait te demander comment ça s'était passé pendant qu'il n'était pas là ? Tu ne comprenais pas. A quoi ça pouvait bien servir d'essayer d'instaurer une petite conversation de banalité après tout ce qui s'était dit ? Parce que tu ne souhaitais pas faire semblant là, de suite. Et s'il ne souhaitait plus que vous vous parliez, tu t'éloignerais, jusqu'à ce qu'il revienne en rampant, pleurant que sa vie ai perdu toute saveur maintenant que tu n'y faisais plus parti. « Franchement, ce n'sont plus tes affaires Sergeï. » Tu soupirais, secouant doucement ton visage. Putain de mec compliqué qu'il était. Tu te serais bien vu de lui raconter tes derniers plan cul en détails, mais ça ne te donnait même plus envie de rire maintenant. « Same Old Cambridge. » Tu répondais tout de même, haussant tes épaules.

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YOU BETTER FUCKING KIDDING ME
— felix et sergeï :heaart:

C'est en ouvrant le yeux et voyant que finalement Felix avait fait demi tour après avoir franchi la porte que tout venait me frapper en tête.  Toutes les questions tambourinaient dans ma tête pour venir conforter mon mal de crâne. Est ce que toutes ces histoires n'étaient bien trop débiles, est ce que finalement tout n'était pas plus simple, mieux avant que je ne parte en Russie. Une seconde je regrettais ce qui avait pu se passer, les mots qui avaient dépassés mes pensées? Après tout je ne pouvais pas le changer et j'en avais bien conscience, ce n'était d'ailleurs pas pour rien que j'avais lâché l'affaire depuis de nombreuses semaines préférant tout simplement délirer en sa présence, avec sa tête de con et d'ange en même temps. Comme si la tendance s'était inversé, que le courant repartait dans l'autre sens et que lui comme moi ne serions finalement plus sur le même circuit, plus d'étincelles de rires ! Et pourtant il était là, il venait de se prendre une tarte en pleine tête et ne bronchait pas, certes bougon comme depuis le début, il était encore là et la seule chose que j'étais capable de lui formuler étaient quelques mots froids, une tête à claque ! « Et t'aurais été grave triste si cela avait été le cas ...  »  Je le voyais déjà faire la tête étonnée, oui comme quoi d'être tombée ça pouvait remettre quelques cases dans le bon sens, même si de toute évidence pour aujourd'hui nous ne tomberions pas d'accord et personne ne flancherait sur ses idées et reproches envers l'autre. Quelques fois il fallait accepter que le temps ferait peut être le reste, que la température accepte de redescendre un peu, tout comme mes idéaux que j'avais de nouveau ramenés de Russie, pensant réellement que tout cela était mieux pour tout le monde venaient d'être balayés d'un revers de main par la simple présence de mon pote. Prêt pour abandonner cette amitié ? Cette alchimie ? Même si je savais réellement qu'en continuant de réagir de la sorte, ça deviendrait de plus en plus compliqué. Quelques secondes après sa voix formula quelques mots, qui venaient à me me blesser comme un poignard, très bien tout ceci n'était pas ou du moins plus mes affaires, Très bien, oui j'pouvais avoir un caractère impulsif, prendre la mouche rapidement et certainement plus après la tension qui existait depuis bien trop longtemps dans ce salon, entre lui et moi. Tâtonnant pour savoir si je pouvais réellement quitter le hall de la WH, faire une sortie loin d'être théâtrale, même si malgré tout une petite satisfaction d'être celui qui s'en va, celui qui menait un peu la danse, alors qu'en réalité au vu de la situation et des mots qu'il avait pu formuler Felix menait tout autant la partie que moi. Peut être aussi que finalement nous avions trouvé un accord pour combien de temps ? Pour le bien de qui, de quoi ? M'éloigner de cet ami gay qui me faisait mauvaise presse et devenait bien trop proche de moi, et lui ne plus vouloir que je fasse partie de sa vie, les choses étaient claires, pour aujourd'hui, pour demain et les jours à venir ... to be continued.  « J'vais pas te faire chier plus longtemps ... Passe une bonne journée ! Et te bile pas trop pour le fait que je sois de retour ... » Comme si il n'était toujours pas au courant, de toute évidence au vu de la tournure que je sois là ou non, rien ne pourrait réellement conditionner ses prochaines heures, semaines. Je le regardais avec un regard mi triste, mi déterminé, mi paumé,  avant de tourner les talons alors qu'il faisait déjà de même, quittant tous les deux la pièce dans un même pas à l'opposé l'un de l'autre, pas de perdants pour ce soir ? pas de vainqueurs? et si finalement il n'y avait que des vaincus ?!

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