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SOS Terrien en détresse.

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SOS Terrien en détresse.
Bonaventure avait toujours eu tendance à penser qu’Emilia était son âme sœur, la seule qui puisse réellement le compléter, le comprendre totalement. Elle était la seule vers qui, il pourrait se tourner car il avait pleinement confiance en elle. Elle l’avait vu au fond du trou, elle avait aperçu sa partie la plus noire quand il n’était qu’un junkie. Il savait également tout d’elle, de son combat, de ses moments où elle avait courbé le dos, écrasée par le poids de la maladie. Ils s’étaient soutenus mutuellement, ils avaient guéri ensemble également. C’est pour Emilia qu’il se battait au quotidien contre son envie de rechuter dans les cachets pour soulager sa douleur, sa peine. C’était aussi pour elle qu’il voulait se relever à la force de ses jambes pour regagner sa chambre. Emilia était tout pour lui mais c’était un amour platonique. Il l’aimait et c’était justement cet amour qui faisait que rien n’était possible entre eux. Il ne la voyait pas comme une amante, elle était le reflet dans son miroir, indomptable, inaccessible et c’était ainsi qu’il la souhaitait. Leur amitié était bien trop précieuse à ses yeux pour la salir de cette manière. Elle était autant son ange gardien qu’il était le sien et c’est bien connu que les anges étaient asexués.

Cela n’empêchait pas la plaisanterie même si actuellement cette dernière lui permettait avant tout de se soustraire à sa souffrance. Un masque pour rire au monde alors que cela faisait des années que Bonaventure se désintéressait de ce dernier. Depuis la mort de son meilleur ami, il n’était plus le même. Quelque chose s’était brisé et Lucy avait achevé le travail. En l’espace de quelques semaines, sa vie avait basculé dans le chaos le plus total. La culpabilité, la peur, la douleur mais aussi la colère avaient rythmé son quotidien jusqu’à ce qu’il croise le regard d’Emilia dans cette chambre d’hôpital. Il avait souhaité qu’elle se batte pour terrasser le cancer et il lui avait montré l’exemple en se battant contre son handicap. Il avait défié les médecins et leurs pronostics. Il avait remarché mais au prix de quelle douleur ? Chaque pas, chaque position debout étaient une torture en soi mais il continuait d’avancer avec le sourire porté par ses rêves professionnels. C’était tout ce qui lui restait à présent : faire carrière, devenir quelqu’un. « Que veux-tu, je m’entretiens au cas où que tu veuilles voir si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs que dans le lit d’Adam » continua-t-il de plaisanter avant de se lever.

Ses muscles étaient tétanisés sous l’effort mais également la douleur, provoquant des tremblements dans tout son corps. Bonaventure prit appui sur le mur, ne lâchant pas sa canne. « Je crois » grogna-t-il les dents serrées à s’en faire exploser la mâchoire. Très vite, le besoin de regagner sa chambre, de mettre fin à cette torture le poussa à donner le signal de départ. « J’ai l’impression qu’on m’enfonce des couteaux dans le dos… » lâcha-t-il. A quoi bon faire semblant avec elle ? Combien de fois l’avait-elle pris dans ses bras quand il avait craqué, en larmes à cause de sa souffrance et de sa peur de ne jamais plus remarcher. Elle l’avait même vu suppliant pour avoir un cachet comme un junkie en manque. Et pourtant, elle restait toujours à ses côtés alors c’est courageusement qu’il commença à faire le premier pas non sans gémir de douleur. Il devait le faire, pour elle. Chaque pas lui était dédié. Durant de longues minutes, il n’osa plus ouvrir la bouche de peur de lâcher le cri qu’il retenait difficilement. De la sueur s’écoulait de son front tant il était concentré. Un pas après l’autre. Pied gauche puis pied droit.

La délivrance arriva et il se laissa totalement tomber sur le lit, serrant les draps dans sa main tandis que son furet Pikachu s’approchait de lui pour se frotter à lui comme s’il avait compris la détresse de son maitre. « On a réussi.. On a réussi » souffla-t-il pâle comme un cachet d’aspirine. « Emi… merci.. merci » la remercia-t-il à nouveau car une nouvelle fois, elle lui avait fait faire un miracle.

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SOS d'un terrien en détresse
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Le voir ainsi me fend le cœur. Comment ne pas en être malade ? Il souffre, il a mal et je ne peux rien faire pour l'aider ... Sauf être là. Et c'est dans ces moments qu'on découvre à quel point notre amitié est forte, on veille l'un sur l'autre, quoi qu'il arrive. Bona, c'est un peu mon ange gardien, je me retrouve tellement en lui, j'ai vue dans ses yeux ce que j'ai en moi, cette rage de vivre, cette envie de tout faire pour aller mieux. Et finalement si je suis encore là aujourd'hui, c'est parce qu'il m'a aidé, parce qu'il était là. Il m'a aidé à me relever. Il m'a aidé à supporter tout ça. Sans lui j'aurais abandonné car Dieu sait comme j'ai souffert et comme rien n'était facile.

Alors qu'il est sur le sol, je trouve quand même le temps de le taquiner un peu, lui faisant une remarque sur son caleçon calvin klein, les filles doivent apprécier, il est pas moche, Adam en a du même genre. Il en rigole et j'espère intérieurement que ça lui permet de se sentir un peu mieux même si je sais pertinemment que finalement, plaisanter pour lui, c'est une forme de défense, au moins, quand il plaisante, il n'est pas en larmes, à hurler de douleur, pourtant, Dieu sait comme il pourrait, ce qu'il ressent, cette douleur, elle est indescriptible et je ne peux qu'être admirative de sa force de caractère; C'est cette force de caractère que finalement nous nous étions transmis mutuellement selon les médecins, c'est grâce à l'un et l'autre qu'on a pu s'en sortir. Ma rencontre avec Bona a tout simplement changé ma vie. Bona est mon ange gardien, présent exprès pour veiller sur moi. Je me retrouve tellement en lui. Et je l'aime de manière indescriptible, je ne dirais même pas qu'il est mon meilleur ami, non c'est plus fort que ça, je l'aime plus que ça. Je l'aime d'amour, d'un amour fort et pur et platonique. Non pas qu'il ne m'attire pas, il est sexy Bona, faire des bêtises avec lui, je dirais pas non, mais notre relation n'est pas comme ça, il n'y a rien d’ambigüe, on peut parler de tout, aucun sujet n'est tabou. Sa réponse à ma plaisanterie me fait rire « Ahah, on sait jamais, l'espoir fait vivre ! Mais après avoir vu ça ... Tes conquêtes doivent pas se plaindre ... » un sourire taquin pour accompagner mes paroles, tout ça est à prendre au second degré, c'est des boutades, de la plaisanterie. On le sait lui comme moi.

Viens ensuite le moment de se lever, il tremble, ses muscles se contractent et je ne sais pas comment il peut ne pas hurler de douleur.. Ca me fait tellement mal pour lui, j'ai l'impression d'avoir mal moi aussi intérieurement en le voyant souffrir autant ... Mais il tient. M'avouant tout de même qu'il souffre intensément, sa mâchoire se contracte, et je le garde juste contre moi, l'aidant à enchainer ces pas qui le font souffrir plus que de raison pour rejoindre la chambre. Je le soutiens comme je peux, le gardant près de moi et avançant à son rythme. Il transpire, tremble et souffre mais ne lâche rien, il traverse le couloir avec sa force habituelle.

La chambre enfin, il se laisse tomber sur le lit, en souffrance, il n'en revient pas d'avoir réussi, moi je savais qu'il le ferait, le connait trop bien, je connais sa force, je sais comme il peut faire des miracles, Je lui souris, prenant une de ses mains « Ne me remercie pas, c'est toi qui a fait ce miracle. » je lui souris de nouveau avant de dire « Essaye de te reposer... Tu veux que je te masse les jambes ? Dis moi ce que je peux faire .. » son horrible furet arrive dans les parages, moi je reste loin de lui, je ne suis pas fan de ces bêtes là, je trouve pas ça vraiment beau ou utile, mais je sais comme Bona adore son Pikatchu, alors je n'en fais aucune remarque, il est mignon a venir voir son maitre pour rester près de lui.


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Ils étaient finalement arrivés dans sa chambre et Bonaventure pu enfin se laisser choir sur son lit non sans gémir de douleur. Il avait l’impression que son dos était en feu, que ses jambes n’étaient d’autre que des bouts de bois trop raides pour être réellement réelles. Heureusement Emilia ne le laissait pas tout seul, elle vint prendre sa main, véritable repère dans cet océan de souffrance. En nage, il tentait de reprendre sa respiration mais on pouvait sentir combien l’épreuve avait été difficile. « Je ne l’aurais pas fait sans toi Emi… tu sais qu’il y a que toi qui arrive à me faire marcher dans ces moments » souffla-t-il en posant sur elle un regard attendri. Elle était son phare dans cette tempête, la seule chose en dehors de son furet qui le maintenait. Sans elle, sûrement se serait-il jeté sur les cachets mais elle était là. Toujours fidèle au poste, toujours là pour être la voix de sa conscience mais aussi le gardien de ses médicaments. Il mourrait d’envie de lui demander un seul petit cachet. Un tout petit même la moitié d’un. Cela se voyait dans son regard mais il n’allait pas demander car le faire serait rompre sa promesse faite il y a de cela une année. « Est-ce… Est-ce que tu peux me masser le dos ? » lui demanda-t-il à la place. Il devait être plein de nœuds musculaires, cela n’allait pas être une partie de plaisir mais au final, il s’en sortirait soulagé et peut-être arriverait-il à s’endormir.

Bonaventure ramena son furet près de lui pour le caresser quelques instants avant de le reposer sur le sol de la chambre. Ce dernier alla jouer avec un de ses jouets sans se préoccuper plus des deux humains. « Il ne va pas te mordre tu sais » reprit-il en s’adressant à son ange gardien. Elle ne risquait rien, Pikachu était bien plus branché fil électrique que petits pieds de charmantes cabots. Le Quincy se tourna de sorte à s’allonger sur le ventre afin de soulager son dos et ne pas trop appuyer dessus. Qu’est-ce qu’il n’aurait pas tout donné pour un verre d’alcool mais non, il ne buvait pas. « Tu veux bien me parler de tout ce que tu veux mais me parler ? J’ai besoin de me changer les idées » lui demanda-t-il d’une voix morne en fermant les yeux comme si cela allait l’aider à réguler sa douleur.

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Arrivé dans la chambre, il tombe lourdement sur le lit, à bout de souffle. Il a mal, partout, il a transpiré, mais il l'a fait. Je ne peux qu'être fière de cet effort car ses victoires, je l'ai vu les réaliser, une après l'autre, avec force, avec détermination, avec bravoure, je ne peux que l'admirer pour cette force dont il sait fait preuve. Alors quand il me remercie c'est naturellement que je lui dis qu'il a fait tout le boulot. C'est lui qui s'est levé en dépit de la douleur, c'est lui qui a fait ces pas qui le séparait de sa chambre en souffrance avec la respiration difficile, c'est lui qui a réussi cet exploit. Oui, cet exploit. C'est un exploit. Il a fait fort et je l'admire tellement dans ces moments là. Sa main dans la mienne, j'ai sur lui un doux regard, remplis de la fierté que je ressens quand je le vois déplacer des montagnes. Il me répond et ses paroles me touche au plus profond de mon coeur. C'est dans ces moments là que notre amitié prend tout son sens et que les gens pourraient comprendre ce qu'on ressent l'un pour l'autre et à quel point l'autre compte. Clairement sans lui dans ma vie, je serais perdu. Je serai juste une loque, je ne saurai plus quoi faire. « Et toi tu sais qu'en ce moment, te voir faire ça ... Je suis terriblement fière de toi, vraiment ... » je serre sa main en douceur et lui adresse un grand sourire, dans mon regard, il est facile de lire toute l'admiration que je lui porte. Toujours attentionnée envers lui, je lui demande si il a besoin de quoi que ce soit et c'est visiblement au dos qu'il souffre le plus, logique. « Oui bien sûre, installe toi et je m'en charge. » depuis le temps, à voir les kiné lui faire les massages et autres, je sais faire. Et le masser ne me pose pas de problème.

Je le laisse carresser son furet quelques instants et prend le temps de bien me rhabiller. En sortant de la CH, je suis sortie pieds nues, la chemise à moitié ouverte, bref, une vraie dépravée alors je reboutonne le tout bien, remontant les manches de la chemise que j'ai piqué à Adam. Quand la bestiole est enfin par terre, je lui adresse un sourire « Je sais t'en fais pas, il a l'air très mignon » ça me donnerait presque envie d'en avoir un quand je vois comme Bona aime son Pikatchu, mais bon, je suis bien sans responsabilité ni animaux. Un jour j'aurais un panda. Un vrai panda. Ca sera mon animal domestique et ça sera 4 fois mieux qu'un furet. Il se tourne sur le ventre et je lui demande « Tu as de l'huile de massage quelques parts ? » oui autant faire les choses bien. Quand il me demande de lui parler, je souris avant de reprendre « Ok ... Alors ... Tu sais que j'ai été absente quelques jours après le bal ? Et bien c'est parce que Adam m'avait fait une surprise : il m'a emmené en voyage à Costa Del Sol, en Espagne, c'était trop bien ! Sauf le fait que j'ai dû éviter les démonstrations affectives en public, mais sinon, c'était top, le soleil, tout ça. Costa Del Sol c'est tellement beau ! Je t’emmènerai un jour, tu vas adorer ! » oui je me revois sur la plage espagnole à bronzer, et dans les bras de Adam bien souvent. Des vacances de rêves qui nous avaient permis de définitivement nous réconcilier, un pur régal, j'en garde de très bon souvenir. « Il faudra absolument que je te le présente d'ailleurs Adam. Il t'est très reconnaissant d'avoir été présent pour moi pendant mes petits problèmes de santé. » petits problèmes de santé, c'est comme ça que j'appelle mon cancer, je préfère faire un euphémisme de tout ça, pas besoin d'en faire des tonnes, je suis en vie après tout. J'ai juste faillit mourir.


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Emilia était fière de lui. Son amie n’imaginait pas combien cela l’emplissait de joie et d’un certain soulagement. Bonaventure n’imaginait pas sa vie sans cette femme, sans pouvoir se retourner et la voir lui sourire comme elle faisait depuis leur première rencontre. Elle était le moteur de sa vie, de son courage. Il ne plaisantait pas lorsqu’il disait qu’elle était son âme-sœur ni quand il disait l’aimer. Emilia était une partie de lui certainement la meilleure. Elle avait été sa seule raison de se battre durant un temps, la seule pour qui, il avait voulu faire des efforts et surtout se soigner. Aussi, qu’elle soit fière de lui, c’était juste l’aboutissement du pourquoi il se battait quotidiennement pour ne pas sombrer à nouveau. « Je tâcherai de faire en sorte que tu restes fière de moi ma puce » souffla-t-il avec un léger sourire mais son regard laissait clairement s’exprimer l’émotion qui l’avait gagné. La jolie cabot accepta par la suite de lui prodiguer un massage et Bonaventure en soupira d’aise rien qu’à l’idée de sentir ses mains sur son dos. N’allez pas vous imaginer une quelconque sexualité sous-jacente… Son soupire était surtout lié au soulagement de voir la douleur le quitter.

Le Quincy prit tout de même le temps de caresser son furet avant de le reposer au sol pour qu’il fasse sa vie. Pikachu était un autre de ses soutiens et un véritable lien existait entre l’animal et son maitre -qui était certainement bien plus fort que ce qu’il partageait avec son chien. « Il l’est ! » rétorqua-t-il avec un demi-sourire tout en se mettant sur le ventre alors qu’elle réajustait la chemise qu’elle avait très certainement du piquer à Adam. Bonaventure n’avait pas encore eu le plaisir de rencontrer le petit-ami d’Emilia. « Ouais, dans le premier tiroir de la commode. Tu devrais trouver le nécessaire » lui dit-il d’une voix paresseuse. Il reprit bien vite la parole pour lui demander de parler afin de se changer les idées. Le jeune homme adorait l’écouter parler de tout et de rien, c’était souvent une façon pour lui de savoir où elle en était dans sa vie. « Avec plaisir.. je suis jamais allé en Espagne… J’ai jamais véritablement visité l’Europe a tout bien réflechir » répondit-il avant de se taire pour la laisser continuer. Un jour, il ira faire du trekking en France, pourquoi pas en Corse. Bonaventure adorait les voyages, c’était son pécher mignon. « C’est quand tu veux pour la rencontre. J’ai bien envie de faire la connaissance de celui qui a su te capturer dans ses filets » lui dit-il avec un sourire amusé. « Alors comme ça, t’aime pas les démonstrations affectives en public ? » lui demanda-t-il taquin.

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Bonaventure, comment expliquer cette relation si particulière, si hors norme ? Je ne le définirais pas comme mon meilleur ami, ni comme un frère, c'est plus que ça. Notre relation est plus importante que ça. Notre relation, je la chérie, autant le dire, Bonaventure est la personne de ma vie. Il a été là dans mes pires moments et j'ai assisté à ses pires moments. C'est mon ange gardien, mon pilier et je suis le sien. Il m'a aidé à tenir quand j'étais seule dans cette chambre d'hôpital quand je me sentais terriblement mal et j'étais là pour lui aussi alors les gens verront peut être ces quelques pas comme "pas grand chose" mais ils se trompent. Il vient de marcher. Il vient de marcher alors qu'il souffre atrocement. Et je ne peux que être fière de lui alors un doux sourire sur le visage, tenant sa main, je lui dis, je lui dis à quel point je suis fière car c'est juste la vérité. « Je serais toujours fière de toi. Tu es remarquables chéri. » oui il l'est, c'est la stricte vérité. J'accepte ensuite de lui faire un massage du dos, c'est la moindre des choses après l'effort qu'il vient de fournir. Et les gens n'ont pas d'idée à s'en faire, je vais juste le masser. Rien de sexuel là dedans, c'est un geste pour le soulager, comme le ferait un masseur professionnel ou un kiné. Bonaventure est canon, sexy ce que vous voulez, mais il n'y a pas de ça entre nous. Si quelqu'un avait le droit à des bénéfices en plus c'est Adam, dans un moment privé. Il a des passes droit Adam.

Bonaventure prend le temps de caresser son furet, l’animal étrange à 4 pattes, qui ne ressemble ni à un rat, ni a un raton laveur, c'est un truc vraiment bizarre et poilu, je suis pas fan, mais Bona l'aime alors je n'en fais pas de commentaire. Pendant qu'il s'occupe du monstre miniature, je prends le temps de me rhabiller, parce que franchement j'ai l'air d'une marie couche toi là. J'arrange mes cheveux, la chemise de Adamn histoire d'être un peu mieux et lui demande où il range les huiles essentielles, Il m'indique le bon tirroir et je souris, taquine « Tu ranges ça avec tes caleçons ? » je souris, ce n'est qu'une boutade. Attrapant l'huile de massage à l'endroit indiqué, je reviens vers lui en souriant, tout en parlant pour lui changer les idées « Oh je t'emmènerai en faire le tour, c'est tellement magnifique ! Les gens sont top, ils sourient tout le temps, les décores de dingues, je te montrerai tout ça. » tout ça, ça sera ce que je dirigerai bientôt, ça sera à moi quand je serais à la tête du pays. « Ah on organisera ça alors ! Je suis sûre que vous vous entendrez à merveille ! » oui ils ont beaucoup de point commun l'un comme l'autre, alors ça ira, du moins, je n'imagine pas qu'ils ne s'entendent pas. Mon ange gardien et mon copain doivent être amis. Sur le sujet des démonstrations d'amour publique je souris à sa question « Si j'aime bien, enfin ça me dérange pas mais ... » oui c'est pas les démonstrations qui me gêne, c'est plus le fait qu'en Espagne je suis épiée, tout le temps. « C'est plus que j'ai pas envie que tout le monde en parle quoi ? Enfin ... Je suis médiatisée là bas, ici, ça va, beaucoup moins, Adam est pas de la royauté, si ça se sait, les gens vont démonter notre couple parce qu'on entre pas dans la norme royale tu vois ce que je veux dire ? » ouais, la foutue norme royale qui dit que je devrais épouser un prince, un roi un duc, un mec snob, avec un titre à la con. Un mec qui permettrait d'étendre l'empire espagnole. Un mariage arrangé en général, si il y a de l'amour c'est en plus. Perso, je compte pas faire un truc pareil, non non et non. Je suis libre. Personne ne fera faire ça, tout le monde le sait.


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Emilia n’imaginait pas combien sa tendresse le touchait. Il ne méritait pas l’amour de cette femme, elle était bien trop lumineuse pour lui bien qu’il savait aussi déceler sa part d’ombre par moment. Tout le monde avait une facette cachée avec plus ou moins de brio. C’est bien ce qu’il affectionnait tant dans ses enquêtes : découvrir les mystères des autres, découvrir la vérité sous les mensonges.  Il en avait besoin aussi profondément que de l’air qu’il respirait. Bonaventure ne pouvait pas vivre sans ses enquêtes car il s’était raccroché à elle par le passé histoire d’oublier sa souffrance, cette sensation de manque. Encore aujourd’hui, il se plongeait dans les études et le travail pour oublier ses faiblesses, pour tenter de ne pas céder aux sirènes des médicaments. Dans le fond, il enviait également le couple d’Emilia au même titre que celui de Summer. Elles avaient trouvé l’amour, une personne à laquelle s’accrocher, à laquelle se confier, à aimer. Il n’avait personne et même s’il trouvait cette fameuse perle rare, le Quincy en connaissait déjà le funeste destin : elle finirait par le quitter. Il était trop secret, trop aborbé par ses enquêtes, rongé par un mal que personne n’arrivait à comprendre. Il aurait beau faire tous les efforts du monde au départ, il finirait par la décevoir, par la blesser.

Aujourd’hui, les choses étaient encore plus compliquées avec son mariage. Il ne pouvait même plus offrir une relation saine à une femme. Juste le rôle de maitresse. Un petit rire s’échappa de ses lèvres à la boutade de son ange gardien. « Ouais, pour que tu puisses tripoter mes boxers » la taquina-t-il en retour tandis qu’elle enchainait sur son voyage et son désir de l’emmener là-bas. Il avait l’impression d’y être déjà songea-t-il en l’écoutant parler. Oui, ce serait si facile de se laisser bercer par ses paroles. « J’en suis certain aussi ! J’ai vraiment hâte de faire sa connaissance... Cela doit être un mec bien s’il a su te capturer dans ses filets » commenta-t-il tandis qu’il glissait ses bras sous un oreiller pour le ramener sous son visage. Par moment, il se surprenait à rêver d’une relation identique... Ce serait sûrement le pied pour le temps que cela durerait.   « Ouais je comprends ce que tu veux dire. Et lui, il en pense quoi ? Mais Emilia, un jour ou l’autre, tu seras forcée de faire un choix non ? » lui demanda-t-il un peu inquiet. Il n’avait toujours souhaité que le bonheur de cette femme et la perspective qu’elle puisse souffrir le rendait malade et en colère également. Après tout ce qu’elle avait traversé, Emilia méritait le bonheur. « Au pire, je connais du monde qui pourrait t’offrir une nouvelle identité » soupira-t-il un brin amusé par l’idée qu’elle joue les clandestines.

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Des fois je me dis que je ne mérite ni Adam ni Bona dans ma vie, ils sont de vrais pilier pour moi, pour mon équilibre, pour ma santé mentale, ils sont tellement important, tellement gentil avec moi, ils prennent soin de moi. Surtout Bona. Il l'a fait quand la solitude me rongeait. Et maintenant je suis là auprès de lui et même sans parler, on se comprend, une relation invisible à l'oeil nue est là entre nous. On est en totale connexion, en total phase. Avec Adam, c'est différent, c'est de l'amour. De l'amour pationnel, de la complémentarité, il me calme, alors que moi, je suis du genre à partir dans tous les sens, il est là pour moi aussi et il est mon repère, il est un peu la seule famille que j'ai eu pendant très longtemps, il a beau ne connaitre qu'une partie de moi, il me connait quand même bien. Je souhaite à Bona de trouver une fille qui le rendra heureux comme Adam me rend heureuse rien que par sa présence. Je lui souhaite de trouver une fille avec qui la passion sera présente, avec qui il pourra faire ce qu'il fait avec moi et ce que je fais avec Adam, vous voyez ? Il finira par trouver, parce que qui dirait non à Bonaventure ? Il est parfait. Et puis, pour l'avoir vu dans son plus simple appareil, même si j'ai pas trop trop eu le temps de regarder prise dans le moment, il est bien fourni, la fille qu'il satisfera en aura de la chance, je pense que si on avait pas une relation platonique et que j'étais célibataire surtout, je lui aurais sauté dessus en voyant ça.

Je lui sors une boutade sur l'emplacement de l'huile de massage histoire de lui changer les idées en attrapant les bouteilles pleines, je ris à sa réponse « Ahah tu sais que j'adore ! Et puis maintenant, je sais que t'achète pas de la merde pour couvrir ton intimité ! » je lui adresse un sourire amusé et revient vers lui avec les flacons en main, je prends le temps de les regarder, lire à quoi ils sentent parce que si j'aime pas l'odeur, j'en prends un autre, je suis compliquée ahah ! En même temps, on parle de mon pays, j'aimerai tellement l'y emmener un jour, qu'il voit ce que je vois moi quand j'y suis. La beauté des terres espagnoles. Et par la même occasion on parle d'Adam et un sourire à la con est sur mes lèvres « Ahah c'est le mec parfait pour moi quoi. » un nouveau sourire je reprends « Toi et lui, vous êtes mes perfections quoi » Ouais, les deux sont indispensables dans ma vie, comment je ferais si l'un d'eux venait à perdre la vie hein ? Mais sur le sujet de notre relation, je soupire un peu suite aux paroles de Bona, pas parce qu'il me saoule mais qu'il a raison « Euuuh, j'en ai pas vraiment parlé avec lui ... Mon père est pas vraiment pour la relation qu'on a, Adam s'en voudrai si il savait que je me suis prise la tête avec mon paternel pour lui ... Donc pour le moment, ce sujet là, je l'évite comme la peste ... » Ouais qui sait, peut être qu'en ignorant ce problème, il disparaitra tout seul ? Je suis pas idiote je sais bien que non, mais on peut toujours rêver ... « Après un choix, je sais pas ... Enfin, je veux dire, Adam est pas un droguée ou un criminel, c'est un fils de militaire il a une famille respectable, super, encore, si c'était un gars qui sort de prison, je peux comprendre mais là ... Non ... Avec le temps, j'espère juste que les gens se feront à l'idée et qu'ils accepteront Adam. J'espère que mon père l'acceptera. » Ouais, parce que mon père, c'est un peu une personne très importante pour moi depuis que je l'ai retrouvé. Je souris à sa proposition « J'y penserai. Si je change de prénom, je demanderai à m'appeler ... Dalia, ça m'irait bien non ? » sourire amusée et je demande par la suite « Pour le massage, je peux te chevaucher ou bien tu as mal et tu préfères que je reste sur le côté ? » ce n'est que après mes paroles que je me rends compte que le terme utilisé est quand même mauvais, j'aurais pu en choisir un autre.


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« Hey ! Je te signale, qu’il n’y a pas plus que classe que moi » grommela un Bonaventure vexé au plus haut point car la mode avait toujours été une de ses passions. Il aimait être bien habillé et il en allait de même avec ses sous-vêtements. Il savait bien qu’Emilia le taquinait et franchement, il n’était pas non en train de sérieusement lui faire la tronche mais la douleur avait tendance à le rendre grognon. Au moins, l’entendre parler de la beauté de ses terres natales lui donnait du baume à l’âme. Il y avait une telle passion en elle que Bonaventure pouvait presque sentir la chaleur du soleil espagnol sur son visage tout comme il ressentait l’amour de cette femme pour ce fameux Adam. Ce dernier avait bien de la chance car cela devait être génial d’être aimé et d’aimer en retour. Le Quincy savait que ce n’était pas pour lui. Il avait toujours tendance à craquer pour des femmes inaccessibles : elles étaient soit amoureuses d’un autre, soit totalement réfractaires à l’amour. Il ne parlait même pas de toutes celles qui le friendzonaient en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire ouf. « Tu parles d’une perfection… Je suis cassé de partout mais ton mec, lui, il doit être parfait si t’en es tombée amoureuse. Je suis content pour toi tu sais… Après tout ce que tu as traversé, tu mérites de trouver le bonheur » rétorqua-t-il.

« Ton père t’aime, s’il te sait heureuse auprès d’Adam, il finira par accepter ton choix, j’en doute pas un seul instant. Il a peut-être des responsabilités mais il n’en reste pas moins un père » tenta-t-il de la rassurer tandis qu’il la sentait venir le rejoindre sur le lit. « Tu serais sexy en Dalia » rigola-t-il en gardant le visage enfoui dans son oreiller, étouffant par la même occasion sa voix. Emilia le tua d’un coup d’un seul à cause de sa question. « Oh bon sang, tu viens de faire ma soirée ! Oh oui chevauche moi, je savais que tu en avais toujours eu après mon corps » ricana-t-il en tournant le visage sur le côté pour lui adresser un sourire moqueur. « Sérieusement, tu peux t’installer au-dessus, ça me fera pas mal et tu seras plus libre pour le massage » reprit-il en lui faisant un petit clin d’œil.

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