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Week end entre bro - feat Paris A. Maconahey

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Week end entre bro
feat. Paris A. Maconahey
Grand sourire amusé face aux paroles de Paris, qui lui avoue que Mira est visiblement la femme parfaite car elle s'y connait en lingerie il reprend « Elle s'y connait en lingerie ? Alors ça c'est cool. Rien de tel que des dessous sexy pour me faire faiblir ! » oui il n'est qu'un homme après tout ! Un grand sourire sur les lèvres il reprend alors « Tu penses que je lui plais ? » Pourquoi pas la revoir après tout ? Elle est mignonne, drôle et gentille et si elle s'y connait en lingerie et qu'elle est pote avec Paris c'est qu'elle doit être vraiment cool non ?

Concernant son couple avec Summer, Paris lui laisse entendre que le principe pour être heureux c'est de laisser croire à la fille qu'elle est le sexe fort. Ca c'est sûre c'est la technique le oui chérie marche toujours. Un sourire « Ouais en plus ça évite les emmerde je pense. » non mais parce que certaines filles peuvent être vraiment chiante. Basini se rappelle encore de ses affrontements avec Elena. Ils étaient musclés quand ça criait, ça criait. En italien et en anglais. Les cris fusaient, les objets volaient. Une relation désastreuse pour un comme pour l'autre. Mais en même temps c'est ça l'amour non ? Du moins, c'est le seul qu'il a connu. L'amour malsain destructeur et douloureux d'Elena. Son addiction à elle qui l'a poussé au bord de la folie. Et encore aujourd'hui cette emprise elle la garde sur lui et le met encore dans des états terribles. Le sujet étant de base les combats Dante essaye de savoir qui organise mais Paris n'en sait pas plus E. « Ouais je vois, ils couvrent leur arrière quoi ... » il note dans un coin de sa tête de lancer des recherches. Si le milieu est si pourri c'est peut être un marché à récupérer pour les italiens. « Ma bagnole, laquelle ? La mercedes ? Elle est bien mais je suis toujours pour que tu regardes. Mais je préfèrerai que tu jettes un oeil à la jaguar, je fais des courses avec alors je suppose qu'il a les plaquettes de freins à changer et les niveaux à faire ... » et c'est salissant donc ça, il ne le fait pas. Pour un potentiel combat l'un contre l'autre, Dante rigole à la remarque de Paris et reprend « T'inquiète pas. Je dirais à Summer d'être prête à jouer les infirmières pour toi. » des petites taquineries entre frères qu'ils se lancent, ça montre bien leur amitié.

Mais quelques choses travail Paris, son ami Basini n'a même pas la tête à draguer. Et si Basini n'a pas la tête à draguer c'est pas bon signe en général. Prétextant qu'il n'en avait pas envie, Paris n'en croit pas un mot mais fait genre, histoire de. Dante déclare ensuite qu'ils se font un week end no limite et la réplique de Paris le fait sourire « T'imagine ? On aurait l'air fin dans une de ces prisons ! » L'embarquement se fait sans encombre, le vol aussi est tranquille et un taxis les attend pour les conduire à la villa que Dante a choisi. Paris en est éblouie quand la porte s'ouvre et Dante sourit en haussant les épaules avant de dire « Elle te plait ? » visiblement oui, il rit à ses paroles avant d'ajouter « Ah je note ça alors ! » sa valise reste dans l'entrée et il suit son frère dehors, face à la piscine et arrive derrière Paris pour le pousser dans l'eau « Allez tu inaugure la piscine ! » oui ce n'est pas Dante qui va beaucoup y aller puisqu'il ne sait toujours pas nager ...


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FEAT. DANTE | « Aucune idée mais ouais je pense. La dernière fois, elle m’a dit qu’elle avait été un peu verte de ne pas pouvoir t’offrir un verre donc je pense que si tu vas la voir, elle dira pas non » hausse-t-il les épaules. Paris n’était pas le plus doué pour jouer les cupidons, c’était surtout Summer qu’il l’était. Sa petite-amie était la reine du romantisme lui… il était bien trop brut de décoffrage pour cela. « Mais il est toujours bon de sortir avec une femme qui s’y connait en lingerie… » ajouta-t-il comme pour convaincre son ami de donner une second chance à la jolie blonde. Une femme qui sait mettre ses atouts en valeur dans l’intimité… ça ne courrait pas les rues donc autant en profiter bassement. Puis qui sait, Dante finirait par se trouver une femme qui lui donnerait envie de se poser.

Summer l’avait fait pour lui, coupant court à ses sauteries mais aussi à certains comportements destructeurs comme les combats illégaux. Pour autant, elle n’était pas du genre à se plaindre ou à pousser des gueulantes. C’était bien tout le contraire : elle se laissait faire et si par moment, ça avait le don de l’exciter, à d’autres, cela l’agaçait. Pour cette histoire de combat, elle était montée au créneau, portée par la peur de le perdre. Il faut dire qu’il était rentré dans un sale état malgré les soins fournis aux urgences. « Comme toujours ! Ce sont les plus lâches qui dominent et quand ça sent le roussi, ils se tirent avec le fric » hausse-t-il les épaules, las de la médiocrité de certains qui jouaient les bad boy mais qui, au fond, ne voulaient pas se salir les mains et donc confiaient la sale besogne à d’autres. Au moins le monde des courses automobiles était encore épargné mais jusqu’à quand ? Paris l’ignorait et pour le coup, ne s’en intéressait pas vraiment. Lui, ce qui lui plaisait avant tout, c’était de mettre le nez dans le moteur, les mains dans le cambouis. « Pas de souci, si tu veux, tu passes au garage et je m’en occupe » dit-il. Dante savait qu’il bossait souvent le mercredi soir dans le garage d’un ami pour simplement jouir de sa passion pour la mécanique.

Le week-end partait tout de même sur une note de scepticisme : Dante n’avait pas le cœur à draguer ? C’était qu’il y avait quelque chose de louche. Paris préféra lui laisser un peu de temps avant de l’attaquer de front. Il verrait une fois rendu au Mexique. « Je préfère pas trop imaginer » rigole-t-il au sujet des prisons. Quelques heures plus tard, les voilà arrivés à destination dans une super baraque. « Attends, tu déconnes ? Elle est géniale cette baraque ! Elle doit faire au moins quatre fois mon appartement » s’écria-t-il tout en s’approchant de la terrasse et surtout de la piscine où il se retrouve rapidement à piquer une tête même sans le vouloir. « Alors ça… ça mon gars, tu vas me le payer » s’écria-t-il tout en rigolant. Il était trempé des pieds à la tête. Une bonne chose que son téléphone ne soit pas dans la poche de son jean pour une fois. « Pour la peine… j’espère que tu as prévu un bon stock de bière »dit-il en lui lançant une gerbe d’eau histoire qu’il participe à la fête.
 


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