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WILDINFORD • " Push me up against the wall. Don’t take it easy, you like it hard like me."

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- Ah oui, j'avais presque oublié ce léger détail ! Tout s'explique. Souriais-je enfin, c'est vrai que sa sœur était notre présidente, d'ailleurs je me disais que je ne la connaissait pas plus que ça bizarrement.. Je ne savais même pas quelle relation ils entretenaient tous les deux, j'avoue ne les avoir jamais vus ensemble depuis que je suis là et, que je connais Cole. M'enfin, retour aux éloges, à notre narcissisme inée qui avait du mal à se décoller de nous. J'approuve ce qu'il disait d'un mouvement de tête que je levais les sourcils, en laissant s'échapper un petit "hum" pour valider ce qu'il venait de dire, vu la reine de cette année, c'est certain qu'ils avaient foiré dans les votes, je ne comprenais pas ce qu'il y avait de beau chez cette personne pourtant si hideuse. D'ailleurs, je n'arrivais pas à assimiler le fait que Tate soit assez proche d'elle d'après ce que j'ai pu apercevoir au bal, j'étais pas vraiment d'accord même pas du tout pour que notre VP aille fricoter avec l'ennemi. Notre dignité, j'ai l'impression que pas mal d'Eliot s'en balance maintenant, j'étais déçue par cette maison qui était autrefois au-dessus de tout et de tout le monde mais, surtout respectable et respectée.. C'est le bon vieux temps comme on dit. Je soupire avec nostalgie et, il m'arrache à mes souvenirs en parlant de notre nouveau règne, je presse sa main un peu plus fort dans la mienne, dessinant un sourire satisfaite sur mes lèvres. - Ça c'est sur.. Je pense qu'il est grand temps de remettre cette maison sur pieds et d'éradiquer ces stupides verts d'Harvard.. Non, mieux ! De la terre.. Répliquais-je avec ambition, fronçant les sourcils laissant mon dégoût pour ces gens parler sans m'en rendre vraiment compte. La dégradation de la EH me faisait mal au cœur, le rappelant comment autrefois elle était prestigieuse et maintenant, il y a tout ces ratés dans nos rangs, même les verts avaient su garder leur éthique plus que nous.. Ça n'était pas normal et il fallait y remédier. Je lève les yeux au ciel, secouant la tête comme pour balayer ces pensées négatives et toxiques pour mon cerveau, écoutant les espérances de Cole sur son ancienne fiancée, je me pince les lèvres pour éviter de rigoler. - Elle sûrement dû deviner tes intentions salaces et à prit la fuite ! Dis-je en me moquant ouvertement de lui. Bon, en même temps je ne comprenais pas comment elle a pu rester tout ce temps à ses côtés, faisant semblant et de plus, devoir accepter les infidélités multiple de Cole.. Aucune femme digne de ce nom n'aurait pu accepter. En même temps elle ne devait pas tout savoir, mais elle a sûrement quand même avoir dû écho de quelques unes de ses histoires, je sais pas.. Tout se sait en plus ici, je ne comprenais pas comment il avait pu rester discret à ce point là avec CS qui rôde, il a sûrement dû la baiser elle aussi pour qu'elle garde le secret. Je n'en serais pas étonné. - Ah ça j'en doute pas.. Du moins j'espère pour toi, il suffit qu'une connasse t'amadoue avec de beaux sous-vêtements et des seins avantageux, pour que tu te retrouves avec un procès au cul et un gosse sur les bras, alors arrête de jouer avec le feu Cole. Oui, je n'aimait pas vraiment son comportement, il se lâche un peu trop et, il avait quand même une image à garder, je n'avais pas envie qu'elle soit dégradée par des croqueuses de diamants prêtes à tout. Je prenais un ton protecteur envers mon ami, je n'avais pas envie qu'il lui arrive une merde et qu'un simple scandal lui fasse perdre tout ce qu'il a. Il y en avait tellement eu des histoires comme ça, que l'on est jamais trop méfiant, puis je suis aussi pas mal parano sur les bords mais bon vaut mieux prévenir que guérir non ? On revenait finalement sur le choix de ma robe, je souris, tordant ma bouche sur le côté. - Oui, une facile à l'enlever histoire d'aller au lit plus vite ! Je lui lance un regard provocateur avant d'ajouter. - Merci pour le conseil, j'apprécie.. Je me mordille une nouvelle fois la lèvre inférieur, un regard en coin, je viens mener mon verre à mes lèvres, m'étouffant avec ma gorgée. Je regardais le fond de mon verre horrifié, grimaçant, balayant les goutes de scotch sur le coin de ma bouche a l'aide de la paume de ma main. - Tu n'as pas osé ? Dis-je à deux doigts de gerber sur son tapis, reposant le verre avec dégoût et lui lançant un regard de travers en prime. Je prends une grande inspiration, un deuxième regard de travers et je viens m'enfoncer un peu plus dans son fauteuil. - Et la question est.. Qu'est ce que tu attends pour officialiser la chose ? Ombeline n'est plus un obstacle maintenant. Il était temps qu'il assume ce qu'il ressent, qu'il se réveille et arrête d'être un gamin puérile alors que je vois clairement dans ses yeux comment cette fille peut compter pour lui. À mon tour de subir les questions saignantes de Cole, je l'avais bien mérité après tout, donnant donnant, c'était comme ça que ça marche. J'avale difficilement ma salive, touché dans mon orgueil je réponds quasi immédiatement sur le ton de la défensive. - Je n'ai pas peur ! Du moins, pas de la concurrence, c'est de mes sentiments que j'ai le plus peur, je suis incapable d'aimer et d'être aimé. - Je n'ai juste pas envie de donner de mon temps à quelqu'un qui a la tête ailleurs.. Je préfère rester fixer sur mes objectifs, tout ça.. C'est des choses qui passent après, rien d'urgent. Oui, je m'en passe depuis des années, à part une petite amourette avec Zakhar, rien de bien sérieux, je n'avais pas laissé d'hommes entrer dans ma vie, dans mon jardin secret et je ne comptais pas le faire de si tôt. Débout, dos à lui, c'était une façon subtile de cacher les sentiments que peuvent provoquer ses questions sur mon visage. - Tout dépend les circonstances, quand ça n'a aucun intérêt je pense pouvoir m'écarter ! Oui, j'étais en train d'insinuer que Tate était sans intérêt.. Mensonge ? Vérité ? Franchement, je n'en savais plus rien, je ne savais plus comment prendre la chose alors je l'ignoré, le choix facile. J'avais répondu à la question de Cole avec ironie.. Ou pas ! Il vient alors me faire face, je sens le contacte de sa main de poser sur mon dos, je frissonne à peine quand elle glisse le long de ma colonne vertébrale pour venir finir sa route sur mes hanches. Je souris quand il me ramène à lui, mon regard dans le sien, mes doigts viennent glisser de son front à sa mâchoire doucement. - Probablement.. Sauf si je suis à tes côtés, alors ton titre n'aura plus d'importance.. Dis-je dans un murmure me rapprochant mon visage à quelques centimètres du sien sans jamais quitter son regard, un petit sourire en coin ornant mon visage.
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  « Hey, je te laisserais pas traiter ma jumelle de léger détail ! » ronchonnai-je. Victoria était intouchable avec moi, il ne valait mieux pas s’y attaquer. On évoqua ensuite l’élection décevante de cette mather comme reine. Une toxico mise en avant, c’était bien le reflet de la décadence de notre société… Heureusement que je relevais le niveau du couple royal de cette année. Hippolyte et moi, régnant sur le campus, voilà qui était nettement plus classe et plus adapté. Elle nourrissait de grand projet : chasser les verts du campus, remettre notre maison sur pied… « Tu commences à préparer ta campagne présidentielle c’est ça ? » rigolai-je alors. Connaissant les ambitions de mon amie, c’était fort à parier qu’elle se présenterait l’an prochain à la succession de Vic pour prendre la tête de la EH. Une place qui lui irait comme un gant, car c’est certain avec elle comme chef, les eliots en carton qui n’étaient pas dignes d’appartenir à la confrérie se verraient très certainement virés. Et c’était avec une politique ferme et efficace comme cela que la maison retrouverait toute sa grandeur… Bien sûr, Victoria était parfaite comme présidente, c’était ma sœur jumelle ne l’oublions pas. Seulement, ses aléas personnels devaient surement un peu avoir biaisé sa façon de penser. Et par -Aléas personnels-, j’entendais –Avery Silver-. Cette espèce de rien du tout dont elle s’embarrassait trop souvent, jusqu’à le choisir comme cavalier pour le bal. Bref, ce ne fut pas sur les choix de ma sœur que l’on s’attarda mais sur les miens. Lorsqu’elle me taquina sur –ma colonie de vacances- pour désigner les nombreuses conquêtes à mon actif, le sermon n’était pas loin. Il arriva ensuite, quand la question de la majorité et du consentement de toutes ces jeunes filles fut écartée, Hippo reprit sur les problèmes qu’un tel comportement pourrait m’apporter. J’haussai les épaules avec un air vexé devant ses avertissements : « Arrête de jouer les rabats joies. J’ai assez à faire avec ma mère qui veut me fiancer à une none, tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. » ronchonnai-je avec mauvaise humeur, même si dans le fond, je savais qu’il y avait du vrai dans ce que mon interlocutrice affirmait. Chaque nouvelle relation sans lendemain, chaque nuit de débauche, je risquais de compromettre ma réputation de gentleman et perdre ainsi toute crédibilité dans notre milieu. Mais pas question de reconnaître qu’elle avait raison à haute voix, Hippolyte en serait trop ravie. Je préférais attaquer à nouveau, confirmant par là mon image d’éternel séducteur, lui glissant une invitation pour un restau et le conseil de porter une robe facile à ôter. « Oui, c’est sûr qu’après un dîner avec moi, tu auras hâte d’aller au lit… Et pas pour dormir… » m’amusai-je à lui répliquer, toujours sur ce même ton équivoque. Je me levai pour la servir et lui fis ensuite croire que son verre contenait l’un de mes crachats. Elle manqua de s’étouffer, regarda sa boisson avec un air dégoûté, et l’expression de son visage eut raison de mon sérieux : j’explosai de rire. « Je suis un Wildingham, je ne crache pas voyons. » la rassurai-je en riant. Il fallait bien que je m’amuse un peu surtout que la suite de la conversation était beaucoup plus sérieuse. Hippolyte évoqua Kyla, grillant très rapidement l’attachement qui me liait à la brune, me demandant cash ce que j’attendais pour rendre notre liaison officielle. « C’est pas à l’ordre du jour pour le moment… Il y a encore quelques détails à revoir. » répondis-je. Je ne savais pas si c’était une bonne idée de le lui dire, mais Hippolyte arrivait toujours à me tirer les verres du nez, et de toute façon elle le découvrirait surement elle même si elle enquêtait un peu sur Kyla alors, autant lui raconter : « Kyla fait de l’escorting en parallèle de ses études… Ca et le fait qu’elle ne soit même pas Eliot, ça risque de me valoir de nouvelles fiançailles arrangées si ma mère apprend que je la fréquente. » Je comptais bien jouer de mes relations pour que Kyla nous rejoigne chez les bleus, et pour la partie qui concernait son job, il allait encore falloir qu’on en discute… Alors pour l’heure, je ne comptais plus me cacher, mais de là à étiqueter la jeune femme comme ma petite amie, ça me paraissait précipité. Passant ensuite aux aventures d’Hippolyte, cette dernière se vexa devant mes moqueries selon lesquelles elle flippait. Je la voyais bien se braquer, affirmer que ce n’était que des distractions qui la détourneraient de son objectif, que ça n’avait pas d’intérêt. « Et c’est quoi l’intérêt d’atteindre tes objectifs si tu ne t’éclates pas Hippo ? » A force de peaufiner son image, elle allait en oublier de vivre. Et moi je savais pertinemment de quelle manière je pouvais la faire se sentir vivante. La ramenant à moi, je me plaisais à imaginer mon hypothétique élection l’an prochain et les faveurs qu’alors elle m’accorderait enfin, après des mois à me repousser sans relâche… Sa main voyagea, ses doigts effleurant mon visage, son regard planté dans le mien. Elle confirma d’abord que probablement c’était un scénario envisageable. Ebauche de sourire pervers sur mes lèvres, ébauche simplement, car il s’effaça aussi vite qu’il n’était apparu. En effet, elle nuança la chose en précisant que si elle était à mes côtés à la tête de la EH, l’effet de mon titre serait nul. « Il me tarde d’être en septembre alors… » plaisantai-je avec un sourire amusé.
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Je me retiens de sourire quand il joue son grincheux lorsque j'ai qualifié sa sœur de "léger détail", ça va il n'y a pas mort d'homme, juste une façon de parler rien de bien insultant. J'expirais bruyamment suite à sa prochaine remarque en hochant la tête d'un air plutôt désolé. - Eh bien si cette maison était bien tenue je n'aurais pas besoin de préparer quoi que ce soit.. Mais c'est pas vraiment le cas alors bon.. Je n'arrivais d'ailleurs vraiment pas à comprendre, comment cette maison pourtant la meilleure était tombée aussi bas ! Elle n'avait jamais été tachée jusqu'à maintenant, les personnes qui se permettaient de prétendre faire partie de cette maison autrefois le pouvaient.. Aujourd'hui, elle est souillée, détruite, des gays, ouais là encore je n'accepte pas la relation entre Nemo et son connard rouge.. C'était juste dénigrant pour nous en fait, j'espère vraiment que l'année prochaine il n'osera pas se présenter ou encore pire être élu, se faire guider par un gay.. Mon dieu, je préférais quitter les bleus plutôt que ça. Impossible. Je grince des dents juste à l'idée que cela puisse se produire, vu le nombre de membres qui touchent à la drogue on serait presque prêt à rivaliser avec ces maudits Mather. J'en étais malade de cette situation, ça m'irrite de savoir qu'on est entouré de traîtres, de faux bleus, une bande d'abrutis avec qui on à pas les mêmes valeurs. - Franchement ça devient grave de ne plus pouvoir se mélanger même avec les nôtres.. Tu trouves pas ?! Le questionnais-je enfin, je voulais avoir son avis sur la question même si je pense déjà connaître la réponse à ma question en réalité.. J'avais peut-être besoin d'être rassuré, de savoir que les vrais Eliots n'étaient pas tous morts. M'enfin je me torture assez l'esprit comme ça, je voulais torturer celui de mon interlocuteur du moment, lui remontant un peu les bretelles sur sa conduite qui, soyons francs, laisse à désirer. Je le regarde réagir comme un gosse face à mes remarques, je relève un sourire en fermant les yeux quelques secondes lâchant un bref soupir. - Chéri, je dis ça pour toi, pas pour te faire chier, le jour où tu tomberas.. Je marque une pause, mordant ma lèvre, penchant légèrement la tête sur le côté. - Non parce qu'en fait je ne te laisserais ps l'occasion de te rétamer en bas de ta tour comme une pauvre merde, je veux que tu restes toujours au sommet Wildingham alors.. Fait attention à qui tu fréquentes ! Je finissais la fin de ma phrase sur un ton plus calme, il n'avait pas le droit de se ruiner juste pour quelques trous qui passent sous son nez. - Ou alors fait signer à ces jeunes femmes une clause de confidentialité ! Dis-je avec amusement ou presque, j'étais quand même un peu sérieuse pour le coup.. C'était pas une si mauvaise idée que ça je trouve. M'enfin bref, la conversation de ce futur restaurant en tête à tête était un sujet de conversation beaucoup plus intéressant. Je souris en humidifiant légèrement mes lèvres d'un coup de langue. - Tu sais je me sens déjà très très fatigué.. Répliquais-je en souriant d'un air innocent, je posais ma main devant ma bouche pour imiter un vulgaire bâillement. Je lui lance finalement un énième mauvais regard quand il m'avoue qu'il n'y a rien dans mon verre, j'étais au moins plus rassuré, reprenant mon verre en main en y jetant un dernier coup d'œil. Je menais finalement mon verre à mes lèvres, sans quitter des yeux Cole d'un air suspicieux. Ses aveux juste après manque de me faire laisser mon verre au sol, j'entrouvre la bouche en écarquillant les yeux, je passe de la surprise à la colère en une fraction de seconde. - Quoi ?!! Mon coeur s'emballe en entendant l'annonce qu'il venait de me faire.. Je rêve ! Bon voyons le bon côté des choses, quand je disais que c'était qu'une putain j'avais pas tort au final. - Pardon ?.. J'en reste pas moins choqué, j'avais du mal à comprendre comment Cole pouvait me dire ça de façon aussi spontanée en fait.. Comme si c'était normal, après le speech que je lui ai fait juste avant il me balance ça comme ça ?! - Putain, Cole, mais tu fais quoi là ?! J'étais à demi pour cette relation avec cette femme parce que je trouve qu'elle a ce petit je ne sais quoi que j'aime bien.. Ouais elle avait une grande gueule. Je comprends pourquoi maintenant. - Mais c'était avec de savoir ses activités professionnelles, c'est quoi ton problème ?! Tu as vraiment envie que la mère de tes enfants soit une ancienne prostitué ? Ou le jour de ton mariage avec elle la presse fouille dans son passé et, là, je vois déjà les gros titres; Le grand Wildingham se marie enfin à une de ses putains !" Je laisse tomber ma tête en arrière, exaspérée, la main sur mon front je fronce les sourcils pour essayer de le comprendre. - C'est franchement n'importe quoi ! Tu vas ruiner ta vie.. J'étais déçue, je ne pensais pas qu'il avait une aussi basse estime de soi pour se contenter de.. Ça. Alors la suite de la conversation n'était plus d'actualité avec la bombe qu'il venait de lancer au milieu de sa chambre. - L'intérêt c'est de ne pas finir mariée à un gigolo ! Grognais-je en haussant le ton. Oui, je ne supportais pas ce qu'il faisait, il ne pense à rien, c'est pas parce qu'elle va devenir Eliot que ça va effacer son passé de prostitué. Une femme de joie reste une femme de joie peu importe le titre qu'elle veut se faire porter. Et au diable ma promesse d'approuver son dossier pour entrer chez nous l'année prochaine. J'en veux pas, notre maison est déjà assez salie. Je soupire longuement pour évacuer la colère en moi à cet instant même, me ramenant à lui, je dérive le regard autre que sur lui.. J'avais du mal à le regarder en face. - Moi aussi.. Oui, j'espérais être élue et pas pour les mêmes raisons, pour avoir un certain pouvoir sur les nouveaux arrivants et ainsi éjecter Kyla de là..
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  « Ne commence pas à remettre en question la façon de présider de Vic, je te ferais dire qu’elle n’est pas seule aux commandes, et qui plus est, quand elle a pris les rennes en septembre, à ce qu’elle m’a raconté, c’était la catastrophe. » Je n’étais pas là, arrivé fraichement de janvier, mais ma sœur avait bien eu le temps de me raconter l’histoire de la confrérie. Alors oui, la Eliot avait eu sa période de gloire, de domination, rayonnant sur tout le campus, mais c’était il y a quelques années, et ensuite, des dirigeants laxistes, mielleux et un peu trop bisounours avaient conduit la maison à sa perte. Encore heureux que Tate et Vic avait su redresser la barre. « Je reconnais qu’il y a encore beaucoup de boulot, que peut être en serrant un peu plus la corde à certains Eliot qui ne collent pas trop à l’image, on pourrait retrouver notre excellente réputation intouchable. » J’imaginais déjà la chose. Et je savais Hippo sur la même longueur d’onde que moi, sa question suivante me le prouva. J’hochai la tête : « Je pense qu’il faudrait qu’on soit plus sélectif lors de l’adhésion des bizuts. Un grand ménage ne ferait pas de mal… » Petit sourire carnassier, diabolique. Je n’étais que simple membre, je ne pouvais pas imposer ma façon de penser et mes suggestions à ma sœur jumelle ni même à Tate. Mais la Eliot en haut du podium, c’était tout ce dont je rêvais et je savais que c’était le cas de mon amie également. Elle avait aussi à cœur de prendre soin de ma réputation et elle me rappelait que certaines de mes frasques risquaient de faire parler de moi, et dans le mauvais sens du terme. Elle réitérait donc son conseil : faire attention à mes fréquentations. Mon sourire s’élargit, et me voulant rassurant, je déclarai : « Sache ma chère Hippolyte, que je ne compte pas que des mademoiselles rien du tout parmi mes amies intimes. » Comprendre par là parmi mes coucheries. « J’ai aussi de vraies petites perles, qui d’ailleurs, feraient bien joli dans les rang de notre confrérie. » Marie Lou Burberry par exemple. L’une de mes proies dont j’étais tout particulièrement fier, et depuis que j’avais découvert son nom de famille prestigieux, je m’étais dit que la blondinette aurait complètement sa place à la EH. L’idée finale d’une clause de confidentialité n’était néanmoins pas à exclure. « J’y songerais… ». En tout cas, avec Hippolyte, il n’y aurait surement jamais de clause de nécessaire, vu qu’elle s’évertuait encore et toujours à m’envoyer sur les roses, comme là encore, lorsqu’elle affirmait être très fatiguée. Mais le sujet Kyla sembla aussitôt la réveiller. Elle qui me poussait quelques secondes auparavant à assumer et officialiser la chose, elle changea d’un coup complètement de discours. « Ce n’est pas une prostituée Hippo ! » rectifiai-je sur un ton dur. « Escort, elle est escort. » m’énervai-je alors qu’elle paniquait déjà sur les effets de cette histoire sur mon image. Bon, évitons de raconter à mon interlocutrice comment j’avais rémunéré la brune lors de notre toute première nuit ensemble, parce que là ça n’allait qu’alimenter son mouvement anti-Kyla. Je soupirai d’agacement à ces mots. « Tu me demandais ce que j’attendais pour officialiser ? Bah voilà, tu l’as ta réponse. » Il n’y avait pas que mes fiançailles en carton qui avaient joué, le soucis de mon image avait également pesé dans la balance pour taire cette histoire. Je regardai mes chaussures, boudeur, ne perdant cette mine contrariée que lorsque le sujet Tate surgit. L’inaccessible Dunford ne l’était pas, elle avait cédé aux avances de son bizuteur et finit dans ses bras, et forcément, ça écorchait un peu mon égo. Est-ce qu’un titre aux élections me permettrait le même traitement de faveur ? L’idée me fit retrouver le sourire, et le challenge était grand, car Hippolyte visait également les sommets. Ma main glissa sous son menton alors qu’elle évitait mon regard, je lui fis doucement relever la tête vers moi, mes prunelles s’accrochant aux siennes : « Qu’est-ce que tu as Hippo ? Tu redoutes ta future défaite ? »
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- C'est pas elle que je remet en question en fait.. C'est toute notre maison ! Je savais que notre maison avait bien coulée, bien avant qu'elle soit aux commandes, le système d'adhésion à la Eliot est devenu trop "light" et j'étais vraiment pas d'accord avec tout ça.. Trop de drogue, de gay, ils entrent pas dans nos critères et avoir des pommes moisies au milieu ça tâche la dignité de nous tous, enfin ceux qui sont propres sur eux dans tous les domaines, parce que clairement c'était pas le cas de tout le monde ici. Je fais la moue en entendant ce que lui en pensait, grimaçant je n'étais pas vraiment d'accord avec ce qu'il disait pour le coup. - Resserrer la corde n'est plus suffisant, faut juste les jeter hors du cocon, ils nous salissent avec eux et je veux pas mettre en péril mon nom ! Je grognais, cette histoire de faux Eliot m'avait bien saoulé, heureusement que l'année était terminée et que je n'avais plus besoin de fréquenter ce genre de traîtres.. Mes vrais alliés se comptent sur les doigts d'une main, Cole, Tate et Noah. J'en ai vite fait le tour et j'avais vraiment pas besoin de plus. - Si c'est encore comme ça l'an prochain et que je ne suis pas à la tête de cette maison pour rectifier le tir, je songe à me retirer avant que cette maison prenne l'eau.. Oui, ça faisait du mal de dire ça, d'en venir à imaginer cette possibilité parce que même avant mon départ j'étais déjà chez les bleus, ça a toujours été ma maison, mes frères et sœurs et je n'aurais jamais pensé en arriver là un jour.. Je déglutis, je n'avais pas vraiment envie de penser à ça en ce moment. Puis le sujet d'après m'importe beaucoup plus quand il m'avoue avoir tapé dans le mile dans quelques unes de ses conquêtes. Ça m'intrigue ce genre de révélation et je voulais en savoir plus. - Ah bon ? Et qui donc ? Dit moi touuuut.. Je veux savoir ! Et il faut aussi que tu m'explique pourquoi alors tu t'entêtes à coucher avec des femmes sans intérêt. Parce que là, franchement je ne voyais pas le but ni l'idée d'aller chercher ailleurs quand il peut avoir la cerise sur le gâteaux plutôt que des vieux fruits confits dont personne ne veut. Puis vient les nouveaux aveux qu'il vient de lâcher, comme ça, sans me prévenir, j'aurais préféré je me serais assise là avec ce que je viens d'entendre. Il venait de tout remettre en question sur la façon dont je voyais la chose entre les deux, je n'étais pas vraiment contre pour qu'il fréquente cette fille à la base, elle avait quelque chose qui me plaisait pas mal mais là... C'est l'hécatombe. Je peux juste pas accepter. Cole c'est... Cole pour moi et non.. C'est juste pas possible. - Cole s'il te plaît c'est quoi la différence entre les deux ?! Entre pute et escorte ?! Tu vois quelle différence là-dedans ?? Je le fusille presque du regard à ce moment-là. Vraiment je pouvais juste pas. J'arrivais pas à avaler la pilule. On était en train de discuter de faux eliots qui ne se respectent pas et là, clairement il faisait pareil, la même erreur. - Cole.. Tu veux m'avoir à dos pour elle, alors continue, officialise ta relation avec cette meuf et j'espère que tu regretteras pas après. Je serre les dents, une boule se forme au fond de ma gorge, j'ai du mal à parler, en fait j'avais peur de perdre Cole, j'avais déjà perdu Andrew et maintenant ça. J'étais là, dans ses bras mais au fond j'étais loin, je pensais à tout un tas de choses et à rien en même temps, j'en voulais à Kyla d'avoir atteint celui que je considère pratiquement comme mon meilleur ami, celui à qui je dis tout et un de mes plus solides piliers dans ma vie à l'heure actuelle. J'étais pas d'accord avec cette relation et je me gênais pas pour le lui faire comprendre.. Je l'écoute et je ferme les yeux, je regardais ses yeux un moment avant de répondre, je restais silencieuse parce que je devais faire attention à mes mots, les pesaient et c'était nouveau pour moi, j'ai pas l'habitude de faire attention à ce que je dois dire. J'ai pas l'habitude d'avoir cette crainte de perdre quelqu'un depuis que j'ai perdu l'être qui m'était le plus cher. - Non ça n'a rien à voir avec ça.. Dis-je en dégageant mon visage de son emprise et me reculant d'un pas. Je le regardais de ma position, j'étais franchement dégoûté de la tournure que prenait les choses, j'étais pas venue pour ça, c'était pas ce dont j'avais besoin en le retrouvant ici. Je passe ma main dans ma crinière blonde pour rejeter mes cheveux en arrière, lui tournant une nouvelle fois le dos. Je restais muette, incompréhensive. Je ne savais pas si c'était le fait que je devais le partager ou le fait que Kyla soit escorte qui me dérange le plus, ou peut être les deux j'en sais rien et j'avais mal à la tête. Je me tourne vers mon verre que j'empoigne, je bois le reste d'alcool qu'il reste d'une traite, gardant le contenu quelques secondes dans ma bouche avant de l'avaler. - Je sais pas quoi te dire Cole, tu as les cartes en main, si tu penses que c'est une bonne chose.. Fait ! Mais.. Je parle sans le regarder, les yeux dans le vide, je stagne sur le début de ma phrase sans vouloir continuer. - Laisse tomber.
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   Même si je n’avais pas connu l’ancienne époque, même si je n’étais arrivé qu’en janvier ici, j’avais entendu parler de cette période par ma sœur, donc j’entendais bien le discours de mon interlocutrice. « Je comprends bien crois moi… » Dans la théorie, dans les valeurs qu’elle affichait, la EH avait tout pour plaire. Tout pour nous plaire. Mais en pratique, dans les faits, il y avait des parasites, des troubles fêtes, des bleus qui ne rentraient pas dans le moule… Tout un tas. Surement davantage que ce que l’on soupçonnait d’ailleurs. Peut être même qu’aux yeux de certains, mon attitude et ma tendance maladive à collectionner les conquêtes faisaient de moi un mauvais représentant de la confrérie. Hippolyte, en acolyte parfaite, partit avec moi dans un délire complet de refonte de toute la Eliot. Ce n’était pas simplement de serrer la corde qu’elle envisageait, la demoiselle imaginait carrément un grand ménage. « Tu penses à quoi ? Les menacer de les virer si ils n’entrent pas dans les rangs ? Ou les évincer d’emblée ? » lui demandai-je de préciser, suivant et approuvant complètement son raisonnement. Sauf que les paroles suivantes de ma blonde préférée me firent déglutir. « Arrête non, Hippo… » La Eliot House sans elle ? Non, c’était comme un feu sans flamme…  « Et puis tu seras élue… Bon tu ne seras surement que vice présidente parce que ça sera moi le chef, mais tu seras quand même un peu au pouvoir… » m’amusai-je à la rassurer, imaginant vraiment la situation, notre duo à la tête de la maison et ce que cela pourrait donner. Sauf que mon élection n’était pas aussi certaine que j’aimais à la prétendre. Après tout, Hippolyte avait raison, je ne faisais pas parler de moi qu’en bien étant donné que j’avais un peu de mal à résister à la gente féminine. J’avais néanmoins quelques bels oiseaux à mon tableau de chasse. Et c’est fanfaronnant, un ton fier que je lâchai l’un de ces célèbres et prestigieux nom : « Burberry. » Marque de luxe mondialement connu. Inutile de le préciser puisqu’Hippo en avait surement plus qu’il en fallait dans son dressing. « Marie Lou Burberry. » répétai-je alors. « Tu vois, elles ne sont pas toutes sans intérêt… » répliquai-je alors. Enfin, on savait tous les deux que malgré cela, malgré toutes ces demoiselles dans mon lit, c’était une et une seule qui m’obsédait plus que de raison. Et quand elle surgit dans la conversation, que je révélais que son job était en partie la raison pour laquelle je freinais des deux pieds à l’idée d’officialiser quoi que ce soit, mon interlocutrice se raidit aussitôt. Je n’avais pas l’impression d’avoir commis une boulette. Parce que l’info n’était pas non plus secrète, il était assez aisé de découvrir que Kyla était escort, alors, d’une façon ou d’une autre, Hippolyte l’aurait su. Autant que ce soit moi qui le lui apprenne. Je défendis bec et ongles la brune, précisant bien qu’elle n’était pas une prostituée mais une simple escort. « Elle fait de la figuration, elle tient compagnie à des hommes pour de l’argent, elle sourit, elle leur tient le bras, va manger au restaurant avec eux. Mais ça s’arrête là. Elle n’enlève aucun vêtement, elle n’a aucun contact plus intime avec eux et… » Je crus qu’elle allait me tuer sur place et je me stoppai devant son regard assassin. « Ca ne me plait pas, je déteste ça. » Sauf que quand mon amie poursuivit, ce n’était pas pour s’épancher davantage sur la différence entre pute et escort, mais bien pour me lancer de manière un peu sous entendu une sorte d’ultimatum : si je continuais avec Kyla, si je me lançais dans quelque chose d’officiel, c’était sur notre amitié à tous les deux que je pourrais faire un trait. Je déglutis difficilement. Et la sentant se crisper un peu plus dans mes bras, j’essayais de détendre l’atmosphère mais ça ne prit pas. Elle finit par se détacher de moi, me tournant le dos, finissant son verre dans un silence pesant. « Fais pas la tête Hippo… C’est toi qui a voulu parler de ça en premier je te ferais dire… » Et pour le coup, je regrettais amèrement maintenant. « On devrait remettre le restaurant à plus tard, je vois bien que t’es pas d’humeur… »
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