Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWILDINFORD • " Push me up against the wall. Don’t take it easy, you like it hard like me."
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WILDINFORD • " Push me up against the wall. Don’t take it easy, you like it hard like me."

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Je m'avance vers notre sublime maison et, dire qu'une année s'est écoulée déjà, je me souviens encore de mes premiers jours ici, à mon arrivé. Je n'aurais pas pensé y arriver, faire semblant pendant toute une année et pourtant.. Oui, j'ai réussis ! Je monte les marches de l'escalier pour arriver dans le hall, il y a déjà un petit moment que je n'ai plus mis les pieds par ici d'ailleurs et, que je n'ai plus eu de nouvelle de Cole, en même temps je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, faut dire que je me suis faite petite, très petite ces derniers-temps. Je ne lui ai pas donné signe de vie mais, j'avais envie de le voir, besoin de le voir, il était mon alter ego, ma moitié, le même que moi en homme et, on ne pouvait que tellement bien s'entendre. Je pense bien que c'est l'une de mes meilleures rencontres ici, si je n'avais pas eu ma fierté j'aurais largement pu me laisser tenter par ses propositions alléchantes. Je dois bien l'avouer, il est pas le genre d'homme qui laisse les femmes indifférentes, il n'y avait qu'à voir la pauvre Kyla, complètement folle amoureuse, à la limite d'être interné la pauvre petite. Oui, Cole savait faire des ravages quand il le voulait bien. Je monte les marches une à une jusqu'à ce que j'arrive à l'entrée du couloir qui mène à sa chambre et continue mon petit chemin. Mon sourire déjà au bout des lèvres avant même de taper et, j'ouvre la porte sans attendre qu'il réponde, tant pis pour sa conquête du soir, je ne pouvais pas attendre une minute de plus. - Devine qui est là ? La femme de tes rêves. Je referme la porte doucement derrière moi en lâchant un petit rire, je dévisage vaguement la pièce en le cherchant du regard, pressé de le retrouver depuis quelques mois.

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C’est dans le confort de mon immense chambre privative à la Eliot House, on ne pouvait pas se contenter d’un dortoir étudiant lorsqu’on était le frère de la présidente voyons, c’était dans ma suite privée donc, que je m’étais installé pour mener mon « enquête ». Ombeline ne s’était pas pointée au bal, et même si j’avais su occuper ma soirée sans elle, et d’une manière plus qu’agréable au final, je ne pouvais quand même pas fermer les yeux sur son inquiétante disparition. Leevy niait être mêlée à tout ça, et je comptais bien découvrir ce qui était arrivé à ma fiancée. Je me posai à mon bureau, ouvris mon mac et commençai à pianoter sur mon clavier pour trouver la –trace- de la demoiselle. Quand on toqua et que la porte s’ouvrit avant même que je n’aie prononcé un mot, je sursautai, refermant instinctivement l’écran comme un gosse pris en faute… Cela dit mon expression de garçon pris en flag’ s’estompa en reconnaissant mon amie, son regard se posant finalement sur le coin bureau, accrochant le mien. « Mademoiselle Dunford en personne… » Je me levai, la rejoignant au centre de la pièce, me penchant pour venir embrasser tendrement sa joue. « Que me vaut l’honneur de la visite de –la plus égoïste- dans mes appartements ? » questionnai-je, m’amusant à reprendre son titre de la soirée du bal. « Félicitations pour ton award au fait. » Ha oui c’était censé être un razzie, mais qu’importe, pour nous ça ressemblait plus à une récompense qu’autre chose.
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Je venais d'entrer dans son humble demeure et, c'était le cas de le dire, je ne comprenais toujours pas pourquoi il se contenté de si peu, de se mélanger à tout le monde en restant habiter ici.. Mes premiers pas raisonnent dans la veste pièce joliment décoré je dois bien l'avouer, on voyait très clairement que la personne qui y était installé avec de bons goûts de luxe. J'entends finalement sa voix retentir de son bureau, il se lève pour venir me saluer et je tends ma joue où il y dépose ses lèvres. Je me recule légèrement, pouffant un léger rire quand il cite mon prénom accompagné du titre gagné lors de ce fameux bal. - Eh bien la plus égoïste vient rendre visite au plus intimidant.. Je lui donne un coup de coude amical avant de me retourner pour venir m'installer sur l'un de ses fauteuils. - Je viens pour avoir la preuve que tu es bien aussi intimidant que les gens le pensent ! Dis-je alors sur un ton de défi, provocateur en arquant un sourcil. Je ne doutais clairement pas de lui, je le connaissais assez bien pour savoir qu'il pouvait très bien l'être et, qu'il savait même très bien s'y prendre en la matière. - Plus sérieusement, je viens prendre de tes nouvelles, savoir comment va ta vie, j'ai appris la nouvelle pour Ombeline.. Je savais que c'était un sujet plutôt délicat à aborder mais, j'étais le genre de femme à mettre les pieds dans le plat. - Merci Wildingham, je te félicite pour le tient.. Il te va.. Comme un gant ! Je souris de plus belle, croisant les jambes, une main sur l'accoudoir. - Tu comptes me proposer quelque chose à voir ou faut-il que je fasse l'effort d'aller me servir moi même ? Répliquais-je sur le ton de l'ironie.
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 L’évocation de son prix/razzie la fit rire, de la même manière que sa réponse faisant référence au mien me fit également marrer. L’idée de pouvoir faire peur à certains étudiants m’amusait beaucoup, je devais l’avouer. Mais je savais bien que si il y avait bien une personne que je n’intimidais pas, c’était bien Hippolyte. La preuve, elle entrait sans attendre que je lui ouvre, et de la même manière, elle prenait place sur l’un des fauteuils de la pièce, faisant comme chez elle. « Visiblement ça ne doit pas marcher sur toi… » commentai-je en l’observant ainsi prendre ses aises. « Tu devrais faire attention… » lui soufflai-je en prenant un ton plus menaçant… J’allais lui proposer quelque chose à boire, gentleman malgré tout, mais lorsqu’elle aborda le sujet –Ombeline- je me ravisais, me laissant tomber dans le fauteuil à côté du sien. « Y’a pas de nouvelles à apprendre… Si tu parles du fait qu’elle ne s’est pas pointée au bal et qu’elle est aux abonnées absentes depuis, il faut juste croire qu’elle fait partie de celles qui se sont laissées intimider par mon charisme… » annonçai-je avec un petit air présomptueux. Quand elle exigea de manière plus ou moins sous entendue mon manque de bonnes manières, un rire moqueur s’échappa de mes lèvres. « T’es pas handicapée à ce que je sache… T’as deux jolies guiboles, ça serait dommage de ne pas t’en servir… » répliquai-je, m’enfonçant un peu plus dans le fauteuil sur lequel j’avais pris place. Et puis le mini bar était pile poil dans mon champ de vision, suffisamment bas pour imposer à la blonde de se pencher pour saisir la boisson qu’elle voulait, me promettant donc une jolie vue sur son petit derrière quand elle irait se servir.
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Il était parfait pour ce prix, Cole est, je pense la personne qui me donnerait le plus de fil à retordre s'il devenait mon ennemi.. N'empêche ça pourrait être drôle de mener une bataille contre lui, j'aurais enfin un adversaire de taille et, non pas de vulgaire pion qui essaye de manger une reine. Je secoue la tête de gauche à droite d'un air malheureux, effectivement, celui qui réussirait à m'intimider n'était pas encore né, ça c'est sur. Je fais semblant de trembler devant sa mise en garde, peu crédible il faut le dire, un sourire ineffaçable aux lèvres. - Ouuuuh.. Alors c'est à ce moment là que je suis censé avoir peur de toi Wildingham ? Dis-je sur un ton sarcastique en agitant les mains. Il vient finalement s'écraser au fond du fauteuil à côté quand le sujet devient plus sérieux. Je laisse sortir un petit rire étouffé quand il évoque "l'intimidation de son charisme", il ne perdait définitivement jamais le nord. - Oui c'est ce que j'ai cru comprendre, et tu n'as plus eu aucune nouvelle d'elle depuis quand exactement ?.. Rétorquais-je en fronçant les sourcils lui faisant face. Sa disparition resté quand même inquiétante même s'il prenait ça sur le ton de l'humour.. J'en connaissais une qui sera bien contente et profitera bien de la situation cela dit. - Oui faut croire.. Tu dois être vraiment puissant alors pour provoquer des disparitions ! J'expire bruyamment avant de laisser mes yeux se poser sur le mini auquel il m'incité à aller de mes propres moyens. - Je m'en sers oui, mais pour tout autre chose ! Tu as donc perdu ta classe et le fait de savoir bien traiter une femme et, surtout bien me traiter en deux mois ? Je grimace légèrement en affichant une mine faussement déçue par son attitude, j'haussais les épaules en m'enfonçant un peu plus dans mon siège. - Et Kyla ? Je finis par sortir avec toute simplicité. Je ne suis pas vraiment le genre à prendre des pincettes non plus.
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Je m'en doutais et elle le confirma en secouant la tête : mon pouvoir intimidant n'avait pas d'effet sur elle. "Tu sais que ce prix, il t'aurait été à merveille aussi..." C'était pas un aveu de faiblesse, j'étais pas en train de me dire intimidé devant elle, mais à mon humble avis beaucoup d'étudiants perdaient leur moyen devant l'assurance et le détachement affiché de la jolie blonde déstabilisante. Je me risquais aux menaces pour tenter de la troubler mais la technique ne porta guère ses fruits."Non, pas encore..." répondis-je alors qu'elle se faisait moqueuse, prenant soin de ne pas la servir comme la galanterie l'exigerait, me lovant plutôt dans le fauteuil adjacent au sien. " Si tu n'as pas peur du grand Cole, Je t'arracherais des tremblements d'une autre manière tu sais, ce n'est pas un soucis..." soufflai-je sur un ton chargé de sous entendus... Pas la première fois que je sous entendais qu'elle serait plutôt bien dans mes bras et dans mes draps, mais la blonde mettait toujours un point d'honneur à refuser mes avances. On parla d'Ombeline ensuite, et le ton n'était plus aux sarcasmes et moqueries. Je confiais à mon amie les quelques infos que j'avais concernant la disparition de ma fiancée. " On s'est fait un restau quelques jours avant le bal, c'était sympa, ça se passait mieux entre nous ces derniers temps." Pas de parties de jambes en l'air sauvage non non, n'oublions pas que j'étais fiancé à miss sainte nitouche. Mais on pouvait presque dire qu'on était amis Ombe et moi, c'était un certain progrès vu qu'au SB c'était carrément électrique entre nous. "On devait se rendre au bal ensemble mais elle n'est pas venue, elle n'a pas prévenue et quand je suis allé dans sa chambre il n'y a pas longtemps pour s'expliquer, j'ai découvert qu'elle avait été complètement vidée." Plus de draps sur le lit, d'affaires de toilette dans la salle d'eau, ou encore de vêtements dans le placard. Ça sentait le départ tout cela. "Tu crois que je peux annuler l'envoi des faire parts ?" demandai-je avec un sourire amusé. La future mariée qui se barrait sans prévenir, ça sentait l'annulation des noces ça... Et bizarrement, cette idée était loin de m'attrister. Je l'invitai à se servir à boire elle même, me délectant d'avance de la vue qu'elle allait m'offrir mais elle ne bougea pas. "Et tu t'en sers pour faire quoi dis moi?" demandai-je avec un sourire salace au sujet de ses jolies jambes qu'elle refusait d'utiliser pour aller jusqu'au mini bar, mais que je sentais prêtes à venir me mettre un coup bien placé si je continuais à faire mon impoli. Parce qu'elle savait bien me reprocher mon manque de manières. "Ça se mérite un verre servi par Cole Wildingham..." continuai-je à marchander malgré tout. "Tu m'offres quoi si je te sers ?" Tous les prétextes étaient bons pour obtenir quelque chose d'Hippo... Et de son côté, tous les prétextes étaient bons pour me questionner. Après Ombeline, c'est Kyla qui devint l'objet de l'interrogatoire. Un soupir s'échappa de mes lèvres... "Et Tate ?" demandai-je en reprenant sa formulation cash et direct et en imitant son ton avec un petit sourire taquin aux lèvres. "Donnant-donnant, ma petite Hippo. Je te raconte si tu fais de même..." Marchandage encore et toujours...




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Je souris face à son aveu, je ne sais pas si ce titre me conviendrait autant qu'à lui, mais une chose est sûre; nous étions fais pour nous entendre. - Probablement.. En même temps, tu es un peu mon moi au féminin ! Dis-je en gardant toujours ce même sourire avant d'ajouter. - Une copie légèrement médiocre.. Je me mordais la lèvre, mon ton se faisait toujours aussi provocateur. Je n'en pensais pas un mot en réalité, Cole était parfait en tout point et, il devenait bien difficile de croiser de vrais Eliot dans son genre.. Il n'y avait qu'à voir Zakhar.. Mon dieu, heureusement que le ridicule ne tue pas. Il était bien loin de nous faire honneur, au moins Cole, lui, avait opté pour le bien être de son image et sa famille plutôt qu'à l'amour. Je ne dis pas que c'est la meilleure des choses ou.. En fait si et, c'est probablement parce que je suis incapable de ressentir le moindre sentiment. Je viens remettre une mèche de cheveux derrière mon oreille en me rapprochant de lui d'à peine quelques centimètres. - Voyons Cole, depuis le temps, tu devrais peut-être te faire à l'idée que ton pouvoir de séduction n'a absolument aucun effet sur moi ! Un sourire vicieux en coin se dessine sur mes lèvres, il y avait toujours ce jeu du chat et de la souris entre nous, bien loin de m'embêter je trouvais ça plutôt amusant au contraire, être l'une des rares femmes qui ne soit pas passer à la trappe. Je recule finalement pour me laisser retomber sur le dossier de ma chaise, écoutant attentivement les derniers moments qu'il avait passé avec ce qui devait être sa future femme. J'acquiesçais au fur et à mesure de son histoire, c'était relativement bizarre.. Le fait qu'elle disparaisse comme ça, ça ne m'étonnerait pas que Kyla soit derrière tout ça, elle est assez frappé pour lui avoir fait des menaces juste pour garder Cole cette pauvre fille. J'écarquille les yeux quand il me dit qu'elle s'était barrée, que plus aucune de ses affaires n'étaient dans sans chambre, logiquement elle s'est en allé de son plein gré, on pouvait déjà écarter la thèse de l'enlèvement. - Mon dieu.. À mon avis elle ne devait pas être comblé par tes performances sexuelles ! Tu ne dois pas être aussi doué qu'on le dit Wildingham. Je lâche un léger soupir en tournant la tête en sa direction. - Tant pis pour être, je connais bien des femmes qui donneraient tout ce qu'elles ont pour finir aux bras de Cole Wildingham, absolument tout en passant par la dignité et la pudeur. Coucou Kyla again. Oui, cette femme me fasciné, elle était vraiment prête à tout pour avoir Cole, ça en était lamentable et légèrement flippant sur les bords de voir une femme aussi accroc. J'hoche la tête avec conviction face à sa question. - Je pense qu'on peut jeter les faire parts.. Dommage j'avais déjà prévu une robe sublime pour le jour J, je suis à demi déçue.. J'affiche une mine hypocritement attristée, je ne l'était pas plus que ça pour lui en réalité, je voyais que ça n'était qu'un mariage arrangé auquel il se prêtait au jeu et puis, pour avoir rencontré ce qui est maintenant son ex fiancée, faut bien avouer qu'elle était bien loin d'être faite pour un homme comme lui. Il s'emmerderait rapidement avec elle, ce n'était pas ce qu'il lui fallait. - Ça, ça ne te regarde pas mon chère mais, sache qu'elles en font des heureux ! Je lui lance un clin d'œil et un petit sourire satisfait en prime. Il rebondit alors sur mon accusation de son manque de bonnes manières, toujours implanté dans mon fauteuil et pas prête de m'en lever, il fait place au chantage.. Je relève un sourcil, le regard en biais. - Sers moi et, j'ai une nouvelle à laquelle tu ne t'attends pas à t'annoncer.. Je décortiquais les mots un à un, pesant sur le mystère dans lequel était tourné ma phrase. Je tâchais de contenir mon sourire en froissant légèrement ma bouche. Décidément, le jeu entre nous était loin de prendre fin. Mon sourire s'efface aussitôt quand il prononce le prénom de Tate.. Je pense pas que ce soit une bonne idée d'en parler et, surtout il n'y avait pas grande chose à en dire. - J'ai remarqué qu'à chaque fois qu'on parle de Kyla tu es sur la défensive ou alors tu esquives le sujet, c'est que ça doit te mettre mal à l'aise et, si tu es mal à l'aise c'est que tu ressens quelque chose d'assez conséquent pour cette fille ! Oui, sinon il parlerait ouvertement, tout comme il me parle d'Ombeline ou de ses conquêtes sans intérêts. - Pour en revenir à Tate, on a couché ensemble le soir du bal si tu veux tout savoir, j'ai aussi pris plaisir à montrer le tweet de CS à sa petite Cabot, je voulais être la première à lui annoncer et, à part ça ? Rien de bien intéressant, désolé .. Dis-je de manière quelque peu hautaine en évitant d'admettre que je m'étais un peu attaché à Tate. - Décidément tu as le sens des affaires, mais malheureusement ma vie n'est pas aussi interessante que la tienne à ce niveau-là !
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« Toi au féminin ? Si tu veux une petite démo, je pourrais rapidement te prouver que je n’ai rien de féminin… » me marrai-je avant de prendre une voix suraiguë : « Désolée ma belle, mais les discussion tampax et manucure ça ne sera pas avec moi. » Je m’amusais, mais en vrai j’avais compris l’idée. J’avais déjà remarqué les points communs entre nous, et c’était vrai que je retrouvais certains de mes défauts et qualité en elle. « T’es juste jalouse que j’aie été couronné roi du bal… » me marrai-je alors qu’elle soulignait la médiocrité de la copie. « Cela dit… J’aurais aimé avoir une reine comme toi pour monter sur scène recevoir mon prix. » Si envoyer des piques je savais le faire, j’étais aussi capable d’éloge. Et la vérité c’était que je me serais bien vu roi du bal avec Hippo, bien plus qu’avec ce sac d’os toxico d’Alaska. Enfin, ce n’était pas nous qui choisissions… Le jeu reprit entre nous, alors que s’approchant de moi après mes insinuations douteuses, Hippolyte m’assura que mon pouvoir de séduction ne prenait pas sur elle. Mon regard défia le sien alors que mes lèvres s’étiraient en un sourire tout aussi vicieux que le sien, imaginant déjà mille et une façon de lui faire perdre la tête… « Je suis quelqu’un de persévérant ma chère Hippolyte, tu devrais le savoir désormais. » Je n’allais pas baisser les bras aussi vite. On cessa un instant ce petit jeu néanmoins, parlant d’Ombeline, de sa disparition, occasion rêvée pour mon interlocutrice de me lancer de nouvelles piques, cette fois concernant mes performances au lit. « Ma fiancée ne mange pas de ce pain là… » Et joignant mes deux mains comme un cureton faisant une prière, je clarifiai : « Pas de sexe avant le mariage. » En gros, je n’avais pas pu faire de démonstration de mes talents d’amants auprès de ma future femme. « Tu imagines bien que sinon, jamais elle ne saurait parti. » me vantai-je avant d’ajouter : « Mais puisque tu sembles douter je peux t’offrir un aperçu de mes compétences en la matière quand tu veux… » Nouvelle invitation à la débauche, nouveau râteau en vue probablement. Mon amie ne semblait pas inquiète pour moi cela dit me confiant que – bien des femmes donneraient tout ce qu'elles ont pour finir aux bras de Cole Wildingham- « Donne leur bien mon numéro de téléphone… Ou carrément le numéro de ma chambre, ça ira plus vite. » plaisantai-je, sans me douter qu’elle faisait référence par là à Kyla. Bref, pas de mariage. « Tu peux recycler ta robe, enfile la pour ce soir : je t’emmène dîner si tu veux. » proposai-je alors à la jeune femme dont la principale préoccupation après avoir appris cette nouvelle c’était que sa sublime tenue ne serve pas. Un peu de galanterie pour me rattraper, parce qu’en attendant, Hippo n’était toujours pas servie. Joueur, je n’avais pas décollé de mon siège. Marchandage éternel, elle m’offrit la promesse d’une grande nouvelle étonnante si je venais à jouer les serveurs. « T’as pas intérêt de bluffer. » soufflai-je en me levant finalement. Je m’activais près du mini bar, sortant deux verres, une bouteille de scotch hors de prix dont je nous servais de bonne rasade. Je retournai avec les deux verres vers elle, et à la question de Kyla, je répliquai par une question sur Tate qui fit s’effacer son petit sourire satisfait. Sauf qu’elle conclut de ma pirouette pour échapper à l’interrogatoire sur ma brune préférée que c’était parce que je cachais un vrai attachement pour elle. Je détournais les yeux, avec un air agacé, détestant ce sentiment d’être percé à jour. Mais puisqu’elle me servit les explications concernant Tate sans rechigner, le meilleur moyen de lui prouver qu’elle se trompait sur mes sentiments à l’égard de Kyla c’était de m’ouvrir à son tour : « Avec Kyla, on avait arrêté de se voir après la soirée de donations… Et puis, finalement, on a recommencé à se fréquenter depuis quelques semaines. » Traduisez –fréquenter- par –s’envoyer en l’air- Je rebondis ensuite sur ses révélations concernant notre VP : « On ne couche pas avec son ancien bizuteur c’est mal… » me marrai-je, pas sérieux dans mon sermon. Parce qu’après tout, j’avais bien mis ma bizutrice dans mon lit moi aussi. Comme quoi, Hippolyte et moi avions vraiment en commun, jusqu’à notre façon de mener de notre bizutage. Je sentis une pointe d’agressivité dans sa voix, trahissant qu’elle n’était pas aussi détachée qu’elle le prétendait par rapport à cette affaire. « Tu comptes remettre le couvert ? » questionnai-je à propos de sa petite coucherie avec le garçon. « Et au fait... » réalisai-je soudain avec une petite mine contrariée. « Qu’est-ce qu’il a de plus que moi pour que tu succombes avec lui si facilement ? » Ton soudain jaloux du gosse qui jalousait le jouet que son copain avait eu à noël.
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Je ris avant qu'il ne finisse sa phrase me rendant compte de mon erreur, le comble surtout pour Cole de sortir un truc pareil. C'est clair, il n'y avait vraiment rien de féminin chez lui bien au contraire.. Le plus gros macho que je puisse connaître. Je me laisse aller à un deuxième rire franc quand il prend une voix caricaturée tout en parlant de tampax et manucure, oui, décidément il n'y avait vraiment rien de féminin chez lui.  - Pas mal l'imitation.. On dirait que tu as fait ça toute ta vie ! Souriais-je en le taquinant. Il rétorque finalement à mes attaques avec toute la repartie d'un enfant de dix ans voir moins. Très amusant.  - Jalouse ? Franchement pas vraiment, vu les goûts qu'ils ont je me contente très bien d'être juste la plus égoïste, parce qu'en avoir qui ils estiment être reine du bal, pas très glorieux tout ça ! Dis-je avec un mouvement de tête vers l'avant en me pinçant les lèvres. Alaska, cette verte salle avec ses cheveux gras, ses yeux tel un gollum et sa façon horrible de se tenir on aurait pu croire en la réincarnation du bossu de notre dame. Alors bon, être jalouse, vraiment il n'y avait pas de quoi ! Mes lèvres s'étirent en un sourire quand il dit qu'il aurait préféré que je sois à la place de la toxico, je pose alors naturellement ma main sur la sienne, penchant légèrement la tête vers lui.  - Elle est juste reine du bal, d'une seule soirée, à nous deux on est les rois d'Harvard.. Je préfère largement ça. On était plutôt pas mal dans le genre tous les deux, on savait comment mener les gens à la baguette, comment mettre les autres au plus bas et surtout, on avait le pouvoir entre nos mains.. Alors qu'importe cette soirée ridicule et enfantine, pour moi j'étais déjà une reine. Je le dévisage, tout sourire, son air sûr de lui qui lui colle sans cesse à la peau, je laisse un soupire traverser les lèvres.  - C'est bien de garder espoir tu sais, je suis impressionné par ton ambition ! Soufflais-je en guise de réponse. Il était hors de question qu'il me compte parmi ses victimes. On jonglé sur deux conversations en même temps, le sarcasme et le retour à la réalité avec cette histoire sur Ombeline, il m'explique finalement qu'elle était du genre religieuse, je ne peux m'empêcher de rire, imaginant une seconde Cole au bras d'une sainte. Mon dieu, pauvre garçon.  - Ce que je ne comprends pas c'est comment toi, tu ne t'es pas encore enfuis en courant en voyant ses principes là.. Je fais mine de réfléchir une seconde avant de reprendre.  - Ah oui ! C'est vrai .. Kyla te comblé secrètement à ce niveau-là ! Il était gâté le petit, il avait la femme et la pute, que demande le peuple ?! Un préservatif peut être ?Je laisse apparaître un sourire mesquin, le titillant un peu sur sa relation volage et secrète. Je déglutis, il reprend de plus belle avec ses avances à la con auxquelles je ne prête aucune importance. Je n'étais pas une poupée Barbie avec laquelle on pouvait s'amuser quand on en a envie, je laisse ça à la race des Cabot, elles le font très bien, pas besoin de mon aide.  - Tu perds ton temps et ta salive en continuant à persister, est ce que j'ai l'air d'être désespérée ?Sans vouloir t'offenser je n'ai pas l'habitude d'écarter les cuisses si facilement juste pour tirer mon coup.. Mais, ici, tu as pas mal de choix vu le respect que les femmes ont pour leur corps.. Je passe ma langue sur mes lèvres, les humidifiants légèrement tout en venant tapoter son bras. Voilà Cole le don Juan partie 2, toujours à la recherche de nouvelle proie, comme s'il en avait pas assez dans son pieux.. Je ne sais pas comment il fait pour passer d'une femme à l'autre comme ça, sans que ça le dérange ou le touche un minimum, pour lui, les femmes n'étaient que des jouets avec lesquels il s'amusé quand il en avait envie. C'est limite dégradant mais comme on dit, il n'y a pas de fumée sans feu. Elles ne seraient pas dans son lit si elle ne le voulait pas non plus.  - Promis ! Même si je doute que tu ai besoin de mon aide pour avoir ta colonie de vacance devant la porte. Franchement, il était loin d'être en manque. Je souris alors fièrement face à son invitation, me dandinant sur mon siège tout en me redressant à peine.  - Comment pourrais-je refuser ? Mais pour la robe je taperais dans beaucoup mieux, je trouve que ton invitation au restau est une meilleure occasion que ton mariage en polystyrène ! Dis-je sans quitter mon sourire, ramenant mes mains se croisaient autour de mon genoux. J'avais finalement gagner quand il se lève me menaçant au passage, je secoue la tête de gauche à droite et le regarde satisfaite s'avancer vers le mini bar, je voyais à ses mimiques je venais de me piquer au vif et j'étais plutôt contente de moi. Il avait tellement de mal à parler à son entourage, je voulais quand même qu'il sache qu'il était important et que sa vie, ses choix, m'importent. Il revient alors avec les deux verres, m'en offrant un que je saisis aussitôt.  - La grande annonce Wildingham.. C'est que comme tu le sais je suis la plus égoïste, ne jamais se fier aux égoïstes.. Dis-je sur une voix pleine de sarcasme en menant mon verre à mes lèvres pour siroter une gorgée.  - Merci pour le verre.. Répliquais-je en le levant de quelques centimètres vers lui, profitant de le narguer au passage. Mon visage change d'expression soudainement quand il m'annonce revoir Kyla depuis quelques semaines. Je pose mon verre sur la table basse avant de reporter toute mon attention sur lui.  - Et franchement Cole, est-ce que tu veux quelque chose de sérieux avec cette fille ? Est-ce que tu penses que tout ça va vous mener quelque part ou tu veux juste t'amuser ? Comme tu le fait toujours.. Oui, parce que bon ça fait maintenant un bon moment que ça dure cette relation qui rime à rien, il était peut-être temps pour lui de mettre les choses à plat, de se poser les bonnes questions et d'arrêter de jouer le gamin irresponsable. Je détourne légèrement le regard quand la discussion se ramène à Tate, concrètement avant d'être mon bizuteur il était un ami de la famille, m'enfin bref. Je préfère rester silencieuse à sa remarque, quand il capture mon attention et mon regard avec sa dernière question. Je ne savais pas trop quoi dire, quoi répondre, je ne me suis moi même pas poser la question j'avoue..  - Euh.. Je ne pense pas, il a déjà sa cabot sur le dos et le retour de Willow, je préfère m'écarter. Dis-je sèchement et hésitante à la fois. Oui, m'écarter avant de trop m'attacher et de ne plus pouvoir m'en débarrasser. J'aimais bien jouer mais quand le jeu prend une tournure plus sérieuse je prenais la fuite. Je voulais assurer mon bien être, ne pas tomber dans le cercle vicieux des sentiments et resté concentrer sur moi et mes objectifs. Je n'avais clairement pas le temps pour ça.. Pour un homme ou une relation amoureuse. Je fronce les sourcils, mes yeux posés sur lui, attendant sa question. Je me lève soudainement de mon siège, attrapant mon verre, je lui tourne le dos balayant la pièce du regard.  - C'est le vice président.. C'est bien connu, le pouvoir attire les femmes ! Lançais-je sur le ton de l'humour tout en pivotant sur moi-même pour lui refaire face.
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 L'imitation sembla l'amuser. "Qu'est-ce que tu crois avec une soeur comme Victoria, j'ai appris de la meilleure..." me marrai-je. Enfin, pour être honnête, vu que lorsqu'elle m'embauchait, nos jeux finissaient plus souvent en séance de torture sur ses pauvres poupées, ma jumelle n'était pas très demandeuse de jouer avec moi aux jeux de fillette avec moi. A ma pique comme quoi elle me jalousait pour mes prix, elle répliqua que vu le choix de nos camarades pour la reine ce n'était pas très glorieux. "Ils ont su bien choisir leur roi, ils ne peuvent pas faire un choix judicieux à chaque fois que veux-tu..." fis-je, ne perdant pas l'occasion de me lancer quelques fleurs au passage. En tout cas, si ce titre de toi pouvait être flatteur, je me serais bien passé en effet de la reine avec qui on m'avait affublé. Je confiais à mon amie combien j'aurais préféré qu'elle soit sur scène à mes côtés, elle affirma alors que ce n'était qu'une reine en carton, d'un bal en promo, d'une nuit, que elle, Hippolyte était la reine du campus. "Les rois d'Harvard j'aime ça... Et notre règne ne fait que commencer." me marrai-je avec un air supérieur imaginant déjà tous nos -sujets- à genoux devant nous. En attendant, le roi n'était pas près de sauter la reine apparemment, Hippo me remit une nouvelle fois à ma place, soulignant mon ambition et mes espoirs, m'arrachant un petit rire. Mais c'est ensuite avec plus de sérieux qu'on parla de mon mariage, enfin de mes fiançailles. Elle s'étonna que je n'aie pas fui devant ma cureton de future épouse et mon rire se déploya à nouveau. "Je pensais avoir raison de ses principes vois-tu..." J'avais même fait le pari avec Nina de parvenir à dépuceler Ombeline avant notre mariage, c'était bien la preuve que j'avais pleinement confiance en mon pouvoir de persuasion. Sauf qu'à présent, la blonde avait déguerpi et je n'avais pas vraiment de la chercher... D'ailleurs Hippolyte avait très bien saisi ce qui me tenait de ce côté là, puisqu'elle ajouta que si je n'avais pas fui devant ma fiancée, c'était parce que Kyla comblait tous mes fantasmes sur le plan où Ombeline défaillait. J'haussais innocemment les épaules pour tout aveu, mon silence étant suffisamment éloquent. Oui j'étais plus que satisfait sexuellement parlant, et non ce n'était pas grâce à Ombeline... Mais plutôt que de me lancer dans ce débat, je préférais lui proposer une démo de mes talents au lot, invitation nouvellement écartée par la blonde. Elle souffla tout le choix qui s'offrait à moi, mais ça n'allait pas m'empêcher de persister et de lui lancer de nouvelles perches, après tout, c'était toujours ainsi que ça avait été entre nous. Peut être que si un jour j'arrêtais ce petit jeu, elle allait me croire malade. Hippolyte parla de ma -colonie de vacances- pour désigner mes nombreuses conquêtes et je me mis une nouvelle fois à rire : "Dis pas ça, elles sont majeures, vaccinées et consentantes. " Parce que bon, parler de colo ça faisait un peu pédophile quand même alors je trouvais utile de préciser ces quelques détails sur mes partenaires. Je l'invitais à recycler sa robe en dînant avec moi, mais finalement, elle m'informa qu'elle opterait pour une autre tenue. "Prends une robe qui s'enlève facilement hein..." lui conseillai-je avec un sourire qui en disait long sur les plans de dessert que je me faisais déjà dans ma petite tête de vicieux. Enfin, appâté par l'idée d'une grande annonce de la belle, j'obtempérai et la servis pour finir par l'entendre... ne rien m'annoncer. Elle m'avait eu comme un bleu et je serrais les dents d'agacement en l'écoutant jubiler. "Méfie toi du plus intimidant, il pourrait bien avoir cracher dans ton verre..." répliquai-je avec un regard mauvais. Trop classe pour ce genre de chose, clairement je ne m'étais pas abaissé à ça, je voulais simplement semer le doute dans son esprit et essayer d'effacer un peu son petit air satisfait. Expression qui s'effaça finalement d'elle même, après mes révélations concernant Kyla. Le sérieux revint entre nous. Les questions étaient claires et précises, Hippolyte comme à son habitude ne passait pas par quatre chemins. "Si je ne voulais pas quelque chose avec elle, ça ferait longtemps qu'elle ne ferait plus parti de mon paysage." Je n'avais pas coutume de m'encombrer de mes conquêtes. Les femmes qui étaient passés dans mon lit et qui restaient présentes dans ma vie étaient uniquement celles qui comptaient, Kyla incluse. Et au tour de mon interlocutrice de passer à l'interrogatoire. Et le sujet était cette fois Tate. Hippo n'avait pas franchement l'intention de remettre le couvert avec le VP, sa Cabot et Willow étant déjà en train de lui tourner autour. "Depuis quand la concurrence t'effraie-t-elle ?" Combative, mordante, prête à toutes les écraser. C'était ainsi que je la voyais, la tempêtueuse blonde. "Je ne pensais pas que -s'écarter- faisait parti de ton vocabulaire." la taquinai-je. Une question surgit alors dans mon esprit. Si la demoiselle, qui s'évertuait toujours à me rappeler à quel point elle était une conquête insaisissable, avait succombé aux charmes de notre VP, il fallait que je sache ce qu'il avait de plus que moi. La jalousie perçant dans ma voix, ma question la fit se lever. Je regardais son dos qu'elle m'affichait, mon regard descendant sur son joli derrière parfait, songeant que je n'aurais probablement jamais l'occasion de parcourir ses jolies formes. Mais elle me répondit ensuite, pivotant pour me faire face... Ses mots firent aussitôt germer une idée dans ma tête. Ma main se faufila dans son dos, glissant jusqu'à sa taille pour l'attirer d'une légère pression un peu plus proche de moi alors que je prononçai les mots suivants : "Ca veut dire que si l'année prochain je suis élu vice président, ou mieux encore, j'aurais le privilège de finir dans tes draps ?"
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