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(KONELLA) ≫ j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête.

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j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête.




Tout ce que tu voulais là, tout de suite, c’était de pouvoir disparaître. Pouvoir te faire toute petite, t’effacer pour ne pas avoir à affronter les conséquences de ton geste. Tu pourrais te dire qu’après tout, ça n’était qu’un baiser, rapide et non réfléchi. Tu pouvais passer à côté de ça, ça n’était pas si catastrophique. Mais si. Pour toi ça l’était, parce que ça t’interrogeait sur mille et mille choses. Notamment sur ta relation avec Kol. Il t’arrive parfois d’y penser, de te demander ce qu’il est réellement pour toi. Mais ces questions finissent toujours par partir de ta petite tête blonde. Pas ce soir. Ce soir, tu n’arrives pas à passer outre l’ambigüité de votre relation. Ce baiser, c’était pas juste une soudaine pulsion que tu as eu. Tu le sais, et c’est bien ça qui te rend folle. Parce que t’as adoré le faire et que si tu le pouvais, tu le referais immédiatement. Tu ne peux pas mettre ça sur le seul compte de l’alcool, ça serait nier ce que tu ressens. Et même si tu n’es pas encore capable d’expliquer ce que tu ressens, justement, tu sais très bien que tu n’as pas fait ça juste parce que tu es légèrement éméchée.
Lui demander de partir te déchire. Et quand il te demande si tu le souhaites vraiment, tu es complètement paumée. T’as horreur de ça, de perdre le contrôle des choses. Tu aimes pouvoir tout maîtriser mais ce soir, c’est raté. Tout t’échappe, et tu ne sais pas quoi faire pour faire comme si de rien ne s’était passé. T’as envie qu’il parte, mais en même temps tu ne supporterais pas qu’il t’abandonne. T’as envie de t’enfuir, mais en même temps t’as juste envie de te blottir contre lui. T’as envie de remonter le temps, mais en même temps t’as adoré le contact de tes lèvres sur les siennes. Ouai, tu es perdue comme tu ne l’as jamais été auparavant. Alors, comme par crainte qu’il parte soudainement, tu t’avances à ton tour vers lui pour attraper ses mains dans les tiennes. Ce genre de geste que vous faites sans cesse, mais qui semble prendre un tout autre sens ce soir. Et enfin, tu acceptes de plonger ton regard dans le sien. Comment en êtes-vous arrivés là ? Après toutes ces années, tu savais au fond que ça allait arriver un jour. Que vous ne pouviez pas continuer cette si complexe relation encore et encore. Pourtant, ça reste Kol, merde. Hors de question de le mettre pour un simple et bête baiser. « Non, bien sûr que non. J’sais pas quoi te dire Kol, te répètes-tu, baissant à nouveau tes yeux mais laissant tes mains dans les siennes. J’suis fatiguée, j’ai un peu abusé sur l’alcool. C’était vraiment pas voulu. » Tu fais vraiment une piètre menteuse, te mordant l’intérieur des joues et évitant de plus belle de croiser son regard. Tu détestes lui mentir, mais que lui dire ? Que tu mourrais juste d’envie de l’embrasser et que tu ne le regrettes pas ? Non, tu ne sais pas comment il le prendrait. Tu risques de le perdre et ça, c’est impensable. Tu ne le supporterais pas, tu le sais. Pourtant, tu continues à obéir à tes envies. Tu lâches les mains de Kol et viens te coller contre lui, plaçant tes bras tout autour de lui et posant ta tête contre son torse. « Vraiment pas voulu, ajoutes-tu une dernière fois. Oublie. »
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Était-ce l'alcool qui la faisait parler ? Ou désirait-elle simplement que je m'en aille pour de bon ? Je restais statique, le regard vide, attendant l'échéance. J'étais stressé, pour la première fois de ma vie en sa compagnie, et ce n'était pas un sentiment que j'appréciais. J'aimais cette adrénaline quand j'étais au boulot, mais pas avec Anto, ce n'était pas pareil. Je gardais en tête ce baiser que nous avions échangé il y a quelques minutes, sans pouvoir mettre des mots dessus, c'était si confus. Antonella semblait complètement perdue, les larmes roulaient sur ses joues et mon coeur se serrait à cette vue là. Je m'étais légèrement éloigné d'elle, lui donnant de l'air pour la laisser réfléchir en paix. Je n'arrivais à rien interpréter de cet échange entre nous, ne sachant pas s'il s'agissait d'une erreur ou d'une chose dont on devait discuter plus tard. Jamais ça n'était arrivé. Avec Billy, c'était l'habitude, et on savait s'y prendre avec cela. Avec Anto, c'était tabou et extrêmement gênant. Heureusement, en réponse à ma question précédente, la belle blonde se rapprochait à nouveau de moi, attrapant mes mains au passage. Ce contact me fit à la fois du bien et me rendit à la fois bizarre. J'avais l'impression que quelque chose avait changé dans notre relation, relation certainement beaucoup trop fusionnelle pour n'être que de simples amis. Cependant, je ne la repoussais pas, je ne pouvais pas la laisser partir. Mes paumes pressaient délicatement les siennes, comme pour lui montrer que j'étais là et que je ne bougeais pas. Son regard dans le mien, je me sentais presque vaciller. Elle me regardait différemment, mais au moins, elle daignait me regarder. Quand elle s'excusa de son geste, je n'y croyais pas vraiment. Je connais bien Antonella, ce doit être une des personnes dont je connais presque tous les vices.. et là, je sais qu'elle n'est pas sincère. Elle veut sûrement éviter une confrontation, ce que je peux comprendre car pour l'instant, j'ai juste envie de la sentir près de moi. T'en fais pas. dis-je sans esquisser le moindre sourire, bien que je sois rassuré un minimum. Au moins, elle m'adresse la parole, et je n'aurais pas supporté que le contraire arrive. Inenvisageable. Tout à coup, la jeune femme se blottit contre moi, et mes mains l'encerclaient. Je ne voulais pas qu'elle parte, je ne voulais pas qu'on s'engueule de la sorte, plus jamais. Pour l'heure, il fallait juste que nous nous remettions de ce qui s'était déroulé précédemment. Je respirais plus calmement et me déridais au fil des secondes, contemplant le campus sous les étoiles. Tu veux que je te ramène ? demandais-je à Anto, celle-ci semblait extrêmement fatiguée et à priori légèrement ivre. Je ne me détachais pas pour autant de son emprise, cela me faisait tellement de bien, c'était comme la retrouver avec des jours entiers.
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Une chose était sure, plus rien ne serait pareil entre vous après ce soir. Rien que d’y penser, tu ressentais comme un pincement au cœur. Tu ne voulais pas que ta relation avec Kol change. Même si, oui, des questions te traversaient de plus en plus l’esprit. Tu préférais ne jamais y penser, te disant qu’après tout, ça pouvait bien attendre. Mais non, ce soir ton cœur en avait eu marre d’attendre et il était passé à l’action, un peu contre ton gré. Est-ce que tu regrettais de l’avoir embrassé ? Pour l’amour du ciel, non. Est-ce que tu regrettais les conséquences qui en découlaient ? Bordel que oui. Comme toujours, tu ne savais pas ce que tu voulais. Tu souhaitais qu’il te laisse, pour ensuite te blottir contre lui. Tu mettais de la distance entre vous, pour ensuite recommencer tous ces gestes ambigus. Kol avait une sacrée patience, pour parvenir à te supporter, encore plus ce soir. Tes pensées étaient quelque peu embrumées par tous ces cocktails, tu n’avais décidément pas les idées claires et sans doute allais-tu avoir du mal à te souvenir de tout cela demain, au réveil. Mais soit, il fallait bien prendre de l’avant, à un moment ou un autre, et il ne servait à rien de rester bloquée sur cette soudaine pulsion que tu avais eue. Non, à ce moment précis, tout ce qui importait, c’était cette tendre étreinte avec ton cavalier. Tout doucement, tu te sentais mieux à nouveau et tu ravalas ces stupides larmes qui n’avaient pas de raison d’être. Comme bercée par ses battements de cœur, tu aurais pu rester des heures dans ses bras. Lorsqu’il te proposa de te ramener, tu ne répondis pas tout de suite. Tu voulais encore un peu profiter de ses bras autour de toi, comme si des semaines entières vous aviez séparés. Vous ne vous étiez jamais disputé, en y repensant. Chaque moment avec lui n’était que rire, flirt et taquinerie. Mais jamais de cris, de quelconque rancœur ou de prise de tête. Il était hors de question que cela change, et si ça voulait dire mettre en sourdine ce que ton cœur te criait, alors très bien. Renier tes sentiments était la meilleure chose à faire. Ça avait beau te faire mal, si ça permettait de préserver ta relation avec ton ami alors soit. Finalement, tu relevas enfin ta petite tête vers lui, ayant retrouvé le sourire. « Je veux bien que tu m’ramènes oui, je crois que j’ai un peu trop abusé pour pouvoir prendre le volant. » Riant, tu te reculas alors mais gardas tout de même une de tes mains dans la sienne. Tu n’arrivais jamais à te détacher de lui, encore moins ce soir, ayant comme peur qu’il ne te fuie finalement. Tes doigts vinrent se croiser avec les siens, tandis que vous vous dirigiez vers le parking de la fac aussi lentement que possible. Tu voulais encore un peu profiter de sa présence, et même si tu étais morte de fatigue, tu n’étais pas encore prête à terminer la soirée de cette manière. Une fois arrivés à la voiture de Kol, tu levas les yeux au ciel. Il faisait nuit noire, la lune étant la seule source de lumière dont vous disposiez. La tête complètement penchée vers le haut, tu trouvais la vue bien trop belle pour ne pas lui accorder d’importance. Lâchant la main de ton ami, tu te permis d’aller t’asseoir au bord du capot de son véhicule, la tête toujours perdue vers la nuit étoilée. Un peu bêtement, tu tendis alors ton pouce vers le haut, venant le superposer à la lune et fermant un œil. La lune était censée disparaître derrière ton pouce, mais ça ne fut pas le cas, comparé à ce que l’on raconte. « Ça doit être mes doigts qui sont trop boudinés. » Tu parlais toute seule, certes, mais tu vins tout de même lancer un regard amusé à Kol, lui faisant signe de venir te rejoindre dans ton observation improvisée du ciel. En effet, tu n’avais pas qu’un peu abusé de l’alcool ce soir. T’étais complètement raide, mais tu t’en foutais car au moins, tu étais bien.
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