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Accoudée au bar, tu recommandas deux nouvelles boissons, identiques. Il devait déjà être tard, minuit passé tu dirais. Pourtant, tu n’étais pas prête de partir. Le bal était l’événement de l’année que tu ne voulais absolument pas rater. Cinq ans que tu étudiais à Harvard, cinq ans que tu venais à ces soirées de fin d’année. Ça n’est pas juste parce que tu aimes sortir, boire et danser, non. Le bal de fin d’année, c’est tellement différent des soirées mondaines auxquelles tu es normalement habituée. Différent, et tellement mieux. Tu n’avais pas à t’embêter des semaines pour te trouver une robe – t’étant simplement habillée de blanc pour ce soir, en ayant remonté tes cheveux dans un mélange de chignon loupé/queue de cheval – et au moins, tu pouvais t’entourer de personnes que tu appréciais réellement, sans avoir à faire semblant. C’est d’ailleurs pour cela que tu as demandé à Kol d’être ton cavalier. Tu avais quelque peu hésité à le faire, c’est vrai, parce que tu ne savais pas vraiment s’il allait aimer ce genre de soirée, lui qui n’était plus étudiant. Heureusement, il avait accepté. Sans doute l’aurais-tu forcé à venir de toute manière. Tu voulais profiter de cette formidable soirée à ses côtés, car tu c’est avec lui et lui seul que tu peux profiter entièrement. Sans peur de jugement, sans peur de dispute et d’autres conneries de ce genre. C’était tellement simple entre vous, et ce depuis le début de votre étrange relation.
Les verres en mains, tu revins alors vers ton cavalier, un peu plus loin dans la salle. Vous étiez arrivés ensemble, il y a de cela trois bonnes heures. Pour le moment, tout se passait relativement bien. Tu avais la tête qui tournait légèrement, et sans doute allais-tu regretter d’avoir autant bu demain mais soit, c’était le bal de fin d’année. Tu comptais en profiter jusqu’à votre départ. Tu lui tendis donc son verre, prenant déjà une gorgée du tien. « Ça va, tu ne t’ennuies pas trop ? Pas de regret d’avoir accepté d’être mon cavalier ? » Il était certain que si Kol s’emmerdait ce soir, tu ne le forcerais pas à rester et tu rentrerais avec lui. Mais, bien sûr, tu bouderais. Ça c’est sûr et certain. Tu pouvais te permettre de le faire ça, avec Kol, de bouder comme une gamine. Parce que, encore une fois, tu pouvais juste être toi-même avec lui. Lui souriant, un peu comme toujours quoi, tu vins porter ta main à son col de chemise pour correctement la replier. « Je n’sais plus si j’te l’ai dit, mais tu es vraiment beau ce soir. Bon, tu l’es toujours tu l’sais, tu rias, mais là.. » Tu ne pris pas la peine de terminer ta phrase, ton regard et ton large sourire parlaient pour toi.
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Le bal de fin d'année. Qui aurait cru que je me pointerai à ce genre d'événement ? Je ne suis jamais allé à l'université, et pourtant me voilà, avec des centaines d'étudiants autour de moi. Il y a heureusement quelques profs qui sont présents, et je reconnais deux trois de mes collègues. Je ne suis qu'intervenant ici, mais j'arrive à mettre des noms sur des visages - qu'ils soient mes élèves ou pas. Cette ambiance est agréable, je suis finalement content qu'Antonella m'ait proposé de venir pour l'accompagner. Et puis, je suis un beau cavalier, autant qu'elle en profite. Bras croisés, j'écoutais le doyen nous faire son petit discours afin de distribuer les awards par la suite. Je ne trouvais pas cela très intéressant, mais plutôt drôle, surtout quand j'entends le nom des récompenses. C'est la voix de ma cavalière qui me sortit de mes pensées. Je tourne alors mon visage vers elle, remarquant qu'elle avait deux verres dans les mains. Un petit sourire accroché aux lèvres, je récupérais une des coupes en la remerciant d'un signe de tête. Je m'amuse bien. Je crois. T'as entendu la distribution des prix ? J'aimerais pas être à la place du plus infidèle ou du plus bizarre quand même. dis-je en lâchant un petit rire amusé. C'est vrai qu'il y a des razzies assez gênants. M'enfin, c'est la vie de la fac après tout. Je prenais une gorgée de champagne tandis que ma belle blonde me couvrait de compliments. Elle est vraiment adorable cette fille, et en plus d'être la femme la plus parfaite dans ce monde à mes yeux, elle rayonnait de beauté. Je me laissais faire quand elle remettait en place mon noeud papillon -car oui, j'avais sorti le grand jeu ce soir, costard et tout ce qui va bien. J'approchais mes lèvres de son front, sur lequel je déposais un petit bisou. Me replaçant face à elle, j'observais son beau visage, et surtout la magnifique robe qu'elle portait. Serait-ce de la drague miss Scorsese ? Arquant un sourcil, j'esquissais mon plus beau sourire, juste pour elle. La plupart des gens de la salle devait croire que nous formions un couple.. et pourtant, ce n'était pas le cas. Elle reste mon bébé quand même. Je me penchais ensuite vers son oreille. L'award de la plus sexy te revient. Oh que oui, sans hésitation.
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Parlant des awards, il fallait avouer que oui, certains étaient quand même bien drôle. Maxwell avait d’ailleurs gagné celui des vannes ratées, chose sur laquelle tu ne manquerais pas de le taquiner la prochaine fois que tu le verrais. Tu étais heureuse d’avoir été épargnée cette année, les remises de prix ça n’étaient vraiment pas ton fort. Il fallait toujours que, quand tu venais chercher ton prix lors d’un festival de cinéma quelconque, tu trébuches dans les escaliers. C’était tout toi, dans toute cette splendeur qui te caractérise. « Il y a même eu le prix de la plus égoïste quoi, ils y vont fort cette année. » Mais au moins, ça avait le don de te faire rire. Le baiser au front de Kol te confirmait que oui, c’était une belle petite soirée. En fait, il suffisait simplement qu’il soit là pour que la soirée soit bonne. Il y aurait pu il y avoir une ambiance de merde, les boissons auraient pu être dégueulasses et la musique à chier, tu aurais tout de même gardé ce sourire aux lèvres. Juste parce qu’il était là. Tu rias à sa petite question taquine. « Comme si j’avais besoin de vous draguer, mister Caldwell. » Tu lui adressas un léger clin d’œil, avec ce même sourire amusé au bord des lèvres. Tu ne savais pas trop si c’était vraiment ça, si vraiment il y avait un jeu de drague entre vous. Ça a toujours été ainsi entre vous, en fait. Vous êtes toujours en train de vous chercher, entre les taquineries et les petits gestes de tendresse. Tu n’as jamais été foutu d’expliquer qui était Kol pour toi, quand tes proches te le demandent. Tu réponds juste que c’est un ami, sans détailler la complexité dont est faite votre relation.
A son compliment susurré à ton oreille, ton sourire s’agrandit un peu plus. Ta main libre se place alors sur la joue de Kol, car tu ne peux t’empêcher d’avoir ce genre de contact avec lui. « Et si tu continues les compliments, j’vais recevoir l’award de la plus narcissique aussi. » Ta main descendit alors, pour se poser sur son épaule, tandis que ta tête se posa délicatement contre son torse. « Alors dis-moi, tu sais danser j’espère ? »
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Au final, il s'agissait de mon premier bal de promo. J'écoutais la distribution des prix, écarquillant des yeux ou haussant les sourcils suivant l'award. Avec Anto, nous regardions la scène et les élèves qui défilaient, plus ou moins fiers d'ailleurs. Je trouvais ça plutôt amusant, surtout que ça ne me concernait aucunement. Ils savent plus quoi inventer pour mettre le feu aux poudres. Comme si les embrouilles et tensions n'étaient déjà pas assez enclenchées dans une université comme celle de Harvard. N'étant pas étudiant, je connaissais déjà pas mal de ragots, alors je n'imagine même pas si j'en étais un.. Très proche de ma cavalière, nous nous complimentions à foison, comme si nous étions ensemble. Notre amitié a toujours été différente de celles que j'ai avec d'autres femmes. Elle est ma meilleure amie, mais à la fois la femme qui m'attire le plus dans toutes mes connaissances, le lien qui nous réunit est inexplicable. Je suis pas un mec facile. Je faisais la moue en esquissant un petit sourire en coin. En soit, ce que je dis n'est pas complètement faux, mais je pourrais définitivement craquer pour Antonella. Je ne sais pas si ça arrivera un jour, ou si je suis déjà à sa merci, mais l'avenir nous le dira. Je suis toujours souriant, et quand elle dépose une de ses mains sur ma joue, mon sourire ne s'estompe pas -bien au contraire. Je porte la coupe de champagne à mes lèvres et j'en bois une petite gorgée. Je ne sais pas à combien j'en suis d'ailleurs, il faudrait que je pense à ralentir ma consommation. Je vais aller demander au Doyen si c'est possible d'obtenir plusieurs awards, je pense que ça doit pouvoir se faire. Ou pas hein, mais pour moi, Anto devait recevoir tous les prix. Du moins, ceux qui la valorisaient, n'allons pas trop loin. Comme une enfant, la jeune femme vint se caler contre mon torse, me demandant si j'avais des talents de danseur. Je haussais les épaules, incertain en vérité. Je dois m'en sortir j'imagine. Cela faisait des années que je n'avais pas eu l'occasion de danser, nous allions voir le résultat aujourd'hui. J'attrapais ma belle blonde par la main pour l'entraîner jusqu'à la piste de danse. Je m'approchais à nouveau de son visage pour ne pas parler trop fort. Tous ces regards braqués sur moi, ça me gêne. blaguais-je, alors que je venais déposer une de mes mains sur ses hanches, l'autre toujours dans sa paume.
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Tu sentais de nombreux regards posés sur vous deux. Tu savais pertinemment ce que les gens étaient en train de se dire. Et il était vrai que Kol et toi formiez ce que l’on pourrait appeler un « joli couple ». Ça sautait les yeux, c’était tellement flagrant mais ça n’était pas le cas. Vous n’étiez pas ensemble, vous n’aviez d’ailleurs jamais parlé de ça. Tu ne savais pas ce que vous étiez, alors si les gens souhaitaient vous taxer de « couple » alors soit, ils faisaient ce qu’ils voulaient. Tout ce qui t’importait réellement, à ce moment, c’était de profiter de chaque instant à ses côtés. Entre son travail et tes études, vous n’aviez pas l’occasion de vous voir assez, à ton goût. Même si vous vous appeliez très souvent, ne passant certainement pas une journée sans vous envoyer quelques messages, ça n’était pas pareil que de le voir en vrai, en face à face. Ainsi, tu ne le quittais plus un seul instant, comme par peur que d’un coup il ne disparaisse. Tu avais déjà eu peur qu’il ne refuse de venir au bal, maintenant qu’il y été, hors de question de le laisser partir. Le voyant prendre son habituelle petite moue craquante, tu esquissas un charmant sourire. « Tu n’vas pas commencer à bouder, einh ? Sinon moi aussi je peux le faire ! » Bien évidemment, tu ne tins pas parole puisque déjà, tu posas ta tête contre lui. C’était toujours ainsi, tu finissais toujours par craquer et par te laisser aller à ces quelques gestes d’affections. Ceux que tu adorais tant. Ceux que tu n’arrivais à faire avec aucun autre homme que Kol. C’est plus fort que toi, tu as toujours envie d’être contre lui, toujours plus proche. Entre les caresses, les mots doux et vos tendres regards échangés, tu commençais de plus en plus à être perdue. Tout ça n’était pas nouveau, loin de là. C’était ainsi entre vous depuis un bon moment maintenant, seulement cette situation te perturbait de plus en plus. Même ce soir, et sans doute l’alcool que tu avais bu jusqu’ici y été pour quelque chose. Mais tu avais de plus en plus besoin de poser un nom sur ce qu’il y avait entre vous. Cependant, pour le moment, tu te contentas de rire des quelques bêtises que sortait ton cavalier. « Tu comptes user de tes charmes avec le Doyen, c’est ça ? attention, je ne pense pas que ça soit un mec facile lui non plus. » En revenant à sa remarque de toute à l’heure, tu lui adressas un sourire amusé. Quand tu parlas de danser, Kol ne paraissait pas véritablement sûr de lui. Tant de temps passés ensemble, et tu ne l’avais jamais vu danser. Il était temps de voir ce que cela donner ! Sans être une danseuse bien expérimentée, tu te débrouillais tout de même assez, habituée aux soirées dansantes et autres galas depuis des années à présent. Et puis, que vous sachiez bien danser ou non, tu t’en contrefoutais. Le principal était de passer un bon moment. Tu te laissas donc emporter vers la piste par Kol, ta main doucement serrée dans la sienne. Le genre de contact dont tu ne te lassais pas. Et alors qu’il posa sa main sur ta hanche, tu posas la tienne sur son épaule. Sa remarque te fit à nouveau rire alors que tu commençais déjà doucement à l’entraîner dans quelques pas. « On se fiche des autres, ne regarde que moi. » Une sincère tendresse prit alors place dans le regard que tu lui lanças, tandis que tu continuais de le guider sur cette belle musique de Frankie Valli.
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Je ne boudais pas le moins du monde, j'exposais juste les faits : je suis exigeant. Et c'est tristement vrai, un peu trop sûrement. Je n'ai pas encore trouvé ma perle rare dans ce monde, bien que je pensais l'avoir découvert il y a de cela quelques années.. Mon tour viendra j'imagine, pas trop tard je l'espère, ce n'est pas tout mais je commence à vieillir. Je n'ai pas envie de finir seul avec un chat ou un poisson, et surtout sans enfant. J'ai réellement envie de fonder une famille, le plus rapidement possible, avec la femme de ma vie. Si celle-ci existe. Je haussais les épaules en constatant qu'Antonella ne tint pas sa parole bien longtemps. Au lieu de bouder, elle revenait vers moi comme une enfant, on pourrait dire que c'est dans ses habitudes. Nous sommes trop proches, trop connectés pour nous faire la tête ne serait-ce que dix minutes. Il me semble d'ailleurs que nous ne nous sommes jamais disputés. J'espère que les choses resteront ainsi, et de toute façon, je ne suis pas un gars à problème. Sauf si on me cherche, évidemment. Alors que nous discutions des événements de la soirée, je lâchais un rire aux paroles de la jeune femme. Aller faire du charme au doyen ? Et bien.. non merci. Je ne me suis jamais intéressé aux hommes, et je crois que ça n'arrivera jamais. En revanche, si le doyen s'était avérée être une belle femme.. C'est une autre histoire. Quand je lui présenterai celle à qui il doit remettre tous les awards.. Il ne pourra pas dire non. Je arquais un sourcil, charmeur au possible, tandis que nous nous dirigions tous les deux vers la piste de danse. Il y avait déjà pas mal d'étudiants, de profs, et d'autres personnes qui tournoyaient au son de la musique. La danse n'étant pas mon point le plus fort dans la vie, je préférais blaguer jusqu'à la dernière seconde pour relâcher toute pression. Apparemment, Anto savait s'y prendre comme une reine car elle me prononçait ces quelques mots le plus sincèrement du monde. La musique qui retentit me fit sourire, je l'apprécie beaucoup et avoir l'occasion de faire quelques pas dessus en compagnie de ma belle blonde, quoi de mieux finalement ? J'ai l'impression de ne pas trop mal me débrouiller d'ailleurs. Je la fais tournoyer quelques fois, quand le refrain se faire entendre, et effectivement, je ne vois qu'elle. La voir sourire ainsi est tout ce que je désire. A la fin de cette superbe chanson culte, nous nous retrouvons l'un en face de l'autre, nos visages bien trop proches à mon goût. Tu rayonnes. Ah ça oui, et je pèse mes mots.
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Tu n’aurais sans doute pas pu rêver meilleure soirée de bal. Si en début de soirée, l’ambiance était plutôt festive, avec de la forte musique pour faire bouger tout le monde, à cette fin de soirée tout était plus serein. Plus calme, avec un petit côté bal de promo des films des années 80. Une ambiance rêvée quoi. Tu adorais les musiques qu’ils passaient, aussi vieilles étaient-elles. Elles étaient parfaites pour ta première danse avec Kol. Ce même Kol que tu n’arrivais pas à lâcher de la soirée. Déjà par respect, car tu te doutes qu’il ne connait pas grande monde ici et que donc, le laisser seul serait bien cruel. Mais c’était surtout pour toi, juste parce que tu n’arrivais pas à te détacher de lui. Ne serait-ce que pour aller saluer des amis à toi, ou pour aller t’en fumer une dehors, non. Quand il était là, il n’y avait plus que lui qui comptait, et le quitter ne serait-ce que quelques instants seraient un supplice. C’est pour quoi tu te collais autant contre lui, durant cette danse que tu aurais voulu sans fin. Tel un bébé koala – étrange référence, tu le sais – tu t’agrippais à lui comme si ton bonheur en dépendait. Ce qui était un peu le cas, il fallait l’avouer. Tu avais lâché sa main pour placer tes bras autour de sa nuque, vos deux corps se rapprochant ainsi d’avantage. Et au rythme de la musique, vous bougiez lentement de droite à gauche, de gauche à droite. Ta tête toujours contre son torse, tu avais pris soin de fermer tes yeux, profitant un peu plus de ce rêve éveillé. Et aussi parce que l’alcool commençait un peu à te monter à la tête. Comme toujours, Kol faisait tout pour te faire rire. Et ce n’était pas mal réussi. Avec son air taquant, à en faire tomber plus d’une, il ne cessait de te complimenter à sa manière. Et, comme toujours, ça te faisait tendrement sourire. La danse se termina tout doucement, la musique venant de se changer pour un autre classique du genre. Tes yeux se rouvrant, tu remontes ton visage vers celui de ton cavalier, le découvrant bien proche de toi. Tes yeux viennent automatiquement se plonger dans les siens, alors que tes bras restent accrochés à sa nuque. Une étrange pulsion t’envahit alors le corps. Tu sens ton cœur battre à en crever, et ton corps tout entier luttant pour ne pas craquer.
La soirée est si belle. La musique, les lumières. Lui. Tu es comme loin de toute réalité, coupée du monde. Si bien que tu te permets ce geste inattendu que tu ne pus contrôler plus longtemps. D’un rapidement mouvement, ton visage s’approche davantage de celui de Kol, et tes lèvres viennent rencontrer les siennes dans ce premier baiser. Quelques instants de pur bonheur, avant que tu ne te recules aussi brusquement que tu n’étais arrivée. Tu le lâches alors, te recules de quelques pas et décroches ton regard du sien. Mais qu’est-ce qu’il t’a pris, au juste ? Tu avais franchi une limite, une certaine étape que vous n’aviez jamais passé avec Kol malgré votre forte complicité. Et même si tu avais adoré ce court moment, tu le regrettais tout aussi tôt. « Je.. je suis désolée Kol, j’sais pas ce qu’il m’a pris. » Tu te sens vraiment bête, et complètement gênée. Si bien que, ni une ni deux, tu prends les jambes à ton cou, courant direction la sortie comme une furie. Mais pourquoi t’as pas su te retenir ?

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La soirée battait son plein, j'étais avec une des personnes les plus importantes à mes yeux, et l'ambiance était très agréable. Le fait de me retrouver entre des centaines d'étudiants ne me dérangeait pas plus que cela finalement. Je devais certainement être un des plus vieux, mais je pense être plutôt bien conservé pour mon âge -en même temps j'y mets du coeur à l'ouvrage en faisant beaucoup de sport notamment. Antonella était mon petit soleil de la soirée, et nous ne nos quittions pas d'une semelle -au sens propre du terme. Nous avions entamé une danse des plus romantiques, en plein milieu de la piste de danse sous tous les regards. Je ne suis peut-être pas un très bon danseur de base, mais je trouve que je m'en sortais plutôt bien pour le coup. Anto me guidait de temps à autre, tout était harmonieux, c'était vraiment mignon. Quand la première chanson se stoppa, nous étions également à l'arrêt, à nous regarder dans le blanc des yeux. Je souriais, ma complimentant à nouveau comme à mon habitude. Je sentais les paumes brûlantes de la jeune femme dans ma nuque, attendant une réponse ou un sourire de sa part. Mais la dite réponse se fit tout autre, et autant dire que je n'y attendais pas du tout. Elle s'approchait de moi, bien trop dangereusement, mais je ne reculais pas. Mon rythme cardiaque s'accéléra subitement jusqu'à que le contact entre nous deux se fasse. Mon coeur ratait un battement à cet instant. Je lui rendis vaguement son baiser, sans trop vraiment comprendre ce qui se déroulait sur le coup. D'un coup, Anto se recula, un air paniqué accroché au visage. De mon côté, je ne souriais plus et je fronçais les sourcils en jaugeant sa réaction. Elle était à priori complètement déboussolée, et j'étais complètement perdu. Pourquoi avait-elle fait cela ? Et pourquoi l'avais-je laissé faire ? Je suppose qu'une telle chose devait arriver entre nous, et chacun de nous deux devait le savoir au fond de soi. Au bout de quelques secondes de silence dans lesquelles je n'arrivais à placer une seule parole, Antonella bégaie des excuses avant de filer. Écarquillant les yeux sans trop comprendre, je mets une microseconde à réaliser qu'elle vient de partir. Je relève mon regard vers elle, la voyant elle et sa robe blanche décamper à l'autre bout de la pièce. Bien entendu, je la suis, je ne veux pas la laisser toute seule et j'ai besoin de mettre au clair tout cet embarras. Je ne ressens pas vraiment de la gêne, j'ai juste envie de l'avoir près de moi, et la rassurer. Je pousse les grandes portes du gymnase et la trouve juste devant l'entrée, dos à moi. Je m'arrête quelques instants, respire un grand coup, et m'approche d'elle. Je viens pour poser une de mes mains sur son épaule, mais je me retiens, ne sachant pas trop si cela va être mal interprété. Je sors une cigarette de ma poche en me plaçant devant elle, mes yeux cherchent son regard, fuyant. T'en veux une ? proposais-je alors à la belle blonde tandis que j'allumais ma clope. En tout cas, ça fait du bien. J'avais tellement envie de la prendre dans mes bras, et puis je ne savais pas quoi dire non plus, tout se chamboulait dans mon esprit et c'était vraiment dérangeant. Regarde moi. Je ne supportais même pas cet éloignement qu'elle mettait en place, et d'un autre côté, je ne savais pas quoi lui dire pour remédier à cela. Une catastrophe.
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Qu’est-ce qu’il t’était passé par la tête, au juste ? Rien, absolument rien. Tu n’avais pas pris la peine de réfléchir, un peu comme toujours, et t’avais juste suivi tes soudaines pulsions. Tu aurais adoré mettre cette erreur sur le dos de l’alcool, mais non. Il n’était pas le seul fautif dans ce qu’il venait de se passer. Saoule ou pas, tu l’aurais tout de même fait. Et tu l’aurais tout autant regretté. Debout dehors, dans le vent frais du printemps et la tête baissée, tu étais plus paumée que jamais. Que devais-tu faire ? Aller revoir Kol et tenter de lui expliquer pourquoi tu l’avais embrassé, alors que toi-même tu n’en connaissais pas les raisons ? Tu étais comme paralysée, droite et les bras croisés contre ton corps, te répétant encore et encore que t’avais fait de faire une belle connerie. Tu venais de briser quelque chose de fragile, entre toi et Kol. Tu avais franchi cette limite qu’inconsciemment, vous vous étiez fixé. Des années que vous vous tournez autour, que vous flirtez, que vous jouez avec le feu. Ce soir, t’as décidé de te brûler et putain, ça fait mal. Parce que tu sais pas quoi en penser, parce qu’au fond, tu ne sais même pas si tu regrettes ce baisé volé ou pas. Sentir tes lèvres contre les siennes, ne fusse qu’un court moment, ça te fout encore des frissons en y repensant. Des mecs, t’en avais embrassé une bonne poignée jusqu’ici. Mais là, c’était différent. Comme un interdit brisé, tu avais pris plaisir à répondre à ta soudaine pulsion. Kol ne t’avait pas rejeté. Sans doute n’avait-il eu pas le temps. Et si tu avais prolongé ce baisé, t’aurait-il repoussé ? Ce genre de question ne cessait d’envahir ta petite tête blonde. Et alors, ton cavalier apparaît face à toi. Tu demeures la tête basse, tu n’oses même plus affronter son regard tant le remord te ronge. Que dire, que faire ? Partir en courant, refuser la discussion ? Non, des explications tu lui en devais bien même si l’envie de t’enfuir loin de tout te titillée. Tu ne pouvais pas l’abandonner après l’avoir embrassé, c’est la moindre des choses que tu pouvais faire. Il te proposa alors une cigarette, mais tu ne répondis pas. Pourtant, à ce moment précis tu aurais été capable de fumer un paquet tout entier d’une traite. Toujours paralysée, te repassant en boucle cet instant de quelques secondes. Les larmes jonchèrent bientôt les rebords de tes yeux, t’obligeant à baisser un peu plus ton visage. Bordel, t’étais supposée dire quoi là ? Sa voix, sa demande de le regarder, ça te briser tant à l’intérieur. Jamais rien de dramatique n’était arrivé entre vous, depuis tout ce temps. Entre vous, ça n’avait toujours été que taquinerie, petite drague et rires. Jamais les larmes, jamais de cris. Ce soir, tout allait changer, et c’est bien cette notion de changement qui t’effrayait le plus. « Je n’sais pas quoi te dire Kol.., ta voix était toute légère, à peine audible. Tremblante comme jamais. La franche et mature Antonella était bien loin à présent. Ne restait plus qu’une enfant perdue face à sa bêtise, qui ne savait plus où se mettre. J’aurai pas dû je sais, j’suis désolée. J’suis désolée. » Tu aurais très bien pu le répéter encore une dizaine de fois. Tu plaquas une main sur ton visage, tentant en vain de retenir ses foutues larmes enfantines. Tu n’arrivais toujours pas à lever ton regard vers Kol. Non, tu n’étais pas encore prête à ça. Le voir à nouveau proche de toi te rend maintenant nerveuse, toi qui pourtant adore le savoir à tes côtés. Après ce que tu viens de faire, ça devient un supplice. « J’t’en prie, pars. »
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La soirée avait pourtant si bien commencé. Je ne m'étais pas du tout attendu à un tel retournement de situation, surtout de la part d'Antonella. J'étais moi aussi déboussolé, bien que je mettais tout en oeuvre pour ne pas le montrer, au contraire de cette dernière. Nous nous retrouvions à présent dehors, et il ne m'en fallait pas plus pour m'allumer une cigarette. Je sais que je devrais songer à arrêter, que ce n'est pas bien -surtout pour le métier que j'exerce- mais je n'arrive pas à m'y résoudre. Et dans des situations embarrassantes comme ça, je suis bien content que mes cigarettes soient dans ma poche. Je fume à toute vitesse, ne lâchant pas Anto du regard. Mon coeur se brise au fur et à mesure des secondes, la voir ainsi me fait énormément de peine et je ne sais absolument pas quoi faire pour qu'elle aille mieux. Je suis complètement perdu, et c'est un état d'esprit très rare chez moi. Quand je lui demande enfin de me regarder, elle n'en fait rien, et c'est un autre coup de poignard que je reçois. Après tout.. ce n'est qu'un baiser. Pourquoi réagit-elle ainsi ? Ce n'est pas comme si je l'avais repoussé. Mais peut-être que justement, elle aurait désiré que je mette fin à cet échange ? Tout se bouscule dans mon esprit, et il est très dur pour moi de faire la part des choses. Quand elle se met à pleurer, c'en devient réellement insupportable. Je passe une main dans mes cheveux, gêné au possible, sans savoir quoi répondre. J'aimerais juste la prendre dans mes bras, mais j'ai l'impression d'être ancré dans le sol sans pouvoir effectuer le moindre mouvement. Néanmoins, je ne peux pas m'empêcher d'écarquiller les yeux suite à sa demande. Elle veut que je parte. Là, c'est en ne peut plus clair. Je n'aurais jamais pensé entendre ces mots sortir de sa bouche, mais c'est bel et bien le cas. Je ne bouge toujours pas, mon regard est figé dans le vide et je ne sais même plus si j'ai un rythme cardiaque normal. Je me décide enfin à reculer d'un pas, lui tournant complètement le dos pour souffler un bon coup, ébouriffant à nouveau mes cheveux. Un cauchemar, ni plus ni moins. Au bout de quelques instants, je me tourne face à elle, cherchant désespérément son magnifique regard, en vain. C'est vraiment c'que tu veux ? demandais-je alors, redoutant sa réponse plus que jamais. Je n'ai jamais eu autant peur d'entendre Antonella me parler -ou me jeter, au choix.
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