Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHe who knows all the answers has not been asked all the questions. pv SLOAN (a) - Page 2
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He who knows all the answers has not been asked all the questions. pv SLOAN (a)

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He who knows all the answers has not been asked all the questions. ★★★
Mon corps était en alerte, je ne contrôlais plus rien. Sloan me reprochait une faute que je n'avais pas commise. Mes seules erreurs avait été de croiser le chemin de mon père et celui de mentir pour mieux me faire pardonner. Mon regard était noir et vide de sens. Et ces paroles n'arrangeaient rien du tout. Au contraire, elle me poussait coup de pied au cul vers une sortie que je ne voulais pas franchir. " La putain de service, elle a fini de parler ? " fait le malin bushnell ! Ces mots étaient froid voir même glaciale, j'en avais la chair de poule. Comment en étions nous arrivé là ? mon père était là seulement depuis quelques heures et il foutait déjà un bordel monstre dans ma vie. Je restais silencieuse tandis que mes bras se croisait contre moi. " Tu t'es entendu parler ? Alors selon toi, tout est de ma faute ? bordel charline, réveille-toi. Tu me plantes le jour de l'enterrement de ma mère, tu me mens et tu débarque avec ton plan cul ? t'es pas la mieux placer pour parler. " Sloan n'avait pas tord sur la plupart des choses qu'il citait. J'avais chercher cette situation et je m'en voulais bien assez de ne pas avoir pu être à ces côtés pour l'enterrement de sa mère. Seulement, sa paranoia restait fixer dans le temps. Je n'avais pas coucher avec Sam, je n'avais pas commis cette erreur impardonnable et je ne voulais pas en subir les conséquences. Il se recula et gesticula. Moi je restais figée, hésitant à partir pour le laisser tranquille. Ces paroles me blessaient, elles entachaient notre relation. Sans faire attention ma respiration s'accélérait pour faire face à une autre émotion. J'avais envie de pleurer. Ma gorge se noua et mes mains se serraient contre moi. Mon regard lui restait fixé sur l'étudiant. Va y Sloan continue ! " Non je ne te reconnais pas Charline, je ne te reconnais plus. Qui es-tu pour te permettre de m'enfoncer comme tu viens de le faire ? t'as pas l'impression que ce n'était pas le moment, non ça ne t'as pas effleuré ton petit cerveau ? je ne te pensais pas égoiste à ce point là " le coup fatale... et doucement je ne pu retenir mon envie de partir en courant. Je fis quelques pas en arrière pousser une nouvelle fois vers la sortie. J'étais égoiste, je l'avais toujours été. J'avais abandonné ma famille, j'avais laisser mes frères et soeur au dépend de mes parents. Je m'étais enfuie pour mon bonheur à moi laissant derrière moi ceux que j'aimai. Sloan était pourtant l'exception... le seul avec qui je n'arrivai pas à être égoiste. J'avais envie de lui crier dessus, de lui hurler dessus et de pleurer. Mon visage était fermé et froid. Il ne me laissa pas le temps de répondre qu'il poursuivit encore. " Tu me dégoutes... et moi dans cette histoire je deviens quoi ? Je viens de perdre ma mère et la fille qui me plait dans la même journée. " je restais silencieuse. Termine Sloan et je prendrai la parole. Termine et vite ! Son regard était insistant tout comme le mien. C'était bien la première fois que je ressentais tout cette haine pour l'éliot. " Tu aurais pu au moins attendre une semaine pour me le dire. Si vraiment tu ne pouvais plus voir ma sale gueule, t'aurais dû mettre les distances tout de suite. Et quoi ? il t'apporte quoi de plus hein ? c'est un bon coup, il te baise bien ? Lui aussi il aime l'eau ? Est-ce qu'il te regarde comme je te regarde ? hein Charline ? Est- ce qu'il t'aime comme je t'aime ? " Ma respiration se coupa net au simple son de ces sept petites lettres. C’était étrange mais plus rien n’avait d’importance. Le temps s’était stoppé et comme une idiote j’étais en train de me demander si j’avais bien entendu. Si ces mots étaient réellement sorti de sa bouche. Ma colère s’évapora aussi rapidement qu’elle était arrivée.Mes épaules retombèrent doucement et mon regard soutenait celui de l’Éliot. L’interrogeant du regard. Je mis plusieurs secondes avant de finalement lâcher mon sac à mes pieds et m’avancer vers l’étudiant. Mon regard était fixé au sien et j’approchai lentement redoutant une nouvelle fois mon approche. « je...» ma gorge se serrait. J’étais face à lui tentant de garder une distance et sans vraiment comprendre. Je me mis à soupirer et fis un dernier pas qui colla mon corps contre le sien. Mes mains s’approchaient du visage de l’Éliot avant de l’encadrer avec douceur. « maintenant tu vas te taire... et tu vas m’écouter Sloan.» dis-je sincèrement. Mon regard était suspendu à ces lèvres avant de le regarder avec toute la sincérité dont je pouvais faire preuve. « je n’ai pas couché avec lui et je ne veux pas coucher avec lui... je le veux pas. Il ne sait rien passé et il ne se passera rien du tout...» dis-je avec douceur avant de poursuivre « rien du tout...» mes mots étaient fébriles. Mes doigts caressaient avec tendresse cette joue que j’avais eu envie de frapper. « ce n’est avec lui que j’ai couché au chili, ce n’est pas lui qui me pousse au-delà de mes retranchements, ce n'est pas lui qui m’a offert un week-end de rêve à New york. Tu es stupide de croire que je peux aller me faire un autre mec que toi ! tu es vraiment stupide Sloan.» mes doigts descendirent dans le creux de son cou et mon front se colla au sien. Mes yeux se fermaient avant que je ne dise. « Tu les as vraiment dit ? » ma tête se redressa et mes mains restaient nichées dans le creux de son cou. Mon regard le détaillait. dit moi que je n’ai pas rêvé Sloan ! dis-le-moi.
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I keep dreaming you'll be with me and you'll never go
Je t'aime. Trois petits mots anodins pour la plupart des gens mais pas pour Sloan. Ils signifiaient beaucoup. Avant aujourd'hui, il ne les avait jamais prononcés. Personne n'avait eu la chance de les entendre de sa bouche, ni ses exs, ni sa famille et aussi triste que cela puisse paraître, ni sa mère. Le beau brun n'avait jamais trouvé la bonne occasion pour lui dire. Elle était donc partie sans savoir ce que son fils ressentait pour elle. Oh, sa mère devait bien s'en douter mais elle n'eut pas se privilège. S'il avait bien un regret suite au départ de sa maman, c'était bien celui-là. Il aurait voulu lui dire qu'il l'aimait et qu'elle gardera une place spéciale dans son coeur. Il aurait aimé la remercier pour tout ce qu'elle avait fait pour lui, elle s'était plus ou moins sacrifiée et s'était toujours battue pour offrir une belle vie à son enfant. L'Eliot lui en était reconnaissant mais n'avait pas eu le temps de poser des mots sur ses sentiments. C'était peut-être un peu la raison pour laquelle il avait dit je t'aime à Charline. Il avait l'impression de la perdre et son subconscient avait parlé pour lui. En fait, Sloan sentait bien que la situation lui échappait, il avait simplement essayé de la retenir. Le regard plongé dans le sien, il craignait sa réaction. Charline n'est pas le genre de fille qui s'investi facilement dans une relation, elle avait peur de se lancer et craignait toujours de faire du mal. Le jeune homme savait qu'en prononçant cette phrase, il allait mettre le feu aux poudres, c'était quitte ou double. Il venait de relâcher la pression en s'entendant parler. Il n'était même pas certain de lui avoir vraiment dit je t'aime. Si ça se trouve, il l'avait tout simplement rêvé ? Impossible. Sloan s'était détendu d'un seul coup, toute la pression et la rage semblait avoir disparu de son esprit. A cet instant précis, il ne ressentait qu'une émotion, la peur. Il avait peur. L'Eliot attendait patiemment le réaction de Charline. Après tout, il lui avait des choses affreuses et voilà que, sortit de nul part, il lui balance un je t'aime maladroit. Là encore, il s'en voulait. Son premier je t'aime n'aurait pas du se passer ainsi. Sloan s'attendait plus à le dire dans un endroit plus romantique qu'un cimetière. Il aurait voulu sortir le grand jeu plutôt que de le balancer de but en blanc entre deux insultes. Sous la surprise de ses mots, il relâcha la pression, les traits semblaient plus détendu, moins tirés. Par contre, il affichait une mine inquiète et ça, il ne pouvait pas le cacher. Finalement, Charline lâcha son sac, il fronça les sourcils. Elle s'approcha doucement de lui et se colla contre son corps. Sloan ne pu cacher un léger sourire de soulagement sur son visage. Il lâcha un soupir de soulagement en la sentant prés de lui. Toute la pression des minutes précédentes semblait disparaître. Il aurait voulu la prendre dans ses bras mais il ne le fit, il laissait la brunette venir à lui. Il était encore mentalement très instable et préférait que cela vienne d'elle. Charline posa ses mains sur ses joues, elle semblait encore bien hésitante. Pas étonnant lorsqu'on voit l'état dans lequel il était auparavant. C'était encore tendu mais la Granger avait fait preuve d'audace en s'interposant entre les deux mâles, elle était courageuse cette petite. Sloan ne bougea pas, il ferma les yeux en sentant ses mains froides sur sa peau brûlante. C'était d'un réconfort sans précédent. Il les ouvrit en l'entendant parler. Et avec toute la délicatesse dont elle savait faire preuve, Charline le rassura. Elle lui avoua qu'il s'était monté un film tout seul dans sa tête et que jamais, ô grand jamais elle ne pourrait se taper son colocataire. L'Eliot se sentait minable et débile d'avoir réagit ainsi. Anéanti par toutes les émotions qu'il venait de ressentir, il se laissait guider par ses paroles réconfortantes. La respiration du beau brun devenait plus légère, son coeur semblait se calmer. C'était toute la douceur et l'attention dont il avait besoin. Le temps semblait s'être arrêté. Sloan ne pouvait détacher son regard de Charline. Il posa ses mains sur ses hanches et inspira profondément. Ses paroles étaient réconfortantes et sa présence, apaisante. La brunette lui demanda s'il les avait bien prononcé, s'il lui avait bien dit je t'aime. Charline semblait aussi surprise que lui suite à cette annonce, ils étaient en suspense. Un large sourire apparu alors sur le visage du jeune homme. « Dis quoi? » demanda-t-il calmement. Il la taquinait un peu, histoire de faire redescendre la pression. Sloan haussa un sourcil avant d'approcher son visage du sien. Il regarda simultanément ses yeux et ses lèvres. « J'ai rien dit. » murmura-t-il avant de venir capturer ses lèvres. Oh bordel, calmement, délicatement, il vint poser ses lèvres contre les siennes et l'embrassa tendrement. C'était tout ce dont il avait besoin : de l'attention. Sloan enleva une main de sa hanche et vint la poser dans sa nuque pour l'attirer un peu plus vers lui. C'était doux et extrêmement appréciable. L'euphorie et la colère semblaient si lointaines à présent. Leurs souffles se mélangeaient, leurs langues s’effleuraient à peine. L'Eliot s'abandonnait dans ce baiser. Il n'y avait plus qu'eux, le reste semblait dérisoire. Envahi par l'intensité du baiser, Sloan leva les yeux et avança de quelques pas, obligeant Charline à reculer. Délicatement, elle vint se caler contre un arbre qui se trouvait là. Ce n'était pas vraiment un lieu approprié pour ce genre de chose mais ils s'en foutaient royalement. Ils se retrouvaient et c'était tout ce qui comptait. Après quelques minutes de baisers intenses, de plaisir ultime, Sloan mit fin à ce contact si chaud, si rassurant. Sans un mot, il se recula et plongea son regard dans le sien. Il caressa sa joue de son pouce et afficha un petit sourire. « Je t'aime Charline. » dit-il d'une voix posée. Il n'y avait rien d'autre à rajouter. Pas la peine d'épiloguer des heures sur ce qui venait de se passer. Il l'aimait et se l'avouait enfin.
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He who knows all the answers has not been asked all the questions. ★★★
Mes mots restaient suspendus dans l’espace. Mes doigts se raccrochaient à son cou et mon regard scrutait la moindre de ces réactions. Allait-il me croire cette fois-ci ? Mes mots ne pouvaient pas être plus sincères et profonds. Le son de ces trois mots avait réussi à m’adoucir. Aussi étrange et bizarre soit-il. Ils m’avaient incité à revenir vers lui alors que je me trouvais proche de la sortie. Ces trois mots ne m’avaient pas fait fuir comme je l’aurai cru. Ils m’avaient poussé à le rejoindre. Ma respiration s’était coupé attendant un signe de sa part. Légèrement, la pression de ses mains me ramena à la réalité. Elles s’étaient posés délicatement sur mes hanches. Un souffle chaud s’échappa d’entre mes lèvres. Le premier pas était abordé. Une question restait néanmoins en suspens. Les avait-il vraiment prononcé ? où étais-je assez désespéré pour m’être imaginé Sloan en train de les prononcer ? Pour tout vous dires, la passerelle entre la réalité et le rêve étaient infimes en cet instant. Sloan se mit à sourire et machinalement mon visage se détendit. Mes lèvres s’étiraient légèrement. La douceur revenait nous titiller et s’était exactement ce que je voulais. Ces paroles avaient été blessantes et j’avais besoin de sentir qu’elles étaient à ce moment précis que futilité. « Dis quoi ? » ma tête se pencha sur le côté et un sourire mince s’afficha sur mes lèvres. Son visage se rapprocha de moi. Son souffle caressait mon visage. « Je n'ai rien dit. » difficile à croire, je les avais entendu. Mon imagination ne pouvait être responsable de ce trouble. S’était impossible. Il ne me laissa pas plus de temps à la réflexion et m’embrassa avec tendresse.Ce simple contact, je l’avais désiré toute la journée. Mon corps se rapprocha de l’étudiant pour me coller contre le sien. Mes bras s’enroulaient autour de son cou et mes lèvres profitèrent de ce moment de répit. Bordel que se faisait du bien. Machinalement, je me mis sur la pointe des pieds pour pouvoir prolonger un peu plus son baisé. Une de mes mains caressa sa joue tandis que l’autre se perdait dans ces cheveux. Ma respiration s’accéléra un peu et ce mêla à la sienne. Il s’avança m’obligeant à faire de même. Nos corps étaient restés collés l’un contre l’autre. Ce n’était pas le lieu approprié pour ce genre d’étreinte, mais à cet instant nous en avions besoin. Il se recula encore un peu m’obligeant à me caler contre cet arbre sorti de nulle part. Une de mes jambes se plia légèrement contre celle de l’étudiant. Après plusieurs minutes d’euphorie, mes lèvres se séparaient des siennes. Mon regard s’attarda sur sa bouche avant de me pincer les lèvres. Il recula son visage sans rien dire. Un sourire s’afficha sur mon visage. Ces doigts caressaient mon visage et distinctement il fit : « Je t’aime Charline.» il l’avait dit, véritablement dit. Mon sourire s'étira un peu plus tandis que mes doigts venaient effleurer ces lèvres. Immortalisant ce moment. C’était étrange comme les choses pouvaient changer. J’étais contente... bizarrement. Je l’étais vraiment. J’approchais mon visage du sien, effleurant ces lèvres. Mon souffle se mêla au sien. Ma joue se colla à la sienne et sensuellement au creux de son oreille je lui fis : « pardon ? tu disais » je me mis à rire avant d’afficher un sourire amusé. Je plaisantais bien évidemment. Il les avait dit, vraiment dit. « T’es mon abruti... bushnell » oui mon abruti à moi. Un sourire ravi s’afficha sur mes lèvres avant que je ne vienne l’embrasser une nouvelle fois. La légèreté de ces mots me faisait du bien. J’avais besoin de sa, besoin de lui pour tenir. Ma respiration s’accéléra une nouvelle fois. Les mains de Sloan remontaient dangereusement, mes lèvres se décolèrent et je finis par lui dire : « on devrait se calmer Bushnell. Tu veux aller boire un verre ? » restons raisonnable surtout ici. Ouaiiiiiiiiiiii même si clairement l’envie n’y était pas. Mes mains se posèrent sur ces épaules et je lui fis : « tu m’as donné soif » dis-je en souriant et en l’embrassant sur le nez. Allez il était temps de partir d’ici.

FIN
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