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EDELIAS (+) Soyons extraordinaires ensemble, plutôt qu'ordinaires séparément.

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Edelweiss a sacrément envie de me foutre une rouste ce soir. Je l'ai bien cherché, sa malédiction de l'automobile semble la poursuivre malgré sa bonne foi. Le moins pire dans l'histoire, c'est que nous n'avons tué personne, ni humain, ni animal. Ma carrosserie est indemne, mais le moteur a disjoncté. Paniquée, je guide la jeune femme dans la marche à suivre pour ne pas finir droit dans un arbre. Je ne suis pas mécanicien, je connais simplement quelques bases, seulement, la fumée intense qui se propage m'empêche de regarder les dégâts. Je recule tout en entendant Edelweiss se dévaloriser, pour ne pas changer, je commence à la connaître la petite. Le nuage pénètre mes poumons et me fait toussoter. Lorsque je reprend mon souffle, l'américaine est là, a tournoyer autour de moi. " Mais non c'est rien, c'est de ma faute, elle méritait une révision j'ai trop tardé ! " avouais-je en me retournant vers elle. Lorsque la fumée se dissipe, j'ose de nouveau m'approcher pour regarder à l'intérieur. Eh bien ce n'est pas mon regard de futur psychologue qui va me permettre de résoudre la panne. Je pose mes mains sur mes hanches et réfléchis à un moyen de nous sortir de là. Je dois appeler un dépanneur, y a pas d'autres solutions. Je sors mon mobile de mon pantalon et le déverrouille. Aucun signal, rien ne passe sur cette fichue route. Je tend mon iPhone dans les airs en quête d'une barre qui pourrait sauver notre soirée. Rien. " On est coincé là j'ai l'impression, ça craint, merde ! " m'exclamais-je en shootant dans les graviers. Lorsque le destin se met à me mettre des bâtons dans les roues, j'ai envie de tout casser. Je me place ensuite face à l'étudiante et lui demande si elle capte plus que moi, parfois certains opérateurs sont meilleurs que d'autres selon les endroits. " Je suis désolé, je voulais vraiment nous offrir une belle soirée... " finissais-je par déclarer en soufflant.  
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« Je suis désolée, j’essaierai de te rembourser les dégâts, promis !! » Tu fais les cent pas tout en mordillant le bout de ton doigt, tu es angoissée, stressée par la connerie éventuelle que tu as pu faire. Tu t’arrêtes un moment alors que ton ami jette un œil au moteur. Tu espères que ce n’est pas trop grave mais vu la fumée qui se dégage du moteur, vous êtes cuits pour rentrer maintenant ou aller dans un quelconque bar. Il tente de joindre quelqu’un comme un dépanneur mais son réseau fait des siennes. Tu te précipites alors, enthousiaste vers la voiture pour tirer ton portable de ton sac. Tu reviens toute guillerette auprès de Tobias avec ton smartphone en main. « Attends, je vais essayer d’appeler… rien du tout. » Tes épaules s’affaissent, tu es dépitée. Toi non plus tu n’as pas de réseau dans ce patelin paumé. Tu regardes ton portable en priant que le message d’erreur réseau s’enlève et qu’une petite barre s’affiche mais tu pries pour rien car rien ne change. Tu te contentes de regarder une bonne minute ton chat en fond d’écran, oui tu as ton chat, une belle photo certes mais ton fond d’écran reste ton chat, ce qui donne une légère impression d’être une vieille fille. Tu ranges alors ton portable dans ta poche puis tu te rapproches de Tobias, il a voulu bien faire, ce n’est pas de sa faute. « Ce n’est pas de ta faute et puis tu as réussi à me faire conduire jusqu’ici, c’est déjà ça. Eum tu crois qu’il y a des loups dans le coin ?? » Tu entends un bruit suspect derrière les buissons et tu ne peux t’empêcher de te coller à Tobias instinctivement en poussant un petit cri strident. Il fait quasiment nuit noire ici et tu es une vraie trouillarde.
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Tant que j'ai les moyens de faire ce que je veux, je ne vais pas soutirer de l'argent aux autres, encore moins à Edelweiss. Qu'elle grande malade ! " Jamais de la vie, Papa est là pour ce genre de choses t'en fais pas ! " lui répondis-je en toute honnêteté. Je vais passer pour un gosse de riche mais si c'est le prix à payer pour qu'elle ne fasse pas d'horaires supplémentaires à son boulot, je veux bien courir le risque. Dans tous les cas, la panne est hors de mes capacités de mécanicien. Mon téléphone ne souhaite pas me secourir et celui de la jeune femme non plus. Cette situation ne m'est jamais arrivée. Nous sommes dans l'impasse, au milieu de nulle part. Je m'excuse naturellement auprès de la jolie blonde, ce n'était pas mon intention de réduire son week end à néant. Une fois n'est pas coutume, elle reste adorable à croquer et me fait remarquer que nous ne sommes peut être pas si seuls dans le coin. Mes sens se démultiplient dans le noir, j'en ai la chair de poule. " Des loups ? Non je ne pense pas. Un psychopathe peut être ! " chuchotais-je en tournant légèrement la tête vers celle d'Edelweiss posée sur mon épaule. La proximité qu'engendre ces bruits terrifiants ne me déplaît pas. Je fixe les buissons et m'imprègne de ce contact malheureusement constitué de peur. " On fait quoi ? Je dois avoir une carte dans ma voiture, je vais voir s'il y a pas quelque chose qui pourrait nous aider pas très loin. " Je me décolle à mon grand regret de la demoiselle et je fonce vers ma boite à gant pour attraper la carte dépliante. Je referme le capot qui s'est refroidi et j'étale le bout de papier sur la tôle métallisée. J'éclaire avec mon téléphone le plan et nous repère assez vite. Je cherche un moyen de rattraper la soirée dans un rayon proche de notre position, bingo ! " Oh, si on fait un peu plus d'un kilomètre, on peut arriver dans une cabane de chasseur, à cette époque de l'année il doit y avoir personne... " proposais-je perplexe. " Le seul problème c'est qu'on doit traverser ces bois " ajoutais-je en pointant du doigts le bosquet à notre droite.
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Tobias

Tu flippes, tu es une grosse trouillarde. Tu n’as pas peur du noir ou ni de te balader en forêt, mais les deux combinés à un bruit suspect venant des buissons près de toi et tu ne peux que sursauter et te mettre à trembler comme une feuille en poussant un petit cri. Tu t’accroches à Tobias qui ne semble pas désemparé contrairement à toi. « Pas de loups, très bien… EUM QUOI ?? » Tu lui fais les gros yeux, il se fou de toi là, c’est forcément ça. Tu sens ton cœur se mettre à battre à toute vitesse, c’est fou à quel point tu peux partir au quart de tour lorsqu’il s’agit d’angoisse. « Non non non Tobias reste-là s’il te plaîîît…. » Tu le supplies presque tout en s’accrochant à son tee-shirt mais tu finis par lâcher, il est trop fort et pour un petit gabarit comme toi, c’est difficile de rester accrochée, tu n’as pas vraiment de force. Tu serres alors tes bras contre ta poitrine et tu trépignes d’impatience, regardant tout autour de toi, guettant chaque bruit mouvement suspect. Tu le vois revenir, fermer le capot et installer une carte sur celui-ci. Tu souffles tout en t’approchant un peu plus pour regarder ce qu’il fait et parce que sa présence te rassures, bien évidemment. Tu l’écoutes puis tu lâches un rire nerveux, comme l’autre soir au bal. « QUOI ?? Non… on peut rester dans la voiture au pire et attendre les secours… ou le dépanneur parce que nous ne sommes pas dans un film… » Tu tentes de te rassurer comme tu le peux mais ce n’est pas chose facile. Tu sens que tes jambes vont te lâcher et que tu vas tomber à la renverse. Tu souffles longuement alors qu’il range la carte et s’occupe de fermer la voiture. Il a pensé à attraper ta veste et ton sac pour te les rendre. Tu enfiles ta veste et passes ton sac en bandoulière. « Tu es sûr pour cette cabane ? Je veux bien y aller dans ce cas mais tu ne me lâches pas d’une semelle car c’est souvent les jeunes femmes blondes qui se font attraper par les psychopathes dans les films d’horreur et moi je veux être la survivante… » Tu le regardes avec ton air totalement terrorisée.
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Je me moque un peu d'Edelweiss, c'est affreux, mais plus elle est pétrifiée, plus elle me fait rire intérieurement. " Enfaite c'est moi le psychopathe, tu t'y attendais pas je parie mouhaha " je ris diaboliquement et pars à la recherche de ma carte. La demoiselle m'arrache presque le tee shirt, apeurée à l'idée de se retrouver seule quelques secondes. Mais je dois me rendre utile, je dois la protéger, la mettre en lieu sûr. Plus les heures passent et plus l'air se rafraichit, je dois trouver un abri, une sortie de secours à ce cauchemar. Je reviens le plus rapidement que je peux et je recherche un endroit qui pourrait nous venir en aide. Lorsque je trouve enfin de quoi me rattraper, je le mentionne à Edelweiss. L'idée ne la réjouis guère, si j'étais une femme, je réagirais peut être de la sorte qui sait. Pour le moment, je joue carrément aux cons, je m'occupe de fermer la voiture et de rendre à la jeune femme ses affaires personnelles. Avant que nous nous enfoncions dans la jungle de Cambridge, Edelweiss me met en garde et me rappelle les scénarios catastrophes des films d'horreur. Je ne peux m'empêcher de lui sourire comme un idiot. " Je te lâche pas, à moins qu'on me tue avant toi " confiais-je en glissant mes doigts entre les siens pour que rien ne nous sépare le temps du trajet à pieds. Je serre sa main et emboite le pas, je traverse les branches et me fait fouetter par une d'elle en plein visage. " Connasse " lâchais-je par réflexe tout en continuant de dégager le chemin pour Edelweiss. Après une lutte contre la nature, la voie semble plus libre et moins encombrée. Nous descendons un petit talus et nous progressons enfin vers cet abris. " Sinon, c'est quoi ton genre de film préféré, ton style de musique favori ? Je pense que tu dois aimer d'autres choses que servir des cafés non ? " lui demandais-je en essayant de trouver son regard azur dans l'obscurité. " Moi j'aime bien les films apocalyptiques, je rêverais d'être un des seuls survivants sur Terre et sinon j'écoute un peu toute la merde commerciale " déballais-je en regardant cette fois mes pieds pour ne pas m'emmêler les pinceaux.
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Tobias

« Mon rendez-vous est un psychopathe, mon rendez-vous est un psychopathe… tout va bien. » Tu te répètes discrètement alors qu’il part à la recherche de sa carte. Tu tritures alors ton collier, il n’y a que ça qui t’isole et apaise un tant soit peu. Tu sais que Tobias rigole mais tu es tellement nerveuse que tu ne sais plus quoi penser ni où te mettre. Heureusement que tu n’es pas tombée en panne au milieu de cette forêt totalement seule. Ce qui en y réfléchissant n’est pas prêt d’arriver vu que tu ne conduis pas. Heureusement le sauveur Tobias prend les choses en main et vous conseille une petite cabane, l’endroit est peut-être romantique… Tu secoues tes mèches blondes, tu te forces à penser à autre chose pour te distraire l’esprit et ne pas paniquer. « Non tu n’as pas le droit de mourir, tu dois me protéger !! » Tes yeux s’ouvrent en grand et tu t’accroches à son bras, tu détestes les films d’horreur, tu es le genre de fille à se cacher sous ta couette pendant tout le temps du film et à hurler même si tu ne vois pas les images. Tu marches alors avec lui à travers les bois tout en ne le lâchant pas. Ta main lovée dans la sienne, tu es un peu plus sereine, il t’apaise un peu et le fait qu’il prenne les devants pourrait te faire craquer, si tu n’étais pas dans le noir en plein milieu d’une forêt avec peut-être un psychopathe qui rôde. Tu es satisfaite d’avoir mis une bonne paire de basket et non les talons que tu portais lors du bal, tu n’aurais pas donné cher de tes pieds sinon. Tu sursautes alors que Tobias se prend une branche, tu ne peux t’empêcher de lâcher un petit rire discret, pour une fois que c’est toi qui ris de lui et non l’inverse. Tu progresses alors dans une direction un peu plus rassurante pendant qu’il te parle de ses goûts de musique et en matière de film, bon plan pour te divertir et masquer ton angoisse. « J’aime les films drôles, d’action aussi. Je crois que tu l’as compris mais les films d’horreur ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. En ce qui concerne la musique, j’écoute de tout, vraiment tout… » Et accessoirement, tu ne sers pas que du café non plus, pour gagner de l’argent.
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Une lampe torche m'aurait grandement aidé. J'entends la petite voix d'Edelweiss, me suppliant de la protéger coût que coût. " Je gère ! " criais-je en brisant le chant des insectes les plus nocturnes. Lorsque le chemin s'avère plus dégagé, j'engage la discussion avec la ravissante mademoiselle Jenkins. Je lui confie mes goûts et lui en demande de faire de même. J'aurais dû me douter, une jeune femme douce comme elle n'allait pas adorer des bains de sang audiovisuels. Un point commun nous réunis cependant, nous écoutons tout et n'importe quoi. " Tu me prêteras ton iPod que j'écoute tout ça. " répondis-je tout en zieutant à droite et à gauche un éventuel danger. À cette heure-ci et dans ce lieu, ça m'étonnerait que l'on croise même un chat. Nous crapahutons encore plusieurs mètres et après avoir légèrement contourné un arbre imposant, un minuscule chalet abandonné apparaît dans une clairière. " Ah ben enfin, je crois pas que l'on aura une ligne téléphonique, il doit y avoir de quoi survivre une nuit, demain matin on trouvera plus de voitures sur la route ou bien on continuera jusqu'au prochain village... Tu me diras. " expliquais-je tout en continuant de progresser vers la maisonnette délabrée. Une vitre est brisée, je lâche la main de la blonde et lui barre le passage avec mon bras. J'entends des chuchotements, des gémissements troublants. Je me retourne vers la demoiselle en pointant mon index sur ma bouche pour lui demander d'être silencieuse. Je réduis ma taille en fléchissant les genoux, seuls mes yeux dépassent pour jeter un oeil à l'intérieur. Une lampe à huile éclaire une pièce vers le fond, j'aperçois soudain en déplaçant mon regard deux silhouettes au sol, couchées et entremêlées. Eh bien on dirait que notre refuge est déjà occupé par un couple en pleine reproduction. Je soupire et me redresse, reculant d'un pas. Mon pieds écrase un tas de feuilles sèches, le bruit était similaire à celui de chips que l'on piétinerait. Du mouvement brut se fait entendre, l'électricité semble présente puisque le chalet s'éclaire tout à coup. Les yeux exorbités, la bouche ouverte, je met un certain temps à réagir. C'est la voix rauque d'un homme qui me sort de ma position figée ainsi que le son d'un fusil qu'on arme. J'attrape le poignet d'Edelweiss et me met à courir comme un déglingo. " Dépêches, ce taré va nous prendre pour son gibier, cours ! " criais-je tout en fuyant avec elle. Nous traversons des tas de buissons, écrasant la végétation pour sauver notre peau. Je ne sais pas combien de temps nous avons couru, ni dans quelle direction, mais nous débouchons finalement près d'une route. Une voiture plein phares nous dépasse à toute vitesse. J'abandonne Edelweiss, me pliant de douleurs, mains sur les genoux. Ma respiration est saccadée, je grimace, mes poumons brûlent mais qu'est-ce que c'était bon.
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Tobias

Tu respires un peu mieux maintenant que le chemin s’est dégagé. La lune éclaire discrètement le chemin devant toi, une bonne chose sachant que tu ne prêtes qu’une oreille à la conversation que tu entretiens avec Tobias. Tu te concentres sur tes pieds, tu as tellement peur de tomber que tu guettes chacune des parcelles de ce chemin de terre. Tu respires longuement alors que tu sens que vous touchez au but, tu seras bientôt en sécurité ou presque dans un petit chalet. Demain il fera jour et après une nuit à discuter avec Tobias, tu retrouveras ton confort de la Cabot House. Tu te contentes d’acquiescer d’un bref geste de la tête qu’il n’a certainement pas vu à cause de la pénombre, bien sûr que tu lui prêteras ton Ipod, à condition qu’il te le rende car tu t’en sers souvent pour réviser, pour te fondre dans ta bulle protectrice le soir. « Si on survit. C’est vrai, la panne, les bois, le chalet… je ne regarde peut-être pas de films d’horreur mais je joue aux jeux vidéo et je viens justement d’en finir un qui avait à peu près le même scénario… » Tu trembles un peu, tu n’es pas rassurée, tu essaies de lui faire croire que tout va bien mais tu sens que quelque chose ne va pas se passer comme prévu, en même temps votre soirée de base ne devait pas ressembler à celle-ci… Tu t’approches du chalet avec Tobias et tu observes la lumière qui scintille à travers les carreaux crasseux. Pour vu que le propriétaire soit là, qu’il ait fait un feu que tu puisses te blottir avec une couverture auprès des flammes… Mais au lieu de ça le jeune Mathers me barre le passage et m’informe de me taire. La bouche ouverte, tu restes sans bouger, tu ne sais pas trop quoi faire alors tu poses ton regard sur lui, tu observes ses moindres faits et gestes. Par réflexe, tu lâches un petit cri alors qu’il se recule et écrase tout un tas de brindilles. Tu as sursauté, ton instinct de survie n’est vraiment pas super. Tes yeux s’ouvrent en grand alors qu’un homme sort muni d’un fusil et tu as l’impression que tes jambes vont te lâcher. Tu trembles encore plus et tu ne peux que suivre Tobias qui se met à courir. Tu as du mal à le suivre mais il te traîne par le bras, tu as l’impression qu’il va te l’arracher tellement il est rapide. Tu as du courir un bon moment mais au bout de cette course folle, alors que ton ami te lâche, vous arrivez près d’une route et alors que tu vois le vert tomber genoux à terre, tu tentes de courir après la voiture. « Attendez !!! » Tu secoues les bras en l’air et tu tombes genoux à terre, tu n’as pas vu la branche sur le sol. Tu pousses un cri de douleur et tu tentes de te redresser après t’être assise. Tu vois Tobias venir ta rescousse et tu tentes de replier ton genou avec un rictus aux lèvres. Tu as mal, ton genou saigne, mais ce n’est qu’une écorchure. « Pourquoi faut-il qu’à chaque fois que je te vois mes vêtements finissent déchirés… » Et bien sûr, la voiture n'est plus visible, elle a filé à toute allure...
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Je crache mes poumons encrassés de toutes les saloperies que j'ai pu inhaler jusqu'à aujourd'hui. La voiture qui aurait pu nous sortir de cette soirée affreuse disparait dans l'obscurité. À peine quelques secondes plus tard, un cri de douleur me serre le coeur. Je me retourne et aperçois la Cabot à terre. Je cours à ses pieds et observe la blessure ainsi que le jean troué. " Argh, c'est moche mais ce n'est rien, ça va être horriblement douloureux, c'est pile poil sur une articulation principale, je suis désolé, je ne sais plus quoi faire pour rompre ce mauvais sort. "  J'attrape le regard bleu de la jeune femme, mes traits reflètent probablement l'empathie que j'éprouve. Comment dire... Je suis désespéré. " Tu sais quoi, la prochaine fois on se contentera d'une de nos confréries " déclarais-je faiblement. Encore faut-il qu'elle m'accorde un nouveau rendez-vous. Après cette catastrophe, il y a de fortes chances qu'elle supprime mon numéro dès lors qu'elle sera en sécurité. J'aide Edelweiss à se relever, lui offrant toutes les possibilités de s'appuyer autant qu'elle veut sur moi pour éviter de plier son genou en sang. J'essaie de suivre les traces de la voiture loupée un peu plus tôt, soutenant la jolie blonde du mieux que je peux. Tout à coup, un miracle opère. Deux faisceaux de lumière distincts éclairent notre chemin ainsi qu'une lueur rouge et bleue tournoyante. La lumière s'accentue et un bruit de moteur ronronne dans notre dos. Nous nous retournons simultanément et nous nous retrouvons face à face avec la police. Dieu soit loué ! Je ricane dans ma barbe, remerciant mon étoile pour nous avoir sauvé. " On aura peut être droit à un verre finalement " adressais-je à la demoiselle avec le sourire jusqu'aux oreilles. Le shérif approche, je lui explique notre aventure, oubliant volontairement notre passage par le chalet. Il nous propose alors de nous rapatrier à Harvard, j'ai envie de le serrer dans mes bras, c'est bien la première fois que la police me fait cet effet. Je prends soin d'Edelweiss et la dépose sur le siège à l'arrière de la voiture. Je la rejoins de peu tandis que l'homme de loi grimpe derrière le volant. Nous sommes séparés de lui par une grille, comme des bêtes en cage. Le policier prend la route, les soucis rencontrés semblent s'évanouir de mon esprit. " Tu veux que je te raccompagne chez toi ? Ou chez moi ? Je soignerai ton vilain bobo, c'est la moindre des choses... " lui proposais-je en retroussant mes lèvres comme un gosse.  
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Tobias

« Tu es médecin maintenant ? Non parce que les médecins des films d’horreur préfèrent couper la jambe plutôt que de soigner ce genre de chose et j’ai vraiment besoin de ma jambe tu sais. » Tu n’es certes pas une grande athlète, tu détestes le sport même mais tu as besoin de ta seconde jambe pour marcher, trottiner et tomber lamentablement comme tu viens de le faire. C’était inévitable, tu t’étonnes même de ne pas avoir rejoint le sol bien avant ce moment. Tu lâches un petit rire nerveux qui s’approche du gloussement, dans la continuité du film d’horreur et du glauque, tu viens d’y ajouter la petite dose de sang qu’il manquait, vive l’hémoglobine. Il est maudit et tu es maudite, le destin a croisé vos chemins pour que vous soyez désespéré, ensembles, ou alors pour que vous vous entretuiez par votre maladresse. Tu te pinces les lèvres alors que tu essaies de ramener ton genou contre ta poitrine, tu as mal, ton jean n’a rien protégé du tout. « Tu veux que l’on mette le feu à l’une de nos maisons peut être ? » La chance vous a tous les deux désertés et ton côté pessimiste revient au galop. Qui sait ce qui se passera lorsque, lors de votre prochain rendez-vous, vous vous retrouvez dans un endroit soi-disant sécurité comme l’une de vos maisons. Un frisson parcourt ton corps, tu te souviens que c’est un mathers et tu perds ton sourire. Il est hors de question que tu retournes dans cette maison qui est proche d’une maison hantée à tes yeux. Tu y as vécu un gros traumatisme et tu ne veux plus y retourner. Tu as perdu ton sourire mais Tobias ne semble pas le remarquer, tant mieux. Il t’aide alors doucement à te relever et un rictus apparaît sur ton visage, tu trottines alors avec lui, claudiquant sur une jambe le plus possible en direction de nulle part. D’un coup ton ami s’arrête pour regarder une voiture de police s’approcher de vous. Il s’exclame satisfait un peu trop vite à ton goût, il ne manquerait plus que vous vous fassiez embarquer. Tu te contentes de lui offrir un léger sourire et tu restes en retrait alors qu’il explique la situation, Tobias gère tout et tu es très reconnaissante envers lui pour ça. Tu montes dans la voiture et tu te sens apaisée. Tu peux enfin souffler, ton calvaire est bientôt terminé ou pas vraiment… Tu sens la fatigue s’emparer de ton corps mais la demande de Tobias te glace le sens. Tu te redresses, tu te sens soudainement mal assise sur la banquette arrière et tu ne peux qu’observer le regard du policier qui surveille tes moindres faits et gestes dans le rétro. Aller à la Mathers House . Jamais, mais est-ce que Tobias ne prendrait pas comme une fin de rendez-vous le fait qu’il te dépose chez toi ? « On peut aller à la Cabot House, les filles ne sont pas là, elles sont parties voir un match de foot avec les Winthrop je crois… » Tu as tenté de trouver une excuse, qui est à moitié vraie, tu évites juste le fond du problème. Tu attends juste que Tobias acquiesce et tu laisses le policier conduire jusqu’à la maison donnée.
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