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LUKÀLENA ► tu me fais crier plus que n'importe qui.

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J’avais été obligée de le comparer à moi. De comparer ses actions avec les miennes, parce qu’il reproduisait en quelque sorte ce que je lui avais fait subir, et je détestais tout bonnement cela. Je me sentais déjà mal de m’être enfui sans lui avoir réellement dit au revoir, mais si jamais il allait sur la pente glissante de vouloir me montrer ce qu’il avait vécu, ça n’allait pas du tout me plaire. « C’est fini il y a longtemps entre nous Lukà, ne crois pas que je l’ignore. » Pour être honnête, cette information traversait mon cerveau pour le quitter aussi vite que possible. Je ne veux pas croire que ça soit terminé, même si à ses yeux c’est clairement le cas. C’était trop brutal, pas assez moue et câlin, comme je l’imaginais à la base. J’adorais le garçon qui se trouvait en face de moi, et même si je ne pourrais jamais le récupérer comme petit ami, pourquoi je n’arrivais pas à en faire mon ami ? Je ne comprendrais jamais sans doute. « J’adore incendier les gens. Maaais, en particulier cette… Fille. » Je ne connaissais même pas son prénom, c’était grave quand même de haïr quelqu’un aussi fort sans rien connaître d’elle. Mais bon, peu m’importait de savoir cela. C’est comme son âge, je m’en fichais royalement. Ce dont je me fichais moins, c’était de lui, de comment j’en étais arrivée à récupérer mon sac après l’avoir fait lâcher mon bras, et que oui, je l’avais traitée de brute. J’aurais pu rajouter le mot épaisse derrière, mais ça n’aurait pas été véridique. Lukà c’est un loukoum. Lukà il est gentil et tout mignon. « Mais normal que je n’ai pas envie de lever mes fesses, ta chaise était super tentante et super confortable. je n’allais pas partir sans l’avoir essayé quand même. » O-la-la, encore une excuse des plus minable de ma part, mais bon, passons à autre chose. Passons au fait que j’avais malencontreusement avoué à mon ex avoir subit des mauvais traitement dans le passé. Passons au fait qu’il est resté bloqué sur cette information et que maintenant j’étais près du plus gros faussé du monde, au bord, à la limite de tomber. Mes nerfs commençait à lâcher, il voulait que je lui réponde ou à ses deux questions ou bien un hochement de tête lui suffirait. Je baissais les yeux. J’avais très peu envie de lui en parler. Surtout comme ça, et maintenant. « Oui. C’est exactement ce que je dis Lukà. » La voix casser, à la limite de craquer en y repensant. Ma main sur cette maudite poignée, je relevais mes yeux sur la lumière que la porte entre-ouverte lâchait de l’extérieur. « Tu sais quoi, tu as sans doute raison… » Ma voix faiblissante au fur et à mesure des mots, je ne pouvais pas lui raconter. Je ne pouvais pas raconter ça à qui que ce soit. « J’aurais peut-être dû ne pas venir. » Disais-je en replaçant une mèche de mes cheveux en arrière. « C’était une erreur. » Ajoutais-je avant de sourire en coin. Ce n’était pas un vrai sourire, il était complètement forcé, mais je devais bien lui faire croire que ça allait.
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tu me fais crier plus que n'importe qui.
feat. H.-K. Elena Willingstone
Je réagissais peut-être mal mais sur le moment elle m'énervait avec sa crise, bien qu'elle prétexter ne pas m'en faire, je m'abaissais à son niveau, lui faire subir ce qu'elle m'a fait subir pour qu'elle comprenne une bonne fois pour toute. « Alors pourquoi tu réagis comme ça ? J'ai pas l'impression que ce soit complètement fini de ton côté Elena. » lui dis-je agacé par son comportement, elle n’arrêtant pas de me répéter qu'elle n'était pas jalouse, que rien de ça n'était de la jalousie, elle prétextait même aimer cracher sur les autres, encore plus sur celle qui m'a accompagnée au bal, elle ne sait décidément pas mentir, du moins pas avec moi « Même après tout ce temps tu ne sais toujours pas me mentir. » je lâchais même un petit rire, loin d'être amusé, plutôt déçu de son comportement, ouais quand elle voulait jouer les emmerdeuses elle savait le faire comme là à ne pas vouloir partir alors que je le lui avais demander. J'ai même du la forcer à se lever de la chaise sur laquelle elle s'était installée, elle avait essayée de se défaire de mon emprise et je la libérais une fois à la porte d'entrée. « Arrête de jouer à la gamine Elena, c'est lassant, sois mature et accepte que je veuille que tu partes. » elle me traitait de brute, j'étais loin d'en être une, elle le savait mieux que personne alors je comprenais pas vraiment pourquoi elle me sortait une telle chose puis elle avouait sans vraiment le vouloir avoir déjà été battu par le passé, ce qui me choque. J'essaye de comprendre, d'interpréter moi-même les choses et elle vient approuver, là je sens mon cœur se serrer, pour moi c'est inimaginable de lever la main sur une femme. Je m'éloignais d'elle alors qu'elle me disait qu'elle n'uarait pas du venir la raison prend le dessus finalement, c'est même trop facile de dire ça après m'avoir lâchée une telle bombe en pleine figure. « Je.. putain Elena pourquoi tu m'en as pas parlé ? » lui dis-je relevant les yeux vers elle, elle aurait du me le dire même si c'était dur « Je sais que c'ets pas le genre de choses qu'on sors à son ex mais.. tu sais que j'aurais pu faire quelque chose même à trois milles kilomètres. Je.. j'arrive pas à croire qu'une connard t'es frappé. » ajoutais-je, j'étais vraiment choqué et là je ne voulais pas qu'elle parte, vraiment pas non, mais je n'allais pas la retenir si son souhait était de partir.

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Selon lui ça n’était pas terminé de mon côté de l’histoire, et il avait complètement raison, parce que je ne m’avouais jamais vaincu. Pour tout dire, je crois que je n’ai jamais aimée quelqu’un autant que j’ai aimée Lukà, et c’est en partie à cause de ça que je n’arrive pas à laisser tomber en ce moment même. « Je réagis comme n’importe qui, je ne sais pas. Enfin bref laisse tomber, je m’en fous, baise qui tu veux, vois qui tu veux, aimes qui tu veux. » Je sentais qu’il en avait marre, c’est pour ça que j’ai vite mis fin à cette conversation. Ou du moins, je n’allais plus parler de messages ou de sa cavalière peu importe son prénom. J’allais laisser couler pour une fois, et vivre pour moi sans penser aux conséquences. Il voulait que je mette une croix sur lui, j’allais lui donner l’impression que c’était fait, même si je ne pourrais jamais vraiment le faire. « Je suis la pire menteuse du monde, que veux-tu que je te dise. » Un sourire sur le côté, les yeux qui montent au ciel. Je n’avais pas besoin qu’on me notifie que je suis une pitoyable menteuse, je le savais très bien toute seule. Ou du moins, certaines personnes comprenaient quand je mentais, plus que d’autre. Et en plus de ne pas savoir mentir, je n’arrivais jamais à garder les choses pour moi, même quand elles étaient graves. C’est sans doute à cause de ce défaut que j’avais dit contre mon gré que j’avais vécu une chose affreuse en Australie. Je n’aimais pas être faible devant les gens, même pas devant mon père. Je voulais qu’on me voit comme quelqu’un d’intouchable. Sauf que je n’y arrivais pas avec lui. Il me poussait dans mes retranchements. Il me poussait à m’avouer comme je suis et pas autrement. « Arrête tout de suite Lukà. Tu n’aurais rien fait, ou du moins, rien pu faire. J’étais à des milliers de kilomètres, et si j’avais eu la moindre possibilité de t’appeler tu n’aurais même pas décroché ton téléphone tellement tu me haïssais. » Pas faux. Je le pensais vraiment. Si j’avais été à sa place, et que mon ex me téléphonait après six mois d’absence pour m’avouer quoi que ce soit, je ne lui aurais jamais répondu. J’aurais laissé le téléphone sonner par rancœur. « Je ne me serais pas répondu. » Voix tremblante, des espoirs pour que cette conversation se termine le plus rapidement possible apparaissaient soudainement. « Puis, j’ai réussi à avouer à mon père ce qui m’arrivait après un an et demi seulement, donc même si j’avais essayée de te joindre, ça ce serait déjà passé. » L’honnêteté me tuera, dans quelques minutes seulement.

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