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LUKÀLENA ► tu me fais crier plus que n'importe qui.

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De nombreuses semaines c’étaient écoulées depuis que j’avais eu la mauvaise idée de coucher avec mon ex. Et franchement, jusqu’à aujourd’hui une haine sans nom me rongeait envers lui. Particulièrement depuis que je l’ai vue au bal, au bras de cette fille. Je n’avais pas fait de scène durant l’événement parce que j’aurais été ridicule, mais ça ne m’empêchait pas de tourner en rond dans ma chambre me demandant encore et encore si je devais me rendre chez lui pour avoir une sorte d’explication. Ou simplement pour le tabasser et appeler la mafia afin de camoufler les traces de son meurtre. Bref. J’en avais marre de lui, surtout parce que j’avais beau tenter de le récupérer, je ne faisais que reculer sur l’échelle au lieu d’avancer jusqu’au but ultime. En attrapant mon sac, j’appelais avec mon téléphone un taxi pour me rendre chez lui. Ça n’avait pas duré longtemps, mais si j’avais marché, je me serais dégonflée ou alors j’aurais été acheter une glace pour me morfondre devant un film d’amour merdique qui avait sans doute gagner un awards de la niaiserie. Quand je terminais par donner la monnaie à l’homme qui conduisait, je descendais, une fureur montante, et sonnait pour qu’il m’ouvre. « Ouvre, ouvre, ouvre. Sinon je pète la porte au pire. » Je le disais à moi-même, espérant que personne ne passe derrière moi à ce moment précis. Petròv, c’était le jour des réclamations, des plaintes et de la boxe thaïe. Je te souhaitais déjà intérieurement bonne chance.

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tu me fais crier plus que n'importe qui.
feat. H.-K. Elena Willingstone
Je crois que c'est bien la première fois que je m'ennuie à l'appartement, c'est peut-être le fait de ne plus avoir la tête dans mes bouquins et mes révisions vu que les examens sont passés. Je suis sûr de valider ma septième année, j'ai tout fait pour en tout cas, j'ai pas passé autant de temps à la bibliothèque pour rien. Quoiqu'il en soit je peux souffler et c'est vrai que de se poser dans le canapé devant un match de football américain, un vendredi après-midi c'est pas si mal, petite bière entre les doigts qui plus est, non j'ai pas à me plaindre de mon statut de vacancier. D'un coup la sonnette de la porte d'entrée retentit, je pose ma bière sur la table basse me levant du canapé et je vais ouvrir, à ma grande stupéfaction c'est mon ex qui se tient debout devant moi, Elena, et visiblement plus remontée que jamais, je connais ce visage par cœur, tout comme ses expressions, je sais qu'elle est en colère contre moi mais pour quoi, ça je l'ignore. « Elena. » dis-je d'un ton qui restait dans la neutralité pour la saluer puis je ne perdais pas de temps pour enchaîner « A voir ta tête, quelque chose ne va pas. Dis-moi ce que j'ai pu faire cette fois-ci pour t'énerver ? » lui demandais-je, après tout je la connais aussi bien qu'elle me connait, on a vécu un an dans les bras l'un de l'autre, c'est assez de temps pour apprendre chaque parcelle de l'un et de l'autre.

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Quelques secondes. Seulement quelques secondes c’étaient écoulées depuis que j’avais appuyée sur cette maudite sonnette, et je voulais déjà l’égorgée. Lukà était sans doute le garçon que je devais oublier, mais que je n’arrivais pas à me sortir de l’esprit. Je m’imaginais très bien un couteau dans la main pour le poignarder plusieurs fois suite à ses nombreuses trahisons dernières, mais je me devais de me retenir. Pour mon bien mental, soit dit en passant. Il ouvrait la porte au final, et je le regardais dans les yeux. Je me serais perdue dans les siens. J’aurais pu tout oublier sur le coup, rien qu’à cause de lui en face de moi, mais non. Je n’allais pas m’abaisser à la blonde sans cervelle qui ne tient pas ses propres promesses. « Lukà. » Un ton sec, et bien mérité. Et il continuait, demandant ce qu’il avait bien pu faire. La rage montait en moi comme l’alcool les soirs de fête, et je le poussais pour entrer. Oui, je m’étais faite en quelque sorte invitée à l’intérieur de sa demeure, et j’avais bien entendu déposer mon sac très délicatement (ou pas du tout (non vraiment pas du tout)) sur le sol. « Qu’est-ce que tu as fait de mal ? Tu te fous de moi ? Ou peut-être qu’il y a une caméra cachée quelque part ? » Je lui en voulais, j’en voulais à la terre entière en fait. Même mes colocataires de chambre n’allaient pas passer une bonne nuit quand j’allais rentrer. J’espérais beaucoup sur le fait qu’il se rappelle de lui-même, qu’il ait un minimum de considération pour moi et qu’il ne fasse pas le mec sans cœur et arrogant, mais parfois je ne savais pas si nous étions toujours sur la même longueur d’onde. « Bon, vu que tu as pas l’air de t’en souvenir, je dois te rappeler qu’après avoir couché avec une fille, on lui envoi un message au cas où, et qu’on invite pas une bouffonne au bal devant la même fille avec qui on a couché peu de temps avant. » Je me demandais souvent ce qu’il avait dans le crâne. Peut-être beaucoup de paroles ancestrales et pas assez, du guide du parfait ex-petit-ami-pas-très-ex-qu’on-voudrait-récupérer.

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feat. H.-K. Elena Willingstone
Je ne pensais pas recevoir de visite en plein après-mid, enfin c'est vrai que d'habitude quand ça sonne, ça ne me surprend pas vraiment, tout le monde aime bien passer à l'improviste chez moi donc ça ne m'étonne même pas quand j'entendais la sonnette de la porte, je me lève du canapé pour aller ouvrir et là par contre ça me surprend de voir Elena sur le seuil quand j'ouvre la porte, elle à l'air énervée, très énervée. J'essaye de rester neutre dans ma voix quand je la salue, au grand contraire d'elle qui me salue avec une froideur déconcertante mais je ne dis rien, préférant lui demander pourquoi elle était ici et vu la façon dont elle me regarde, c'est à cause de moi, quelque chose que j'ai fais qui ne lui a pas vraiment plu. Elle venait poser son index sur mon torse pour me faire reculer et par la même occasion la faire rentrer à l'intérieur par elle-même, elle refermait aussitôt la porte d'entrée et laissait son sac à main tomber au sol sans ménagement, elle n'avait pas quittée mon regard une seule seconde, gardant cette amertume dans ce regard essayant de me faire cracher le morceau de mon propre gré « Elena, je suis pas devin... si j'ai fais quelque chose dis-le moi. » lui dis-je arquant un sourcil prenant son index de ma main pour le retirer de mon torse et lâcher aussitôt son doigts et là elle ne manquait pas de me faire la morale, c'était donc ça ? Oui j'avais couché avec elle, une erreur et elle ose me dire que j'aurais dû la rappeler et surtout ne pas inviter une autre qu'elle au bal ? Mais je crois qu'elle n'a ps tout comprit. Je lâchais un petit rire bien sarcastique « C'est une blague j'espère ? Non parce que clairement coucher avec toi était une erreur, je pensais que tu le savais. Puis pour ton information, j'ai encore le droit de faire ce que bon me semble, je te dis rien pour le mec qui était à ton bras au bal, fais de même tu va voir prendre sur soi c'est pas si compliqué que ça. » lui dis-je avant de m'éloigner d'elle « En deux secondes t'as le don de pourrir ma journée, t'es forte. » je ne mâchais pas mes mots non, on auraient jamais du recoucher ensemble, si sur le moment je voulais qu'on le fasse parce que voilà, c'était sur le moment, maintenant je regrette de l'avoir fait, parce qu'elle va plus me lâcher « T'as su venir, tu sauras repartir Elena. » finissais-je par ajouter sans la regarder, préférant retourner m'asseoir dans le canapé devant le match à la télé, c'était bien plus intéressant qu'une stupide crise de jalousie, parce que oui clairement c'était ce qu'elle venait de me faire, une crise de jalousie.

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J’avais posée un doigt sur son torse pour me laisser passer et entrer dans les lieux où il habitait. Et oui, j’avais peut-être jouée au devinette au début, mais qu’importe, j’aimais bien ça le laisser mariner pour voir si ça lui tenait vraiment à cœur de comprendre ce qui m’énervait. J’étais très énervée, mais aussi jalouse de cette autre fille. Elle était jolie, mais je n’allais jamais pouvoir l’apprécier, visuellement et moralement parlant. Pas à l’avenir tout du moins. À cause de lui, ce bellâtre qui me faisait tourner la tête. Quand je terminais par lui expliquer ce qui se tramait, il répondait comme je m’y attendais de sa part. Il me remettait à une place que je n’aimais pas en ajoutant que j’avais le don de pourrir ses journées. Ou plutôt, sa journée. Je souriais d’agacement. La situation devenait étrange et je voulais juste une chose, lui mettre une claque pour qu’il se réveille. Ou simplement qu’il souffre un minimum. « Une erreur ? Donc je dois être la plus grosse erreur de ta vie mon pauvre… pauvre Lukà. » Retourner la situation dans un sens ou dans l’autre ne marcherait jamais de toute façon, alors autant plonger la tête la première dans les bêtises qu’il racontait. « Et s’il te plaît ne me parle pas de Lawrence. On ne parle pas de lui, on parle de celle que tu as cru assez jolie pour l’inviter au bal. » J’étais furieuse. Je n’appréciais pas qu’on me mette en bas de l’échelle. Surtout derrière une fille que je ne connaissais pas et que je ne pouvais donc pas apprécier au préalable. Je me tournais face à lui pour ne pas le lâcher du regard. « Si en deux secondes j’arrive à te faire ça, imagine ce que c’est quand tu vois la personne que t’apprécie le plus avec une autre et qu’il ne te donne aucun signe de vie depuis des jours voir même des semaines. » Je me reculais, et écoutais une nouvelle fois ce qu’il disait. S’il voulait que je m’en aille, il avait du soucis à ce faire. Je m’installais sur une chaise que je plaçais en face de lui. Attrapant la télécommande pour éteindre la télévision au préalable. « Je me souviens plus du chemin. C’est bête ça. » A ton tour vulgaire brise cœur.


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Elle s'imposait, entrant chez moi comme si elle en avait le droit sans permission, agissant de la sorte en posant son index sur mon torse. Elle voulait que je cherche par moi-même le pourquoi du comment elle était énervée, elle voulait me faire mariner, que je connecte mes neurones et même si je le faisais pour lui faire plaisir, j'ignore vraiment de quoi il s'agit et elle ne tarde pas à arrêter de me faire tourner autour du pot et m'avoue finalement qu'elle est là pour me faire comprendre que ce n'est pas respectueux de coucher avec elle, de ne lui lui envoyer de nouvelles et d'inviter une autre qu'elle au bal de fin d'année, je me serais bien passé de sa petite crise mais c'est Elena, et on lui tourne pas le dos. « Confond pas tout Elena, j'ai juste dit que c'était une erreur qu'on recouche ensemble tous les deux, j'auras pas dû, pas après tout ça. » lui disais-je soupirant, avant de m'éloigner d'elle et de lui faire comprendre que je faisais ce que je voulais, je n'avais rien dis quand je l'ai vu avec ce mec à son bras, pourtant je sais que ça m'a pas plu mais j'ai gardé ça pour moi, elle pourrait en faire de même mais visiblement non c'est plus fort qu'elle. « Quoi tu aurais préférée que ce soit toi à mon bras ? Après ce qui s'est passé, tu croyais vraiment que j'allais t'inviter au bal ? » on était en plein règlement de compte, c'était pas forcément ce que j'avais souhaiter et je ne cachais pas à Elena qu'elle venait de me pourrir ma journée. J'allais m'asseoir sur le canapé, ne mâchant pas mes mots pour lui dire qu'elle allait vite retrouver la sortie, mais la belle blonde ne l'entendait pas de cette oreille, elle venait s'asseoir en face de moi prenant une chaise prenant la télécommande au passage et éteindre la télé, sérieux ? « Dans ce cas je vais te raccompagner, ça me fait plaisir. » je me lève et vient lui prendre le bras pour la forcer à se lever à son tour, je ne veux plus la voir chez moi, plus je reste près d'elle, plus je me fais du mal et plus je sens que je chavire sous ses beaux yeux putain.

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J’avais toujours été la fille chiante dont on a du mal à se débarrasser, mais je me considérais aussi bien comme celle qu’on peut adorer par sa confiance donnée trop facilement et par les câlins gratuits que je distribuais sans présomptions. Pourtant, ça n’avait jamais perturbé Lukà auparavant. Il savait que je m’imposais, que je me montrais sans peurs ni faiblesses alors que c’est tout le contraire. J’aurais espérée qu’au moins il pense à moi et qu’après cette erreur selon lui, il m’envoie un message. Ne serait-ce que pour savoir si je ne m’étais pas faite renverser par une voiture, ou autre, qu’en sais-je. « Et même si on ne l’avait pas fait. Je ne te demande pas si c’était une erreur ou non, je m’en contre-fout de ça. On l’a fait et j’attendais au moins un message. Ça pouvait juste un être salut sans réponses par la suite, ça m’aurait fait plaisir. Mais non, rien, quedal. Comme si j’étais la plus grosse des merdes. » Honnêtement ? J’aurais aussi mal digéré le fait qu’il m’en envoie un et qu’il ne me réponde plus jamais par la suite. Mais pour sauver les apparences, autant faire croire au contraire et puis basta. En plus de cette histoire de messages, je n’avais pas aimée ce que j’avais vu le soir du bal. Une fille, au bras du mec avec qui j’étais sorti beaucoup trop de temps pour l’oublier en deux secondes, avait été invité de manière très culotée par ce don juan. La pilule ne passe pas. Et ne passera sans doute jamais. Au meilleur des cas, j’aurais le plaisir d’envoyer un ballon de volley-ball ou bien un futur verre d’alcool au visage d’un de ces deux traîtres un jour. « Bien sûr que non, je ne m’attendais pas à ce que tu m’invites. » Bien sûr que si. Menteuse. « Je ne suis pas aussi désespérée non plus, mais t’aurais pu t’afficher au moins avec une fille mieux. Je sais pas, mais elle semblait d’être le genre à la culotte légère. » Descendre autrui pour mieux se relever. Bon, je ne la connaissais pas, mais n’importe qui peu avoir des aprioris sur quelqu’un sans obligatoirement la connaître. Ma foi, j’étais humaine, je pouvais faire des faux pas. Je faisais en la compagnie de Lukà, bien entendu, ma grande diva par la suite. En prenant la télécommande pour m’asseoir en face de lui et éteindre la machine qui faisait du bruit depuis tout à l’heure dans mes oreilles. Il m’attrapait le bras en disant qu’il me raccompagnerait avec plaisir, et je tentais de le faire me lâcher. Ce n’est que quand on arrive près de la porte que j’y arrive. « Mais ça va pas dans ta tête ? » Je frottais la zone qu’il avait attrapé de sa force. Une expression de surprise sur le visage. J’avais sous-estimé la force de Lukà, et je m’en rendais compte maintenant. « Vous êtes tous des brutes de merde toute façon. » J’attrapais mon sac au sol avant de me diriger de mon plein grés vers la porte. Je n’étais pas prête à revoir des marques violettes ou bleus sur mon corps. Même si j’avais la plus grande des confiance en lui, la peur guidait ma vie maintenant.

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Je ne pensais pas revoir Elena de si tôt, j'ai fais l'erreur stupide de recoucher avec elle, je ne l'ai compris qu'après puisque sur le moment j'en avais eu envie, je ne sais pas comment l'expliquer mais de la revoir après tant d'années, les sentiments pour elle ont dû remonter l'espace d'une nuit ce qui a provoqué ce qui s'est passé mais voilà maintenant je regrette, pourtant c'est dans mes principes de ne plus tourner autour de mes exs, c'est comme retourner en prison sauf qu'avec Elena, je suis passer au-dessus de ça, sans vraiment m'en rendre compte, peut-être parce qu'elle a toujours ce pouvoir sur moi. La raison de sa présence chez moi est vis-à-vis de ça, parce que je ne lui ai pas envoyé de message après notre ébat, parce que j'ai inviter une fille au bal et que ça ne lui a pas plus « Toi mieux que personne sait que je n'aime pas renouer avec mes exs. J'ai essayé de te le faire comprendre quand je t'ai revus et qu'on s'est expliqués mais non, il a fallut que je perde pied pour toi alors oui je regrette cette nuit, et non je ne regrette pas de ne pas t'avoir envoyé de message, je ne verrais pas pourquoi j'aurais pris des nouvelles de toi si peu de temps après t'avoir quitté alors que toi tu n'as pas pris la peine de m'envoyer de message pendant plus de deux ans. » et voilà elle venait de m'énerver, non mais sérieusement il n'y a qu'elle qui y arrive aussi facilement, c'est consternant. Elle prétextait que j'avais invitée une fille moins distinguée qu'elle et j'en passe, c'était du vent tout ça « Elena, on sait tous les deux que tu voulais que je t'invites et c'est parce que je ne l'ai pas fais que tu crache sur celle qui était à mon bras, t'es jalouse c'est tout. » lui dis-je avant d'aller m'asseoir dans le canapé et de lui faire comprendre qu'elle pouvait partir mais non elle ne l'entendait pas de cette oreille, elle prenait une chaise pour venir s'asseoir en face de moi prétextant ne plus savoir où est la sortie, si elle voulait jouer à la petite princesse, on allait jouer, j'allais me faire un plaisir de la raccompagner. Et c'était ce que je faisais me relevant pour venir attraper son bras et la forcer à se lever, elle essayait de se débattre et n'y arrivait qu'une fois à la porte d'entrée. « Quoi ? J'ai pas serrer fort Elena, abuse pas. » lui dis-je alors que je la voyais frotter la zone où j'avais serrer son bras, puis elle prenait son sac à main au sol me considérant comme une brute, chose que je n'étais pas du tout et j'aimais pas qu'elle me considère de la sorte. « Me considère pas comme une brute, je n'en suis pas une. » dis-je posant ma main contre le bois de la porte alors qu'elle voulait partir « J'aimais je poserais la main sur une femme, sur toi, je pensais que tu l'avais compris à l'instant où on s’est rencontrés toi et moi. » j'enlevais ma main de la porte m'éloignant d'elle.

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C’est vrai qu’avec Lukà ce n’est plus du tout la même chose qu’avant. Après tout, ça ne pourra jamais l’être vu que monsieur m’explique une énième fois que renouer avec ses ex c’est pas trop sa manière de faire. Et j’avoue que sur le coup, ça fait mal au petit cœur de savoir qu’on est considéré comme tel. Oui je suis son ex, non je ne suis pas un déchet ou qu’importe les métaphores que les gens disent pour parler de leurs anciennes petites amies ou petits amis. Je suis une personne, qui a fait l’erreur de s’en aller une certaine période. « Parce que maintenant tu veux t’abaisser à mon niveau ? Tu veux devenir comme moi ? Je croyais que ça t’avait tellement fait du mal que t’étais mieux que ça. Mieux que cette fille qui t’avait brisée le cœur en partant pour l’Australie. » Je faisais tout pour l’énerver, pour l’entendre crier et gémir. Parce que dans un sens, ça me disait qu’il m’aimait bien toujours. Sinon il n’en aurait rien à foutre et je serais un véritable fantôme à ses yeux. « Je ne suis pas JA-LOU-SE. J’avais un parfait cavalier. » Que dire de plus ? Je ne savais pas vraiment comment parler bien de Lawrence, surtout après tout les coups qu’il m’a fait subir. Je veux dire, comment un garçon peut s’habiller avec autant de teint de jaune en une journée. Je ne comprendrais jamais sa garde robe. Sincèrement. Bref, pour revenir à nos moutons, c’est au moment où j’ai éteins son téléviseur que monsieur Lukà a le plus réagit en m’attrapant le bras. je n’aimais pas ce genre de geste, je préférais un bisous sur le front et boum tout était pardonné, mais bon. Autant jouer la grande victime même si au fond j’aimais pas qu’il en arrive à me toucher pour me faire sortir. « Ce n’est pas la force mise qui est importante c’est le fait que tu sois obligé de m’attraper. Tu t’es cru au moyen-âge pour faire ça ? » Bon… La référence était un peu minable, mais qu’importe j’acceptais toutes les critiques. Surtout que c’était pas très fameux quand on regardait bien. Mon sac dans ma main, je me dirigeais vers la porte quand je voyais sa main s’appuyer contre le bois de cette dernière. Mes yeux finissaient par regarder les siens, d’un air pas très gentil, mais bon, j’adorais menacer de mort visuellement que je le faisais limite en dansant. « Tu vois Lukà, le problème c’est qu’entre cette rencontre et maintenant, on a beaucoup changé toi et moi. Je croirais toujours en toi. Le seul truc, c’est que quand on se fait battre une fois, il suffit qu’on nous attrape par le bras pour avoir peur. » Je ne voulais pas épiloguer sur tout ça. Lukà était trop important, et une fois encore, on ne faisait que ce battre. Finalement, on était peut-être mieux séparément qu’ensemble. J’attrapais la poignée, et entre-ouvrais la porte. Rien que le fait de sentir l’air de l’extérieur caresser ma joue me tordait l’estomac. J’allais abandonner, encore une fois. Fuir pour mieux guérir. Je me trouvais plus lâche que courageuse.

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Rien ne sera plus pareil entre Elena et moi, elle a mit fin à notre histoire en partant pour l'Australie, à cet instant même si ce fut à contre-cœur de rompre, elle savait qu'elle me perdait. Je ne reviens jamais vers mes exs, mais elle, elle a été deux ans de ma vie, deux ans de bonheur, oui on a eu nos crises, nos disputes mai on a aussi eu nos moments doux, tendres, j'étais amoureux d'elle, le suis-je encore ? Non, plus après deux ans, même si c'est vrai que j'ai ressentis un quelque chose la nuit où nous avons recoucher ensemble. « Je m'abaisse à ton niveau pour que tu comprenne que toi et moi c'est fini. » ouais, elle était mon passé et j'étais partagé actuellement, je voulais qu'elle parte mais je voulais la garder près de moi, vous savez ? Comme ces deux êtes têtes qui viennent sur chacune de vos épaule, la raison et le vice, le vice veut que je la garde pour moi, la raison veut la faire partir d'ici. « Mais bien-sûr, c'est pour ça que tu incendie ma cavalière. » j'avais un petit sourire agacé en lui disant cela, elle était jalouse point final, pas la peine de trouver dix milles excuses. Elle avait décidée de ne pas s'en aller mais je voulais qu'elle parte enfin c'était la meilleure solution et je la tirais par le bras jusqu'à la porte où elle se libérait de mon emprise, m'incendiant presque de lui avoir tenu le bras, mais je me défendais, je n'avais pas serrer comme un bourrin et là elle me sortait un autre prétexte bidon, un geste qui date du Moyen-Âge ? Sérieusement ? « Mais n'importe quoi. T'étais pas décidée à lever tes fesses, aux grands mots les grands moyens. » elle prenait son sac et posant la main sur la poignée elle me traitait de brute, j'arquais un sourcil, grimaçant presque posant ma main contre la porte pour l'empêcher de partir et elle tournait ses yeux vers les miens alors que je lui disais de ne pas me comparer à toutes ces brutes, je n'en étais pas une et elle le savait mieux que personne. Ce qu'elle me sortait ensuite, je ne comprenais pas « Comment ça se faire battre une fois ? » et là je faisais tourner mes neurones, pendant deux ans loin de moi, dans son pays natale, tout à pu arriver et je commence à recoller les morceaux, lâchant la porte avec ma main, la laisser partir si elle le désire « Tu veux dire que quand t'étais en Australie quelqu'un à osé porter la main sur toi ? » j'arrivais pas à le croire, mon ton s'était d'un coup adoucit et j'étais plus choquée par cette nouvelle que agacé de sa présence.

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