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Declan Kenneth Trump
Fiche d'identité
NomMossPrénom(s)Declan Kenneth iÂge34 ansDate de naissance14/03/1982Lieu de naissanceBostonStatut amoureuxCélibataireOrientation sexuelleHétérosexuel Classe sociale Bien nantiJobAnciennement analyste financier reconverti en enseignant de financeDepuis combien de temps ? 3 ans (facultatif)Choix de groupe CitizensAvez-vous étudié à Harvard ?
Bien que j’aurais aimé fréquenter Harvard j’ai été contraint de revoir mes rêves de grandeurs afin de concilier mes ambitions avec les moyens dont je pouvais disposer … c’est pourquoi , faute de mieux, c’est vers l’Université Columbia et son cursus de finance que je dus me tourner.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Pourquoi ai-je finalement opté pour l’enseignement ? Il s’agit là d’une question plus que pertinente. Je dirais, tout simplement, qu’en ce qui me concerne c’est d’avantage l’enseignement qui m’a choisi puisque c’est au nom d’un étrange concours de circonstances que j’ai été emmené à embrasser cette profession. Je travaillais en tant qu’analyste financier, et j’avais accompagné un groupe d’investisseurs au Qatar mais la transaction tournant rapidement au désastre je me retrouvai plongé dans le plus apocalyptique des cauchemars et à mon réveil je me retrouvais captif aux mains d’un groupe de sympathisants d’Al Qaida. Inutile de vous dire que je n’étais pas sans me demander dans quel bordel je pouvais bien m’avoir fourré.
Après quelques mois de captivité je finis par revenir au pays mais le doute avait fini par s’installer dans mon esprit. Est-ce que j’étais prêt à revivre ce genre d’aventures ? Poser la question c’était, en quelque sorte, y répondre. Lorsqu’une vieille connaissance me parla de cet ami qui cherchait désespérément une personne qualifiée afin d’enseigner les rudiments de la finance je ne pus que me laisser tenter.
J’adore l’enseignement, il s’agit d’une décision que je n’ai jamais regretté.
Bien que j’aurais aimé fréquenter Harvard j’ai été contraint de revoir mes rêves de grandeurs afin de concilier mes ambitions avec les moyens dont je pouvais disposer … c’est pourquoi , faute de mieux, c’est vers l’Université Columbia et son cursus de finance que je dus me tourner.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Pourquoi ai-je finalement opté pour l’enseignement ? Il s’agit là d’une question plus que pertinente. Je dirais, tout simplement, qu’en ce qui me concerne c’est d’avantage l’enseignement qui m’a choisi puisque c’est au nom d’un étrange concours de circonstances que j’ai été emmené à embrasser cette profession. Je travaillais en tant qu’analyste financier, et j’avais accompagné un groupe d’investisseurs au Qatar mais la transaction tournant rapidement au désastre je me retrouvai plongé dans le plus apocalyptique des cauchemars et à mon réveil je me retrouvais captif aux mains d’un groupe de sympathisants d’Al Qaida. Inutile de vous dire que je n’étais pas sans me demander dans quel bordel je pouvais bien m’avoir fourré.
Après quelques mois de captivité je finis par revenir au pays mais le doute avait fini par s’installer dans mon esprit. Est-ce que j’étais prêt à revivre ce genre d’aventures ? Poser la question c’était, en quelque sorte, y répondre. Lorsqu’une vieille connaissance me parla de cet ami qui cherchait désespérément une personne qualifiée afin d’enseigner les rudiments de la finance je ne pus que me laisser tenter.
J’adore l’enseignement, il s’agit d’une décision que je n’ai jamais regretté.
APRÈS LA BOMBE.
Bien que je ne fusse pas parmi vous au moment des événements entourant l’explosion je dois admettre que j’en ai largement entendu parler. Parfois j’ai même l’impression d’y avoir assisté vu le portrait que l’on m’en a dépeint. Il faut dire que ces funestes événements en ont marqués plus d’un il est donc normal que les gens en parlent même si plus de trois longues années se sont écoulées depuis. Vu ce que j’ai vécu au Qatar, au final, c’est peut-être ce qui a fait que je me sente aussi proche des gens de Harvard ? La crainte, la peur, la détention, le terrorisme … tout ça ne peut que nous inciter à se serrer les coudes.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Bien que je ne fusse pas parmi vous au moment des événements entourant l’explosion je dois admettre que j’en ai largement entendu parler. Parfois j’ai même l’impression d’y avoir assisté vu le portrait que l’on m’en a dépeint. Il faut dire que ces funestes événements en ont marqués plus d’un il est donc normal que les gens en parlent même si plus de trois longues années se sont écoulées depuis. Vu ce que j’ai vécu au Qatar, au final, c’est peut-être ce qui a fait que je me sente aussi proche des gens de Harvard ? La crainte, la peur, la détention, le terrorisme … tout ça ne peut que nous inciter à se serrer les coudes.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
J’étais persuadé que ce nouveau départ, à Harvard, allait me permettre de m’affranchir de ce sombre passé qui n’était pas sans me tourmenter. Il m’était difficile d’oublier totalement ce que j’avais vécu au Qatar et alors que je semblais finir par voir l’effet de mes douloureux cauchemars s’estomper voilà que la terreur semblait de nouveau vouloir s’immiscer dans ma vie. Bien que je n’eusse pas été du nombre des victimes je ne pouvais que ressentir la douleur et la peine des gens, de mon entourage, affligé par ce triste concours de circonstances. Ayant connus ce genre de souffrance, croyez-moi, je ne souhaiterais ce genre d’expériences à personne … pas même à mon pire ennemi c’est pourquoi je m’étais montré à l’écoute de ceux qui désiraient en parler. Ayant passé par là j’étais beaucoup plus crédible que ces psychologues à la noix.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
J’étais persuadé que ce nouveau départ, à Harvard, allait me permettre de m’affranchir de ce sombre passé qui n’était pas sans me tourmenter. Il m’était difficile d’oublier totalement ce que j’avais vécu au Qatar et alors que je semblais finir par voir l’effet de mes douloureux cauchemars s’estomper voilà que la terreur semblait de nouveau vouloir s’immiscer dans ma vie. Bien que je n’eusse pas été du nombre des victimes je ne pouvais que ressentir la douleur et la peine des gens, de mon entourage, affligé par ce triste concours de circonstances. Ayant connus ce genre de souffrance, croyez-moi, je ne souhaiterais ce genre d’expériences à personne … pas même à mon pire ennemi c’est pourquoi je m’étais montré à l’écoute de ceux qui désiraient en parler. Ayant passé par là j’étais beaucoup plus crédible que ces psychologues à la noix.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tiny-Boy et j'ai 24 ans . Je suis Canaduen et j'ai connu le forum grâce à une amie . Le codage est impecc alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Channning Tatum comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi pour l'avatar. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Once upon a time
Comme tout jeune Bostonnais qui se respecte j’ai grandis en idolâtrant les Red Sox et en caressant le rêve qu’un jour je pourrais joindre les rangs de l’université de Harvard mais c’était sans compter sur la voix autoritaire et moralisatrice de mon père qui n’avait de cesse de me rappeler qu’il fallait avoir les moyens de ses ambitions. Gamin je ne comprenais pas trop la portée de ce qu’il me disait mais la réalité finie par me frapper durement en plein visage lorsque j’arrivai à ce moment de la vie ou l’on doit se pencher sur son avenir.
Il était hors de question que je finisse comme mes parents, et que je passe ma vie à exercer un métier qui me pue au nez, c’est pourquoi je mis tout en œuvre afin de me faire accepter par une université. Columbia n’était pas Harvard mais c’était tout de même mieux que de bosser dans une usine. Ayant toujours aimé les chiffres, passionné par l’économie, c’est au sein de la faculté de finance que je me retrouvai. Un choix je ne regrettai nullement.
Au fil des ans, suite à ma scolarité, je décidai de me spécialiser dans l’analyse de données financières … d’ailleurs je ne tardai pas à me faire un nom dans le milieu. Bon nombre de décideurs se tournèrent vers moi afin d’avoir tous les outils en mains afin de prendre une décision d’investissement totalement éclairées.
Il y a quelques années je m’étais joint à un groupe d’investisseurs afin de participer à une mission économique au Qatar sans trop me douter que l’aventure allait vite tourner au cauchemar. En effet pendant de longs mois j’y suis resté captif, on m’a torturé plus souvent qu’à mon tour, souvent j’ai souhaité mourir tellement le tout me sentait insoutenable. Encore aujourd’hui je me demande comment j’ai fait pour passer au travers.
Maintenant ? Je mène une existence plus que sédentaire, je me plais dans mes fonctions d’enseignants et l’idée de renouer avec mes anciennes fonctions ne m’a jamais effleuré l’esprit.
Il était hors de question que je finisse comme mes parents, et que je passe ma vie à exercer un métier qui me pue au nez, c’est pourquoi je mis tout en œuvre afin de me faire accepter par une université. Columbia n’était pas Harvard mais c’était tout de même mieux que de bosser dans une usine. Ayant toujours aimé les chiffres, passionné par l’économie, c’est au sein de la faculté de finance que je me retrouvai. Un choix je ne regrettai nullement.
Au fil des ans, suite à ma scolarité, je décidai de me spécialiser dans l’analyse de données financières … d’ailleurs je ne tardai pas à me faire un nom dans le milieu. Bon nombre de décideurs se tournèrent vers moi afin d’avoir tous les outils en mains afin de prendre une décision d’investissement totalement éclairées.
Il y a quelques années je m’étais joint à un groupe d’investisseurs afin de participer à une mission économique au Qatar sans trop me douter que l’aventure allait vite tourner au cauchemar. En effet pendant de longs mois j’y suis resté captif, on m’a torturé plus souvent qu’à mon tour, souvent j’ai souhaité mourir tellement le tout me sentait insoutenable. Encore aujourd’hui je me demande comment j’ai fait pour passer au travers.
Maintenant ? Je mène une existence plus que sédentaire, je me plais dans mes fonctions d’enseignants et l’idée de renouer avec mes anciennes fonctions ne m’a jamais effleuré l’esprit.
(Invité)