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I need you - Ana

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I need you
Ana & Noah



Je ne sais pas comment Ana faisait pour me supporter. Sérieusement, même moi j’avais conscience du fait d’être complétement insupportable. L’archétype du paria, solitaire rejeté pour ses frasques et son caractère surjoué. Mon égocentrisme est inné, j’ai grandis comme ça, replié sur moi. Alors évidemment, en dehors de moi, je ne me sens concerné que par très peu de choses. Très peu de choses ordinaires du moins, car à l’extrème opposé, dès qu’il s’agit d’une personne que j’affectionne (et elles sont rares, Ana en fait partie), là je peux me montrer humain. Peut-être qu’elle se force à me supporter. Peut-être qu’elle a réussit, enfin, à voir qu’il n’y avait pas que du mauvais en moi. J’espère du moins, parce que même moi, j’en doute franchement. Et je baisse les armes complètement à cet aveux dérangeant. Moi, amoureux ? Chronique d’une souffrance annoncée. Je ne veux pas être amoureux, je ne veux pas ressentir ça. J’ai trop peur, vraiment trop peur. Et malgré moi, j’ai l’impression que le fait de poser des mots dessus atténue ma panique. Pour laisser place à un puit d’interrogations inaudibles que je décide d’ignorer, du moins pour le moment : « Pour moi, t’es un bon exemple. T’as l’air encore plus détachée vis-à-vis de ces choses là que moi. Apprends moi, comment tu fais pour juste … ignorer, faire comme si ça n’existait pas ? ». Je levais mes yeux vers elle et la regardait comme un enfant. Lorsqu’elle me dit être chanceux en un haussement d’épaule, j’hésite à la croire. Je la regarde interloqué, est-ce qu’elle le pense vraiment ? Avant de finir par esquisser un rire nerveux, prenant la chose à la rigolade, et de tourner la tête : « Chanceux, t’as raison, moque toi de moi », je feinds l’amusement pour me détendre, détendre tout ça. Ressentir l’apaisement. Avant de laisser ma tête retomber sur l’épaule d’Ana. Un geste doux, affectif. Rares venant de moi. Spontanés lorsqu’il s’agit d’elle. Je me propose gaiement comme chat de compagnie et elle s’y refuse, faussement offusqué, je me redresse avant de l’embêter de caresses intempestives : « Tu m’aimes trop même si je suis agaçant, avoue », et je finis par m’arrêter en la regardant, mi-sourire sur les lèvres, mi-mélancolie dans les yeux. Elle avait finit de réviser, je m’en voulais un peu moins de gacher sa soirée. Elle passait ses bras autour de mes épaules et je me laissais tomber en arrière, l’embarquant avec moi, elle allongée sur moi, comme deux enfants : « J’aime tes calins parce qu’ils sont rares et je sais très bien que des fois tu préferais les échanger contre des gifles ». Je me moque de moi-même, je le sais que je suis agaçant. Et spontanément, ma main droite se pose derrière la tête d’Ana, lui faisant doucement des papouilles, tandis que mon bras gauche se cale en équerre derrière ma propre tête. Je regarde tantôt le plafond, tantôt ma meilleure amie. Et j’étais là, reposé, quand je sens ses doigts chatouiller mes côtes. Mouvement de crispation, je suis très craintif. Je me redresse brusquement, l’embarquant avec moi, avant de tenter d’immobiliser ses bras autour d’elle-même. Elle est assise entre mes jambes, moi dos à elle, je croise ses bras sur son torse et la bloque comma ça : « Tu vas faire quoi avec tes bras d’oiseau ? », et je me moque d’elle, l’immobilisant d’un bras tandis que mon autre main vient la chatouiller au ventre : « Alors, c’est qui le plus fort ? Hein ? J’entends pas, c’est qui le plus fort ? ». Et je m’arrête quand je nous entend suffoquer de rire avant de laisser mes bras balants sur ses cuisses et ma tête tomber sur son épaule, par derrière : « Je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans toi ».





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Je laissais échapper un soupir en écoutant ses propos. Comme si c'était facile. Je n'aimais pas vraiment l'idée d'être un exemple pour lui, surtout sur le plan sentimental. J'étais loin d'être une personne épanouie finalement. Je m'offrais qu'à un seul et unique homme et le pire dans tout ça, c'est qu'au bal de fin d'année, j'avais tout arrêté. « Je ne suis pas du tout détaché, moins de là... » lui confiais-je en le regardant. Je commençais à ressentir des choses pour un homme et je ne savais tellement pas comment m'y prendre que j'avais préféré fuir la situation en le repoussant. Mais j'étais certaine qu'il allait s'en sortir lui, parce que justement, ça avait l'air d'être si important à ses yeux, enfin, de prendre tellement de place dans ses pensées, dans son cœur, que peut-être qu'avec le temps, il s'y consacrera et il fera une heureuse. Pour ma part, le chemin était encore long. Il valait peut-être mieux ne plus penser à tout cela et revenir sur une thématique plus neutre que celle de l'amour. Parler de chat en se faisant des câlins, c'était quand même une meilleure discussion. Sérieusement, il serait beaucoup trop agaçant comme chat, toujours à demander de l'attention et de la compagnie. Je pouffais de rire en écoutant ses propos alors que je me mettais à ranger mes affaires. Les révisions sont terminées. Je souriais en écoutant la suite, décidant de rester silencieuse. Jamais je ne pourrais avouer ce genre de chose dans de telle condition. Au lieu de ça, je me montrais tactile en venant passer mes bras autour de son cou, l'obligeant à tomber à la renverse sur le canapé, me retrouvant désormais allongée sur lui. « C'est vrai ! » m'exclamais-je doucement en pinçant mes lèvres. « Mais je pourrais être super intéressante avec des griffes, les hommes adoraient ça ! » m’exclamais-je en riant. On était calé et avec ses papouilles dans mes cheveux, j'allais finir par m'endormir sur lui. Et comme j'étais plutôt joueuse ce soir, je préférais le chatouiller plutôt. Sauf que je n'avais pas vraiment le temps de faire quoi que ce soit étant donné que le jeune homme m'avait attrapé les poignets pour m’immobiliser. Je me retrouvais alors assise entre ses jambes, lui dans mon dos et je riais avant même qu'il n'aille plus loin. Pas le temps de répondre à sa question qu'il m'inflige la même punition. Je me mis à battre des jambes en riant, ce genre de gamineries étaient insupportables. « C'est pas toi ! » gloussais-je comme si je voulais qu'il continue encore. C'est surtout que j'étais une tête de mule et je ne voulais rien avouer. Quand il s'arrêta, j'essayais de reprendre mon souffle, me laissant totalement reposer de tout mon poids contre mon meilleur ami tandis qu'il posait sa tête sur mon épaule. Je vins passer ma main dans ses cheveux me tournant doucement pour le voir. « Je vais quand même rester ta préférée ? » lui demandais-je d'un air innocent, faisant évidemment allusion la jeune femme dont il tombait amoureux.
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Quand elle me dit qu’elle est loin d’être détachée j’ai un regard de surprise. Je veux dire, pour moi Ana c’est l’archétype de la fille indépendante, que rien n’atteins, forte comme le roc, impossible à blesser. De quelques manières que ce soit. Et là, comme ça, je la sens fragile et j’ai une furieuse envie de la protéger. Comme si pour une fois, c’était moi qui devait lui apporter du soutient. Je ne sais pas trop quoi répondre et me contente de poursuivre notre conversation, essayant de lui donner une tonalité plus légère, moins grave. Mes muscles se sont calmés, même moi je me suis calmé, et je me sens épuisé. De cette journée, de cette rencontre, de cet accident, d’absolument tout : « J’en conclus qu’on est deux handicapés du cœur », dis-je en un sourire timide. Avant de m’amuser à faire le chat et de l’embêter de toute ma splendeur agaçante. J’adore ça, l’embêter, surtout quand je sens qu’elle préférerait me gifler. Et alors je fais les yeux doux et j’essaye de l’amadouer, comme un enfant, grand enfant. Je tombe avec elle sur le canapé et je la laisse exprimer par les gestes ce qu’elle ne dit jamais avec les mots (bizarrement, moi qui d’ordinaire suis si réservé, avec elle, c’est déclaration d’amour et d’admiration à répétition ! Etrange). Je feins une grimace de dégout quand elle me parle d’hommes qu’elle aurait connus : « Argh, chhhhhhuuuuut. Je ne veux pas savoir ça, pour moi tu es complètement asexuée ! ». Et je la papouille derrière la tête, et je sens la fatigue me gagner de plus en plus. Mes yeux se ferment presque, mais c’était sans compter sur ses chatouilles qui viennent me faire sursauter. Et moi qui finis par l’immobiliser et me venger sur son ventre et ses côtes. J’adore son rire espiègle : « Quoi ? Ce n’est pas moi ? T’es sûre ? », Et j’intensifie mes chatouilles avant de me stopper quand je nous sens complètement essoufflés. Mes bras tombent sur ses cuisses, ma tête sur son épaule, câlin épuisé. Et quand elle tourne son visage vers moi et me demande si elle restera ma préféré j’esquisse un sourire attendris, je fonds : « Evidemment ! Quelle question. Jamais je ne voudrais être le chat de quelqu'un d'autre ! ». Et je lui fais un bisou sur la joue avant de me dégager de cette position, faisant attention à ne pas trop la bousculer : « Je crois qu’il est l’heure pour moi de rentrer, je t’ai assez embêté pour la soirée ». Debout, devant le canapé sur lequel elle est assise, je tâtonne mes poches, voire si je n’ai rien oublié : « T’aurais des écouteurs à me prêter ? Je te les ramène demain ». Prêt à partir, j’attends qu’elle vienne me faire un gros câlin et un gros bisou de bonne nuit.





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Je pouffe de rire en l'écoutant. « C'est ça... » Nous étions deux handicapées. Rien de bien glorieux pour ma part, je pouvais me montrer détachée en temps normal, mais en réalité il y avait un milliard de questions dans ma tête qui attendaient des réponses. Puis de chamailleries en chamailleries, nous oublions les pourquoi de sa venue dans mon appartement. Nous étions redevenu des enfants qui se chatouillaient et se câlinaient sans ménagement. C'était le côté agréable de Noah. J'aimais son côté tactile, doux et affectif. Par contre, je détestais le voir en véritable connard. Mais bon, il était mon meilleur ami et je l'acceptais tel qu'il était. Je me laissais aller à quelques révélations en parlant du pouvoir que des griffes à mes doigts pourraient avoir sur les hommes et je me mis à exploser de rire en voyant sa réaction. Noah était bizarre. J'étais certaine qu'il me voyait plus vieille que lui en temps normal, mais quand il s'agissait de me savoir avec des hommes, il me faisait perdre quelques années rapidement. C'était certainement parce qu'il ne m'avait jamais vu avec un homme. Pas le temps de faire de commentaire qu'il vint à me chatouiller férocement pour se venger. Je pleurais de rire, mais hors de question que j'avoue qu'il soit le plus fort de nous deux. Non, Noah n'était pas le plus fort. Il n'avait pas le droit d'user de sa force sur moi d'ailleurs. Il n'était pas le plus fort, mais quand il s'arrêta de me punir, je ne pouvais que l'en remercier. Je reprenais mon souffle tant bien que mal avant de lui poser une question sérieuse. Un baiser sur la joue en guise de réponse et un large sourire vint illuminer mon visage. « Toi, tu n'as pas à te poser la question ! » Ou presque. C'est vrai que je n'avais jamais parlé de Jules à mon meilleur ami. Ce n'était pas ce soir-là que ça allait arriver étant donné que l'Eliot venait de se lever. Je penche doucement ma tête sur le côté en le regardant. Fin de la partie. « Oui, bien sûr. Mais tu ne préfères pas dormir ici ? » lui demandais-je en fronçant légèrement les sourcils avant de filer dans ma chambre pour y prendre des écouteurs et revenir aussi vite. Je les lui donnais et je venais me nicher une dernière fois dans ses bras. « Je pourrais te kidnapper pour la nuit ! » lui confiais-je alors que ma tête reposait contre son torse. Je ne voulais pas qu'il reparte si tard et fatigué.
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Détendu. Enfin. Je savais bien que s’il existait un endroit où je pouvais descendre de ma colère et de mon anxiété, c’était chez Ana. Et sans surprise, parce que je le sais, elle a joué son rôle de meilleur amie à la perfection. Si tant est si bien que le grand nigaud qu’est entrée en furie dans son salon toute à l’heure avait laissé place à un espèce de gros nounours pâteux, limite agaçant tant il es collant. Mais ce n’est pas grave. Toute la promiscuité que je n’ai pas avec le commun des mortels, tout les câlins que je n’ai jamais fait aux autres, je les condense et les donne tous tout entier à Ana. Et on s’amuse comme des enfants, vraiment comme des enfants, et ça me fait marrer de la regarder se marrer, elle est belle Ana quand elle rit. Je grimace vulgairement quand elle me parle de ses griffes et d’autres garçons. Beurk, ce serait comme si Lieven, ma petite sœur, me parlait de sa vie sexuelle. Je ne veux pas, ni ne peux m’imaginer quoique ce soit. Pour moi, Ana est asexuée, un point c’est tout. Et nos chamailleries nous conduisent à une intime révélation déguisée sur nos sentiments. Evidemment que personne ne prendra sa place. Et elle m’assure qu’il en est de même pour moi, je souris touché avant de me relever, me préparant à partir. J’avais envie de … je ne sais pas, marcher, souffler, regarder le soleil se lever dehors. Un truc qui me permette de décompenser une bonne fois pour toute, de me retrouver un peu seul pour digérer : « Je n’ai pas vraiment envie de dormir, je vais aller marcher un petit peu jusqu’au campus, histoire d’épuiser toute mon anxiété ». Elle revient avec les écouteurs et je les attrape en esquissant un rire : « Aaaaah, je vois, c’est toi qui a du mal à te passer de moi », et je la prenais dans mes bras, tandis qu’une de mes mains enfonçait les écouteurs dans ma poche : « Je t’ai assez embêté pour les deux semaines à venir. Je vais rentrer tranquillement, ne t’inquiète pas, et si tu veux, demain on fait une sieste tout les deux en regardant Rox et Rouky ! ».





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Passer du temps mon meilleur ami, ça faisait du bien malgré le fait qu'il soit agaçant. Le bougre, même s'il me tapait sur le système, il arrivait à me faire changer d'avis pour se faire apprécier de nouveau. Ou alors, c'est parce qu'il y avait une part indifférence en moi qui faisait que je terminais toujours par ne plus lui en vouloir. En tout cas, on ressemblait à deux bébés ours qui se chamaillaient sur un canapé. On y ressemblait jusqu'à ce qu'il se lève d'un coup en m'annonçant son départ. Il était tard, je n'étais pas vraiment du même avis, mais rien à faire, il ne voulait pas rester ici. Il voulait sortir et marcher en écoutant de la musique. Je pouvais comprendre son envie, c'est pourquoi je me résignais en allant lui chercher mes écouteurs, avant de lui offrir un câlin d'au revoir. « Nooon, je te donne juste l'illusion que tu es apprécié. Ça fait au moins une personne qui tient à toi... » lui confiais-je avec ma gueule d'ange. Il savait très bien que je plaisantais, mais de là à dire que je ne pouvais plus me passer de lui... Arm. Je quittais ses bras, l'obligeant à se tourner et faisant une légère pression dans son dos pour l'obliger à se diriger vers la sortie. « Demain, ça fait pas deux semaines ça... » lui confiais-je en riant alors que j'ouvrais la porte. « On en reparlera. En attendant, fais attention à toi ! ». Il était partie aussi vite qu'il était arrivé. Moi, j'allais pouvoir aller me mettre dans mon lit et me reposer avant la prochaine fois.

FIN DU RP
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