Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywhen did you lose your happiness ✩ lucas ( LUSKA LE RETOUR ON S'AIME PARCE QU'ON SE DETESTE LOVE KEUR ) - Page 3
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when did you lose your happiness ✩ lucas ( LUSKA LE RETOUR ON S'AIME PARCE QU'ON SE DETESTE LOVE KEUR )

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« chut.. t'entend comment ça fait du bien quand tu fermes ta gueule ? » tu lui fait un doigt, avant de lui tiré la langue. Non mais oh, si il pense qu'il été drôle en plus ? Pff. Tu lui lance des éclaires dans les yeux, on dirait votre premier rencard, mais sans qu'il soit nerveux. En fait j'arrive pas vraiment à me souvenir d'un moment en quatre mois de relation ou vous avez parler et manger sans finir à poil ou entrain de faire des trucs pas catholique. « Je trouve aussi. C'est mon préféré, si on été ami et qu'il avait pas cette relation étrange et compliquer avec Madisson je pense que ça se serait déjà fait. Mais je suis plus blond que brun bizarrement. » alaska passion grande frite blonde. Ça a toujours été le cas en plus, que ce soit Lucas, Shae, des blonds aux yeux bleu. Kyla et Samaël sont les exceptions et Maxwell est.. hors catégorie. Il finit par pété son cable aussi, peut être à cause du sucre qui lui monte à la tête, tu ne peut pas t'empêcher de rire à ses conneries. « Arrête, les gens nous regarde bizarre. » dis-tu en jetant ta serviette sur son visage. Bah quoi fallait bien que tu demandes pour Madisson et lui ? J'veux dire ,si vous êtes plus ensemble il peut te le dire, non ? « Tu me fileras le pdf par mail ? » dis-tu pour le charier.
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Hein ? Quoi ? Non, le son semble plus merveilleux quand je l'ouvre justement, dis-je en venant plonger mon doigt dans sa chantilly, avant de le porter à ma bouche. Lucas James Watson, nouvelle passion : faire chier Alaska Granger. Si c'est pas beau tout ça, ça me donnerait presque envie de pleurer. Entant normal, c'est elle qui passe son temps à me faire chier, alors pourquoi ne pas inverser les rôles pour une fois ?. Je peux comprendre, j'adore le gros nichons, c'est tellement orgasmique mais bon, on a pas toujours ce qu'on veut, je répond, en fixant sa poitrine, faisant bien exprès de la faire chier au maximum. Les gens nous regardent et alors ? Elle vient de me clouer le bec, en me demandant si je m'envoie en l'air avec ma meilleure amie. Ok, on l'a fait une fois, enfin trois en une nuit et c'était hot mais non. Non et non, j'étais désespéré et....je le suis toujours en fait....Bon, je vais peut-être l'appeler alors ! Oui, avec plein de petit cœur dessus. Non mais je rêve.
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« T'étais déjà aussi chiant quand on été ensemble ? » dis-tu en tapant sur sa main. NON MAIS OH, PAS TOUCHER MON MANGER. Tu lui lance d'ailleurs des éclaires, pas au chocolat hein, un regard éléctrique ; parce que c'est interdit de toucher dans ta bouffe et il devrait le savoir. Même au ciné t'as TON pot de pop corn, il a le sien et vous avez un pot commun, en cas de petite faim. Il le sait, mais il le fait exprès. Comme il fait exprès de regarder tes seins ? « Arrête ça. » dis-tu en relevant sa tête pour qu'il te regarde dans les yeux. « Tu veux joué à celui qui fait le plus chier l'autre ? Parce que tu sais que si je me met à joué avec toi, tu vas perdre, et tu regrettera encore d'avoir été la victime d'alaska rosaline granger. » dis-tu d'un ton prèsque sérieux. Comme si c'était un défis, le défis supprême, qui fera le plus chier l'autre ? On va le savoiiiir. Mais en attendant, tu demande quand même des news de ta besta sista madisson, va savoir, il est dans le même état qu'au maroc, peut être qu'ils ont remis ça sans le soleil, le sable et l'odeur persistante d'olive ? « Merci, je le ferais plastifié. » dis-tu dans un sourire. Tu regardes un peu autour de toi, après avoir finit ton petit dej et fixe ensuite lucas. « On se tire sans payer ? »
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On va dire qu'un chiant suffisait, je lui répond du tac au tac, toujours avec ce sourire si charmant mais qui la nargue. En plus de ça, j'enfonce bien mon doigt dans la chantilly, qui est vite frappé par la demoiselle mais TANT PIS, la chantilly a réussi à atterrir dans ma bouche. J'ai même plus le droit de regarder se seins, et je lui fais comprendre que ça m'attriste en faisant une moue, tel un chien abandonné au bord de la route. Voilà, qu'elle devient presque sérieuse alors que je la taquine. Je ris légèrement, avant de lui répondre t'inquiète pas, avec tout ce que tu m'as fait, je pense que je peux encore tenir le choc, et de m'enfoncer dans le petit fauteuil, posant mon regard à travers la fenêtre, regardant ce qui se passe dans la rue. Elle attire ensuite mon attention, me demandant de partir sans payer. Je prend alors une gorgée de mon verre, me lève doucement en remettant en place mon jean puis lui dis, d'accord. Je n'ai le temps que d'hausser les épaules que je me barre, prenant la direction de la sortie avant de la laisser derrière moi, l'attendant bien sagement dans une rue plus loin.
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Il sait passer beaucoup de chose entre vous, en très peu de temps et tu ne saura dire si tu le regrette ou pas. Bien sur qu'il y a des choses que tu ne regrette pas, le premier baiser en cinq ans dans le jacuzzi, la première fois, le premier je t'aime, les premiers : jamais de moi sans toi. Et encore maintenant tu te sent mal de toujours avoir foiré tout ces moments, ce serais bien de pouvoir tout reprendre du début, de tout recommencé et le laisser guidé les choses, au lieu de te laisser dirrigé et tout foiré. « Tu sais très bien que j'ai jamais eu pour intention de te faire du mal. Jamais. » Maxwell oui, parce que c'est un menteur, Samaël oui, parce qu'il ne faisait pas assez attention à toi, mais Lucas, non, jamais. Tu l'as toujours aimer plus que les autres et ça ne cessera pas. Il t'adresse un sourire joueur et se prépare à partir. Tu te lever de même, et sans que tu t'en rende compte, il est déjà à l'extérieur. Tu suis son rythme malgré le fait que tes jambes soit deux fois plus petites, et court à toute vitesse jusqu'à la rue cacher derrière les batiments, peut pâté de maison après. « Et ta voiture alors, crétin ? » dis-tu le souffle court, c'est les pancakes ça, ça passe mal. «
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Il y a un peu plus de 5 ans de ça, j'ai rencontré une douce jeune fille du doux prénom d'Alaska Granger. Sur le coup, c'était l'amour de ma vie mais ça c'était avant qu'elle ne m'abandonne. Oui, oui, déjà à l'époque elle me torturait. Cinq ans plus tard, je l'ai retrouvé mais je me suis vite rendu compte qu'elle n'était pas si douce que ça, qu'elle avait pleins d'épines. Hélas pour moi, je m'en suis rendu compte trop tard, après avoir eu le cœur brisé plus qu'une fois. Vraiment ? C'est plutôt marrant, on aurait dit le contraire, dis-je d'un ton sec et franc, avant de porter mon attention sur la rue. Finalement, elle me propose de partir s'en payer et je ne me fais pas prier puisque je suis le premier à quitté les lieux. J'avance rapidement à l'aide de mes grandes jambes, entendant les petits pas rapides d'Alaska. Dans une ruelles légèrement cachées, je pose mon dos contre le mûr, alors qu'Alaska me rappelle qu'on est venu avec ma voiture. Merde. Je me gratte la nuque, réfléchissant puis finalement pas grave, on va passé par derrière, tout en m'enfonçant dans la ruelle.
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« Je ne t'ai jamais mentit. » non jamais, sinon il n'aurait jamais sut que je l'avais tromper avec Aaron, jamais avoué qu'y avait un être vivant qui grandissant en toi, jamais rien dit, tout garder pour toi comme tu l'a toujours fait. Bref, tu suis ton idée un peu folle, t'avais pas fait ça depuis que t'avais quinze ans et qu'y avait plus rien à manger dans le frigot. Tu manques de pratique depuis, puisqu'à peine un mètre plus tard, tu as le souffle court. « T'es bête, on va se faire chopper. On va attendre que tout le monde parte et on le récupèrera après.. » surtout que t'avais pas envie de courir encore une fois, t'es vraiment au bout de ta vie là, finit les pancakes. Tu restes collé au mur avant de te laisser tomber, en position assise. La discussion de tout à l'heure commencé à devenir intéressante, et tu aurais aimer y mettre fin. « J'ai jamais voulu te faire du mal ou te prendre pour un con, comme CS de merde le dit si bien. Je voulais juste.. me retrouver un peu après la fausse couche, je me sentait pas bien et te voir tout le temps, savoir qu'on aurait pu être trois, ça me perturber. » et Maxwell aussi, tout un tas de chose qui faisait que cette situation de fatigué.
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Elle ne m'a jamais menti, si elle le dit, de toute façon, je n'en ai plus rien à foutre. Je ne prête donc pas attention à ses paroles, enfin, je ne réagis pas ou ne répond même pas. A la place, je m'amuse du jeux enfantin d'Alaska et quitte le café sans payer. Bon, sauf que la couille c'est que ma voiture est garé juste devant. Boulet.com bonjour. Du coup, on doit attendre dans la ruelle. Je m'éloigne légèrement, tout en faisant les cents pas. Je peux payer quelqu'un pour nous l'avancer ?, non, je risque de ne plus du tout revoir ma voiture. Bon réfléchissons à autre chose....ah ben non, Alaska a décidé de prendre la parole en remettant sur la tapis notre conversation de tout à l'heure. Fait chié, j'en avais pas du tout envie. Tu sais quoi Alaska ? J'en ai strictement rien à foutre, dis-je en m'appuyant sur le mûr d'en face. Tu n'as jamais voulu me faire de mal ? Cool, tu as fait tout le contraire mais on s'en tape, car désormais je suis heureux, ou pas, je ne pense plus à rien, à part vivre ma vie et m'éclater.
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« C'est la journée des bonnes idées aujourd'hui, dis moi ! » dis-tu pour le charier. Payer quelqu'un pour qu'il aille chercher la voiture, bien sur : tiens, prend mes cles, ramène moi la voiture, et en échante je te donne les 5$ qui traîne dans ma poche depuis des jours. Tu lache même un rire face à la situation. « J'avais jamais fait un resto basket avec un riche, ça change. » dis-tu alors que ton corps s'effondre position assis contre le murais. Va savoir pourquoi t'as envie de parler de ça, t'as envie c'est tout, tu veux expliquer le pourquoi du comment, surtout lui expliquer que tout ça n'étais qu'un mal entendue, que tu n'es pas une tornade destructrice de ton propre bonheur, du moins tu essaie. « Bien sûre, t'en a rien à foutre. » tu roules des yeux. Peut être que tu peut mettre ta fiérté de côté quand il s'agit de vous, mais alors lui, noooon, monsieur le sims veux absolument garder sa part de famousitude et de fiérté absolue. « Tu t'auto-détruit à coup de soirée, de pute et d'alcool, grave cool la vie, Lucas on adore. » dis-tu en te redressant. « Moi je peut te le dire : tu m'a manqué. Tu me manque toujours d'ailleurs, mais j'avais besoin de me retrouver, et je voulais pas que tu me voit dans un état totalement second, parce que je voulais pas que tu me déteste. Plan qui n'a pas marché vu que tu me déteste quand même. »
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Il faut croire que oui, dis-je en bougeant ma tête de gauche à droite, comme si je n'étais pas convaincu de ce que j'étais entrain de dire. M'enfin, je décroche un rire alors qu'elle m'avoue être le premier riche avec qui elle a fait un resto basket. Je dois en être fier ? Je ne préfère même pas lui poser la question sinon, elle serait capable d'en faire un roman. Enfin, j'aurais peut-être dû vu le sujet qu'elle balance sur la table. Je m'auto-détruit ? Non, désolé Alaska je suis juste celui que j'étais avant de te retrouver, avant que ma boisson ne décide de se déverser sur elle dans ce petit restaurant. Tu as toujours envie, ou le besoin de te retrouver Alaska, un jour va falloir que ça cesse du sais, ouuuuh ça y est elle m'a énervé la petite. Te détester ? Le mot est bien trop faible ma belle. Ok, c'est faux ce que je viens de dire, mais depuis ces derniers temps, je ressens le besoin d'être méchant.
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