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Je suis rentrée plus tôt du travail. Enfin non, j'ai fini ma garde mais pour la première fois depuis un bon nombre de semaines, je n'ai pas eu à rester plus longtemps et pourtant, les effectifs sont de plus en plus réduits avec le départ de Sienna, de Priape et de Talya la même semaine. J'ai l'impression que tous mes amis foutent le camp et je n'en peux plus, je dois bien l'avouer. J'ouvre la porte de l'appartement et je n'entends pas de bruit, rien. Bonaventure n'est donc pas encore rentrée des cours et j'en profite pour prendre une douche, enfiler une belle robe et de très jolis sous-vêtements aussi, par la même occasion. Je passe même par la case "repas". Bon, je ne fais rien d'extraordinaire, juste des lasagnes et des cookies pour le dessert. J'entends la porte s'ouvrir et je sors rapidement de la cuisine. " Bonjour mon petit mari " Soufflais-je en enlevant son sac de son épaule, sa veste et venant glisser mes mains derrière sa nuque pour me rapprocher de lui et l'embrasser. " Tu as passé une bonne journée ? " Je souris largement. C'est quand même difficile je dois l'avouer mais j'ai toute la journée pour faire la gueule et je veux être la plus souriante du monde pour lui. Il le mérite. Vraiment.
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Depuis son retour, Bonaventure avait passé le plus clair de son temps à la bibliothèque pour bosser afin de réviser pour ses examens. Le bal de fin d’années était déjà terminé depuis quelques jours mais pour lui, cela ne signifiait en aucun cas le début du relâchement. Au contraire, le métisse était de plus en plus stressé à mesure que la date à laquelle il devait repasser les épreuves approchait. « Je suis rentré ! » s’exclama-t-il en rentrant chez lui, épuisé, la tête farcie de terme journalistique ou de criminologie. « Salut toi » salua-t-il sa femme qui vint à lui pour lui enlever son sac et sa veste. Il n’y a pas à dire, il adorait ce genre d’accueil même si depuis le départ de Priape et de Sienna, il s’inquiétait beaucoup pour Andrea. Cette dernière gardait le sourire devant lui mais il savait qu’elle devait bouillir intérieurement. « Aussi bonne qu’une journée de révision peut l’être et la tienne trésor ? » lui demanda-t-il en entourant sa taille de ses bras pour l’embrasser à nouveau. « C’est une odeur de cuisine que je sens ? » l’interrogea-t-il peu après alors que la délicieuse odeur de lasagne venait lui chatouiller les narines.
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Quand j'entends sa voix au loin, je souris. Ça fait du bien de l'entendre, de savoir que ça y est, il est rentré et qu'on va pouvoir profiter un peu tous les deux. Je me rends compte qu'avec mes meilleurs amis qui partent à la pelle, je me sens beaucoup plus seule, un peu en détresse, excédée pour un oui pour un non... Et ce n'est pas facile tous les jours mais je vais devoir apprendre à faire avec. Ou plutôt sans. Prêt de lui, je me glisse rapidement dans ses bras. Je suis super câline en temps normal mais là, c'est encore pire ! Je souris à Bonaventure et hausse les épaules. " Personne n'est mort pendant que je bossais, je pense donc que ça va " Je ris légèrement mais c'est de cette manière que je sais si ma journée s'est bien ou mal passée. Je déteste devoir à annoncer aux gens que quelqu'un qu'ils aiment est mort. Je souris largement et dodeline de la tête quand il me demande si c'est une odeur de cuisine qu'il sent. " Oui, j'ai fais des lasagnes pour que t'ai pas ça à faire en rentrant et tout " Et puis, y a aucun moyen que je loupe des lasagnes non ? C'est de la viande hâchée, de la sauce tomate et des pattes quoi ! C'est la mise en forme qui te dit que c'est des lasagnes et pas autre chose. Je file vers la cuisine pour voir comment le tout cuit et me tourne vers lui. " Tu te souviens de la petite fille de l'autre fois ? Sa grande soeur s'en est sortie " Lançais-je en informant le jeune homme. Parce que je suis sûre qu'il se pose encore la question et puis... Elle est quand même restée presque une semaine dans le coma. Mais visiblement, aucune séquelle.
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Bonaventure n’était pas aveugle, il sentait bien que les départs de Talya, Priape et Sienna lui avaient mis un coup au moral et qu’elle tentait de faire bonne figure pour ne pas être un poids. Or, le jeune homme n’attendait que cela, de pouvoir être un soutien à son épouse. Andrea souriait mais il sentait que ce sourire était teinté de tristesse alors naturellement, il voulait être le plus présent et avenant que possible afin de l’aider à passer ce cap difficile. « Tant mieux, tu vas pouvoir passer une bonne soirée » lui dit-il avec un léger sourire, la suivant dans la cuisine où il pouvait sentir une bonne odeur de cuisson. « Tu es la meilleure des épouses » la complimenta-t-il avant qu’elle ne lui annonce une très bonne nouvelle. Aussitôt son regard exprima un mélange d’émotions allant du soulagement, à la joie en passant par une paisible certitude que l’espoir existait toujours dans ce bas monde. « Je passerai la voir demain et je pourrais te prendre au passage ? Tu finis ton service à quelle heure ? » lui demanda-t-il tout en leur servant de quoi boire. « Trinquons à cette bonne nouvelle dans ce cas » dit-il en s’asseyant sur une chaise pour mieux attirer sa femme sur ses genoux. « Trésor, je tenais à te dire que je suis là pour toi si tu as besoin de parler. Je sais que ces derniers jours n’ont pas été évident pour toi alors si tu as besoin de moi d’une quelconque manière, sache que je suis là » ajouta-t-il avant de déposer un baiser sur sa tempe.
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Je souris légèrement à Bonaventure. La meilleure des épouses... Oui, je sais pas trop. Je suis quand même assez chiante, loin d'être une fée du logis et je passe beaucoup de temps au travail, surtout avec le départ de tous mes amis et donc les heures qui s'enchaînent pour les remplacer... On est en sous effectif vu que tout le monde est parti trop vite et c'est douloureux, dérangeant et tout ce qui va avec. " J'essaye de faire de mon mieux, histoire que tu ne te lasses pas de moi trop rapidement " Je souris à mon mari, l'embrasse et lui annonce la bonne nouvelle. Je sais que ça lui fera plaisir et si je peux le faire sourire, lui enlever un petit poids à un moment ou à un autre de la journée, je ne suis pas contre. " Je suis de nuit demain donc je commence à dix-neuf heures mais on pourra passer un peu avant " Lançais-je avec un léger sourire. J'ai vingt-quatre heures de repos et je compte bien en profiter pour rester avec mon cher et tendre petit ami. Il risque de ronchonner un peu parce qu'il ne pourra pas réviser mais, comme le lendemain du bal, je vais le garder au lit, y a pas moyen. Je me laisse tirer vers lui et souris légèrement. " Je sais chéri... Merci " Il est là pour moi mais je n'ai pas vraiment envie d'en parler, je dois bien l'avouer. Je préfère garder tout ça en moi et voir avec le temps... Mon téléphone sonne et je fronce les sourcils. " C'est la sonnerie de l'hôpital ça... Mais je suis pas de garde " Un grave accident ? Un problème avec mon remplaçant ? Je me lève rapidement et décroche. Je reste de longues secondes au téléphone et ouvre grand la bouche. Paris. Formation. Gestion de crise. " Je... Je vous rappelle " Soufflais-je rapidement en regardant Bonaventure. " Je... Je viens de décrocher un poste à Paris... Enfin, une place dans une formation en gestion de crise " C'est confus tout ça. Mais je réalise pas trop. J'avais carrément oublié tout ça.
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« Me lasser de toi ? Je crois que c’est chose impossible mon trésor » rigola-t-il comme si elle venait de lui offrir la meilleure blague du siècle. Pour Bonaventure, c’était impossible qu’un jour, il puisse ne plus vouloir d’elle dans sa vie ou qu’il rentre chez eux à reculons. Elle n’avait pas besoin d’être la femme parfaite à ses yeux ou se donner tant de mal pour lui paraitre agréable. Il l’aimait avec ses qualités tout comme avec ses défauts surtout qu’il n’était pas tout blanc non plus. « De nuit hein… Cela signifie que ma chère et tendre épouse va planquer tous mes cours et autres bouquins pour me séquestrer dans le lit conjugal ? » lui demanda-t-il avec un sourire séducteur tout en l’attirant sur ses genoux pour mieux déposer un baiser sur sa tempe. Il avait conscience qu’elle tentait de masquer sa tristesse actuelle. Fidèle à elle-même, Andrea souhaitait tout garder pour elle et il soupira discrètement. « Tâche de venir me voir avant d’exploser d’accord ? Je tiens à être présent pour toi » lui dit-il et il allait l’embrasser quand le téléphone sonna. Andrea alla décrocher et il en profita pour boire quelques gorgées de son cocktail maison. « Un poste à Paris ? Tu avais postulé ? » lui demanda-t-il un peu hébété car la France n’était pas vraiment la porte à côté. « Mais ce serait pour combien de temps ? » ajouta-t-il toujours aussi surpris.
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" J'espère bien que tu ne te lasseras jamais de moi " Soufflais-je avec un léger sourire sur le visage. J'ai pas envie qu'il se dise "putain faut que je rentre" ou qu'il me trompe un jour ou l'autre. Je préfère qu'il me brise le coeur et aille coucher avec une autre plutôt que de jouer sur deux tableaux. Je crois que je ne m'en remettrais jamais mais bon... Enfin, Bonaventure n'est pas comme ça, je le sais. Et je balaye rapidement toutes ces craintes de mon esprit. Aucune raison de flipper, c'est clair et net. Je ris légèrement. " Sinon ce qu'on peut faire c'est que... Je me mets toute nue et je place tes fiches de cours sur mon corps. Et t'as le droit de me faire tout ce que tu veux qu'une fois que tu sais tout et que j'ai donc validé toutes les fiches " Je souris largement. Y a que moi pour dire des trucs dans ce genre. Quand t'es con, t'es con quoi... Mais je suis inventive, ça on peut pas me l'enlever. Sur ses genoux je souris et acquiesce. Je prends son visage entre mes deux mains et embrasse son front. " Promis, je te dirais tout avant de retourner l'appartement " J'en ris presque, je souris mais je sais que c'est bien probable que ça arrive tout ça. Je suis pas bien, j'y peux rien. Mon téléphone sonne et je file rapidement décrocher. Trop d'informations d'un coup d'un seul. Je ne comprends pas tout avec cet accent à couper au couteau. J'ai presque envie de dire à la femme au bout du fil de me parler français parce que je comprends, ma mère est française, je connais la langue de Molière. Je reviens vers Bonaventure, perplexe, le front plissé comme le corps d'un bulledog et secoue le visage de droite à gauche. " Je.. Non. J'avais postulé avant de partir en septembre dernier. Ça devait se passer à Cambridge mais avec tout ce qui s'est passé en Europe, la formation a lieu là haut " C'est de la folie, j'avais tout oublié. " Ça dure un an... Je vais donner des conférences dans quelques universités de Paris pour partager mon expérience sur mon intervention en Afghanistan et tout " C'est complètement dingue mais c'est Paris quoi ! " Je sais pas quoi faire " Soufflais-je en le regardant enfin. Je ne suis pas célibataire, pas seule, rien. On est deux, on doit décider à deux. Surtout qu'il a eu des soucis pour revenir ici et au final... Olala, c'est pas possible...
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Bonaventure regardait sa femme avec l’air de dire : tu sais que j’adore ton côté pervers ?! En fait mieux… « Tu sais comment motiver les troupes ! Si j’ai mes examens et que je ressors major de ma promotion, je te dédicacerai mes résultats à mon épouse si impliquée dans ma réussite estudiantine » rigola-t-il. Avec ce genre de choses, Andrea pouvait mettre fin au décrochage scolaire mais pas certain qu’il apprécie qu’elle aille aider d’autres hommes à réviser. Depuis quelques semaines, il faisait face à un nouveau pan de sa personnalité : la possessivité. « C’est gentil car si tu retournes l’appartement, je te préviens, tu ranges toute seule » la taquina-t-il même s’il savait par avance qu’il serait toujours capable de l’aider. Il lui suffisait de battre des cils pour faire de lui tout ce qu’elle désirait -faible homme qu’il était.

Cependant, un coup de fil vint bousculer leur petit cocon de bonheur. Paris. On lui offrait une place pour une formation qui lui tenait à cœur sans quoi, elle n’aurait jamais postulé. Bonaventure était partagé entre l’envie de la laisser partir et celle de la retenir. « Ce n’est pas rien… Les places doivent être chères » commenta-t-il. Andrea ne pouvait pas refuser sous peine de voir peut-être son unique chance lui passer sous le nez. Seulement, un an, ce n’était pas rien non plus. « Tu devrais accepter trésor » soupira-t-il finalement. Il s’était toujours promis qu’il ne se mettrait jamais en travers de la carrière de sa femme et il était un homme de paroles. « C’est une chance unique de faire ce que tu aimes… Tu devrais la saisir » insista-t-il car il ne voulait surtout pas qu’elle refuse à cause de lui. Andrea avait fait de nombreuses choses pour lui, il était temps qu’il paie ses dettes.
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Je le regarde et ris légèrement. " Alala, mais qu'est-ce que tu ferais pas sans ta femme si parfaite je te jure ! " Je tire la langue pour me moquer de lui mais tout ce que je lui souhaite c'est de réussir ses examens et tout ce qui va avec. Et si je peux l'aider et le motiver d'une certaine manière alors pourquoi pas ! On est une équipe tous les deux maintenant. " Okok alors on parlera... Parce que je déteste ranger " Et c'est d'ailleurs pour cela que la cuisine ressemble vite à un champ de bataille quand je m'y mets. Je suis du genre à laisser trainer tout et n'importe quoi dans des endroits plus improbables les uns que les autres ! C'est pour dire... Et puis des fois, j'oublie où j'ai mis les choses, ce que je fais etc. C'est le cas de cette formation. " Ils ne prennent qu'une personne donc oui... " Tous les ans il y a un autre chanceux et cette année, c'est moi. Et je suis heureuse, vraiment. Mais en même temps... Je l'écoute et déglutis difficilement. " Non mais Bona on est marié, je peux pas partir un an comme ça " Soufflais-je. Célibataire, la question ne se serait même pas posé, j'aurais accepté directement mais là, c'est différent... Je le regarde et prends sa main dans la mienne. Je veux accepter mais il faut trouver une solution. On a été séparé quelques semaines et j'en suis devenue folle ! Alors un an... Impossible. " Je peux pas partir sans toi " Soufflais-je légèrement. " Viens avec moi... " Lançais-je rapidement. Pitié, viens... Avec le poste que je vais avoir, ils l'accepteront sans soucis aucun...
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« C’est la question que je me pose tous les matins lorsque tu refuses de m’embrasser avant le traditionnel brossage de dent » lui dit-il accompagné d’un petit clin d’œil. Il aimait beaucoup l’embêter sur ses petites manies mais elle en faisait autant. L’avantage d’être un couple qui savait faire preuve d’autodérision. « Hein hein… Je suis étonné d’ailleurs que la cuisine ne soit pas sans dessus dessous… C’est que tu as sorti le grand jeu ce soir » rigola-t-il de bon cœur mais sa bonne humeur fut de courte durée lorsque cette histoire de poste à Paris fut mis sur le devant de la scène. Pour Bonaventure, sa femme devait accepter et aller à Paris. Il ne pouvait en être autrement et pour être honnête, un changement d’air lui ferait le plus grand bien. Ici, les fantômes de Priape, Talya et Sienna étaient encore trop présents pour qu’elle puisse tourner la page et sourire réellement à nouveau. Le problème était la durée de cette formation. Un an. Ils avaient été séparés uniquement un mois et cela avait été la fin du monde alors… 11 autres mois… Même pas la peine d’y songer. Sa main dans la sienne, il l’attira à nouveau sur ses genoux pour la serrer dans ses bras. « Pour être honnête, je crois que c’est peut-être la meilleure solution pour nous deux. Tu as besoin de changer d’air et moi… de un, je ne peux pas vivre sans toi et de deux… J’ai du mal à retrouver mes repères. J’aime Boston et les Etats-Unis : ma famille vit ici, mes amis également… Seulement, quelque chose s’est brisé depuis l’expulsion. Je pourrais toujours prendre une année sabbatique et me faire engager par un journal en tant que correspondant sur place histoire de me faire de l’expérience » commença-t-il même s’il restait le problème de la langue et surtout de son boulot annexe de détective privé.
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