Soga ✗ i brought you trouble

i brought you trouble
— with sophia.

Il devait être quatre heures de l'après-midi quand je me levais enfin après une grande soirée de débauche. Habituellement je faisais un petit effort pour bouger mes fesses afin d'aller en cours, même après des réveilles difficile mais là j'abandonnais tout et je restais avec mon lit d'amour pour la journée. J'avais pris un bol de céréales, un disney sur ma télé et c'est parfait pour une journée flemme total. Sauf que voilà c'était bien trop dur de rester éveillée alors que cette situation me suppliais carrément de me rendormir. Et c'est d'ailleurs ce que je faisais pour ensuite me réveiller en sursaut en entendant taper assez fort sur la porte de ma chambre. Je râlais en me levant tout en maudissant déjà d'avance la personne qui ose me déranger. J'ouvrais alors ma porte et je pouvais voir Sophia face à moi, bordel ça me faisais toujours aussi bizarre de voir mon sosie comme ça. « Salut piètre copie de moi. » Dis-je d'une petite moue alors que je me reculais de la porte pour la laisser rentrer, ouais j'étais juste horrible avec elle mais je l'a laissais rentrer parce que je l'appréciais quand même, mais ça j'lui ai jamais dis et jamais montrée non plus d'ailleurs. « Je dormais trop bien, j'espère t'as une bonne raison pour venir m’emmerder. » Dis-je en repartant m'affaler sur mon lit, elle avait l'air en colère. Ah ouaip j'ai comme oubliée que j'me suis fait passer pour elle en me faisant arrêter chez les flics y'a quelques jours aha. Mais tout est okay hein.

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J'ai passé un bal de merde et en plus de ça, ma soeur jumelle me détestait et s'acharnait sans cesse sur moi. Cela faisait quatre ans qu'on savait l'existence de l'une de l'autre mais je ne pouvais pas pour autant compter sur elle. Je faisais des efforts pour qu'elle m'apprécie, car moi j'avais bien envie qu'on soit de vraies soeurs, qu'on soit unies comme les cinq doigts de la main. Dès que Vega se montrait gentille avec moi, ça ne durait pas longtemps. Et le pire, c'est que je ne savais pas si elle était sincère avec moi ou pas. On dirait bien qu'elle a besoin de moi que quand elle se retrouve en galère. J'ai passé la nuit dernière au commissariat pour des histoires louches. De un, l'alcool très peu pour moi, de deux, je ne fume pas du cannabis ou je ne sais quoi. Mais voilà, Vega qui n'assume pas ses conneries avec une mentalité de gosse de six ans et aucune maturité, elle remettait tout sur les épaules de bibi. Okay, je sais à quoi je sers en fait, sympa. Je décidais de débarquer chez elle une fois avoir été libérée et je n'hésitais pas à me montrer désagréable. Je suis de nature très gentille, je m'emporte rarement, mais quand on déclenche la sonnette d'alarme, je peux être imbuvable. « Oh je perturbe ton sommeil? J'ai pas fermé l'oeil de la nuit figure toi. » donc je m'en contre fiche que je la réveille, elle méritait bien pire que ça. Je chassais d'un revers de la main l'odeur puante de drogue qui se répandait dans la pièce. C'est infecte, je comprends pourquoi des gens meurent avec ça. « Je me demandais si tu avais des troubles de la personnalité. Ça t'arrive souvent de te faire passer pour moi? » lançai-je en croisant mes bras. Ça ne se fait pas, c'est malsain et c'est surtout interdit.

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feat. SOPHIA B. VANDERBILT

J'étais bien consciente que j'étais pas cool avec Sophia et que depuis qu'on connait l’existence de l'une et l'autre je lui ai carrément apportée plus de problème qu'autre chose. Mais parfois j'voulais faire des efforts avec elle en essayant de me montrer plus gentille en sachant très bien que de son côté ça ira toujours et peut-être que là on pourra avoir une réelle relation de famille. Sauf que ouais, non, c'était trop simple. J'étais une emmerdeuse de première donc faut quand même avouer que ça me faisais bien plaisir de lui pourrir la vie et puis je l'avais carrément mauvaise de connaître l'importance qu'elle avait pour notre père alors que moi nada, zéro, bref du gros vide quoi. Et là j'étais clairement pas en mode je veux faire des efforts en sachant qu'elle avait totalement perturbée mon sommeil en venant frapper à ma porte, rien de mieux pour me mettre en rogne vous savez. « Ça, c'est pas mon problème. » Dis-je d'un petit soupire en levant mes yeux au ciel. Hm bizarre, j'crois que la Sophia est pas aussi gentille que d'habitude là. C'est peut-être un peu de colère que je vois dans son regard ? « Ouais très souvent. Parfois je me trouve trop horrible comme nana donc j'deviens la gentille et mignonne petite Sophia pour voir c'que ça donne. » Dis-je amusée, je me doutais bien que si elle me disait ça c'était forcement parce qu'on lui avait rapporté que je me faisais passer pour elle chose qui était pas vraiment fausse, mais bon c'était tellement drôle. Mais sur le coup j'pensais même pas au plus grave, l'histoire du commissariat. « Mais sinon j'fais aussi ça pour te causer un peu de problème, ta vie serait bien ennuyante sans toi, tu devrais me remercier. » Lui dis-je d'une petite moue alors que je me levais pour me faire un café, elle avait l'air de vouloir camper ici alors autant prendre de quoi me mettre en forme.

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Je ne pensais pas que c'était possible d'avoir une soeur aussi chiante. Elle me blessait, je ne sais pas si elle se rendait compte mais là je me retenais de pleurer. J'ai envie de la menacer d'aller tout balancer à notre père, de lui dire que sa fille était une junkie qui branlait rien de ses journées. Contrairement à moi, la petite studieuse qui pétait des flammes dans toutes les matières. C'est cliché je sais, mais c'est réel. Deux jumelles parfaitement identiques ce n'est pas possible. Quand je l'entends parler, j'ai limite envie de la pousser et de lui tirer les cheveux, de lui faire un truc vache. Mais je me retiens encore un peu. Je ne fais pas attention à ses piques, j'ai l'habitude, ça passe par une oreille et ça sort par l'autre. Biatch. « Tu n'as pas le droit de faire ça. Tu l'as fait combien de fois? Combien de problèmes en plus tu m'as créé? » oui car je ne suis pas au courant. Si ça tombe, du jour au lendemain tout le monde va me détester à cause de Vega pupute qui met son petit grain de sel par ennui. Je suis blasée. J'en ai marre de la regarder droit dans les yeux, on dirait que je suis son boulet qu'elle doit traîner dans sa vie. J'inspirais puis je lâchais la bombe. « Ma vie serait tellement mieux sans toi. » je ne le pensais pas mais sur le moment, oui. Me retrouver dans une cellule avec des gens louches pour porter le chapeau des conneries de Vega, non merci, j'ai assez donné. « Je pensais que tu étais plus intelligente que ça, si tu voulais vraiment te débarrasser de moi, tu aurais trouvé autre chose que m'enfermer au commissariat. » voilà, je lui expliquais la raison de ma venue aujourd'hui. Je veux des explications avant de l'oublier définitivement et d'en parler à mon père car je veux qu'il sache, elle ne peut pas s'en tirer par une pirouette. Plus maintenant.

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J'dois clairement pas être normal de vouloir autant mettre la misère à Sophia alors que c'est ma seule famille, du moins la seule que je connais depuis la mort de notre mère. Au lieu d'essayer d'arranger les choses et de récupérer une vraie sœur, bah non je préférais tout faire capoter. En même temps c'était plus drôle, parce qu'au final même si c'est ma sœur j'étais pas certaine de pouvoir lui faire confiance comme à mes meilleurs amis. Finalement je lui expliquais que ouais j'adorais prendre sa place et en plus que je comptais pas arrêter ça tellement c'était drôle. « J'en sais rien.. Beaucoup je suppose. » Lui dis-je d'une petite grimace faussement désolée. Déjà c'était fou comme j'avais foutu le bordel avec son meilleur ami Paris, c'est un gros sketch ça. « Oh mon dieu, tu me brises le cœur. » Dis-je en posant ma main contre mon cœur avec une voix pleine de faux sanglots. Finalement je me tournais face à elle pour l'approcher. « C'est réellement comme ça que tu t'énerves Sophia ? Imposes-toi un peu, merde. » Dis-je cette fois un peu plus froidement, parce que franchement c'est pas en me disant que sa vie serait mieux sans moi que ça allait me faire quelque chose, surtout qu'elle avait certainement raison. Mais bon je comprenais pas, moi si elle m'avait fait tout c'que je lui avais fait j'aurais déjà tout pétée chez elle et encore ça serait que le début. Trop de différence c'pas croyable. « Attends, donc ça a vraiment marché ? Ils ont cru tout mon baratin ? » Dis-je en explosant carrément de rire quand elle m'annonça qu'elle avait passée la nuit au commissariat, ah ouais j'étais trop fière là.

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Non mais sérieux, elle doit vraiment pas kiffer sa vie si c'est pour jouer avec la mienne. Elle est complètement inconsciente. Elle m'exaspère à un point. Je suis pas comme elle, je ne vais pas la frapper car elle m'a fait un coup de pute, voir plusieurs sales coups. Je ne veux pas lui donne raison de mon énervement car après tout, c'est ce qu'elle cherchait, me foutre à bout. Je la déteste tellement que j'ai envie de pleurer car ça me fait mal de dire ça. Elle veut que je m'impose, tracasse bécasse, la vengeance est un plat qui se mange froid. Je suis beaucoup plus maline qu'elle ne le pense. Par contre elle, c'était tout le contraire. J'ai l'impression qu'elle agissait sans réfléchir et toujours sous l'effet de la drogue. « J'ai pas la force de me battre avec toi. » point final. Je suis blasée en fait. Désolé soeurette, je ne vais pas péter un plomb et crier au scandale. Je suis sûre que ça la frustre de me voir si calme. C'est comme ça qu'on m'a éduquée. Tout encaisser, sans se plaindre et se dire que ce qui c'était passé était nécessaire, je le méritais. Mais j'ai du mal à me faire à l'idée que je mérite qu'elle me pourrisse la vie. Je croisais mes bras et je regardais ailleurs quand elle explosa de rire. Ouais ça a marché bouffonne. En même temps, c'est pas dur, on se ressemble comme deux goûtes d'eau. « Ferme-la! » lui hurlai-je dessus. Voilà, je peux crier, contente? Bizarrement, on entendait plus son rire de sorcière. « Pourquoi j'ai mérité d'une grosse gamine, sans maturité avec rien de bon dans le citron comme soeur? Comment tu peux te regarder dans la glace? Tu me fais honte. Y'a rien de positif chez toi! T'es tout le temps méchante, tout le temps en train de grogner alors pète un coup! Bordel de merde explique-moi POURQUOI tu me détestes? » et tout ça, en criant, hihi. J'ai pas échauffé ma voix mais quand je gueulais, toute la ville le savait.

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C'est fou comme j'avais envie de prendre Sophia par les épaules et la secouer dans tous les sens afin qu'elle réagisse, j'avais l'impression d'être face à un pot de fleur. Franchement j'me demandais réellement comment elle pouvait être si calme en sachant toute les crasses que je lui faisais et que je lui ferrais sûrement encore. « Mais t'as jamais la force de rien Sophia. » Dis-je d'un soupire, ouais j'pense que j'étais entrain de comprendre que se battre contre elle c'était juste se battre contre du vent. Donc ouais j'peux continuer de lui pourrir la vie, mais avoir la satisfaction de l'enrager j'peux courir dessus, mais bon j'ai encore le reste donc tout va bien. J'étais ensuite totalement amusée d'entendre qu'elle avait passée sa nuit au commissariat comme je l'avais prévu et apparemment mon rire était le rire de trop vu que la brune commença à crier comme je ne l'avais encore jamais entendu. Les piques fusaient et moi j'avoue que sur le coup je restais un peu bouge-bée vu que je m'attendais clairement pas à cette réaction. « Juste une question, tu me connais pour me juger ? Si tu vois que du négatif c'est que j'ai clairement pas envie de te montrer autre chose, j'te fais pas confiance, j'te connais pas et j'vois pas pourquoi je devrais être gentille du jour au lendemain avec toi juste parce que tu me ressembles. » Dis-je d'une voix assez froide en ne quittant pas mon regard du siens, ouais j'avais plus envie de rire maintenant, moi aussi j'étais en colère. « T'as raison j'te déteste et j'te détesterai sûrement toujours de m'avoir pris mon père, alors fais comme lui et oublie moi. » Dis-je d'une voix qui se voulait forte mais j'avais du mal, je m'approchais alors de ma porte d'entrée comme une furie pour l'ouvrir afin qu'elle comprenne qu'elle devait sortir, valait mieux ou j'sens que ça va péter.

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J'étais blasée par cette meuf que je dois appeler ma soeur. Erk, comme peut-elle être une soeur avec les saloperies qu'elle me faisait? Sérieusement, elle n'était pas toute nette dans sa tête et ça en était presque effrayant. Elle était capable du pire, que du pire. J'ai jamais rien vu de positif chez elle, même pas un merci ou un bonjour comment vas-tu? Rien, nada. Je fais ma vie et j'en ai rien à foutre des autres. Alors j'ai pété mon câble. C'est ce qu'elle voulait hein? Elle attendait que j'explose pour jubiler. Ouais ton plan maléfique a marché mais qu'est-ce que ça t'apporte sérieux? Je commençais à redouter ma vie ici. Tout était tellement plus simple lorsque j'étais perdue à Brighton. J'aurais aimé qu'on ne me retrouve pas. Au moins, je dérangeais personne. « Je ne vois pas trop comment je pourrais savoir ce que tu es si tu ne veux même pas qu'on apprenne à se connaître. » dis-je en haussant les épaules. C'est vrai, j'ai fait plusieurs fois le premier pas mais ça semblait être le cadet de ses soucis. Finalement, elle me mit la puce à l'oreille. Ah, donc madame était jalouse car son père portait plus d'importance pour moi? It's ridiculous. « Alors c'est pour ça que tu t'acharnes sur moi? » j'avais presque envie de rire sérieusement. Je faisais quelques pas vers elle lorsqu'elle me fit signe de dégager avant de moi-même refermer la porte en la fixant longuement. Personne ne va quitter cette pièce. « Putain mais qu'est-ce que j'en peux? J'ai pas demandé ça, j'ai pas demandé à ce qu'on me retrouve dans un autre continent. J'ai pas demandé à connaître mon vrai père. Ça nous est tombé dessus comme ça, à toutes les deux, et tu peux pas remettre la faute sur moi, c'est trop facile. » lançai-je sèchement. Non mais quel culot je vous jure, si elle tient vraiment à son père, elle a qu'à reprenne contact avec lui, faire un effort, je sais pas moi. Mais qu'elle me foute la paix avec ça.

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feat. SOPHIA B. VANDERBILT

Bon d'accord c'était totalement mon intention de la mettre à bout et de voir un peu le feu qui se cachait en elle. Parce que d'accord j'ai certaine raison familial de ne pas apprécier ma sœur mais j'voyais aussi qu'on était bien trop différente pour s'entendre, en fait j'avais pas envie d'avoir une sœur qui me fais la morale toute la journée et j'avais le salle pré-sentiment qu'elle pouvait être ce genre de sœur. Enfin bref, voilà j'avais eu ce que je voulais et elle venait bien de péter son câble, je pouvais clairement pas dire que ça me faisais du bien, en fait ça me touchais, pas beaucoup parce que bon je suis loin d'en faire des tonnes mais je m'énervais parce qu'elle avait peut-être réussis à toucher cette part de sensibilité en moi. Elle se permettait de me juger alors qu'elle ne connaissait rien de ma vie, de ma personnalité ou de mon passé, elle avait que le cliché de la mather droguée face à elle. Je me contentais de lever mes yeux au ciel à ses paroles, non j'veux pas qu'on se connaisse et j'en voyais pas l'utilité, j'ai jamais eu de soeur et j'vois pas pourquoi ça devrait changer. Finalement je lui parlais de notre père pour ensuite vite la faire sortir d'ici mais elle semblait vouloir faire la sangsue. « Sophia naïve et gentille tu peux revenir pour arrêter de m’emmerder et bien vouloir sortir d'ici ? » Dis-je d'un long soupire en secouant ma tête en la voyant refermer la porte pour ensuite crier ô combien elle était innocente concernant ce que je lui reprochais. « C'est trop facile ? J'crois que y'a quelque chose que tu comprends pas. Notre père te connais, il sait comment tu es et ce que tu vaux. T'imagines une seconde ce qu'il pensera en me voyant moi, juste après toi ? La mauvaise jumelle, celle qu'il sera clairement jamais fier d'avoir. » Dis-je en lâchant pas une seconde son regard, c'est bien pour la première fois que je me dévoilais autant devant elle mais elle voulait comprendre alors peut-être que maintenant elle y arrivera.

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J'ai dit ce que j'avais sur le coeur et au plus profond de mes entrailles. Toute la rage, toute la peine que je gardais pour moi car on m'a éduquée comme ça. Surement une éducation différente de la sienne. C'est peut-être pour ça aussi qu'on a du mal à s'entendre. On a pas vécu dans la même famille. Mais laissez-moi lui rappeler qu'aucunes de nous deux n'a vécu avec notre père. C'était de là le vrai problème avec Vega. Elle n'a pas supporté que notre père vienne me rechercher en Angleterre. Je peux la comprendre, je sais pas si c'est de l'empathie ou pas mais je peux me mettre à sa place car je sais ce que c'est d'être abandonnée. « Rappelle-toi qu'aucune de nous deux n'a vécu avec notre père. » ça pourrait peut-être la faire réfléchir un peu. C'est facile de dire que c'est de ma faute. Mais est-ce que j'ai lancé les recherches moi? Est-ce que je savais que j'avais été adoptée? Non. « Je crois que... il a essayé de se rattraper en me cherchant. Il essaye peut-être d'alléger sa conscience par rapport à toi, j'en sais rien. Je crois qu'il a envie de reprendre contact avec toi mais il n'ose pas. Il a la trouille Vega, tu comprends? » soupirais-je en décroisant mes bras le long de mon corps. Si elle insiste pour que je parte, j'irai. Si elle ne m'écoute pas, tant pis, j'aimerais juste qu'elle arrête de me rendre la vie impossible pour un problème entre son père et elle.

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