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xalena ∞ would you still love me the same ?

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Je perdais de vue tout ce qu’il y avait d’important autour de moi. seul m’importait la présence d’Elena à présent. Je ne pensais même plus au regard des autres, je ne pensais plus au fait qu’Athéna pouvait me voir comme cela à n’importe quel moment. Je savais que cela lui prouverait que je lui mentais et pourtant, je n’arrivais pas à décoller mon corps de celui de la belle demoiselle qui était dans mes bras. Elle m’avait trop manquée. J’étais incapable de me séparer d’elle. Notre histoire avait été courte et certainement pas assez officielle à mon goût. J’avais souffert de son départ, pendant quelques semaines voire quelques mois et puis, j’étais passé à autre chose comme n’importe qui l’aurait fait. Maintenant qu’elle était là devant moi, je me sentais incapable de résister à la tentation qu’elle faisait naître en moi. pris par l’émotion que me procurait cet échange, je lui avais avoué tout contre ses lèvres qu’elle m’avait manquée pendant tout ce temps passé loin de moi. je ne lui mentais pas. De toute manière, ce n’était pas mon genre de raconter des conneries juste pour draguer une femme. Je les respectais beaucoup trop pour que ce soit le cas. La serrant plus étroitement contre moi, je l’entendais confirmer que pour elle aussi, je lui avais manqué. Souriant doucement, je l’embrassais alors plus tendrement, plus doucement, plus délicatement aussi alors que je sentais ses bras se nouer autour de mon cou. La musique se faisait plus douce, laissant place à un slow qui était le bienvenu. Pas que j’espérais passer plus inaperçu, non. C’était plutôt que mon humeur s’y prêtait mieux qu’à une valse ou un tango. J’aimais sentir sa chaleur contre moi, j’aimais voir que son corps se lovait toujours aussi parfaitement contre le sien si bien que je n’ajoutais rien. Ce moment était trop parfait à mon goût pour que je puisse le gâcher par des mots ou des gestes déplacés. Je ressentais juste un bonheur que je n’avais pas ressenti depuis des semaines et je voulais en profiter, entre ses bras, mes lèvres prenant possession des siennes avec tendresse alors que mon cœur tambourinait avec force contre mon buste. S’il vous plaît, laissez moi encore quelques minutes de répit, juste quelques minutes rien qu’avec elle et ce sentiment d’éternité…
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La présence si réconfortante de Xavi était pleinement la bienvenue selon la petite brune. Son cœur étouffait encore de sa rancœur envers son premier amour mais.. Retrouver le dernier homme avec qui elle avait partagé un bout de vie l'apaisait grandement. Tout était tellement moins compliqué avec lui. Certes, la petite brune était attachée à lui et.. il lui plaisait, mais leur histoire avait été plus calme qu'avec Dante. Plus courte, c'est vrai, mais moins complexe à vivre. Après tout, lui n'avait pas une famille mafieuse qui serait prête à mettre ta tête à prix. Du moins, il ne lui en avait jamais fait part donc.. C'est qu'il devait avoir une famille normale, en toute logique. Soit, ce n'était pas important. Ses messages l'avaient énormément surprise, mais ce n'était rien comparé au fait de l'avoir près d'elle. Si proche qu'elle ne pouvait refuser de danser et reprendre totalement ses esprits. Retrouver le goût de ses lèvres avaient un semblant de liberté. Certes, depuis le début, elle faisait très bien comprendre qu'il n'y avait personne d'autre que son beau mafieux, mais à trop jouer avec elle et ses sentiments bien cachés, il la perdait lentement mais sûrement. Des petites bribes de souvenir en compagnie de son cavalier de danse lui revenait en mémoire alors qu'ils s'embrassaient finalement plus qu'ils ne dansaient. Ses paroles, même si elle ne croyait pas à cent pour cent de leur sincérité, la faisait sourire. Avoir l'impression d'être la seule femme aux yeux d'une personne et surtout d'un homme que l'on apprécie est un sentiment des plus appréciable. Alors tant pis pour le reste du monde, mais elle comptait profiter pleinement de cet instant en sa compagnie. Le dernier ? Peut-être. Peut-être pas. Après tout, ils seraient destinés à se croiser souvent. En particulier, en sachant que Xavi était chez les Winthrops.. La demoiselle se rendait compte qu'elle connaissait de plus en plus de monde dans cette confrérie. Soit, pour le moment, ce n'était pas important. Elle profitait trop bien de leurs baisers à répétition et de leur danse plus lente, digne d'un slow – à peu près – pour avoir envie de penser aux conséquences de ses actes, ou de tout autre chose. Étrangement, son cœur tapait bien trop fort dans sa poitrine et.. Un autre battement tout aussi puissant la faisait frissonner contre elle. De l'amour ? Non. Et même si c'était le cas, Mademoiselle Archibald ne l'assumerait pas. C'est ainsi. Relâchant lentement ses lèvres après quelques longues secondes d'embrassade, restant à quelques millimètres de celles-ci, ses prunelles croisèrent à nouveau celles de son homologue. « Tu vois, je ne regrette pas que tu sois là » souffla-t-elle en souriant. Trop détendue, trop sereine. Probablement que cela ne lui ressemblait pas, comme réaction, surtout vu le caractère qu'elle affirmait depuis sa venue à Harvard mais.. En la présence de cet homme si charmant, sa présence n'était plus à Cambridge. Elle se trouvait à une soirée, un bal, un gala, peu importe, mais loin d'ici. Loin de ses amis, ses proches, son frère, les gens qu'elle n'aime pas. Peu importe. Personne ne les regardait, tout semblait étrangement parfait et sans accroche. Pourtant.. cette situation pourrait lui plaire bien plus que d'ordinaire.
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ce moment était trop intense, trop beau, trop sensuel pour que je veuille y mettre un terme. J'étais un homme perdu, entre deux mondes. Je voulais voir autre chose que la suisse et mon enfance gâchée. J'aimais mes échanges avec Elena parce que c'était doux, empreint de tendresse et grâce à cela, j'oubliais toutes ces mauvaises ondes. Elena avait toujours eu un rôle très positif sur ma vie. Elle était arrivée lorsqu’Athéna était partie à Harvard et que je m’étais retrouvé seul. Enfin, elle avait fait son apparition quelques semaines plus tard. Même si notre histoire avait été des plus courtes, je ne retenais que ces moments de bonheur qu’elle m’avait offert avec plaisir. J’étais touché de voir que je lui avais manqué autant qu’elle m’avait manquée et bizarrement, lorsque je l’avais enlacée pour l’emmener danser, tous mes vieux souvenirs s’étaient ravivés et j’avais ressenti à nouveau ce sentiment de plénitude que je ressentais à l’époque. Ça avait été difficile pour moi de la laisser partir. Aussi difficile que de laisser partir Athéna. Mais, elle était la seule femme qui avait réussi à panser les blessures de mon cœur sans s’attirer mes foudres. Elle était celle qui m’avait fait oublier mon premier amour et qui m’avait redonné goût à cette vie. Je pensais au fond de moi que je devais être tombé fou amoureux de ce bout de femme qui semblait avoir tant de force en elle. Elle avait réussi à me détourner de la raison, à me rendre totalement accro à tout ce que l’on faisait ensemble. On avait même habité ensemble pendant quelques temps. Je lui avais proposé de venir vivre avec moi et au final, elle qui me disait avoir peur de dormir seule dans le noir n’avait pas été celle qui avait le plus envie de cette colocation. Sans oser le reconnaître, j’étais devenu dépendant d’elle..

ce baiser semblait prendre une éternité. L’éternité que j’étais même prêt à lui offrir corps et âme tellement elle me rendait fébrile en sa présence. Je me souvenais de cette photo qu’elle m’avait envoyée avant le bal en me disant que si je voulais la voir, il faudrait que je vienne au bal. Eh bah, j’étais bien là maintenant et prêt à faire ce qu’il fallait pour qu’elle se sente bien en ma compagnie. Ses lèvres quittèrent bientôt mes lèvres, restant tout de même proches alors que je sentais son souffle si chaud frôler ma peau. Mon regard croisait le sien alors qu’elle me soufflait que je pouvais voir qu’elle ne regrettait pas que je sois là. Arborant alors un léger sourire amusé, je me penchais vers son oreille pour lui murmurer « tu sais que cette robe te va vraiment beaucoup mieux en vrai que sur cette photo » d’un ton calme alors que je me redressais pour lui sourire à nouveau. elle avait tellement de charme que je ne savais pas vraiment comment je faisais pour résister à son emprise. Il le fallait de toute façon. On était plus ensemble après tout… me râclant la gorge, j’ajoutais alors « vous êtes vraiment sublime ce soir, Miss Archibald » avec cette assurance qui me caractérisait tant. Je savais qu’elle ne serait pas déstabilisée pour quelques petits mots mais on ne sait jamais… c’était peut-être la seule occasion que j’aurais de jouer carte sur table et il était hors de question pour moi d’abandonner en si bon chemin même si au fond, je me demandais si ce n’était pas plutôt moi qui m’était retrouvé pris au piège dans ses filets …

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La souffrance s'atténue si on cesse de l'alimenter. Cette citation n'était pas forcément au goût de la jeune Elena. Il est vrai que pour ce qui est de son premier amour, Dante.. Il fallait qu'elle lâche prise. Après tout, elle avait appris qu'il avait couché avec sa meilleure amie, Naïma, qu'il vivait avec une autre femme qui n'est autre qu'une dénommée Kyla avec qui il était en ce moment-même à leur table et dans toute cette histoire.. Il était marié. De force, oui, mais ça ne changeait rien aux yeux de la demoiselle. L'homme pour lequel elle avait tant donné et tant espéré lui faisait les pires crasses depuis son retour. Lui pardonner ? Pourquoi faire alors qu'il ne culpabilise même pas de ses actes ? Certes, la cadette n'était pas un exemple après s'être enfuit à l'autre bout du monde, mais.. Elle était venue faire son mea culpa et même si certaines personnes l'avaient bien compris, comme Sanaa ou son frère, son bel italien restait sourd. Tant pis pour lui. Sa vie ne s'arrêtait pas à lui, comme comme la sienne ne s'arrêtait apparemment pas à elle. Qu'ils vivent chacun de leur côté, point barre. Ces pensées alourdissaient le cœur de la jeune Archibald, mais c'était indispensable qu'elle commence à se faire une raison. Son amour pour lui serait éternel, mais cette étincelle qu'il y avait entre eux depuis le départ faiblirait avec les années et finirait probablement par s'éteindre. C'était un peu comme faire le deuil de leur histoire pour recommencer une nouvelle vie, l'un sans l'autre. Une conclusion des plus tristes, mais c'était le seul moyen pour elle d'aller vers l'avant et de profiter de cette soirée comme il le fallait. En particulier, maintenant qu'elle se trouvait avec Xavi.. Aucun moment ne devait plus être gâché à partir de maintenant.

Leur danse n'en finissait pas et leur baiser non plus. Ce n'était pas pour déplaire à Elena qui avait l'impression de revivre avec lui. Fuyant toujours le passé qu'elle avait connu pendant deux ans loin de Boston et de Cambridge, celui-ci revenait sans lui demander son avis. Même si la surprise restait logé au creux de son ventre, il avait aussi le droit à une dose de bien-être intense. L'homme qui l'accompagnait avait partagé un moment de sa vie très agréable, quoiqu'elle dise. Ce moment frôlait la perfection pure. Il y avait trop de monde autour d'eux, mais elle n'y faisait même plus attention. C'était eux et le reste du monde n'existait plus. Ce bonheur, elle aimerait le mettre en boîte pour y avoir droit au moins cinq minutes par jour. Ne pouvant pas se taire longtemps, elle lui avouait que sa présence lui faisait très plaisir. Ce n'était pas comme si cela ne se voyait pas, mais.. Elle se devait d'être franche et honnête avec lui à haute voix. C'était tellement rare. « J'espère que tu apprécies davantage le décolleté en vrai qu'en photo » chuchota-t-elle, un brin malicieuse. Le chauffer ? Oh non.. Ce serait tellement mal, voyons ! Son charisme la déstabilisait complètement et ses paroles.. Comment arrivait-elle à rester calme ?

Le détaillant très lentement, Elena ne pouvait le nier : Xavi était terriblement sexy ce soir et les images de leurs nuits passées ensemble lui revenaient violemment en tête. Gardant le contrôle, son regard revenait à celui de ce beau mâle en face d'elle. « Et vous, Monsieur Fàbregas.. » commença-t-elle avant de s'avancer dangereusement de ses lèvres. « Vous me faites un tel effet que je ne sais ce qui me retient de vous arracher votre magnifique costume » Ok, là.. Elle le chauffait. Pire même, elle lui faisait clairement du rentre dedans mais.. Vous verriez comme il est sublime, ce n'était pas possible de rester de marbre. La brune est une femme et.. Une femme, c'est faible face à un homme aussi hot. En plus.. sachant parfaitement ce qui se trouvait en-dessous.. C'était d'autant plus excitant de le dévêtir. Quoi ? En même temps, s'il n'avait pas été à son goût, elle ne se serait jamais approché de si près de lui et elle ne serait pas là entrain de lui faire comprendre qu'elle aimerait bien plus que des petits baisers, bien que très enflammés et délicieux. Un petit sourire amusé aux lèvres, ses prunelles ne lâchaient plus celles de cet homme qui était le seul à compter en cet instant précis et si unique.. ♥
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