Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLEMY - j'ai besoin de toi comme d'une infirmière, que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


LEMY - j'ai besoin de toi comme d'une infirmière, que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avant même d'arriver au bal, t'avais eu un mauvais pressentiment. C'était le genre d'idée qui sortait de ton quotidien qui était à chier. C'était le genre d'événement où t'aurais mieux fait de rester chez toi. La gueule fracassé, une ambiance merdique à une table peuplée d'attardés, cette fille que t'avais dragué comme un gros lourd,... En soit, il n'y avait aucun point positif. T'avais envie de t'échapper de la soirée, sans aucun doute. Mais soit, tu prenais la main de Romy à table et tu l'emmenais avec toi sans un mot. T'avais un peu mal au visage, puis t'avais envie de te retrouver seul avec elle. Seul avec l'objet de tes désirs. Tu la désirais ce soir, dans cette robe, ses cheveux attachés, son joli visage. Elle était belle, elle était magnifique putain. T'avais envie de te frapper de penser à des choses comme ça. Pourquoi tu n'arrivais pas à la voir comme une amie ? Le genre petite-soeur qu'on a envie de protéger. Pourquoi t'avais toujours envie de lui arracher le moindre vêtement qui couvrait sa peau ? Pourquoi t'avais envie de l'embrasser avec fougue dès que vous étiez tous les deux ? Pourquoi elle avait autant d'attraction sur toi ? Alors quoi, elle était revenue et tout avait changé ? Ou est-ce que c'était toi, Lewis, qui avait enfin compris ? Trop de questions, trop de silence, pas de réponses, tu t'en portais mieux ainsi. A quelques pas de la table, tu sortais simplement. "J'en avais marre de ces singes." Tu soupirais, tu la regardais, dans les yeux. T'avais envie de lui caresser le visage, de redresser cette mèche. Pourquoi autant de clichés, pourquoi autant d'attention si mal placé ? Putain, décidément, ce soir ce n'était pas ta soirée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai besoin de toi comme d'une infirmière
ROMY & LEWIS

Cela fait un petit moment que je suis arrivée au bal et très franchement, il n'est toujours pas à la hauteur de mes attentes. En réalité, je ne sais pas vraiment ce que j'espérais d'un tel événement. De l'alcool ? D'accord, j'ai un coup dans le nez mais pas de quoi casser trois pattes à un canard. Faire des conneries ? Pour l'instant rien de bien méchant, hormi un trafic de capotes dans les toilettes avec un couple de Eliot et Maxwell. Passer du temps avec Lewis ? C'est là que ça coince. Alors que monsieur disparaîssait de la table entre deux engueulades avec nos convives, moi je me retrouvais solo, d'où le besoin de vider les bouteilles de champagne dans les environs, puis celui d'aller aux toilettes pour finalement faire la leçon à Ludmila et son mec sur la contraception et les MST. Bref. Je raconte n'importe quoi et c'est sûrement parce que les bulles me montent au cerveau. Il faut dire que d'où je viens on a pas l'habitude à ce genre de boissons. Puis vient enfin l'instant que j'attendais depuis le départ. Lewis fini par attraper ma main et m'attirer avec lui loin du vacarme de notre table. Je soupire de soulagement et le suis en ondulant sur le rythme de la musique. Après quelques mètre parcourus, je l'entends me glisser qu'il en avait marre des gens avec qui on était. Je lui adresse un petit sourire gêné. J'aurais aimé que ce bal se déroule un peu mieux pour lui, surtout quand je jete un nouveau coup d'oeil inquiet à son visage. « Pff, c'est vraiment pas ta soirée, dis moi. » je lui dis en posant instinctivement ma main sur sa joue pour faire pivoter sa tête et jeter un coup d'oeil aux dégâts. Je sais pas ce qui me prend à le materner comme ça. D'ailleurs ça doit bien être la première fois que je me montre tendre envers lui. J'ai pas les idées claires, mais c'est pas vraiment une excuse. Je me dis que je devrais pas être douce et vouloir à ce point alléger sa peine. Ca ne me ressemble pas. Mais je peux pas le nier, ça m'énerve de le voir dans un tel état et si je pouvais, j'irais voir le con qui lui a fait ça. « J'espère au moins que ça vallait le coup et que l'autre ne s'est pas relevé. » je lui dis en essayant de dédramatiser la situation. Je suis pas sa copine, je vais pas l'engueuler et lui faire la leçon comme quoi c'est mal de se battre. C'est un grand garçon Lewis.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Vous êtes ailleurs, ensemble. Tu l'avais entrainé doucement vers un coin de la salle qui te semblait des plus tranquille. Tu soufflais un peu, tu pouvais presque respirer. Tu te demandais pourquoi t'étais encore ici, pourquoi t'avais pas déjà fait un énorme doigt d'honneur aux personnes présentes pour retourner chez toi. Peut-être parce que t'avais eu envie de passer une bonne soirée, malgré les aprioris. Peut-être que c'était pour te dire que t'avais eu raison de changer tes habitudes, peut-être que ça pouvait être une bonne soirée. Peut-être parce que tu voulais te rattraper auprès de Romy, car finalement, c'était toi le coupable de sa venue ici. Tu lui souriais lorsqu'elle parlait du désastre de ce bal. "Si je veux relativiser, j'ai déjà connu pire." T'avais la voix légèrement cassé, un peu trop basse. Parce que t'étais fatigué, là, tout de suite. Durant cette seconde, t'avais l'impression de supporter le poids de tes problèmes depuis ta naissance. C'était un court instant, mais c'était présent. Un moment de faiblesse, aïe. T'étais ramené à la réalité par sa main délicate sur ta joue, tu te laissais aller à ce contact doux. T'en avais besoin, sans trop savoir sous quelle forme et comment, t'avais besoin de sentir Romy à tes côtés. Elle était rassurante à cet instant. Et ta solitude que tu pensais être ta meilleure amie, n'était en fait qu'à ce moment présent, l'un de tes pires démons. Peut-être que tu n'étais qu'un enfant en manque d'amour. C'était pas vraiment d'une mère dont t'avais besoin, mais simplement de tendresse. Le genre dont tu as toujours renié l'existence. T'avais envie de trouver en ta brune ce réconfort. Et elle était là, présente, plus que jamais. Elle n'était pas Zoey, et ça te faisait du bien. Tu te mettrais bien une balle, tu repeindrais le mur de ta cervelle pour penser à tout cela. Ce n'était pas toi, non. Mais tu voulais oublier, juste pour ce moment. "Bien sûr que ça valait le coup, et pour le moment, j'dois dire que c'est le meilleur moment de ma soirée." Tu soupirais légèrement, le regard qui se baisse. T'étais un piètre cavalier. T'avais pas vraiment à lui faire plaisir ce soir, mais rien n'était terminé. Tu comptais bien te rattraper, ouais. T'étais pas le genre à se laisser aller, t'étais pas le genre qui se laisser faire par des sentiments fantômes. Tout cela, c'était pas réel. En fait, si t'étais là, c'était pour sauter Romy. Rien de plus. Tu devais te ressaisir. Maintenant. "Mais bon, le meilleur moment ça sera le moment où j'enlèverai ta robe. J'ai déjà hâte de tester la résistance de la fermeture." T'abordais un sourire en coin, accrocheur. T'étais Lewis Holloway, et bordel, t'étais pas le genre à faire dans les sentiments, à faire dans la dentelle et les jolis moments romantique.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai besoin de toi comme d'une infirmière
ROMY & LEWIS

Bien sûr que je sais que Lewis a connu pire au cours de sa vie. je sais qu'il a lui aussi eu droit à une existence bien à chier par moment. Excusez la vulgarité. Mais quand on vient du même milieu que moi ou Lewis, ou bien quand on a traversé les choses qu'on a pu traverser, la politesse ça devient une option. Tout ce qui nous importe c'est de sauver notre peau, pas l'image qu'on peut véhiculer auprès des gens qui nous entourent. On est pas là pour plaire ou faire plaisir. On est là c'est tout et il faut faire avec. En tout cas, le type que Lewis a croisé n'a pas pu faire avec, à croire qu'il a carrément essayé de l'éliminer de la surface de la Terre. Un monde sans Lewis ? Non merci. Je suis pas une grande sentimentale mais je suis quand même pas mal attachée aux moments qu'on peut passer ensemble tous les deux. Pour rien au monde j'aurais envie de faire une croix sur ce qu'on a. Si on peut réellement dire qu'on a quelque chose. En tout cas, quelqu'un d'extérieur nous verrait là tout de suite pourrait se dire qu'il y a clairement quelque chose entre nous. Ma main sur sa joue, mon regard tendre. Je pourrais presque ne pas me reconnaître. Je sais bien que Lewis et moi n'avons pas signé pour ce genre de choses. On a jamais dit qu'on prendrais soin l'un de l'autre, qu'on s'inquièterait l'un pour l'autre, qu'il y aurait de petites attentions entre nous. Notre relation est plus brute, plus sauvage. On prend ce qu'on veut l'un de l'autre et ça s'arrête là. Le bal et mon comportement actuel ne sont qu'une entorse à notre "règlement". L'exception qui confirme la règle quoi. « Cela confirme le fait que tu ne passe pas une si bonne soirée dans ce cas. » je lui réponds alors qu'il m'explique que sa bagarre était en réalité le meilleur moment de sa soirée. Se faire casser la tronche à un bal, c'est pas ce que j'appelle un bon moment. Du coup je m'en veux un peu. Je peux pas m'empêcher de me dire que j'assure peut-être pas en tant que cavalière. Si ça se trouve il s'ennuie avec moi. Puis je me ressaisis. Bordel, c'est quoi cette culpabilité mal placée ? Je suis pas non plus là pour amuser la galerie. Faut absolument que j'arrête de tomber dans le sentimental car ça ne va pas du tout là. La petite remarque de Lewis par rapport à ma robe tombe donc au bon moment, histoire de me ressaisir un peu. Je me mords la lèvre face à son sourire qui en dit long. « T'as raison, je pense qu'on ne peut compter que sur nous deux pour rattraper le massacre de cette soirée. » je dis en me rapprochant de lui, mes doigts jouant avec le col de sa chemise froissée. Lewis a le don pour me faire tourner comme une girouette. Un moment attendrie, l'autre excitée, il me fait tourner la tête. Je sais que c'est dangereux et dans le fond, c'est ça qui me plaît avec lui. Je me lasse vite de tout, y compris des hommes, mais Lewis c'est pas pareil, j'ai pas une minute pour m'ennuyer. « Mais je dois te prévenir, n'importe qui n'est pas en mesure de l'enlever, elle peut se montrer têtue quand elle veut. » je rajoute en personnifiant ma robe. J'exagère à peine car la fois où je l'avais essayée, du tissu était resté coincé dans la fermeture éclair. Nouveau challenge pour Lewis Holloway.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'étais quel genre de connard pour dire que le meilleur moment de ta soirée, c'était quand tu t'étais battu. T'étais quel genre de connard de dire cela à ta cavalière durant votre seul moment d'intimité. T'étais Lewis, connard de ces dames en chef. Si t'avais un minimum conscience de ce que tes paroles pouvaient provoquer, tu te traiterais d'infini abruti. Mais non, tu souriais de repenser à ces coups que vous aviez changé avec le Eliot. Tu souriais, parce que ça t'avais plus, parce que tu t'étais rendu compte que vous étiez de la même graine. Et tu ricanais dans ton coin, parce qu'il se pensait tant supérieur, alors que dans le fond, il n'était rien d'autre qu'un attardé prêt à taper dans le tas. Il était toi, d'une autre manière. Peut-être que ça t'avais rassuré, tu t'disais que t'étais pas trop un raté. D'ailleurs, c'était pas un mot pour te qualifier, tu t'estimais beaucoup trop pour cela. Mais dans la vie, il y a toujours ces soirs, ces nuits, ces secondes, ces dimanches soirs qui viennent s'immiscer dans la semaine. "Qu'est-ce que t'en sais" que tu lui répondais à Romy. Parce qu'elle pouvait pas tout comprendre, elle savait pas elle, comment ça te faisait du bien de taper un homme. En fait, personne ne pouvait savoir la raison des bienfaits que tu ressentais. C'était un déferlement de haine, c'était un torrent de sentiments, ceux que tu préférais contenir et effacer. Ils étaient juste là en fait, au bord de tes poings, ils étaient prêt à rugir par la force, dans un silence. Mais il était vrai que t'espérais rattraper tout cela par des meilleurs souvenirs en sa compagnie, finalement vous étiez quand même ici tous les deux. Ensemble, presque comme un couple. Tu ricanerais si t'entendais ce mot pour te qualifier. "Avec Romy et Lewis, la fête est toujours plus folle" que tu disais d'une voix trop étrange. Tu lui souriais à la belle Oswald, parce qu'elle était séduisante et qu'elle le savait. Elle jouait de toi, elle s'amusait de ton plaisir, piquant ta curiosité, ton envie. C'était un appel à la chair qu'elle te lançait. Les doigts accrochés à ton col, ne souhaitant pas rompre le contact. Tu finissais par saisir sa taille, l'approchant doucement contre ton corps. T'avais les lèvres en coin, le regard plongé dans le sien. T'étais d'humeur joueur, tout à coup. De ta main droite tu cherchais la fermeture qui se trouvait sur le côté de sa robe. Tu tirais légèrement dessus, tout en levant un sourcil. "Je ne suis pas n'importe qui Romy. Tu le sais ça, non ?" avec ta voix malicieuse. Tu laissais la fermeture tranquille, tu venais dégager la mèche de cheveux qui retombait dans son cou. Et t'étais là, venant laisser une trace indélébile sur sa peau porcelaine. Un baiser, un unique, de tes lèvres amochées par cette soirée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai besoin de toi comme d'une infirmière
ROMY & LEWIS

Je suis la preuve même de l'existence du paradoxe. Je suis l'image du paradoxe. Je suis le paradoxe. Depuis gamine, j'apprends à fuir pour pas souffrir, prendre la poudre d'escampette avant que les choses ne se compliquent trop, déguerpir face au danger. Je disparais sans laisser de traces, sans laisser de petit mot derrière moi pour expliquer mes actes, mes décisions. Certaines personnes ont horreur de ça, et me détestent pour être comme ça, alors que d'autres diront que ça fait partie de mon charme, qu'il faut m'accepter pour ça. J'avoue avoir toujours aimé entretenir cette partie de mystère autour de moi, mais là tout de suite, je peux pas m'empêcher de penser que c'est que des conneries. Que ce n'est que du cinéma, et qu'en réalité je ne suis qu'une personne faible. Faible face à Lewis. Il m'a invitée à ce bal, je suis venue pour lui et il m'a abandonnée plus d'une fois pour aller se battre ou que sais-je ? Sûrement aller draguer quelques pauvres âmes sans cavaliers. Je me fais du soucis pour lui, je suis presque aux petits soins face à son visage meurtris et quand je me surprends à ressentir de la compassion pour lui et le lui montrer, il m'envoie limite sur les roses. "Qu'est-ce que t'en sais ?" J'ai envie de hausser les sourcils, de le pousser, sauf que je sais bien au fond de moi que je peux m'en prendre qu'à moi-même. Je suis stupide de croire que j'ai quelque chose de spécial avec Lewis. J'ai été stupide de me laisser prendre ne fut-ce qu'une seconde à ce stupide jeu du bal. Cette ambiance romantique à en vomir qui fini par me retourner le cerveau. Y a sûrement des pets de licornes dans ce champagne. « T'as raison, j'en sais rien. » je finis par dire. J'en sais rien. Je te connais pas Lewis et je suis pas là pour apprendre à te connaître ou à te comprendre. Je suis pas ta copine. Je suis là parce que j'ai décidé d'être là, pas pour te faire plaisir. Je suis là pour me faire plaisir. Du coup je viens jouer avec son col, lui faire des sous entendus parce qu'on est là pour ça non ? Pour qu'il me saute à la fin du bal. Pas pour qu'il me ramène chez moi et dépose un baiser sur mon front avant de me souhaiter bonne nuit. Je suis pas une fille à qui on dit ce genre de choses. Alors il m'attrape par la taille, me rapproche contre lui et un sourire s'étire sur mon visage tandis que mes mains se logent dans sa nuque. Sourire carnassier, sourire de satisfaction. J'ai du mal à soutenir son regard, comme si je me sentais me noyer dans le bleu de ses yeux. Et en même temps, je ne trouve pas la force de détourner le mien. Sa main qui parcours ma hanche m'arrache un frisson puis je sursaute alors que je le sens tirer sur la fermeture de ma robe. « Tu blaguais pas quand tu disais vouloir me voir venir au bal nue. » je murmure, redoutant presque qu'il mette sa menace à excécution, tout de suite, non loin des couples dansant innocemment sur je ne sais quelle musique romantique. Sauf qu'il offre un moment de répis à ma robe et viens écarte une mèche de cheveux dans mon cou, du bout de ses doigts. Je ferme les yeux à ce contact et penche la tête sur le côté, laissant libre accès à ses lèvres sur ma peau. « C'est que tu commence à rattraper ma soirée Holloway. » je glisse en frôlant sa joue de ma joue, ses lèvres des miennes, le bout de son nez contre le mien. Bordel non, Lewis n'est pas n'importe qui et c'est bien ça le problème. Pourquoi ne peut-il juste pas être un de ces mecs de passage dans ma vie ? Pourquoi faut-il qu'il me tente toujours, qu'il me rende faible comme ça ? Comme si je n'étais qu'une autre de ses nombreuses possessions. Car chaque baiser de sa part est une brûlure à vif, une marque dont je n'arrive jamais à me défaire.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parfois, tu ne mesurais pas tes paroles. Parce que tu ne pensais pas que ça pouvait blesser, parce que tu n'imaginais pas que ça avait de l'importance, que ça pouvait jouer. D'ailleurs, lorsque tu parlais avec Romy, tu ne faisais jamais réellement attention à tes paroles. Tu ne pouvais pas t'imaginer une seconde qu'elle serait touchée par tes mots, tu ne pouvais pas te dire que cela avait un sens pour elle. Sans le vouloir Lewis, toi, t'étais le mec aveugle. C'était comme si tu t'étais crevé les yeux de ton plein grès, te disant que ça serait plus facile pour avancer. En réalité, tu avais toujours pour acquis tes sentiments dans les deux sens. Selon toi, il était plus simple de penser que tes pensées étaient partagés, que ta sensibilité était au même point, que rien ne pouvait dépasser. Romy, t'aimais bien passer du bon temps avec elle, vous vous amusiez à coucher ensemble de temps à autre, mais ça s'arrêtait là. Parce que tu l'avais décidé, il fut un temps. Puis, c'était la nature de votre relation, il fut un temps. Tu n'avais pas de mot à mettre dessus, d'ailleurs, étiqueter tes relations, c'était pas la chose première que tu allais faire. Et si on te parlait de Romy, tu dirais encore aujourd'hui que c'est un bon coup. Parce que tu ne voudrais pas la voir autrement, parce que c'était trop dur à accepter. Et pourtant, trop de signaux, trop de regards, trop de caresses. Comme celles qu'elle exerce sur ta nuque. "Non, je ne rigolais pas. T'es d'autant plus belle au naturel." que tu répondais aisément à sa question rhétorique. T'aimais son corps à Romy, t'aimais sa peau laiteuse que tu venais d'embrasser. T'aimais ce grain de beauté à l'arrière de sa cuisse, à la naissance de sa fesse. Tu venais saisir sa jambe droite par l'arrière, la forçant à la plier contre toi. T'effleurais à l'endroit exact, à travers sa robe, cette petite touche de couleur sur son corps que tu connaissais par coeur. Chaque parcelle de sa peau, tu avais eu le plaisir d'y goûter et de la marquer à vie. Parce que lorsque tu donnais du plaisir, c'était pas que pour une nuit. Tu voulais laisser un souvenir éternel, à travers les tempêtes. Sa goût saveur fleur d'été, embrasé par la folie du soleil. Elle était dans tes souvenirs à nue comme les arbres le sont à l'hiver. Elle était tes saisons et tes étoiles, Romy. Mais ça, c'était un secret bien gardé. Tenant toujours fermement sa cuisse, tu venais la plaquer contre le mur d'un coup un peu trop sec. Tu souriais, t'avais envie d'elle. Tu voulais lui faire plaisir, tu la voulais avec toi, contre toi, à toi. Et elle, uniquement désireuse de vos plaisirs et de tes baisers. T'avais envie d'être l'unique source de son bien-être, d'être ses uniques caresses jusqu'à son dernier soupir. T'avais ces envies incontrôlées, inavouées, d'être l'unique personne qui aurait le droit d'entrer dans son jardin secret. Tu voulais être, avec elle, en elle. Et c'était des pensées qui te venaient, des micro-secondes, des idées à des années lumières de ce que tu pensais être. De ce que tu es. Mais la vie, ça va et ça vient, comme des coups de reins. Et peut-être que dans un autre monde, peut-être que dans l'univers de la faune et la flore, tu étais la reine et des abeilles, et elle, Romy, serait la plus jolie, la plus majestueuse des roses. Tu divaguais, la drogue, l'alcool. C'était étrange comme tu pouvais la chérir depuis son retour, c'était étrange comme plus le temps avançait, et plus t'aimais le grain de sa peau dans la lueur du soir. Tu relâchais sa jambe, doucement, joue contre joue, souffles opposés, désir partagé. "Je pourrais tout arracher, maintenant" que tu lançais d'une voix roque. T'étais prêt à l'aimer dans un rugissement romantique. T'amenais à nouveau une main vers sa fermeture, tu jouais avec durant une fraction de seconde avant de la descendre à nouveau. Tu laissais ton visage couler contre le sien, yeux dans les yeux, nez contre nez, souffle mélangés, désir mélangé. "Un, deux, trois..." c'était les centimètres de sa fermeture qui s'écoulaient.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai besoin de toi comme d'une infirmière
ROMY & LEWIS

J'ai le vertige, la tête qui tourne. Comme une impression d'être emportée dans une valse effrénée, un tourbillon d'émotions et de sensations. J'ai du mal à savoir si ce sont les bulles du champagne qui me font cet effet ou bien le regard de Lewis dans lequel je me perds. Il est clairement plus facile pour moi d'admettre une addiction ou une faiblesse pour l'alcool que pour lui. La boisson me serait plus fidèle qu'il ne le sera jamais. Elle ne le lassera jamais de moi, elle ne m'oubliera pas comme on oublie une vulgaire fille avec qui on a passé quelques nuits. Elle aura beau me faire mal, me rendre malade, me soumettre, elle sera toujours là les lendemains et les surlendemains. Où sera Lewis demain matin ? Dans une semaine ? Dans un mois ? Qu'est-ce qui me dit qu'un jour il ne se trouvera pas une nouvelle Romy ? Il est imprévisible comme la foudre, il frappe sans prévenir, laisse une cicatrice de brûlure amère avant de faire place à une pluie torrentielle. Puis un jour finira pas venir le beau temps. C'est ça Lewis. Un coup il va m'attirer dans ses bras et l'autre il me rejette d'une réplique cinglante. Où se trouve la logique ? Nul besoin de chercher l'explication plus loin que le bout de mon nez, car je la vois tous les matins quand je me regarde dans le miroir. J'ai redouté le moment où il me laisserait, alors c'est moi qui l'ai laissé. C'est moi qui suis partie il y a de ça un an et demi. Cette influence qu'il avait sur moi, cette dépendance que j'éprouvais, ça ne me convenait pas, ça me faisait peur donc je suis devenue ce qui m'effrayait. Celle qui part du jour au lendemain sans un mot, sans un au revoir. Et aujourd'hui me voilà qui replonge dans ses bras. Dois-je pour autant me considérer comme pathétique ? Je peux pas résister à l'appel de ses lèvres. Il est là, à me serrer contre lui, me dire que je suis belle, et j'en perds mes moyens. Il joue avec moi comme un chat joue avec une souris et ça me plaît, ça me convient. Je ne m'attends pas à ce que sa main vienne attraper ma jambe pour la plaquer contre lui, et ce malgré la tension naissante entre nous. Imprévisible, toujours. Lewis en a marre de ce bal, il veut tout de suite sauter au dessert. Quand il veut quelque chose, il le prend et en l’occurrence c'est de moi dont il s'agit. Ne suis-je pas la raison de sa venue au bal ? Je doute qu'il soit venu si j'avais décliné son invitation. A cet instant précis on aurait probablement été chez moi ou chez lui, sans les contraintes que peuvent représenter la foule à quelques mètres de nous ou encore la fermeture de ma robe. A cette idée, son corps contre le mien, j'ai toujours le sentiment qu'il est trop loin. J'exerce une pression de mes mains toujours logées dans sa nuque, et l'attirer davantage vers moi à l'aide de ma jambe venue entourer la sienne. Si j'étais une fille chaste, je lui dirais que ce n'est pas une bonne idée. Qu'on devrait retourner à notre table, ou bien rejoindre la piste de danse. Mais c'est une toute autre danse dont j'aurais envie à présent. Qu'importe la valse ou le slow. C'est quelque chose de plus endiablé que j'ai en tête, quelque chose qui nous ressemble. Tout ce qui compte à cet instant, c'est nous. C'est son visage contre le mien, ses mains sur ma peau. Il fini par me plaquer contre le mur derrière moi, j'en ai le souffle coupé. Lewis s'éveille, il est en train de sourire comme s'il savait qu'il allait obtenir ce qu'il veut. Je soupire alors qu'il pose à nouveau ma jambe sur le sol, je cherche de l’oxygène car je sens que mon coeur s'affole plus à chaque seconde qui passe. « Qu'est-ce qui t'en empêche ? » je murmure, une lueur de défis dans la voix. Je joue à un jeu dangereux, je réveille la bête. Je sais qu'il n'y a pas de retour en arrière possible avec une telle phrase. Sobre, je n'ai rien d'une fille sage, et là je pense être à des années lumières de tout ça. De sa main il vient faire glisser les crans de la fermeture éclair de ma robe et je le fixe sans broncher, comptant chaque centimètre qui vienne dévoiler ma peau nue. Toujours sans le lâcher des yeux, je viens défaire mes cheveux qui jusqu'alors étaient attachés, et tombent à présent en cascade du mes épaules. Je sais pas bien ce que je fais, face à Lewis, dans ce coin sombre de la salle de danse. Je tente le diable, prenant le risque qu'un élève passe un peu trop près de nous et nous surprenne. Puis je me rappelle que ma soeur est dans l'assemblée, mon colocataire aussi, et j'ai franchement pas envie de le meilleur pote de Lewis s'essaye à des talents de réalisateur en capturant cet instant. Alors je repousse Lewis puis attrape sa main. « Viens, on bouge. » je dis en nous dirigeant vers la porte juste à côté, nous offrant l'accès total au reste de Harvard et ses couloirs vides.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le coeur qui s'affole, c'est une course folle. Attention, il n'y a que deux compétiteurs durant ce circuit. Prenez les paris pour celui qui franchira le dernier pas en premier. Tu l'observais Romy, là, contre ce mur et face à toi. Tu la tenais, main sur une jambe, l'autre perdu sur sa taille. Tu la caressais, du bout des doigts comme un explorateur qui découvre pour la première fois les runes d'un temple. Vous étiez deux, deux contre tous, deux face à tous. Et l'un contre l'autre, dans une course folle. Tu pourrais lui faire l'amour au milieu des regards, au milieu des autres. Ceux qui ne vous connaissez pas, ceux donc l'existence même à cet instant te gênait. Tu rêverais d'un monde où les seuls survivants étaient composés de ta brune et toi. Parce que vous auriez le loisir de le reproduction où bon vous semblez, où qu'importe le temps et le lieu, qu'importe les gens et les lois, vous pourriez vous donner aux plaisirs de la chair. Tu voulais Romy dans tes bras dans un monde qui était le votre. Tu voulais l'emmener dans ta bulle, tu voulais qu'elle survive à tes folies, qu'elle participe à tes conneries, qu'elle t'aime comme ce n'était pas permis. C'était bizarre de vouloir autant d'elle, d'attendre peut-être quelque chose dont t'ignorais l'existence. C'était étrange la manière dont tu la désirais, plus que quiconque, lorsque vous étiez proche comme maintenant. C'était une course folle, contre la montre, contre les autres, contre vous-même. Les silences ne sont éternels que lorsque la vie s'arrête, que ton coeur cesse de battre. Il était impossible que vos maux restent silencieux, il était impossible que vos sentiments ne soient connu que dans les cieux. Parce que vous étiez là, l'un contre l'autre, ensemble. C'était étrange de se dire que tu n'avais aucune connaissance de l'amour, parce que quiconque lirait à l'intérieur de toi, se dirait que tu étais sûrement éperdument noyé dans tes sentiments inavoués. C'était la tromperie à soi-même, c'était l'hypocrisie sur ta vie. Mais un jour, Lewis, tu verrais tout ça. Tu verrais l'importance de cette fille, tu verrais que la course folle n'a pas lieu d'être. Vous êtes seulement ensemble, pact scellé par des baisers jusqu'au bout de la nuit. Et à cet instant, à ce moment, tu te demandais simplement pourquoi tu n'arrachais pas ses vêtements. T'en étais capable, et tu rigolerais de la voir nue parmi cette mascarade. Et tu l'accompagnerais, parce que vous seriez ridicule à deux. Et cette idée, elle était plaisante. Tu lèverais tes majeurs en l'air, tu dirais à tous d'aller se faire foutre avant de courir avec Romy. Loin, ailleurs. Pour le désir, accompagné d'un rire fantomatique. Tu te limitais, pour une fois, à simplement descendre la fermeture de sa robe. Tu te plongeais dans son regard indescriptible, sa couleur mélangé de vert et de gris, dans une harmonie parfaite et prenante. Elle avait de jolies yeux, et ta main qui était précédemment contre sa cuisse, se perdait finalement dans ses cheveux. Elle avait échoué comme une bouteille à la mer, l'évidence était de même que tes doigts se perdaient dans ses vagues. T'étais malicieux, avide de son corps et des dangers qu'elle pouvait représenter. Finalement, tu continuais de compter. "Quatre, cinq, six..." t'arrivais au bout lorsque la main de Romy venait saisir la tienne après t'avoir poussé. Tu fronçais les sourcils, tu n'avais pas l'habitude qu'elle te repousse. Et finalement, elle était là pour vous entraîner dans les couloirs d'Harvard. Vous vous engouffrez derrière les portes comme si un raz de marrée vous avez chasser de cette endroit. Vous étiez désormais seuls dans des couloirs assombris. Tu rigolais d'excitation, d'un léger grain de folie. Bordel, cette fille, c'était quelque chose. "Mademoiselle Oswald, il est interdit de se trouver ici" que tu murmurais, t'approchant doucement de son corps qui se dessinait par les restants de lumières du bal. Tu saisissais ses mains, les levants délicatement vers le haut. Tu la plaquais contre le mur. Elle était comme un ange des neiges, mais ce soir, elle était l'ange de pierre. Tes lèvres dangereusement proche des siennes. "Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?" que tu demandais, doucement, tout bas. Tu voulais qu'elle puisse suivre le mouvement de tes lèvres, tu voulais qu'elle ait envie de les embrasser. Tu la voulais, mais tu voulais gagner. Finalement, tu relâchais tout son corps de manière inattendue. La tension qui était montée se devait de redescendre instantanément. Tu t'écartais d'elle, et tu commençais à marcher dans le couloir. "Bon, qu'est-ce que l'on peut bien faire dans Harvard à une heure pareille ?" tu la questionnais à nouveau, taquin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai besoin de toi comme d'une infirmière
ROMY & LEWIS

De la mauvaise graine. Voilà ce qu'on m'a toujours dit que j'étais. Je fais partie de ces jeunes gens en qui peu de personnes arrivent à mettre leurs espoirs, de ces filles qu'on dit qu'elles finiront par tomber enceinte et abandonner leurs études. Lewis, lui, fait partie de ces gars qui finiront dans un caniveau ou derrière des barreaux. On est de ces personnes qui attirent le regard et qu'on essaye pourtant de fuir comme la peste. Bruyants, énigmatiques, sauvages, on impressionne, on choque, on intrigue. Lui et moi, enlacés contre ce mur, ma robe entrouverte. Les gens passent, nous voient et tournent leurs regards, gênés, même si dans le fond on sait qu'ils aimeraient être à nos places. Ils vont parler sur nous, nous montrer du doigts alors qu'ils sont simplement jaloux. Jaloux de ne pas pouvoir suivre leurs envies, leurs pulsions. Jaloux de devoir faire bonne figure, de ne pas pouvoir, ne fut-ce qu'une fois, sortir des sentiers battus. Une belle robe, un noeud papillon. Un sourire face aux flashs des photos, une danse et puis bonsoir. En quoi leurs vies auraient-elles plus de sens que les nôtres ? Erasme dirait que c'est folie que de vouloir être sage dans un monde de fous. J'en conclus donc que ce sont nous les plus sages, même lorsque je le mets au défis de me déshabiller ici, devant tout le monde. Même lorsqu'il se prend au jeu, ne cessant de baisser la fermeture de ma robe. Chaque centimètre me provoque un nouveau frisson. Pourtant, je meurs de chaud. Suis-je malade ? Lewis me rend fiévreuse, faible, comme s'il jouait avec mes émotions. Son influence sur moi m'est presque insupportable, et sa présence m'est vitale. Lewis et moi, ça n'a pas de logique, ni d'explication. C'est comme une tempête qu'on ne peut qu'endurer, qu'il ne sert à rien de vouloir traverser. Notre relation en devient inébranlable, inévitable car quoi qu'on fasse, quoi qu'on décide, nos chemins finissent toujours pas se recroiser. Je le sais car je pourrais pas m'imaginer un futur sans que Lewis ne soit là, dans un coin de ma tête ou sous ma couette. Je finis tout de même par trouver la force de le repousser, presque trop fort, presque comme si je reprenais mes esprits. Je veux pas d'ennuis, je veux pas que ma soeur me méprise davantage, ou que mes amis soient gênés ou que mon coloc que fasse une crise. Pour une fois dans ma vie, je pense aux conséquences et je réfléchir avant d'agir. Je m'étonne, moi-même. Félicitations Romy, il semblerait que tu grandisse. J'attrape donc la main de Lewis pour l'entraîner hors de la salle du bal et j'en profite pour respirer un grand coup, l'ambiance du bal étant trop pesante. Je comprends décidément pas pourquoi tout le monde s'évertue à y aller tous les ans alors qu'on sait bien que ça fini en bain de sang. Façon de parler. Puis je me tourne à nouveau vers Lewis qui semble aussi reprendre vie. Je le défie du regard tandis qu'il se rapproche dangereusement de moi. Ses paroles m'arrachent un sourire que j'essaye pourtant de contenir. Il me rend folle. « Désolée, Monsieur, je ne savais pas. Est-ce que c'est grave ? » je lui réponds, faignant d'être désolée. En réalité, je ne pourrais pas m'excuser pour avoir fait quelque chose d'interdit. Je vis dans l'interdit depuis mon plus jeune âge, j'ai été probablement conçue par l'interdit. Je suis l'interdit. Il attrape mes mains et les relève pour me plaquer à nouveau contre le mur. Son visage tout près du mien, je peux sentir son souffle dans mon cou, glisser sur mon décolleté. Je reste silencieuse alors que je vois ses lèvres se mouvoir, comme si je n'entendais déjà plus ce qu'il me disait. J'essaye de me rapprocher de lui, les yeux mi clos, prête à lui voler un baiser, mais le voilà qui disparaît et mes bras retombent le long de mon corps. Je serre les mâchoires de frustration. Quand je dis qu'il joue avec moi. « Je sais pas, on pourrait aller dans les vestiaires du bal et fouiller quelques sacs. Ou allez foutre le bordel dans la bibliothèque. Comme tu veux. » je lui dis en haussant les épaules. Ce ne sont que des idées parmi tant d'autres. En réalité, ça m'est plus ou moins égal car tout ce que j'aurais souhaité, c'était qu'il ne s'éloigne pas de moi. J'aurais voulu qu'il m'enlace, qu'il m'embrasse, qu'il m'emmène à des années lumières du bal, pourquoi pas jusqu'aux étoiles. Mais il en a décidé autrement. Alors je me mets à marcher dans ce couloir vide, en quête de notre prochaine aventure. Je ne prends même pas la peine de rattacher ma robe, le courant d'air sur mes côtes et sur mes épaules me fait du bien. Qu'importe si j'ai l'air d'une clocharde à moitié déshabillée, seul Lewis a l'occasion de poser les yeux sur moi et il l'a dit lui même, il préfère largement me voir nue qu'ainsi vêtue.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)