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Ça ne devait pas être facile pour une fille comme Nina de découvrir qu'elle aurait pu être entourée de frère et sœur toute ses années. Laska n'avait jamais eu ce soucis, ce vide, ce manque, mais elle essaei de se mettre à la place de sa sœur jumelle, qui devait s'ennuyer pas mal dans sa grande maison, seule. « Tu vivais où avant ? » parce qu'elle n'en avait aucune idée, quand elle a sût qu'elle avait une sœur jumelle, Laska n'a pas chercher midi à quatorze heure, elle a accepter et est passer à autre chose, elle n'a pas penser à aller fouiner comme elle le fait d'habitude, et maintenant elle regrette un peu de ne pas avoir d'avantage d'information. « On vivait dans une maison pourite à Chicago-sud. Maman est un peu.. folle, ce qui fait qu'on avait rien de normal comme un compte en banque, ou un salaire stable pour faire les courses. Du coup parfois avec Maden, on faisait des courses à la va vite, en volant des trucs sous nos fringues. Les vigiles nous avez déjà à l'oeil, ce qui fait qu'on faisait pas mal de course contre eux. » mais vous n'avez jamais été chopper, ce qui est une bonne chose. La voiture s'arrête sur le parking du mcdo, à cette heure il n'y avait pas vraiment grand monde, la brunette colle son dos contre le siège de la voiture et tourne son regard cette sa sœur jumelle. « On a eu une enfance horrible, et je suis jamais aller en colonie de vacance. Mais on s'en sors. Ça te dit un big mac ? »
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Nina veut en savoir davantage sur Alaska peut être, avec le temps apprendre à la connaître. Elle sait que les choses vont prendre du temps mais elle est prête. C'est ce qu'elle veut. J'ai vécu à Cambridge jusqu'à mes seize ans, je suis allée vivre ensuite en Caroline du Nord, avec ma belle-mère. Du moins, l'une de ses belle-mères. Mais la seule qui compte. Celle qu'elle considère comme sa mère. La mère qu'elle n'a pas eu. Après, elle sait un peu comment était sa véritable mère. Ce n'est pas un secret et elle bien encaissé le coup, depuis. C'est donc ensuite qu'elle apprend la vie d'Alaska et franchement, elle est désolé pour elle. Ce n'est pas avoir la vie facile. Contrairement à elle, qui n'a pas vraiment manqué de rien. Je suis désolé de l'apprendre. Je sais comment elle était... Du moins, on m'a dit. Oui, elle ne connaît que des mots. Elle ne dit rien, par la suite, surprise d'entendre tout ceci. Elle répondit seulement au big mac. Oui..
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« J'y suis jamais aller, c'était cool là bas ? T'étais pas avec notre père ? » alaska ne savait rien du père Clayton, juste que c'était son père et qu'il été blinder de fric et insensible au genre humain. C'est peut être de là qu'elle avait hérité ce cœur en pierre ? Elle n'avait jamais souffert de ça, elle été juste soulager de savoir que cet enculé de père Granger n'étais pas son géniteur. Nina semble vraiment désolé pour les Granger, ce qui fit rire Alaska, c'est vrai que dit comme ça, c'est très triste et dramatique, pourtant, ce n'était pas du tout le cas. « C'était fun. J'ai appris à être autonome super tôt et je suis sortit avec un gars géniale qui m'acheter plein de truc fun.. avec lequel je sortait encore la semaine dernière d'ailleurs. Je sais pas si tu le connais, c'est un mathers. T'es dans quel confrérie toi déjà ? » elle arrête la voiture pour ce concentré sur la discussion, et propose un casse dal à sa dite sœur jumelle. Elle n'avait rien manger depuis ce midi trouvant écœurant tout ce qu'ils avaient servit durant le bal, de plus elle trouvais le thème assez bancal, d'où son dégout pour la soirée. « J'prend toujours un happy meal moi, prend ce qui te fait plaisir. » dit-elle en tapotant sur ses épaules dans un sourire.
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Oui et je te conseille, c'est vraiment un bel endroit. Tellement, qu'elle y va autant qu'elle peut. Si, à Cambridge mais j'ai préféré vivre avec ma belle-mère. Elle est comme une mère et je voulais la suivre quand ils se sont séparés. Nina de bonnes relations avec son père et cette femme est la seule des petites amies de son père, avec qui, elle a vraiment accroché et cette décision est certainement la meilleure qu'elle a prise. Mais apparemment, la vie d'Alaska était fun et elle ne peut que la croire. Elle hausse les épaules avant de reprendre. C'est qui ? demande-t-elle, elle connaît quelques mather, depuis qu'elle est ici. Je ne suis dans aucune confrérie, je verrais ça en septembre et toi ? Peut être qu'elle pourra en savoir davantage sur elle. Un sourire amusé revient sur son visage et elle vient à commander un bon big mac avec donut. Ouais, un peu faim, quand même.
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« Notre père est un homme à femme ? » dit-elle en fronçant les sourcils, avant de lacher un gloussement. Alaska a toujours eu tendance à blamer sa mère pour tout ce qui lui est arriver de mal dans sa vie, les mauvais gènes, la vie de palace dans les poubelles, aucune figure d'autorité ni d'exemple dans sa vie, alors qu'apparement, son père serait peut être en raison de ces gênes de fille indécise. « Tu la considère toujours comme ta mère ? » ça doit être quelques choses d'avoir une figure maternelle, une personne qui nous connaît un tout petit peu, et qui arrive par exemple à se rappeler d'une date d'anniversaire, ou nous conseillez dans nos tourments, la mère Granger n'en a jamais été capable et c'est la raison pour lequel Alaska est si.. facile à troubler. « Il s'appelle Lucas Watson. Mais comme tu as pu le voir au bal, il a préféré y aller avec une copine et me laisser y aller seule. Et toi ? C'était vraiment pas ton copain au bal ? » pourquoi est-ce qu'elle parler encore de Lucas ? C'était constant chez elle, quand elle été avec lui, elle avait envie de le tué et quand il n'est pas là, ses penser sont tourner vers lui. Les deux jeunes filles sortaient de la voiture pour se rué dans le mcdonalds dessert, Alaska prend ce qu'elle prend d'habitude et une glace pour se félicité d'avoir manger sainement toute la semaine, elle paie le tout avant de se poser en terrasse, ou la lune brille de mille feu. « Je suis Lowell, t'sais Maggie m'avait demander de venir les rejoindre et ça m'avait pas déranger, jusqu'à ce que je tombe sur les sœurs Weasley, je sais pas si tu les connais. Jordan, ça va, mais l'autre, Celestine, ne me donne plus foie en l'humanité. Tu devrais nous rejoindre ? » c'était pas vraiment une proposition, juste une question, Maggie y été ; l'ambiance n'était pas forcement au top, mais Maggie faisait un tonne d'effort pour que ça marche, et elle se sentirais comme chez elle, peut être ?
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Ouais.. dit-elle simplement mais cela veut tout dire. Elle répond totalement à la question d'Alaska. Elle en a vu passer des femmes. Mais seulement une, était la mieux. Au point, qu'elle a été comme une mère pour elle. Et franchement, elle n'a jamais compris pourquoi son père n'a pas voulu la garder. Oui, toujours. Et cela va lui arriver très souvent d'aller lui rendre visite, pendant les vacances ou certains week-end. C'est important pour elle de retourner là-bas. Cela me semble être une relation compliqué... De ce qu'elle en dit, ouais. Puis, elle secoue légèrement la tête. Non, je l'a connu y a quelques semaines. Il m'invité au bal, j'ai accepté. Et c'est tout. Déjà, elle ne voyait pas ce gars comme son petit ami. Il lui en faut plus pour qu'elle craque, dans ce domaine. En fait, elle ne veut pas tomber amoureuse. Genre, pas maintenant. Elle a le temps, non ? Puis, elle se retrouve finalement à l'extérieur du macdo, avec son menu devant elle. Si, j'en connais une. Après, je ne pense pas correspondre à cette maison. Bien sûr, elle a quelques maisons en tête mais rien de certain, pour le moment. Elle prendra sa décision, plus tard. La Cabot ou la Quincy m'intéresse bien.
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« Il est comment le padré ? » parce qu'elle n'avait jamais imaginer qu'elle est un autre géniteur que le père Granger, il lui ressembler comme deux goutes d'eau, aussi détacher et insensible qu'elle pouvait être à cette époque, un bloc de glace qui ne pouvait être fondue que par son petit Lucas. « Pourquoi t'es pas rester avec elle ? J'veux dire, peut être que t'aurais été mieux en Caroline du Sud. À moins qu'elle est déménager avec toi ? » cette relation lui échapper un peu, c'était un genre de maman de remplacement ? Mais dans ce cas là pourquoi ne pas être rester avec elle ? Si, Alaska avait eu une maman de remplacement elle n'aurait jamais quitté son foyer, du moins elle ne se serait jamais lancer dans l'aventure Harvard. Elle secoue la tête pour dire oui, oui Lucas et elle c'était compliqué, ça l'a toujours été, mais ça ne veux pas dire que ça ne peut pas s'arranger. « Je pense que quand on aime on peut passer par dessus tout ça. T'as déjà eu un copain ou une copine, à qui tu tenez vraiment en te disant : hum, cette personne est LA bonne personne ? » c'est ce qu'elle ressentait avec Lucas, mais parfois elle douté, alors elle avait besoin de le jettez et de le récupérez ensuite, quand cette sensation de doute s'efface. Elle mord un bout de son sandwich après son petit speech sur la lowell et secoue la tête pour dire oui. Elle aussi la Quincy House lui tentez pas mal, mais elle a toujours eu des doutes. « ça t'irais bien le orange. »
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C'est un homme à femme mais il s'est toujours bien occupé de moi... Que dire ? Ouais, c'est un homme, pas tellement sérieux avec les femmes. Bien infidèle mais en ce qui concerne son rôle de père, il a toujours été génial. Elle n'a pas eu à se plaindre, de ce côté là. Non, elle est toujours là-bas. Mais je suis venue ici, pour te rencontrer toi et les autres mais aussi, parce que mon meilleur ami est ici, qu'une place à Harvard ne se refuse pas et que j'aime être ici. Même si la Caroline du Nord est toute sa vie. Mais, elle peut toujours y retourner après ses études. Ce n'est que pour quelques années, après tout. Je sais pas.. Je suis tombée, une seule fois, amoureuse et ça ne s'est pas bien terminé. Tellement, qu'elle a préféré refuser d'autres relations sérieuses. Une histoire, pas très originale. Une fois, à la table, elle attaque son repas en lui disant, quelles confréries lui plairait. Je pense me décider, à la rentrée. Le temps que je découvre quelle maison me correspond. Pas le doit à l'erreur pour elle. Elle veut bien choisir.
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« Il a l'air d'être quelqu'un de valeur. » dans le sens ou il ne la jamais laisser tomber, elle. Contrairement à votre mère qui faisait des va et vient constant dans sa vie. Elle n'a jamais été là pour toi, jamais épauler, jamais encourager, c'est une inconnue et Alaska aurait aimer qu'elle le reste, malheureusement elle a hérité de ses gênes. « Y a pas grand chose à savoir sur moi tu sais.. mais c'est une bonne chose qu'on puisse enfin parler. » Se parler, se découvrir, savoir ce que c'est que d'avoir une sœur jumelle. Elle a une grande sœur avec qui ça ne va pas et une petite avec qui tout vas bien, mais avec cette rancoeur de l'avoir laisser tomber, peut être qu'avec Nina elle trouvera le juste milieu d'une relation saine entre sœur. Enfin, pas tout de suite étant donner le gros hamburger pas sains qu'elle enfourne dans sa bouche. Et les amours? Il faut parler des amours. Bien sur, Alaska ne perd pas de temps pour parler de Lucas, sa bouche entière est dédier à ce garçon, elle se sent constamment obliger de dire à ceux qui l'entour qu'elle a réussi à tenir une relation plus de deux semaines et se rend compte que Nina est comme elle. « Qu'est-ce qui sait passer ? » les chagrin d'amour sont les pires, on a plus jamais confiance après, on devient anesthésier contre cette merde appeler sentiment.
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Nina hausse les épaules. Avec moi, il a toujours été correct, pour le reste, je ne sais pas trop. Il ne traitait pas bien les femmes, il est plutôt infidèle. Elle peut lui trouver des défauts mais elle ne peut pas nier le fait qu'il s'est très bien occupé d'elle et qu'il est un bon père malgré ses défauts. Je veux vraiment apprendre à te connaître.. dit-elle d'un petit sourire, parce que c'est le cas. Elle est ici, pour ça, en quelques sortes, en grande partie. Elle veut aussi comprendre mais après, elle ne s'imagine pas devenir la meilleure sœur ou être aussi proche d'elle, comme si rien ne s'était passé mais apprendre et le temps fera le reste. Une histoire banale. Le gars qui va voir ailleurs, le gars qui promet de ne plus recommencer mais on décide de passer à autre chose. Elle n'a pas voulu céder. Une fois et c'était terminé. C'est ce qui l'a fait souffrir, tirer un trait d'un coup.
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