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but you're a masterpiece ✩ maxwell

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monsieur & madame Steadworth-granger
« J'ai assez de problème ici, pour aller en chercher à New York. » ou peut importante ou est-ce que Samaël ce trouve, il y sera mieux, sans toi, sans ce petit monde qui ne faisait que le tiré vers le bas. De plus, si Max à soucis avec Samaël, il n'avait qu'à faire le sale boulot lui même, Sam répondra plus à un Steadworth afficher sur son portable qu'une Granger A. « C'est ce que je compte faire. Je voulais juste.. arranger les choses, tu comprends que t'es important pour moi ? Même si c'est pas réciproque. Tu comprend que j'ai jamais voulu tout ça ? Tu devais juste être Maxwell, mon meilleur ami et t'es devenue Maxwell qui simule d'être gay et me crache ensuite à la gueule que si il a des sentiments pour moi, c'est de MA faute ? J'ai jamais voulu rien de tout ça. Toi et moi, sur un nuage, ça me suffisait, TU as changer les choses, et c'est encore à moi d'essayer de les arranger. » tu soupires longuement en entendant les paroles blessante de ton pseudo entre guillemet meilleur ami, le temps du débat étant finit, tu ne voulait pas en entendre plus. Tu tournes le talon pour t'en aller, et faire avec ce que t'as, c'est à dire pas mal d'alcool et un bédo déjà rouler dans ton sac à main, mais monsieur te retiens par le bras, prétextant être soul. De mieux en mieux. Te extirpe ton bras de son emprise et fronce les sourcils. « La vérité sort de la bouche des enfants.. et des ivrognes. » merci à ton père de t'avoir appris cette magnifique leçon de vie, il suffisait de lui poser des questions bourée pour différencier la vérité des mensonges. Cornélia été plus importante que toi ? Fine, tu vas apprendre à vivre avec. Apprendre à vivre sans avoir un bras droit à tes côtés, il n'y avait plus rien à sauver de votre pseudo amitié, torturer par les sentiments et le manque de respect mutuelle.
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monsieur & madame Steadworth-granger
Quel genre de problème ? Mais, qu'est-ce qui s'est passé entre toi et Lucas ? Je fronçais les sourcils d'un air curieux en attendant sa réponse avec impatience. J'étais curieux de savoir ce qui se passait réellement dans la tête d'Alaska, dans la vie d'Alaska tout simplement. Oui la curiosité est un vilain défaut, on le sait tous, mais cette fille est très importante pour moi. Malgré que je m'y prends très mal avec elle en la blessant par mes mots. Ce n'était pas mon but de lui faire du mal, au contraire je voulais que la situation s'arrange entre nous. Maaais si c'est réciproque tu le sais ça, sinon je ne me serais pas battu pour toi pendant tous ses mois. C'est juste que j'aurais voulu plus entre nous et qu'en faite j'me suis fait un peu trop de film... Je soupirais d'un air désespérer en n'osant pas la regarder droit dans les yeux. Je ressentais de la déception pure et dure pour tout vous dires, j'étais deg de la voir avec un gros con comme Lucas la grosse merde de service... Oh et merde du moment qu'elle trouve le bonheur avec quelqu'un c'est tout ce qui compte, non ? Franchement je le redis encore et encore c'est ce que je lui souhaite de tout cœur. Elle mérite qu'on lui donne de l'amour et de l'importance ce petit ange. Noooon, que des enfants ! Bah ouais que des enfants et puis quoi encore ? Les ivrognes j'y crois pas trop, fin' bref on s'en fout on ne va pas rentrer dans un débat de merde qui n'en vaut pas la peine. Plutôt se rattraper et finir la soirée sans problème, non ?
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monsieur & madame Steadworth-granger
« J'ai pas de problème. Du moins, pas à te raconté. » contradiction totale à ce que tu essaie de faire, recoller les morceaux. Mais t'en avais ral le bol, et puis tant pis. Il a qu'à être amie avec Charline si il veut être proche d'une Granger, elle doit avoir une montagne de problème. T'avais plus envie de débattre, t'avais plus envie d'être son ami, du moins là tout de suite, tu voulais juste que cette discussion cesse et que vous vous oubliez encore une fois. « Tait-toi. S'il te plais. » juste chut, parce que plus il parlais, plus t'avais envie de fracasser sa tête contre la table, ou le mur ou n'importe quoi qui ferais de nouveau fonctionné son cerveau correctement. Tu n'aimes pas débattre avec des gens alcooliser, non tu n'aimes pas les gens alcooliser en générale. « Je pense que tu as raison. Qu'on est pas fait pour être ami, je veux bien te laisse du temps. Mais tu sais ce que le temps va nous dire ? qu'on est pas fait pour être ami, alors vaux mieux juste accéléré le processus ? » tu restes calme, les bras croiser sur ta poitrine et sûre de toi. Tu été venue pour arranger les choses, vous donnez une seconde chance, un second souffle, essaie de rafistoler ce que vous aviez tout les deux cassez, mais au lieu de ça, tu as eu le droit à de la méchanceté gratuite qui te font logement douter qu'il y a encore quelques choses à sauver. Là, tout de suite, maintenant, tu n'avais plus envie de tout ça, tu voulais juste que Maxwell disparaisse une bonne fois pour toute de ta vie, mais tu voulais que ce soit d'un commun accord. « Je ne veux plus être ton amie. Puisque tu recent la même chose on pourrais juste.. s'arrêter là. »
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monsieur & madame Steadworth-granger
C'est ça, au pire tu ne veux rien me dire avoue, non ? Après ce n'est pas mes affaires tes petites histoires entre toi et lui, tu fais comme tu veux. Je secouais ma tête d'un petit soupire en étant désespéré de la situation. Notre relation devenait de plus en plus compliqué, j'ai l'impression que notre relation est basé sur les disputes et les mensonges. C'est dommage, j'apprécie beaucoup ma petite Granger d'amour, elle est tellement attachiante. Personne n'est parfait, et je fais partis de ses personnes qui sont remplis de défauts à en plus finir. (non mais quand j'dis ça physiquement j'suis toujours parfait, hein) Non, je ne me tais pas, j'ai droit de m'exprimer moi aussi. Bah quoi moi aussi j'ai le droit de dire ce que je pense, de discuter avec elle calmement malgré les méchancetées qui ont été dit précédemment par moi, Maxwell Steadworth le boulet alcoolisé qui dit que de la merde ce soir... Mais ça suffit, faut que je me rattrape une bonne fois pour toute. Moi je pense tout le contraire, on est fait pour être ami, nous sommes très différents l'un de l'autre et c'est ça qui rend notre relation beaucoup plus intéressante. Pourquoi je me suis battu pour toi à ton avis ? Hein ? Parce que j'étais amoureux de toi, tu ne peux pas savoir comment j'étais fou de cette fille si belle, gentille et attentionné. Cette artiste si talentueuse qui a beaucoup de qualités et de défauts. Oui j'avoue ne plus être amoureux de toi depuis que tu m'as envoyé chier dans les brancards. J'ai été déçu, triste de ta réaction. Mais ça ne veut pas dire que je ne t'apprécie plus, au contraire je veux que cette relation si forte marche encore et encore jusqu'à notre mort. Que je t'accompagne faire du shopping pour choisir tes vêtements, qu'on aille au cinéma voir des blockbusters, qu'on aille dans un parc pour se promener rien que nous deux, qu'on fassent des activités comme de la barque, pleins de choses comme avant. C'est ça que je veux absolument, qu'on redevienne proche ! Maxwell Steadworth et Alaska Granger forever, tu te rappelles de ça ? Putain, je suis enfin soulagé d'avoir tout vidé mon sac, même alcoolisé je suis toujours en forme et pourtant j'en ai bu des verres.
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monsieur & madame Steadworth-granger
Pas la peine de répondre, tu roules péniblement des yeux en croisant les bras sur ta poiterine. Pourquoi il veux savoir de toute façon ? Il déteste lucas, plus tu lui en dira sur lucas, plus il détesteras lucas, alors à quoi bon ? Surtout pas quand monsieur Steadworth a décidé de laisser parler l'alcool mauvais. « Achève moi Maxwell, si c'est pour t'entendre gueuler comme un malade, des choses qui n'ont aucun sens. » dis-tu quand il se met à déclarer qu'il avait le droit à la liberté d'expression. J'vais le tué, il va falloir une autre bande d'ami pour cacher son cadavre dans les bois. Tu roules de nouveaux des yeux prête à ton aller, jusqu'à ce qu'il te déballe tout ce qu'il avait sur le cœur. Au début tu été un peu surprise de savoir qu'il avait garder autant de chose pour lui, tu as même voulu interrompre pour te justifier, donner les fais, le pourquoi du comment. Tout doucement, ton cœur se dès-sert, la rancoeur commence petit à petit à s'enlever pour être remplacer par une espèce de chose étrange que tu n'avais jamais eu au-part avant. « Tais-toi. » dis-tu en le tirant, il était facile à traîner, étant donner qu'il avait pas mal d'alcool dans le sang, ses pas suivait les tiens sans que tu es a le pousser. tu le traine jusque dans le couloir qui mène jusqu'au toilette, c'était assez vide et il n'y avait pas le bruit de la musique qui vous obligez à vos gueuler dessus. « Bien sur que je m'en souvient.. Bien sur que j'aimerais que ce soit comme avant, c'est juste que c'est différent.. » pas seulement de son côté. Malgré que ta relation avec Lucas soit complexe, tu t'es toujours demander si ça aurait été la même chose avec Maxwell. Va savoir ce qui te prend, c'est cette sensation étrange qui te traverse qui te pousse vers l'intérieur. Tu te met sur la pointe des pieds pour attraper la nuque de Maxwell, et passe tes lèvres sur les siennes. Doucement. Juste un baiser, qui en redemande un autre, puis, un autre. Tes doigts file dans ses cheveux, alors que tu essaie de maintenir l'équilibre. C'était pas désagréable, c'était un peu étrange, mais familier. T'aimais ça.
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monsieur & madame Steadworth-granger
Je n'aime pas Lucas, la question ne se pose pas, il fait partit des plus gros connards que je déteste, ici, à Harvard. C'est quelqu'un qui ne prend pas au sérieux sa relation avec Alaska. Comment elle peut traîner avec un con pareil ? Comment elle peut-être folle amoureuse de celui-là ? J'arrive pas à croire, je le répète encore et encore qu'elle ne mérite pas cette grosse merde. Il a bien mérité mon poing dans la gueule, quand on s'est battu tous les deux en soirée il y a pas très longtemps de cela. Hum, c'est vrai que j'ai pris un malin plaisir de le frapper comme un dingue, il m'avait tellement énerver. Sauf que ses cons d'étudiants nous ont séparés, j'étais deg sur le moment. PARDONNNNNN, c'est bon je gueule plus t'es contente ? Je me calme, je suis calme là. dis-je en faisant un long soupire afin de me calmer et discuter tranquillement avec elle. Des fois j'avais l'impression qu'elle voulait me tuer, chez pas pourquoi à certains moment elle me regardait méchamment, comme si qu'elle voulait me foutre un coup dans la gueule. Je suis relou comme gars, c'est vrai que je ne suis pas quelqu'un qui discute calmement, des fois je m'emporte un peu trop vite sans m'en rendre compte. Et y'a aussi l'alcool qui en joue, ouais l'alcool c'est le mal les enfants. Mais... ! je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'elle me tire avec elle, je ne savais pas où elle m'emmenait exactement. Je la suivais comme un toutou dans les couloirs, qui mène jusqu'au toilette, c'était vide et il n'y avait personne dedans pour l'instant. Bizarre, en tout cas mon cœur commençait à battre à mille à l'heure, je stressais étant donné que les toilettes ce n'est pas un endroit seulement pour pisser ou faire caca. Bien plus que ça, oui je m'adresse aux habitués. Explique moi en quoi c'est différent ? Je veux savoir ton avis, c'est important pour moi. on commençait à tourner en rond, nous étions perdus dans nos petites histoires. On ne savait pas ce qu'on voulait, c'était difficile à comprendre en faite... Est-ce que nous séparer l'un de l'autre est une bonne solution pour nous deux ? J'en sais rien, je suis perdu, mais tout ce qu'elle doit savoir c'est que je l'aime énormément. Je la regardais droit dans les yeux, par la suite elle décide de monter sur la pointe des pieds pour attraper ma nuque et ensuite passer ses lèvres sur les miennes. Le choque extrême, un moment que je n'imaginais pas vivre une fois dans ma vie, sauf dans mes rêves. Je prolongeais encore et encore le baiser, mes doigts se faufilait délicatement sur ses cheveux si doux, et l'autre sur sa hanche. Je n'arrivais pas à m'arrêter, j'étais hypnotisé par elle. C'était un moment agréable, un moment que je n'oublierais jamais.
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monsieur & madame Steadworth-granger
C'est différent, chaque histoires est différente, et ce n'est pas pour autant qu'elle n'est pas importante. « J'ai plus trop envie de parler, là tout de suite, si ça te dérange pas. » dis-tu alors que tu décolle doucement tes lèvres des siennes. Merde Alaska, tu recommences. Tu vas l'embrouiller encore, et il va t'en vouloir à vie pour ce que t'es entrain de faire, là tout de suite. Ce petit sourire tes lèvres, de satisfaction, et tes mains autour de sa nuque à caresser celle-ci du bout des doigts, fait pas, nooooon. Le problème c'est que t'en avait envie, très envie même, et la solution à la tentation c'est d'y cédé, ou un truc comme ça je me rappel jamais des réels citations, mais j'vous jure que vient du fond du cœur. T'es le genre de fille à aimer cédé à la tension, alors tu le fait. Un baiser, puis un autre, puis vous vous arrêtez plus. Ses mains sur ses hanches et dans tes cheveux te rende folle, c'est le manque totale de contacte humain qui te fais agir de tel sorte, ou juste parce que tu voulais prouver à Maxwell que tu n'étais pas rien ? Que tu été plus que ça, plus que les autres filles qui lui tourne autour ? Vous décollez vos lèvres de temps en temps pour avaler une boucher d'air, et tu ne peut t'empêcher de sourire bêtement. « J'avais jamais remarquer que t'étais aussi grand. » parce que hein, la naine elle est sur la pointe des pieds, en plus d'être déjà sur des talons haut, c'est un peu fatiguant tout de même. Mais ça n'empêche rien. Tu continue à presser tes lèvres sur les siennes, et certains ce décale même le long de sa nuque, et tes mains sur son torse, à tater ce qu'il a sous sa chemise. Et faut vraiment mais vraiment que tu te calme, parce que vous allez pas faire ça ici, au milieu du couloir à trois centimètres chiotte. Mais si on le fait pas maintenant, alors quand ? Quand ? Répond moins conscience quand. « Jamais. J'veux dire, c'est maintenant ou jamais.. Tu veux.. qu'on aille ailleurs ? » NON T'AS PAS DIT CA NON. Qui va te tué en premier ? On lance les paris, Lucas ? Non CHARLINE ! Non, sa cornélia là, elle va t'écraser avec sa voiture. « Non attend.. je suis tout embrouiller en fait, tu sent vachement bon ça me perturbe. » et il est bourré aussi, c'est prèsque du viole si on analyse bien.
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Je comprends, ne t'inquiètes pas. Dis-je d'un sourire satisfait en la regardant droit dans les yeux, après avoir décoller doucement mes lèvres des siennes. Je ne savais pas la raison du pourquoi du comment. Il y a quelques mois elle m'avait recaler en disant que ses sentiments n'étaient pas réciproque. Et là, elle m'embrasse un beau soir pendant le bal et plus précisément dans les chiottes. M'ouais, je ne savais pas trop quoi en penser de cette histoire, à vrai dire je restais sceptique à l'idée qu'elle change d'avis du jour au lendemain. Après c'est vrai que j'étais refais sur le moment on ne peut pas le cacher, j'ai toujours rêvé de passer ce moment-là avec Alaska. Mais bon, c'est tout de même bizarre, je restais sur mes gardes pour ne pas me faire de fausses idées sur notre relation. T'es sérieuse ? Geeeeenre tu ne savais pas que j'étais grand ? Je riais bêtement de sa remarque, elle était franchement drôle à ses heures. Non, attendez, je me corrige parce que là j'ai faux sur toute la ligne. Elle est tout le temps drôle, ouais c'est mieux ainsi à mon avis. Bref, je continuais à l'embrasser fougueusement, caressant tendrement ses joues avec mes deux mains. J'étais en pleine euphorie, voir mon corps coller contre le siens c'était un rêve de gosse. Ce petit moment, je pense que je ne pourrais plus le vivre à l'avenir. Alors je vivais l'instant présent afin de profiter un maximum de ce désire, surtout avec la fille dont j'ai été fou amoureux. Où tu veux, je te suivrais partout même défoncé comme un ivrogne. J'étais amplement sérieux dans mes dires, au moins une fois. Ouais une fois dans ma vie, parce qu'il n'y aura pas une deuxième fois. Normal j'ai mitraillé mon parfum. Faut sentir toujours bon dans la vie, ça attire les femelles.
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