J'avais besoin de me changer les idées gravement là parce que pourtant malgré le fait que je devais prendre cette soirée pour retravailler ma relation avec Leevy, la pauvre elle était négligée de ma présence parce que je devais résoudre un problème impossible. C'était comme si une armée dirigé par Willow et Athena cognait à la porte de mon mur de pierre qui entourait mon coeur et que j'étais le seul qui pouvait décider à qui, je devrais ouvrir la porte. C'étai incroyable, sérieux j'étais probablement le mec dans la situation la plus merdique au bal mais pour me consoler, aucune bagarre avec un Winthrop cette année. Je lui souriais tristement, une chance qu'elle était là pour moi, une chance que parmi toutes mes emmerdes personnels de ce soir, je pouvais compter sur une personne et c'était Hippolyte. Je savais que mes actions n'étaient pas passés inaperçu à cause sûrement d'une sale de vipère des sbires de Cambridge's Secrets. Je soupirais, le morale à terre et dit: ''Alors tu peux comprendre dans quel merde que je suis, tout était si clair mais la c'est la putain de Twilight Zone en tout cas.''. J'avais pas d'autre mots pour résumer la situation. Je buvais tranquillement mon verre de whiskey pour écouter ma psy perso en ce moment, le regard un peu éteint et je hochais la tête, je comprenais ce qu'elle voulait dire mais elle me troublait tellement elle aussi. ''C'est ce qui est le pire Hippo, tu rends sa encore plus confuse alors je ne sais plus quoi penser, mon vilain petit canard.''. Oui le moment dans ma chambre à la Eliot House avait été super, j,aurais jamais voulu que sa se termine mais malheureusement toute bonne chose à une fin. Je souriais légèrement, pas si mal je croyais que je ne souriais plus de la soirée. C'est vrai que de recevoir autant d'attention, c'était assez flatteur mais à force de jouer avec le feu, on ne faisait que se brûler. ''C'est un super conseil mais je me suis tellement gouré dans le passé et je croyais bien faire alors que j'ai été grandement décu, la preuve Willow.''. J'écoutais la requête qu'elle me demandait, je tentais de voir ce qu'elle pensait mais je ne pouvais pas croiser son regard. Je posais ma main délicatement sur ma joue: ''Hippolyte, je t'en pris regarde-moi...''. C'était presque une demande, un besoin, peut importe le terme. ''Tu sais que je peux rien te refuser, je le souhaite aussi.''.