Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[HOT] Soirée culture... ou pas ♣ Lukà - Page 2
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[HOT] Soirée culture... ou pas ♣ Lukà

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Soirée culture... ou pas
I warned you from the start, that boy, I'm not that kinda girl.
Au moment même où je m’étais installée à l’arrière de cette voiture, j’en avais complètement oublié le sénateur. En soit ce n’était pas si difficile puisque je n’y pensais déjà pas lors de la soirée. En effet, j’avais trouvé mieux à penser comme le jeune homme qui était assis à mes côtés : Lukà Petrov de son nom. Je n’en avais pas encore fini avec lui, alors il était évident que je n’allais pas le laisser s’échapper de la sorte. Non, je voulais obtenir quelque chose de lui, et j’allais l’obtenir. Cependant, je ne comptais pas le lui demander, sinon notre petit jeu perdrait de tout son intérêt. Doutant de sa sincérité, alors qu’il me confirma le manque de ma présence qu’il avait pu ressentir, lorsque le sénateur Grant m’avait arraché à lui, je lui demandais pourquoi je devais le croire, en sachant que n’importe qui aurait répondu la même chose. Il me répondit avoir horreur du mensonge, et qu’en gros il était différent des hommes qui avaient l’habitude de me faire la cour, mon harem comme il l’appelait si bien. Je pouvais sentir dans le ton employé une pointe de jalousie, qui me fit légèrement sourire. Oui, j’étais heureuse de le savoir jaloux, disons que ça augmentait la taille de mon égo qui était déjà surdimensionné. En même temps quelle genre de femme ne serait pas contente de savoir que l’homme qu’elle convoitait était jaloux de ceux qui lui tournaient autour ? Même Ugly Betty aurait sorti toutes ses dents pleines de ferrailles. « Très bien, dans ce cas je ne vois pas d’autres raisons de ne pas te croire… Et puis, entre nous, trésor, tu étais mon préféré ce soir… » lui répondis-je alors, histoire de le rassurer bien que je pense que ça il l’avait compris étant donné que je me retrouvais en ce moment même dans sa voiture. N’ayant pas envie de rester sur place, j’ordonnais au chauffeur de rouler tandis que Lukà s’enquit de la situation du Sénateur, mais je le rassurais sur point. De contact physique en contact physique, nous étions maintenant très proches l’un de l’autre. Peut-être même un peu trop, au point même que nous étions sur le point de nous embrasser, chose à laquelle, je pense, nous pensions tous les deux dès lors que nos regards s’étaient croisés un peu plus tôt dans la soirée. Mais je ne voulais pas céder. J’aimais bien ce petit jeu que nous avions commencer. Nous nous cherchions mutuellement, nous poussant l’un l’autre dans nos retranchements, nous testant pour savoir lequel des deux était le plus fort mentalement, le quel des deux allait succomber à la tentation le premier. Cependant, au moment où je pense que j’allais craquer, une idée me traversa la tête. C’est alors que je séparais nos lèvres de mon index et repoussais ainsi le visage du jeune homme. Oui, j’avais fait un jeu de mots avec le thème de la soirée, me considérant alors comme une œuvre d’art et comme tout œuvre d’art, il était interdit de toucher sauf avec les yeux. Tout ceci, c’était sans compter sur la répartie du russe, qui après avoir acquiescé mes dires, retourna la situation en sa faveur se considérant, lui, comme étant l’œuvre d’art, me demandant ensuite si j’allais résister à l’envie de toucher. Très bonne question ! Est-ce que je saurais résister à la tentation ? Pas si sûre, j’étais plutôt du genre impatiente, et j’aimais obtenir ce que je voulais, à la minute où je le voulais. Mais pour lors, je me contentais de lâcher un petit rire satisfait. En effet, j’étais satisfaite d’avoir trouvé pour la première fois un adversaire à ma taille, une personne qui avait autant de rependant que moi, qui ne se laissait pas démonter au simple contact de mes doigts sur son corps. La question était maintenant de savoir si je devais capituler ou non. Ma fierté me disait que non, mes tous mes sens étaient de l’avis contraire. Il commençait à faire très chaud dans ce véhicule et la tension qui y régnait avait plutôt tendance à exciter mes sens. « Vous me plaisez de plus en plus M. Petrov… » dis-je alors, non sans un sourire coquin, avant de le saisir par le cou et de goûter à ses lèvres qui me faisaient tant envie dans un baiser qui se faisait doux mais qui était aussi emprunt d’une certaine sauvagerie traduisant mon envie. 1-0 pour Lukà. Balle au centre..
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feat. Ruby G. Alvarez
Je ne pensais qu'il ferait si chaud à l'arrière de cette voiture, Rubu était là, assise à côté de moi et on n'arrêtait pas de se tester, de jouer, et là elle venait juste de tester ma jalousie, une jalousie que je laissais s'exprimer au timbre de ma voix lorsqu'elle prétextant ne pas me croire quand je lui avais dis qu'elle m'avait manqué, et visiblement ce que je lui disais, la manière dont je le disais la faisait sourire avant que ses lèvres ornées d'un rouge à lèvres qui me faisait envie ne s'ouvrent « Oui ça je sais. » répondis-je le plus simplement possible, bien-sur que j'étais son préféré ce soir, sinon elle n'aurait pas perdu son temps à s'occuper du sénateur et faire ce qu'il fallait pour qu'il lui lâche la grappe et qu’elle me rejoigne ici, je flattais mon égo c'est vrai mais je pouvais voir qu'elle ne manquait aucune occasion d'en faire autant. Le chauffeur démarrait la voiture sous les ordes de Ruby, rouler pour roule,r pas de destinations et tant que je pouvais passer un moment avec elle, elle m’obnubilait complètement, surtout dans ce rapprochement physique entre nous, sa main sur mon torse, ma main sur sa cuisse, nos lèvres se frôlant, cette envie dévorante de goûter à ce rouge à lèvres, à ses lèvres, ça me démange et je sens dans son regard plein de désir qu'elle aussi en meure d'envie et contre toute attente, au lieu de céder, elle pose son index contre mes lèvres quand elle s'approchent trop des siennes, reculant mon visage quelques peu, elle avait le sourire aux lèvres et me faisait comprendre que ça ne serait pas si facile, la belle brune voulait jouer et comparait la situation à une musée où elle en était un oeuvre d'art, ça m'amusait oui, je souriais l'écoutant parler, me dire les règles du jeu, ne la toucher qu'avec les yeux ? Non, je ne pourrais pas et c'est bien pour que je retourne la situation à mon avantage. Je lui faisais comprendre que je me considérais comme cette oeuvre d'art qu'elle ne devait toucher qu'avec les yeux et visiblement ma répartie semblait lui plaire au point qu'elle me dise que je lui plaisais de plus en plus, je le savais oui et elle venait prendre le col de ma veste pour rapprocher mon visage du sien et elle posait ses lèvres sur les miennes, à croire que ce petit jeu n'était destiné que dans un sens, le mien mais prise au dépourvu il semblerait qu'elle ne soit plus aussi joueuse, je parierais même pour une nature impatiente. « et Bien mademoiselle Alvarez.. quêtait-ce donc ? Vous ne voulez plus jouer ? » lui dis-je lorsque le contact se rompait entre nos lèvres, je souriais, lâchant un petit rire avant de passer une main dans sa nuque et de retrouver ses lèvres pour l'appuyer encore plus que le premier, le rendant plus langoureux mais visiblement elle ne voulait pas que d'un baiser vu ses mains baladeuses et ça me faisait sourire toujours au prise de ses lèvres, c'est vrai que moi aussi je ne voulais pas que de ce baiser, je remontais sa cuisse de ma main libre, remontant au passage les pans de sa robe au fur et à mesure. C'était devenu très intéressant, j'avais un avantage mais Ruby n'avait pas dit son dernier mot pour égaliser la partie, j'en étais certain et j'avais hâte de voir.

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I warned you from the start, that boy, I'm not that kinda girl.
Assise à l’arrière de cette voiture, en charmante compagnie, je me sentais plus qu’heureuse. J’avais hâte de savoir comment allait se terminer cette soirée qui avait pour le moment si bien commencé. Depuis que j’avais posé mes yeux sur Lukà, il n’y avait que lui dans ma tête. Sérieusement, comment je pouvais être aussi hypnotisé par le jeune homme ? Cela ne me ressemblait tout bonnement pas. D’habitude c’était moi qui marquais les esprits surtout ceux de la gente féminine, je m’autoproclamais moi-même comme étant le fantasme de la gente masculine. A vrai dire, j’avais hérité de ce surnom depuis l’Espagne où j’avais commencé mon activité d’Escort girl. De toute l’agence pour laquelle, je travaillais, j’étais celle qui rapportait le plus et dont les clients raffolaient. Je crois que c’était ma capacité à m’adapter à chacun d’eux qui avait fait grimpé ma côte. En effet, j’étais celle que le client voulait que je sois, tantôt mignonne et innocente, tantôt femme fatale et inaccessible. Faut dire qu’avec moi, le client ne s’ennuyait jamais. Mais là c’était différent, Lukà, n’était pas l’un de mes clients. Il ne m’avait pas choisi, c’est moi qui, pour le coup, était allée vers lui, c’est moi qui l’avais choisi. Etait-ce ses yeux bleus et son accent sexy qui m’avaient chamboulé l’esprit ? Ou alors, sa prestance ? Je n’en savais rien, mais il avait ce petit truc, qu’aucun de mes clients plus puissants les uns que les autres, n’avaient. Pourtant j’en avais vu des hommes passer dans ma vie, mais des comme lui c’était bien la première fois. Je jouais avec sa jalousie, car si j’avais bien compris une chose, c’est que les hommes ont horreur de la concurrence, surtout sur le plan des femmes et du sport notamment. D’ailleurs j’en avais eu la confirmation un peu plus tôt dans la soirée, grâce au sénateur Grant. Le fait de savoir que d’autres hommes me tournaient autour ne semblait pas vraiment plaire à Lukà, comme ce fut le cas un peu plus tôt pour le grand homme politique. Il me fit sourire lorsqu’il me répondit qu’il savait avoir été mon préféré ce soir. Il était fier en plus ? Je sais que j’avais flatté son égo, et que je venais de marquer quelques points en lui faisant cette confidence. La température à l’intérieur du véhicule grimpait au fur et à mesure de nos rapprochements. Si au départ, nos gestes avaient été anodins, à l’heure actuelle ce n’était plus le cas. D’ailleurs mon cerveau ne semblait plus répondre, et mes membres agissaient tout seul. C’est la raison pour laquelle après l’avoir repoussé une première fois in extremis, je me retrouvais à l’embrasser, après lui avoir avoué qu’il me plaisait de plus en plus. J’aurais pu tenir un peu plus longtemps, mais mon impatience venait de me jouer un tour, je n’étais plus en état de résister à quoique ce soit. C’était assez marrant ce vouvoiement qui s’était réinstallé entre nous, alors que nous étions maintenant plus que proches. Avant de m’embrasser à nouveau il me demanda si je ne voulais plus jouer. C’est vrai ça, qu’est-ce qu’il m’arrivait ? J’avais moi-même du mal à comprendre mon abdication soudaine. Je ne me reconnaissais pas, je crois que c’était la première fois qu’un homme me faisait autant d’effet. Alors qu’il m’embrassait à nouveau d’une façon beaucoup plus langoureuse que précédemment, mes mains s’afféraient à déboutonner les trois ou quatre premiers boutons de sa chemise blanche, tandis que l’une de ses mains s’aventurait sur ma cuisse remontant petit à petit ma robe. Merde, qu’est-ce qu’il se passait ? Je devais arrêter ce baiser au plus vite, au risque de perdre à notre petit jeu. Et croyez-moi, cela n’allait pas me plaire. D’une de mes mains, je saisis sa main qui était derrière ma nuque pour la retirer de celle-ci et par un tour de passe-passe, je craquais par la même occasion mon collier dont les perles s’éparpillèrent un peu partout dans le véhicule et sur le siège arrière. « Oups… » fut ma seule réaction (bien entendu avec la petite mine désolée), alors qu’en temps normal, je sais que j’aurais pété un câble. Bah oui, je n’avais pas les moyens de m’offrir ce genre de bijoux de luxe et me voilà qui m’amusait à en briser un pour les besoins de ma victoire. A l’heure actuelle je pensais un collier de perdu, dix de retrouvés. « Permettez-moi de récupérer l’une de mes perles qui, me semble-t-il s’est glissé entre vos jambes… » Et sans même attendre la réponse de Lukà, ma main qui était resté sur son torse traça un sillon jusqu’aux cuisses du jeune homme, avant de glisser entre celle-ci tout en passant au plus proche de l’intimité du russe. Tout ceci, je l’avais fait en le regardant droit dans les yeux, afin d’observer chacune de ses réactions. Aucun homme à ma connaissance ne résistait à ce genre de caresses. Ma main remonta après un court instant avec une perle, entre mon index et mon majeur. « Je l’ai trouvé… » dis-je d’un air satisfait et victorieux. Mais est-ce que je parlais de la perle ou du point faible de Monsieur...
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Je la connaissais à peine et déjà je ne voulais qu'elle en cet instant, comment c'est possible sérieusement ? Je ne sais rien d'elle hormis son délicieux prénom et il faut croire que dès que mes yeux se sont posés sur ses prunelles, j'ai su à cet instant que je la désirais. Je fus surpris de la voir débarquer sur la banquette arrière de la voiture, je la croyais en bonne compagnie mais j'ai été très heureux de constater qu'elle a préférée délaissé l'homme important pour moi, pourtant on s'est testés tout à l'heure à l'intérieur et j'ai vraiment eu l'impression que c'était aux hommes de faire le premier pas, que c'était à elle de se faire désirer et qu'elle agisse, ça m'a surprit oui mais d'un autre côté j'en suis très flatté. Et encore là elle me testait, quelque part j'adorais les défis, j'étais très bon pour jouer et je entrais exprès dans son jeu, n'allant que dans son sens par exemple quand elle m'a dit que j'étais son préféré ce soir, après tout oui c'est de la fierté que d'affirmer ses propos mais c'est aussi une vérité, si je n'avais pas été son préféré c'était presque certain qu'elle n'aurait pas prit la peine de venir me rejoindre dans la voiture. Elle attisait ma jalousie sans gêne et qu'elle prenne autant de risque ça me plaisait au point de l'attiser elle aussi en tournant ses mots en ma faveur, oui j'avais tenter un rapprochement au point où nos lèvres finissent par se frôler puis elle semble garder le contrôle de la situation en me repoussant avec son index sur mes lèvres et semble vouloir s'amuser avec mes pulsions, se prenant pour une oeuvre d'art donc obligation de toucher avec les yeux mais je venais de la prendre de court en finissant par lui dire que j'étais cette oeuvre d'art et visiblement, elle n'était plus du tout aussi joueuse. Non parce qu'elle semblait ne plus contrôler la situation, je le sentais immédiatement quand elle prenait possession de mes lèvres, je ne me privais pas pour savourer ce baiser, sentir la douceur de ses lèvres, le goût exquis de son rouge à lèvres, d'ailleurs j'étais sûr dans avoir encore sur le con des lèvres lorsque j'ai rompu le contact pour la titiller encore plus sur la situation et franchement je ne lui laissais pas le temps de répondre, une main se calait dans sa nuque pour l'attirer à moi et l'embrasser plus passionnément, mon autre main se posait sur sa cuisse et remontait, remontant au passage les pans de sa robe alors que je sentais ses mains baladeuses sur ma chemise, commençant à déboutonner quelques boutons. Elle semblait essayer vouloir reprendre le contrôle de la situation, et je devais avouer que c'était assez astucieux pour quitter l'emprise de mes lèvres sur les siennes, poser sa main sur la mienne derrière sa nuque et dans l'élan briser son collier, laissant les perles de celui-ci se balader partout dans l'arrière de la voiture. « Quelle maladresse. » lui dis-je faisant mine d'être berné par son stratagème alors que pas du tout et elle prétextait qu'une perle s'était glissée entre mes jambes et sans me laisser le temps de répondre, elle glissait sa main de mon torse jusqu'entre mes jambes, évidemment je sursautais légèrement en la sentant passer juste à côté de mon intimité qui commençait d'ailleurs à se montrer prenante par la légère bosse qui se forme puis après quelques secondes sa main remontait, je voyais la perle entre ses doigts et je souriais « Qu'avez-vous trouvée exactement ? » lui dis-je rapprochant mon visage du sien, attrapant sa main où se trouvait la perle « La perle... » et je descendais sa main jusqu'à la poser sur mon entrejambe « ou ceci. » à moi de reprendre les reines.

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J’avais en face de moi, un homme tout aussi séduisant et joueur. Un homme, comme je les aime. Oui, on peut dire que Lukà marquait pas mal de points. Et en plus, il embrassait divinement bien. Qui l’eût cru que j’allais passer une excellente soirée ? C’est vrai qu’elle avait commencé d’une manière plutôt banale. Une soirée dans un musée, comme si je m’intéressais à l’art… Mais j’avais dû y accompagner l’un de mes clients les plus fidèles et surtout l’un des plus puissants aussi. J’aurais pu continuer à contempler des tableaux et sourire à toutes les personnes auxquelles j’étais présentée. J’aurais pu continuer à me goinfrer de petits fours et boire un champagne que je ne pourrais jamais m’offrir avec seulement mon salaire de secrétaire. J’aurais pu continuer à bailler intérieurement en écoutant les commentaires des uns et des autres sur tel ou tel sujet. J’aurais pu continuer à jouer mon rôle de trophée, de future épouse parfaite, de future madame Grant. J’aurais pu continuer à redorer l’image du sénateur par ma beauté et ma jeunesse à faire pâlir l’ex madame Grant. J’aurais pu continuer à faire ce pourquoi on m’avait payée. Ouais, j’aurais pu…mais au lieu de ça, je me retrouvais sur la banquette arrière de la voiture d’un jeune héritier russe. Lukà. Il avait fallu d’un regard pour que le jeune homme m’attrape dans ses filets. Un regard pour qu’il attise ma curiosité, pour que je cherche à en savoir plus. Un regard pour je prenne la décision de le suivre dans cette voiture. Oui, tout ceci avait débuté par un regard, un simple regard. Pourtant, je n’étais pas si facile d’accès, certains diront que je suis froide voire hautaine, que je prends les gens de haut et que je leur accorde que très peu d’importance. Et ils ont raison, pour pouvoir m’approcher et espérer avoir ne serait-ce qu’un bonjour de ma part, il faut avoir ce truc, à moins que je sois « en service » et que je doive faire bonne figure. Et Lukà semblait avoir ce truc, puisque je me retrouvais à ces côtés. De là, nous avions commencé à nous tester l’un l’autre, qui flancherait en premier. J’avoue avoir un peu perdu la main sur ce coup, il m’avait bien eu en jouant avec mes nerfs retournant mes propres coups contre moi. Ouais, il était aussi bon que moi à ce jeu et ça me plaisait. J’avais enfin un adversaire à ma taille, mais jusqu’où irions-nous ? En effet, nous étions déjà à un stade très avancé de la partie : sa main sur ma cuisse, mes mains déboutonnant sa chemise et nos lèvres collées les unes contre les autres tandis que nos langues se cherchaient dans un ballet dansant. Je commençais même à y prendre goût et à me perdre dans ce baiser, mais je devais me ressaisir et je n’avais pas dit mon dernier mot. C’est donc dans un élan de fausse maladresse que je rompis ce baiser brisant mon collier de perles au passage. Je pense que Lukà avait très bien compris mon petit jeu au vu de sa remarque, qui me fit légèrement sourire malgré la petite moue triste que je tentais d’afficher. Cependant, je constatais un léger sursaut tandis que ma main se glissait entre ses jambes caressant au passage son entrejambe qui formait déjà une légère bosse. Il me demanda alors ce que j’avais trouvé alors que je remontais ma main, une perle entre mes doigts et un air victorieux sur le visage. Et avant même que je n’eus l’occasion de répondre, il saisit ma main qui tenait la perle et la redéposa sur son entrejambe dont la bosse avait déjà pris en volume, tout en me demandant si je parlais de la perle ou de son intimité. OH MY GOD, comme qui dirait ! Je ne m’y attendais vraiment pas : ce jeune homme était vraiment rempli d’audace et il avait encore une fois très vite compris mon sous-entendu. Non, vraiment ce Lukà Petrov me plaisait de plus en plus. J’étais plutôt flattée de savoir que je lui faisais un tel effet. Cependant, ce n’était pas ce soir qu’il allait assouvir ses désirs les plus fous en ma compagnie. Et oui, maintenant que je savais à quel point il était excité, j’allais l’achever de mon coup de grâce en le laissant sur sa faim. Frustrant, non ? Cependant, avant cela j’exerçais quelques pressions sur son entrejambe, histoire de lui faire croire que l’on irait plus loin. « Voyons, la perle bien entendu… » Mes paroles et mes gestes étaient en contradiction la plus totale. Sur ces paroles, je lâchais son entrejambe afin de me tourner vers le chauffeur auquel je demandais de s’arrêter au coin de la rue. Je sortis un crayon à lèvres de ma pochette, puis je saisis la main de Lukà qui était encore sur ma cuisse et j’y écris mon numéro de téléphone omettant d’y inscrire les deux derniers chiffres. Oui, joueuse jusqu’au bout, bien qu’il ne devrait pas avoir trop de difficultés à retrouver les derniers chiffres, simplement ça lui prendrait peut-être un certain temps. La voiture finit par s’arrêter. J’approchais alors mes lèvres de son oreille. « Première règle du jeu : Patience est mère de sûreté… » lui chuchotais-je au creux de l’oreille avant d’ouvrir la portière et descendre de voiture. Cependant avant de refermer la portière, je le saluais une dernière fois. « Ce fut un plaisir ! A très bientôt Lukà Petrov » Au fond de moi, je savais que nous allions nous revoir très bientôt.
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