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The crying game ❥ MAXENCE

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Maxence

Tu es presque à la fin de ton service, tu comptes les minutes sans avides de connerie que tu peux faire. Tu as encore fait tomber une tasse la dernière fois, tu as vraiment besoin de ce travail mais tu es trop fragile et maladroite pour servir des cafés. Qu’est-ce que tu vas faire de ta vie, toi qui rêves d’être une grande reporter alors que tu ne ressembles qu’à une pauvre poupée fragile ? Tu sers un cappuccino alors que la porte d’entrée de ton lieu de travail laisse échapper un courant d’air qui te fait frissonner. Tu ne lèves pas la tête tout de suite, tu préfères te concentrer sur tes gestes actuels. Mais lorsque tu relèves la tête, ton visage se fige totalement et ton cœur se brise. Maxence. « Je prends une pause cigarette ! » Tes mots sont fragiles et ton patron te regarde d’un drôle d’air, tu ne fumes pas, tu n’aimes pas ça, d’où son air perplexe. Tu sors à toute vitesse dehors par la sortie des employés et tu te colles contre le mur. Il t’a vu, il a posé son regard intense sur toi et tu le sais, autant qu’il le sait… Quoi ? Tes pensées se brouillent alors que tu tentes de respirer convenablement. Depuis cette soirée il s’en veut et tu t’en veux également, tu aurais préféré que tout ceci se passe autrement…
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Edelweiss

Comme une bonne envie de café. C'est pour cette raison que tu te rends au starbuck coffee au Yard. Tu ne penses pas une seule seconde croisée une certaine personne. Non tu y vas pour avoir ton fameux café préféré et repartir aussitôt pour réviser tes cours. Or, une fois à l'intérieur de l'établissement ton regard se dépose sur Edelweiss. Tu ne sais pas comment te comporter en ce moment. Dois-tu ressortir aussitôt ? Dois-tu continuer et faire semblant de ne pas l'avoir vu ? Tu ne sais vraiment pas y faire avec les femmes, c'est désolant. Tu t'approches finalement du comptoir après avoir vu Edelweiss sortir par la porte arrière du starbuck coffee. Tu récupères ton cappuccino et un chocolat chaud et tu te diriges vers l'arrière boutique où tu vois le visage de la jeune femme. Tu t'approches d'elle doucement en lui tendant le chocolat chaud que tu venais de payer spécialement pour elle. Pourtant, il s'était passé quelque chose lors de cette soirée. Elle s'en voulait comme tu t'en voulais. Tout est complexe entre nous. On ne sait plus comment réagir l'un envers l'autre. « Je fais le premier pas vers toi, ne me rejettes pas. » Tu essayes d'améliorer les choses dans ta vie. C'est bien mieux ainsi, vous ne trouvez pas ?
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Maxence

Pourquoi tu as fui dès que son visage a passé cette porte ? C’est absurde, pourquoi tu te reproches toutes ces choses ? Tu es malheureuse depuis cette fameuse fête Mathers, tu te sens abandonnée, sale et souillée, tu ne vois plus la vie du même côté, tu n’es plus rayonnante et lumineuse, tu ne profites plus de quoi que ce soit. Tu te contentes d’aller en cours, d’aller au travail et de courir pour rentrer avec les filles à la Cabot House. Est-ce que c’est une vie convenable ? Non, mais c’est la tienne. Dès que tu as posé ton regard sur lui, ton cœur s’est emballé et tu n’as pas eu d’autres choix que de le fuir. C’était Maxence dont tu étais tombée sous le charme, c’était avec lui que tu devais initialement finir la soirée, pas avec ce type pourri jusqu’à la moelle. Une fois dehors, tu te penches légèrement pour te préparer à toute réaction éventuelle. Tu as envie de vomir. Tu te redresses ensuite en croisant les bras contre ta poitrine, qu’est-ce qu’il va penser de toi en te voyant fuir de la sorte ? D’un coup tu sursautes, tu es tellement dans tes pensées que tu ne l’as pas vu venir. « Je… eum... » Tu le fixes derrière tes lunettes l’espace et d’un instant tu as l’impression que le monde autour de vous s’arrête à nouveau, comme ce soir-là. Tu attrapes le chocolat qu’il te tend, comment sait-il que c’est ce que tu prends ? Tu baisses la tête, il est attentionné pour un Mathers, à vrai dire c’est ce qui t’avait fait craquer autrefois et malheureusement encore aujourd’hui, même après tout ce qu’il a pu se passer. « Merci Maxence. » Tu ne sais pas quoi dire d’autre, tu te sens tellement faible face à lui…
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Edelweiss

Tu ne comprends pas pourquoi Edelweiss avait fui son poste de travail à la vu de ton visage. C'est plutôt toi qui devrait lui en vouloir, de la fuir. Puisque tu devais passer la nuit avec elle mais, elle a préféré un autre homme ce soir-là. Alors, que ton regard se posait sur elle tu avais le cœur qui s'emballe méchamment. Tu ne comprenais plus rien. Tu t'es simplement contenté d'aller au Starbuck Coffee pour prendre ton café parce que tu en avais besoin. Ça te faisait plaisir de la revoir, or ce n'était pas la même de son côté. Tu avais finalement pris un cappuccino pour toi et, un chocolat chaud pour elle. Tu te rends machinalement vers l'arrière boutique puisque tu l'avais vu s'enfuir de ce côté-là. Tu t'approches d'elle doucement tout en lui tendant le chocolat chaud vers elle. Elle semblait surprise que tu l'aies rejoint à l'arrière. « Pourquoi es-tu si surprise de me voir ? » Dis-tu à son égard. Tu te places à ses côtés pour boire doucement ton cappuccino. Tu laisses un silence s'installait entre vous un court instant. « Y a pas de quoi Edelweiss. » Tu ne peux rien répliquer d'autre que ça. C'est compliqué entre vous, c'est même assez tendue pour tout dire. « Tu peux me dire pourquoi tu t'es enfui dans l'arrière boutique quand tu m'as aperçu ? » Tu as besoin de la vérité pour avancer, pour savoir ce que tu peux représenter pour elle aussi.
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Maxence

« Je… Je n’en sais trop rien, tu ne devrais pas être là, c'est… c'est réservé aux salariés et aux fumeurs… enfin je pense. » Tu ne sais plus où te mettre tu as l’impression que tes jambes vont chanceler sous le poids de ce doute, de ces mensonges. Tu inspires un bon coup et tu poses ton regard sur son visage si agréable, comment peut-il être aussi calme alors que toi tu as l’impression que le monde autour de toi va s’écrouler ? Tu attrapes d’un geste plutôt fébrile le chocolat qu’il te tend, il est si attentionné pour un Mathers, tu te remémores les détails qui ont fait que tu as craqué pour lui, depuis le début. Tu penches la tête vers ton gobelet et tu laisses tes cheveux parsemer ton visage jusqu’à presque le masquer. Tu l’entends te demander pourquoi tu as fui lâchement alors que tu l’as aperçu rentrer dans ton lieu de travail. Tu te redresses et décides d’affronter son regard qui semble tenter de te percer à jour. « Pour fumer une cigarette pendant ma pause ? » Odieux mensonge, tu te mords la lèvre inférieure. Tu ne fumes pas et Maxence le sait, la dernière fois que tu as essayée tu as cru perdre tes deux poumons à tenter de recracher cette fumée infâme. Tu n’as donc pas non plus de cigarettes sur toi, le mensonge n’est vraiment pas ton fort. Le silence pensant fait son retour et tu comprends qu’il ne va pas te lâcher de sitôt. « Je t’ai fui parce que je ne sais pas quoi te dire, je n’arrive pas à soutenir ton regard, je ne sais pas comment me comporter avec toi, voilà. »
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Edelweiss

« Je fais ce que je veux et, tes patrons n'ont absolument rien à me dire. » Dis-tu en ancrant ton regard dans le sien. S'ils viennent à te dire quelque chose, tu les enverras valser très rapidement. Tu restes calme face à-elle. Cela ne te sert à rien de t'énerver où même lui faire savoir des choses. Ce qui s'est passé autrefois reste dans le passé. Pas la peine de remuer le couteau dans la plaie. Toute façon, tu n'as pas envie de remuer le passé. Tu as déjà du mal à gérer le présent, autant pas en rajouter une couche. Toujours le regard figé sur le visage d'Edelweiss, tu te surprends toi-même à lui sourire tendrement. Elle a toujours ce visage angélique qui t'a fait fondre auparavant. C'est hallucinant. Tu lui demandes ensuite pourquoi elle t'a fuit soudainement à la vue de ton visage. Tu attendais qu'elle te répond franchement. Sauf, qu'elle ne le fait pas ... Tu ne devrais même plus être étonné. « Dit-elle alors, qu'elle ne fume pas de clopes. » C'est vraiment ce foutre de ta gueule. Elle n'a même pas une cigarette entre les mains ni même un paquet dans sa poche. C'est une excuse vraiment pathétique. D'ailleurs ça t'a donné envie de fumer alors, tu ne te gênes pas pour récupérer une cigarette de ton paquet pour l'amener à tes lèvres pour ensuite l'allumer. Tu viens à tirer une latte dessus tout en écoutant la suite des propos d'Edelweiss. « Je ne te comprends pas ... » Tu ne dois pas être aussi gênée avec moi. Tu as fait des choix par le passé ... même si tu as du mal à les accepter tu as tournée la page. Faut arrêter de se tourmenter avec les choses du passé. « Il s'est passé ce qui s'est passé cette soirée-là. Je suis le perdant dans l'histoire ... j'ai fini par l'accepter, tu devrais faire la même chose. »
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Maxence

Tu ne sais pas quoi dire à ce qu’il vient de te lancer, il te laisse la bouche ouverte, hésitante. Tu n’as pas de répartie, encore moins à ce sujet, il a raison, il faut ce qu’il désire, c’est un rebelle dans l’âme après tout. Tu refermes tes lèvres et te contentes de baisser la tête telle une gamine qui a fait une grosse bêtise. Il est trop difficile pour toi d’affronter ton regard. Vous auriez pu être si parfaits ensemble, vous auriez pu construire quelque chose. Tu te faisais peut-être des idées mais au moins, l’espoir d’une relation avec Maxence te faisait sourire. Énième affront, tu sais très bien qu’il te connaît, qu’il sait que tu ne cèdes pas aux démons des mathers comme l’alcool, la drogue ou même les cigarettes. Tu ne fumes pas mais à part cet endroit, où fuir ? Tu ne te doutais pas tout à l’heure qu’il allait te suivre dans cette ruelle isolée. Tu inspires profondément, les mots te manquent, tu es fautive à cent pourcents et tu le sais alors tu te contentes de rester tête baissée, à regarder le chocolat qu’il t'a généreusement offert. Tu l’aperçois prendre une cigarette, tu lui attrapes alors le paquet d’une main et te sers dans celui-ci. « Je fume maintenant, j’ai juste oublié mes cigarettes à l’intérieur. » Tu t’enfonces un peu plus dans le mensonge, tu es totalement ridicule. Attraper son paquet et lui répondre de cette manière, aussi désinvolte, ce n’est pas du tout toi, mais il faut croire qu’avec lui, tu n’as jamais vraiment été toi-même. Soudain, ta tête remonte et tes yeux se plongent dans les siens, ton regard devient plus dur, plus suppliant. Tu tends la cigarette vers lui, un geste avec un couteau ou ne serait-ce qu’un stylo à la place de cette cigarette aurait été menaçant. « Tu ne sais pas Maxence, tu n’es vraiment pas le perdant dans cette histoire. Je… je ne peux pas accepter ce qui s’est passé ce soir-là. » Tu sens les larmes te monter aux yeux. Ce soir-là tu as tout perdu, ton âme, ta lumière, ta potentielle histoire d’amour, ta dignité, ton envie de vivre pleinement ta vie de jeune fille épanouie, tellement de choses…
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Edelweiss

Personne n'a aucun droit sur toi. Tu fais absolument tout ce que tu veux. Si tu veux te trouver dans l'arrière boutique qui est réservée aux employés du café. Très bien, tu le comprends. Mais, si tu es là c'est pour une bonne cause et tu ne partiras pas d'ici. Hors de question. Tu te mets même à penser au futur que tu aurais pu avoir avec Edelweiss avant que le drame arrive. Lors de cette soirée, tu t'es senti comme un abruti. Comme un con. Un impuissant face à la scène qui s'est jouée devant tes yeux. Tu ne pourras jamais l'oublier. Tu aurais pu être tellement heureux avec elle. Mais, tu as fait une croix la-dessus après être entré dans cette fameuse chambre. En pénétrant dans ce café où tu as l'habitude de venir acheter, tu ne t'attendais pas à avoir Edelweiss devant toi. Tu ne savais même pas qu'elle travaillait dans ce café. C'est pour dire. Bref, tu récupères une cigarette de ton paquet après l'avoir sorti de ta poche. Tu la regardes t'en prendre une pour qu'elle la mette entre ses lèvres. Même si elle essaye de faire semblant qu'elle fume. Tu sais pertinemment qu'elle n'aime pas ça. Tu la connais un minimum pour savoir quand elle ment ou non. « Tu as commencé à fumer quand ? » Tu rentres dans le jeu d'Edelweiss. Tu veux voir jusque où elle est capable d'aller dans ses mensonges. Sauf, que tu viens à dire des mots qu'il ne fallait probablement pas. Puisqu'elle vient à te tendre la cigarette comme une arme vers toi. Cette réaction est soudaine et, tu ne comprends pas tout. « Alors, explique-moi tout Edelweiss ? J'attends que ça de comprendre ce qui s'est produit ce soir-là ! » De comprendre pourquoi tu as été avec l'autre et non avec moi. De réussir à mettre un mot sur notre éloignement suite à cet évènement. Toutefois, quand tu la vois avoir les larmes aux yeux. Ton cœur vient à se tordre dans tous les sens. Tu n'aimes pas la voir dans cet état-là. Tu viens machinalement à lui essuyer les joues avant de la prendre dans tes bras comme pour la calmer légèrement. Tu te montres attentionné et sensible à son égard. Une facette de ta personnalité qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de voir.
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Il sait que tu mens et tu sais qu’il sait que tu mens… Étrange situation qui te fait perdre la tête. Tu le regardes droit dans les yeux un instant, alors que tu attrapes cette cigarette dans un élan de confiance qui ne te ressemble pas, puis tu baisses à nouveau le regard, totalement honteuse. Tu ne sais pas quoi répondre, tu n’es pas une fumeuse, tes poumons se serrent rien qu’à la prise de cet objet toxique. Tu étudies la cigarette du regard, tu réfléchis à la contenance de celle-ci, ce sont des informations dont tu te fiches mais qui sont beaucoup plus intéressantes pour ton esprit que l’angoisse qui tente de te consumer à cause de ta proximité avec Maxence. Tu fermes un instant les yeux et la minute d’après, te voilà en train de menacer ton ancien… ancien quoi ? Tu ne sais même pas quelle dénomination mettre sur sa personne, sur votre relation. Tu te mets à frissonner en réfléchissant à ça. Durant cette soirée, tout aurait pu bien se passer, si cela se trouve, tu serais actuellement en couple avec lui à cet instant et en bon petit ami il serait juste passé te faire un petit coucou au travail. Mais dans ta vie, rien ne roulait, tout se brisait, le destin n’était pas rose et ne s’apparentait pas aux contes de fées. Tu lui craches presque au visage qu’il ne sait pas ce qui s’est passé ce soir-là et ton cœur se serre. Il a compris que quelque chose n’allait pas, il te prend dans ses bras après avoir caressé ta joue et tente de te rassurer. À bout de forces, tu laisses tomber ta tête contre son torse, profitant de l’odeur agréable de son parfum. Tu te crispes alors qu’il te demande ce qui s’est réellement passé. Comment lui avouer que tout s’est brisé en toi ce soir-là, que tu as tout perdu et que depuis tu n’es plus réellement la même ? Tu hoquètes tout en entrouvrant tes lèvres qui tremblent. Tu recules alors ton visage pendant que les larmes se frayent à nouveau un chemin à travers tes yeux vident d’âme. « Lorsque je t’attendais dans la chambre, quelqu’un est entré. Quelqu’un a pris ta place, sans me demander quoi que ce soit, sans me demander mon avis, sans que je puisse faire quoi que ce soit, il... » Ta voix se brise. Tu n’as pas eu ton mot à dire, tu n’as pas pu te défendre, voilà ce qui s’est passé.
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Edelweiss

Elle ment, tu le sais très bien. Pourtant, tu ne peux pas lui en vouloir. Elle essaye de te troubler ou encore de te semer comme elle l'a fait auparavant quand elle t'a vu débarquer dans le café. Tu ne sais pas pourquoi elle réagit de cette manière avec toi. Ça dure, depuis quelques mois déjà. Tu en as marre de devoir raser les murs pour éviter de croiser le regard d'Edelweiss. Puisque tu serais capable de craquer pour elle encore. Elle a un pouvoir sur toi, qui est indescriptible. Tu allumes ta cigarette pour en tirer une latte alors, que du côté de la jeune femme elle venait de retirer la cigarette de ses lèvres pour me menacer avec l'objet. Tu fumais tranquillement quand soudain, elle vient à pleurer. Tu ne comprends pas pourquoi ni comment cela vient de se produire. C'est arrivé soudainement, sans que tu t'y attends. Tu la prends dans tes bras après lui avoir essuyé les larmes. Tu as besoin de la réconforter, c'est plus fort que toi. Tu lui caresses le dos délicatement mais, elle vient à s'écarter de tes bras pour te faire face. Tu ne t'attendais pas à ce qu'elle vient te dire. Tu n'aurais jamais cru ça. Pour toi à l'époque, elle s'était offerte à l'autre homme et non le contraire. Ni même le pire. Jamais, ô grand jamais tu aurais pu imaginer une chose pareille. Tu viens à lui essuyer une nouvelle fois les larmes qui coulaient à flot sur ses joues avant de répondre ceci. « Je suis désolé. Je ne pensais pas que t'ai pu vivre ça. Je pensais que tu avais préféré l'autre homme. Je suis vraiment désolé d'avoir pu croire le contraire. » Tu es mal à l'aise face à-elle. Tu ne sais pas comment te conduire envers elle. Pas après avoir appris tout ceci sur cette fameuse soirée. Tu t'en veux tellement ... et, tu t'en voudras des années encore. « Je suis là pour toi, Edelweiss ... j'aurais dû être là pour toi ce soir-là. Je n'aurais pas dû réagir de cette manière. J'aimerais tellement que tu me pardonnes. » Qu'elle puisse encore avoir confiance en toi. Qu'elle puisse te pardonner d'avoir été un lâche. D'avoir été égoïste et d'avoir pensé que tu n'étais pas assez bien pour elle.
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