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This means war • Harleïa

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La porte c'est refermé et j'inspire de mon cotée en déposant ma canette sur la surface la plus proche. J'avais reculé de quelques pas avant d'entendre sa voix de l'autre cotée. Quelque chose que je n'espérais plus vraiment entendre, mais j'avais oublié qu'il cherchait toujours avoir son argent. Il était peut-être temps de se trouver un emploi je ne sais pas. Qu'est-ce qu'il en penserait mes parents ? Comme s'ils avaient quelque chose en faire de leur fille qui c'est barré sur un autre continent. Je n'ai pas eu aucune nouvelle depuis que je suis partie avant qu'on m'annonce que Harlow existait. Je fermais doucement les paupières en restant il fallait que je reste calme du mieux que je le pouvais , mais j'étais déjà au bord de la falaise toute tremblante malgré moi, tremblante de colère et d'une peur incontrôlable pour quelqu'un qui ne pouvait pas me ressembler . La seule chose qu'ils avaient pu faire c'est de m'enfermer à la maison pour que je sois sur surveillance pour que j'arrête de m'attirer les ennuies pendant les cours. Je me sentais comme un fardeau, comme un truc non voulu qui n'avait pas eu le courage d'avorter. Et ça faisait mal de penser que pourtant je les aimais si fort malgré tout ça. C'est pour ça que Harlow était tant important pour moi, je me sentais moins seul dans mon univers avec des parents décalés, mais c'était même pas comparable lui on l'avait tout simplement abandonné, comme une pauvre merde, un simple vieux déchet. La colère me brulait la peau de plus en plus et il n'avait plus de retour en arrière. Non, il avait touché un point sensible et en plus il le savait, il devait se marrer avec son petit sourire au coin des lèvres. Je serrais doucement les poings. J'avais envie de tout faire voler un peu plus loin dans la pièce, de déplacer les meubles un par un à nouveau, de foutre le bordel. J'ouvrais la porte un peu trop rapidement et elle allait se frapper contre le mur. Je le regardais lui contre son mur dans ses airs amusés. Pourquoi j'étais attaché à un connard pareil ? «Tu veux pas me parler de tes parents , alors je ne te parle pas des miens . Et vas y va leur dire tu auras le droit à un grand silence. Ils en ont rien à faire. » Trouve quelque chose d'autre. «Ah et au fait c'est pas juste mes parents c'est les tiens aussi. » Aller frappe moi j'attends que ça.

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❝ HARLEÏA + Pour survivre à la guerre, il faut devenir la guerre. ❞This means warLundi 2 mai. Pour être sincère j'commence vraiment à me prendre à ce jeu d'emmerder Veïa, parce qu'au fond de moi je sais parfaitement que si j'arrive pas à avoir cette preuve qu'on s'est réconciliés, ma mère pourra pas s'en tenir à sa promesse et plus rien me donner. D'jà qu'elle a rien dit tout le temps où j'ai pris des coups, ça serait bête pour elle d'me perdre à jamais pour une histoire comme ça. C'que je fais là c'est ni plus ni moins que de me venger de tout ce qui m'est arrivé comme j'tombe sur plus faible que moi, en plus elle a beau m'insulter ça me touche pas, à mes yeux c'est une personne comme une autre alors pas de traitement de faveur. Si moi j'suis du genre à m'en foutre de déranger mes voisins, là pour se faire inviter à la prochaine fête elle peut y dire adieu la Veïa vu comme elle maltraite sa porte, les tableaux ont dû trembler dans les autres appartements mais moi ça m'impressionne pas ses gestes désespérés. « Faut croire que t'es vraiment un boulet pour tout le monde en fait ... » J'ai jamais prétendu être gentil, encore moins avec elle alors j'ai aucun problème pour lui faire face et lui dire ça yeux dans les yeux avec ce sourire presque carnassier sur les lèvres, non j'suis pas Ghandi moi. J'roules des yeux, elle trouve que ça à me répondre sérieusement ? Bah falloir encore combien d'insultes ou de crises de nerf pour qu'elle comprenne que moi j'suis un Falgren et elle une Alvisio, on mélange pas les deux familles c'tout. « Les parents c'est ceux qui élèvent l'gamin, et à ma connaissance j'parle pas un mot d'italien alors pour la dernière fois, non c'est pas les miens » J'considère même plus les américains comme étant les miens après tout ce qu'il a pu se passer, alors elle peut toujours rêver pour qu'un jour je me sente de son côté. Maintenant que j'la sens presque à bout j'ai plus trop besoin de me montrer aussi agressif, on la joue cool parce que là j'ai pas envie de finir avec une migraine alors pour l'instant j'vais plutôt opter pour une approche plus détachée. « Maintenant que t'as fais trembler tout l'immeuble, t'es prête à sourire pour la photo ? » Je lâcherai pas par challenge, j'me suis mis en tête de gagner et j'suis un compétiteur dans l'âme. © 2981 12289 0
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