TALLOW> It's a paradise, it's a warzone?

J'en revenais tout simplement que Willow était devant moi, à Dubaï et surtout parce qu'elle avait choisi un nouveau refuge avec les Eliots. Dans ma tête, le temps s'était arrêter et surtout, je me posais mille et une question. Après tout, mon ex revenait de ma vie après que je l'aille volontairement supprimer après qu'elle aille choisi de coucher avec mon meilleur ami et que je connaisse la phase la plus sombre de ma vie, blesser par l'amour. Je m'ordonnais mentalement de prendre du temps pour anticiper le choc de son retour, c'était une nouvelle énorme et je ne l'avais pas venu venir non plus, surtout la question du timing était importante, genre pourquoi maintenant? Est-ce qu'Andrew savait qu'elle était là? Avait-elle repris contact avec lui en premier? Bon, ok ce n'était pas le temps d'être jaloux pour une information aussi légère que sa. Je lui avais bien sûr envoyer en blague que malgré tout le temps passé à la Eliot House, elle y avait toujours sa place sauf qu'on avait la règle sur les co-chambreurs: ''J'aurais dis oui tout de suite mais les règles des confréries nous empêche les chambres mixtes...''. Je ne voulais pas lui donner des faux espoirs mais comme si elle allait s'empêcher de faire ce qu'elle voulait. Alors qu'on continuait de visiter les souks de Dubaï, je ne pouvais pas m'empêcher d'être impressionner par la culture et surtout leur art. Une question m'effleurait l'esprit et surtout je me demandais ce qu'aurait été ses intentions si on aurait été à Harvard. Je croisais les bras sur mon torse et hochait la tête, elle était honnête, ce que je ne pouvais qu'apprécier de sa part. Je fini par lui sourire et dit: ''Pourquoi tu crois que j'aurais été fâcher? Parce que j'aurais supposer que tu venais dans ma confrérie pour me récupérer à tout prix? Je ne suis pas fâcher Willow, on s'est tout dit la dernière nuit qu'on a passé ensemble même si les mois qui ont suivis ont été l'enfer pour moi, j'apprécie ton honneteté.''. Je regardais des trucs en or sur la table et lui dit en coin de l'oeil:''Alors je peux te demander où était tu cacher pendant ces mois? Tu es rentrée simplement en Italie?''.

C'était dommage, j'étais bien fan à l'idée de pouvoir partager ma chambre civilisement avec Willow malgré que je réussissais à sourire, om savait très bien tous les deux que sa serait probablement plus néfaste que d'autre chose. ''C'est vrai mais tu ne peux pas me reprocher que mon intention n'était pas bonne.''. Je me demandais comment j'allais devoir agir avec Willow, je ne voulais pas me montrer faible et encore fragile suite à son départ, je voulais qu'elle aille de moi l'image d'un Tate encore en pleine possession de ces moyens et qui ne pouvait pas avoir le cœur brisé, c'était ce qu'elle se souvenait le plus de moi alors je ne voulais pas entacher sa mémoire en lui montrant à quel point j'avais changé moi aussi. Je hochais la tête, elle avait raison d'un certain côté. Elle était une femme Willow, elle n'était plus une fillette, elle n'avait pas besoin de justifier ces moindres faits et gestes dans le but d'avoir mon approbation car cela m'importait peu, je devais rester détacher d'elle émotionnellement alors c'était drôle qu'elle pense ainsi, du moins c'était ce que je trouvais. ''C'est pas grave Willow. On a couché ensemble une dernière fois et le lendemain, tu as disparue. Je pensais que c'était peut-être parce que tu ne voulais pas des derniers aveux face à face. Tant mieux, si tu es Eliot, pas besoin de ma permission. J'aurais probablement été énerver qu'elle me demanda le permission pour venir dans ma confrérie, on se devait plus rien quand même. Si j,aurais eu un verre, je me serais probablement étouffer. Quoi? WOW sacré nouvelle! ''Fondateur de Prada?! Ce n'est pas rien, tu t'imagines les avantages maintenant. Allons prendre un thé, tu m'en diras plus.''. Non loin des souks, il y avait un petit café c'était parfait, on allait être tranquilles.

Jusqu'à présent tout allait bien. Aucun signe de paranoïa ou de crise en vue. Une chance que mon psy m'avait aidé à travailler ses éléments dans le but qu'un jour j'allais revoir celle qui m'avait perturbé, qui m'avait rendit si faible alors que je voulais être le plus fort pour tout le monde. Dommage, j'allais devoir lui faire un chèque au Dr.Stevens, lui qui avait gager avec moi que je la reverrais alors qu'une partie de moi avait toujours refuser de voir cette possibilité de peur de souffrir de nouveau, de peur de voir si noir alors que la vie était si blanche. On était dans un milieu peut-être orientale mais entre nous, j'avais l'impression qu'on était deux prédateurs qui s'évaluait pour voir si on devait rester sur nos gardes ou une relation de confiance pouvait s'établir après autant de dommages. Après tout, j'avais été habitué de ivre sans sa présence à mes côtés alors que la vie me réservait une belle surprise pour le voyage de la maison, je ne savais plus finalement si je devais aimer Dubaï ou pas, je le saurais après ce moment en compagnie de Willow. Ca me dérangeait pas qu'on aborde les sujets de son départ mais je ne me voyais pas parler d'Andrew avec elle juste la, c'était encore frais dans ma mémoire, la cicatrice sur mon cœur avait cicatrisé mais c'était encore tout rose. Je lui avais proposé d'aller boire un thé au café au bout des souks, c'était quand même incroyable, on se mettait en route et 10 minutes plus tard, on était à une petite table, menu en main à l'extérieur, dieu merci que j'avais apporté mes lunettes de soleil. De quoi parler maintenant? Je ne savais pas sur quel pied dansé...''En tout cas, j'ai failli ne pas te reconnaître ton style vestimentaire, tes cheveux....c'est la nouvelle Willow sa? ''.

Jusqu'à présent, j'étais fier de voir que je pouvais contrôler mes émotions devant Willow. Oui au début, je croyais que je n'aurais jamais à la confronter depuis qu'elle avait quittée ma vie et d'y revenir sans prévenir garde. Je pouvais sentir que de son côté comme du mien, on était réservés, je pouvais sentir que certains sujets seraient encore à éviter, trop fragile pour en parler surtout mon meilleur ami, mentalement je n'étais pas capable d'en parler avec elle. Il faudrait que le temps passe pour voir si je pouvais lui faire de confiance de nouveau et surtout voir si son passage n'était pas que passager, que cette fois elle était sérieuse et qu'elle ne repartirait pas à la première dispute. Alors en même temps de se retrouver, pourquoi ne pas continuer la visite des souks de Dubaï c'était tout simplement génial et en même temps, c'est que je verrais si je reverrais une vieille connaissance...On se rendait au petit café du coin et en scrutant le menu, j'avais supposé ce que j'avais sous les yeux était la nouvelle elle car malgré les dommages, je me rappelais encore très bien à quoi, elle ressemblait avant. Mes yeux quittaient le menu et je lui souriais: ''Je suppose que oui.''. J'avais été brièvement en Italie dans ma jeunesse, ayant surtout été à des rencontres soirées à Rome et faire la fête avec des amis dans des vignobles de la Toscane. Je prenais ma décision sur ce que j'allais prendre quand je l'écoutais prendre de mes nouvelles. Je riais un peu et dit: ''On dirait des questions qui nous aide à ne pas rendre l'ambiance bizarre mais je crois sa va, sa va beaucoup mieux...Bien content d'être sorti de ma mauvaise passe si je peux le dire comme sa. J'ai énormément de travail à rattraper, j'ai manqué deux semaines de cours à cause....à cause...''. C'était mal de dire à cause de toi? alors je dis: ''à cause que je suis tombé gravement malade.''. Petit mensonge.