AEL&FIDJI | anything that can possibly go wrong, does

Il pencha la tête trouvant vraiment étrange la jeune femme sur son vélo, elle ne devait pas descendre normalement ? Enfin c'était ce que toutes personne seraient capables de faire, mais pas Fidji apparemment. Ses sourcils se froncèrent en entendant sa question, c'était assez étrange. Le jeune homme se demandait bien ce qu'il devait se passer surtout qu'il sentait clairement que c'était un mensonge, elle le prenait vraiment pour un idiot ? Au fond, elle lui donnait des cours alors, qu'il était plus vieux qu'elle alors, elle pouvait clairement penser une telle chose. Il passa sa main dans ses cheveux tout en gardant un sourire sur ses lèvres ne préférant pas penser à mal. « Je fais un petit tour et comme je t'ai vu, j'ai pensé à te dire bonjour. Mais apparemment… » Il haussa juste les épaules ne sachant pas vraiment quoi répondre, il voyait bien l'attitude étrange de la brune et il n'avait pas envie d'avoir un quelconque souci avec elle. Le bouclé s'entendait bien avec elle, ils passaient des moments assez drôles quand ils révisaient ensemble. Alors, ce n'était clairement pas une bonne idée d'avoir des soucis avec elle. Ses sourcils se froncèrent encore une fois avant qu'un rire ne sorte de sa bouche, elle le voyait presque comme un ange alors, qu'il était loin d'être comme cela. Le bouclé se voyait comme un connard maintenant, il n'avait plus rien à foutre des jeunes femmes, une fois avait été amplement suffisante pour lui. Mais c'était une amie, une bonne amie alors, les choses n'étaient pas les mêmes ? Enfin, qu'importe. « Que veux-tu ma chère Fidji ? » Ael pencha la tête encore une fois tout en le regardant dans les yeux, il finit tout de même par s'avancer tout en passant sa main dans ses cheveux ayant réellement envie de rire, il n'avait jamais vu comme cela et c'était assez étrange en plus d'être vraiment amusant. « J'ai l'impression que tu me prends pour un débile, je ne sais pas si je dois être offensé ou pas du tout. » .

FEAT AEL & FIDJI Si mes oreilles avaient pu doubler de taille lorsqu’il m’expliquait qu’il venait simplement me dire bonjour, elles l’auraient fait. C’est vrai, ça, je ne l’avais pas salué. Pas même un petit sourire à son égard pour ce faire. J’avais agi comme une enfant gâtée, et surtout très mal élevée. Et étrangement, ce n’était pas dans mes habitudes, ce genre d’attitude d’égocentrique. « Autant pour moi, cher Ael. Je vous salue, Marael. » lançai-je en me courbant légèrement sur mon vélo, en tentant tout de même de ne pas me ramasser lamentablement au sol. Parce que je pensais avoir l’air suffisamment idiote comme ça, ça aurait fini par faire trop. Je souriais, l’air maléfique, alors qu’il se rapprochait de moi. « Mais non mon bichon ! Pourquoi tu serais offensé, hein ? Tu sais que jamais, ô Grand Jamais, je n’oserais te prendre pour un débile. Je sais que sous ta frisure se cache un sacré potentiel ! Mais tu l’utilises pas beaucoup, disons… » riais-je. Je pointais subitement un pauvre type boutonneux du doigt, comme si j’avais trouvé un trésor caché depuis des millénaires. « EH ! Regarde ! » fis-je l’air à la fois surprise et excitée. Mes yeux, une fois son regard décroché du mien, louchaient sur sa veste. Oh, quelle beauté. « Dis-donc, t’as de sacrés bons goûts toi quand même ! Tu l’as achetée où, cette veste ? Tu crois qu’ils font les mêmes pour femme ? » Je me mis alors à la toucher, comme pour tester la matière. « C’est vraiment pas mal ! Tu me laisserais l’essayer ? Histoire que je voie si elle m’irait bien… Ca pourrait le faire, tu penses pas ? » souriais-je fièrement, comme si je touchais du doigt mon objectif final. Et je priais le bon Dieu que Monsieur me laisse l’essayer, pour que je puisse me l’accaparer pleinement pour la journée et lui rendre un peu plus tard – ou jamais, mouaha.

Il était toujours sceptique face à ce qu’il se passait avec la jeune femme, il devait vraiment se poser des questions sur ce qu’il se passait dans la tête de la brune. Ael passa sa main dans ses cheveux doucement avant de laisser un rire sortir de sa bouche ne pouvant pas s’en empêcher de faire une telle chose, elle était juste incroyable même si c’était toujours étrange de la voir sur le vélo. C’était vraiment étrange qu’elle ne descende pas et il se demandait vraiment s’il n’y avait pas de soucis, mais il n’osait pas lui demander une telle chose parce que ça rendrait la situation réellement gênante pour la jeune femme cette fois-ci. Le bouclé laissa une nouvelle fois un rire sortir de sa bouche parce qu’elle était vraiment incroyable, à croire que la jeune femme qui lui donnait des cours n’était plus la même à l’extérieur. « Tu sais que tu mens très mal ? » Passant sa langue sur ses lèvres, il reprit ensuite la parole doucement. « Mon potentiel je l’utilise quand il le faut et je ne pense pas que j’en ai besoin sur le coup. » Franchement c’était vraiment plus qu’étrange, le jeune homme se demandait s’il n’avait pas fait une bêtise en venant vers la jeune femme parce que la situation était étrange, de plus en plus et encore le mot était faible face à ce qu’il pensait. Le jeune homme tourna ensuite sa tête pour poser ses yeux sur le jeune homme qu’elle était en train de lui montrer, il fronça les sourcils se demandant vraiment ce qu’il se passait dans la tête de la jeune brune. « Tu as des gros soucis je crois, Fidji. » Ael laissa les mots sortir d'entre ses lèvres sans qu'il ne puisse les arrêter, son attitude était réellement étrange et il pencha sa tête en la regardant alors, qu'elle parlait de sa veste. « Je ne regarde pas les vêtements de femme, tu sais ? Ce n'est pas réellement mon genre d'en mettre. » Il haussa les épaules avant de l'enlever pour lui tendre, ne se posant pas de question, il préférait faire ce qu'on était en train de lui demander pour que la situation se calme ou quelque chose comme cela.

FEAT AEL & FIDJI Je dégageais une certaine fierté face à ma connerie. J’avais toujours été nulle dès lors qu’il s’agissait de mentir, à moins que ça ne soit pour des petits secrets familiaux à dissimuler, comme j’avais tant l’habitude de faire depuis mon plus jeune âge. Mais, dans ce genre de circonstance, je devais être la pire de toute, et le monde entier aurait pu déceler le mensonge sur mon visage et dans ma voix. Je ne sais pas comment pourtant, mais ça avait toujours été le cas. Je haussais les épaules alors qu’Ael me mettait face au mur, et à quel point je faisais une piètre menteuse. Je le savais. « C’est parce que je suis pas dans un bon jour, ça, sinon, tu goberais toutes les âneries que je peux dire. » lançai-je en tapotant son crâne avec l’une de mes mains, tandis que l’autre tenait fermement le guidon pour ne pas me louper. « Tu devrais pourtant croire tout ce que je dis et boire chacune de mes paroles ! T’es parfaitement bien placé pour savoir que je suis la voix de la raison. » Mon ton se voulait ironique, et un rictus idiot s’était emparé de mon visage. C’était vraiment naze. Mais j’adorais. J’étais prête à le rendre fou, ou en tout cas à le faire tourner en rond pendant dix minutes dans le seul but d’obtenir sa veste pour couvrir mon fessier trop libéré pour une si belle journée. Sans crier gare, j’avais pointé un pauvre type du doigt sans même qu’il n’ait demandé quoique ce soit ; et, sans plus attendre, je caressais la veste de l’Eliot, comme s’il s’agissait d’un chat terriblement doux. « Même pas pour moi ? Je suis outrée, moi qui pensais occuper chaque seconde de tes pensées… j’étais certaine que lors de tes escapades en magasins, tu aurais la gentillesse de contempler les vêtements féminins pour savoir ce que tu pourras bientôt m’offrir… Mais visiblement, je me trompe sur ton compte ! » lançai-je en prenant un air déçu et en levant le nez au ciel, comme pour bouder, alors qu’il finissait par me tendre son bien. Bien que j’attrapais avec toute ma délicatesse, digne d’un enfant élevé par des singes. Je glissais la veste sur mes épaules et enfournais mes bras dans les manches, comme pour admirer la texture intérieure du vêtement. « Avec toute ta gentillesse, tu pourrais me la prêter pour cette belle journée ? Je me sentirais vraiment honorée de me pavaner sur le campus avec la magnifique veste de son altesse Ael, tu sais ! Tout le monde me jalousera. » Je fis une moue d’enfant suppliant un parent d’avoir des bonbons, rien qu’une fois. Sans trop attendre qu’il me réponde, j’avais balancé mon vélo au sol et nouais la veste autour de ma taille pour couvrir mon trou béant, en évitant de l’afficher aux yeux du monde entier. Et si, là, Ael ne me demandait pas pourquoi je faisais ça, ou qu’il ne me gueulait pas dessus de la chiffonner ainsi… eh bien, qui était-il ?

Ael doutait fortement de ce que la jeune femme était en train de lui dire, elle n’avait pas l’air d’une menteuse, mais il était vrai que si elle voulait devenir avocate il fallait bien qu’elle le devienne. Enfin, il était évident que lors d’une carrière de ce genre, on allait défendre des personnes qui ne seraient pas innocentes, mais il faudrait le faire croire aux juges donc le mensonge était indispensable dans ce genre de situation. Mais il ne savait pas vraiment ce que la jeune femme voudrait être, il passa sa langue sur ses lèvres tout en sachant que pour le moment elle ne pourrait pas faire ce genre de métier. « Tu n’es pas du tout convaincante. J’espère que plus tard tu ne veux pas devenir avocate parce que tu risques d’avoir de gros problèmes ou alors, tu dois avoir une grande chance pour ne tomber que sur des innocents. » Le bouclé se déplaça tout en laissant une grimace se dessinait sur son visage en sentant la main de la jeune femme sur son crâne comme ci il était un petit enfant. « Quand tu me parles de droit, je te crois sans problème. Mais en dehors de ça, cela reste à prouver. » Le jeune homme remarquait parfaitement que la jeune femme voulait…le rendre juste fou et il n’allait pas mentir, mais elle réussissait parfaitement ce qu’elle était en train de faire. Le jeune homme se demandait vraiment si au fond d’elle, elle n’était pas folle parce que franchement c’était assez étrange de la voir comme cela. Un rire sortit une nouvelle fois d’entre ses lèvres ne pouvant pas s’en empêcher, elle avait un grand sens de l’humour finalement. Sa tête bougea de gauche à droite ne croyant même pas à ce qu’il était en train d’entendre sortir de la bouche de celle qui lui donnait des cours pour l’aider. « Malheureusement, non. Mais tu sais tu n'es pas la première à me dire une telle chose. » Il croisa ses bras devant sa poitrine avant qu'un sourire en coin ne se dessine sur ses lèvres, un sourire presque moqueur même s'il se doutait qu'elle était en train de rire, en train de se moquer de lui. « Donc je n'ai pas vraiment le temps de penser à toutes celles qui voudrait que ce soit le cas, de plus je ne suis pas du genre à ouvrir des cadeaux à celle avec qui je sors. » Enfin, les relations n'étaient clairement pas pour lui. Le jeune homme avait essayé pourtant, mais les choses n'étaient pas pour lui. Ael n'avait pas de chance même quand il voulait vraiment se lancer dedans, les choses finissaient par être un vrai calvaire alors, il n'avait pas envie de réessayer pour se prendre encore une claque dans la gueule. Le bouclé pencha une nouvelle fois sa tête en laissant ses yeux clairs se posaient sur la brune toujours sur son vélo devant ses yeux. C'était n'importe quoi ce qui était en train de se passer, il ne comprenait plus rien. « Sinon, tu me racontes ce qu'il se passe et n'essaye pas de me mentir ! » Il ancra ses yeux dans ceux de la jeune femme avant de reprendre la parole. « De plus tu ne sais même pas combien de billets tu viens d'entourer autour de ta taille et tu es resté bien trop longtemps assise sur son vélo pour que cela ne soit pas suspect. »

FEAT AEL & FIDJI ✖ Il était vrai que je pouvais ne pas me montrer très convaincante dans ce genre de situation, mais dès lors qu’il s’agissait d’abriter les petits – ou très gros – secrets des Jones, je devenais la meilleure d’entre toutes. Loin de moi l’idée pourtant de me jeter des fleurs. Je connaissais mes capacités à convaincre les personnes qui me faisaient face, et même si Ael en doutait, il semblait que je cachais plutôt bien mon jeu. Et puis, avec un père aussi grand avocat, nul doute que le fait d’être convaincant s’est plutôt bien transmis. Je haussais les épaules alors qu’il me faisait tout un speech sur le fait de devenir avocate… chose qui, pourtant, n’était absolument pas dans mes projets. « Tu te mets le doigt dans l’œil coco, t’as tapé pile à côté de mes projets professionnels ! Mais je te pardonne. Par contre, en tant qu’avocat, tu aurais un piètre sens de l’observation et je crains que tes clients pourraient te rouler dans la farine… » souriais-je, très taquine pour le coup. J’avais eu cette envie de lui retourner directement dans la gueule ce qu’il m’y jetait lui-même. Peut-être que lui-même ne désirait pas le devenir, je n’en savais trop rien en réalité, mais il fallait que je lui lance un pic, c’était plus fort que moi. Il m’expliquait alors qu’il ne me croyait que concernant le droit… « Donc, je pourrais très bien te raconter les plus grosses âneries de ce monde juridiquement parlant, que tu me croirais ? » Je ne pus m’empêcher de rire, parce que même s’il pouvait me faire confiance, c’était assez moyen de tout croire venant d’une étudiante d’années moins poussées que lui. D’autant plus que bien des étudiants peuvent avoir une vision erronée du droit ou l’interpréter à leur manière. Autant dire qu’il vaut toujours mieux vérifier les informations transmises. Je l’écoutais débiter des conneries à tout va ; il paraissait que je n’étais pas la seule à vouloir occuper toutes ses pensées, malgré le fait que de ma part, ce n’était qu’humoristique. Mes joues s’étaient gonflées pour contenir mon rire, mais ce fut plus fort que moi : j’éclatais bruyamment de rire. « Je suppose que tu n’es pas trop serré dans tes chaussures au vu de ce que tu viens de me dire ? » Impossible pour moi de ne pas me foutre de lui, j’étais certaine que ses chevilles venaient de tripler de volume en l’espace d’un instant. Alors qu’il m’avait tendu sa veste, après avoir fait mon petit cirque avec, je m’en étais emparée pour l’attacher autour de ma taille, en allant jusqu’au point où j’avais tout bonnement jeté mon vélo au sol, dans la précipitation. « T’es vraiment sûr de vouloir savoir ? » lançai-je en haussant les sourcils et en le regardant d’un air grave. « Bon, je te le montrerai qu’une fois alors… profites-en ! » Aussitôt dit, aussitôt fait : je m’étais mise dos à lui, penchée vers l’avant et j’avais relevé sa veste pour lui montrer le trou béant juste au niveau de mes fesses. Je m’étais tout autant dépêchée de rebaisser son bien et de me remettre face à lui. « J’espère que tu sais tenir ta langue ! Sinon, malheureusement pour toi, je vais être dans l’obligation de te réduire au silence… » fis-je en passant mon ongle sur ma gorge pour mimer un égorgement, avant de le pointer de ce même doigt.

Il n’était pas étonné de s’être tombé lorsqu’il avait pensé qu’elle allait devenir avocate, tout était possible alors il s’en fichait un peu de savoir qu’il s’était trompé. Il passa sa langue sur ses lèvres tout en secouant la tête de gauche à droite en riant doucement sachant qu’elle venait de faire la même erreur que lui. Le bouclé ne voulait pas du tout devenir un avocat, il attendait seulement que son père décide enfin à faire en sorte de le mettre dans l’entreprise et il ferait juste en sorte qu’elle soit plus grande que son père n’aurait jamais pu rêver. Ael avait juste envie qu’on le connaisse enfin pour ce qu’il était capable de faire, pour ce qu’il était et non pour le fils du grand Raudenfeld. Il passa sa langue sur ses lèvres doucement avant de prendre la parole tout en la regardant. « Tu te trompes aussi ma vieille, ce n’est pas dans mes projets de devenir un avocat. De plus, je ne vois pas pourquoi je passerais ma vie à aider des gens pour avoir de l’argent. » Il leva les yeux au ciel trouvant cette profession presque idiote, mais bon il fallait de tout dans la vie malheureusement. Le bouclé savait qu’il n’était pas doué pour convaincre les gens, pour faire en sorte qu’on puisse le croire sans avoir le moindre soupçon, c’est bien pour cela qu’il ne préférait pas faire cela. « Tu aurais sur la conscience le fait que mes notes seront très mauvaises, que je serais viré d’Harvard et que tu ne pourras plus jamais me voir de ta vie. » Il sourit en coin en étant assez fier de ce qu’il venait de dire même s’il n’avait pas autant besoin que cela de la brune. Il essayait comme il pouvait de suivre les cours qu'on lui donnait, il essayait d'être un élève assez bon malgré qu'elle lui donne des cours parce qu'il fallait avouer que certaines notions étaient juste trop vagues à ses yeux comme pour tout apprendre, c'était d'un compliqué à ses yeux. « Puis tu n'aurais plus l'avance que tu as sûrement sur les autres de ta classe. » Sa langue passa une nouvelle fois sur ses lèvres tout en continuant de sourire sachant que ce marché était bon pour les deux, elle avait des informations sur ce qu'elle allait faire et lui reprenait doucement son retard. Il est vrai qu'ils se prenaient souvent la tête n'étant pas forcément d'accord sur certains points, mais n'était-ce pas pareil pour toutes les autres matières ? Si, tout le monde ne comprenait pas la même chose, c'est bien pour cela que la jeune brune lui donnait un autre point de vu qu'il n'aurait jamais eu sans elle. Il baissa ensuite sa tête pour regarder ses pieds avant de lever son pantalon pour voir ses chevilles. « Tout est parfait pour moi, je ne vois pas de quoi tu parles. » Malheureusement pour la jeune femme, le bouclé était comme cela, il ne pouvait pas s'en empêcher de se lancer sans cesse des fleurs pour tous et rien. Mais c'était encore plus amusant quand c'était de parler de ses conquêtes. « Absolument certain, tu ne m'as tout de même pas fait ce cirque pour rien. » Il sourit en coin sachant qu'elle allait enfin arrêter de jouer sa comédie, il fronça les sourcils tout en penchant la tête de haut en bas lui répondant silencieusement avant de la voir se pencher. Sa tête partie sur le côté avant qu'un petit rire ne sorte de sa bouche. Petit rire qui se changea rapidement en un éclat de rire et il n'arrêta pas, ne pouvant clairement pas s'empêcher de rire au point qu'il croisa ses bras devant son ventre tout en essayant de se calmer. « Comment tu as fait ça ? » Il ne préférait même pas répondre sachant qu'il n'allait rien dire, il pourrait toujours se moquer gentiment d'elle sans que personne ne comprenne.