Oublier le monde qui m'entoure n'était pas une chose facile, j'avais toujours pour habitude d'être épié. Les enfants riches avaient le droit de bien se comporter de respecter la norme sociale dans laquelle ils avaient été baigné toute leur enfance. Malheureusement pour mes parents, je ne faisais pas partie de toutes ces personnes. J'aimais croire que j'étais différente des autres voilà pourquoi je cherchais toujours à me démarquer des autres. La prison, mon frère jumeau, mes études et mon appartement. Je ne vivais pas dans le luxe. Mon quotidien n'était pas en adéquation avec le style de vie que mes parents m'avaient offert. Je vivais normalement et je ne me souciais que très peu de l'argent. J'aimais à savoir que mes comptes étaient remplis mais j'aimais aussi savoir que je pouvais subvenir à mes propres besoins. Je n'étais finalement dépendante de personne et s'était ça qui m'importait. " Et toi, tu es une élève qui apprend vite." j'apprenais effectivement très vite, je n'avais jamais eu beaucoup de mal à enregistrer les choses. Très naturellement, je retenais beaucoup de choses en un laps de temps très réduit. Une faculté cachée que j'aimais dissimuler aux autres personnes. S'était toujours plus utile, du moins c'était l'impression que j'avais. Les minutes passèrent et mes craintes s'envolèrent au fur et à mesure. C'était plaisant de ne penser à rien. Mes bras se levèrent doucement prenant soin d'être délicate dans chacun de mes mouvements. Il m'arrivait souvent de pousser la chansonnette ou de danser quand j'étais seul. C'était un moment de liberté que seule la musique avait le dons de vous accorder. Adam lui se contentait de me mettre à l'aise. Mon regard soutenait le sien. C'était un duel aussi perceptible que palpable. Il se rapprocha tandis que je continuais à danser. Mon sourire s'étira un peu plus continuant à bouger doucement au rythme de la musique. Étais-ce de la provocation ? je n'en savais rien mais en tout cas j'étais ravie de le voir approcher. Les mains du jeune se reposèrent sur mes hanches et mes yeux se plissèrent délicatement. Il se rapprocha un peu plus pour se coller contre moi. Adam savait y faire et il n'était pas difficile de tourmenter mon esprit ce soir. L'alcool, la musique et l'ambiance de ce soir n'arrangeaient rien. Mes bonnes résolutions semblaient être parties en fumer. " C'est que la psy a des talents cachés. " je me mis à rire avant de finalement me retourner pour qu'il ne voit pas mon sourire s'afficher sur mon visage. Mon dos se colla contre lui et ma tête se pencha légèrement sur le côté. " Tu pensais que je n'avais rien à cacher ? " terrible erreur Adam que de croire que je ne peux pas te surprendre. Mes mains se posèrent sur celle du jeune garçon. J'avais chaud mais bordel où c'était plaisant et enivrant. " heureusement que tu es là pour détendre l'atmosphère ! " ahah tu m'étonnes. Pas sur que j'aurai été comme ça sinon. Son souffle caressait mon épaule et mon cou. " Tu dansais aussi comme sa en prison ? " ahah la bonne blague. Bawi Adam dans les bras d'une détenue. Tellement mignon.
Suite à ses paroles, la jolie blonde s'empresse de se retourner, comme pour cacher quelque chose. Cela a le don d'amuser le croate, cependant il ne veut pas qu'elle parte, qu'elle s'enfuie. Ce soir, elle est sa prisonnière. Ses mains se quittent pas son corps et se glissent autour des hanches féminines. Il veut se sentir près d'elle, proche d'elle. Il veut goûter à cette proximité qui était banni en prison. Il veut goûter à l'interdit, il veut goûter aux lèvres de Bille. " Tu pensais que je n'avais rien à cacher ? " "Une jolie femme qui se cache en prison éveille forcément des soupçons." et des désirs aussi... Il s'était rapproché d'elle et était venue murmurer ses quelques mots à son oreille. Comme si il s'agissait d'un secret qui devait rester entre elle et lui. " heureusement que tu es là pour détendre l'atmosphère ! " Oh que oui. Cette atmosphère commençait à dangereusement plaire au jeune homme. Il se sentait enivrer par le parfum féminin. Il fermait ses yeux, sentant le corps de Billie contre le sien et il commençait clairement à avoir des pensées pas très catholiques. Mais c'était dingue, c'était incontrôlable, ce qu'il ressentait pour elle. Maintenant qu'il l'avait toute proche de lui, il avait envie de la plaquer contre un mur et lui faire l'amour. Calme tes ardeurs Adam, il ne faudra pas l'effrayer. Mais d'un autre côté, il savait que la jeune femme n'avait pas peur, et ce côté-là la rendait encore plus sexy. Mon dieu, regarde l'effet que tu lui fais Billie. Adam est fou. Il est comme un lion en cage qui brûle de désir. " Tu dansais aussi comme sa en prison ? " "Non." Répond-il d'une voix autoritaire "Je ne réserve que cela aux personnes spéciales" dit-il d'une voix plus sensuelle cette fois-ci. Une de ses mains remonte le long du corps de la blonde. Il dégage ses cheveux pour venir les ranger sur le côté. Son épaule ainsi que son cou sont dénudés. Sa main caresse ses jolies courbes et il finit par céder à la tentation et il vient déposer des baisers brûlant sur sa peau.
Difficile de cacher l'attirance que j'éprouvais pour le jeune prisonnier. Il m'intriguait et malgré toutes les raisons du monde, je n'arrivais pas à le cacher. Ses mains prirent possession de ma taille, mon corps était en alerte, suffoquant à la moindre caresse. " Non. " mon visage se tourna légèrement vers celui d'Adam attendant la suite de sa réponse. Nos corps semblaient en parfaite harmonie et les autres danseurs étaient devenus futilité. Je ne faisais plus attention aux mondes qui m'entouraient. Victoria était devenue comme tous les autres, inexistante. La voix du jeune homme se baladait doucement dans l'air chaud. " Je ne réserve que cela aux personnes spéciales. " Adam avait les mots. Il était le parfait séducteur que je m'étais imaginé. Faiblir dès les premiers regards ne me ressemblait pas. Pourtant Adam faisait ressortir le pire qu'il y avait en moins. J'étais guidé uniquement par mon instinct et ma raison venait d'être doucement rangé dans un petit coin de ma tête. Place au moment et au diable les questions. Mes dents martelaient doucement ma lèvre. Retient toi Billie... alors que mon corps lui était en alerte. Ses mains remontaient doucement et mes yeux se fermèrent. Il poussa mes cheveux sur les côtés et approcha son visage de mon cou. Bordel... pas ça. Non. Adam ne devait pas savoir qu'il venait de toucher une corde sensible. Doucement ma tête se pencha en arrière lui laissant la possibilité de faire ce qu'il voulait avec mon cou. Billie mais qu'est-ce que tu en en train de faire. Il te faisait perdre littéralement le contrôle de ton corps pensais-je. Ma respiration se coupa et comme pour arrêter ce calvaire. Je me retournais une nouvelle fois pour lui faire face. Nos visages se frôlaient et ma respiration s'était accéléré. Je me pinçais délicatement les lèvres et finis par lui dire : " tu n'aurais jamais dû faire sa. " au non comme tu n'aurais jamais dû être ici ce soir. Je me raccrochais au peu de contrôles que j'avais encore. Néanmoins l'idée de fuir en courant dans un coin sombre et intime était clairement en train de me traverser l'esprit. J'étais en plein fantasme. " je déteste qu'on m'embrasse le cou. " menteuse mais que voulez-vous. Il fallait éloigner le lion le plus rapidement possible.
Adam ne contrôle plus rien. Sa raison avait disparu, c’était sa passion qui parlait, qui agissait. Pendant trop longtemps il avait rêvé derrière ses barreaux de toucher la peau de Billie. Billie, cette magnifique blonde qui l’attirait secrètement. Enfin, là, ce n’était plus vraiment un secret. Il avait clairement affirmé ses envies. Il était encore plus content de voir que cela était réciproque. Cela avait le don de faire monter la température d’un cran. Cette danse devenait de plus en plus sensuelle, de plus en plus enflammée. Ses mains brulaient de désir. Son corps s’emballait. Ses baisers contre sa peau coulaient à flot. Il aimait encore plus lorsqu’elle pencha légèrement la tête vers lui et croiser son regard ardant. Les mains masculines serrent un peu plus leur étreinte. Il ne va pas la lâcher, il en est hors de question. Elle est à elle ce soir. Il la voulait, maintenant, tout de suite. Il voulait embrasser ses lèvres où il allait devenir fou. Il était totalement fou d’elle. C’était incontestable. Elle se retourne brutalement, sans prévenir. Il a un regard surpris, avant de sourire à ses mots " tu n'aurais jamais dû faire sa. " Oh si… il avait continu pour ton plus grand plaisir. Pas besoin de mots pour comprendre les envies féminines. Les regards parlaient d’eux-mêmes. " je déteste qu'on m'embrasse le cou. " « Tu sais très mal mentir. » Dit-il d’une voix suave. Il ne la quitte pas du regard. Il la dévore des yeux. Il n’en peut plus d’attendre ou il va exploser. Il ne lui laisse le temps de répondre et décide de prendre ses mots à la lettre. Il vient déposer ses lèvres contre les siennes. Il l’embrasse d’un baiser passionné. Un baiser dont il avait longtemps rêvé dans ses rêves les plus secrets.
Perdre le contrôle ne faisait pas partie de mes habitudes, j'aimais avoir la sensation de gérer les choses. Ce soir Adam faisait de moi l'être le plus ignorent du monde. J'étais réduit à l'état sauvage guider par ses pulsions et ses instincts. Mon regard croisa celui d'Adam, il était évident que nous ressentions ce même désir. il perdait autant que moi les pédales mais j'en restais pas moins la plus raisonnable des deux. Ma raison tenta une approcha, stoppant le jeune prisonnier dans son avancer. Un sourire s'afficha sur ces lèvres. Lèvre que je regardais que trop souvent et qui traduisait mon envie profonde de l'embrasser. Le temps était suspendu et pour la premier fois depuis bien longtemps j'avais envie de suivre mes envies. Guider par son charme, il finit par dire d'une voix mélodieuse et parfaitement claire. " Tu sais très mal mentir. " me voilà démasquer. Je mentais très mal, il n'avait pas tord là dessus. Mes mimiques ne suivaient jamais et me trahissaient. Sabian pouvait témoigner. Sa soeur était la plus piètre menteuse qu'il existe sur terre et Adam l'avait très bien remarquer. Une petite grimace s'afficha sur mes lèvres avant de voir approcher le visage du prisonnier. Son souffle se plaqua contre ma bouche et ces lèvres se posèrent contre les miennes. Mes mains restaient en équilibre dans l'air tandis que je prolongeais ce baisé passionner que venait de m'offrir Adam. Devais-je continuer ? prolonger encore et encore. Et puis merde ! mes mains se posèrent délicatement dans le creux de son cou l'obligeant à continuer. Bordel qu'il embrassait bien, ma respiration se stoppa. C'était finis moi comme Adam avions dépasser les limites et j'avais bien peur qu'il soit impossible d'arrêter la machine. J'en voulais plus aussi surprenant que cela puisse paraitre. Mon corps se colla un peu plus. Il n'était plus question d'une danse. Non. Mes lèvres se décollèrent douloureusement des siennes. Je me mis à sourire avant de me mettre à rire. " sa part contre... " dis-je en reportant mon regard sur le prisonnier. Mon regard restait une nouvelle fois suspendu sur ces lèvres. J'avais encore envie de l'embrasser. Biliiiiiiiiiiie bordel mais qu'est ce qui t'arrive. Dans un soupir, je pris la main du prisonnier l'obligeant à me suivre pour un endroit plus calme et plus reculer. Un couloir, le couloir qui semblait mener à un placard. " j'arrive pas à croire que je suis en train de faire sa. " dis-je doucement. Tu m'étonnes. Je n'étais pas du genre à faiblir aussi facilement ou à m'envoyer le premier que je trouvais mignon mais là clairement Adam avait ouvert une porte qu'il était impossible pour moi de refermer. Je me pinçais la lèvre et lui fis : " j'aurai bien envie de réessayer ce que tu as fait y a quelques secondes. Juste histoire de voir si j'aime bien ou pas. " dis-je en affichant un sourire amusé. Le verdict était tout prononcé ! Billie t'es dans la merde.
Elle lui faisait tourner la tête. Tous ses sens étaient enivrés par le doux parfum féminin. Pour être tout à fait honnête, il n’avait pas su résister longtemps à ses charmes, une fois devant elle. Il avait attendu bien trop longtemps lorsqu’il était prisonnier. Il était la frustration derrière ses barreaux, elle était la liberté de l’autre côté. Se serait se mentir, de dire qu’il n’avait jamais rêvé d’embrasser ses lèvres. Un vilain mensonge. C’est pour cela qu’il avait cédé à l’interdit, n’attendant pas une minute de plus. Il était indéniablement attiré par elle, tout son corps brûlait de désir pour elle. Elle était comme son fantasme inavoué. Ce baiser, ses lèvres contre les siennes, ses mains s’accrochant à son cou, se resserrant un peu plus, plus les secondes défilées. Il pouvait encore son cœur battre à tout rompre. Soudainement elle se détacha et Adam eu la brutale envie de l’attirer de nouveau vers lui. Sauf qu’il ne fit rien et écouta ses mots " ça part contre... " Le croate comprit aussitôt qu’il signifiait d’un feu vert, qu’il pouvait continuer ce qu’il avait entrepris. Il fut agréablement surpris, quand la rebelle l’attira hors de la foule. Ils courent vers l’inconnu avant d’entrer dans un placard. Assez grand pour qu’il puisse y être tous les deux. Mais l’espace n’était pas non plus très immense, ce qui les obligeaient à être assez proches. " j'arrive pas à croire que je suis en train de faire ça. " « Pourtant on le fait. » confirme-t-il comme pour rendre les choses belles et bien réelles. Elles l’étaient. Il pouvait sentir sa peau brûlante comme son torse. " j'aurai bien envie de réessayer ce que tu as fait y a quelques secondes. Juste histoire de voir si j'aime bien ou pas. " En guise de réponse, les lèvres d’Adam s’approchèrent dangereusement de nouveau de celles de Billie. Ce baiser est plus entreprenant, plus ardant. Sa langue vient chercher la sienne. Il la pousse un peu plus pour la plaquer contre la paroi du placard. Il ne contrôle plus rien, se sont ses envies qui parlent. Et là, clairement, il a envie de Billie.
Cette soirée était coupée du temps. La porte se claqua derrière nous et comme un besoin oppressant. Mon corps se colla une nouvelle fois au sien. La lumière était légère et l’intimité qui s’en dégageait, était parfaite. Un sourire s’afficha sur mes lèvres alors que la réalité semblait suspendue dans le temps. J’avais du mal à croire que j’étais en train de faire sa. Complètement envoûter, il chassait les barrières de mon intimité. Coucher ou même embrasser avec la première venue ne faisait pas partie de mes habitudes. Pourtant mes lèvres cherchèrent une nouvelle fois son contact. Je me pinçais délicatement les lèvres « pourtant on le fait. » tu m’étonnes qu’on était en train de le faire. Mes mains se portaient au haut de son torse. Mes joues commençaient doucement à rougir et mon regard était une nouvelle fois suspendu à ces lèvres. Comme une enfant, je demandais l’autorisation de pouvoir de nouveau y goûter. Je me faisais rire tout seul et dans une douceur extrême. Ses mains prirent possession de ma nuque et m’attirèrent à lui. Mes lèvres se posèrent contre les siennes. Nous étions en parfait accord. Nos langues s’entrelaçait, provoquant l’autre. Mon corps se colla un peu plus contre le sien et une de mes mains remonta délicatement jusqu’à sa joue l’incitant à continuer. Il recula délicatement en arrière m’obligeant à faire de même. Mon dos se colla à la paroi du placard. Ma respiration s’accéléra et mon souffle se mélangea au sien. J’avais envie de lui autant que j’avais envie de l’embrasser encore et encore. Faire l’amour dans un lieu public sérieusement ? Mon regard chercha celui du jeune homme et je lui fis : « tu as déjà fait l’amour dans un placard à balais ? non parce que moi jamais. » là revoilà la Billie qui parle trop. C’était tout mon genre d’argumenter dans un moment comme ça. Je m’offrais littéralement à lui et une part de moi appréhender. Je me pinçais la lèvre et puis finalement je fis : « je parle trop hein...» dis-je en grimaçant. « j’arrête» dis-je en m’approchant doucement de son visage pour finalement venir lui embrasser le nez. Mes lèvres se possèrent ensuite sur sa joue puis je descendis doucement le long de son cou pour y rester un peu. Il était chaud et doux. Sa respiration s’accéléra et ses mains prenaient appuyé contre la paroi du placard situé derrière moi. Un vrai régal !
L’envie entre eux est de plus en plus grandissante. Il a l’impression de crever de chaud dans ce placard, tellement il brûle de désir pour Billie. Il ne contrôle plus rien, c’est si intense entre eux. Les lèvres féminines sont devenues une addiction. Une drogue qu’il doit gouter de nouveau ou sinon il va être en manque. Sa respiration ainsi que les palpitations de son cœur se sont de plus en plus rythmés. « tu as déjà fait l’amour dans un placard à balais ? non parce que moi jamais. » Ces mots ont le don d’agrandir son sourire sur son visage. Elle était amusante la petite Billie et c’est ce qui faisait son charme. Décidément, la jolie psy lui plaisait de plus en plus, et il regretta sérieusement d’avoir refusé toutes ses séances avec elle. Peut-être que s’il les avait acceptées, il ne serait pas resté longtemps bien sage devant elle, et il lui aurait vite sauté dessus, prison ou pas, règle ou pas. À en voir le déroulement des événements de ce soir, il ne tenait pas du tout sur place, il perdait toute sa tête en sa présence. « Non plus. » Avoue-t-il dans la confidence. Il était ses petites mimiques, son air mi-gênée, mi-timide devant lui. Sa façon de trop parler. Mais ça ne le dérangeait pas, bien au contraire, il trouvait ça adorable. « je parle trop hein… j’arrête. » Elle vient embrasser le bout de son nez « J’aime entendre ta voix. » répond-t-il avant de venir embrasser ses lèvres tendrement. Il ferme ensuite les yeux, sentant les lèvres féminines s’attarder sur sa joue puis sur son cou. Il aimait cette sensation, sentir ses lèvres effleurer sa peau. Chacun de ses baisers réveillaient sa peau. Chacun de ses baisers lui donnaient des idées pas très catholiques dans sa tête. Il appuyait un peu plus ses mains contre le mur, il voulait sentir le corps de Billie contre le sien. D’ailleurs, il jugea inutile son haut qu’il enleva. À présent, il pouvait caresser les jolies courbes féminines sur sa peau nue. Ses lèvres dévient sur son cou, puis dans la naissance de sa poitrine. Elle était si belle, il n’en pouvait plus d’être devant une telle beauté, il ne voulait faire plus qu’un avec elle. Pourtant, il aimait prendre son temps, pour savourer et faire durer le plaisir.
« J'aime encore ta voix » me voilà rassurée. Un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres tandis que mon regard restait suspendu à ces lèvres. Difficile de s’en défaire. Le pire dans tout ça, c’est que j’avais l’impression de retourner en enfance. De contourner les règles, s’en était excitant. Il approcha son visage et colla une nouvelle fois ces lèvres contre les miennes. Fait donc Adam. Je ne te repousserai pas. De mon côté, mes lèvres effleuraient la peau de son cou. Notre étreinte se resserrait à chacun de mes baisés. Il s’approcha un peu plus. Ses mains se resserraient en un poing tandis que les miennes descendaient sur sa taille. Elles quittèrent le mur et s’approchèrent dangereusement de mon bas-ventre. Ma respiration se coupa net avant de le voir retirer mon tee shirt. Mes bras se levèrent pour lui faciliter la tâche. Il déposa le vêtement sur le côté avant de sentir de nouveau ces lèvres dans mon cou. Bordel où c’était agréable. Mes yeux se fermaient comme pour mieux apprécier ce moment. Une de mes mains caressait son bras tandis que l’autre cherchait un appui, quelque chose à serrer. Elle se posa contre une petite table qui se trouvait juste à côté. Sans faire très attention, je serais un bout de tissue entre mes doigts. Essayant de garder le contrôle. Ma tête se colla contre la sienne tentant de me dérober sous ses baisés. J’avais du mal à contenir mon envie. Il me dominait et j’adorai ça. « arrête de jouer avec moi Adam...» dis-je dans un souffle chaud. Mes lèvres effleuraient son oreille avant de finir par l’embrasser. Un baiser passionné qui laissait exploser toute l’envie que nous avions l’un pour l’autre. Je me reculais vers la fameuse table et pris appuie pour m’asseoir. Il s’approcha aussitôt, mes jambes entouraient la taille de l’étudiant. Nos lèvres ne s’étaient pas décollé. Dans un souffle et entre deux baisés « j’ai envie de toi...» mes envies parlaient pour moi.
Arrêter de jouer ? Il en était hors de question. Maintenant que la partie était lancée, impossible de s’arrêter, impossible de faire marcher arrière. Billie c’était le fantasme d’Adam. Il l’avait tant désiré pendant des semaines, qu’une fois devant elle, il ne pouvait plus résister. Il lui avait retiré son haut, cette fois-ci, il était libre de caresser sa peau à vonlonté. Il aimait sentir sa peau s’enflammer à chacun de ses caresses. Il aimait sentir les battements de son cœur s’accélérer, plus la proximité entre eux devenait fine. Billie finit par l’attirer vers une table qui tronait dans ce placard. Elle prit place avant d’enrouler ses jambes autour de la taille masculine. Face à cet acte de gentillesse, Adam décida d’en mettre du sien. Il se débarrassa de son t-shirt, le jetant au sol. « j’ai envie de toi...» Elle n’imaginait pas, à quel point, Adam avait aussi envie d’elle. En guise de réponse, il répond avec un baiser des plus ardents. Plus besoin de parler pour comprendre les envies qui bouillonnaient en lui. Il l’embrasse encore et encore et pendant ce temps, ses mains décident de dégrafer son sous-vêtement qu’il jugeait inutile à la situation. Les lèvres masculines prennent leur temps. Elles embrassent sa bouche, puis son cou. Doucement, sensuellement. Elles continuent lors chemin à la naissance du creux de ses seins, sa poitrine. Sans se mentir, c’était un vrai régal. Il aimait sentir l’effet qu’il lui faisait, sa peau frissonnait à chacun de ses baisers. Il voulait qu’elle soit à bout, qu’elle n’en puisse plus avant même que cela n’ait commencé. Il se donnait à malin plaisir à faire cela. Le croate continua à embrasser sa peau, descendant un peu plus vers son bas ventre. Billie n’allait bientôt plus avoir de pantalon.
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Je suis courageuse, donc je suis libre★★★Oublier le monde qui m'entoure n'était pas une chose facile, j'avais toujours pour habitude d'être épié. Les enfants riches avaient le droit de bien se comporter de respecter la norme sociale dans laquelle ils avaient été baigné toute leur enfance. Malheureusement pour mes parents, je ne faisais pas partie de toutes ces personnes. J'aimais croire que j'étais différente des autres voilà pourquoi je cherchais toujours à me démarquer des autres. La prison, mon frère jumeau, mes études et mon appartement. Je ne vivais pas dans le luxe. Mon quotidien n'était pas en adéquation avec le style de vie que mes parents m'avaient offert. Je vivais normalement et je ne me souciais que très peu de l'argent. J'aimais à savoir que mes comptes étaient remplis mais j'aimais aussi savoir que je pouvais subvenir à mes propres besoins. Je n'étais finalement dépendante de personne et s'était ça qui m'importait. " Et toi, tu es une élève qui apprend vite." j'apprenais effectivement très vite, je n'avais jamais eu beaucoup de mal à enregistrer les choses. Très naturellement, je retenais beaucoup de choses en un laps de temps très réduit. Une faculté cachée que j'aimais dissimuler aux autres personnes. S'était toujours plus utile, du moins c'était l'impression que j'avais. Les minutes passèrent et mes craintes s'envolèrent au fur et à mesure. C'était plaisant de ne penser à rien. Mes bras se levèrent doucement prenant soin d'être délicate dans chacun de mes mouvements. Il m'arrivait souvent de pousser la chansonnette ou de danser quand j'étais seul. C'était un moment de liberté que seule la musique avait le dons de vous accorder. Adam lui se contentait de me mettre à l'aise. Mon regard soutenait le sien. C'était un duel aussi perceptible que palpable. Il se rapprocha tandis que je continuais à danser. Mon sourire s'étira un peu plus continuant à bouger doucement au rythme de la musique. Étais-ce de la provocation ? je n'en savais rien mais en tout cas j'étais ravie de le voir approcher. Les mains du jeune se reposèrent sur mes hanches et mes yeux se plissèrent délicatement. Il se rapprocha un peu plus pour se coller contre moi. Adam savait y faire et il n'était pas difficile de tourmenter mon esprit ce soir. L'alcool, la musique et l'ambiance de ce soir n'arrangeaient rien. Mes bonnes résolutions semblaient être parties en fumer. " C'est que la psy a des talents cachés. " je me mis à rire avant de finalement me retourner pour qu'il ne voit pas mon sourire s'afficher sur mon visage. Mon dos se colla contre lui et ma tête se pencha légèrement sur le côté. " Tu pensais que je n'avais rien à cacher ? " terrible erreur Adam que de croire que je ne peux pas te surprendre. Mes mains se posèrent sur celle du jeune garçon. J'avais chaud mais bordel où c'était plaisant et enivrant. " heureusement que tu es là pour détendre l'atmosphère ! " ahah tu m'étonnes. Pas sur que j'aurai été comme ça sinon. Son souffle caressait mon épaule et mon cou. " Tu dansais aussi comme sa en prison ? " ahah la bonne blague. Bawi Adam dans les bras d'une détenue. Tellement mignon.