Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« C'est la vie, pas le paradis. » ∇ MAXWAN - Page 2
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« C'est la vie, pas le paradis. » ∇ MAXWAN

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❝ On peut pas tomber plus bas. ❞
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« J'ai suivi tes conseils en laissant l'adrénaline me dominer. » Tu devrais savoir que je ne maitrise que le malheur et les déceptions. Tu ne devrais pas suivre mes conseils. Tu devrais être avec elle. Au nom du grand amour et ces conneries, surement serait-elle restée. Alors, oui, tu ne devrais pas suivre mes conseils. La vie monotone et contrôlée a du bon. Elle t'aurait sûrement évitée les marques sur ta peau. « L'autre jour j'étais dans un bar avec Tate, il s'est rapproché d'une fille. Son mari a pas apprécié, à frapper Tate et pour l'aider j'ai frappé le mec. » Maxym glousse, ça sort tout seul. Malgré ses nerfs contractés, la tension dans son être, elle etouffe un rire dans sa gorge en imaginant le duo infernal dans cette scénette de bar. Tate était une exception dans les Eliots, lui, elle l'appréciait. Ils se respectaient, sans être vraiment amis. « Il m'a retrouvé ce soir. Et bref, voilà. J'ressemble à un pauvre ivrogne qui s'bat dans un bar. » Ne manque que la moue boudeuse. Et la McAllister doit se pincer les lèvres pour ne pas trop laisser passer l'amusement. Feignant d'être concentrée sur les plaies qu'elle panse l'une après l'autre. « Tu ressembles à un mec qui a perdu, mais tu t'es abîmé les poings pour quelqu'un. » Et j'aime que tu l'ai fais. Mes prunelles descendent, de ta blessure à ton regard, brièvement, juste pour accompagner mon sourire en coin. « Ce qui rend tes blessures plutôt cools. » Ouais, comme quand on était gosse, qu'on s'extasie sur le moindre bobo qui nous rendrait plus impressionnants. « Chacun à sa façon de réagir j'suppose. Il y a ceux qui se barrent à l'autre bout du monde et il y a ceux qui restent. » Ceux qui restent, ceux qui doivent vivre avec le souvenir de ceux qui sont partis. Y a ceux qui abandonnent, et ceux qui se battent. J'ai pas envie de me battre pour nous, mais j'le fais. J'fais que de le faire, je me raccroche aux branches, au moindre brindilles que tu me laisses. « Tu devrais arreter de m'aider et me donner les coups que je mérite. » Cesse le contact du coton sur l'une des blessures. S'écarte à peine, juste pour le regarder. « La fille dont t'es amoureux est partie, je crois que t'as reçu tous les coups possibles. » Je frappe pas sur les hommes à terre, je pourrais pas te faire plus de mal que tu n'en éprouves maintenant. « Tu méritais pas ça. Aucun de nous d'ailleurs, mais c'est comme ça, on peut rien y changer. » On s'est tous craquelé le cœur, on paye nos erreurs, nos errances. On paye le prix d'un truc qu'on contrôle pas.

 

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Ne t'inquiète pas, il ne fait que mettre ses réactions sous la cause de ses conseils, il ne les a pas vraiment appliquer pour elle. C'est juste lui. Lui qui voulait ressentir un truc. Indépendamment de ce que Maxym lui avait conseillé. Elle arrive à le détendre avec ce rire contenu. Ses muscles se décontractent. C'est vrai qu'il était idiot. C'est vrai qu'il n'a jamais été l'homme à se battre, au contraire il est plutot celui qui évite toutes confrontations physiques. « Tu ressembles à un mec qui a perdu, mais tu t'es abîmé les poings pour quelqu'un. Ce qui rend tes blessures plutôt cools. » Réellement ? Parce qu'il se sent plutôt pitoyable maintenant, à ne plus savoir marcher sans grimacer, à ne plus pouvoir se passer de l'aide de la dunster. « Ca me donne un petit air de dur-à-cuire. » ajoute-il en souriant discrètement.  « La fille dont t'es amoureux est partie, je crois que t'as reçu tous les coups possibles. » Pas les siens. Il s’est battu dans ce bar pour ressentir autre chose que sa peine de cœur. Qu’elle lui donne des coups permettra d’évacuer, j’sais pas. En tout cas, Antwan est prêt à encaisser la colère féminine. « Tu méritais pas ça. Aucun de nous d'ailleurs, mais c'est comme ça, on peut rien y changer. » Ce n'est pas comme ca qu'il pense. Peut-être que ses sentiments sont exacerbés ou qu'elle atténue trop le rôle de l'eliot, mais il n'est pas aussi blanc qu’elle semble le dire. Si un des trois méritait la douleur, c’était bien lui. Pas Elizabeth, pas Maxym. Il nie d’un signe de tête. « Oh arrête un peu. C’est moi le fautif dans cette histoire Max. » Qu’on arrête de se mentir quelques secondes. Un peu de sincérité. « J’ai pas été foutu de prendre les bonnes décisions et j’en paye les conséquences maintenant. C'est normal. C'est mérité. » Et aujourd’hui il n’y a que se battre dans un bar qui apaise les douleurs de son cœur. « Mais pas toi. Alors blâme-moi. Énerve-toi. Mais arrête d’être.. ca. » Cette fille compréhensive et calme. Il y a un feu à l'interieur. Il devrait sortir. Elle devrait le hair pour l'avoir embrassé, pour lui avoir fait ressentir quelque chose, pour ne pas être resté à sa place.
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❝ On peut pas tomber plus bas. ❞
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« Ca me donne un petit air de dur-à-cuire. » Ca te rajoute une face sur ton dé. T'as tout été, t'as arboré toutes les couleurs. T'as été le meilleur ami, la possibilité, la déception, t'as été mon ennemi premier. Et aujourd'hui, j'arrive plus vraiment à m'arrêter sur une face. Disons que ce soir, t'es un dur-à-cuire. T'es un mec qui se bat. Pas pour moi, certes, mais qui sait se battre pour quelqu'un. Dommage que tu choisisses mal tes combats. J'essaye tu sais, de nous remettre sur des rails. N'importe lesquels. Même sur un chemin qui ne dure qu'une heure, juste le temps de faire cesser les gouttelettes pourpres. Alors j'esquisse un fin sourire, qui se veut visiblement moqueur. T'as vu, on dirait presque des amis. On joue bien la comédie. Ou c'est le naturel qui essaye de se frayer une place, poussant sur son passage les rancœurs. Elles finiront par te bouffer, le naturel. Le présent grignote le passé. « Oh arrête un peu. C’est moi le fautif dans cette histoire Max. » Ses billes le provoquent, le sondent, le défient. Un peu malgré elle. Comme si la colère se réjouissait, jaillissant au milieu de la sagesse. L'insidieuse. « J’ai pas été foutu de prendre les bonnes décisions et j’en paye les conséquences maintenant. C'est normal. C'est mérité. » On les paye tous, ces conséquences. Prend les responsabilités si tu veux, mais ça changera rien au résultat. « Mais pas toi. Alors blâme-moi. Énerve-toi. Mais arrête d’être.. ca. » Pose le coton sur le bar, lève le menton, légèrement. Reine McAllister. « Quoi, ça ? » Avale sa salive, acide. « Que j'arrête d'être gentille ? » Ses lèvres forment un doux rictus. « Faut que j'te rappelle que m'embrasser, c'était une mauvaise décision ? Que si c'était pour me placer dans la case des erreurs de passage, t'aurais mieux fait de t'abstenir ? » Que t'avais pas le droit de m'humilier comme ça ? Que t'avais pas le droit de me sentir vacillante, si c'était pour me laisser sur le côté. « Ben voilà, j'te le dis. » Recule d'un pas, les bras qui se croisent sur son ventre. « Tu te sens mieux ? » Si c'est le cas, dit-moi comment on fait.

 

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 « Quoi, ça ? » J’en sais rien. Cette fille qui aide, l’amie que j’ai perdu le soir où on bu ce champagne volé. On s’est perdu et tu ne veux pas le montrer. « Faut que j'te rappelle que m'embrasser, c'était une mauvaise décision ? Que si c'était pour me placer dans la case des erreurs de passage, t'aurais mieux fait de t'abstenir ? » Oh ca j’le sais, mais ca sonne faux dans ma tête. Et cette attitude que t’as est toute aussi fausse. C’est une comédie. J’arrive plus à voir le vrai du faux, le bon du mauvais. J’prends des décisions que je ne contrôle pas et que je n’assume pas. Après tout, t’es au courant Max que c’est moi qui ait rompu avec Lizie et non l’inverse ? Non, certainement pas, parce que c’est en désaccord avec ce que je t’impose maintenant. « Ben voilà, j'te le dis. Tu te sens mieux ? » Tu l’as dis à voix haute, ca te fait pas du bien ? Moi j’aimerais bien tout déballer aussi.., si seulement j’arrivais à organiser mes pensées. Et j’me censure encore et encore. Le désir j’t’en parlerai bien dans une dissert de philo, mais lorsque ca touche ma propre vie j’en suis incapable. Parce que là j’aimerais revenir près de toi et de te dire que plus rien ne compte. Qu’on recommence à zéro, qu’on oublie, mais j’sais qu’on y arrivera pas. On s’détruit, c’est notre truc ces derniers temps. Il y en aura toujours un qui gâchera la construction. J’pari même que j’détesterai ton prochain mec. J’me lève, j’grimace à cause de mes blessures que t’as pas réussi à cicatriser, j’m’avance face à toi et j’voudrais te prendre dans mes bras. Nous redonner une pause, encore une. Peut-être à la manière de la dernière fois. « Non. Et toi ? » J’pense trop, alors j’saisis les cotons et je vais les jeter dans la poubelle. J’reviens en face de toi, fin sourire sur les lèvres, forcé, pour l’image même si ca ne change rien. J’persiste à croire que t’aurais pas dû m'aider. Que t’aurais dû transformer les caresses sur mes plaies par des coups de pieds directifs. « Dans quelques jours, y a une course de voiture. J’sais pas, peut-être que par curiosité et si j'ai de la compagnie, j’y serai. » En vrai j’en ai rien à foutre. C’est pour toi. Parce que ca fait parti de tes plaisirs que je ne comprends pas. Mais si ca peut avoir son effet sur nous alors j’irai.
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❝ On peut pas tomber plus bas. ❞
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On s'est imposé la grandeur d'une pièce, pour tenir dans 5 mètres carré. On s'oblige au public, au rare passage pas loin, mais on s'accapare l'attention. On se dit au revoir, mais je te traîne ici. Je te dis qu'on peut plus être amis, que j'peux plus, mais je panse tes plaies. Je suis la fille dont je me moque. Celle qui a remplit les blancs de l'histoire avec ses propres réponses ; les réponses qui collent. Alors ouais, tu l'as choisi. Ou plutôt, tu ne m'as laissé qu'une infime parenthèse. J'te sermonerai bien de quelques jurons pour ça, mais j'te l'ai dis sur l'instant, j'le savais. On va pas faire comme si on était pas au courant qu'on s'inscrivait dans le précaire. Et moi, je vais pas faire comme si j'avais pas espéré que ça soit pas le cas. Tu l'as choisi, elle est partie. Tant pis. Dans les blancs que je remplis, je te vois la supplier de rester, lui rappeler les effets des bulles de champagne. J'aime pas ce que j'imagine. Et ce que je dis, ça fait pas tant de bien que ça devrait. J'ai pas besoin d'extérioriser, je l'ai trop fais. J'fais que de te balancer sans pudeur mes excès de sentiments, et le ridicule s'amuse de me voir si bonne dans cet art. Mais ma chère fierté revient, elle recouvre doucement ma peau, et assèche mes cils. Elle fait que je reste stoïque, quand tu te lèves, que tu t'approches. « Non. Et toi ? » Ouvre la bouche, ne fait passer que l'air. Elle le suit du regard, pour finalement lâcher un soupiré : « Ca change rien. » Ca change rien pour moi, de te le dire. Et pour toi de l'entendre. On est coincé dans ces gestes calculés, ces peaux évités, ces regards qui ne savent plus être soutenus. « Dans quelques jours, y a une course de voiture. J’sais pas, peut-être que par curiosité et si j'ai de la compagnie, j’y serai. » J'crois que je m'attendais tellement à ce que tu me dises que tu pars, que j'ai compris la phrase avec un temps de retard. Du coup, j'ai pas le temps de dire à mon visage de camoufler la surprise. D'éviter à un sourire malin de prendre place. « Alors peut-être que j'y serai aussi. » Désespérés, voilà qu'on part à la chasse aux morceaux à récupérer. « Si j'ai rien d'autre à faire de plus intéressant, évidemment. » Qu'elle rajoute juste après, avec l'air de la fille qui essaye de se la jouer intouchable, mais qui sait que tout chez elle la trahit. Elle camoufle ça avec un rapide : « T'es déjà plus présentable. » Tu parles, c'est juste le sang qui a arrêté de couler, et de couvrir sa peau. Allez, vas-y, avant qu'on se ferme la porte à peine entre-baillée.


 

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Alors ca ne change rien, même pour elle. Ca ne fait que remonter les mauvais sentiments à la surface. Antwan aura essayé d’améliorer la situation. Le problème c’est qu’il ne sait pas qu’elle carte jouer. Plus le temps passe, plus son nombre de possibilités s’épuise. Il les joue maladroitement. Preuve étant qu’il balance de but en blanc l’idée de la course. C’est presque désespéré. Si bien qu’il n’attend rien d’elle. Peut-être un simple sourire, un haussement d’épaule, un « peut-être » pour combler le silence. « Alors peut-être que j'y serai aussi. Si j'ai rien d'autre à faire de plus intéressant, évidemment. » Au tour d’Antwan de ne pas contrôler son sourire. Elle n’abandonne pas et c’est tout ce qui compte. Où ils vont, ça, l’eliot s’en contre fiche. « Evidemment. » répète-t-il doucement. « T'es déjà plus présentable. » Il ne peut pas se voir mais il imagine les dégâts sur son visage. Le liquide chaud ne coule plus sur sa peau, mais les marques fraiches doivent être bien visibles. « J’vais faire comme si tu ne mentais pas. » C’est l'intention qui compte n’est-ce pas ? Il sent la conversation arriver à son terme. Pour ne pas entrer dans un silence pesant, il décide de clôturer leur réunion par un « J’vais y aller. » accompagné d'un « Merci. » qui se fait plus discret. Puis il disparait dans la pénombre des couloirs avant de sortir de la Dunster House.

FIN « C'est la vie, pas le paradis. » ∇ MAXWAN - Page 2 1001568715
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