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Tortue ► Ce sera maintenant ou jamais

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Ce sera maintenant ou jamais
C'était notre dernière soirée ici à New-York avec la Lowell, on était supposé s'éclater, s'amuser entre nous durant ce dernier soir avec le pic-nique que Maggie et Olyvia avait organisé pour célébrer la réussite de la pièce... Si au début, je m'éclatais avec tout le monde, j'avais rapidement déchanté... Pourquoi ? Parce que j'avais eu la brillante idée d'enfin confronter Samuel sur un événement datant un peu. J’aurais peut-être du le faire plutôt, ou bien simplement ne pas le faire à une soirée comme celle-ci… Après tout, c’était quand même notre dernière soirée ici avec les Lowell, j’aurais peut-être du éviter de faire ça ce soir, mais en même temps, j’avais déjà que trop tarder pour confronté Samuel sur cette histoire concernant ma blonde. Ou du moins, la fille que j’aimerais pouvoir encore qualifié de la sorte, ou plutôt avoir le droit de l’appeler à nouveau comme cela, parce que putain, ça fait des mois que je lui cours après et qu’elle m’envoie promener. Mais maintenant, j’ai compris. Elle a quelqu’un d’autre dans sa vie, un autre mec qui lui plait. Et bien entendu, il faut que ça soit notre professeur référant. Ce gars qui m’avait déjà que trop prit la tête lors de la soirée des enchères avec la Cabot, celui qui se pense mieux que tout le monde et que je suis obligé de supporter parce qu’il est notre professeur référant… Elle pouvait pas aller se prendre un autre gars non ? Pourquoi lui ? Pourquoi toujours tout compliqué comme ça ?

Enfin, tout ça pour dire que pendant ce pique-nique pour fêter notre réussite pour la comédie musicale, j’avais eu la brillante idée d’aller enfin posé la question à Samuel pour savoir la relation qu’il entretenait avec Lottie après avoir vu les deux échanger un baiser plus que langoureux. La réponse donnée par l’homme n’avait guerre été plaisante pour moi… Alors au lieu de me donner en spectacle devant tout le monde, parce que je n’avais pas envie de pourrir la soirée de tout mes camarades, je m’en étais aller discrètement. Non pas pour retourner à l’hôtel, mais plutôt pour me trouver un bistrot et me laisser à aller à déprimer un peu dans mon coin pour noyer cet amour que je pense à nouveau perdu… Comme en janvier, sauf que cette fois-ci, il n’y a pas Mira pour me raccompagné à la sortie… D’ailleurs, je suis encore assez cligne quand le bar ferme. Enfin, il me semble, parce que je suis encore assez conscient… Assez pour aller dans un night-shop et m'acheter une bouteille de vodka pour tenter de m’achever dans un sens. Une bouteille que j’entame en reprenant enfin la route de l’hôtel.

Je ne sais pas du tout l’heure qui l’est, j’espère juste que tout le monde dort, que personne ne m’a attendu, pas même Brent, mon colocataire pour cette semaine. En fait, j’espère surtout qu’il dort, parce que je n’ai pas envie de l’entendre me sermonner, sauf que même s’il dort, je risque de le réveiller. Rentrer dans ma chambre est-ce alors une bonne idée ? J’en sais rien. Je pourrais dormir dans le hall de l’hôtel, mais j’aurais l’air d’un pouilleux… Je soupire alors, pestant un peu contre mon ancien Bizut qui se la joue trop moralisateur avec moi tandis que je porte ma bouteille à mes lèvres pour encore me délecter de ce breuvage alcoolisé dont je ne sens plus réellement le goût à force de le boire. Je me mets alors à marché dans les couloirs avant de finalement frapper à une porte… Celle d’Oliver. Je ne sais même pas s’il dort, s’il est seul surtout. Tout comme je ne sais même pas pourquoi je viens le voir lui alors que j’aurais très bien pu aller vers mon petit frère ou quelqu’un d’autre. Après tout, je ne manque pas de connaissance ici… Ou même d’amis… Peut-être est-ce du à l’alcool ? Ou bien même à cause de notre conversation au début du voyage ? J’en sais trop rien, mais je frappe encore une fois à la porte de sa chambre. Je veux qu’il m’ouvre et en attendant, je porte encore le goulot à mes lèvres pour continuer de boire.

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Le picnic nocturne m'avait paru une super idée, aussi je m'y étais rendu, caméra en main, dans le but d'immortaliser un peu la dernière soirée. J'avais découvert Central Park plutôt cette semaine et ça me donnait plus de motivation à y aller. J'y avais déjà passer des heures et j'avais apprécier la vue et les différents secteurs. Un truc était certain c'est, qu'au retour, j'en aurais pour des heures en chambre noire à développer les films que j'avais passé. J'en comptais déjà près d'une dizaine.  

J'avais parcouru la foule pendant un moment, me collant parfois l'œil au viseur, saluant et discutant avec certains collègues de confrérie, buvant une bière ou deux. J'évitais les conversations parlant de théâtre ou de danse, aussi je ne restais pas vraiment longtemps avec tout le monde. Déjà en temps normal, ce genre de conversation pouvait être assez fréquente avec les Lowells, alors ce soir, quand tout le monde fêtait une représentation que j'avais boycoter toute la semaine : ça devenait vachement plus compliqué! Je m'éloignais légèrement, profitant du parc, appréciant l'ambiance un peu plus feutré, malgré que j'entendais très bien le party. Je tournais encore un peu au hasard et mes pas finirent par me faire traverser l'esplanade et rentrer tranquillement à l'hôtel. Je montais à ma chambre, appréciant ma solitude. J'étais censé avoir quelqu'un, mais je ne l'avais pas vu de la semaine. Je ne savais même pas de qu'il s'agissait. J'avais fini par déduire une annulation ou qu'il/elle avait décidé de squatter ailleurs. C'était pas impossible.

Je déposai d'abord prudement ma caméra et ses lentilles dans son étui. Puis, par habitude, je retirai la plupart de mes vêtements et surtout mon atelle, envoyant tout bouler sur le lit d'à côté puisqu'il était inutilisé. Je ne conservai que mon jeans. Oh confort. Je m'installai sur mon lit, callant les oreillers contre le mur, allongeant ma jambe et, écouteurs sur les oreilles, je commençai à griffonner. Plusieurs morceaux de musique et de pages plus tard, je relevai finalement la tête, pensant avoir entendu du bruit. J'appuyai sur pause et retirai mon casque. Des coups sur le battant me firent hausser les sourcils, qui pouvait cogner aussi tard? Laissant tout en plan, je me levai pour ouvrir.

- Et derrière la bouteille entamé ce cache... commençais en appuyant légèrement sur le bas de la bouteille pour la faire descendre et voir qui je savais ce trouver derrière. Le pote de galère à moitié éméché! Fais-moi le plaisir de ne pas beugler dans le corridor, riais-je. Et, règle évidente, si tu entres avec cette bouteille; tu partages.

Je m'effaçai du cadre pour lui permettre d'entrer.

- Qu'est-ce qui t'arrives, demandais-je en refermant derrière lui.
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Le goulot aux lèvres, je continue de boire ma Vodka, laissant la morsure chaude de celle-ci m'attaquer la gorge alors que la porte s'ouvre. Je grogne un peu quand on me force à reculer la bouteille, mais en même temps, quand je reconnais Oliver, je cesse toute protestation. Je le fixe d'ailleurs un instant, sans trop savoir quoi penser, que cela soit de sa tenue ou même toujours de ma présence ici. Je le détaille un peu du regarde, gardant un appuie contre le mur, à cause de ma jambe toujours blessée, mais aussi à cause de l'alcool. Je l'écoute parler, mon regard fixé sur ses lèvres comme pour essayer de comprendre ce qu'il dit, comme si j'étais incapable de décoder les sons qui s'échappent actuellement de ses lippes. Mais derrière ce regard insistant ce cache autre chose.

Cependant, quand il me parle d'entrer et de ma bouteille, mon réflexe et de la lui tendre, pour lui laisser en théorie le loisir de boire également. Je m'avance ensuite vers lui, ignorant sa dernière question. Qu'est-ce qui m'arrive... Si seulement je pouvais résumé tout ça, le dire de façon simple et compréhensible. mais là, je ne peux pas et surtout, je ne veux pas. Je veux l'oublier, oublier cette fille qui me fait du mal. Je sais que si je commence à parler d'elle, je risque de me mettre à chialer et ça, je ne veux pas, pas encore, je l'ai déjà fait une fois, je ne veux pas recommencer alors, je m'approche encore d'Oliver, je suis un peu trop près. Il vient d'ailleurs de refermer la porte. Je continue de le regarder avant de le repousser contre le mur.

Je ne suis pas violent, pas réellement ou alors pas volontairement, je suis plus maladroit alors que je me presse contre lui, mes mains glissant sur son torse dénudé, remontant vers sa nuque pour s'y glisser, mes lèvres venant se poser sur les siennes, pour l'empêcher de parler, pour l'empêcher de me poser d'autre questions... Voilà. C'était pour ça que je fixais ses lèvres, parce que je voulais y goûter, parce que je me doutais bien que ça serait différent, parce que je veux tout oublier, oublier ce que je suis, celle que j'aime et à cet instant, il est mon unique échappatoire. Je suis fous de faire ça, fout de tenter ainsi le diable surtout après notre conversation en début de semaine.

Je l'embrasse avec une certaine fougue, parce que j'en ai besoin, parce que j'ai besoin de savoir à cet instant que je peux plaire à quelqu'un. Même s'il s'agit d'un mec. Je suis complètement paumé, je le reconnais. Lottie m'a fait faux-bond pour de bon... Elle préfère un autre à moi, alors je craque, je me remets en question et j'ai ce besoin de savoir que je peux toujours plaire à quelqu'un... Alors... "Est-ce que je te plais..." Le questionnais-je après avoir reculé un peu la tête.

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Entendre cogné à ma porte de chambre à Cambridge, je trouve ça normal avec deux colocs, entendre cogner à ma porte de chambre alors que je séjourne dans un hotel de New-York, c'est un plus étrange. Je me lève pour aller ouvrir, remarquant en premier un fond de bouteille de fort, puis se cachant derrière, grognant légèrement lorsque je lui fais lâcher le goulot, Jaysaël. Appuyé contre le mur, le rouge me fixe et je commence à me demander s'il ne va pas tomber tout simplement. Je l'invite à entrer : ce sera toujours mieux que s'il décide de beugler dans le corridor et il sera plus gérable à l'intérieur. Plaisantant, je lui dis que s'il veut entrer avec sa bouteille, faudra partagé. Offre qu'il prend au mot, car il me la refile sans protester. Je ne suis pas contre, j'ai toujours apprécier la vodka. Je pique une gorgée avant de refermer derrière lui, sentant le liquide chauffer ma gorge.

Attendant toujours la raison de sa présence, je me tourne pour réaliser qu'il me fixe. Qu'est-ce que j'ai fait? Il s'approche avec un air un peu trop décidé à mon goût et je me retrouve appuyer au mur avant d'avoir pu esquiver. Il a de la poigne, bordel. Son corps d'appuyant contre le mien, mon cerveau me souffle la conversation qu'on a eu plus tôt cette semaine et je commence à me demander si dans son état embrumé, il n'a pas décidé de pousser plus loin la déconne.

Aggripant d'une main, son jeans par la taille, dans le but de le faire reculer, ses mains remontant mon torse, le niveau de connerie me semble aller un peu trop loin. Le temps de réaliser, ses doigts s'emmêlent dans ma nuque et ses lèvres sont sur les miens. C'est à ce moment que j'ai dû griller un fusible quelque part, fermant les yeux et m'abandonnant plus que de raison à ce baiser volé qui se prolonge en intensité. Lorsque nos bouches se séparent, j'appuie ma tête contre le mur, expulsant un soupir. Le cerveau a vide, j'essaie de rapatrier mes neurones pour comprendre ce qui vient de se passer.

- Est-ce que je te plais...

J'ouvre les yeux et serrant la mâchoire, je descends sur lui mon regard, grondant d'avance si ce n'était véritablement qu'une connerie. Si c'est le cas, je lui en colle une! Pourtant, je perds mon idée et ma colère en voyant sa tête. Putain, qu'est-ce qui lui est arrivé?

- Explique, articulais-je.
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Le regard trouble, je le regarde comme je peux, nos visage à quelque centimètre l'un de l'autre. Ma question vient de franchir la barrière de mes lèvres et j'attends avec une certaine impatience sa réponse. J'attends. En vain, parce qu'elle ne vient pas. Ou du moins pas comme je l'aurais souhaité. Je le regarde, le dévisageant probablement un peu. Restant d'ailleurs silencieux de longues secondes, peut-être même des minutes, mais quand on a bu, que l'alcool inonde partiellement nos veines, notre notion du temps n'est plus la même. "Je ne sais pas. C'est compliqué" Lui lançais-je alors d'une voix un peu boudeuse. En réalité, si, j'aurais pu lui dire, lui balancer que Lottie s'amusait avec son professeur de droit, que j'avais plus aucune chance avec elle, que je me sens misérable, méprisable même, à cause d'elle, parce que depuis des mois, elle fait tout pour que je me sente ainsi. Cependant, je ne dis rien, je préfère omettre ces choses-là pour le moment. Je n'ai pas envie de vider mon sac, de chialer encore une fois comme une fillette qui a perdu son chat. Alors, je fais mine de ne pas savoir, même si au fond, je le sais, je sais ce qui me fait du mal et qui me détruit petit à petit, pourtant, je ne veux pas le partager avec lui, pas comme ça, pas maintenant en tous cas.

Je me recule alors un peu, laissant mes doigts glisser de sa nuque. Ma main gauche jouant brièvement avec une de ses mèches blondes tandis que l'autre glisse à nouveau sur son torse, détaillant un peu celui-ci. C'est assez étrange de toucher ainsi le corps d'un autre homme, de le découvrir de cette nouvelle façon... Je finis par rompre le contact, reculant encore un pas. Je penche alors un peu la tête en le regardant de haut en bas. "Je pense... Que toi. Tu peux me plaire." Affirmais-je sans trop m'en rendre compte. Est-ce que je dis cela uniquement parce que je veux qu'il me dise que je peux lui plaire aussi ? Non, que je lui plais ? J'en sais trop rien, je suis complètement confus, perdu et je ne sais plus trop bien ce que je fais... Dire que je suis supposé connaître mes limites. C'est une belle connerie pour le coup. Je fais du grand n'importe quoi. Enfin, est-ce que l'on peut déjà qualifier cela de connerie ? Non pas réellement, je pourrais uniquement si je regrettes ensuite, l'heure n'est donc pas de me poser cette question.
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Faut qu'il m'explique ce qui vient de se passer. Je veux comprendre pourquoi il a débouler comme ça au milieu de la nuit, pourquoi à peine entré il était contre moi et pourquoi il vient de m'embrasser. De mon côté, j'essaie de comprendre pourquoi je l'ai laisser faire et pourquoi je me suis laisser aller. Pourquoi c'est moi qu'il est venu voir. Il avait pas personne d'autres à qui se confier et sur qui il aurait pas sauter?Me fixant un moment, il me sert l'excuse classique. Celle où l'on ne risque pas de se mouiller. Qui n'engage à rien et surtout pas un capharnaüm de questions. Il ne sait pas.

Cependant, à son air, je devine qu'il sait plus ou moins, que oui, c'est compliqué et qu'il ne veut pas s'empêtrer à me le dire. Soit, j'arrête mon interrogation là pour le moment, mais ce n'est que reporter à plus tard. Il faudra qu'il m'explique. Je me tais, malgré mes questions. Je le laisse essayer d'ordonner ses pensées alors que je tente de faire de même. Sa main gauche jouant avec mes cheveux n'aide pas à la situation, faisant hérissé ma nuque, tandis que l'autre descends sur mon torse, s'attardant un peu. Il va me rendre cinglé. Il finit par reculer et je recommence à respirer alors que je n'ai pas conscience d'avoir arrêter. Ne bougeant pas, je le laisse me jauger. Il fait quoi là?

- Je pense... Que toi. Tu peux me plaire.

J'hausse un sourcil, marquant un temps. Il avait peur de moi plus tôt cette semaine, et là c'est lui qui me saute dessus, l'air un peu désespéré. Je ne sais pas ce qui s'est passé... J'accuse un soupire, mes doigts se resserrent sur la bouteille de vodka et j'en descends un forte rassade, cherchant à noyer l'idée qui germe. Grimaçant à la chaleur qui descends, je m'étire un peu pour déposer la bouteille sur le meuble le plus près. Me redressant, je le tire par sa taille ou mes doigts on crocheter ses jeans un peu plus tôt, prise que je n'ai pas lâché depuis, et l'envoi à son tour contre le mur, appuyant mon avant-bras gauche juste au-dessus de son épaule. Je dois avoir les yeux nettement plus foncés, alors que je m'adresse à lui.

- Jay, je t'ai déjà dis que si tu me cherchais vraiment, tu finirais par me trouver, soufflais-je en m'approchant de lui à mon tour, mes lèvres frôlant les siennes. Tu risques vraiment de le regretter.
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Je viens de lui sortir une phrase que je n'aurais jamais pensé dire à un mec sérieusement, bien que la question à se poser là, c'est est-ce que l'on peut considéré cela comme serieux en vue de l'alcool que j'ai ingurgité au fil de la soirée ? Bonne question. Probablement que non, pourtant, il me semble avoir toujours un peu conscience de ce que je fais, comme si j'avais simplement une sorte de voile devant les yeux. Pourtant, ce n'est pas cela qui m'empêche de le regarder, de ne pas le quitter des yeux alors qu'il doit sûrement se demander ce que je fous là et ce que je cherche... Question que je me pose aussi, en partie.

Ayant complètement occulté la présence de ses mains sur ma taille, je le regarde, surpris de me retrouver ainsi contre le mur. Je ne m'attendais pas réellement à cette réaction, à le voir échanger les rôles en quelque sorte. Pourtant, je ne le quitte pas des yeux, laissant les miens se perdre dans les siens en attendant toujours ma réponse, cette question si banale pour certain, qui est devenue primordiale pour moi cette nuit... J'attends, retenant un peu mon souffle quand il parle, parce que j'espère qu'il va le dire, qu'il va enfin formuler ce que je veux, sauf que non. Il ne le fait toujours pas, me mettant simplement en garde contre lui, contre ce que l'on fait actuellement, ce jeu dangereux que j'ai lancé en début de semaine. Bien que probablement aucun de nous deux n'aurait imaginé ce retrouver dans cette position ce soir. Qui aurait pu d'ailleurs... Le désespoir fait parfois faire des choses bien étranges.

Je continue de le regarder, restant silencieux alors que je devrais lui répondre, lui dire ce qui me passe par la tête, expliquer cette situation au lieu de partir en vrille comme je le fais. Pourtant, quand j'ouvre la bouche, ce n'est pas une vague de paroles qui franchit mes lèvres, mais une simple question. "Et si c'est ce que je veux ?" Mais qu'est-ce que je veux ? Lui ? Ou bien faire une connerie que je regretterais comme il dit, comme beaucoup de gens le penserait même... Je relève un peu les mains, doucement, pour qu'elles viennent encore prendre possession de son torse et de son dos en de légères caresses. Je franchis alors à nouveau les quelques centimètres qui séparent nos lèvres pour doucement, prendre une nouvelle fois possession des siennes. Je me recule assez rapidement, mes dents tirant alors doucement sur sa lèvre inférieure, dans le but de faire monter son envie... Mais peut-être que pour lui ça ne changera rien. Je plante alors à nouveau mon regard dans le sien. "Tu ne veux pas toi?" Après tout, c'est ce qu'il semble sous-entendre depuis le début non ? Même s'il se tient proche de moi, qu'il répond à mes baisers... Je donne trop d'importance aux mots. J'ai le même soucis avec Lottie. Je déteste ce putain de conflit parole et acte que tout le monde semble avoir autour de moi.
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Une tentative pour le calmer. Je le repousse contre le mur, comme il a fait quelques instants plus tôt. Je le vois hésiter et ça me convient, je ne tiendrais pas longtemps à ce jeu s'il décide de continuer. Une nouvelle fois, j'ai proféré des menaces, mais cette fois elles pourraient être bien réelles. En temps normal, je résiste plus ou moins facilement à un assaut, pas que ça me soit arrivé particulièrement souvent, mais assez pour le savoir. Cependant, ces derniers temps, je n'ai pas les idées claires et ça me bouffe toute mon énergie. Je n'ai pas la force mentale nécessaire à repousser un Jay éméché qui a décidé de s'accrocher un peu trop à moi. Et ce, même si je sais qu'on se brûlerait tous les deux. 
 
- Et si c'est ce que je veux ?
 
Je ferme les yeux, accusant sa réponse. Je lui dirais bien que ce n'est pas ce qu'il veut, que c'est seulement l'alcool qui le fait parler de travers, mais avec ce qui s'est passé dimanche, je ne suis plus certain si ce serait véridique. Son insistance à me faire parler, à souligner mes contradictions, tout ça je commence à me demander si ce n’était pas du vrai et si l'alcool ne lui donne pas simplement le courage qu'il n'avait pas plus tôt. Pourtant, il m'a parlé de Lottie, non? Je sais plus quoi en penser... Ses mains à nouveau sur moi ne m'aident en rien à rester stoïque. Même si je disais que je n'ai pas la tête à ça, mon corps réagit un peu trop bien à ces caresses légères. Il franchit la faible distance, une fois de plus, et s'empare de mes lèvres, mordant ma lèvre inférieure alors qu'il se détache rapidement. Ouvrant les yeux, je suis face à ses iris au fond desquelles j'y trouve un peu trop de détermination.  
 
- Tu ne veux pas toi?
 
Je déglutis difficilement. Passant ma langue sur mes lèvres, je cherche mes mots. 
 
- Ce n'est pas que je ne veux pas. C'est que je ne devrais pas, lâchais-je en un soupir, baissant la tête quelques secondes pour la relever presque tout de suite et retrouver ses yeux qui me fixent. T'as aucune conscience de l'effet que tu fais... 
 
Je n'ajoute pas que présentement, je suis loin d'être celui qui peut le mieux lui résister. Parce que je me sens faible, parce que j'ai de la difficulté à avaler ce qui se passe dans ma tête et dans mon cœur depuis plusieurs semaines, parce que j'accepte très mal le fait de m'accrocher à un fantôme... 
 
- Tu m'en voudras... laissais-je tomber, avant que ce ne soit moi qui n'aille chercher un nouveau baiser. 
 
Parce que demain, il pourra dire que c'est l'alcool qui lui a fait faire des conneries, tandis que je n'ai pas encore assez bu pour ne pas être, en théorie, assez lucide pour arrêter tout ça. Mais je n'en ai pas la force; je flanche. Il m'accusera de tout ce qu'il veut demain... 
 
Ma main gauche se glisse sous sa nuque, et plaçant mon pouce légèrement derrière son oreille, j'accentue la pression pour me rapprocher, entrouvrant la bouche pour chercher un peu plus d'accès à la sienne. Ma main droite lâchant son jeans pour remonter sous sa chemise jusqu'à atteindre sa peau.
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Ma question à son égard vient de franchir mes lèvres, peut-être qu'il n'a pas envie, peut-être même qu'il pense encore à son pseudo-copain, comme je devrais penser à Lottie à cet instant plutôt que de tenter de la chasser de son esprit. Peut-être que je ne l'intéresse réellement pas et qu'au final, tout ce qu'il m'a dit l'autre jour, n'était autre que des mensonges, des conneries. J'intéresse donc personne au final... Je me crispe un peu, stoppant mes caresses sur lui prêt à le repousser et à partir, parce qu'il ne faisait que confirmer ce que je pensais avant, je ne peux plaire à personne... Sauf qu'il prend la parole, alors, je le fixe, mes doigts jouant avec le bord de son pantalon. Je l'écoute alors, accusant un peu son refus... Parce que c'est bien ce qu'il fait non... Il me dit qu'il ne veut pas, enfin... Partiellement... Putain, je comprends rien, pourquoi il peut pas juste dire oui ou non. Pourquoi il faut toujours que ça soit compliqué, que ça soit avec lui ou bien avec Lottie, c'est pareil ! Je soupire, agacé par sa réponse. J'affirme alors un peu la prise sur ses hanches à ses propos. L'effet que je peux faire hein ? la bonne blague. Je lui laisse entendre un rire nerveux. "Quoi ? Tu vas me dire que je suis pas ton type, que je suis pas badant, que toi aussi t'en a rien à foutre de moi au final ?" Je laisse un peu échappé ma colère contre lui, ma frustration d'avoir ainsi perdu Lottie parce qu'elle préfère un vieux croulant de professeur. Je le fixe, blessé, mais cela ne dure pas longtemps. J'hausse un sourcil en entendant ses derniers propos. Lui en vouloir ? Pourquoi ? J'allais lui poser la question, mais il ne m'en laisse guère l'occasion, ses lèvres venant happer pour la première fois, dans ce sens-là, les miennes. Je reste surpris un moment, les yeux ouvert, ne répondant pas à son baiser pendant un millième de secondes. Je finis alors par bouger les lèvres doucement pour répondre à son baiser, pour me laisser aller à lui en quelque sorte, alors que je lui laisse entendre un petit gémissement tandis que je ferme les yeux, savourant cet instant, frissonnant même à la présence de ses doigts dans ma nuque et sous ma chemise. Je le laisse se faufiler comme ça, sans le repousser, sans le stopper, reprenant même mes caresses dans son dos, l'attirant un peu plus contre moi pour sentir un peu sa chaleur après la froideur de la nuit et de la rue. Je profite, prolonge le baiser comme il le désire, écartant aussi mes lèvres pour laisser mon muscle de chair venir chercher le sien, pour le taquiner doucement, le caressant, tournoyant autour dans un baiser qui se veut plus langoureux, plus sensuel. Je me recule ensuite, fixant ses lèvres. "Pourquoi ?" soufflais-je alors doucement, persuadé dans un sens, par le fait qu'il ne voulait pas de ça, de ma présence ici et maintenant.
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Ce mec... Il n'a vraiment aucune conscience des bouffées de chaleur qu'il peut produire. Il s'insurge et je réalise qu'il n'a rien compris. C'est lui qui me cherche, c'est lui qui me saute dessus... et je n'ai rien à contre-balancer pour lui résister. Ses mains me font frissonner et les fusibles saute un à un. Faiblement, je me laisse aller. J'en ai marre de laisser ma tête guider, parce que depuis un moment, y'a rien de clair et ça m'épuise. Là c'est le corps qui répond présent. Un peu trop bien peut-être... J'assumerai. Il a l'alcool pour excuse, moi que dalle et je ne chercherai pas.

Je lui vole ses lèvres, et lorsqu'il répond à ma demande, c'est avec un gémissement qui m'électrise un peu trop. Ma main gauche glissant dans sa nuque, lui arrache un frisson, alors que ma main droite remonte sur son flanc jusqu'à atteindre sa peau qui se réchauffe sous mes doigts. J'accentue la pression dans son cou et il m'attire à lui, ses mains parcourant à nouveau mon dos. Je me plis à sa demande sans résister, cherchant un peu plus accès à sa bouche. Je le goûte un peu plus, sa langue venant jouer avec la mienne. Tourbillonnant. Je vais finir par me saouler à l'embrasser... Rompant le contact, il recule pour, je présume, reprendre son souffle, je fais de même. Entendant sa question, je laisse tomber ma tête sur son épaule en soupirant. Oh, c'est pas vrai! C'est là qu'il se tape une crise de conscience? Et c'est lui qui pose des questions, maintenant? Le visage dans son cou, je ris doucement.

-T'as vraiment un sens du timing particulier, toi! M'exclamais-je en me redressant.  

Pour pas dire merdique présentement, mais ça a le bon point de me ramener un peu sur terre. Pas la douche froide, mais ça dilue un peu le brouillard. Lâchant sa nuque, je passe ma main dans mes cheveux pour les ramener vers l'arrière, puis recule d'un pas.

- Viens, dis-je en tirant sur son jeans pour qu'il me suive. Si tu veux des explications de ma part, faudra que tu m'en donnes en contre-partie...

Le lâchant, je me dirige vers mon lit pour retirer le matériel d'art et mes écouteurs que j'y ai laisser en plan pour aller lui ouvrir la porte. Je dépose le tout sur la table de chevet et me tourne pour voir s'il s'est approché. Qu'il ne songe pas à se barrer pour fuir les explications!

- Je ne peux pas tenter d'expliquer, si tu ne me dis rien en retour Jaysaël, parce que là ça commence à faire beaucoup, articulais-je.

C'est donnant-donnant; ça ne fonctionnera pas que dans un sens. Je me doute qu'il ne voudra pas tout me dire et je ferai avec. Quelques réponses, ce sera déjà mieux zéro.
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