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Ce sera maintenant ou jamais
C'était notre dernière soirée ici à New-York avec la Lowell, on était supposé s'éclater, s'amuser entre nous durant ce dernier soir avec le pic-nique que Maggie et Olyvia avait organisé pour célébrer la réussite de la pièce... Si au début, je m'éclatais avec tout le monde, j'avais rapidement déchanté... Pourquoi ? Parce que j'avais eu la brillante idée d'enfin confronter Samuel sur un événement datant un peu. J’aurais peut-être du le faire plutôt, ou bien simplement ne pas le faire à une soirée comme celle-ci… Après tout, c’était quand même notre dernière soirée ici avec les Lowell, j’aurais peut-être du éviter de faire ça ce soir, mais en même temps, j’avais déjà que trop tarder pour confronté Samuel sur cette histoire concernant ma blonde. Ou du moins, la fille que j’aimerais pouvoir encore qualifié de la sorte, ou plutôt avoir le droit de l’appeler à nouveau comme cela, parce que putain, ça fait des mois que je lui cours après et qu’elle m’envoie promener. Mais maintenant, j’ai compris. Elle a quelqu’un d’autre dans sa vie, un autre mec qui lui plait. Et bien entendu, il faut que ça soit notre professeur référant. Ce gars qui m’avait déjà que trop prit la tête lors de la soirée des enchères avec la Cabot, celui qui se pense mieux que tout le monde et que je suis obligé de supporter parce qu’il est notre professeur référant… Elle pouvait pas aller se prendre un autre gars non ? Pourquoi lui ? Pourquoi toujours tout compliqué comme ça ?
Enfin, tout ça pour dire que pendant ce pique-nique pour fêter notre réussite pour la comédie musicale, j’avais eu la brillante idée d’aller enfin posé la question à Samuel pour savoir la relation qu’il entretenait avec Lottie après avoir vu les deux échanger un baiser plus que langoureux. La réponse donnée par l’homme n’avait guerre été plaisante pour moi… Alors au lieu de me donner en spectacle devant tout le monde, parce que je n’avais pas envie de pourrir la soirée de tout mes camarades, je m’en étais aller discrètement. Non pas pour retourner à l’hôtel, mais plutôt pour me trouver un bistrot et me laisser à aller à déprimer un peu dans mon coin pour noyer cet amour que je pense à nouveau perdu… Comme en janvier, sauf que cette fois-ci, il n’y a pas Mira pour me raccompagné à la sortie… D’ailleurs, je suis encore assez cligne quand le bar ferme. Enfin, il me semble, parce que je suis encore assez conscient… Assez pour aller dans un night-shop et m'acheter une bouteille de vodka pour tenter de m’achever dans un sens. Une bouteille que j’entame en reprenant enfin la route de l’hôtel.
Je ne sais pas du tout l’heure qui l’est, j’espère juste que tout le monde dort, que personne ne m’a attendu, pas même Brent, mon colocataire pour cette semaine. En fait, j’espère surtout qu’il dort, parce que je n’ai pas envie de l’entendre me sermonner, sauf que même s’il dort, je risque de le réveiller. Rentrer dans ma chambre est-ce alors une bonne idée ? J’en sais rien. Je pourrais dormir dans le hall de l’hôtel, mais j’aurais l’air d’un pouilleux… Je soupire alors, pestant un peu contre mon ancien Bizut qui se la joue trop moralisateur avec moi tandis que je porte ma bouteille à mes lèvres pour encore me délecter de ce breuvage alcoolisé dont je ne sens plus réellement le goût à force de le boire. Je me mets alors à marché dans les couloirs avant de finalement frapper à une porte… Celle d’Oliver. Je ne sais même pas s’il dort, s’il est seul surtout. Tout comme je ne sais même pas pourquoi je viens le voir lui alors que j’aurais très bien pu aller vers mon petit frère ou quelqu’un d’autre. Après tout, je ne manque pas de connaissance ici… Ou même d’amis… Peut-être est-ce du à l’alcool ? Ou bien même à cause de notre conversation au début du voyage ? J’en sais trop rien, mais je frappe encore une fois à la porte de sa chambre. Je veux qu’il m’ouvre et en attendant, je porte encore le goulot à mes lèvres pour continuer de boire.
Enfin, tout ça pour dire que pendant ce pique-nique pour fêter notre réussite pour la comédie musicale, j’avais eu la brillante idée d’aller enfin posé la question à Samuel pour savoir la relation qu’il entretenait avec Lottie après avoir vu les deux échanger un baiser plus que langoureux. La réponse donnée par l’homme n’avait guerre été plaisante pour moi… Alors au lieu de me donner en spectacle devant tout le monde, parce que je n’avais pas envie de pourrir la soirée de tout mes camarades, je m’en étais aller discrètement. Non pas pour retourner à l’hôtel, mais plutôt pour me trouver un bistrot et me laisser à aller à déprimer un peu dans mon coin pour noyer cet amour que je pense à nouveau perdu… Comme en janvier, sauf que cette fois-ci, il n’y a pas Mira pour me raccompagné à la sortie… D’ailleurs, je suis encore assez cligne quand le bar ferme. Enfin, il me semble, parce que je suis encore assez conscient… Assez pour aller dans un night-shop et m'acheter une bouteille de vodka pour tenter de m’achever dans un sens. Une bouteille que j’entame en reprenant enfin la route de l’hôtel.
Je ne sais pas du tout l’heure qui l’est, j’espère juste que tout le monde dort, que personne ne m’a attendu, pas même Brent, mon colocataire pour cette semaine. En fait, j’espère surtout qu’il dort, parce que je n’ai pas envie de l’entendre me sermonner, sauf que même s’il dort, je risque de le réveiller. Rentrer dans ma chambre est-ce alors une bonne idée ? J’en sais rien. Je pourrais dormir dans le hall de l’hôtel, mais j’aurais l’air d’un pouilleux… Je soupire alors, pestant un peu contre mon ancien Bizut qui se la joue trop moralisateur avec moi tandis que je porte ma bouteille à mes lèvres pour encore me délecter de ce breuvage alcoolisé dont je ne sens plus réellement le goût à force de le boire. Je me mets alors à marché dans les couloirs avant de finalement frapper à une porte… Celle d’Oliver. Je ne sais même pas s’il dort, s’il est seul surtout. Tout comme je ne sais même pas pourquoi je viens le voir lui alors que j’aurais très bien pu aller vers mon petit frère ou quelqu’un d’autre. Après tout, je ne manque pas de connaissance ici… Ou même d’amis… Peut-être est-ce du à l’alcool ? Ou bien même à cause de notre conversation au début du voyage ? J’en sais trop rien, mais je frappe encore une fois à la porte de sa chambre. Je veux qu’il m’ouvre et en attendant, je porte encore le goulot à mes lèvres pour continuer de boire.
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