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Become a player they said, you won't fall in love they said... [OLIVIA]

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Olivia & Aidan



    Lorsque j'entendis Olivia me répondre, je me sentis soulagé. Soulagé, mais paniqué en même temps. Je n'avais absolument pas pensé aux conséquences, j'avais agis en plan B… Que faire si elle partait ? Crier pour qu'elle revienne, tenter le tout pour le tout. Et apparemment elle n'était même pas encore sortie de l'immeuble lorsque je l'ai supplié de revenir, ça voulait dire qu'elle avait tout entendu… et qu'est-ce que j'étais censé faire au juste ? J'avalais ma salive nerveusement, serrant mon poing. Je n'avais absolument aucune idée de ce que je devais faire et encore moins de ce que je devais dire… Olivia et moi c'était une relation sans attache, on ne parlait jamais sérieusement. Je ne savais pas quels mots je devais employer pour l'attendrir, ni ceux qui risqueraient de l'énerver… et tout ça parce que je n'avais jamais pris la peine de lui parler avec mon cœur, et encore moins de l'écouter. Ce n'était pas qu'elle, je n'écoutais pas les gens en général. Tous ce qu'ils pouvaient dire passait par une oreille et ressortait par l'autre. C'était ma manière de rester détaché ; moins on écoute ce qu'ils racontent et moins on les connaît ; moins on les connait et moins on s'attache à eux.

    Je ne saurais dire quelle magie avait opérée, mais même en ayant tout fait pour ne pas m'attacher, ça n'avait pas fonctionné. Je venais de me rendre compte en criant du haut de ces escaliers que ma voix tremblait de peur qu'elle ne revienne pas. Malgré tout, malgré ce qu'on s'était promis, je crois bien qu'elle comptait pour moi, et pas juste parce qu'elle avait un corps de rêve que j'adorais tenir contre moi.

    Elle venait de monter quelques marches et j'étais désormais en mesure de la voir. Sans que je ne comprenne pourquoi, les battements de mon cœur s'accélérèrent. J'étais paniqué, bien sur, parce que ce genre de chose ne m'arrivait pas. Ce n'était pas moi et je ne me reconnaissais pas. J'avais envie de lutter contre ça et de rentrer chez moi en claquant la porte mais alors, à quoi cela aurait-il servit que je la rattrape ? Etait-je aussi trouillard que ça ? Je l'étais définitivement, mais je ne saurais dire si j'avais plus peur de mes sentiments ou peur d'être trahi. Je descendis les marches qui nous séparèrent en arrêtant de penser et lorsque j'arrivais à son niveau, je la pris dans mes bras. C'est tout. Une marque de tendresse qu'elle avait rarement pu connaitre chez moi, probablement même jamais. Je n'étais pas quelqu'un qu'on pouvait qualifier de tendre ou d'affectif mais pour une fois, j'avais agis selon mes envies et non selon ce que je m'étais promis.

    “Tu veux bien… remonter un instant ? Ca me ferait plaisir et si tu veux, on n'est même pas obligé de finir ce qu'on a commencé” lançais-je en me détachant de ses bras pour la regarder dans les yeux. Si on m'avait dit deux jours plus tôt que je sortirai ce genre de phrase à une femme, j'aurais été le premier à m'en tordre de rire. Habituellement ça aurait été, remonter pour quoi, discuter ? Mais discuter de quoi, de la pluie et du beau temps ? Alors qu'il n'y a qu'une chose qui me fait saliver et ce n'est certainement pas son temps de parole… On pouvait aisément dire qu'Olivia était une belle exception. Une exception que je ne comprenais pas. C'était vrai, je n'étais pas le genre de mec à discuter avec les filles ! Jamais, mais pour quoi faire bordel ? La seule avec qui je partageais ma vie privée et que j'appelais à 3h du matin parce que j'étais malade c'était Eleanor… Et elle avait du en baver pour en arriver à m'avoir dans ses filets croyez-moi… J'ai énormément donné de ma personne pour enfin arriver à lui accorder un bout de ma confiance et ne serait-ce que penser refaire tout ce travail pour quelqu'un d'autre me donnait la nausée. J'avais indéniablement peur et c'était sans doute la raison pour laquelle je repoussais les gens et me jouais d'eux. J'voulais pas qu'on m'approche, j'voulais juste m'amuser, passer une bonne nuit et aller travailler demain matin… Mais ce soir tout semblait partit pour que ça finisse autrement et j'me demandais comment est-ce que j'allais pouvoir me gérer, contrôler mes émotions et mes pulsions pour ne pas la faire partir à nouveau. Le contrat était rompu, alors nous ne devions plus jouer. J'allais devoir être vrai et ça ne semblait pas gagné d'avance… mais j'étais prêt à essayer.
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AIDAN & OLIVIA ♥ « Tout ce que tu feras dans ta vie n'aura aucune importance mais c'est très important que tu fasses tout cela. C'est comme quand quelqu'un débarque dans ta vie. La moitié de ton être te fait remarquer que tu es loin d'être prêt tandis que l'autre partie t'ordonne : reste avec elle pour toujours.- REMEMBER ME »



Les cris d’Aidan l’avait stoppait nette. Du moins la jeune femme c’était arrêté avant mais en l’entendant, elle n’avait plus aucune envie d’aller plus loin. Comment cela pouvait – il être possible ? Comment pouvait-il s’être attaché à elle ? En dépit de tout, Olivia n’y comprenait rien. Il n’avait jamais rien montré. Aidan était toujours resté très distant avec elle, il se contentait juste d’aller faire ce qu’il avait à faire et point barre. Leur relation n’avait rien d’amicale, ni même d’amoureuse, c’était juste du sexe pour le sexe, aucun attachement. C’était le contrat, leur contrat. Mais depuis ces derniers temps, Aidan l’appelait trop souvent, il voulait la voir presque trois fois par semaine, mais ce n’était pas le pire, le pire c’était qu’ils dormaient ensemble. La première fois, Olivia avait eu peur, elle s’était endormi et réveillait dans ses bras. Cette sensation l’avait complètement mise en colère. Non pas le fait de s’être endormi, ça pouvait arriver à tout le monde, même à ceux qui ne s’attachent pas, mais parce qu’elle avait apprécié ça. Olivia ne pouvait pas apprécié ce genre de chose, du moins ne pouvait plus les apprécier. Pour elle, ce fameux temps où tout était rose était fini. La jeune femme ne voulait plus de ça, mais inconsciemment .... C’est ce qu’il se passait en elle. Olivia aimait un peu trop la présence du jeune homme à ses côtés. Quoi de mieux que de le tester alors, non ?

Ce fameux soir, Oli’ avait joué carte sur table. Comment pouvait – il rester de marbre à tout ce qu’elle venait de lui dire ? Olivia ne comptait pas pour lui, même pas un peu, cette relation n’était rien, pour lui .... Ou alors peut-être trop pour qu’il ne montre .... Tout ce qu’elle voulait c’était comprendre. Comprendre comment un tel homme, pouvait se montrer aussi froid. Pas une seule fois, Aidan n’avait été tendre avec la jeune femme. Du moins, sauf lors d’une certaine nuit d’orage où Olivia n’avait pas pu rentrer chez elle. Aidan avait passé sa soirée avec elle, il lui avait parlé, ils avaient rit et au final, s’était endormi. Cette fameuse soirée changea surement tout. Puisqu’il n’y avait pas de sexe, mais juste des sentiments et du vrai. Ce fameux soir, aucun d’eux n’avait triché. C’était peut-être le problème. Après ça, aucun d’eux ne fit allusion à ce soir là et ils décidèrent de reprendre leur habitudes. Mais peut-être auraient-ils dû en parler un petit peu ? ..... La communication ne fut pas créée que pour les couples ! Justement en quoi de troubles ou même de doutes, c’est à ce moment là qu’il faut jouer cartes sur table. Mais aucun d’eux n’a eu le courage d’affronter la réalité. C’est peut-être ça le problème .... Enfin jusqu’à ce soir où Oli’ a mit une bonne fois pour toute les pieds dans le plat. Cette dernière ne pouvait plus supportait cette situation, cette tension, cette animosité qui existait entre eux. C’était fini, point final !

Il était là, devant elle. Aidan venait de la prendre dans ses bras. Il était descendu vers elle et l’avait prise dans ses bras .... Olivia ne savait pas quoi en penser. Cet élan de tendresse la combla une seconde mais elle se sentit mal à l’aise les secondes suivantes. C’était un réflexe défensif qu’elle avait créé pour ne plus être dépendante de qui que ce soit ! Mais à force de repousser les autres, elle n’arrivait plus à rien ressentir. Tout ce qui passait par son coeur fuyait aussi vite qu’il était venu. C’était ainsi que fonctionnait Oli’. En réalité, elle n’avait plus de coeur. Voilà le problème. Mais depuis ces derniers temps, des tonnes de questions tournaient en rond dans sa tête .... Voilà, elle ne savait plus quoi faire. La peur d’être elle-même depuis ce fameux soir, la peur d’être trahi, la peur de faire confiance, la peur de croire en l’autre, la peur de donner une nouvelle chance à la vie, la peur de dire son histoire .... Voilà tout ce que ressentait Olivia de la PEUR ! C’était assez horrible à dire, mais même lorsqu’elle était avec quelqu’un cette peur ne la quittait pas à part ce fameux soir, un fameux soir qui l’avait changé et soulagé le temps de quelque heures. Rien de plus ! Lorsqu’il dit cette phrase, bizarrement Olivia avait encore plus envie de lui. C’était peut-être la phrase bateau, celle qu’il disait à toutes les filles qu’il voulait avoir mais c’était comme ça. Cette dernière se rapprocha et l’embrassa tendrement une nouvelle fois. Prendrait-il peur ? C’était maintenant ou jamais .... « Fais moi l’amour Aidan .... » Lui murmura t-elle à l’oreille doucement avant de lui déposer un baiser dans le creux de son cou et de plonger son regard dans le sien en attendant sa réaction .... Olivia le testait, passerait-il se fameux test ? C’est ce qu’elle verrait immédiatement .....
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    J'étais idiot parfois, mais pas au point de laisser partir quelqu'un que j'appréciais. Malgré que je sois souvent sur mes gardes et paraisse plutôt détaché et froid envers les autres, j'étais toujours un être humain, et j'avais un cœur. Retenir Olivia était la seule chose que je puisse faire et maintenant elle m'embrassais tendrement, à nouveau. Je dois dire que ça me plaisais plutôt bien, surement parce que je n'y étais pas habitué… Pour moi, c'était du changement et on sait tous que le nouveau attise la curiosité et l'euphorie. Mais elle pouvait se reposer sur ses lauriers car je ne l'avais pas retenue par simple curiosité de voir comment est-ce que ça faisais de se rapprocher de quelqu'un… réellement. J'en avais vraiment envie mais le vouloir était une chose et le savoir en était une autre.

    Et ce qu'elle me chuchota à l'oreille me rendit à l'évidence : je ne savais pas. D'ailleurs, si des gouttes de sueurs ne dégoulinaient pas encore de mon front je n'en étais pas moins paniqué intérieurement. Faire l'amour à une femme, c'était quelque chose que je ne savais pas –ou plus- faire. J'étais plutôt habitué à d'autres termes beaucoup plus crus et moins romantiques, et j'aimais ça. Aussi loin que je me souvienne j'avais toujours détesté les conversations après l'acte du genre “à quoi tu penses ?” et les réveils mielleux où l'autre va chercher les croissants. J'étais celui qui devenait littéralement intouchable après tout acte sexuel : il ne fallait pas me parler, il ne fallait pas me toucher et il fallait encore moins rester dans mes pattes. Avec Olivia, je m'étais parfois sentis différent, et ça m'avais dérangé. Je m'étais convaincu aussi longtemps que j'avais pu que ce n'était qu'une illusion mais ce soir, on était tous les deux au pied du mur. C'était bien réel, et j'étais terrifié. Je le cachais très bien, mais j'avais peur de ne pas être à la hauteur. Être un goujat était facile mais se donner entièrement à quelqu'un l'était beaucoup moins. C'était une chose que je n'avais pas fait depuis très longtemps et ça me tordait l'estomac.

    Je restais quelques secondes à la regarder, ne sachant que faire. En temps normal je n'aurais pas réfléchi une seconde à ce genre de proposition et on serait déjà étendus sur le canapé du salon. Et c'était l'erreur que je n'allais pas faire. Olivia ne m'avait JAMAIS dis de “lui faire l'amour” et c'était un truc très différent pour les filles, apparemment ça voulait dire être tendre, doux et prendre son temps. Bah j'étais pas dans la merde. J'veux dire, c'est comme élever un enfant. N'importe qui en a entendu parler, sait comment on est supposé le faire mais… tant qu'on a pas un enfant à nous on ne sait pas du tout comment faire en réalité et il est certain qu'au début on s'y prenne comme un pied… C'était exactement pareil (bon à peu près) et j'avais pas du tout envie de la décevoir. Elle attendait quelque chose de moi et j'étais pas certain de pouvoir lui donner… J'avalais ma salive nerveusement, la regardant dans les yeux. Si on analysait bien, mon regard criait “sortez moi de là !” mais je canalisais mon angoisse du mieux que j'pouvais… “Si tu restes jusqu'à demain matin, d'accord…” Je lui offrais un sourire en coin, sincère, pas mesquin et bourré de sous-entendus comme j'en avais l'habitude. C'était déjà un bon début, elle avait compris que j'voulais faire un pas en avant. Je déposai mes mains sur ses hanches et rapprocha son corps du mien avant de l'embrasser tendrement. Puis, je la soulevais par la taille et montais les derniers escaliers qui nous séparaient de mon appartement, tout en continuant de l'embrasser.

    Une fois arrivé à l'intérieur, je la laissa tranquillement reposer les pieds sur le sol. Je devais bien l'admettre, c'était agréable le slow motion bien que je n'avais aucune idée de quoi faire par la suite. J'étais en train de lutter contre moi-même pour ne pas lui sauter dessus parce que tels que vous me voyez là j'étais au maximum du contrôle et ça faisait mal. Ça fait mal de lutter contre ses pulsions, mais quelque chose me disait que si j'accélérais le pas j'allais me prendre une beigne dans la tronche alors... j'inspirai profondément et l'embrassa à nouveau tendrement avant de me reculer. Nan c'était trop dur, j'pouvais pas. “Attends t'entends quoi par 'fais moi l'amour' ? Tu veux que que ça soit comme dans un film romantique, que je t'apporte une rose et que je te caresse les cheveux ? Non parce que j'suis pas sur de maîtriser ça...” Je la regardais avec un petit sourire en coin, mi-timide mi-amusé. Y'a rien de mieux que la communication dans un couple.
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AIDAN & OLIVIA ♥ « Tout ce que tu feras dans ta vie n'aura aucune importance mais c'est très important que tu fasses tout cela. C'est comme quand quelqu'un débarque dans ta vie. La moitié de ton être te fait remarquer que tu es loin d'être prêt tandis que l'autre partie t'ordonne : reste avec elle pour toujours.- REMEMBER ME »



Être dans ses bras, être devant lui, le sentir la désirer .... Rien n'était mieux que tout ça. Du moins c'est ce qu'elle pensait. Aujourd'hui, personne n'arrivait plus à lui faire ressentir quoi que ce soit de ce genre là. Sheldon était arrivé dans sa vie et l'avait changé d'un coté. Il avait été tendre avec elle et généreux sans tellement le vouloir. Mais Olivia n'avait pas été honnête. Sur sa vie, son mariage, sa fuite .... Avec Aidan c'était simple, sans question, juste les bons cotés d'une relation mais elle ne voulait plus de ca. Elle n'y arrivait plus. Quelque part, sans vraiment le vouloir, la jeune femme se sentait proche de lui.

Si la jeune femme avait prononcé ces quelque mots .... Ce n'était pas pour le tester lui, mais pour se tester. Imaginez vous devoir affronter un sentiment que vous ne connaissez plus depuis des années ?! Vous pouvez faire ca ? Et bien pas Oli. Cette dernière a juste besoin d'être rassurée et de se sentir bien. Mais lorsque la panique vous prend, le seul moyen de vous calmez est surement de stresser l'autre plus que vous. C'est ce qu'elle fit inconsciemment. Du moins je crois. Être dans ses bras et se sentir bien, c'est quelque chose qu'elle ne connaissez plus. Mais bizarrement avec Aidan rien n'était normal ni commun, elle avait donc apprit à changer et s'accommoder de ca .... Sauf ce soir. Elle en avait besoin, elle avait besoin de savoir ce qu'elle était pour lui. Était - ce une simple nuit ? Était - ce une fille parmi tant d'autres ? Olivia n'avait aucune envie que tout s'arrête mais tout se jouerait ce soir. Il voulait qu'elle reste, il voulait qu'elle soit à ses cotés le lendemain .... Mais pour quelles raisons ? Avait-il tellement peur que leur histoire s’arrête ou avait – il peur d’être seule certain soirs ? Olivia n’en savait rien, c’était ça le problème. Aidan était l’une des rares personnes dans lesquelles, elle ne pouvait pas lire les sentiments qu’il ressentait. La jeune femme arrivait très bien à cerner les gens, mais avec lui, tout était compliqué et vraiment étrange. Ce jeu et cette tension l’épuisait vraiment .... C’était trop. Il fallait qu’elle souffle, qu’elle sache.

Aidan venait de la ramener dans son appartement. Il l'avait simplement embrassé et attiré contre lui avec délicatesse et tendresse. Voilà pourquoi la jeune femme était surprise ....C'était une bonne surprise. A présent, qu'allait - il se passer ?! Que voulait - il vraiment à part que rien ne change ?! Olivia pouvait le sentir, Aidan n'était pas lui même, il ne se sentait pas à l'aise. Lorsque pendant des années on fait semblant d'être quelqu'un d'autre pour ne plus rien ressentir, la personne qui vous fait de nouveau vous sentir en vie ou qui vous fait vibrer vous fait peur .... Mais vous ne pouvez pas résister. Elle est comme un aimant. Mais Oli ne provoquait pas cette sensation à Aidan. En réalité si il ne l'avait pas rattrapé, tout aurait prit fin. Il le savait. De peur que tout se stop, Aidan l'avait appelé et lui avait dit ce qu'une femme voulait entendre. Sa phrase de la fin lui suffit pour le comprendre. Olivia se recula et le regarda. Cette soirée prendrait fin et leur fausse histoire aussi. Mais lorsqu'elle se recula ... Olivia ressenti comme un coup de poignard, comme ci on venait de lui enlever quelque chose qui comptait. Aidan comptait finalement pour elle .... Et elle venait de s'en rendre compte mais il ne le serait jamais. « Rassure toi Aidan, tu n'auras rien à faire. Tu as peur de t'ouvrir à quelqu'un et moi je ne peux pas m'attacher. Faire l'amour à quelqu'un te lis à cette personne .... Et nous ne seront jamais liés. Rien ne nous unis, puisqu'on ne ressent rien. Restons en là. Reprend ta vie d'avant, tes jeux et tout ce qui te rendait si heureux.... »Dit -elle d'un ton froid et sec. Olivia se sentait mal. C'était bien la première personne avec laquelle, elle avait été vrai, elle s'était ouverte mais il ne l'avait jamais vu. En faite, Olivia fut la seule des deux à partager quelque chose. Ils n'était même pas amis .... Elle se dirigea vers la porte et tourna la poignée une nouvelle fois. Mais cette fois ci, son cœur était plus serré que jamais ..... « Tu trouves ça dur .... Mais c'est pire pour moi, mon passé m'a apprit à me méfier, mais pourtant, j't'ai laissé entrer et ... Tu n'aurais jamais dû. Bref Adieu Aidan. » Dit-elle avec une voix tremblante en ouvrant cette foutu porte qu'elle n'avait pas envie de franchir une autre fois .... Mais c'était trop tard, surement !
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    Vous ai-je déjà mentionné que je n'étais pas doué avec les femmes ? Tout ce que je sais faire c'est agir, pas parler. Et là en l'occurrence, on pouvait dire que j'aurais mieux fait de me la fermer. J'avalais d'ailleurs ma salive nerveusement en voyant la réaction d'Olivia. Pfff, j'arrivais pas à croire qu'après tous ces efforts pour la faire revenir je venais encore de faire une bourde ! J'aurais tout à fait pu la laisser partir et abandonner une fois pour toute mais quelque chose me retenait. Je n'avais pas envie qu'elle parte et encore moins sur un malentendu, sur une dispute. Je ne savais pas encore ce que j'allais lui dire pour la convaincre de rester mais pour le moment, je l'attrapais fermement par le bras lorsqu'elle ouvrit la porte pour prendre la fuite. Je laissais glisser ma main sur son bras et serrai désormais son poignet assez fort pour qu'elle ne puisse pas bouger, mais pas trop non plus pour qu'elle ressente une quelconque douleur. Comme je n'étais pas doué avec les mots, je décidai d'agir avec ce que je savais faire de mieux… les gestes. Je voulais qu'elle sente l’intensité avec laquelle je désirai qu'elle reste, qu'elle ressente la chaleur de mes doigts entrer en contact avec sa peau. “Regarde moi” me décidai-je enfin à lançer après quelques secondes d'immobilité.

    Je voulais mettre toutes les chances de mon côté et plonger mon regard azur dans le sien ne ferait qu'accroitre ma crédibilité. Je ne jouais définitivement plus et elle devait me croire, peu importe si ce n'était pas gagné j'étais prêt à galérer, j'étais prêt à tout pour ne pas qu'elle s'en aille… Révélation que j'avais eu en illumination ce soir mais que je prenais au sérieux, je tenais trop à elle pour la laisser filer entre mes doigts. J'avais besoin de quelqu'un à mes côtés, et pas qu'une simple amie comme Eleanor pouvait l'être… J'avais indéniablement besoin de quelqu'un qui serait là pour moi, pour me défendre mais aussi pour me remettre sur le droit chemin. Je n'étais pas idiot, j'étais adulte et je savais que je me comportais toujours comme un enfant mais c'était certainement parce que je n'avais pas rencontré une personne à la hauteur… Et si Olivia l'était ? “On est pas unis mais si on n'essaye pas on ne le sera jamais Olivia. Arrête de te prendre la tête et laisse nous une chance… S'il te plaît, laisse nous une chance, j'suis peut-être pas à la hauteur pour l'instant mais laisse moi te prouver que je ne ressens pas rien pour toi” Sur mes mots, je m'approchai davantage d'elle et en vint à pratiquement coller mon corps contre le sien. J'aimais le contact physique, c'était ce qui me définissais et c'était également pour moi, une façon de lui montrer mon attachement. Même très proches, je la regardais dans les yeux sans jamais ciller et replaça une de ses mèches brunes dernière son oreille. Suite à ce geste bizarrement affectueux, je souriais. Ce n'étais pas un petit sourire en coin mais un véritable, laissant apparaître mes dents blanches parfaitement alignées. Elle pouvait quand même se détacher de moi et franchir le pas de la porte, j'essayerai à nouveau demain. Je venais de comprendre tout seul que si j'agissais de la sorte naturellement, c'était qu'elle comptait réellement, plus que je n'avais bien voulu l'imaginer. Et cela pouvait paraître absurde, mais intérieurement, je me sentais soulagé de ressentir cela pour elle. J'veux dire, après toutes ces années à être froid comme une armoire à glace, je croyais avoir définitivement perdu le don de pouvoir aimer. Je ne savais plus trop comment je devais m'y prendre mais le ridicule ne me faisais pas peur, j'étais prêt à passer pour un idiot encore une fois s'il le fallait… au bout d'un certain temps, si elle voulait bien nous laisser une chance, j'étais persuadé que j'arriverai à trouver les bons mots. Tout s'apprend et je n'étais certainement pas le gars clamant avoir la science infuse. Certains apprennent à nager, d'autres à faire la cuisine ; moi j'allais apprendre à aimer.

    Je décidai de ne pas tenter de l'embrasser pour la laisser entièrement libre de ses choix. Je ne voulais pas l'influencer avec ce genre de geste qui pourrait totalement faire basculer la balance… Bon OK j'abuse un peu, n'empêche que je me retenais. Elle avait beau me crier dessus et être sur le point de se faire la malle, je la désirais toujours autant et je crois qu'elle pouvait définitivement le sentir dans mon regard dont les pupilles étaient dilatées et mes lèvres s'agitant incessamment.
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Olivia n’y arrivait pas, elle ne pouvait pas, elle se sentait coupable, coupable de ressentir quelque chose et la seule solution était de partir .... Comment pouvait – il en être autrement ? La jeune femme n’avait jamais réussi à aimer vraiment quelqu’un, du moins son mari, mais ce n’était pas vraiment l’amour avec un grand A. Aujourd'hui, ce qu’elle éprouvait, ce qu’elle ressentait pour Aidan n’était pas commun. Ce n’était pas de l’amitié, mais pouvait-on appeler ça de l’amour ? Cette dernière n’en savait rien, tout ce qu’elle pouvait ressentir aujourd’hui, à cet instant était comme amplifié .... La jeune femme ni comprenait rien, elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi tout ça lui arrivait maintenant, avec Aidan ... Qu’avait-il de plus que les autres ? C’était ça la question. Qu’avait-il de plus ? Aidan n’était pas comme les autres garçons, il était comme Olivia, aussi froid, aussi distant, aussi fou, aussi impulsif, bref, il était elle au masculin. C’est ce qu’elle aimait tant chez lui, sa complexité. Il devait tout comme elle, être victime de son passé, sinon, il serait forcément différent, elle le savait, elle pouvait le sentir. Tout ce que montrait Olivia n’était qu’une façade. Mais avec le jeune homme, elle n’avait pas besoin de jouer. Voilà le problème. Tout venait naturellement. Lorsqu’il lui toucha la bras, ce frisson la parcouru, le même frisson qu’elle ressentait à chaque fois. Il tenait son poignée, cette intensité, cette force, Olivia venait de comprendre, qu’il voulait qu’elle soit là. Mais à quel prix ? « Et maintenant ? » Lui dit-elle e plongeant son regard dans le sien, une fois retournée.

La jeune femme venait de se retourner. Elle était face ç lui, ses yeux plongeaient dans les siens. La jeune femme avait rarement vécu un moment aussi intense dans sa vie. Et étrangement, elle le vivait avec Aidan. Tout était fait, pour qu’ils soient réuni. La jeune femme était mariée, elle avait un passé, une autre, une autre vie, et ça, Aidan ne le savait pas. Tout ce qu’elle avait vécu avant n’existait plus, mais c’était toujours présent dans sa vie. Un jour, elle avait rêvé de rencontrer quelqu’un qui partagerait de nouveau sa vie et qui la sauverait de tout ça. Toute cette vie horrible qu’elle ne supportait plus. Mais quand elle avait rencontré Aidan, elle avait comprit qu’elle n’était pas seule, plus seule. C’est ce qui le rendait si spécial. Il était juste CE garçon qui lui avait été envoyé, mais ça, elle avait du mal à y croire .... L’était – il vraiment ? Olivia n’en savait rien. Tant de questions sans réponses, tant de doutes, d’interrogations, de désirs et pourtant, la jeune femme n’arrivait pas à s’y faire. Elle avait un coeur, elle ressentait quelque chose, elle éprouvait des sentiments qu’elle croyait mort à jamais. Voilà pour Aidan était différent des autres. ET au fond, ça lui foutait une trouille bleue .... Une grande et belle trouille. Mais allait-elle décider de l’affronter une bonne fois pour toute ? C’était là, la question .... « Tu ne sais rien de moi Aidan ... Tu sais juste la surface .... Y’a des tonnes de choses dont tu ne connais pas la couleur et si tu la découvrais, tout pourrait changer. Prendre ce risque je ne peux pas .... Même si j’en ai envie, crois moi, j’en ai plus qu’envie, mais j’en suis incapable. » La jeune femme était morte de trouille, ça pouvait se voir et se sentir .... Olivia n’arrivait plus à cacher sa peur. A cet instant, elle était comme nue, elle venait de se dévoiler. C’était la vraie Oli’, plus de façade, plus de jeu, c’était belle et bien elle ! En lui disant ça, elle parlait de son mariage. La fait de s’être échappée, d’être changé de vie, d’avoir coupé les ponts et pire, changé de noms. Olivia n’était plus Jade, elle était tout simplement Olivia à présent, personne d’autre. Jade était bel et bien morte pour tout le monde et en particulier son mari. La jeune femme ne pouvait pas renouer avec elle.

Il était tout prêt d’elle. La jeune femme était prêt de lui, n’avait pas bougé. Le besoin de l’avoir prêt de lui était si intense. C’était un besoin, un point vital pour elle. Étrangement, la jeune femme était dépendante de lui. Tout ce contre quoi elle avait lutter, était à présent en elle. Olivia tenait à Aidan bien plus qu’elle ne pouvait l’imaginer, et à présent, elle le prenait en pleine face .... Dure pour elle de voir la réalité. « Je suis désolé .... Aidan, vraiment désolé... » Prononça t-elle avant de l’embrasser. Ce baiser était rempli de passion mêlée à la tendresse. C’était étrange. Tout ce qu’il voulait, c’était Olivia et bien il l’avait. Ce soir, elle était à lui ... Maintenant, serait-ce le cas demain ? Serait-il celui qui réussirait à la convaincre ?
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Olivia & Aidan



    C'était étrange mais, en écoutant les paroles d'Olivia, j'avais l'impression de m'entendre, moi. Cette peur qui grouillait au fond de sa gorge, je la connaissais bien. Au fond si elle était devenue ma sex-friend favorite c'était parce qu'elle était comme moi. Elle voulait pas qu'on s'attache à elle parce qu'elle avait peur qu'on l’épluche et qu'on découvre toutes les autres couches de sa personnalité. Tout ce qui pouvait faire qu'elle était ainsi aujourd'hui. On ne devenait pas sans cœur sans raison et dans un sens, je m'étais toujours senti bien à ses côtés. Sans rien lui demander sur son passé, je n'avais pas besoin de savoir… mais j'me sentais en phase. Comme si on se comprenait sans même se parler. Et son discours aurait très bien pu être le mien. D'ailleurs, même si mon regard ne se détacha pas du sien lorsqu'elle parlait, je sentis de l'humidité grimper. Je n'étais pas sur le point de pleurer, mais j'étais ému, touché. Je la comprenais mieux que quiconque et je venais de comprendre à quel point on était liés, en vérité. Il n'y avait pas que de l'attirance physique entre nous, nous avions de très grands points communs que je n'avais jamais su déterrer auparavant.

    Elle disait qu'elle en était incapable mais en réalité, elle avait juste peur. Tout comme moi, j'avais peur. C'était clair qu'on était pas sortis de l'auberge et à mon avis, si on ne voulait pas tout foutre en l'air avant même d'avoir essayé, il fallait y aller doucement. Épiloguer pendant cent ans n'arrangerait rien, c'est pourquoi je n'osais pas la contredire et la regarda simplement, compréhensif. “Y'a aussi des tonnes de choses que tu ne connais pas sur moi, ça fonctionne à double sens” me sentis-je obligé de finalement commenter. Je voulais par-dessus tout qu'elle comprenne qu'on n'était pas si différents que ça et que si elle acceptait de se dévoiler elle ne le ferait pas seule… je serai là pour le faire avec elle. Néanmoins, la route serait longue et périlleuse. Intérieurement, j'voulais vraiment franchir ce cap mais je ne savais pas réellement si j'me rendais compte des efforts que ça allait me demander… Je m'attendais à une réponse positive de sa part, mais au lieu de ça elle me répéta qu'elle était désolé avant de m'embrasser. Sur le coup, je ne compris pas du tout sa réaction. Elle voulait pas nous laisser une chance, elle était désolé, elle en était incapable MAIS elle se jetait sur moi. J'croyais que le contrat était rompu ? Bon, je devais avouer que deux secondes plus tard j'avais déjà arrêté de réfléchir, comment je le pourrais avec ce qu'elle était en train de faire ? C'était techniquement impossible. Peut-être que c'était sa manière de me dire d'arrêter de parler et sincèrement, j'allais pas la contredire. J'me rappelle avoir dis “y aller en douceur” et si ça voulait dire passer la nuit ensemble, se réveiller dans les bras l'un de l'autre et lui apporter le petit dej au lit c'était déjà un GRAND pas. J'étais complètement d'accord avec le fait d'arrêter de parler, il était évident comme un nez au milieu de la figure qu'on crevait d'envie l'un de l'autre et se priver de ça n'arrangerait pas notre cas. La communication était déjà assez difficile entre nous ce soir alors autant qu'on s’attèle à ce qu'on savait merveilleusement bien faire (non je ne m'envoie pas des fleurs.)

    Je la tirai par la taille et comblai ainsi le vide qui demeurait entre nos deux corps, la faisant lâcher une fois pour toute cette foutue poignée. Y'avait plus intérêt à ce qu'elle me fasse le coup du “je t'embrasse et j'me barre” et pour m'y assurer je l'emmenais avec moi un peu plus loin de la porte d'entrée. Fallait avouer que c'était pas super romantique comme endroit non plus. Pour ne pas qu'elle change d'avis et décide de parler, de fuir ou je ne sais quoi, je décidai de la tenir occupée. Au bout du salon j'avais déjà viré son haut, parcouru 99% de son corps avec mes mains et n'avais pas lâché ses lèvres une seconde. Ça nous empêchait l'un comme l'autre de l'ouvrir et de balancer une connerie qui pourrait briser le moment et honnêtement… on l'avait déjà foiré deux fois alors la troisième avait intérêt à être la bonne sinon j'allais vraiment… être sur les nerfs. Si on arrivait à aller jusqu'au bout sans qu'il y en ai un qui stoppe tout, on continuerai les conversations sérieuses demain, c'était mon dilemme.

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AIDAN & OLIVIA ♥ « Tout ce que tu feras dans ta vie n'aura aucune importance mais c'est très important que tu fasses tout cela. C'est comme quand quelqu'un débarque dans ta vie. La moitié de ton être te fait remarquer que tu es loin d'être prêt tandis que l'autre partie t'ordonne : reste avec elle pour toujours.- REMEMBER ME »


Aidan et Olivia se ressemblaient tellement que quelque fois ça pouvait faire peur. Olivia n’était pas le genre de fille à aimer, à s’attacher ou même à donner sa confiance. C’était plutôt le genre de femme qui prend ce qu’elle a à prendre et que vous ne revoyez plus jamais de votre vie. Voilà qui était en réalité Olivia .... Mais avec Aidan c’était différent. Au tout début, dès leur première nuit, dès leur première rencontre, ce fut le cas. Ils étaient pareil sans vraiment le savoir. Ce contrat le prouve plus qu’autre chose. Aidan était comme Oli’ et Olivia était comme Aidan. Ne pas s’attacher ne pas aimer, ne rien donner. C’était leur train-train quotidien. La jeune femme ne voulait plus jamais faire confiance à un homme, ne voulait plus jamais s’offrir à lui toute entière. Tout ce qu’elle voulait, c’était du sexe pour le sexe et rien d’autre. Les hommes, n’étaient rien d’autre pour elle que des objets qui étaient là pour la satisfaire. Cruelle définition mais pourtant, c’était belle et bien sa définition. L’amour n’existait pas et encore moins la complicité ou ce genre de chose ridicule. ET pourtant, ce soir, elle venait de voir que si ....

La peur domine souvent les gens, n’est-ce pas ? C’est bien ce qu’on dit .... Et c’est même pire que des “on dit”, car c’est la pure vérité. La peur peut vous contrôler et vous faire faire des choses aussi stupides que bonnes. Et ce soir, je pencherais pour les deux. Bien qu’elle ne se l’avoue pas, la jeune femme fut heureuse qu’il l’a rattrape et qu’il ne la laisse pas comme les autres mais en partant et en disant ce qu’elle venait de lui dire .... Tout changeait. Mine de rien, elle venait de se dévoiler un peu, et plus les jours passaient, plus ils étaient ensemble et plus elle changeait. Olivia avait apprit à ne rien laisser paraitre, mais ce soir, c’était différent. Son masque venait de tomber. Bien sur, il ne savait rien d’elle, de sa vie, de son passé, de son mariage raté etc .... Mais elle venait de lui dire qu’elle avait changé, qu’elle était une autre femme, et pire que ça, qu’avec lui c’était tout autre chose que d’habitude. Mais la jeune femme ne regrettait pas ses paroles. La temps passé avec Aidan non plus, elle était bien à ses côtés, et elle devait le reconnaitre une fois pour toute. Même si reconnaitre une telle chose lui faisait un mal de chien. C’est un peu comme quand vous fonçait vers l’inconnu, une nouvelle expérience .... Vous avez la peur au ventre, vous ne savez rien à l’avance et pourtant, au fond de vous, vous êtes bien, heureux et excité à la fois. Et bien Olivia vivait la même chose ! « Je déteste l’intimité, la proximité avec quelqu’un .... Pourtant j’ai l’impression que tu lis en moi .... Et je n’arrive pas à gérer ça Aidan .... J’peux pas. C’est tout ! » Lui dit-elle avec un ton quelque peu paniqué. La proximité et la complicité la dégoutait au plus au point. Être proche de quelqu’un et perdre de nouveau .... NON, c’était hors de question. Pourtant, Aidan était calme et posé. Le jeune homme la regardait sans vraiment s’inquiéter de la suite, pourquoi ? Croyait – il que tout été déjà gagné ? Mais la jeune femme en avait marre, pourquoi devait-elle réfléchir ?! C’est comme ci sa tête allait explosé d’un coup et qu’elle ne pourrait plus jamais être elle même ! Tant pis, elle devait fonçait ....

Aidan venait de l’attirait tout contre lui pour que plus un seul vide ne les séparent. Olivia aimait sentir ce contact, celui de son corps contre le sien, celui de cette intensité entre eux. Lorsqu’ils étaient ensemble, une étrange connexion se faisait entre eux. C’était comme ci plus rien ne pouvait les atteindre, comme ci, ils étaient seul au monde et ne voyaient rien d’autre autour. C’est ce qu’elle aimait chez lui. Olivia avait juste l’impression d’être la seule femme qui compte à ses yeux. Mais elle savait que c’était faux, du moins, à présent, elle avait des doutes. Mais pendant que vous faite l’amour, pendant ce moment, la femme ne veut qu’une chose, se sentir unique, exceptionnelle, être la huitième merveille du monde. C’est tout ce qu’une femme recherche. Même si c’est du sexe pour du sexe. mais là, malgré la cassure du contrat, malgré tout ce qu’il s’était passé, le sexe pour le sexe était de mise encore ce soir .... Rien n’avait vraiment changé. Aidan ne la laissait pas respirer, avait-il peur de gâcher lui même ce moment ? La jeune femme ne voulait pas se poser de questions, si il voulait juste ça, il l’aurait. Ils étaient au bout du salon, à quelque pas de la chambre d’Aidan. Olivia se détacha de lui en le regardant .... Elle n’était plus qu’en sous-vêtement, étant donné qu’il lui avait enlevé sa robe. Leur jeu de séduction était là, mais il était complètement différent. Elle marcha en direction de sa chambre tout en dégrafant son soutien-gorges et le lui lança avant de disparaitre dans la pénombre de la pièce. Oli’ était allongée sur le lit et n’attendait plus que lui. Une fois qu’il était là, il se pencha vers elle, mais celle-ci avait décidait de faire les choses à sa façon. Pas de paroles, mais elle lui montrerait ce soir, qu’elle ne voulait rien comme les autre soirs. Si il l’a voulait, c’était comme ça. Elle l’embrassa délicatement tout en retirant son haut et le jetant à l’autre bout de la pièce. La jeune femme s’attira pour qu’il soit définitivement sur elle. Mais là .... Il ne fit rien, il plongea son regard dans le sien, pourquoi ? Que voulait – il vraiment ?


*** LE LENDEMAIN ***


Cette nuit, Olivia ne réalisait pas encore ce qu’il venait de se passer. Ce n’était pas la première fois qu’elle s’endormait et se réveillait chez lui, c’était presque devenu une habitude à force, mais là, ce n’était pas le même réveil. Olivia était dans ses bras, Aidan était collé à elle et la tenait dans ses bras. Comment une telle chose avait – elle pu se produire ? A cet instant, elle prise de panique. Olivia n’y arriverait pas, elle ne pouvait. Lui faire confiance, lui laissait une chance, être elle – même, non c’était hors de question .... C’était à l’opposé de ce qu’elle avait construit pour ne plus jamais souffrir. A présent, elle ne voulait pas tout gâcher. La jeune femme se dégagea de ses bras .... Et se rhabilla doucement sans faire de bruit. Olivia sorti de la chambre marchant dans le couloir pour rejoindre l’entrée, une nouvelle fois .....
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    La nuit dernière, j'avais fais un effort monstrueux. Quelque chose que je n'avais JAMAIS fait auparavant. Dormir dans les bras d'une fille sans rien faire de plus… Ce n'était pas moi, ça ne me ressemblait pas. Je ne voyais pas l'intérêt de passer la nuit avec une jolie tête brune si ce n'était que pour prendre son bras comme oreiller. J'avais des tonnes d'oreillers dans mon placard. Ce que je veux dire par là, c'est qu'Olivia a quelque chose en plus. Quelque chose qui m'embrouille l'esprit, qui me fait perdre mes mots, qui me brasse le ventre. Le genre de sensation que je m'étais interdit de ressentir depuis des années. Le genre de sentiment qui fait du bien, mais qui fait peur à la fois. J'crois que nous étions pareils sur le coup, nous avions tous les deux peur… et étions prêts à l'affronter ensemble ? C'était la question que je me posais. En y repensant, si j'avais pas plus réfléchi avec mon cerveau qu'avec autre chose, on aurait très bien pu finir notre nuit comme toutes les autres. Olivia semblait motivée comme jamais, comme si, ça aurait été plus facile pour elle de finir la soirée ainsi plutôt que de faire face à ce qui l'effrayait. Et, avouons-le, j'étais plutôt bien partis pour aller dans son sens, sauf que j'avais voulu la tester, la surprendre… Elle me connaissait comme le genre de mec séducteur, indépendant et mesquin et j'avais voulu tenter de lui montrer une autre facette de ma personnalité. J'avais pas eu besoin de parler, ni d'en faire un dessin. Rien que le fait de m’aplatir à ses côtés, de l'embrasser au coin des lèvres et de m'endormir en lui caressant les cheveux était suffisant. J'étais capable de l'avoir dans mon lit sans qu'il n'y ai de sexe. J'étais capable de résister parce qu'elle n'était pas juste un morceau de viande que j'avalerai en une bouchée, mais un objet précieux auquel je tenais.

    J'avais donné de ma personne ce soir là. Et, en me réveillant, elle n'était plus là.

    J'ouvris les yeux après avoir entendu du bruit dont j'ignorais la provenance. Je clignais des yeux histoire d'être sur que je ne rêvais pas, mais non, Olivia n'était plus dans mes bras… Je me redressais brusquement, paniqué. Et si elle s'était fait la malle en plein milieu de la nuit ? Je m'étais franchement imaginé un tout autre scénario pour notre réveil et il n'y avait rien de plus pour commencer mal ma journée. Je me passais une main dans les cheveux histoire de les recoiffer et quitta la chambre en boxer sans trouver le temps de rentrer dans un jean. J'arrivais dans le couloir en baillant, me grattant le torse, prêt à aller me faire couler un bon café. Encore, j'aurais été seul dans l'appartement, j'aurais pu encaisser cette déception tout seul et donner des coups de poing sur ma table de cuisine. Mais le pire des scénarios se produisait : elle était devant moi, prise sur le fait, prête à foutre le camp… J'étais interloqué, et d'ailleurs elle pouvait le voir dans mon regard. Je restais immobile une seconde, sans ciller, inspirant profondément. J'aurais pu réagir calmement, lui demander ce qui n'allait pas, mais ce n'était juste pas possible. Je ne me dévoilait jamais à quiconque et j'estimais l'avoir fait hier en acceptant de briser le contrat, en lui avouant qu'elle comptait pour moi, en lui demandant de nous donner une chance, en la rattrapant deux fois dans la soirée et pour couronner le tout… en m'étant endormi à ses côtés sans glisser la main sur ses parties intimes. J'avais faits des efforts et j'avais tout simplement l'impression de m'être fait prendre pour un con. Ça marchait pas à sens unique ce genre de chose et elle ne pouvait pas continuer à fuir… ça faisait 3 fois là merde ! Bon, tout ça était récent, nouveau et perturbant je devais bien l'admettre sauf que j'avais horreur qu'on me contredise, qu'on aille pas dans mon sens et surtout qu'on prenne la fuite. “Non mais vas-y, continue ton chemin, fais comme si j'étais pas là” me décidais-je enfin à dire le sourire aux lèvres. Un sourire mesquin, ironique, faux. A l'intérieur, je bouillonnais… J'avais beau avoir fait des efforts pour paraître plus doux hier soir, le plus mauvais de mon caractère ressortait ce matin. Ne la voyant pas bouger, je m'écriais “DÉGAGE !” Je la regardais en serrant les dents, le regard empli de colère mais aussi de peine. J'étais véritablement touché en plein cœur, malgré que je fasse tout pour ne faire ressortir que la haine… Ça me touchait qu'elle décide encore une fois de s'en aller alors que j'avais été là pour elle la nuit dernière, et ça me touchait dans le mauvais sens. Je tenais à elle, j'y tenais tellement que la voir s'enfuir me mettait dans tous mes états et si j'avais cru gagner des points en ne couchant pas avec elle cette nuit, finalement, j'aurais peut-être du en profiter.

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AIDAN & OLIVIA ♥ « Tout ce que tu feras dans ta vie n'aura aucune importance mais c'est très important que tu fasses tout cela. C'est comme quand quelqu'un débarque dans ta vie. La moitié de ton être te fait remarquer que tu es loin d'être prêt tandis que l'autre partie t'ordonne : reste avec elle pour toujours.- REMEMBER ME »



Cette nuit fut surement l’une des plus belles qu’Olivia ait vécu. En effet, rien de tout ce qu’elle avait prévu ne s’était produit, c’était encore mieux que ce qu’elle avait espéré et même souhaité. Il s’était penché au dessus d’elle, et l’avait délicatement embrassé sur le front. La jeune femme avait comprit à ce moment là, qu’il ne se passerait rien ce soir, du moins pas de sexe, il attendait autre chose. Celle-ci fut des plus surprise. Jamais elle ne l’aurait cru capable d’une telle chose, jamais elle n’aurait pu penser qu’Aidan tenait à elle au point de passait la nuit avec elle sans la toucher. Et pourtant c’était bien vrai, ce n’était pas qu’un rêve, Aidan s’était allongé à ses cotés, la remontant pour qu’elle soit à sa hauteur et lui caressant les cheveux. Olivia n’en revenait pas, mais étrangement, elle était plus que bien. La jeune femme se sentait légère, en sécurité et pour la première fois depuis longtemps, n’avait pas cette peur incessante qui la poursuivait. Ce soir, elle était sereine et n’a pas envie que cette sensation de bien être s’en aille. Cette dernière se retourna pour lui faire face. Il avait des yeux magnifique, elle les avait presque oublier. Finalement, ils ne se connaissaient pas tant que ça, et pourtant, elle n’avait jamais été aussi bien avec quelqu’un. Olivia pouvait sentir que c’était un écorché vif tout comme elle, que son passé l’avait rendu sans coeur et amer, que la vie ne lui avait fait aucun cadeau. Il était comme elle, ensemble, ils ne pouvaient pas se cacher et c’est surement ça qui avait créé leur lien si fort. Elle lui sourit, juste comme ça, parce qu’elle était heureuse d’être là et avec lui. « Tu te rappelles lorsqu’on s’est rencontrés, tu m’avais dit : “Je te surprendrais”, et bien je crois que tu as réussi. » Lui murmura t-elle à l’oreille tout en passant la main sur son visage. Il avait beau être à moitié nu, la beauté de cette scène était digne d’un film de romance.

*** LE LENDEMAIN ***

Cette nuit avait été si belle, qu’elle n’arrivait pas à réaliser ce qu’il s’était vraiment passé entre eux. Mais la peur la reprit. Comment pourrait-elle lui faire confiance ? La jeune femme avait baissait sa garde toute la nuit, elle était restée à lui parler, à rire, à se confier mais ce matin, plus rien n’était sur pour elle. Que se passait t-il entre eux ? A quoi cette histoire donnerait lieu ? Pourquoi comptait – elle autant pour lui ? La jeune femme n’avait aucune de ses réponses, et c’était son problème. Comment pouvait – elle être heureuse et avancer si à chaque fois, elle brisait elle-même son bonheur ? C’était le problème d’Oli’. Constamment entrain de tout faire capoter pour ne plus jamais souffrir. La jeune femme éloignait les gens de sa vie, ne voulait plus aucune attaches car au moins, la souffrance ne ferait plus partie de sa vie, elle en serait complètement exclu. C’est ce qu’elle croyait jusqu’à ce qu’elle entende la voix d’Aidan .... Il avait cette voix, cette froideur, ce ton blessé. ET oui, elle l’avait senti. Pourquoi pouvait-elle le savoir même si il faisait semblant ? Et bien c’est parce qu’elle ressentait exactement la même chose à cet instant. Aidan était celui qui avait fait battre son coeur de nouveau, qui l’avait défié, qui lui avait redonné le sourire sans qu’elle n’ait à se forcer. Avec lui, elle était juste spontanée et naturelle. C’était ça le problème. Lorsqu’il découvrirait sa vie, son passé, sa situation, tout changerait pour lui et elle le perdrait lui aussi. Mais était – elle vraiment prête à le perdre maintenant ? ABSOLUMENT PAS, elle ne le supporterait pas. En faite, elle l’avait comprit lorsqu’il avait crier “DÉGAGE” comme ci elle ne représentait rien pour lui. Cette dernière fut touché en plein coeur. Son ventre se noué, son coeur se serré, ses mains tremblaient .... Elle ne se sentait juste pas bien, c’était comme ci elle manquait d’air. LA jeune femme se retourna, elle voyait ce regard noir .... Cette sensation qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps. Il était rempli de haine, mais il était blessé, plus qu’Olivia ne l’aurait cru. Elle ne pouvait pas faire semblant, elle ne pouvait pas le laisser. « J’suis désolé Aidan, crois moi, j’suis désolé .... » Dit – elle en avançant vers lui. Elle était qu’à quelque centimètres. Cette dernière prit sa main, un geste un peu fou, mais il fallait qu’elle le fasse, c’était son coeur qui parlait .... « Quand j’suis avec toi, c’est comme ci tout allait bien, comme ci je pouvais enfin être moi même, comme ci la vraie Olivia était là .... Celle que j’étais avant .... Mais tu mérites tellement mieux que ça AIdan je te promets que tu mérites tellement mieux. Malgré ta carapace, je sais qui tu es, je sais que tu es quelque de très ben qui mérite de trouver la personne qui te rendra ce sourire naturel. J’veux juste pas te faire de mal. » Lui dit-elle les larmes aux yeux. La jeune femme était sincère, plus qu’elle ne l’avait jamais été dans sa vie. « La nuit dernière fut surement la plus belle de toute ma vie Aidan ... Tu l’as rendu tellement belle. » Lui dit-elle en plongeant son regard dans le sien. A cet instant, sa peur était parti. Son coeur parlait pour elle. Il était tellement important pour elle. Celle-ci ne savait pas ce que ça allait donné, ce que ça voulait dire, mais tant pis, elle en avait besoin, elle avait besoin de lui. Oli’ lâcha sa main et lui caressa le visage, se mit sur la pointe des pieds pour se ré-hausser et l’embrassa tendrement .... Aidan sentirait dans ce baiser toute la sincérité qu’il pouvait dégager ......
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