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Harleïa ✗ I'm worse at what I do best

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❝ HARLEÏA + C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille. ❞I'm worse at what I do bestJeudi 21 avril. Est-ce que j'suis pitoyable au point d'me laisser acheter comme un gamin avec des bonbons ? En principe ça fonctionne bien pour se faire aimer d'un petit cousin ou quoi, tu lui rapportes plein de sucreries ou des jouets et après tu peux être qu'il va te coller jusqu'à ta mort. C'est sûrement ça qu'elle cherche, à m'appâter avec mes péchés mignons pour finir par faire de moi quelqu'un de civilisé et me ramener au sein d'la fabuleuse famille qu'elle doit avoir. A en juger comme ça là, juste à vu d'oeil hein, elle a pas l'air d'avoir grandi dans la misère ou quoi alors c'est possible que j'ai pas perdu au change du milieu social. Mais de son côté je sais pas si elle serait capable de deviner que mon père est banquier et ma mère présentatrice télé, suffit de regarder ma tête pour croire que j'ai vécu avec des junkies et que je prends la même route qu'eux. Elle a tellement l'air d'avoir envie d'me connaitre que je pourrai lui dire que j'ai tué une famille entière en mettant le feu à leur maison, que j'ai saccagé une maternelle ou encore poussé une vieille sur la route qu'elle me sourirait juste en disant à quel point c'est remarquable. Elle me semble loin la fille prête à pleurer de samedi dernier, et le sentiment que j'domine la situation me manque un peu, elle est bien placide là. « Ouais, bah si c'est le cas j'demande quand même à être payé » Imagines qu'elle fasse des études de littérature ou j'sais pas quoi et qu'elle doive écrire un livre, une autobiographie tiens, bah j'demande ma part du marché juste parce que j'existe et que maintenant j'fais parti de son monde à contre-coeur. J'tiens à ma vie privée alors en compensation droit à l'image, un livre sur moi ça rapporterai des millions tellement ma vie à Boston est fascinante entre défonce, interpellation et cassage de gueule au skatepark tard le soir. Je prenais une seconde cigarette à la façon d'un voleur, guettant quand même qu'elle me retire pas le paquet au dernier moment pour avoir une contrepartie. Je me décalais quand elle s'allongea, distance de sécurité on a pas élevé les cochons ensemble créature blanche. « Tu t'appelles comment au fait ? » J'me souviens à peine du nom de la famille, alors son prénom ça m'est totalement passé au dessus et même si j'la réduit à l'état de sorte de vampire albinos, faut bien savoir les choses concrètement, on sait jamais. © 2981 12289 0
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Il était plus doux que à notre première rencontre. Je ne sais pas si la douceur pourrait lui coller à la peau, dans tous les cas je me sentais moins apeuré en sa présence laissant place à la Veïa rêveuse et rayonnante.  Cet état dans lequel je me retrouvais pouvait être tout aussi énervant pour la personne près de moi. Surtout venant de  lui qui n’avait pas l’habitude de ce genre d’humeur enfantine.  Il me restait tant à savoir sur cet être curieux. Je ne connaissais que son prénom que ma mère m’avait glissé comme information après un entretien avec sa mère adoptive. Je ne l’avais jamais encore appelé ainsi pour ne pas le brusquer sans doute, car il ne connaissait pas encore le mien.  On avait sauté els étapes conventionnel ce qui nous avait fait oublié les détails importants. Pour le moment je n’étais qu’une blonde frivole qui tremblait quand on haussait le ton devant elle.  J’avais évité une nouvelle catastrophe une fois de plus puisque qu’il n’était pas revenu sur le fait que je m’étais mise à écrire sur lui. Il tait vrai que j’avais interrompu mon geste très rapidement. Il me disait seulement qu’il aimerait avoir sa part si c’était le cas. Je fronçais les sourcils à cette pensée. J’avais entamé mes études en littérature sans vraiment savoir en quoi je me guiderais plus tard. À la façon que j’observais et écoutais les gens je pourrais sans doute écrire leur bibliographie comme il me semblait dire.  Je n’avais pas vraiment songé à cette idée auparavant.  «Je dois gagner ta confiance avant .» Une idée qui semblait farfelue à voir comment il était retissent et secret avec moi. Il ne se gênait pour divulguer certains détails pour que je  me rappelle avant tout autre chose qu’il était un voyou. J’espérais pouvoir creuser habillement pour en apprendre plus. Je n’étais pas la plus facile à déchiffrer non plus. Peut-être que s’était de famille après tout.  Il en venait à mon fameux prénom. On m’avait déjà qu’il était doux comme il était fort en même temps. Ce que je savais le plus à propos ce qu’il n’était pas très commun. S’était sans doute une des choses que les gens se rappelaient, mon prénom ainsi que mon regard qui semblait toujours à perdue à l’ouest. On avait chacun sa marque de commerce.  «Veïa. » J’étais peut-être une guerrière bien caché .  «Je connais déjà le tiens . C’est Harlow. » Je cherchais au fond de mon sac à la recherche de ma boite métallique pour me prendre un joint. Je n’étais pas adepte de la nicotine, je préférais la compagnie de cette herbe.  J’oubliais qu’on était encore sur le terrain du campus et même en plein jour. J’oubliais souvent les conséquences que je pouvais m’apportées.

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❝ HARLEÏA + C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille. ❞I'm worse at what I do bestJeudi 21 avril. C'est officiel elle me voit soit comme un challenge genre le mustang sauvage à capturer façon cow-boy, soit elle a déjà bien commencer à me cerner la petite. Faut quand même que j'arrive à me mettre dans la tête qu'elle est pas si jeune que ça en réalité, qu'on partage le même anniversaire. D'ailleurs, c'est qui qui est né l'premier ? Nan faut pas que je commence à penser à des trucs comme ça, je m'en fou après tout elle fait pas partie de ma vie et c'est pas parce que j'accepte de boire et fumer à côté d'elle qu'elle a gagné. C'est peut-être trompeur qu'ola laisse peinarde comme ça, à prendre un bain de soleil dans l'herbe sans trop rien dire, mais c'est juste que j'commence à être un peu fatigué de ma semaine alors j'me la joue moins agressif. « Bonne chance tu vas en avoir besoin » J'parle à beaucoup de gens, avec mes petits trafics et mes plans foireux je rencontre aussi des personnes dont j'aurai jamais croisé la route et en soirée j'suis du genre sociable, mais en vrai à combien de personne j'ai donné ma confiance ? Pas grand monde, la plupart de mes vrais potes sont encore à Fargo et même si ça fait quatre ans que j'suis ici je garde en tête qu'ici personne me retient vraiment, comme partout d'ailleurs. Franchement mon rêve ça serait de partir à la Jack Kerouac, sur la route à voyager comme bon m'semble, mais déjà faudrait que j'ai de nouveau le droit de conduire et c'est pas demain que ça arrivera. Même si visiblement, "Veïa" en savait plus sur moi que l'inverse, j'connaissais déjà son prénom. Ouais ça fait italien, c'est pas un prénom super répandu et ça se retient vite parce que c'est court. « Harlow Vesper Falgren de Fargo en Dakota du Nord » J'répétais de manière automatique ma cigarette entre les lèvres, l'allumant de mon briquet à l'effigie du logo de Nirvana. Même jusqu'aux identités on est différent, j'suis typiquement américain d'la tête aux pieds et elle c'est sois-disant une Italienne alors qu'elle semble tout droit être une descente des Targaryen. J'croisais mes bras derrière ma tête soufflant ma fumée en l'air rajoutant un nuage de plus dans le ciel. J'tournais légèrement le regard en la voyant sortir un joint, genre elle aussi elle fume cette merde ? Bah elle fait ce qu'elle veut, après tout c'est pas mon problème. © 2981 12289 0
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J'ignorais le temps que cela prendrait pour pouvoir dire qu'il fait partie de ma vie , mais j'espérais que se soit bientôt. J'étais dotée d'une grande patience par contre et quand il s'agissait d'attendre quelqu'un je pouvais espérer longtemps. J'espérais au point de me faire mal faut croire que j'entretenais un lien étroit avec la douleur. Elle était ma grande amie et malgré moi je chérissais sa présence.  Pour le moment cette après midi était une pause bien mérité loin de nos deux familles qui n'étaient en fait qu'une.  Je ne pouvais plus supporter la voix de ma chère mère pour le moment, je lui en voulais encore pour cette histoire du samedi. Il me souhaitait bonne chance pour gagner sa confiance.«Je suis plus coriace que tu ne le pense.»  Je pouvais faire quelques prières à une entité quelconque dont je ne connaissais point le nom pour m'apporter toute les ondes positives sur cette planète. Par contre, même si j'avais l'aire d'une grande rêveuse je ne croyais en rien de divin, je crois en le pouvoir de nos propres actions. Il ne pouvait pas dire que j'étais désagréable après ce que je venais de lui offrir sans demander rien en retour. Je l'écoutais réciter son prénom au complet agrémenter de sa ville d'origine. En fait il était né en Europe avec moi sans doute. Je doutais d'un peu de tout maintenant. J'avais l'impression qu'une certaine partie de ma vie était un tissu de mensonges puisqu'il m'avait manqué un gros morceau de celle-ci et ce depuis ma naissance. «Je suis de Florence pour ma part. En fait peut-être toi aussi en fait.» Je pensais tout haut innocemment. J'avais sans doute le don de m'apporter les foudres de ce jumeau. Il avait beau avoir grandie en Amérique il était née sur un tout autre continent.  Je savourais lentement mon joint à ses cotées. J'étais un peu trop attaché au plaisir de la vie et lui aussi. On avait la même faiblesse. «T'en veux un ?» dis-je en lui faisant signe vers mon joint entre mes lèvres . Je avais déjà sa réponse, mais je préférais quand même demander. Cette drogue était mon petit trésor après tout que j'aimais bien garder que pour moi. Un lien de sang pouvait par dessus ces petits caprices personnels. J'étais toujours étonné de voir à quel point il pouvait me faire penser à notre frère ainé. J'étais si différente de notre famille. J’étais la fleur à travers les épines.

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❝ HARLEÏA + C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille. ❞I'm worse at what I do bestJeudi 21 avril. Je sais pas si elle s'attendait à des excuses, à ce que je lui demande d'excuser mon comportement de la semaine dernière ou quoi, parce qu'en fait c'tait juste mort j'allais jamais faire ça de ma vie même si on devait comme cul et chemise, c'que je doutais. Elle a beau vouloir se la jouer Rambo sous cette apparence de poupée de porcelaine, j'avais comme le pressentiment que je pourrai rapidement lui faire du mal avec mon caractère. Je fais attention à très peu de personne, je suis presque jamais dans la retenue sauf cas extrême et malheureusement pour elle c'est l'une des dernières personnes que j'ai envie d'voir. J'lève les yeux au ciel derrière mes lunettes, comme si elle avait vraiment du caractère, s'te plait ... Elle a l'allure de la mariée morte dans Les Noces Funèbres, à peine j'serrerai son poignet qu'elle aurait une marque pendant des jours, elle est tout sauf redoutable. Cause toujours tu m'intéresse quoi. Je sais pas pourquoi mais j'ai vraiment du mal à m'attacher aux gens foncièrement gentils, enfin ceux qui pourraient porter le drapeau blanc en tant de guerre. J'ai pas envie de m'encombrer de quelqu'un qui saura pas se gérer tout seul, j'veux pas de gamins alors c'est pas pour qu'on me mette une soeur aussi inoffensive que celle-ci sur le dos, elle est où ma vraie jumelle guerrière ? Je savais qu'en déclinant mon identité complète j'allais avoir droit à un effet miroir, mais heureusement pour ma patience elle se contentait juste de parler d'où elle était née, en Italie quoi, j'suis pas le plus fort en géographie alors Florence ça me dit rien. « C'est pas écris ça sur ma carte d'identité » Je tiquais quand elle ajouta que c'était pareil pour moi. Nan j'suis un vrai Américain, j'mange du barbecue et pas des lasagnes c'est tout va falloir qu'elle fasse la différence. Aux yeux de la loi j'suis un vrai natif, j'ai aucun lien avec Mario et Luigi. Y'a juste à nous écouter parler, elle chante presque quand elle ouvre la bouche alors que moi j'ai bien l'accent du nord des États-Unis. J'me rendais compte que j'faisais même aucun effort pour articuler, j'lui parlais comme à quelqu'un qui avait l'anglais en langue maternelle. Puis si elle comprend pas, c'est mon problème ? Non. « Carrément ouais » J'hochais affirmativement la tête en écrasant la bière que je venais d'finir, j'vais pas dire non à être gâté de ce côté là, elle peut m'offrir tout ce qu'elle veut même une nouvelle voiture j'lui dirai pas non. © 2981 12289 0
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On était deux astres vivant aux deux hémisphères. Il était loin dans la galaxie il vivait à des années lumières. Sans doute il était froid comme de glace sous aucune chaleur ne pouvait régner sur lui, alors que moi la végétation poussait abondamment sous un soleil brulant. Comme cela pourrait-il fonctionner entre nous deux ? Il pouvait me briser à tout moment et il l'avait sans remarquer. J'étais terrorisé qu'il le fasse et pourtant je restais là à ses cotées en redoutant que cela arrive.  Il avait déjà réussi à me faire venir aux larmes. Je ne pouvais pas prétendre que j'étais un de ces grands arbres massif qu’on n’arrivait pas à découper. Moi j'étais la petite brindille qui partait facilement au vent et qui pourtant retombait toujours sur ses pieds l'aire de rien. Il avait un lien plus fort que toutes ses brutes sur cette planète. Il était mon jumeau alors il avait un impact beaucoup plus fort. Il n'y avait que la gente masculine de ma famille pour me ramener sur le sol aussi rapidement et m'atteindre encore plus facilement. Je ne comprenais pas pourquoi moi ? Pourquoi on m'avait choisi à sa place. J'étais le mouton noir de la famille. Trop faible pour rester sous les regards de ma mère et me contenter du peu d'amour que mes parents m'avaient apportés. Il aurait survécu plus facilement.   «T'es un pur américain avec du sang d'italien.». Je le voyais bien qu'il avait très bien imprégné leur culture. Son accent, sa façon de s'habiller et sans doute son mode de vie que je connaissais point. Je ressortais ma petite boite pour le préparer son joint qu'il m'avait demandé. Il n'était pas un animal qu'on pouvait apprivoiser. Il était sauvage et libre comme l’aire, il fallait savoir trouver son point faible pour l'approcher. Je lui déposais son nouveau cadeau sur le bout de ses lèvres. «Tu sais elle serait pas du tout fière de nous. »  Non maman serait sans doute même folle de rage. Elle aurait aimé que je sois une grande femme d'affaire et que je marche dans leurs pas. J'étais une artiste, pas une aimée des bureaux. Papa lui il était plus flexible, il souriait plus souvent. Je ne savais pas en fait s'il elle serait fière une seule fois d'un de ses enfants qu'elle avait mise au monde. Notre frère ainé n'avait pas non plus suivit ses traces et il avait quitté trop vite pour couronner le tout. Au final les problèmes étaient en Italie.  

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❝ HARLEÏA + C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille. ❞I'm worse at what I do bestJeudi 21 avril. Aussi incroyable que ça peut paraitre, j'ai jamais vraiment voulu avoir de frère ou de soeur, j'me suis débrouillé toute ma vie pour être suffisamment entouré et pas éprouver ce vide. Grandir fils unique c'est pas facile tous les jours puisque tout le poids est sur nos épaules et qu'on a pas l'droit à l'erreur, mais faut croire qu'encore une fois j'en ai juste rien à foutre. J'ai pas l'ambition de devenir un politicien, un scientifique ou quoi, j'ai juste envie de vivre ma vie comme j'le sens sans avoir à rendre de compte à quelqu'un sauf que l'arrivée de Veïa ça remet tout en question. J'vais pas changer pour elle ou sa famille, mais je sens que cette nouvelle elle va bousculer ma vie, et j'aime vraiment pas ça. C'est horrible à dire, mais sincèrement j'ai pas envie d'avoir une jumelle comme elle c'est tout. Je la connais pas encore mais mes premières impressions sont pas bonnes, elle se laisse marcher dessus, elle est trop sensible pour survivre dans mon monde. Si j'avais eu à choisir, j'aurai préféré un jumeau comme moi ou une fille garçon manquée, pas "ça". « Jusqu'à preuve du contraire j'suis un Falgren à cent pour cent, pas un ... Alvi truc » J'fronce les sourcils en essayant de terminer ma phrase, mais j'galère tellement à me rappeler de son nom de famille, déjà parce que j'men bas les steaks mais aussi parce c'est étranger, j'ai pas l'habitude des trucs italiens. Même si j'commence bien à me rendre compte que ouais, c'est eux la vraie famille, j'suis prêt à aller jusqu'aux prises de sang juste pour faire chier et même après j'suis capable de nier tout ça en bloc. Je m'empressais d'allumer Mary Jane en me relevant, posant mes lunettes dans l'herbe comme le soleil tournait et qu'on avait l'ombre d'un grand arbre à présent. J'tournais légèrement la tête vers elle avant de comprendre qu'elle parlait de sa mère, en même temps quel parent serait content de voir que son gamin s'enfume la cervelle ? « Raison de plus pour le faire dans ce cas là » J'aime les interdits, surtout les enfreindre et mes limites sont pas encore définies alors c'est pas parce que madame j'abandonne mon fils aime pas la fumette que j'arrêterai. Si un jour je venais à la rencontrer j'serai capable d'y aller totalement défoncé juste pour lui montrer qu'elle a bien fait d'me laisser, elle à rien perdu. © 2981 12289 0
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Une des plus grandes frustrations dans l'univers , c'est de ne pas pouvoir remonter le temps. Il faut apprendre à vivre avec ses erreurs quelque soit leur nature. Le pire dans tout ça c'est ce que je n'étais pas là pour réparer mes propres erreurs. J'étais là pour une mère qui ne savait pas jouer son rôle et qui maintenant n'arrivait plus à dormir avec ceci sur la conscience. Les deux continents réunies elle faisait face à la pire bêtise qu'elle avait pu faire, non en fait c'était la pire. Il ne voulait pas de moi et j'espérais encore qu'il m'accepte comme j’étais, aussi fragile et étourdie que je pouvais être. Une acceptation dure et qui demande une longue réflexion. Ma présence pouvait être un fardeau pour certains, j'adorais me mettre dans le pétrin en prétextant un besoin d'aventure et de renouveau. Je crois que c'est ce qui arrive quand on enferme quelqu'un trop longtemps, même si c'est une dans une cage dorée. «C'est Alvisio.» Un nom de famille qui me démarquait des autres élèves. Il n'était pas américain il appartenait plutôt à une branche latine. Il continuait de refuser d'appartenir à notre famille si dysfonctionnelle. N'importe qui de sensé refuserait sa place parmi les Alvisio s'il avait grandi dans avec d'autres membres plus aimant. Sa tête tournée vers moi je pouvais lire dans son regard à présent. Je l'observais ou plutôt je l'analysais. Après tout les yeux étaient la fenêtre sur l'âme de quelqu'un. Je rie en entendant son bout de phrase. J'étais tout à fait d’accord, j'avais essayé d'attirer leur attention pendant longtemps pour finalement laisser tomber et suivre mon propre chemin. «Je suis bien d'accord , c'est plus amusant ainsi de toute façon. C'est le bonheur de la liberté.» Des paroles si innocentes, d'une femme qui n'a pas encore assez vécue et qui ne sait pas encore assez fait marteler par la vie. J'approchais doucement ma main pour la passer rapidement dans ses cheveux juste pour jouer quelques secondes avec quelques mèches. J'avais toujours été tactile dans ma nature, je n'avais jamais eu de mal à toucher quelqu'un. C'est de famille les cheveux en bataille. On se ressemblait presque avec nos joints sur les lèvres. J'espérais que ce moment dur longtemps encore. «Et si tu me parlais de tes parents adoptifs. » Je voulais savoir comment il avait vécu avant tout ça , avant le chamboulement du mois d'avril.

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❝ HARLEÏA + C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille. ❞I'm worse at what I do bestJeudi 21 avril. Dès que j'avais eu l'âge de comprendre on m'avait très clairement expliqué que ceux que j'appelais papa et maman ne l'étaient pas vraiment en réalité, j'étais plus une sorte d'animal adopté à l'animalerie qu'un véritable enfant à mon avis. Je ne me sentirais jamais Alvisio comme elle le dit, comme je m'étais jamais reconnu comme un Falgren en réalité. À partir du moment où j'avais compris que les coups que je prenais n'étaient pas quelque chose de bien, je me suis juste considéré comme Harlow. Franchement j'pourrai changer mon nom pour Harlow Snow comme dans Game of Thrones, ça en jette. Si elle s'attend à ce qu'un jour je prennes le nom de sa famille officiellement, elle se fourrait l'doigt dans l'oeil, malgré tout je reste un Falgren puisque c'est comme ça que j'ai toujours été présenté même si aujourd'hui ce nom me donne plus envie de vomir qu'autre chose. J'venais à me demander si la Veïa elle fumait et buvait pour m'approcher plus facilement du genre "regardes on est pareil alors aime moi" sauf que non, on est pas du tout la même personne et tant mieux parce que moi j'suis pas au bout de la chaine alimentaire comme elle, je me laisse pas bouffer. Si c'est un petit oiseau cette fille, un coup de vent peut lui péter les ailes et malheureusement pour elle j'suis une tornade, alors ciao blondie. « Mais t'es sérieuse ?! Me touche plus jamais comme ça t'es malade toi ! » J'me reculais immédiatement quand elle passait sa main dans mes cheveux, le regard dur et la voix autoritaire. Elle m'avait pour son Berger Allemand ou quoi ? J'suis pas un chien qu'on peut caresser comme ça, encore moins avec ses mains toutes blanches et fragiles là. Je rêve quand même, elle vient de poser ses doigts sur moi ... Elle est folle. D'où on touche les gens comme ça ? Alors ça y est, on se rencontre pour la deuxième fois autour d'une bière et une clope, et c'est gagné ? Non, absolument pas. « Y'a rien à dire sur eux » J'me décalais, remettant des distances, vexé par son geste. Elle est trop dans son monde et son idéal de famille réunie cette fille, sauf que je marche absolument dans ce sens là moi. Ça peut paraitre disproportionné comme réaction pour une caresse dans les cheveux, mais déjà j'prends sur moi pour rester ici alors va falloir qu'elle calme ses ardeurs et son rythme.© 2981 12289 0
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Comment on pouvait se sentir dans la peau d'un enfant adopté , d'une personne abandonné. Je pouvais retourner la question des centaines de fois dans ma tête et je ne pourrais jamais arriver à une réponse qui avait du sens. Par contre, ce que je n'arrivais pas à comprendre, c'est pourquoi il s'acharnait sur moi. Je n'avais rien à voir dans tout ça et je me sentais seulement comme le premier objet facile à frapper après une frustration. Comment on pouvait autant garder de haine dans un seul coeur , je n'avais jamais cultivé ce sentiment , mais je le rencontrais de plein fouet. Il inspirait la colère à chaque moment de sa vie. Je n'avais pas encore eu la chance de le voir si paisible. Il l'était d'une certaine façon couché dans cette herbe, mais il restait tendu, prêt à exploser à tout moment comme une bombe à retardement. Je l'avais approché innocemment et voilà que je venais de me bruler à nouveau. Ma coquille se refermait à nouveau de peur qu'il s'enflamme d'avantage. Il reculait en m'engueulant. Je ne pouvais même pas le toucher, je ne pouvais même pas approcher celui que je pouvais appeler mon jumeau. J'avais dû mal à croire que notre relation serait éternellement comme ça. Autant il était dur à suivre, autant il était devenu l'huile sur mon feu intérieur qui ne c'était jamais attisé. Il me mettait hors de moi d'une façon que je connaissais point que j'avais presque peur de moi-même. J'étais une inconnu envelopper dans ce sentiment. Je fronçais les sourcils. Et je me redressais pour m'assoir en regardant vers l'horizon «Harlow que tu le veuille ou non va falloir que tu accepte que je suis ta soeur , pire encore ta jumelle.» Je l'attendais déjà de me dire d'arrêter mes conneries, qu'il n'y avait aucune chance pour qu'on soit du même sang. Les choses semblables sont monotones, tu ne l'avais tout simplement pas compris. «J'essaie...» ma voix tremblait , je ne suis pas une personne qui se livre , je ne suis pas un livre ouvert. «J'essaie... seulement de m'intéressé à toi...et ça n'a rien avoir avec les parents cette fois...» Je continuais à chercher mes mots dans les vibrations qui ponctuaient mes paroles. De plus, il avait de long silence qui rendait le moment long et pénible. «Je suis là de mon plein gré...» J'inspirais à fond je finissais mon joint. «Parce que ça me tiens à coeur...» Qu'est-ce que j'avais à perdre de plus après tout ? Je n'avais jamais eu sa complicité on me l'avait retiré dès mon premier souffle.

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