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Harleïa ✗ Because fuck you, that’s why.

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❝ HARLEÏA + On vit tous dans le mensonge. ❞Because fuck you, that’s why.Samedi 16 avril. Première fois que j'avais envie de remercier ma mère depuis que j'avais quitté le cocon familial, faudrait que j'pense à lui rendre visite quand même pour un peu discuter ... Un jour ouais, mais quand y'aura pas son abruti de maris parce que je suis pas certain de pouvoir rester dans la même pièce que lui malgré toutes ces années sans se parler. Allez, table rase du passé j'suis pas venu ici pour m'prendre la tête tout seul et me morfondre sur ce qu'aurait pu être ma vie. J'voulais même plus penser à cette discussion qu'on avait eu il y a quelques jours, de un j'avais subi des violences toute mon enfance sans qu'elle dise rien et aujourd'hui elle veut que je rencontre ceux qui m'ont abandonné ? "LMAO" voilà, c'est tout c'que j'ai à dire, lol même. Heureusement qu'elle se rattrape avec ce rendez-vous, c'est inattendu qu'elle m'aide dans mon projet de lâcher les études pour me lancer en pro dans le monde du skate, mais faut croire que les temps changent, tant mieux. Je sais même pas qui vient, si y faut c'est une vieille entreprise de charcuterie, mais c'est mort j'porte par un logo de saucisse sur mon skate, moi j'veux du SUPREME ou du sk8mafia, rien de moins. J'avais dû me lever tôt pour venir, genre treize heure alors qu'on est samedi ... Et j'attendais à la terrasse du Luna Caffe, la clope au bec avec mes lunettes de soleil sur le nez et une bière en main, j'me mets bien déjà. J'lève les yeux quand quelqu'un me fait de l'ombre, ça doit être l'moment. « Nan ils ont envoyé une gamine ? » Regardez moi cette tête de bébé, on pourrait lui pincer les joues et lui faire des couettes, ça reviendrait au même, une vraie poupée de porcelaine. C'pas possible, c'est pas elle "l'agent", juste une fille qui est perdue. Je rabaisse mon regard sur mon téléphone en faisant un signe de la main pour lui faire comprendre de partir. « S'tu veux mon numéro c'est pas la peine d'attendre, j'ai autre chose à faire » Comment ça la politesse ça fait toujours plaisir ? J'ai pas l'temps moi avec des conneries, aujourd'hui j'deviens une star de la rampe. © 2981 12289 0
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Un gros bordel , un moment complètement incompréhensible . Cela devait être l'évènement auquel je m'attendais le moins dans la vie. J'avais toujours été presque enfant unique, car mon frère avait vite quitté la demeure familiale. J'avais toute fois appris que maintenant j'avais pendant un instant de ma vie au près d'une autre personne lors de notre développement. L'incompréhension se faisait rage dans ma tête et le pire dans tout ça c'est que je ressentais une profonde colère envers ma génitrice. Je n'avais effleuré que ce sentiment habituellement, mais en ce moment il naissait de toutes ses flammes. Peut-être au fond il était là le manque que j'avais toujours ressenti au fond de ma poitrine. Une séparation entre jumeaux n'était jamais forcément une bonne chose. Je ne connaissais rien de lui comme il ne connaissait rien de moi.  Je me rappelais encore des paroles de ma chère mère en me disant qu'il n'était pas forcément réceptif. Le pire encore c'est qu'elle m'avait envoyé avec une excuse qui pouvait s'avérer vraiment dangereuse. L'angoisse me tiraillait jusqu'au fond de mes entrailles. Je me dirigeais tout droit vers un mur de briques sans fissure et sans ouverture. Je détestais cette situation et ma douceur semblait avoir prie un coup. Je ne le savais pas si j'allais avoir le contrôle de mes actes, mais au fond il n'avait pas à m'en vouloir je n'étais pas responsable des choses honteuses que mes parents avaient pu décidé. J'étais resté figé en voyant celui qui était sensé être mon double, on m'avait avertie que nous nous étions pas identiques. Nos deux âmes étaient antipodes, le ton de sa voix le reflétait bien. Je chancelais  sur mes jambes de poupée  sous ses airs de dur. J'avais des aires angéliques et lui il semblait avoir fait un pacte avec le diable. Je n'étais pas étonné de la couleur de ses cheveux puisque mes parents portaient la même couleur. L'espoir en moi venait déjà presque de s'envoler face à son attitude. Prenant mon courage du mieux que je le pouvais je m'assoyais face à lui. «C'est moi que tu attends en fait.  »  Un silence retomba doucement sur l'atmosphère avant de reprendre mon souffle. « Et ça sera pas pour parler de skateboard...» Ma voix tremblait presque et pourtant je le regardais droit dans les yeux. Une partie de moi vivait en toi. Je le savais que je ne pourrais pas annoncer la nouvelle de vive voix. J'avais glissé un papier sur la table en lui révélant mon identité.   

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❝ HARLEÏA + On vit tous dans le mensonge. ❞Because fuck you, that’s why.Samedi 16 avril. Il faut toujours que quelqu'un vienne contrarier mes plans, j'peux jamais passer une soirée tranquille sans qu'une personne veuille m'acheter quelque chose, ou alors tout simplement aller skater et ne pas être harcelé par des adolescentes pré-pubères, que la vie est injuste. Puis déjà cette fille là, elle m'intéresse pas, si il faut à cause d'elle j'vais louper mon rendez-vous et là c'est obligé que j'lui fais regretter. Allez elle a quoi ... Seize ans à tout casser, elle sort à peine du collège alors qu'elle vienne pas trop se frotter à moi, j'ai pas signer pour être pédophile de toute façon. D'habitude quand je remballe quelqu'un, il s'en va la queue entre les jambes, mais elle elle a pas l'air de parler notre langue. Clairement ça se voit qu'elle est pas bien, et j'fais rien pour l'aider, alors pourquoi elle part pas tout simplement ? Maintenant elle s'assoit, damn j'ai fais quoi pour métier une sangsue ? J'me laisse tombé dans mon siège totalement agacé par la situation de forcing que j'dois affronter, j'peux virer une fille en public sans que ça soit pris pour d la violence ? J'fronce les sourcils, d'où j'attends cette ... Enfant ? Pitié, faites que j'ai pas donné mon numéro en étant bourré, c'est juste pas possible j'me suis pas mis minable à c point là. Quoi qu'il en soit je fixais le papier qu'elle avait posé, putain on s'croirait dans un film d'espionnage. Méfiant, j'le regarde malgré tout en posant mes lunettes sur la table. « Deux mots ; casses-toi » À moi on me l'a fait pas, d'où cette presque albinos elle serait ma soeur, jumelle en plus ? Come on guys, j'suis son opposé de la tête au pied, conneries. Même si maman Falgren m'a dit que ma vraie mère voulait en savoir plus sur moi, la sois-disant jumelle faisait pas partie du contrat, jm'en fou. « T'as pas mieux à foutre que de venir me faire chier ? » J'métais accoudé sur la table en plongeant mon regard froid dans le sien. Sérieux, on dirait qu'elle vient de Russie alors que clairement moi j'suis typé genre pays du Sud, allez brésilien on va dire pour le fun. © 2981 12289 0
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La plus grande énigme se trouvait maintenant devant mes prunelles . J’avais toujours été une sorte de puzzle,  cette fois par contre je me trouvais quelque chose d’encore plus complexe.  Je n’arrivais même pas à rassembler les morceaux. Nos différences étaient très voyantes, j’avais toujours eu une peau très immaculée qui ne voulait pas dorée au soleil. La chance était de son cotée il avait un beau bronzage sur les épaules. J’avais toujours plus ressemblé à ma tante Frida qu’à mes propres parents, en même temps elle avait été ma source de bonheur pendant un long moment. Je voyais en lui les yeux de papa et la froideur de maman. Je reconnaissais ce caractère je l’avais côtoyé bien des fois.  Au fond de moi j’étais complètement terrorisée et je me sentais fissurée petit à petit en sentant ses yeux sur moi, mais comme je l’avais fait si souvent à mes parent je ne sillais pas une seule seconde.  Je n’avais pas grandie dans la soie et pourtant j’étais aussi douce comme du velours.  Je n’avais pas l’intention de partir. Tu pourrais m’ébranler autant que tu le pouvais, mais malgré tu apprendras très vite que les gens froids ça m’attire encore plus vite qu’un aimant. Tu ne peux plus nier le même sang qui coule dans nos veines, il n’y a plus fort comme lien sur cette terre. Tu ne pourras pas nier bien longtemps que nous sommes née le même jour et que pour une raison que j’ignore encore nos chemins se sont séparé injustement.  Je ne savais pas comment m’y prendre, mais le vent ne pourra pas faire envoler comme une plume.  Autant je le fixais, autant j’étais égaré dans mon esprit ce qui me valait mon cotée perdu une fois de plus. Le feu reprenait de plus belle. L’abandon était dur à vivre  je le comprenais parfaitement, mais ses paroles étaient pire que du venin.  Une haine profonde jamais encore expirée. Je ne connaissais pas sa vie, mais dans tous les cas s’étais moi qui avais grandi dans la maison luxueuse des Alvisio et s’étais moi qui avais assisté à toutes les soirées importantes.  «On est dans la même merde je te rappelle.  » J’avais appris la nouvelle aussi durement . J’avais eu une crise malgré moi et j’avais fracassé certaine chose me rappelant certains souvenirs d’enfance. J’avais retrouvé pendant l’ombre d’un instant la Veïa qui avait huit ans.  «Et non je reste. » Je tremblais presque comme une feuille.Je prévoyais déjà la colère et les bourrasques qui s’abattrait sur moi , mais pour une fois je n’allais pas me fracasser dans des milliers d’éclats. On avait déjà assez perdu de nombreuses années comme ça.  

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❝ HARLEÏA + On vit tous dans le mensonge. ❞Because fuck you, that’s why.Samedi 16 avril. C'est quoi cette nouvelle mode de plus me respecter ? Depuis quelques jours j'ai bien vu l'changement, c'est simple plus personne fait ce que je dis à moins que je m'énerve vraiment, et taper une crise dès le matin c'est pas bon pour ma santé les gars. Là on est peut-être dans un cas plus extrême, j'écrasais mon mégot par terre pour directement rallumer une autre cigarette, sans quitter des yeux la source de mes problèmes. Si je résume bien, j'tais venu ici pour signer un contrat et voir ma vie décoller et en fait j'me retrouve avec elle sur le dos, c'est tellement injuste. Je sais pas si je refuse vraiment de croire ce que j'ai lu parce pur égo et fierté, ou bien si parce que c'est tellement improbable qu'on soit jumeaux. Franchement, j'ai beau parcourir son visage il n'y a aucune ressemblance même pour des faux, personne croirait à ça et moi le premier. J'avais bien compris, y'avait jamais eu de rendez-vous professionnel et encore une fois on s'était foutu de moi. Qu'est-ce que ça peut faire au reste du monde que je veuilles rencontrer ma famille biologique après bientôt vingt-deux ans, absolument rien du tout. Je la regardais sans rien dire, d'où on est dans le même panier là ? Si on suit le raisonnement c'est quand elle qui a toujours vécu avec la famille ... C'est quoi déjà leur nom ? Je baissais les yeux vers le papier, Alvisio ... Clairement pas américain ça, en plus de son accent ça confirme bien qu'on est pas du même monde. « Qu'on mette les choses au clair, même si c'est vrai, clairement j'en ai rien à foutre » Je prenais mon verre pour me calmer, elle allait m'entendre maman Falgren après ce piège, c'est mort j'vais finir tout seul dans mon coin à plus parler à personne. J'étais visiblement énervé, pourquoi on me fait ça ? Comme si j'avais pas assez de problèmes dans ma vie faut qu'on me rajoute une famille, mais bien sûr. « Regardes toi, on dirait un agneau face au loup alors on va pas me faire croire qu'on vient du même endroit » J'la connaissais pas, mais ça se voyait qu'elle était pas aussi forte que moi, toute fragile et apeurée, si j'avais eu une soeur jamais elle aurait été aussi faible ... Et blonde avec la peau blanche et les yeux bleus, ils se sont trompés lors de la livraison c'est certain, c'est pas elle ma famille à point c'est tout. © 2981 12289 0
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Je maudissais ma mère de m'avoir embarqué dans un plan aussi ridicule. Il me détestait et cela se voyait. Malgré son cotée aussi froid comme de la glace je n'arrivais pas à lui en vouloir. Ma tête refusait de s'emporter sur une personne qui n'avait rien demandé et qui avec le vécu la déception de l'abandon. Je voulais lui faire comprendre que malgré tout la famille était quelque chose de sacré. On avait qu'à jeter un coup d'oeil sur la tonne de papier qui jonchait mon bureau pour savoir que je ne laissais jamais mon frère sans nouvelle. Ma peur m'empêchait de pouvoir dissimuler un sourire, car il ressemblait drôlement à notre frère qui été neuf ans plutôt. Il avait les mêmes cheveux en bataille et la même couleur de yeux. Au final, j'étais le mouton noir des Alvisio. Il se fondrait plus dans la masse que moi. J'aurais pu le brasser tous les cotées, de toute les façons possible sur cette Terre, l'ouverture semblait m'échapper. Je devais trouver un moyen d'ouvrir sa coquille. Tout était étrange, car à l'habitude s'était les autres qui essayait de faire cette opération et de me tirer quelques paroles. Le karma m'en voulait sans doute et m'avait donné une épreuve pour me punir d'une certaine façon. Tu étais tout ce qui avais de plus différent de moi, mais au final la nature ne faisait pas toujours mal les choses. Au contraire deux personnes à l'opposé le plus éloigné pouvaient très bien se compléter malgré quelques conflits. Il m'était impossible de te demander pour le moment de m'accepter. Tu semblais me voir comme un parasite. Je ne comprenais pas comment un parent pouvait penser à abandonner son enfant. L'argent n'avait jamais manqué, nous avions une situation très aisée. «Je n'ai pas l'intention de lâcher prise. » Tous tes gestes et tes traits me montraient que tu nous voulais pas de moi à table. J'avais hissé un mur entre toi et moi pour empêcher que tu m’atteignes, mais dès que tu le voudrais je laisserai tomber brique par brique. «Point de vue physique je peux te l'expliquer. Tu ressembles comme deux gouttes d'eau à maman et pour ma part j'ai seulement hérité des traits de notre grand-mère paternelle. » Mère nature avait sans doute voulu que le blonde persiste encore un peu dans la famille Alvisio afin de donner un peu de lumière sur l'Italie. Oui, car la plupart était tous d'une chevelure foncée.

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❝ HARLEÏA + On vit tous dans le mensonge. ❞Because fuck you, that’s why.Samedi 16 avril. J'pourrai partir là, même renverser la table ou cogner dans quelque chose pour montrer à quel point tout ce qui se passe actuellement, je l'ai toujours refusé et que je voulais pas que ça arrive. Toute ma vie on m'a imposé un rythme de vie que j'aimais pas, et maintenant que je suis tranquillement à Boston à des milliers de kilomètres les Falgren continuent quand même de choisir pour moi. Jamais j'ai posé de questions sur mes vrais parents, je m'en foutais tout simplement alors j'comprends pas. Dès que j'ai eu l'âge de comprendre j'ai clairement expliqué que tout ça, ça me touchait pas et que même si j'en avais l'opportunité un jour, j'la saisirai pas. En plus voilà qu'elle me sort qu'elle abandonnera pas l'affaire, rien de pire pour me faire péter les plombs. J'aime pas être comme ça, à avoir la jambe qui bouge sous la table, mon verre encore à moitié plein alors que ma cigarette est presque en bout de vie. J'ai pas choisi d'être ici pour la rencontrer elle, je m'en serai volontiers passé et j'aurai pu encore dormir chez moi sans savoir à affronter des problèmes. « Crois moi j'vais rapidement te faire passer l'envie d'me connaitre » Menace ? Carrément ouais,on vient pas s'imposer dans ma vie comme ça sans risquer de prendre des dégâts. J'ris à ces clichés sur les liens du sang et en particulier les jumeaux, faut pas se foutre de la gueule du monde, surtout pas avec moi. Y a aucun moyen que je sois le frère de Barbie, à la limite elle aussi elle a été adopté mais on a pas les mêmes gênes. J'laisse tombé mon mégot dans le cendrier et je recherche pour continuer à pourrir l'air, mais mauvaise nouvelle le stock est fini, de quoi m'agacer une fois de plus. J'balançais le paquet vide sur la table, me frottant les yeux comme pour me réveiller d'un mauvais cauchemar. « Stop stop, attends t'as dis quoi là ? » Je rouvrais les yeux en lui lançant un regard rempli d'incompréhension, posant mes mains sur mes tempes comme si je venais d'entendre la plus grosse connerie du monde. « Y'a pas de "maman", c'ta mère okay, pas la mienne » D'où mais d'où elle parle comme ça ... Allez bientôt j'vais avoir le droit à des photos et même des tests sanguins pour me trouver qu'on a bien grandi dans le même ventre. © 2981 12289 0
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Pourquoi s'était à moi de tout faire. Mes parents auraient bien pu sauter dans le premier avion sans problème. J'entendais déjà leurs excuses en disant qu'il n'avait pas le temps, le travail les occupait trop. Je me demandais même si la retraite serait envisageable. Leurs bureaux étaient une drogue. Ils ne me parlaient que pour me parler de mes notes ou encore de me dire de bien me tenir à table lors des repas importants. Je comprenais la raison du pourquoi mon frère ainé avait quitté la demeure familiale. On avait l'impression de suffoquer à l'intérieur des murs bien garnis. Je pouvais enfin respirer à Boston. Je me demandais même si je n'avais jamais eu l'intention de poser mes pieds sur ce continent si on m'aurait appris son existence. Je faisais un pas vers l'avant il en faisait trois vers l'arrière. La plus grande énigme s'était les agissements de ma mère. Elle n'a jamais donné de nouvelles à son propre enfant et maintenant elle veut que je le ramène à notre cause.  J'avais envie de le connaitre, de comprendre au moins si une seule petite partie nous unissait. L'emmener en Italie par contre ne serait pas de tout repos.  Sa fumée de cigarette visitait mes narines. Je n'avais jamais été une grande accro de la nicotine et une seule rencontre me prouvait que pour lui cela devait être le contraire. De mon cotée j'étais plutôt accro à la bouteille, ce n'était pas la première chose à laquelle on pensait en me voyant. Tu avais le droit de me prendre pour une gamine et te bourrer le crâne de mensonges, mais au final nous étions sur le même campus et tu finirais par me croiser à nouveau. Au final , il y a un lien qui nous unie qui est bien plus fort habituellement qu'entre soeur et frère , puisque que nous nous avions la touche de jumeaux.  Aurais-je vraiment pensé une seule seconde que tu pouvais l'être ? Ma colère montait même si je le repoussais doucement dans sa cage habituelle. «Tes toujours aussi agréable ?» Une phrase remplie de provocation, mais dans mon innocence je ne m'étais pas rendu compte de l'impact qu'elle pouvait avoir. Ton rire rendait mes nerfs à vive. J'étais d'une grande douceur pourtant. Je lui jetais les photos sur la table un peu au bout de mes moyens. «Viens me dire après que tu lui ressemble pas pour voir. » J'étais peut-être plus proche de la crise de larmes. J'étais si fragile et si stupide.   Il pouvait me casser à tout moment. «C'est ta mère et ça tu peux pas le nier.» On pouvait avoir des tonnes de preuves pour cela. Mes phrases étaient un peu plus rapides, mais encore je gardais mon calme. Ma voix perdait lentement sa douceur par contre.

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❝ HARLEÏA + On vit tous dans le mensonge. ❞Because fuck you, that’s why.Samedi 16 avril. Voilà le ton était donné, à peine on se rencontrait mais déjà elle me trouvait insupportable comme tout le monde le disait. Pour une fois je m'étais encore plus de passion à l'être, j'avais aucunement l'envie de lui faire bonne impression et de lui donner l'envie d'en apprendre plus sur moi, je vais pas cacher que mon objectif est de la décourager. Si les gens apprennent que j'ai sois disant une jumelle, elle en plus, ils vont se foutre de moi c'est certain. J'ai pas besoin d'être associé à la fille qui ressemble à un bébé, encore moins d'être lié par le sang. J'prends mon verre en me remettant à l'aise sur am chaise, j'vais finir ma faire venir une caisse entière de bière ici pour calmer ma colère, et tant pis si j'finis bourré sur la terrasse à insulter le monde entier, ça sera pas la première fois. « Et t'as rien vu encore » J'lui dis maintenant que j'ai déjà un casier long comme aujourd'hui et demain pour détention de drogue, cambriolage, conduite en état d'ivresse et tout le bordel, ou je garde ça pour quand elle voudra me faire un câlin ? J'lui lance un regard noir quand elle me balance presque à la figure des photos, comme quoi j'ai encore tapé dans l'milieu. « T'as cru que j'tais une strip-teaseuse pour m'lancer les trucs comme ça ? » J'baissais malgré tout mon regard sur les clichés de cette femme, la fameuse madame Alvisio, grand bien lui fasse. On va pas faire toute une histoire, elle est brune avec les yeux marrons et la peau un peu bronzée, comme soixante pour-cent d'la population j'dirai alors ça prouve rien, absolument rien. J'les lui renvoie avec dégout, tournant la tête pour bien briser ce contact, j'veux rentrer chez moi dans mon petit studio et fumer, rien de plus. Vas-y les gens autour ils doivent nous prendre pour des fous, et ils ont bien raison mais c'est moi la victime aujourd'hui, on m'impose une soeur comme ça sans me demander mon avis. « C'est pas ma mère, quelle mère abandonne son gamin ? » Je braquais de nouveau mon regard acerbe sur elle, alors, c'est quoi ta réponse blondie ? Si j'avais pas déjà des problèmes en ce moment j'aurai tout retourné, mais je tiens pas à me faire coffrer avant le bal, ça craindrait trop.© 2981 12289 0
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Je m'emportais sans même m'en rendre compte. Je pouvais compter sur mes doigts le nombre de fois que je m'étais fâché dans ma vie. Cette fois si s'était beaucoup trop dur de pouvoir rester calme, beaucoup trop dur de rester là sans rien faire. Je ne me rappelais pas d'avoir souhaité d'avoir un jumeau dans la vie. J'avais déjà du mal à entretenir des liens serrés avec le reste des membres de ma famille. Je ne faisais tout simplement plus partie de leur univers au moment que j'ai fais ma valise. Le moment où j'ai franchi la porte je n'avais pas eu de nouvelles. C'est là que j'avais senti qu'ils se souciaient encore un peu de moi quand le téléphone avait sonné cette soirée là. Elle n'avait été qu'au bout du file pour m'annoncer cette nouvelle. Elle ne m'avait même pas demander comment j'allais et pourtant cela faisait bientôt deux ans qu'elle n'avait pas revu ma tête blonde. Au fond je pouvais comprendre un peu ce qu'il ressentait, mais sans doute pas autant l'ampleur de la haine qui le rongeait intérieurement et surtout une grande incompréhension. «Essaye autant que tu veux. » Je crois que je n'avais jamais pris autant de courage. S'il n'avait pas été question d'un frère inconnu je me serais déjà enfuie à toute jambe comme je l'avais déjà fait. J'étais remplie d'une détermination que je n'avais jamais ressentie auparavant. Ses réponses étaient celles que je m’entendais, mais le volcan commençait quand même à rentrer en éruption. Tu n'avais même pas regardé une seule seconde ses traits sur la photo. Tu n'avais pas regardé une seule seconde son visage pour voir la ressemblance flagrante. Tu l'avais survolé que pour me faire plaisir trente secondes et surtout me balancer un refus de nouveau. Je recevais la photo de nouveau et je retournais mes prunelles dans son regard. Je n'avais rien de menaçant, j'étais faible comme un bébé oiseau. Je n'avais l'aire que d'une enfant pour lui. «Ta même pas oser regarder son visage de plus près parce que tu sais que c'est vrai. » Je reprenais lentement mon souffle pour ne pas que mes mots soient trop tranchants. «J'en ai rien à faire des erreurs de ma mère , moi je suis là pour rencontrer mon frère , pire encore mon jumeau. Parce que pour moi la famille c'est important. Elle ne c'est pas plus occupé de moi. » Je n'arrivais même pas à me souvenir si elle m'avait déjà prise dans se bras pour l'instant d'une étreinte. Je n'étais pas son ennemie, mais il refusait de le voir. «Mais continue de fumer et de boire au lieu de m'écouter si ça te rend si heureux. Tu sais peut-être que faire ça.» Je n'étais plus moi , j'étais qu'une ombre. On m'avait déplacé pour une autre personnalité. Je n'avais jamais autant d'audace avec quelqu'un. Sans doute parce qu'il était mon jumeau. Je ravalais ma salive après avoir réaliser ce que je venais de dire. La peur remontait et elle se voyait dans mes yeux.

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