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We all have two lives. The second one starts when we realize that we only have one pv sloan ♥

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We all have two lives. The second one starts when we realize that we only have one ★★★
Mes paupières devenaient lourde et malgré la concentration que j'apportais à ma conduite. Je n'étais pas contre un peu de repos. Sloan ne tarda d'ailleurs pas à le remarquer. « Vas-y gare toi, je vais prendre le relais. » mon visage se tourna comme pour juger si il en était capable ou non. Il se mit à rire et un fin sourire s'afficha sur mes lèvres avant de reporter mon attention sur la voiture qui se trouvait devant moi. Il savait de quoi je voulais parler. Il leva ses mains et me fis : « C'est bon, je vais rouler doucement, on est plus très loin. » j'affichais une petite grimace avant de finalement lui dire. « D'accord Bushnell » Son nom raisonnait encore lourdement dans mon esprit. C'était une manière subtile de lui rappeler que je lui en voulais toujours un peu. Fin et subtile à la manière d'une Granger. Mon sourire s’effaça doucement avant de prendre la prochaine sortie. Il était grand temps pour moi de passer mon tour. J'étais épuisée. Ce voyage avait été épuisant, j'étais complètement lessivée. Je stoppais la voiture et me mis à soupirer longuement. J'appuyais ma tête contre le dossier du siège et ferma le temps de quelques seconde les yeux.  La plupart de mes questions avaient trouvé les réponses. Ses paroles raisonnaient dans mon esprit. Il avait peur... peur de ma réaction. Et il avait raison la difficulté avait pour habitude de me faire fuir pourtant aujourd'hui, j'étais encore présente. Sloan se détacha et claqua la portière. Je me détachais rapidement avant d'ouvrir la porte pour sortir le rejoindre. Je passais à côté de lui. Sa main s'accrocha à la mienne me faisant revenir sur mes pas. Mon regard se releva pour le regarder. J'étais beaucoup plus calme que tout à l'heure. Il le sentait et se donnait même le droit de me toucher à nouveau. Il avait raison. Il me tira doucement vers lui et posa délicatement sa main sur ma joue. La douceur de ces doigts me faisait du bien. C'était la seule chose dont j'avais véritablement besoin après une bonne nuit de sommeil. J'avais juste besoin de sentir que tout était bien réelle. Sloan m’appréciait bien plus qu'il le pensait et c'était la même chose pour moi. Nous étions au moins d'accord là dessus. Deux abrutis finis. Ma main se posa sur le haut de son torse et mes yeux se fermèrent. Ce simple contact me faisait déjà beaucoup de bien. Le visage de l'éliot se rapprocha et m'embrassa sur la joue. Un baisé simple et doux. Il relâcha la pression avant de se diriger vers le siège du conducteur. Je continuais ma route et repris ma place initiale. Sloan démarra rapidement la voiture et reprit la route. Il était calme, loin du sloan dont j'avais eu affaire. J'admirais ce sloan là. Je fermais délicatement les yeux, sereine. Je pouvais enfin profiter du calme qui régnait dans cette voiture. C'était apaisant et déroutant quand on pensait à ce qui s'était passer il y a plusieurs heures. Je sentie la main de Sloan se poser sur ma cuise. Mes yeux se rouvrirent à ce contact et subtilement mes doigts se posèrent sur sa main. Le trajet se déroula plutôt bien. Mes yeux s'étaient de nouveau fermé pour partir tranquillement dans un sommeil léger. Il ne restait peut-être plus beaucoup de route mes ces quelques minutes de sommeil allaient être réparatrice. La voix de Sloan me sortie du doux rêve dans lequel j'étais. « On est arrivés princesse. » ma tête était tournée vers Sloan et mes yeux semblaient encore tout endormi. Je tournais la tête pour apercevoir la demeure dans laquel nous nous trouvions. C'était magnifique, tellement loin du quotidien dans laquelle j'avais l'habitude de vivre. L'entrée était majestueuse. J'affichais un petit sourire. Je n'étais peut-être à l'aise dans tout ce milieu mais je devais reconnaître que cette demeure était magnifique. Il se gara et se tourna vers moi. « Merci d'avoir accepté de m'accompagner. » un sourire suivis d'une grimace s'afficha sur mes lèvres. J’espérais que ce week-end en vaille la peine. Sa main se porta de nouveau contre ma joue et tête se rapprocha dangereusement de la sienne. Nos souffles se mélangèrent avant d'être couper dans cette élan. « Sloaaaaaan ! » je me mis à rire et lui fis : « Bienvenue chez toi Sloan. » ahah. Je me redressais et finis par sortir de la voiture alors que Sloan lui s'empressa de prendre la petite fille dans ces bras. Ils étaient mignons. C'était la première fois que je le voyais en contact d'un enfant. J'apprenais à le connaître et j'aimais la vision qui s'en dégageait. Je m'approchais d'eux. Mon sourire s’élargissait tendis que la petite Gaby fit « C'est qui elle ? C'est ton n'amoureuse ? » je me mis à rire. Voilà ce dont j'avais besoin ! J'avais besoin de la légèreté d'une gamine ou d'un beau-père. Un beau père qui ne tarda pas à pointer le bout de son nez. La petite fille partie dans la voiture qui l'attendait. Un petit coucou et me voilà devant le beau-père de Sloan. Les battements de mon cœur remballèrent. Je pouvais enfin mettre un visage.  Il s'approcha de Sloan et lui empoigna la main avant de me présenter. « Charline, je te présente Goerge Braster, mon beau-père. George, Charline Granger. » un sourire délicat s'afficha sur mes lèvre avant de lui tendre ma main pour le saluer. La main du doyen saisissa la mienne et dans son élan il me fit : « Et bien mademoiselle Granger, c'est un plaisir de vous rencontrer. » mon regard s'attarda sur Sloan qui ne manquait pas un bout de la scène. Mes sourcils se froncèrent légèrement espérant être à la hauteur. « C'est un plaisir partager. Je suis contente de pouvoir enfin faire votre connaissance » j'étais surtout ravie de pouvoir mettre un visage sur un nom. J'en restais cependant pas moins gênée. La pauvre petite voleuse semblait tout à coup beaucoup moins sereine face à une personne comme son beau-père. Il relâcha ma main et s'adressa à son fils. Une fois finit il lui serra une nouvelle fois la main et me fit un petit sourire d'au revoir. Mon regard s'attarda sur sa silhouette jusqu'à temps qu'elle disparaisse dans la voiture luxueuse qui s'offrait à eux. Je me mis à grimacer et Sloan se mit à rire. Je ne pu retenir moi aussi un rire. « Tu viens de rencontrer mon beau-père, je ne perds pas de temps t'as vu. Désolé pour ça, normalement il aurait dû être déjà parti. » J'haussais les épaules et finis par lui dire en m'approchant de lui. « C'est pas grave, je sais maintenant à quoi il ressemble. Et s'il te plait... ne me dit pas que tu vas hériter de ces costumes plus tard ? » je me mis à rire. Les costumes du beau père était très extravaguant. Il envoyait une certaine classe, classe dont  je ne voyais pas grand intérêt. Sloan s'avança vers l'entrée de la maison. Il ouvrit la porte et l'intérieur était aussi sublime que l'extérieur. Mes yeux semblaient avoir doubler de volume. « C'est vraiment magnifique... » c'était beau, luxueux mais très beau. Je devais le reconnaître. Sloan me regarda quelque seconde avant que je ne m'approche de lui. Ma main se glissa dans la sienne et mes doigts s’entrelacèrent avec les siens. « j'ai aussi rencontrer cette petite gaby... plutôt mignonne comme gamine. » j'affichais un grand sourire au lèvre. Il s'avança un peu plus dans la maison, chaque pièce avait son lot de trésors. C'était hallucinant de voir autant d'objet de valeur. J'étais pas du tout à l'aise avec tout ce luxe pourtant je ne me sentais pas moins déstabiliser. Et c'était bien la première fois que j'allais vivre le temps d'un week-end dans une maison comme celle ci. La cuisine, le salon, les chambres, la bibliothèque, les dressings. Ma main se délia de celle de l'éliot et mes bras se croisèrent contre moi. Nous étions dans le couloir. Il s'apprêtait à me montrer ma chambre avant que je ne m'arrête net. Il se retourna et me regarda d'un œil avisé. «...je... je suis désolé. » désolé d'avoir coucher avec Walter, désolé d'avoir péter un câble pour Sage et désolé de t'avoir pousser à la limite de tes retranchements. Sloan n'était pas le seul fautif dans tout sa et malgré ma rancœur, je m'en étais aperçue. Ma gorge se noua et Sloan relâcha la poignet de la porte pour s'approcher un peu plus de moi. « Je t'apprécie Sloan... vraiment beaucoup. J'adore ta façon de me regarder... de me toucher... J'adore ta fragilité, j'adore tes fossettes qui se trouve juste ici ». Je me mis à sourire en pointant du doigt le creux de ces joues. « mais je suis un véritable fardeau... je suis loin d'être la fille simple à laquelle tu t'attends Sloan. Je peux te calmer mais je peux littéralement te faire péter un cable. » ma gorge se noua et mes yeux croisèrent les siens. « J'arrête pas de penser aux paroles que tu as dit... » mon regard détaillait le siens et je me mordillais l'intérieur des lèvres. « Je suis une vrai bombe à retardement Sloan... je ne sais pas garder les personnes que j'aime prêt de moi. Je fuie constamment et j'abandonne toute les personnes à qui je tiens. C'est sa la vrai réalité. Je peux peut-être te soulager mais je peux clairement te faire souffrir et péter un câble. » Ces paroles devaient sortir et comme Sloan, cette franchise était devenue d'une grande nécessite. Mon regard se baissa. « j'ai peur... » Sloan était servis et tout sa sans vitesse sans rien.
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Sloan n'a jamais été très famille. Son père est décédée lorsqu'il avait à peine cinq ans et depuis, il s'est éloigné de chacun des membres Bushnell. Sa mère, contre qui il s'est battu toute son enfance et sa petite soeur, quasi inexistante dans sa vie. Le jeune homme a toujours été un petit délinquant et a fait, durant sa jeunesse, les pires conneries qu'un gamin aurait pu faire. Ses mauvaises fréquentations ont eu, à l'époque, raisons de lui. Il traînait dans les mauvais quartiers et restait avec des personnes peu fréquentables. Entre fugue, bulletin médiocre, drogue et trafic, il était mouillé dans de sales affaires. Sa mère assistait impuissante à son autodestruction. Sloan avait alors besoin d'une figure paternelle dans sa vie, il avait juste besoin d'un cadre avec des limites. C'est ça, des limites. En voyant son comportement de tout à l'heure dans la voiture, on pouvait aisément se rendre compte qu'il manquait cruellement de limite. Heureusement que son beau-père faisait office d'autorité pour canaliser un tant soit peu le gaillard. Il lui imposer un cadre à suivre pour réussir dans la vie. Sloan le suivait plus ou moins. Résultat, à force d'aller contre sa nature, il se détruisait à petit feu. Sa récente bipolarité était le fruit d'un acharnement à vouloir le changer. Trop de gens ont voulus faire de lui une personne plus agréable, plus politiquement correcte. Et pourtant, Sloan avait juste besoin qu'on le comprenne et qu'on l'accepte comme il est. Exactement comme le faisait Charline. Sans s'en rendre compte, elle apportait soutien au beau brun. En sa présence, il se sentait bien, il se sentait lui même. Il n'avait pas peur de la choquer avec son comportement parfois bien dérangé puisqu'elle l'avait accepté avec ses qualités mais aussi ses gros défauts. Et rien que pour ça, Sloan lui en était reconnaissant. Il y avait quelque chose chez cette fille qu'il n'expliquait pas, une complicité qu'il ne retrouvait nul part ailleurs, un désir omniprésent et une admiration envoûtante. Clairement, Charline lui faisait tourner la tête. Il pensait souvent à elle et ne pouvait chasser les images des courbes divines de son corps. Il se surprenait à relire les messages qu'ils s'étaient envoyés plus tôt dans le mois. Il avait même gardé l'écharpe qu'elle avait oublié la dernière nuit. Sloan était prêt à beaucoup de choses pour sa belle et franchement, si c'était ça ce que l'on appelle être amoureux. Alors oui, Sloan était amoureux mais trop irréfléchis pour s'en rendre compte. Il savait que quelque chose de spécial les liait mais n'arrivait pas à mettre des mots sur tout ça. Après tout, il n'était jamais tombé amoureux encore. Cela lui tombait dessus un peu par hasard. On ne peut pas dire précipitamment car depuis des années, le beau brun avait su cultiver son intérêt pour la jeune femme. Il avait essayé de la remercier d'être venue avec lui à New York mais la petite Gabi était venue tout gâcher. La petite peste. N'empêche, voilà plus de cinq heures qu'ils étaient ensemble et pas un seul baiser échanger. Sloan, tu te ramolli mon cher. Il aura tout le loisir de se rattraper plus tard. Les deux étudiants saluèrent le beau-père avant de se retrouver seuls devant la sublime villa. Charline regarda l'Eliot et lui demanda s'il allait hérité des mêmes costumes que le beau-père. Sloan tourna la tête dans sa direction et éclata de rire, il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui sorte un truc comme ça. Il haussa un sourcil. « Ne t'en fais pas pour ça, j'ai une autre définition de la classe. » dit-il en rigolant. C'est vrai que pour le coup, elle n'avait pas vraiment tord. Peut-être est-ce la couleur du costume qui dénotait avec l'époque. Quoiqu'il en soit, Sloan avait pas mal de costumes dans son dressing et aucun ne ressemblait au sien. Déjà rien que la taille du costume différait. Le jeune homme était plutôt maigrichon dans son genre. Bref, Sloan se dirigea vers la porte et l'ouvrit rapidement. Il entra dans le hall et posa les deux sacs dans un coin. Il attendit que Charline soit entrée pour refermer la porte derrière elle. Le beau brun jeta un rapide coup d'oeil à sa belle qui admirait littéralement les lieux. Elle était trop mignonne. Un mince sourire se dessina sur son visage. Il leva les yeux au ciel lorsqu'elle lui avoua apprécier la beauté des lieux. Sloan savait à quel point Charline n'était pas superficielle et qu'elle ne s'attardait pas sur la valeur des choses. L'Eliot était un peu comme ça aussi. Il n'a jamais réussi à trouver sa place dans le monde du luxe. Dans cette baraque, il ne s'est jamais senti chez lui. Effectivement il ne manquait de rien mais cela ne lui ressemblait tellement pas. A vrai dire, il n'y avait pas vraiment de lieux où Sloan se sentait chez lui. Il vivait dans une chambre d'hôtel tout au long de l'année donc pour le côté personnel et chaleureux, ce n'était pas trop ça. « Ouais cette baraque a son charme. » dit-il avant de lui sourire. A son tour, le jeune homme jeta un oeil à la propriété. Il déglutis en pensant à la dernière fois qu'il était venu ici. Sa mère lui manquait horriblement et de la savoir allongée sur un lit d'hôpital lui faisait énormément de peine. Il s'humidifia les lèvres et voyant ses affaires un peu partout dans l'entrée. Finalement, ce n'était pas une si bonne idée que ça d'être venu. Pour éviter de broyer du noir, il reporta son attention sur Charline qui lui afficha un petit sourire avant de s'approcher de lui et de lui prendre sa main. Au moins, la brunette ne lui en voulait pas pour tout à l'heure, le calme semblait être revenu entre eux deux. Elle lui parla de Gabi. Sloan rigola légèrement, c'était un tonton en or. « Tout le portrait de son oncle. » lança-t-il avant de lui faire un clin d'oeil et de rigoler. Ce n'était pas le même sang qui coulait dans leurs veines mais qu'importe. Sloan avait vraiment adopté cette petite gamine. En bon gentleman, l'Eliot s'avança dans la maison pour faire visiter les lieux à son invitée. Invitée très spéciale aujourd'hui. Ils traversèrent, main dans la main, la cuisine ainsi que l'immense salon. Ils prirent les escaliers afin de lui montrer où elle allait dormir en théorie. Puisqu'en pratique c'était tout bonnement sa chambre. Et là encore, Charline n'allait pas être déçue, on dirait sa chambre d'hôtel. Très impersonnelle, très froide, qui manque cruellement de décoration. Sloan n'aimait pas trop dormir là puisqu'il ne s'y sentait pas à sa place. Peut-être qu'avec Charline ce sera différent. La maison était très grande et très luxueuse. A deux, ils allaient bien trouver un coin où ils seront bien. Quoiqu'il en soit, il allait ouvrir la porte quand Charline s'excusa timidement. Le beau brun fronça les sourcils et se tourna vers elle. Avait-il bien entendu ? Sloan n'était pas certain de ce qu'il avait entendu mais les prochaines paroles de la brunette le conforta dans son idée. Il ne comprenait pas trop pourquoi elle avait choisi ce moment précis. Il resta silencieux, il l'écoutait religieusement, gravant soigneusement chacun de ses mots dans son esprit. Elle l'appréciait vraiment, elle aimait la façon dont il la regardait, dont il la touchait. Sloan afficha un petit sourire sur ces mots. Il n'y pouvait rien, du moins, il ne le faisait pas consciemment. La regarder était une évidence pour lui, tant sa beauté était pure et fragile. La toucher était devenu un besoin vital. Sa peau si douce, ses courbes divines le rendaient fou. La suite de son discours était déjà moins évident à entendre. Charline évoqua le fait qu'elle était une bombe à retardement, qu'elle pouvait lui apporter autant de mal que de bien. Il déglutis, se retrouvant un peu malgré lui, devant la dure réalité de ses propos. Le beau brun fronça les sourcils mais resta extrêmement attentif aux paroles de l'étudiante. Elle semblait paniquée, apeurée. C'était un peu déstabilisant pour lui de la voir ainsi. Charline, cette fille si forte au sourire ravageur semblait si fragile. Elle avait peur de quoi ? De lui ou de leur relation étrange ? Surement un peu des deux. A peine avait-elle terminé de parler que Sloan s'avança vers elle et prit son visage entre ses deux mains. Charline venait de se livrer à lui et il se devait de répondre à sa détresse. Il approcha son visage du sien et plongea son regard dans ses beaux yeux. « Eh Charline ... je sais tout ça. » dit-il faiblement. Pas la peine de crier, elle allait très bien entendre ce qu'il avait à lui dire. Sloan avait toute son attention. Il allait devoir être rigoureux dans le choix de ses mots. Finalement, ses dernières cartes, il allait les abattre maintenant. Charline devait attendre beaucoup de sa réaction. « Je sais à quel point tu as peur de t'attacher aux gens, je sais que tu ne t'accordes pas le droit au bonheur et je sais aussi que tu prends souvent la fuite. Mais s'il te plait, n'aie pas peur moi... » continua-t-il sur le même ton, rassurant et intime. Il se redressa légèrement et s’humidifia les lèvres. « Ecoute ... j'ai mis presque quatre ans à obtenir un simple rendez-vous avec toi. Aujourd'hui j'ai la chance de pouvoir caresser tes joues... » dit-il en caressant délicatement sa joue de son pouce. Sloan approcha doucement son visage du sien et laissa leurs lèvres se frôler. « ... embrasser tes lèvres ... » murmura-t-il avant de se reculer et d'ouvrir de nouveau les yeux. « ... de partager des moments uniques comme celui-ci. Je n'ai pas peur de toi Charline et si tu veux me faire perdre la tête, je t'en prie. C'est une risque que je suis prêt à prendre sans la moindre hésitation. » Sloan baissa les yeux et ne pu s'empêcher d'hausser un sourcil. Bordel, il mourrait d'envie de l'embrasser mais il ne le fit pas. Il releva les yeux pour la regarder intensément. « Je te propose un truc Charline... » dit-il le plus sérieusement du monde. « A partir de maintenant, tu vas tout oublier. Oublie ce que tu viens de me dire, oublie ce qu'on a vécut avant, oublie tes craintes et laisse toi aller. Rien qu'un week-end... Laisse toi bercer par cette petite virée à New York. Je suis rien qu'à toi, je vais te regarder comme tu l'aimes, je vais toucher chaque passerelle de ton corps. Je vais te complimenter et faire de toi ma princesse. Je vais te cuisiner un bon petit plat, on ira visiter la ville, on ira peut-être même danser, comme tu voudras. Je vais être au petits soins pour toi. Laisse moi te prouver que le jeu en vaut la peine ... Que tu vaut la peine que je m’intéresse à toi. » dit-il avant de s'humidifier les lèvres une nouvelle fois. « Dimanche soir, je te ramène chez toi et je laisse le choix. A toi de voir si tu es prête à prendre ce risque avec moi ou si tu préfères arrêter maintenant... Peu importe ce que tu choisiras, je respecterais ton choix. » Sloan laissa sa dernière phrase en suspens. Son petit compromis semblait correct, il lui laissait une porte de sortie.
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Mes mains étaient moites, mon regard s'attardait sur les seules prunelles qui m'importaient ici. Celles de Sloan. Les battements de mon cœur raisonnaient dans ma tête et la peur se lisait sur mon visage. Peu habitué à ce sentiment, je me surprenais à avoir envie de vomir. Cette journée était surprenante dans tous les sens du terme. Sloan était resté muet, avalant mot pour mot ce que je venais de lui dire. Ma respiration s'était entre coupées. J'avais véritablement peur et je détestais ce sentiment qui me rendait si vulnérable. Il s'approcha de moi réduisant l'écart qui nous séparait. Ces mains chaudes se posèrent sur chacune de mes joues m'obligeant à le regarder. Ce simple contact avait déjà réussi à me rassurer. Il ne me repoussait pas et ne repoussait pas l'idée que je puisse être son fardeau. « Eh Charline... je sais tout ça. » ma gorge se noua. La main droite de l'étudiant descendit doucement le long de ma joue pour atterrir dans le creux de mon cou. Il pouvait sentir mon cœur battre sous ses doigts, j'en étais persuadée. Mes joues se mirent à rougir. Dit moi en plus Sloan... pensais-je. Son regard me détaillait et il finit par rajouter. « Je sais à quel point tu as peur de t'attacher aux gens, je sais que tu ne t'accordes pas le droit au bonheur et je sais aussi que tu prends souvent la fuite. Mais s'il te plaît, n'aie pas peur de moi... » ces paroles étaient parfaites. Cette sincérité n'avait rien à voir avec celle de la voiture. Non, il me rassurait et calmait en quelques mots mes craintes. Captiver, je me laissais rassurer. Son pouce formait de fine caresse sur mon visage. C'était agréable. « Écoute... j'ai mis presque quatre ans à obtenir un simple rendez-vous avec toi. Aujourd'hui j'ai la chance de pouvoir caresser tes joues... » un sourire délicat s'afficha sur mon visage. Sloan n'avait pas tort, je l'avais longtemps tenu à l'écart de moi. Pour finalement baisser ma garde. Il approcha un peu plus son visage et mon regard s'attarda sur ces lèvres. Ce voyage était surprenant et ne ressemblait en rien à ce que nous avions pu déjà vivre. Nous nous contentions de nous parler et ces paroles avaient le même goût qu'un baiser échanger dans ce lac chilien. La saveur était la même. Ces lèvres frôlèrent les miennes et mon souffle se mélangea aux siens. « … embrasser tes lèvres. » sans m'en rendre compte, je me pinçais les lèvres. Ces mots étaient parfaitement choisis et me faisaient basculer un peu plus dans ces bras. Il poursuivit dans sa lancer, m'avouant qu'il n'avait pas peur de moi. Je ne lui faisais pas peur et pourtant j'étais convaincue qu'il fallait se méfier de moi. Sloan était bipolaire et moi instable. Un mélange explosif. Ses mains gardèrent leur position. Une de mes mains se plaça sur son bras. Il m'apaisait. Et dans un élan, Sloan me proposa son idée. Celle d'oublier le temps d'un week-end notre passé commun pour profiter un peu mieux de ce moment. Un fin sourire se dessina sur mes lèvres avant de finalement m'approcher un peu plus de mes mains s'enroula autour de sa nuque. Mon corps se pressa contre lui et je finis par lui dire. « Faisons ça Bushnell. » L'embrasser aurait été une bonne chose mais bizarrement j'avais envie d'attendre. Retarder ce moment pour mieux le savourer plus tard. J'avais pour une fois envie de faire les choses bien et lui montrer mon attention de manière différente. Jusque-là, j'avais fait parler mon désir. Aujourd'hui, je laissais libre cours à mon esprit et mes sentiments.Ses mains s'enroulèrent autour de ma taille et son visage se colla au mien. Ce simple câlin peaufinait avec raffinement cette discussion. Il m'appréciait et je l'appréciais. J'allais le temps de ce week-end mettre mes craintes de côté et profiter. Après plusieurs secondes, je finis par lui dire « J'espère que tu as une piscine... » Moi et l'eau. Une grande histoire d'amour que Sloan avait sans doute dû remarquer depuis le lac Chilien. Je me mis à rire avant de finalement l'embrasser sur la joue. Un baiser qui pouvait paraître anodin et qui pourtant ne l'était pas. Mes mains remontèrent doucement le long de son cou. Tout était très doux, mes doigts effleuraient sa peau et un sourire amusé s'afficha sur mes lèvres. Mon front se colla délicatement au sien et je lui fis : « merci. » merci d'avoir utilisé les bons mots, merci de ne pas m'avoir fusillé sur place et merci d'être ici. Doucement, je me séparais de l'Éliot reculant doucement en arrière. Mes bras se détachèrent et mon corps se recula toujours un peu plus du sien. « Recommençons à zéro... tu dois donc comprendre que ce soir. Je ne pourrais pas dormir avec toi. Je ne dors pas avec des inconnus. » inconnus qui n'en étaient pas un. Simple petite plaisanterie que je comptais néanmoins amener jusqu'au bout. Je me reculais encore alors que Sloan lui avançait. Je lui fis : « Je vais chercher ma valise. J'ai besoin de me changer et de prendre une bonne douche. C'est donc celle-là ma chambre ! » je pointais du doigt la porte qu'il avait failli ouvrir en affichant un grand sourire. J'aimais l'embêter et je voulais repousser ce moment. Le moment où j'allais m'offrir une nouvelle fois à lui. Attiser sa curiosité et contenir ces désirs. C'était ça que je voulais faire. Mes lèvres, mon corps ne demandaient qu'une chose. Le rejoindre. Pourtant, j'avais décidé d'attendre encore un peu. Je me mis à courir comme une enfant jusqu'à mon sac qui se trouvait à l'entrée de la maison. Le regard de Sloan se plissa légèrement avant de finalement me courir derrière. C'était enfantin mais tellement plaisant. Je pris mon sac assez rapidement et partie en direction de la salle de bain. Forte heureusement, j'avais mémorisé toutes les pièces de la maison assez bien. Une fois dans la salle de bain, je fermis la porte à clés empêchant l'Éliot d'entrer. « Ne t'as ton jamais appris à ne jamais courir derrière une dame. » je me mis à rire. Je pouvais aussi l'entendre rire. C'était un jeu auquel nous aimions jouer. Sloan tenta plusieurs fois de me convaincre d'ouvrir cette porte mais en vain. J'avais fini par retirer mes vêtements pour prendre ma douche. Une bonne douche chaude. J'en profitais pour me relaxer, relâcher la pression de ces dernières heures. Tellement de choses s'étaient passé et finalement un sourire s'afficha sur mes lèvres. Je pris plusieurs minutes, Sloan avait sans doute décampé puisque je ne l'entendais plus.La soirée s'installait doucement. Le soleil se couchait doucement. Je sortis de la douche et pris une serviette que j'enroulais autour de ma taille. Je m'approchais de la porte et doucement, je l'ouvris. Il n'était plus là. Normal après plusieurs minutes, il avait sans doute du ce résigner. Je sortis de la salle de bain pour marcher dans le couloir. Ma tête se pencha sur le côté et Sloan était allongé sur le canapé devant la cheminer à regarder la télé. Il était calme. Ce qui le rendait d'autant plus beau. Son regard capta le mien. Il tourna sa tête. J'étais juste en face de lui. J'affichais un fin sourire et lui fis : « Je ne vois pas l'intérêt de faire des douches aussi grande. » La douche de Sloan était immense. Je m'approchais du canapé. Il ne bougeait pas et se contentait de me regarder. Tout était très beau dans cette pièce. La cheminée donnait une ambiance particulière. Et sans pouvoir me retenir davantage, je m'abaissais pour pouvoir aller sur le canapé. J'approchais de l'étudiant à quatre pattes avant d'arriver au-dessus de son bas-ventre « J'espère que tu ne t'es pas ennuyé... je suis toute à toi maintenant » dis-je subtilement avant d'afficher un sourire amusé. Mes mains remontèrent avec douceur son tee-shirt et mes lèvres se posèrent sur son ventre remontant délicatement jusqu'à son torse pour ensuite finir dans son cou. Mes jambes entouraient la taille de l'Éliot, j'étais assise à califourchon sur lui. Mes lèvres remontèrent pour s'écraser avec douceur sur sa joue prenant soin de ne pas l'embrasser. « Il y aurait sans doute eu de la place pour deux dans cette douche. » je me mis à rire avant de le regarder bêtement dans les yeux. « J'aime peut-être pas tout ce luxe mais je dois avouer que cette cheminée vend du rêve. » Tu m'étonnes Charline, tu m'étonnes.
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Sloan ignore encore comment les choses ont pu tourner ainsi. Passer de l'appréhension, à la tendresse en passant par la colère et la confidence. Sa proposition était honnête, c'était plutôt un bon compromis. Tout oublier le temps d'un week-end et prendre une décision à la fin de celui-ci. Le jeune homme menait bien son jeu, il tentait le tout pour le tout. Il savait à quel point Charline était hostile aux rapprochements et qu'il ne fallait surtout pas lui parler de sentiments. Bah voilà, il lui laissait clairement le choix. Sloan la voulait pour ce week-end et comptait bien se montrer persuasif. Des petites attentions, toutes les femmes rêvaient de ça et Charline ne faisait pas office d'exception. De la façon dont elle s'était ouverte à lui, elle lui avait fait comprendre que ses gestes et ses regards lui plaisaient. Pourtant, Sloan ne le faisait pas exprès. Il la regarde beaucoup car il l'a trouve belle, il la touche également pas mal car il la trouve attirante et particulièrement séductrice. Charline a un corps de rêve, il ne pouvait pas le nier. Elle lui faisait énormément d'effet, elle était tout à fait son style. Brune, grande, élancée, belle avec un petit quelque chose en plus. La brunette avait du charme mais au delà de ça, elle dégageait une personnalité atypique et addictive. Elle lui faisait perdre la tête. Son regard plongé dans le sien, Sloan attendait patiemment sa réponse. Après tout, Charline avait le droit à la réflexion. Elle ne mit pas longtemps avant d'afficher un petit sourire sur le coin de ses lèvres. En le voyant, le beau brun fit de même. Au moins, elle ne lui hurlait pas dessus. La brunette posa ses mains sur sa nuque et approcha son corps. Sloan prit une grande inspiration. Il aimait cette proximité enivrante. La jeune fille décida d'accepter sa proposition, le visage de l'Eliot venait de s'illuminer d'un coup. Elle acceptait. Vraiment, elle trouvait cette idée bonne et voulait bien jouer le jeu. Un énorme sourire apparu sur le visage de Sloan qui ne pouvait cacher sa joie. D'un geste tendre, il passa ses bras autour d'elle et s'approcha pour l'enlacer. Un câlin sincère pour bien démarrer ce week-end. Ils allaient faire une croix sur toutes les paroles qui ont été dites, sur tous les rendez-vous qu'ils ont eu précédemment, sur leur folle nuit d'amour au lac. Soit. Charline risqua une petite touche d'humour en lui indiquant qu'elle ne dormirait pas avec lui ce soir. A partir de maintenant, il était un inconnu. Le beau brun ouvrit la bouche d’incompréhension et fronça les sourcils. « Quoi ? Nan, c'était pas compris dans le contrat ça. » dit-il rapidement. Sloan ne comptait pas dormir seul ce soir, qu'elle le veuille ou non. Ils étaient à New York pour deux jours, il était juste hors de question qu'ils dorment séparément. Il tenait à ce qu'elle s'endorme dans ses bras et qu'il se réveille dans les siens. Qu'y a t il de plus merveilleux que de se réveiller le matin aux côtés de la fille qu'on apprécie ? Surement rien. Déjà que Charline avait acceptée sa proposition, il ne pouvait pas non plus avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière. « Bon, on verra. » lança-t-il en haussant les épaules. La brunette se recula un peu de lui pour finalement se défaire de son emprise. Elle était encore en face de lui mais déjà son corps lui manquait. Sloan avait besoin de la toucher, besoin de sentir sa peau douce contre la sienne mais surtout besoin d'attentions. On verra était une très bonne réponse, ni positive, ni négative. Bref. Charline lui avoua avoir besoin d'une bonne petite douche. En voilà d'une idée qu'elle était bonne. L'Eliot afficha large sourire avant de le perdre instantanément lorsqu'il vit la brunette se mettre à courir. Non, elle n'allait quand même pas oser ? Bah tient. Elle se précipita en bas pour aller chercher son sac. Sans trop chercher à comprendre, Sloan fit de même. Il se mit à sa poursuite, lui aussi voulait prendre une douche. De toute façon, elle ne connaissait presque pas les lieux, elle n'ira pas bien loin. Détrompes-toi Sloan, Charline est plus maline que tu ne le pense. Elle le devança littéralement avant de s'enfermer dans la salle de bain. le jeune homme arriva devant la porte pile au moment où elle tourna le taquet. Ah la salope ! Mort de rire devant sa propre connerie, Sloan tapa à la porte. « Vas-y ouvre princesse ! » dit-il pour qu'elle entrer. Charline le taquina à travers la porte. Le beau brun posa lourdement sa tête sur la porte. Ahh, il n'allait quand même pas attendre là comme un con ? C'était cruel de sa part de lui faire ça. Sloan n'avait qu'à languir derrière la porte. Il savait à quel point Charline et l'eau faisaient un bon mélange. « Le robinet est cassé, je vais te montrer comment il fonctionne. » lança-t-il avant de rigoler. Même lui ne croyait pas en sa connerie. Il déblatéra tout un tas d'excuses pour qu'elle ouvre, en vain. Frustré, il se passa les mains dans les cheveux avant de se résigner à partir d'ici. Sloan descendit au salon et prit place sur le canapé. Il checka son portable avant de le balancer sur l'immense table basse devant lui. Le beau brun posa ses coudes sur ses cuisses et enfoui sa tête entre ses mains. a journée fut riche en émotions, il avait encore du mal à s'en remettre. Il resta ainsi quelques instants avant de se lever. Calmement, il alla allumer la cheminée avant de s'allonger de tout son long sur le canapé. Il alluma machinalement la télé avant de se poser. Il ne regardait pas vraiment l'écran, son esprit restait obnubilé par la présence de Charline dans la douche. Elle était dans la pièce juste au dessus de lui, complètement nue dans la douche. L'eau glissant sur sa peau douce et sensuelle. Sloan aurait donné n'importe quoi pour être une goutte d'eau et venir caresser son cou, glisser sur sa poitrine, effleurer son ventre et venir mourir le long de sa jambe. L'Eliot se secoua la tête pour chasser cette idée de son esprit. Il leva son bras et vint le placer derrière sa tête, il posa son autre main sur son torse. Petit à petit, il se détendait. La tête penchée vers la télé, il ne regardait pas vraiment. Ses yeux se fermaient presque tout seul, il était incapable de dire le programme qui se jouait devant lui. Après une bonne vingtaine de minutes, Sloan tourna sa tête sur la gauche et capta le regard de Charline. Il ne l'avait même pas entendu descendre. Un petit sourire coquin apparu sur son visage. La brunette était nue, simplement vêtue d'une serviette. Le spectacle était juste magnifique. Voir ses jambes nues, ses bras encore un peu humides, et ses cheveux lâchées, cette vision rendait Sloan complètement dingue. Il sentait l'excitation monter en lui. Brodel, elle lui vendait du rêve et elle le savait. Charline lui demanda pourquoi sa douche était aussi grande. L'Eliot haussa les sourcils, sa question était stupide, elle connaissait parfaitement la réponse. Oui, Sloan était un peu vexé et c'est pour cette raison qu'il ne bougea pas d'un pouce. Ah si, y'a bien quelque chose qui bougeait chez lui, le barreau de la voir aussi sexy. Quoiqu'il en soit, il lui lançait un regard provocateur, il aimait ça. Charline s'approcha du canapé et vint le rejoindre. Elle se pencha au dessus de lui, laissant apparaître la forme de ses seins. Le jeune homme s'humidifia les lèvres. Il n'allait pas tenir bien longtemps, oh non. Elle fit exprès de s'arrêter au niveau de ses jambes, elle passa sa main sous son t-shirt et lui fit quelques baisers. L'excitation montait en lui. Sloan ne s'en cachait pas le moins du monde. Il avait envie d'elle et Charline devait bien le savoir. Il n'avait pas honte de la désirer, bien au contraire. La brunette posa sa bouche sensuelle sur le corps brûlant de l'Eliot. Hum. Il ferma les yeux pour savourer pleinement cet instant. Elle remonta lentement vers son cou puis déposa un doux baiser sur sa joue. Sloan ouvrit de nouveau les yeux et ne pu s'empêcher de sourire. Bordel, il avait envie d'elle, là tout de suite. Il voulait la prendre sur le canapé, sans se soucier du reste, juste parce qu'il en avait envie. Leur dernière nuit d'amour remontait à il y a quelques semaines mais c'était beaucoup trop long. Le jeune homme était avide de son corps, il était demandeur et ne voulait qu'une chose, cette union si spéciale à ses yeux. Effectivement il y avait de la place pour deux dans la douche. « Ah tu crois? » dit-il, toujours un peu vexé. Eh oui Sloan est du genre rancunier. Mais bon, Charline savait se faire pardonner. Il ne la touchait pas, n'avait pas bougé d'un poil. Elle lui avoua apprécier la cheminée. « Oui c'est vrai, c'est bien la seule chose qui va me manquer ici... Je savais que ça allait te plaire. » se confia-t-il. Il l'avait allumé juste pour elle. Le feu dégageait une chaleur réconfortante et apaisante. La lumière aussi était spéciale. Sloan attrapa la télécommande qui était tombée à côté de lui et éteignit la télévision. C'est bon, il avait perdu assez de temps. Sans plus attendre, il balança la télécommande sur la table basse et enleva son bras de derrière sa nuque. Le beau brun posa délicatement ses mains sur les cuisses de Charline. C'était si bon de renouer avec son corps. Sloan se redressa lentement pour coller son corps contre le sien. Charline ne pouvait plus le fuir. Ses jambes autour de sa taille, c'était aussi explicite qu'excitant. La serviette cachait son corps nu mais laissait sa silhouette se dessiner devant lui. Délicatement, il laissa ses mains glisser sur ses cuisses et remonta légèrement. Un frisson lui parcouru tout le corps. L'Eliot approcha son visage de son cou et l'embrassa langoureusement le long de sa nuque. Ses mains montèrent toujours un peu plus, jusqu'à recouvrir ses fesses. Il les agrippa pour donner de l'intensité à ses baisers. Il n'y avait pas de bruit dans le salon, seuls ses baisers raisonnaient dans le craquement du feu. Sloan se perdait littéralement dans son cou. Il en profitait, comme si c'était la première fois qu'il la touchait. Il prenait un malin plaisir à découvrir son corps, à le redécouvrir encore et encore. Guidé par une pulsion sensuelle, le jeune homme lâcha ses fesses pour continuer à remonter ses mains dans le creux de ses reins. Il passait ses mains sous la serviette et les remontaient doucement, délicatement le long de son dos. Ses baisers, quant à eux, parcourraient sa nuque puis ses oreilles. « Tu me rends fou Charline. » murmura-t-il avant de se reculer légèrement. Il ouvrit les yeux avec un peu de difficulté et plongea son regard dans celui de sa belle. Délicatement, Sloan retira une main de son dos et la posa sur sa joue. Il baissa les yeux et afficha un fin sourire. « T'es pas farouche avec les inconnus. » murmura-t-il avant d'approcher ses lèvres des siennes. Enfin il allait pouvoir l'embrasser, enfin il allait donner une suite à cette excitation omniprésente. Sloan réduisait dangereusement l'écart entre leurs deux bouches, il pouvait sentir son souffle chaud se mélanger au sien. Leurs lèvres se frôlèrent et allaient se toucher quand le bruit de la sonnette retentit brusquement. L'Eliot se recula brutalement. « Putain c'est pas possible ! » grogna-t-il agressivement. Il fronça les sourcils avant de faire de gros yeux. « Merde, George, j'avais oublié ! Heureusement que j'ai fermé la porte à clé. » lança-t-il, paniqué. Sloan se leva d'un geste toujours un peu brusque, obligeant Charline à poser les pieds par terre. La brunette semblait, elle aussi, complètement paniquée. Il la regarda sérieusement.  « Va t'habiller ! » lança-t-il avant de se diriger vers le couloir. Sans trop chercher à comprendre, Charline le doubla et monta les escaliers rapidement. Sloan afficha un énorme sourire en voyant son petit cul bouger dans tous les sens. La vengeance est un plat qui se mange froid Charline, tu devrais le savoir. Alors que sa belle alla s'habiller, Sloan alla ouvrir au livreur. Il prit les plats et paya le gars en prenant soin de faire le moins de bruit possible. Le beau brun referma la porte et prit soin, cette fois ci, de bien mettre le verrou. L'Eliot retourna dans le salon où il disposa le repas sur la table. Il fronça les sourcils en voyant la table basse ainsi. Non, il manquait quelque chose. Sans trop tarder, il emprunta les escaliers et monta à l'étage. Il passa devant la chambre de Charline. Doucement, il tapa à la porte et passa son chemin vers la deuxième salle de bain de la maison. Quel connard franchement. Et ça le faisait rire. Ohh ça va, ce n'était pas méchant, il voulait juste la faire flipper un peu. Une petite vengeance à sa frustration de tout à l'heure. Sloan descendit les escaliers et retourna dans le salon. Il disposa les nombreuses bougies sur la table basse et sortit un briquet de la poche arrière de son jean. Calmement, il les alluma une par une. Le beau brun regarda sa table d'un air satisfait. En deux claquements de mains, il baissa l'intensité de la lumière dans la pièce. Ahh la technologie de nos jours. Il entendit Charline descendre les escaliers, il se tourna vers elle, le sourire accroché aux lèvres. Il plissa les yeux en la voyant découvrir sa petite surprise. « J'ai d'abord pensé t'emmener dans un très bon restaurant mais ça ne nous ressemble pas. Alors ça sera un dîner à ma manière. » dit-il d'une voix douce, limite charmeuse. C'était juste sublime. La table basse était remplie de bougies rouges, la cheminée donnait un petit côté romantique à la pièce mais surtout, l'immense baie vitrée donnait une spectacle à couper le souffle. Le soleil était couché, il faisait sombre, ils avaient une vue panoramique sur la ville éclairée de New York. « On dit que les choses les plus simples sont les plus belles, princesse. » lança-t-il sur le même ton. C'était juste parfait comme ambiance. Charline n'aurait pas pu rêver mieux pour déguster un énorme plat de sushis.
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We all have two lives. The second one starts when we realize that we only have one ★★★
J'en profitais autant que je pouvais. Le corps de sloan était parfait. Identique au dieu grec qu'on avait l'habitude d'étudier. Mes mains caressaient doucement son torse tendit que mes lèvres acheminaient vers son visage. Elles s'attardèrent dans son cou. Il était bouillant, ce qui rendait les choses encore plus exitante. Il ne bougeait pas. Ces mains étaient encore bien trop calme à mon goût. Je contentais d'attiser sa curiosité. Mes cheveux mouillés se frottaient à la peau de l'Eliot. « Tu crois ? » si je pensais qu'il y avait assez de place dans cette douche ? Bien évidemment et il le savait. Un sourire s'afficha sur mes lèvres. Il pouvait le sentir et je lui fis : « j'en suis persuadée ». Ces lieux étaient parfait. Il y avait peut-être trop de chose dans cette pièce mais l'ambiance n'en restait pas moins délicate et romantique. La pierre... la cheminé. Difficile de ne pas apprécier. « Oui c'est vrai, c'est bien la seule chose qui va me manquer ici... Je savais que ça allait te plaire. » Sloan commençait à me connaître et l'idée qu'il avait eu d'allumer un feu était géniale. Mon visage se mit au dessus du sien. Mes yeux se plongèrent dans son regard et un nouveau sourire s'afficha sur mes lèvres. Mes doigts caressaient le haut de son front pour venir ensuite éffleurer ces lèvres. J'avais envie de l'embrasser. Mon regard le détaillait. Je prenais soins de  mémoriser ce moment. Il était sublime. « Tu as visé juste. J'adore. » mes lèvres se possèrent sur son nez avant qu'il ne se redresse légèrement pour éteindre la télé. Géniale, passons au chose sérieuse. Ses mains se faufilaient le long de ma cuisse. Ces doigts effleuraient avec légèreté ma peau. Ces simples caresses raisonnaient dans ma tête et mes yeux se fermèrent doucement. Non pas parce que j'étais fatiguée mais tout simplement parce qu'il m'apaisait. Ce même visage qui avait réussi à m'énerver pendant le voyage était maintenant en train de me vendre du rêve. Mon esprit s'attardait sur ces doigts. J'imaginais la direction qu'ils pouvaient prendre. Je fondais littéralement et ma respiration commençait doucement à s’échauffer. J'avais envie de lui autant qu'il avait de moi. Il se redressa doucement m'obligeant à faire de même. Mon corps étaient collé au sien. Mes mains se logèrent dans le creux de sa nuque avant de sentir les lèvres de l'éliot dans mon cou. Bordel que sa faisait du bien. Mes yeux se révulsèrent. J'avais beau jouer à la maligne, je restais prisonnière de ce très cher Eliot. Aucun de ces moments ne ressemblaient au précédent. Il arrivait toujours à me surprendre et c'était sans doute sa qui le rendait aussi intriguant. Mon sourire s'ettira en sentant ces lèvres remontés. Chatouilleuse. Je penchais ma tête sur la sienne avant qu'il n'arrive à mes oreilles pour me susurer. « Tu me rends fou Charline. » Il se recula et mes yeux croisaient les siens. Les choses semblaient différentes depuis que ces révélations avaient fait surface. Nous prenions notre temps et ce n'était franchement pas désagréable. Bien au contraire. Sa main remonta et se posta sur ma joue. Comme pour appuyer ce geste, ma tête se pencha sur le côté. « T'es pas farouche avec les inconnus. ». Je me mis à rire et lui répondis rapidement. « C'est pas n'importe quel inconnu. » au non, Sloan n'était pas n'importe quel inconnu. Et aujourd'hui, il le savait. La réponse à ces questions avaient débloqué quelques choses. Mes craintes étaient moins profondes. Et ceux même si il avait fallu que j'apprenne qu'il avait coucher avec Sage. Mes sourcils se fronçèrent à cette simple pensé. Noooooooooooooon... n'y repense pas. Pas maintenant. Pas après tout ça. Il approcha son visage dangereusement du mien, nos nez se touchaient et nos lèvres s'effleuraient une nouvelle fois. Bordeeeeel que j'en avais envie. Ma bouche s'entrouvait légèrement échappant un souffle chaud. Nos souffles berçaient l'espace qui nous séparaient encore l'un de l'autre. J'en avais terriblement envie. Mes dents martelaient doucement mes lèvres. Cette attente devenait presque supplice. Prêt à satisfaire ce désir, la sonnette raisonnait dans la maison. NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON. Mon visage se recula instantanément comprenant que ce doux désir allait encore devoir attendre un peu. Sloan fronça des sourcils et semblaient tout aussi frustré que moi. Qui était l'abruti qui nous dérangeait ? Ma bouche se replia et je fis une petite moue proposant à Sloan de ne pas aller ouvrir. « Merde George, j'avais oublié ! Heureusement que j'ai fermé la porte à clé. » mon visage se décomposa. George ? George son beau-père ? Après quelque seconde, Sloan se leva m'obligeant à poser pied à terre. J'étais pratiquement nue et son beau père était à la porte. La honte, le rouge me montait au joue. Mes pieds ne bougeaient pas pourtant il fallait que je grouille me cacher. Heureusement pour moi, la situation aurait été plus que délicate si cette porte n'avait pas été fermé par Sloan. L'étudiant s'approcha et me fit : « Va t'habiller ! » J'affichais un fin sourire avant de courir précipitamment dans ma chambre. Sloan attendit que je disparaisse pour ouvrir. J'entrais dans ma chambre et mes yeux détaillèrent chaque recoins. " ok, je me dépêche " C'était bizarre d'avoir tout sa rien que pour moi le temps d'un week-end. Je n'étais pas habituée à tout ce luxe et toute cette grandeur. Le lit était immense. Je partie direction la salle de bain qui se trouvait cette fois ci dans ma chambre. Elle était aussi grande que la précédente cependant une baignoire gigantesque y était installer. Une douche... une baignoire... une piscine ? Cela offrait une multitude d'endroit à explorer. Un vrai petit paradis dit donc. Je passais devant le miroir de la salle de bain. Instantanément, mon regard croisa mon reflet. Un sourire niais était visible sur mon visage. J'étais contente. C'était tellement bizarre de me voir comme sa. Je n'avais pas autant souris depuis des années. Mes mains se portèrent à mon visage comme pour me cacher. J'étais en train de vivre sereinement ce qui se passait et je n'étais pas habituée à tout cela. Je regardais la salle de bain avant de rapidement comprendre que mes affaires étaient restées dans la salle de bain d'en bas. Quelle conne. Je ne pus m'empêcher de soupirer avant de m'asseoir sur le rebord de la baignoire. Hors de question pour moi de redescendre dans cet état. Il fallait que je trouve quelque chose et vite. J'attachais mes cheveux en un chignon pour pouvoir mieux réfléchir. Je sortie de la salle de bain avant de me diriger vers le dressing. Mes sourcils se haussèrent. Le dressing était aussi grand que la salle de bain. Tous cette espace, pour une fille aussi simple que moi. J'ouvris les placards constatent qu'il n'y avait que des vêtements de garçon. Des chemises, des costumes mais rien qui face un peu féminin. J'ouvris la porte de ma chambre, ma tête se pencha légèrement pour voir si personne se trouvait dans le couloir. La voix était libre et sans vraiment savoir ou j'allais. J'ouvris la porte qui se trouvait juste à côté. Une deuxième chambre. Plus féminine et personnalisé, j'hésitais à rentrer avant de finalement soupirer et dire. « T'as pas le choix Granger ! » me dis-je avant de refermer la porte derrière moi. Je me dirigeais vers le dressing, une fois à l'intérieur, j'ouvris le premier placard. Mes yeux grossissaient à vu d'oeil. Ces vêtements devaient appartenir à la mère de sloan. Tout était parfaitement bien ranger, et il ne fallait pas être née de la dernière pluie pour savoir que chacun de ces tissus représentaient la valeur de mon salaire. Sloan m'attendait et George devait faire de même. Je m'approchais timidement de la ranger de vêtement. Tout était très beau, trop beau pour moi et rien ne me ressemblait vraiment. J'avais limite peur de les touchers. Stupide, je sais mais c'est vêtements avait bien plus de valeur pour Sloan que cette maison dans son ensemble. Rien sur les cintres, j'ouvris un tiroir et en sortie une petite robe très simple, trop simple par rapport au robe de collection que je pouvais avoir en face de moi. Je la dépliais doucement. Elle était parfaite, à mon image. J'affichais un petit sourire avant d'hésiter une nouvelle fois. Et puis merde... Je laissais tomber ma serviette avant d'enfiler ma robe. Je n'avais aucun sous vêtements. Il me suffisait juste d'un vêtement de façade pour pouvoir rejoindre la salle de bain d'en bas et pouvoir me changer. Je ne comptais pas la garder même si elle était sublime. Elle avait de sa valeur et je ne fessais que l'utiliser le temps de quelques minute. Je pris ma serviette et me mis à courir vers la sortie de la chambre. Une tête dehors pour vérifié que personne n'était là. Je fermais la porte et repartie dans ma chambre pour y déposer ma serviette. J'enlevais l'élastique qui trouvait dans mes cheveux et finis par redescendre en bas. J’espérais pouvoir aller dans la salle de bain s'en croiser le regard de Sloan et de George. Je marchais doucement avant de passer devant la salle ou nous étions. Et là... je m'étais arrêtée. La lumière était douce et tamisée. La lumière de la cheminé baignait la pièce mais il y avait aussi les bougies soigneusement disposés sur la table basse. L'ambiance était romantique à souhait. Sloan se trouvait juste devant moi. Un sourire au lèvre. J'étais émerveillée oubliant totalement l'idée de rejoindre la salle de bain pour enfiler quelque vêtement à moi. J'entrais dans la salle à pas de loup, sans faire le moindre bruit. « J'ai d'abord pensé t'emmener dans un très bon restaurant mais ça ne nous ressemble pas. Alors ça sera un dîner à ma manière. » mon sourire s’élargissait. Sloan ne pouvait définitivement pas faire mieux. Il me surprenait. Mon regard s'attarda ensuite sur le soleil magnifique couché de soleil. C'était vraiment sublime, j'étais en train de tout retenir. Mon moment parfait. Je me pinçais les lèvres comme pour m'obliger à me réveiller. Toute ces choses étaient bien réelle. Je m'approchais un peu plus de Sloan. « On dit que les choses les plus simples sont les plus belles, princesse. » La simplicité était la meilleure des choses. Une cheminé allumée, des bougies, un parfait couché de soleil et quelque douceur pour satisfaire nos palais. Et le tour était jouer. J'étais conquise, mes mains étaient moites. Je ne pensais plus à rien, pas même à la robe que je portais. Je m'approchais encore un peu plus pour enrouler mes bras autour de sa nuque. Mon corps se colla contre lui. Et lui dis-je : « Dois-je comprendre qu'il n'y a pas de George en costume dans les parages ? » je me mis à rire avant de finalement tourner mon visage sur la table basse. Mon sourire était radieux et ma main se posa sur mon sourire. Mes doigts mesuraient la forme de mes lèvres. Je souriais bêtement. C'était étrange de sentir ce bonheur m'emporter. Un bonheur que j'avais longtemps chercher. J'avais quitté ma famille, j'avais vécu dehors, j'avais entretenu des relations aussi éphémère que possible. Pour arriver, enfin à le trouver. J'en étais convaincu ce soir. Mon regard se tourna ensuite vers Sloan. « C'est magnifique... » je ne trouvais pas d'autre mot en faite. Une de mes mains se plaça sur son front pour redescendre le long de sa joue. « je... » je m'étais stoppée. En réalité, je venais de réalisé une chose. Il n'y avait pas à réfléchir ou à attendre la fin du week-end pour prendre une décision. Sans m'en rendre compte, Je venais de le faire. Je voulais être avec lui... Mon nez se frotta au sien et mes lèvres se plaquèrent contre celle de l'étudiant. Impossible de tenir plus longtemps, ce baisé, je l'avais voulu. Mes mains encadraient son visage et mon corps se serra au sien. Je le voulais lui.. tout entier, avec ces faiblesses, avec ces qualités et avec ces défauts. Ma langue se mélangea avec douceur à la sienne. C'était un baisé passionnée et d'une extrème intensité. Ma respiration se coupa net. Transporter par tout cela. Une fois finit, mon front se posa délicatement contre le sien. Ces sushis me donnaient faim. Je me mis à rire. « je crois... qu'il faudrait manger un peu, histoire de tenir pour le dessert. » mes yeux se plissèrent avant d'afficher un petit sourire coquin. Non, ce soir, je ne dormirais pas seul dans ce lit. Je me mis à sourire et mes lèvres l'embrassaient une nouvelle fois pour ensuite l'embrasser sur le nez, sur la joue droite, sur la joue gauche. Je recouvrais son visage de baisé pour enfin me stopper pour le regarder. Je me mis à rire et lui fis : « Tu me vends du rêve Bushnell, tu t'imagines même pas comment. J'ai pas besoin d'attendre dimanche... j'ai pas besoin. Je le sais déjà... » Ma main caressait sa joue. Ma réponse était bien claire, aussi précise qu'un mot qu'on trouvait dans le dictionnaire. Mes yeux se plissèrent avant que je ne me rende compte que je portais toujours la robe de sa mère. « laisse moi deux secondes que je me change.... » ouaiiiiiii, laisse moi me changer et après je serais tout à toi Bushnell.
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I keep dreaming you'll be with me and you'll never go
Autant Sloan avait pas mal de défaut, autant c'était un romantique dans l'âme. Il ne faisait jamais les choses à moitié et ce n'était pas pour en déplaire à ses anciennes conquêtes. En couple, il a toujours été très fidèle et pleins d'attentions. Il aimait les dîners en amoureux, les parties de jambes en l'air toutes plus insolites les unes que les autres, les moments uniques, les fous rires partagés mais surtout, la présence de l'autre. Sloan est quelqu'un d'entier, il était à prendre avec ses qualités et ses défauts. Et ça, Charline semblait l'avoir compris. Ce soir elle allait en prendre plein la vue. Il allait mettre le paquet pour lui prouver qu'il en valait la peine. Elle pouvait s'habituer à ces petites attentions, il ne faisait pas ça juste pour la charmer, c'était naturel chez lui. L'Eliot ne prend rien pour acquis et sait qu'il peut la perdre du jour au lendemain. Il ne voulait avoir aucun regret la concernant. Charline représentait son plus gros défi, son coup de coeur ou tout simplement son coup de foudre. Elle le faisait rêver et ce, depuis la première fois où il posa les yeux sur elle. Tellement différente de lui mais en même temps, tellement semblable. Elle avait su l'intéresser, le captiver même. Durant toutes ces années, il cultiva le désir de la conquérir et l'envie de gagner, ne serait-ce qu'un simple rendez-vous en sa compagnie. Elle lui avait accordé il y a maintenant plus de deux mois et depuis, elle ne pourra plus s'en défaire. Sloan était en admiration devant cette fille et devant son incroyable beauté. Elle avait clairement tout pour plaire. Un visage parfaitement dessiné, un nez fin et recourbé, des lèvres pulpeuses et un regard captivant. Elle était belle et elle en jouait. Nombre de fois où elle soutenait son regard, juste pour le déstabiliser. De son côté, le jeune homme ne s'est jamais caché, il la trouvait magnifique et d'ailleurs son petit surnom témoignait cet attachement, cet engouement pour cette fille. Charline lui faisait tourner la tête et ce soir, il voulait lui prouver. Pas forcément par des mots mais plus par des gestes. Ils avaient échangés assez de mots pour le week-end, place à l'action. Sloan commençait à la connaître et savait ce dont elle pouvait avoir besoin en ce moment. Charline voulait être rassurer dans ses futurs choix, elle avait besoin d'attentions autant que lui mais surtout, elle voulait lâcher prise. Ne plus penser aux conséquences de ses actes et profiter de chaque instant. out était parfait et pourtant, Sloan n'avait pas fait grand chose. Il s'était contenté d'appeler le livreur de plat chinois, allumer quelques bougies et déclencher la cheminée. Non vraiment c'était à la portée de n'importe quel mec. Néanmoins, le résultat était là. Charline en avait les yeux qui pétillaient. Elle était belle, tellement belle. L'intensité du feu se reflétait dans son regard, c'était prenant. Le beau brun ne pu détacher son regard tant il était captivé par ce spectacle. C'était elle qu'il voulait et pas une autre. Un large sourire s'afficha alors sur le visage de sa belle. Délicatement, elle s'approcha de lui. Sloan sentit son coeur s'emballer. Pourquoi maintenant et pas avant ? Aucune idée. Peut-être avait-il compris ce qu'il ressentait pour elle ? Que les enjeux de ce week-end étaient énormes ? Quoiqu'il en soit, son rythme cardiaque augmenta d'un coup sans qu'il ne sache vraiment pourquoi. Le silence régnait en maître dans la pièce, ils étaient seuls au monde. Plus rien ne comptait à part Charline. Un léger sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme qui la vit s'approcher de lui. A peine avait-elle fait un pas vers lui qu'il posa ses mains sur ses hanches. La toucher était devenu une nécessité. Délicatement, la brunette enroula ses bras autour de son cou et s'approcha davantage. Sloan cligna des yeux avant de les poser sur ses lèvres. Elle venait d'en déduire que George n'était pas là. Perspicace cette petite. « Tu comprends vite. » murmura-t-il avant de la regarder droit dans les yeux. Il afficha un large sourire, cette proximité lui plaisait énormément, il s'y sentait bien. Elle complimenta la pièce et s'approcha toujours un peu plus. Sloan resta muet, même face à son je extrêmement perturbant. Le jeune homme ne savait pas trop quoi en penser. Un tel mot pouvait indiquer tellement de choses. Il ne voulait pas réfléchir, pas maintenant. Et pourtant, il ne pu s'empêcher de penser à l'inévitable. Il n'a jamais été amoureux, c'était bien la première fois qu'il ressentait de telles émotions pour une fille. Il était prêt à beaucoup de choses pour elle et inconsciemment, il pensa à ces trois petits mots. Et oui, ce n'était pas forcément le moment d'y penser. Sloan avait une relation très spéciale avec ces trois petits mots. En fait, on lui avait souvent dit mais il se contentait de répondre moi aussi. C'était étrange mais là, il sentait bien que tout était différent. Oh non il ne le dira pas à Charline mais il sentait qu'il était attaché à elle. Un sentiment profond et intense que l'on appelle communément de l'amour. oui, Sloan était amoureux de Charline, il ne pouvait plus le cacher. Son coeur, son corps s'emballèrent lorsque la brunette posa ses lèvres contre les siennes. Il l'avait enfin son bisou. Délicatement, il posa un main sur sa joue et de son autre main libre, l'attira un peu plus contre lui. L'Eliot attendait ce contact depuis le début de la journée, il n'en pouvait plus. On dit que tout vient à point à qui sait attendre mais là, ce n'était plus à point. Cela frôlait l'extase sensorielle. Un frisson lui parcouru tout le corps lorsqu'il sentit sa langue contre la sienne. Le baiser fut court mais particulièrement intense. Charline mit fin au baiser, oui parce que Sloan lui aurait bien continué. Ce baiser avait le goût de trop peu. Elle se recula légèrement, il ouvrit les yeux pour l'admirer. Elle était tellement belle et désirable. Il en voulait encore, il voulait l'embrasser toute la soirée, la faire sienne toute la nuit. C'était elle à présent, rien d'autre ne comptait. Charline suggéra l'idée de manger. L'Eliot leva les yeux au ciel, mouais il aurait bien continué à l'embrasser mais soit. Ils allaient faire tout ce qu'elle désirait. Il avait bien attendu des heures avant de pouvoir goûter à ses lèvres, il pouvait attendre encore un peu. « Oui tu as raison, prends des forces tu vas en avoir besoin. » répondit-il simplement. Cette phrase bourrée de sous-entendus n'était pas sans lui déplaire. Sloan afficha un large sourire en la voyant aussi coquine, aguicheuse. Cela lui plaisait énormément, au moins, il n'était pas tout seul dans son délire. La brunette approcha son visage du sien et vint l'embrasser un peu partout. Le jeune homme ferma les yeux pour apprécier le moment. Il aimait qu'elle lui porte des petites attentions, il avait seulement besoin de ça. Son manque d'attention le poussait à faire des choses stupides mais avec Charline, c'était tellement différent. Perturbant mais différent. Délicatement, elle rigola. Sloan vint rapidement mêler son rire au sien. Il se délectait d'un tel moment de complicité. C'était tellement agréable de se laisser aller et de profiter du moment. Lorsque Charline commença à parler, il ouvrit les yeux. Elle avait toute son attention. Et là, elle lui avoua que son choix était déjà fait. L'Eliot la laissa parler. Il la regardait intensément, il n'osait pas cligner des yeux par peur qu'elle ne s'évapore. Il buvait ses paroles, il avait besoin d'entendre ça. Oh bordel c'était ce qu'il voulait et ne pouvait cacher sa satisfaction. Charline venait de lui dire exactement ce qu'il voulait entendre. Elle caressa sa joue, il se laissa faire. Machinalement, il resserra son étreinte en l'approchant toujours un peu plus de lui. Tout ceci avait le don de l'exciter. En même temps, on parle de Charline donc il ne lui fallait pas grand chose pour faire monter le désir. « Hm intéressant. Donc ce soir je ne suis pas un simple inconnu ? » murmura-t-il, non pas peu fier de sa connerie. La brunette plissa les yeux avant de lui faire remarquer qu'elle portait une des robes à sa mère. Sloan plissa également les yeux. Putain, il n'avait même pas remarquer, quel gland. Et alors que Charline se détacha de lui et prit la direction de la salle de bain, Sloan lui attrapa furtivement la main. « Attends. » dit-il, un peu surpris par ce qu'il avait devant les yeux. Charline en robe. Il n'avait pu apprécier ce spectacle qu'une seule fois depuis qu'il la connaissait. C'était à la soirée de donation et entre nous, il n'avait juste pu que poser ses yeux dessus. La brunette était belle dans cette robe. C'était une robe d'une extrême finesse et à y regarder d'un peu plus prés, de grande marque. Sloan fronça les yeux. Il ne reconnaissait pas cette robe mais vu l’écusson sur le côté droit, elle valait cher. Cette robe ne devait pas être à Charline. Et à qui alors ? Sa mère. Il déglutit en comprenant d'où venait cette robe. Rapide moment de lucidité pour l'Eliot qui inspira profondément. En effet, cette robe appartenait bel et bien à sa mère. Qu'il fasse avec, de toute façon ce n'est pas elle qui pourra lui en tenir rigueur. Bien au contraire, elle tannait son fils pour savoir quand il se mettra en couple et qu'il lui fera de jolis petits enfants. Sloan afficha un mince sourire sur son visage en pensant à cette remarque. Après tout, la vie était faite ainsi, il allait perdre sa mère mais avait gagné tellement ce soir. Sa main toujours dans celle de Charline, il leva le bras pour admirer cette sublime femme qu'était sa princesse. « Fais voir. » dit-il avant de la faire tournoyer pour en apprécier tous les contours. Ce n'était pas subtile du tout mais qu'importe, Sloan n'avait pas besoin de subtilité pour la trouver jolie. Il afficha un regard pervers et plissa les yeux. « Tu peux la laisser princesse. Ce n'est pas désagréable de te voir autrement qu'en jean. » lança-t-il pour la taquiner. Une fois que la brunette eut terminer de tourner, il s'approcha d'elle et passa ses mains sur ses hanches, en les faisant glisser jusqu'au creux de ses reins. « Et ce sera un réel plaisir pour moi de te l'enlever tout à l'heure. » murmura-t-il avant de serrer ses mains sur elle, histoire d'attiser toujours un peu plus le désir. Sloan plongea son regard dans le sien et ne pu s'empêcher de venir capturer ses lèvres. C'était plus fort que lui. Il fut tellement frustré toute la journée, il devait se rattraper. Le beau brun l'embrassa tendrement, délicatement. Un doux baiser qui laissait planer le plaisir. Pas maintenant Bushnell, sois patient. L'Eliot mit fin au baiser et se recula. « Tu as raison, on devrait manger un peu avant. » lança-t-il bêtement. Les sushis ne risquaient pas de refroidir. Bref, Sloan se recula totalement et alla chercher deux verres ainsi qu'une bouteille de champagne. Il laissa Charline seule trente secondes. Il n'allait pas laisser seule bien longtemps hein. Rapidement de retour, il vint s'asseoir sur le fauteuil, en face de Charline qui s'était installée sur le canapé. Un petit diner en tête à tête, en voilà une bonne idée. Sans trop tarder, le jeune homme ouvrit la bouteille de champagne et servit deux coupes. Un énorme plateau de sushis avec du champagne, il n'y avait qu'eux pour faire ça. Et puis attention, il ne s'agissait pas d'une vulgaire bouteille de champagne, non il tapait dans le haut de gamme. Ce repas était aussi atypique qu'eux. Une fois servit, Sloan lui tendit la coupe et afficha un sourire. Il leva son verre dans sa direction après avoir posé la bouteille par terre. La table basse était déjà pleine, il n'y avait plus de place. L'Eliot aurait pu trinquer à n'importe quoi, à leur petite virée, à leur rapprochement, aux aveux prononcés ou encore à la perspective charmante qu'offrait cette soirée. Mais non, Sloan se contenta d'un « A nous. » avant de lui fair un clin d'oeil. Il avait tellement raison, cela résumait plutôt bien la situation. Ils étaient à deux et rien d'autre ne comptait. Sloan espérait bien profiter un maximum de ce moment. Les deux verres claquèrent ensemble juste avant qu'il n'apporte sa coupe à la bouche et n'en boive la moitié. Le jeune homme avait soif, toutes ces émotions lui avaient donnés soif et faim. Calmement, il reposa sa coupe de champagne et prit l'un des plats qui était posé sur la table basse. Il prit également deux baguettes, il rigola légèrement. « Tu veux une fourchette? Je suis trop une bille avec ça. » lança-t-il pour détendre l'atmosphère. Effectivement, le désir était beaucoup trop palpable entre les deux étudiants. Ils devaient manger avant, ne serait-ce que pour se donner des forces, pour alimenter leurs ébats. Sloan leva les yeux et la regarda amusé. Charline ne semblait pas vouloir de la fourchette. Fais chier. « Arrête de me regarder comme ça, tu me perturbe. » dit-il juste avant de reporter son attention sur les sushis. Allez Sloan, tu peux le faire. Maladroitement, il prit les baguettes entre ses doigts et essaya d'attraper un sushis. Le beau brun éclata de rire tant il était ridicule.
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